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« Et voilà, Mélinda... Ton dernier cadeau, le mien ! »
Assise sur son fauteuil, Mélinda esquissa un sourire, en voyant sa chère femme, Vanillia Warren (http://orig12.deviantart.net/de9c/f/2014/309/5/4/evelyn_by_tsuaii_by_drewdiddy1996-d85e6rn.jpg), amener une grosse boîte, recouverte d’un élégant papier-cadeau rouge, tiré par deux hommes bien musclés, torse nu et pantalons de cuir. Elle se mordilla les lèvres, regardant autour d’elle. Partout, ses esclaves étaient ravies, et elles pouvaient l’être. Aujourd’hui, Mélinda Warren fêtait son anniversaire, et, comme à chaque fois, elle avait eu droit à une ribambelle de gâteaux, et énormément de cadeaux. Combler leur Maîtresse était le rêve de ses multiples esclaves, et, dans ce domaine, ils s’affairaient à satisfaire ses désirs, et, surtout, à la surprendre, en lui offrant de superbes cadeaux. Outre des tenues particulièrement sensuelles, on lui avait aussi offert d’excellentes bouteilles de sang, des jouets sexuels très développés, des livres, des bijoux... Et le clou de la soirée approchait.
Pour le coup, Mélinda avait, précisément, enfilé l’une des tenues qu’on lui avait acheté (http://img110.xooimage.com/files/8/b/c/lingerie_laura-4--5135d7e.jpg), un magnifique morceau de lingerie rose moulant ses formes, et qui lui allait à ravir. Assise sur le fauteuil, elle avait les jambes croisées, tandis que Vanillia, sa femme, lui expliqua qu’elle avait dû batailler pour pouvoir lui acheter ce cadeau, mais elle était sûre que Mélinda aimerait.
La vampire, grâce à son sixième sens vampirique, sentit quelque chose émaner de cette caisse, un groupe sanguin... Ce qui l’amena à comprendre qu’il y avait, là-dedans, une esclave. Elle se pinça alors les lèvres, tout en se redressant, et marcha vers son gros cadeau, fendillant le sol de ses talons, et commença à dénouer les rubans et les nœuds du cadeau. On lui avait également donné un magnifique parfum, très sensuel, qu’elle avait utilisé autour de son cou. De fait, la bonne moitié des filles étaient en train de mouiller, se mordillant les lèvres, observant les longues jambes de leur Maîtresse, mais, surtout, ses magnifiques fesses, très rebondies, ce que la lingerie rendait très bien.
La fête avait lieu, non pas dans le manoir de Mélinda, sur Terre, mais dans son harem, au sein de la capitale impériale. Elle se déroulait dans un grand et confortable salon, avec une table de banquet comprenant de multiples petits fours, des gâteaux, des bouteilles... C’était un salon assez riche, avec de la tapisserie de luxe, des colonnes en marbre dans les coins, un grand lustre au-dessus, et plusieurs mezzanines et balcons donnant sur le salon. Il respirait le luxe et la richesse, et Mélinda continua à déchiqueter le papier-cadeau.
Sous ce dernier, il y avait une belle boîte, et elle sourit quand Vanillia lui tendit la clef.
« Merci, mon amour... »
La vampire enfonça la clef dans le gros cadenas situé sur la face supérieure du carton, et déverrouilla cette dernière. Les lourdes chaînes métalliques entourant la boîte s’ouvrirent alors, et tombèrent sur le sol, puis la vampire déchira le scotch avec ses griffes, creusant des sillons de lumière à l’intérieur. Vanillia avait été acheter cette esclave lors d’une prestigieuse vente aux enchères, et avait tenu impérativement à l’acheter, sûre qu’elle serait du plus bel effet pour sa femme. En conséquence, la jeune femme était impatiente que Mélinda découvre son cadeau...
...Et les mains de cette dernière filèrent au centre de la boîte, et ouvrirent cette dernière, éclairant la magnifique créature se trouvant dessous...
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Être une vachette, cela voulait dire une chose : Son destin était donc d'être acheté, et ainsi, d'être récuépéré pour être utilisée… Cela était relativement logique. Après tout, à quoi servait une Ushi, mise à part, donner du lait ? Franchement, il fallait bien le dire… Cela ne servait à rien. Elle donnait du lait, et ainsi, cela servait et cela était particulièrement utile. Donc, beaucoup de vachettes étaient achetés chaque année, pour leur lait, et uniquement leur lait. Elles étaient enfermés, et traite, parfois même 24h/24, et ainsi, tout le monde était satisfait ! Aussi bien ceux qui vendaient le lait, que ceux qui le recevaient… Il y avait même des cas, dans le cas des Ushi les plus masochistes, où ses derniers étaient très contente, car elle appréciait ce traitement. Il fallait quand même dire qu'une Ushi avait besoin d'être traite…
Après l'achat, il fallait amener l'Ushi vers sa nouvelle résidence. Bien sur, le plus simple était de la donner, enchainer, et ainsi, qu'elle puisse marcher jusqu'à sa nouvelle résidence. Bien sur, cela était particulièrement gênant pour les personnes très riches, qui ne vivaient pas à Nexus. Bien souvent, ils n'allaient pas faire la marche jusqu'au fameux marché, et acheter eux même, ils envoyaient des hommes… Alors, que faisait-il ? Bien souvent, ils envoyaient des intendants, des gouverneurs, voir d'autres esclaves. Cependant, dans le cas d'une vierge comme Cassandre, que deux choix. Envoyer une femme non futanari, ou alors, dans le pire des cas, un castrat. Comme ça, les hormones ne risquaient pas de s'activer, et donc, de poser problème.
Mais il restait une troisième solution… Qu'est-ce que c'était ? Et bien, tout simplement… Il fallait l'envoyer. Ainsi, leur de la fête d'anniversaire de la fameuse Melinda Warren, sans doute l'une des personnes les plus importantes et les plus affluentes du monde, dans la Terrible Dictature d'Ashnard (mais si, vous savez, le méchant Dictateur, le Roi Fou (avant Gangrel de FE13), de FE09, Fire Emblem Path of Radiance !), et bien, un cadeau était à l'honneur, pour cette glorieuse fête d'anniversaire. Le cadeau, magnifiquement emballé -on ne rigole pas avec ça, ce n'est pas une fête d'anniversaire de votre petite sœur !- fut ainsi le dernier déballé d'une multitude de cadeaux tous plus glorieux les uns que les autres…
C'est alors qu'on put voir le cadeau… Cassandre. Celle-ci était entièrement nue. Cela mettait en valeur sa glorieuse poitrine, toujours rempli du lait. Non traite depuis trois jours, ses seins étaient presque au bord de l'explosion, débordant de lait, prêt à en donner énormément, tout cela pour que cela soit le plus impressionnant possible. Bien sur, les seins étaient impressionnant, mais ce n'était pas la seule chose qui fallait voir sur le corps de la vachette. D'un grand blanc immaculé, la vachette était parfaitement propre, étant donné qu'on avait tout fait pour qu'elle soit parfaite pour le moment M du jour J à l'heure H. Elle était prête à être consommée, utilisée, et traite, traite, et encore traite… C'était son destin !
Mais ce n'était pas la seule chose… on remarquait qu'elle mouillait énormément. En effet, le carton, ventilé -histoire que la vachette ne meurt pas stupidement de manque d'oxygène, avait fait que le parfum aphrodisiaque avait particulièrement réussi à atteindre les narines de notre pauvre vachette… D'ailleurs, on pouvait voir qu'elle avait les yeux bandées, et un énorme baillon-boule qui empêchait sa bouche de se fermer, et le moindre son trop fort de sortir… Logique ! Le but était que le cadeau reste une surprise jusqu'à la fin. Si la vachette pouvait parler, elle aurait pu vendre la mèche, et diminuer la surprise… Ce qui aurait été quand même extrêmement décevant… Enfin, ce qu'on pouvait dire, c'est que la vachette était bien immobilisée, pour qu'elle ne puisse pas bouger, et faire du bruit, encore une fois, ce qui gâcherait la surprise. Le cadeau était charmant. Comment allait réagir celle qui le recevait ? On ne sait pas, mais en tout cas, la vachette semblait excitée, avec énormément de lait à donner.
HRP ~ Voilà à quoi Cassandre ressemble, sans les tentacules bien sur ~ (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2234926)
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Les doigts de Mélinda ouvrirent le carton, et elle écarquilla les yeux en comprenant rapidement de qui il s’agissait. Dans un coin, il y avait une petite ouverture abritant la tenue de l’Ushi, ses vêtements blancs avec des tâches noires. Car oui, il s’agissait bien d’une Ushi, et, sous l’effet de la stupeur, les yeux de Mélinda s’écarquillèrent. L’Ushi figurait parmi les esclaves les plus onéreux du marché, en raison de leur rareté, mais aussi de la qualité exceptionnelle du lait qu’elles produisaient. Mélinda fut donc frappée par la surprise pendant plusieurs secondes, observant, médusée, ce délicieux cadeau, qui gémissait et soupirait lentement. Elle perçut l’aphrodisiaque dominant dans le carton, qui remonta quand elle l’avait ouvert, et sourit peu à peu, en voyant ce beau visage, ces formes amples, cette poitrine généreuse, et toute cette décoration, tout cet équipement… L’Ushi avait été équipée d’un bandeau noir recouvrant ses yeux, d’un gag-ball, et d’une sangle en cuir retenant ses bras et ses jambes dans une position recroquevillée.
Sans encore la libérer, Mélinda se pinça les lèvres, et retourna son visage vers sa femme, qui souriait également, visiblement très ravie de voir la lueur de bonheur qui se dessinait dans les yeux de la vampire.
« Tu es folle, Vanillia…
- Rien n’est de trop pour toi, Mélinda. Elle s’appelle Cassandre… Elle est vierge, comme tu peux t’en douter. »
Mélinda hocha la tête, et aventura sa main, venant caresser les jambes de Cassandre, remontant sur sa peau, sentant la douceur de sa chair, les gouttes de sueur glissant le long de sa peau. Elle sourit lentement, remontant jusqu’à tapoter de son doigt le gag-ball de cette dernière. Elle appuya alors dessus, et sourit à nouveau, enfonçant ce gag ball contre les lèvres closes de Cassandre, qui soupira encore, faisant cliqueter les sangles qui la retenaient sur place.
« Elle est vraiment magnifique…
- Regarde comme ses seins sont distendus, ses tétons assoiffés… Elle a envie de se faire traire, les Ushis fonctionnent comme ça… »
Cassandre était privée de la vue, mais pas de l’audition, et pouvait donc entendre les deux femmes parler entre elles. Mélinda sourit, et déplaça son doigt, caressant le téton de la femme, glissant sur son sein, tournoyant autour. Elle sentit encore le sang de Cassandre onduler, son ongle pointu filant sur sa peau, grattant cette tendre chair moelleuse… Mélinda remonta ensuite, et posa son doigt sur le généreux téton rose.
« Oui… Les Ushis peuvent jouir quand on les traite bien. »
Et, effectivement, tandis que Mélinda titillait les pointes rosâtres de Cassandre, elle pouvait sentir son sang se concentrer à hauteur de son intimité, délivrant de fines traînées translucides, ce qui ne manqua pas d’amener sur les lèvres de la vampire un nouveau sourire. Sans relâcher Cassandre de sa souffrance, elle ordonna aux livreurs de la retirer. Ces derniers s’exécutèrent, soulevant Cassandre par les aisselles et par les chevilles, et la posèrent sur le sol, hors du carton. Là, le corps de l’Ushi glissa lentement sur le côté, se couchant sur le flanc, et Mélinda s’agenouilla sur le sol, puis caressa ses épaules, glissant ses doigts sur sa peau, grattant sa chair, et remonta jusqu’à son gag ball, qu’elle défit dans un cliquètement.
« Cassandre… » susurra Mélinda dans le creux de son dos.
Sa main se posa sur son mamelon, et elle pinça alors son sein, faisant rapidement fuser du lait, ce qui ne manqua pas de la faire sourire. Cassandre était effectivement à point, visiblement assoiffée. Mélinda s’humecta les lèvres, et se pencha encore, embrassant la joue de l’Ushi, tout en la retournant lentement, la couchant sans trop de problème sur le dos, avec les sangles qui immobilisaient ses membres.
« Je m’appelle Mélinda, et je suis ta Maîtresse, Cassandre… Tu produiras du bon lait pour moi… »
La vampire n’avait pas encore daigné lui enlever ses sangles, et, comme la position de Cassandre ne l’empêchait guère d’accéder à ses seins, elle voulait encore la torturer un peu. Se pinçant les lèvres, la jeune vampire approcha donc son visage de l’un de ses gros seins, tout en étant rejointe par Vanillia, qui s’attaqua, elle aussi, à l’autre sein. Leurs mains se posèrent délicatement sur ses mamelons, et Mélinda les remua, pouvant sentir le lait dessous, qui remuait dans les lobes de son sein. Cassandre en était bien gorgée, et les deux femmes se regardèrent mutuellement, avant de se sourire, l’une en face de l’autre.
« Bon appétit, mon amour…
- Offre-nous ton bon lait, Cassandre… »
Et les deux apposèrent leurs lèvres sur ses tétons, et commencèrent à les sucer énergiquement, faisant jaillir le lait des lobes vers les canaux galactophores, où le liquide blanc rejoignit ensuite les tétons… Pour se diffuser dans les petites bouches gourmandes de Mélinda et de Vanillia.
« Hmmm… »
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Tant de plaisir… Masochiste comme elle était -mais elle ne s'en était pas encore totalement rendue compte, notre vachette n'attendait qu'une chose… Que ses tourments continuent. Qu'elle soit une vachette utilisée et appréciée… N'était-ce pas sa vie ? La vie parfaite ? Peut-être était-ce cette aphrodisiaque qui était trop puissant… Ou bien était-il diablement efficace pour dévoiler le côté cachée de la vachette ? Mmh… C'était une bonne question. Quoiqu'il en soit… Ce qu'elle voulait n'avait aucune importance, étant donnée qu'elle n'était qu'une esclave ! Pire encore, un cadeau, réduite vulgairement à un simple objet, valant extrêmement chère, et faisant ainsi un très très bon cadeau, n'est-ce pas ?
« Tu es folle, Vanillia…
- Rien n’est de trop pour toi, Mélinda. Elle s’appelle Cassandre… Elle est vierge, comme tu peux t’en douter. »
Comme ce fut très bien remarquée précédemment, la vachette pouvait parfaitement entendre tout ce qui se passait autour d'elle. Pourquoi ce choix ? Et bien, tout simplement car c'était BEAUCOUP plus drôle ainsi. En effet, l'Ushi ainsi ne pouvait rien faire, mais pouvait entendre tout ce qu'on disait sur elle, toute l'excitation que les paroles pouvaient lui donner… Bref, vous imaginez le résumtat ? Un truc… énorme. La vachette pouvait presque en être folle. Surtout que Mélina n'hésitait pas à passer ses mains sur son présent, ce qui excitait la vachette… Tellement de bonheur…
« Elle est vraiment magnifique…
- Regarde comme ses seins sont distendus, ses tétons assoiffés… Elle a envie de se faire traire, les Ushis fonctionnent comme ça… »
Oui ! Vite ! Elle ne voulait pas réclamer… Mais elle n'avait qu'une envie… Qu'on la trait. Vite ! Qu'on la trait… C'était urgent… Mais pour le moment, visiblement, ce n'était pas encore le moment, étant donnée qu'elle restait toujours baillonnée… Oh ! En effet, alors qu'elle avait déclaré ceci, la vachette fut attrapée. Elle put ainsi sortir du carton, bien qu'elle n'avait aucune idée de ce qui était entrain de se passer, ne voyant rien. Sortant du carton où elle avait été enfermée pendant bien trop longtemps (ou pas assez), elle se retrouva sur le sol, mais toujours bien incapable de bouger, étant donnée qu'elle était toujours attachée bien solidement. Elle sentait les mains de sa maîtresse passer sur son corps, et finalement, après un long moment, détacha le baillon-boule, ce qui déçu presque la vachette, de ne plus rien avoir dans sa bouche… Mais au moins, cela lui permettait de parler, et de répondre aux déclarations de sa maîtressse :
« Cassandre… »
« Maî… Maîtresse… ? »
« Je m’appelle Mélinda, et je suis ta Maîtresse, Cassandre… Tu produiras du bon lait pour moi… »
« Oui… Beaucoup de lait… Aah... »
Enfin libre de son baillon, notre vachette pouvait de nouveau parler, ce qui était bien avantageux si on voulait savoir un peu plus sur son état… Cependant, ses déclarations restaient… Comment dire… Quelques peu difficiles, étant donné qu'elle n'avait toujours pas pu véritablement résister à l'aphrodisiaque.. Excitée comme une folle, elle parlait de ce qu'elle connaissait le mieux, en toute logique : son lait. Sa raison d'être dans ce monde, et sa raison d'être dans ce manoir, plus précisément… Elle avait devant elle, mais ne pouvait pas voir, sa maîtresse. Mélinda Warren. Elle ne savait pas à quoi elle ressemblait, mais elle avait une excellente odeur, qui mouillait encore plus son intimité vierge et non protégée.
« Bon appétit, mon amour…
- Offre-nous ton bon lait, Cassandre… »
« Aaah… Merci… Maîtresses... »
Bien sur, le lait put couler à flot… Ses seins, parfaitement remplie, donnait un excellent lait, sucrée et bien agréable à la bouche… Cette Ushi était réputée pour la qualité de son lait, d'où son prix assez important sur les marchés. Mais visiblement -et c'est relativement logique- rien n'était de trop pour une maîtresse comme Mélinda Warren. Pour ce qui est de notre Ushi… Et bien, elle était extrêmement contente. Enfin, son lait était prélevée. Enfin, on lui permettaient de pouvoir être libre de ce lait, qui était une bénédiction pour les autres, mais pour les Ushi, cela nécessitait quand même le besoin d'être traite régulièrement. Le lait, ainsi, était excellent, et arrivait rapidement, pour que les maîtresses, celle qui étaient entrain d'en profiter, puisse en boire le plus possible… pendant que la vachette gémissait de plaisir, et délirait presque en déclarant :
« C'est si bon… Utilisez-moi, enfermez-moi… Aah... »
L'aphrodisiaque était visiblement puissant… Car notre vachette en perdrait presque la tête, et commençait à dire tout ce qui lui donnait envie… Encore une fois, on sentait son côté masochiste qui prenait le dessus, avec le fait qu'elle était bien toujours attachée. Pourquoi une telle excitation ? Et bien, en petit cadeau supplémentaire, elle avait ingurgité une certaine quantitée d'aphrodisiaque, pour que celle-ci soit bien excitée au moment clef, son arrivée. De plus, il parraissait que cela rendait le lait meilleur… Bref, on pouvait voir que ce cadeau allait très certainement être extrêmement appréciable… Tant mieux ! Après tout, on apprécie les cadeaux… Surtout quand ceux-ci étaient aussi plaisant, mais qu'on pouvait, une fois qu'on avait fini de jouer avec, facilement les ranger au placard, n'est-ce pas ? Bref, voyons-voir ce que notre nouvelle maîtresse avait prévue avec son jouet à corne…
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Qu’est-ce qui rendait le lait d’une Ushi si bon ? C’était difficile à dire. Pour beaucoup, ce n’était que du snobisme, et le lait d’Ushi avait une valeur onéreuse sur le marché parce qu’il venait d’une esclave, mais, pour le reste, était similaire au lait produit par n’importe quelle vache laitière. Une telle analyse était cependant tronquée par bien des études et des examens comparatifs de différents laits. De plus, il était prouvé que le lait d’Ushi comprenait des éléments aphrodisiaques, et que prendre le lait directement à la source était bien plus stimulant que de le prendre dans une bouteille. Mélinda et Vanillia se servirent donc, et, rapidement, le lait afflua considérablement.
« Mmmhmm…
- Hmmm… »
Chacune des deux femmes suçait les tétons de la jeune femme, et, en suçant, ells faisaient jaillir le lait, mordillant également les tétons de Cassandre. La belle Terranide-vache se mit à gémir, se tortillant lentement sur place, faisant cliqueter ses liens et ses chaînes, tout en sentant le plaisir éclater en elle. Ses seins étaient distendus, vu que personne ne l’avait trait depuis plusieurs heures, et, outre le plaisir naturel de la traite, ou celui de sentir des bouches jouer sur ses seins, il y avait aussi le plaisir supérieur de sentir la douleur partir. Cassandre avait donc toutes les raisons du monde d’être heureuse, et ce d’autant plus que, chez les Ushis, les seins étaient une zone érogène encore plus prononcée que chez les humains.
Mélinda, donc, se régalait. Yeux clos, elle suçait vigoureusement ce sein, sentant le lait affluer, tapant contre sa gorge pour filer dans ses intestins, la faisant doucement chauffer de l’intérieur. Ses jambes remuèrent faiblement sur le sol, et elle émit plusieurs nouveaux soupirs. Quant à Vanillia, elle était une femme hermaphrodite, ce qui fit que Cassandre put sentir, contre sa cuisse, une virilité caresser sa peau, se dressant lentement sur sa peau nue. Les deux vampires continuaient à la pomper, encore et encore, comme si Cassandre avait un flux intarissable de lait.
« Haaaa… »
Les deux beautés cessèrent brusquement, libérant les seins rougis de l’Ushi, et s’embrassèrent vigoureusement, leurs bouches débordant de lait. Leurs langues vinrent remuer ensemble, dans une longue étreinte buccale sensuelle, tout en pinçant entre leurs doigts les tétons de Cassandre, faisant éclater du lait sur leurs joues. Elles s’embrassèrent ainsi fougueusement pendant quelques instants, puis retournèrent ensuite s’attaquer aux seins de Cassandre, se régalant de son lait délicieux, mais aussi de ses gémissements.
Étant des vampires, elles perçurent l’excitation sanguine de l’Ushi, et réagirent en conséquence. Mélinda déplaça sa main entre les jambes de la jeune femme, et caressa avec ses doigts son intimité. Assez rapidement, les doigts de Vanillia la rejoignirent, et, ensemble, elles s’amusèrent à la doigter, sentant leurs doigts s’imbiber de la mouille de la jeune femme. Et, tandis que Mélinda continuait à boire, elle-même laissa parler son hermaphrodisme… Et sa belle culotte rose se déforma par son appendice sexuel, un phallus venant pointer le bout de son nez, et caressant les cuisses de Cassandre.
Cassandre allait commencer son existence d’Ushi dans un superbe orgasme…
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Que de plaisirs à se faire têter… S’il y avait une chose que les Ushis aimaient… C’était bien la traite. Faut dire, elles étaient conditionnées pour apprécier cela… Et puis, une Ushi qu’on ne trayait pas, qu’on forçait à rester comme ça, et bien, elle avait de grandes choses qu’elle finisse par se tordre de douleur, et tente de presser ses seins de toutes les manières possibles, pour qu’elle puisse enfin se débarasser de ce lait, qui était une bénédiction… Mais parfois, une malédiction pour ses pauvres vachettes ; Une manière de torture des Ushi désobéissante était justement de ne pas les traire, pendant un long moment, et se délecter de leur souffrance… Bien sûr, Cassandre allait tout faire pour être une adorable vachette et ne jamais avoir à être punie… Mais le destin d’un esclave était bien souvent plus complexe…
Bref, passons sur ce point, et admirons… En effet, Mélinda Warren, et sa femme, étaient toute deux entrain de profiter du lait de la vachette. Zone la plus érogène de son corps, sans aucun doute, la vachette était entrain de prendre son pied, et d’apprécier fortement son traitement… Son lait coulait à flot, comme un flot intarissable, Cassandre ayant la chance d’arriver à parfaitement mettre ensemble qualité et quantité. Non qu’elle était la meilleur Ushi de tout Nexus, ou même de tout Terra, mais sans aucun doute, elle se classait parmi les meilleurs. Heureusement, si cela était un grand plaisir pour l’esclave, cela l’était aussi pour les deux femmes… Mais sans doute que l’excitation, pour le moment, était la plus grande chez Cassandre… Ou peut-être pas… Regardons, si vous le voulez bien.
En effet, le phallus de la femme de Mélinda, était en pleine érection, et se frottait contre la jambe de notre Ushi… Cela se couplait bien avec la mouille, la cyprine, qui commençait à être abondante chez notre vachette, qui se trémoussait avec difficultés à cause de son cadenassage qui l’empêchait de faire quoique ce soit, d’autres qu’un maigre tremblement, qui, devant son impuissance, ne devait qu’exciter encore plus sa nouvelle maîtresse. L’Ushi n’avait qu’une envie : qu’on la satisfaite… Mais malheureusement, cela ne semblait pas le moment. Une fois satisfaite, les deux femmes quittèrent les seins de l’Ushi, pour s’embrasser, laissant la vachette et son excitation de côté… Excitation qui ne faisait que croitre…
Heureusement, notre maîtresse était une femme clémente et bonne -dans les deux sens du termes, d’ailleurs-, et elle, comme son amante, retournèrent sur la vachette… D’abord, ce fut les doigts… en effet, alors que les deux maîtresses étaient de retour sur la vachette, toujours enchaînée, et ne pouvait rien faire de bien particulier, mise à part « subir », et apprécié cela, et bien… Les doigts des Warren commencèrent à se faire plaisir, caressant l’intimité de l’Ushi, qui ainsi, sentait l’excitation augmentée… Elle avait chaud, très très chaud, il fallait bien le dire. Elle haletait presque… On pouvait félicité l’aphrodisiaque, qui avait été véritablement efficace sur la vachette, très certainement à cause de dose importante, et par le fait que cette dernière était vierge, donc, ne connaissait en rien ce qui était entrain de lui arriver. Et d’ailleurs...
C’est alors qu’apparut, au niveau de l’entrejambe de sa maîtresse, un très beau phallus, visiblement prêt à l’utilisation. Celui-ci vint se frotter au niveau de l’entrejambe de la vachette, toujours bien exposée, ne demandant qu’une chose : être véritablement pénétrée, que sa nouvelle maîtresse puisse la « marquer » autrement qu’au fer rouge, si vous voyez ce que je veux dire… bref, en tout cas, la vachette était entrain de meugler d’excitation :
« Meuh… Meuh <3... »
La vachette était bien excitée, mais il n’y avait rien à faire, elle était toujours bien bloquée par ses chaines… D’ailleurs, cela ne la dérangeaient pas plus que ça. Elle aimait comme ça, être immobilisée, prête à être utilisée comme l’objet qu’elle était… Enfin, la vachette. De l’autre côté, il était classique que les vachettes et les esclaves en général soient considérés comme des objets… Donc, on pouvait dire que c’était pas si étonnant qu’elle y soit jabituée, qu’elle y ait été préparé… Bref, notre vachette attendait l’engin de Mélinda, tout en regardant celui de la femme de cette dernière. Qu’allait-elle faire avec ? D’ailleurs qu’allait faire exactement Mélinda ? L’excitation était telle qu’elle pensait que quoiqu’il arrive, cela allait faire énormément de bien… Mais pour tout dire, il fallait bien comprendre que dans les faits, et bien… Notre vachette n’avait aucune idée de ce qui allait se passer… Attend un peu, tu vas apprécié, je te l’assure, ma chère Cassandre…
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Cassandre était en train d’être magnifiquement traitée, et son intronisation au sein du harem ne faisait que commencer. Les doigts de Mélinda se recouvraient de mouille, son délicieux nectar, pendant qu’elle continuait à boire son lait, ayant de plus en plus de mal à se retenir. Devenue très dure, sa queue lui faisait furieusement mal, tant elle l’élançait. Il fallait bien admettre que le lait de l’Ushi était aussi bon qu’aphrodisiaque, et, comme Cassandre n’avait pas été traitée, d’épaisses quantités de lait venaient remplir les gorges des deux puissantes vampires, de telle sorte que, pour elles aussi, les simples caresses digitales devenaient bien insuffisantes pour épancher leur grandissante soif.
Mélinda se redressa donc finalement, et observa brièvement Vanillia. Leurs membres en érection se frottèrent ensemble, glissant doucement l’un contre l’autre. C’était un contact que Mélinda avait tendance à apprécier, et elle s’amusait à frotter sa queue en érection contre celle de sa femme. De fait, quand elle fit cela, son propre sexe vint à se redresser, émettant quelques ondes de douleur qui se répandirent dans son être.
« Hmmmm... »
La vampire se pinça une nouvelle fois les lèvres, puis se positionna devant le corps de l’Ushi, posant chacune de ses mains sur ses jambes. Elle caressa sa peau, glissant jusqu’à ses pieds, et son corps fila vers l’avant, son sexe effleurant celui de sa jeune esclave. La trompe se heurta à cette faille luisante, très humide. Quant à Vanillia, elle alla se placer de l’autre côté, la tête de l’Ushi filant entre ses jambes, ses mains venant caresser chacune de ses joues, ses deux pouces titillant la bouche de leur proie. Elle caressa ainsi les lèvres de la belle, enfonçant ensuite délicatement ses doigts dans sa bouche. Elle décrivit ensuite des cercles avec ces derniers, puis gloussa lentement, et les éloigna.
Vanillia agrippa ainsi son sexe d’une main, l’autre se posant sur le menton de la jeune femme, redressant un peu son visage, amenant Cassandre à s’appuyer sur le sol avec le sommet de son crâne, surélevant ainsi un peu sa bouche, dont les lèvres vinrent lécher l’extrémité du phallus de Vanillia.
« Haaaa... Suce-moi bien, ma chérie... »
Naturellement, les deux vampires se répartissaient joyeusement la tâche. Cassandre avait un corps généreux, qui méritait bien d’être exploré à deux... Et même plus. Depuis sa position, Mélinda n’avait en effet nullement oublié les seins de Cassandre, et fit signe à deux de ses meilleures esclaves d’approcher. Deux sœurs s’approchèrent ainsi, se substituant aux vampires pour venir ponctionner le lait aux seins de Cassandre, White & Rose (http://orig04.deviantart.net/b67e/f/2016/179/0/e/howler_and_nadia_by_owlerart-da7znr5.png). Aussi belles que talentueuses, elles s’empressèrent d’aller ce délicieux lait.
Ce fut ensuite au tour de Mélinda de parfaire la situation, ce que cette dernière ne tarda nullement à faire, en enfonçant sa verge dans l’intimité de l’Ushi. Un soupir de plaisir s’échappa fort logiquement de ses lèvres, et elle commença doucement à remuer. Cassandre se retrouvait ainsi avec quatre femmes s’occupant de son corps, deux jouant avec ses seins, une enfonçant sa queue dans sa bouche, et l’autre la pénétrant.
Quelle meilleure manière pouvait-on trouver pour intégrer un harem ?
« Haaaa, ma petite Cassandra, ta chatte est... Vraiment merveilleuse ! »
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Quel bonheur ! Quel plaisir ! Quel fantasme ! Notre vachette, toujours solidement attachée, était ainsi le cadeau parfait pour ce harem, littéralement une petite esclave, une Ushi, capable de tout subir, et qui en plus, en contrepartie, donnait du lait… Si ce n’était pas merveilleux ? Elle donnait, et donnait encore. Mais bien sur, visiblement, ses maîtresses avaient décidés que cela méritaient aussi en grande partie à recevoir… N’est-ce pas ? Visiblement, c’était bien ce qu’elles avaient décidés, vu que les maîtresses étaient maintenant au niveau de la vachette et n’était pas à prendre leur lait… Mais à leur offrir « leurs » lait. Si vous voyez ce que je veux dire… Quoi ? Non, vous ne voyez pas ? Mais mes amis, il faut tout vous expliquer, bon sang de bonsoir ! Alors...
Et bien la vachette était maintenant prête à être utilisée des deux côtés… En effet, alors qu’elle avait été pour le moment seulement utilisée par les bouches de nos deux maîtresses, des deux femmes Warren, ses dernières décidèrent d’utiliser d’autres organes sur la pauvre et heureuse vachette, qui allait sans doute ainsi découvrir un très grand plaisir… De toute façon, elle ne pouvait y échapper. Aussi bien mentalement, condtionnée par le fait qu’elle était une esclave, et qu’elle était sous l’emprise de ses aphrodisiaques, qui en gros, ne faisaient que lui chuchoter dans ses oreilles « Oui… Prend du plaisir… Aime ça... »… Tandis que physiquement, son magnifique bloquage était bien toujours présent, la transformant presque, pour notre plus grand bonheur, en sextoy vivant. Un très beau sextoy vivant. Le plus agréable… Il donne même du lait !
« Haaaa... Suce-moi bien, ma chérie... »
Chose demandée, chose reçue ! La vachette ouvrit amoureusement la bouche, et accepta ce merveilleux présent… Elle commença à sucer, bien activement, bien qu’on pouvait dire, sans aucun doute que le tout était plutôt… Maladroit. Elle ne savait pas encore bien faire, elle avait encore visiblement beaucoup à apprendre dans ce domaine… Ce n’était pas catastrophique, et sans aucun doute, on pouvait apprécié, mais elle devait avoir plus d’expérience, plus l’habitude d’utiliser la bouche… D’ailleurs, chose qu’elle n’allait très certainement pas avoir du mal… Car elle prenait son pied. Elle adorait le fait, comme ça, d’avoir sa bouche remplie, martyrisé, utilisée… Elle voulait que ça soit encore plus gros, plus présent dans sa bouche… Elle rêvait presque qu’elle reste comme ça, la bloquant… Être traite, mais recevoir ce plaisir en échange, par des dizaines, et des dizaines de gens… Quel délice !
Pendant ce temps là, « l’autre bouche » de Cassandre attendait toujours… Mais, n’oubliez pas ce que l’on dit : « Tout vient à point qui sait attendre ! » Et bien, cela marchait aussi pour le plaisir… Alors que la vachette était ainsi entrain de sucer la queue, pour la première fois de sa vie, et commençait déjà à en devenir addict, son vagin fut alors pénétrée par sa maîtresse… Son sexe découvrit alors la joie de se faire pénétrer. Bien sur, on ne put échapper au sang, obligatoire après que son hymen se fut brisée par l’imposant phallus de sa nouvelle Maîtresse… Mais quand même ! La vachette poussa un profond gémissement de plaisir, mélé à un poil de douleur, quand le pénis profita de son vagin… Et bien, on pouvait dire qu’elle n’était pas la seule à prendre du plaisir, car en effet, sa maîtresse déclara :
« Haaaa, ma petite Cassandra, ta chatte est... Vraiment merveilleuse ! »
« Mmmh...! Meuuuh ! »
Le plaisir était intense… Sans aucun doute, notre vachette était au paradis. Sans doute très liée à l’abus d’aphrodisiaque, celle-ci ne semblait que chercher à recevoir du plaisir, quitte à abandonner son vrai caractère, son honneur, et tout ce qu’elle pouvait avoir, tant qu’elle pouvait être pénétrée et traite… Mais après tout, était-ce si étonnant ? Nous avions affaire à une vachette… Une simple vachette, une créature extrêmement peu intelligente, enfin, ce que les gens considéraient… Ce n’était pas totalement vrai… Mais dans le cas de Cassandre… Meh. On pouvait dire que si, c’était bel et bien vrai, et qu’elle était moins intelligente. De toute façon, sans doute très liée à son aprhodisiaque, elle était entièrement d’accord : elle était tout à fait prête à être utilisée, ainsi, pour toujours, tant qu’elle avait du plaisir… Mais qu’allait penser les deux femmes Warren ? Cela était une question très intéressante…
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Vanillia était vraiment digne d’être la femme de Mélinda, car elle avait pensé à tout. En effet, non seulement avait-elle offerte à sa femme une magnifique Ushi, mais, en plus, elle lui en offrait une qui soit vierge. Vanillia savait en effet combien Mélinda aimait ça. Le plaisir immense qu’on ressentait à pénétrer une vierge était indescriptible, non seulement pour la symbolisme du geste, mais aussi pour le fait de sentir le sang virginal de la douce colombe caresser son membre. C’était pour ses raisons que Mélinda prenait toujours la virginité de ses esclaves, laissant à Vanillia la virginité anale. Mine de rien, sa femme était une sodomite plus grande encore qu’elle, mais, pour l’heure, se contentait de la délicieuse bouche de l’Ushi. Soucieuse de bien faire, cette dernière suintait le plaisir de part en part, de la tête aux pieds. Avec le harnais de cuir immobilisant ses bras et ses jambes, elle ressemblait véritablement à un sex-toy animé, magnifique allégorie de ce que son destin, maintenant, allait être.
Mélinda grognait et soupirait en sentant les parois internes de Cassandre se heurter à son sexe. Se forcer un passage n’était pas une chose aisée, et elle devait s’y reprendre à plusieurs reprises, soupirant lourdement, remontant tendrement d’avant en arrière. Sa queue frottait contre la chatte de l’Ushi, forçant progressivement le passage, baignant dans la mouille de la jeune femme.
« Haaaa... Ouiiii, hmmmm... »
C’était... C’était bon, tout simplement. De magnifiques sensations la traversaient, une joie indicible qui s’exprimait en elle au fur et à mesure qu’elle remuait dans l’organisme de la belle Ushi. Rien n’était épargné à la jeune femme, et la belle meuh-meuh se tortillait sur place. White & Rose, elles, continuaient à doucement boire, avec un insatiable appétit. Les seins de Cassandre étaient ainsi paradoxalement en train de se dégonfler, du fait de la disparition progressive de ses réserves de lait, et de se durcir, du fait de l’excitation intense qu’elle ressentait. Quatre belles femmes s’occupant de son corps, il fallait bien admettre que ce n’était pas rien !
Vanillia, quant à elle, était également très affairée à pénétrer la belle bouche de son Ushi, et s’amusait à effectuer quelques brèves gorges profondes, en tenant le menton de Cassandre, et en poussant dessus. Elle agissait plus délicatement que Mélinda pour le coup, préférant savourer le moment, et ressentait, contre son phallus dressé, les coups de sa femme. Son regard oscillait entre le visage partiellement dissimulé de Cassandre, et le corps de sa femme, magnifique beauté qui ondulait dans sa tenue rose, ses joues rougies par l’effort, mains posées sur l’intérieur des cuisses de Cassandre, et se penchant de plus en plus.
« Hmmmmm... Haaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaannn...
- Tu es si belle, ma chérie, hmmm... »
Usant de la position particulière de l’Ushi, Mélinda se pencha en avant, courbant son corps vers le devant, et partagea avec Vanillia un tendre baiser, ardent et sec, leurs langues remuant ensemble pendant quelques secondes, faisant se crisper le corps de Cassandre. Mélinda se recula ensuite, et recommença ses coups de reins, de haut en bas.
Sous ce régime, Mélinda ne tarda plus à jouir, et, dans un ultime cri, répandit des filaments de foutre dans le corps de Cassandre. Vanillia, de son côté, n’avait pas encore joui, ce qui, au demeurant, ne la dérangea pas plus que ça, et les quatre femmes, après l’orgasme de Mélinda, délaissèrent provisoirement le corps de cette dernière. Reprenant son souffle, Mélinda voyait du liquide intime s’écouler de la chatte de l’Ushi, et, enfin, entreprit de lui retirer ses liens. Le harnais partit, et la femme se retrouva couchée sur le sol, puis Mélinda, en souriant, se coucha contre elle, glissant ses jambes contre les siennes, et retourna fourrer la chatte de l’Ushi avec sa queue, tout en retirant son bandeau.
La première chose que Cassandre vit fut ainsi le beau visage de sa Maîtresse, en train de reprendre ses coups de reins, sur un rythme plus doux et plus sensuel que préalablement. Avec l’une de ses mains, elle pinça l’un des seins de l’Ushi, et, avec l’autre, caressa ses lèvres, puis l’embrassa tendrement.
« C’est moi, Cassandra... Ta Maîtresse. Est-ce que... Hmmm... Est-ce que tu m’aimes ? »
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Tant de femmes sur elle… Dois-je préciser qu’elle avait déjà jouie une fois… ? Oui, je dois préciser, étant donné que je ne l’ai pas dis précédemment. Bref, les mains, les phallus… Tout sentait le professionnalisme, montrait bien que nos amantes avaient parfaitement maitrisé le corps humain, et donc, étant assez proche, le corps de la vachette… Et savait parfaitement comment lui donner du plaisir. Cela se voyait que notre vachette était ainsi rentrée dans ce qui était un magnifique Harem… C’était donc un magnifique véritable bonheur constant qui était donc offerte à la vachette… Elle suçait, se faisait pénétrer, et traire, ainsi, ses seins continuaient de donner du lait, perdant un peu de leur volume excédentaire qu’ils avaient gagnés pendant le voyage sans traite. Et n’oublions pas, évidemment, le vagin de la vachette, qui était empalée avec grand plaisir, découvrant ainsi les joies du sexe… Et visiblement, cela plaisait à sa maîtresse…
« Haaaa... Ouiiii, hmmmm... »
Son corps était balloté, utilisé, presque martyrisé… Mais cela n’avait aucune importance. Car il y avait ce plaisir. Ce si grand plaisir. Cela était tellement… Agréable ! Elle était tellement heureuse… Que dire de plus ? A part décrire bien sur ! Ainsi, alors que ses seins et son vagin étaient complètement utilisée, et faisaient leur travail avec efficacité, la bouche de la vachette commençait à prendre l’habitude de ce traitement si violent, mais pourtant, si agréable. Bien sur, la bouche de la vachette n’était pas sa zone la plus érogène, mais elle prenait un grand plaisir, au passage du phallus de la très belle femme qui avaient décidé d’en faire un cadeau pour sa femme, phallus qui n’hésitaient pas d’ailleurs à parfois s’aventurer relativement profondément en la vachette… Cela était un plaisir intense, et visiblement, elle n’était pas la seule à aimer ce plaisir qui l’irradiait avec tant de bonheur :
« Hmmmmm... Haaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaannn...
- Tu es si belle, ma chérie, hmmm... »
Cassandre ne pouvait toujours rien voir, mais elle y croyait avec grand plaisir, tandis qu’elle sentait son fondement se faire remplir d’un sperme bien chaud, qui l’irradia de plaisir, lui donnant une nouvelle jouissance. A l’inverse, sa bouche n’avait pas encore reçue se divin nectar, et malheureusement pour la vachette, sa bouche retrouva la liberté, laissant un profond sentiment… De vide. Oui, c’est bien ça. De vide pour la vachette, au niveau de la bouche. De plus, comme si la partie était terminée, elle fut libérée de son emprisonnement, libérant ses membres engourdies par le voyage. Incapable de se lever, haletant de plaisir, bref… Le bonheur absolu, mais incomplêt… La vachette était maintenant libre, mais toujours grandement sous l’influence des aphrodisiaques… Quand soudainement, elle retrouva la vue, la lumière attaquant violemment ses yeux, après tant de temps passer dans l’obscurité, elle put voir sa maîtresse… Et entendre ainsi sa déclaration… Enfin, ce n’était pas grâce à la libération des yeux… M’enfin, vous me comprenez !
« C’est moi, Cassandra... Ta Maîtresse. Est-ce que... Hmmm... Est-ce que tu m’aimes ? »
« Meuh… Je vous aime ! Vous êtes ma maîtresse… Quel plaisir... »
Elle regardait sa maîtresse… Une si belle femme… C’était un peu comme une découverte, comme un aveugle qui pour la première fois de sa vie pouvait voir… De plus, lié aux aphrodisiaques, cela renforçait l’effet… Bref, en un mot comme en cent, ce fut le véritable coup de foudre. Et c’était repartit ! En effet, alors que sa maîtresse avait déclarée cela, elle continuait de nouveau des vas et viens, qui étaient cependant légèrement plus doux que précédemment… Bien que le tout restait extrêmement erotisant, et extrêmement satisfaisant pour la vachette… Sentant son vagin, empli de sperme, continuer à se faire pénétrer, avec un bon vas et viens très satisfaisant… On pouvait dire que pour la vachette, c’était un véritable paradis. D’ailleurs, le plaisir continuant d’augmenter, comme cela, sans aucune interruption, notre vachette, la bouche étant toujours libre, laissa échapper, en même temps que son corps et son esprit atteignait le septième ciel :
« Meuuuuuuuuuuuh ! »
Une nouvelle jouissance ! Son corps venaient de jouir presque trois fois en si peu de temps, montrant bien l’inexpérience de la vachette en ce domaine, et surtout… Le magnifique traitement qu’elle recevait. Amorphe mais emplie de plaisir, la vachette était entrain de rêver de ce traitement, ainsi, tout les jours, tandis que ses seins, semblant presque intarissable, continuait de donner du lait, montrant le talent et la préciosité de notre vachette… Sa capacité quasi sur-naturel à continuer à donner ce merveilleux et très bon lait. Bref, la vachette regardait sa nouvelle maîtresse, maintenant libre… Mais en même temps, paradoxalement, maintenant, entièrement captive. Cela avait été son baptême de sa vie d’esclave, et sans aucun doute, le début d’une excellente vie. On allait apprécié la continuation, car après le baptême, il y a Confirmation… N’est-ce pas ?
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Mélinda était en train de prendre un pied incroyable avec l’Ushi. Ce n’était pas tous les jours qu’on lui faisait un tel cadeau, et elle ne tenait pas à le laisser passer. Cassandre était une jeune Terranide aussi belle qu’endurante, et, pour son malheur, le fait de produire autant de lait avait sensiblement stimulé la libido de Mélinda, qui se montrait particulièrement insatiable. Et puis, Cassandre était son cadeau, alors il était bien normal qu’elle l’honore longuement et joyeusement. Elle remuait lentement en elle pour l’heure, accélérant doucement le rythme, se délectant des meuglements de l’Ushi. Mélinda soupirait, et n’hésita pas, venant embrasser la jeune Ushi dans le creux du cou, à la titiller. Du lait coulait encore contre sa main, et elle se régalait des meuglements de la jeune Ushi. Elle se tortillait sur place, la queue de sa Maîtresse continuant à tendrement s’immiscer en elle, s’insinuant sensuellement et longuement.
« Oh, Cassandre, ma belle Cassandre, hmmm, tu… Tu es si bonne, ma chérie, ma vachette d’amour… »
La vampire continuait à la bourrer, tendrement. Cassandre venait encore de jouir, mais la belle n’en était encore qu’au début. Les Ushis bénéficiaient d’une endurance exceptionnelle, surtout en matière sexuelle, et l’Uhsi était à la hauteur de leur réputation. Mélinda continuait à la bourrer, avec amour, mais, plus elle agissait, et plus elle sentait une nouvelle forme de soif la traverser. Sa langue léchait la peau de la jeune femme, et ses dents se posèrent sur elle, formant un délicat suçon.
Mélinda ne parla plus, et mordit alors, en plantant ses canines. En perçant la chair de la jeune Ushi, une douleur allait sûrement la traverser, mais elle disparaîtrait bien vite, compensée, non seulement par la verge de sa Maîtresse en train de la prendre, mais aussi par ce sentiment euphorique que la succion, quand elle était bien faite, pouvait provoquer.
« Hmmm… Mmmhmmmm… »
Ah, le délicieux sang d’une Ushi ! Un sang plein d’énergie, plein de vitalité… Si fort, si vibrant ! Il était plein de tonus, comme une sorte d’étonnant mélange entre le sang et le lait. Mélinda gémissait langoureusement, et d’autres femmes se rapprochèrent alors. White et Rose ne comptaient pas rester inactives, car elles attrapèrent les bras de Cassandre, et les posèrent sur le sol, sans rien dire, mais en souriant gentiment.
Leur Maîtresse continuait à pénétrer Cassandre, avalant lentement son sang, car il était tellement bon qu’il méritait d’être longuement savouré, et non pas bu hâtivement. Elle l’avalait donc, provoquant plusieurs bruits de succion, pendant que ses deux magnifiques esclaves se saisirent des affaires de Cassandra, à savoir ses longs gants et collants noirs et blancs. Elles avaient immobilisé ses bras pour pouvoir, toutes les deux, enfiler les gants. L’Ushi n’avait qu’à se laisser faire, et à pousser ses soupirs et ses adorables meuglements. Les gants lui firent donc mis, sous les regards amusés et enthousiastes des deux esclaves.
« Elle a vraiment de magnifiques mains…
- Et son lait… Ha, je sens qu’on va beaucoup s’amuser avec elle ! »
Elles n’avaient toutefois pas fini, car les deux femmes, tout en relâchant les mains de Cassandre, et en ne manquant pas, cela allait de soi, de les embrasser et de les lécher, pour les poser ensuite sur le corps de leur Maîtresse. White se pencha même vers l’oreille de Cassandre, venant glisser à l’Ushi quelques conseils :
« N’hésite pas à lui palper les fesses, ma chérie… »
Les deux esclaves attrapèrent ensuite les bottes, mais y allèrent l’une après l’autre, soulevant et maintenant l’une des jambes pendant que l’autre glissait le collant. La première des sœurs tirait ensuite sur le collant, le remontant le plus loin possible, et celle qui était à la base du pied terminait en déposant un baiser dessus. Elles s’attaquèrent ensuite à la seconde jambe, et, tandis qu’elles s’affairaient, Mélinda continuait à boire.
Quand Cassandre fut finalement bien habillée, White et Rose s’écartèrent, et Mélinda rompit finalement la succion. Elle lécha le cou de l’Ushi, et alla l’embrasser tendrement, plaquant ses lèvres contre les siennes.
« Tu es maintenant définitivement mon Ushi, Cassandre… »
Et elle l’embrassa encore, tendrement, fourrant sa langue dans sa bouche, sa queue toujours nichée en elle. Avoir bu son sang avait néanmoins considérablement excité Mélinda, qui commença à la bourrer sévèrement, enfouissant sa queue en elle, encore et encore, tout en continuant à la pénétrer durement…
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Pour le moment, tant mieux pour Cassandre, le vas et viens restait relativement… Doux. Mais ce n’était qu’une question de temps, étant donné que la fameuse vachette commençait déjà à sentir le pénis s’accélerer en son être… Cela lui donnait encore plus de plaisir, et elle commençait déjà à apprécier cela à un point quasi intense… Elle ne voulait qu’une chose, que cela continue, et surtout, que cela ne s’arrête pas… Peu à peu l’accélération se faisait de plus en plus intense, rendant que plus excitant les mots de la vampire, maîtresse de Cassandre :
« Oh, Cassandre, ma belle Cassandre, hmmm, tu… Tu es si bonne, ma chérie, ma vachette d’amour… »
On pouvait remercier, en effet, l’endurance des Ushis ! Et il y avait une chose à dire : notre fameuse Cassandre était bien destinée à une être bonne baiseuse… Enfin, une bonne à être baisée… C’était sa première fois, mais malgré cela, elle tenait parfaitement, et continuait à suivre le moment, malgré avoir déjà jouie plusieurs fois… Peut-être était-elle un peu trop sensible… ? Mmh… Sur ce point, cela était totalement possible. Après tout, elle avait déjà jouie plusieurs fois, alors que cela ne faisait que commencer, et ce n’était pas prêt de se terminer… Mais de l’autre côté… Tant qu’elle tenait, on s’en fichait, n’est-ce pas ?
C’est alors qu’elle se fit mordre… Elle poussa un véritable glapissement de douleur, et celle-ci irradia un bon moment dans tout le corps de la vachette… Mais peu à peu, le plaisir était telle, qu’elle en oublia la douleur, et le fait qu’elle était littéralement entrain de se faire boire le sang, littéralement étant le mot. Qu’importe la douleur, les vas et viens qui accélérait en elle, la permettait d’oublier littéralement la douleur, et de ne vouloir qu’une seule chose… Que tout cela continue. Que le plaisir ne s’arrête jamais, etc. Quel bonheur ! Quel plaisir ! La seule chose qui lui manquait, c’était bel et bien d’être cadenassé…
« Elle a vraiment de magnifiques mains…
- Et son lait… Ha, je sens qu’on va beaucoup s’amuser avec elle ! »
Pendant ce temps là, alors que le plaisir était intense, d’autres esclaves commençaient à s’occuper de Cassandre, preuve ultime qu’elle venait d’être accepter dans le Harem, qu’elle venait de devenir l’une des leurs. Non laissée simplement nue, ses bras, comme ses jambes allaient être habillée. Les compliments rendraient extrêmement heureuse la vachette, mais malheureusement, l’Ushi était un peu… Comment dire…Trop concentrée sur ce qui lui arrivait, sur le plaisir, le bonheur, etc. L’une et l’autre esclave se tenait à aider la vachette à être impeccable, commençant par les bras, puis continuèrent au niveau des pieds, l’une d’entre elle glissa même à l’oreille de la vachette, qui avait suffisamment de conscience et de raison pour bien écouter :
« N’hésite pas à lui palper les fesses, ma chérie… »
Chose conseillée, chose faites ! La vachette, qui était une passive dans les relations, vous l’aurez bien compris maintenant, décida de tenter de s’activer un petit peu, pour le plaisir de sa maîtresse. Alors qu’elle continuait à se faire habiller, comme dit précédemment, elle utilisa ses mains, nouvellement gantés, pour pouvoir caresser, malaxer, et profiter du magnifique postérieur de sa maîtresse… Que de plaisir de pouvoir malaxer ses magnifiques fesses, qui étaient si agréables au toucher… Elle continua alors qu’elle était toujours en extase, malgré une douleur lançinante, qui continuait à cause de la sucion du sang… Elle n’était définitivement pas du tout habituée à cela, et préférait largement qu’on lui récupère son lait plutôt… Mais encore une fois, le plaisir était telle qu’elle s’en fichait.
« Tu es maintenant définitivement mon Ushi, Cassandre… »
« Oui… Oui !!! »
Finalement, heureusement, la récupération du sang fut terminée, laissant une magnifique tache d’hémoglobine à l’emplacement où elle avait été mordue, mais pour ce qui était du pillonage, littéralement, et bien… On pouvait dire que cela continuait, et que cela continuait de plus belle. Plus cela continuait, plus elle appréciait, telle un cercle vicieux de plaisir… Plus Mélinda la baisait, plus elle appréciait, plus elle appréciait, plus elle avait envie de se faire baiser par Mélinda. Certains appelleraient cela donc, un cercle vicieux. Pour Cassandre… C’était plutôt un bonheur infini qui venait de commencer…
« Je ne veux qu’être votre Ushi, votre chose… ! C’est si bon maîtresse… ! AAAAH ! MEUH ! »
Et elle jouit de nouveau. Et elle vit que cela était bon. Son corps était comme un spasme entier, et son plaisir était intense. Elle adorait. C’était presque aussi plaisant, presque aussi indispensable pour son corps, à ses yeux, que la traite l’était pour ses seins… Vous voyez à quel point elle avait apprécié ? Elle avait presque l’impression que l’aphrodisiaque ne s’était pas dissipé, mais avait fussioné avec son sang, pour en devenir un élément naturel, vivant naturellement parmi elle, l’excitant constamment. Alors qu’elle haletait, toujours pénétrée, elle poussait toujours des petits « meuh » extatiques, presque sans raison… Pour que cela continue. Elle venait d’avoir son baptème pour la Harem de sa maîtresse, et le bonheur était maintenant là. Il venait d’arriver, et de s’installer pour la vachette.
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Coucher avec Cassandre était assurément une chose très agréable. Après l’avoir habillé, White & Rose regardaient la jeune Ushi se faire prendre fougueusement par leur Maîtresse. Avoir bu le sang de l’Ushi avait considérablement accru l’excitation de Mélinda, et, dans sa belle tenue rose, elle était tout simplement somptueuse. Oui, White & Rose ne se lassaient pas de l’observer, frissonnant doucement sur place, se mordillant les lèvres, gloussant entre elles. Maîtresse était toujours belle à observer, surtout quand elle était en train de faire l’amour, comme en ce moment. La Ushi, sous elle, remuait son corps, meuglant en accompagnant les mouvements de sa Maîtresse, n’hésitant plus à palper ses fesses, les malaxant amoureusement. C’était ce genre de contact que la vampire appréciait énormément. Elle gémissait donc, embrassant régulièrement Cassandre sur les lèvres.
Encore et encore, elles se faisaient l’amour. Mélinda continuait à la prendre, à gémir longuement. Les deux esclaves avaient tapé juste en disant à Cassandre de s’attaquer au fessier de sa Maîtresse. C’était là une zone que Mélinda affectionnait tout particulièrement, et elle continuait à la prendre, à s’unir en elle, son mandrin disparaissant dans l’intimité trempée de l’Ushi. Elle meuglait de plaisir, et les deux corps se frottaient ensemble, la chair venant à claquer contre la chair.
« Hmmmm... Hnnnn... Ca-Cassandre, hmmmm... Hmmmm... !! »
Des gouttes de sueur glissaient le long des cheveux de la femme, tombant sur le corps de Cassandre. Mélinda gémissait près d’elle, et l’embrassa une nouvelle fois, fourrant sa langue dans sa bouche, tendant ses muscles, avant de se redresser, puis de s’enfoncer encore. Elle pilonnait ce corps, défonçait l’Ushi, et ce avec le plus grand des bonheurs, la plus immense des joies.
« Haaaaaa... Haaaaaa... !! »
Les gémissements de Mélinda remplissaient l’air, et, au bout de plusieurs minutes, elle se pinça les lèvres, et posa ses deux mains sur les seins de Cassandre. L’orgasme approcha, et explosa, tandis qu’elle pinça fermement les tétons de l’Ushi. Le lait explosa sur son visage et sur son torse pendant que sa verge se vidait joyeusement dans le corps de la femme, répandant des filaments de foutre. Dans un long soupir, Mélinda, yeux clos, affichait le visage d’une femme ravie, au comble du plaisir, tant elle jouissait. Sa queue tressautait furieusement dans l’antre de Cassandre, jusqu’à ce que le corps de Mélinda ne ralentisse progressivement.
Des gouttes de sueur roulaient le long de son visage, tandis qu’elle ralentissait peu à peu le rythme, jusqu’à soupirer à nouveau. Sa queue toujours nichée dans le corps de Cassandre, Mélinda lui sourit, et remonta ses mains pour frotter ses joues, ses pouces glissant sur sa peau.
« Ma petite Cassandra, hmmm... Je suis si ravie de t’avoir... Cette fois, on peut se le dire, Cassandre... »
Mélinda lui sourit encore, et l’embrassa sur le front :
« Bienvenue dans ma communauté, mon amour... Ma petite chérie, je vais m’occuper de toi, sache-le bien... Avec attention et amour. »
-
Cassandre continuait de profiter du corps de sa maîtresse... Elle tentait de faire le plus de plaisir qu'elle pouvait avec ses mains, remarquant que visiblement, notre fameuse Mélinda semblait bien aimer se faire masser le postérieur... Tant mieux ! Après tout, visiblement, le merveilleux fessiers de sa maîtresse la poussait à continuer d'user de ses mains dessus... Que de plaisir... Quel merveilleuse maîtresse. Elle avait complètement oubliée qu'elle avait été mordue, depuis le temps. Maintenant, elle pensait avant tout au plaisir qu'elle était entrain d'avoir, qui était entrain de la submerger. Alors qu'elle était sur une boué au milieu d'un océan de plaisir, elle décida de complètement l'abandonner, sous les coups de reins qu'elle recevait...
« Hmmmm... Hnnnn... Ca-Cassandre, hmmmm... Hmmmm... !! »
Visiblement, Mélinda aussi prenait du plaisir, pour le plus grand plaisir de la vachette, qui estimait ouvertement -et c'était son rôle-, que cela serait inacceptable qu'elle soit la seule à recevoir du plaisir dans cette relation, dans ce merveilleux jeu de jambes, qui étaient entre les deux femmes. Aussi bien Mélinda que Cassandre gémissait, activement, jusqu'au point de jouissance, qui arriva finalement, pour les deux femmes.
« Haaaaaa... Haaaaaa... !! »
« MMMh... AAAH !! »
Les deux femmes jouirent presque d'un seul coup... Cassandre, toujours sous les derniers effets de son aphrodisiaques, qui peu à peu se dissipaient après avoir été extrêmement efficace, et la vachette commençait à reprendre « raison ». Enfin, raison... Tout est relatif... Elle avait franchement tellement apprécier, qu'elle avait jouit quand même assez de fois pour que cela soit applaudit niveau endurance ! Et la vachette avait véritablement pris au goût à tout cela... Visiblement, elle allait se plaire ici ! En même temps, ce n'était pas comme si elle avait vraiment le choix. Elle avait intérêt de se plaire ici, car en temps que cadeau, allait très certainement restée un long moment...
« Ma petite Cassandra, hmmm... Je suis si ravie de t’avoir... Cette fois, on peut se le dire, Cassandre... »
« Oui...? »
Elle... Elle était ravie de l'avoir ! Cela la rendait si heureuse ! C'était sans aucun doute, la moindre ombre d'un doute, le plus beau compliment qu'on pouvait donner à l'Ushi. Après tout, elle n'avait rien d'autres... Et là, maintenant, on lui disait qu'elle était digne de rejoindre le groupe... Elle attendait alors la déclaration de Mélinda, avec un grand sourire, remuant de sa queue de vache, de bonheur...
« Bienvenue dans ma communauté, mon amour... Ma petite chérie, je vais m’occuper de toi, sache-le bien... Avec attention et amour. »
« Oui, maîtresse...! »
Ca y est. Elle était officiellement acceptée dans la troupe. C'était un peu comme avec les Lions. Une fois qu'une lionne avait été prise par le mâle dominant, elle était maintenant dans la troupe du Lion. Et bien, là, le Lion, c'était la merveilleuse et magnifique Mélinda Warren, la maîtresse du Harem, celle qui décidait de tout, et auxquel Cassandre avait été offerte. Elle pensa rapidement à Vanillia Warren... Elle lui devait tout, sur le coup. C'était grâce à cette merveilleuse femme, qu'elle était maintenant une merveilleuse Ushi de compagnie, une membre de ce harem. Heureusement qu'elle avait été trouvée par elle. Elle aurait put être achetée par des tas et des tas de personnes... Et finalement, cela avait été cette magnifique femme, qui avait décidée qu'elle serait digne de rejoindre leur groupe, leur demeure...
« Je suis si heureuse de vous avoir été offerte. Je peux vous donner autant de lait que vous le souhaitez, c'est mon rôle... N'hésitez pas à m'utiliser... »
Elle supposa comme ça, en montrant ses gros seins, alors que ses cheveux roses -qui étaient blond au début du RP, c'est ce qu'on appelle un magnifique bug dans la matrice, ou un changement d'avatar-, tombaient en désordre autour de ses deux grosses mamelles. Elle avait hâte de voir ce qui allait se passer dans ce harem. Elle était un cadeau, et elle allait parfaitement s'intégrer... C'était normal qu'elle fasse tout ce qui était en son pouvoir, pour être la petite vachette parfaite ! Elle ne savait absolument pas comment marchait les « harem », étant donné que son destin l'avait plutôt conduit vers le poste de grosse productrice de lait, trait 24h/24, ou dans le poste de gouvernante, à nourrir les bébés, faire le ménage, la cuisine, et servir de petit défouloir sexuel, de temps en temps, pour les propriétaires de l'esclave... Donc, elle était encore assez naïve, et se demandait comment cela allait se passer.
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Mélinda avait joui une énième fois dans le corps de la belle Cassandre, et reprenait peu à peu ses esprits. Dans sa magnifique tenue rose, elle était magnifique à voir, et, avec Cassandre contre elle, les deux femmes formaient assurément un magnifique couple. Mélinda souriait délicatement, et embrassa encore l’Ushi sur les lèvres, souriant ensuite de ses plus belles dents, puis se redressa finalement. Depuis le début, depuis qu’elle avait été sortie de sa boîte, Cassandre n’avait pas encore eu l’occasion de contempler une autre personne que celle de sa Maîtresse. Cette dernière se redressa donc, rendant à l’Ushi sa vue, et l’aida à se relever.
« Ne t’en fais pas pour ça, tu seras utilisée, Cassandre... »
Un lait d’une si précieuse qualité, Mélinda n’allait tout de même pas le laisser tarir sans rien faire ! L’Ushi était prédestinée à de grandes choses au sein du manoir. Maintenant qu’elle était debout, elle pouvait voir, non seulement Vanillia, mais aussi White et Rose, les deux femmes qui avaient aidé leur Maîtresse à habiller l’Ushi, et qui lui sourirent. Mélinda posa sa main dans le dos de Cassandre, et la retourna. Son regard embrassa une belle assemblée de personnes. Elles étaient au manoir de Mélinda, sur Terre, dans un grand et confortable salon, avec une grande table à côté. Le salon comprenait des fenêtres très hautes, dans un style occidental plutôt classique, avec de grands rideaux rouges. Une fine nappe blanche brodée avait été posée sur la longue table, et il y avait toute une série de gâteaux, de biscuits, de confiseries, témoignant du fait qu’elles étaient à la fin d’un anniversaire.
Surtout, il y avait une impressionnante foule de personnes, qui observaient Cassandre. Beaucoup étaient sorties de leur place pour se rapprocher, et l’assemblée avait ainsi vu Cassandre se faire prendre par leur Maîtresse. Cette dernière continuait à caresser le dos de l’Ushi, qui se sentirait peut-être intimidée par tant de personnes. La plus proche se redressa. Elle avait une belle robe chinoise, et offrit à Cassandre un ravissant sourire. Mélinda la présenta comme étant Akira Warren (http://orig11.deviantart.net/4cf2/f/2014/239/e/2/katana_shoujo_by_magion02-d7ww5f5.jpg), sa fille. Akira lui fit un ravissant sourire, et posa ses mains sur les épaules de l’Ushi, puis l’embrassa tendrement, plaquant ses lèvres contre les siennes, enfonçant rapidement sa langue dans sa bouche.
« Hmmmm... »
Akira rompit le baiser en émettant un sourire ravi, se mordillant les lèvres.
« Bienvenue, Cassandre ! Ici, il va falloir que tu t’habitues aux baisers, tu sais... »
Pendant qu’Akira retournait l’embrasser, Mélinda récupéra un collier surmonté d’un grelot, et le mit autour du cou de Cassandre, perfectionnant ainsi sa tenue. Ainsi, chaque fois qu’elle se déplacerait, la cloche résonnerait, comme une vache laitière.
« Maintenant, Cassandre, voici ta première tâche... Tu vas faire tout le tour de la table, et te présenter à chaque membre du manoir, en les embrassant. Ensuite, tu reviendras jusqu’à moi... »
Et du monde à embrasser, il y en avait. Il n’y avait, néanmoins, pas que des filles, même si le beau sexe constituait une écrasante majorité, et tous avaient très envie de goûter aux lèvres de l’Ushi, de la palper, de caresser ses seins, ou de peloter ses fesses. Ici, dans ce manoir, Cassandre allait vite comprendre qu’il ne faisait pas bon d’être pudique !
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Que de plaisir elle avait gagné avec Mélinda Warren ! Un paradis... Un vrai paradis. Il y avait pas d’autres mots pour décrire ce qui avait été sa journée pour le moment... Et elle était extrêmement heureuse ! Elle espérait qu’elle allait souvent pouvoir vivre cela, car c’était presque aussi bon qu la traite... Et les Ushi, je le rappelle avait la partie la plus érogène de leur corps au niveau des seins, pour qu’elle puisse prendre beaucoup de plaisir être têter, traite, etc... Donc, on pouvait dire que Mélinda avait réussi à faire énormément de bien à la petite vachette. Pour tout dire, même, si Mélinda avait ne serait-ce qu’eut le quart du plaisir de la vachette, on pourrait dire qu’elle a bien prit son pied. Bref, en tout cas, l’Ushi était encore lovée contre sa fameuse maîtresse... Mais il était temps que cela cesse !
En effet, comme cela avait été très bien dit précédemment, pour le moment, notre chère Vachette n’avait encore rien vu de ce qui l’entourait... Il était temps de remédier cela. Ainsi, la vachette put voir où elle était. Un beau manoir français, dans le style bien sur, pas la nationalité, avec ses très grandes fenêtres tout à Fait classique dans le style. Tel une cours Louis XIV, un salon qui tentait de montrer grandeur et gloire de son propriétaire. On pourrait presque deviner le marbre des pierres, les boiseries orientales, et tout ce qui faisait le charme de Versailles, ou de châteaux plus privé, comme le Trianon. L’autre point qui nous faisait penser à Louis XIV ? Et bien, toute la cour était présente. Enormément de monde pouvait être admirés, tous présent pour fêter l’anniversaire. L’ushi était impressionnée. Elle n’avait pas de honte à se montrer ainsi, elle n’était pas timide, mais quand même... C’était impressionnant. Bref, alors que la vachette était entrain de regarder, elle eut le droit à un baiser, suivi de :
« Bienvenue, Cassandre ! Ici, il va falloir que tu t’habitues aux baisers, tu sais... »
« Bonjour ! »
C’était une nouvelle femme, que Cassandre ne connaissait pas. Alors, bien entendue, elle n’avait vu presque personne pour le moment, comme dit précédemment. Mais c’était à la voix qu’elle pouvait dire qu’elle ne connaissait pas cette personne. Une très charmante jeune femme, peut-être a peu près du même âge qu’elle, d’ailleurs, qui s’appelait Akira Warren. Cassandre ne fit pas le rapprochement entre les deux Warren, mais il ne fallait pas s’étonner. Notre chère Cassandre n’avait jamais briller par sa jugeotte. Bref, ainis, la vachette était tranquillement entrain de regarder tout ce qui l’entourait, et était encore très contente du baiser qu’elle venait de recevoir. Donc, cette Akira disait qu’elle devait s’habituer aux baisers ? Et bien, soit ! Elle le ferait, et avec grands plaisirs ! Après tout, si c’était son devoir, elle le ferait ! Elle était une bonne servante, et elle obéissait aux ordres, quoiqu’il arrive !
« Maintenant, Cassandre, voici ta première tâche... Tu vas faire tout le tour de la table, et te présenter à chaque membre du manoir, en les embrassant. Ensuite, tu reviendras jusqu’à moi... »
« Bien, maîtresse... »
Premier ordre direct donc, donnée par sa maîtresse ! Et c’était pas un ordre trop difficile en plus ! Elle en avait de la chance, se disait-elle ! Ce n’était ni un ordre compliqué, ni un ordre chiant à faire, problématique etc. Donc, elle devait se présenter à tout le monde ? Mmh... oui, c’était logique, pensait-elle toute contente ! Elle était la nouvelle parmi eux, une Ushi qui étaient là pour sa maîtresse avant tout, mais elle savait très bien que les Ushi étaient des esclaves tout en bas ! Pourquoi cela ? Et bien, car tout le monde avait le droit de boire le lait des Ushi ! Sinon, c’était malheureux, et les gens étaient triste ! Hors, notre chère Cassandre, n’aimait pas que les gens soient triste. Elle... Ce qu’elle aimait, c’était quand les gens étaient heureux ! Donc, elle était tout à fait prête à partager son lait avec n’importe qui. Ainsi, la vachette se dirigea tranquillement vers la première personne qu’elle pouvait voir, toute contente et toute joyeuse.... Bref, prête à l’embrasser comme demander.
« Bonjour je suis... mmh ! »
Ainsi, elle avait trouvée sa première personne ! Elle l’embrassa tranquillement, puis se détourna un peu pour lui dire son nom... Cependant, elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. La jeune femme qu’elle avait embrassé, une jeune minette d’a peu près son âge, l’avait de suite de nouveau embrassé, plus fougueusement qu’avait fait notre chère Cassandre. Elle s’habitua assez rapidement, et finalement rompit le baiser... Avant de de suite se faire embrasser par un homme cette fois, qui commença à masser ses fesses, tranquillement, écrasant son torse contre les beaux seins de l’Ushi, qui commencèrent à voir couler du lait. Ainsi de suite, les différents hommes et femmes commencèrent à l’embrasser, chacun leur tour...
« Mmh... »
Elle embrassait au fur et à mesure les différentes personnes ici présentes... Et, comme pour aider la vachette (ou bien pouvoir la tripoter plus rapidement... Qui sait ? Je ne voudrais pas être médisante!) les personnes s’étaient aggroupés autour d’elle, et leur mains passaient sur la vachette. On sentait que plusieurs hommes avaient très envie d’aller plus loin avec la magnifique Ushi, mais ils se retenaient. Ils n’avaient pas envie de faire des gestes que pourrait mal prendre la maîtresse des lieux, Mélinda Warren. Mieux valait se retenir, le temps que d’un geste, d’une parole, n’importe quoi, la fameuse chef des lieux, Mélinda Warren, autorise qu’elle puisse être utilisée... Une ushi ! C’était tellement chouette d’en avoir une sous la main. Surtout qu’avec ses magnifiques cheveux roses, et surtout, ce qui intéressait : ses deux gros seins remplis de lait... Disons que l’envie de les utiliser était plus que présente. Maintenant, il fallait attendre l’autorisation, un peu comme des élèves.
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La belle Cassandre était partie pour son « petit » tour de table. Petit... Tour qui ne serait en réalité pas si court que ça. Non seulement la table était plutôt longue, mais l’Ushi allait vite comprendre que, au sein du manoir, les jeunes personnes prudes étaient plutôt l’exception. Et, quand on avait sous le nez une belle Ushi comme ça, ce n’était que justice que de vouloir en profiter le plus longuement possible. Elles l’embrassaient donc, la pelotaient, la caressaient, et les hommes n’étaient pas en reste. Ils se montraient autant entreprenants que les femmes, certains n’hésitant pas à serrer l’Ushi dans leurs bras, frottant leurs verges en érection contre elle. Tout était fait pour que l’Ushi se sente bien, qu’elle comprenne qu’elle était arrivée à un point de non-retour, à un endroit magique où tous ses rêves allaient se concrétiser. Elle était arrivée au manoir de Mélinda, un endroit où ons ‘occuperait tout le temps d’elle, de son corps, de ses envies... C’était comme si un nouveau chapitre de son existence s’ouvrait, un chapitre magnifique, fait de tendresses, de douceurs, et de magnifiques attentions.
C’est ainsi que Noémie (http://img110.xooimage.com/files/b/b/6/c2hb2sluoaepjsa-5161b55.jpg), une jeune esclave qui était en swimsuit, n’hésita pas à l’embrasser sensuellement, fourrant sa langue dans sa bouche. Elle joua avec elle, collant son corps au sien, en gémissant tendrement. Noémie caressa ses beaux cheveux soyeux, pressant encore son corps, jusqu’ »à ce que Cassandre ne doive se décoller. Peu à peu, Mélinda sentait la chaleur croître, monter au sein du salon.
Pour autant, elle laissa faire, conservant néanmoins sur ses lèvres un tendre sourire, ses doigts venant caresser ses cheveux, dans une posture relativement nonchalante sur sa chaise. Elle pouvait autoriser à l’un des esclaves la capacité de faire l’amour à l’Ushi, mais, pour l’heure, elle laissait les choses se faire. La belle Ushi continua son petit tour, commençant à allaiter, probablement sous l’effet du plaisir. Elle se rapprocha ainsi de l’un des hommes du manoir, Yoosung (http://img14.deviantart.net/d1b1/i/2016/271/9/7/yoosung_by_artgerm-daj8wf6.jpg), un beau blondinet qui avait une magnifique érection.
L’Ushi se pencha vers lui, et l’homme l’embrassa à son tour, posant une main sur l’un de ses seins, pinçant le téton, et faisant couler du lait, son autre main caressant tendrement ses fesses.
« Mmmhmmm... »
Yoosung ferma les yeux de plaisir, en offrant à Cassandre un magnifique baiser, tendre, particulièrement sensuel, témoignant ainsi de tout son talent en la matière. Mélinda se racla alors la gorge, et, quand le baiser entre les deux se rompit, Yoosung tourna la tête vers elle, implorant des yeux la vampire. Cette dernière continuait à arborer sur les lèvres une ombrelle de sourire, et savait que l’auditoire était suspendue à elle. Le temps sembla ainsi se suspendre pendant quelques secondes, puis la tête de la vampire se hocha de haut en bas.
Le jeune homme déglutit alors, et en profita pour se redresser subitement, manquant renverser Cassandre. Il la coucha sur la table, et abaissa son pantalon, libérant son phallus.
« Tu es si bonne, Cassandre... »
Excité et nerveux, Yoosung s’enfonça en elle, et poussa un soupir de plaisir, avant de commencer à remuer, se tortillant joyeusement en elle, ses mains venant pincer ses tétons, les malaxant fermement.
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Cassandre était maintenant autour de la table, à faire ce qu’elle devait faire… Mais la mission devenait de plus en plus difficile. Comme c’était les gens qui venaient à elle, et non l’inverse, la famesue Ushi avait beaucoup de mal à savoir qui elle avait déjà embrassée… Certains n’hésitaient pas à revenir, et finalement, de nouveau embrasser la vachette… Mais finalement, ce fut un jeune homme, tout à fait séduisant et charmant, tout à fait au goût de la vachette, qui finit par la prendre et la garder, pour le moment rien qu’à lui… Elle était ainsi gardée précieusement, telle l’anneau de Gollum, et elle avait le droit à un traitement en or… Les mains étaient chaleureuses, chaudes, et passaient sur le corps appétissant de la vachette, tandis qu’elle se laissait faire. Bien sur, le jeune homme alors fit un regard presque suppliant à sa maîtresse, vu que Mélinda Warren possédait tout, ici, littéralement tout, et qu’elle ne fut pas son bonheur quand elle autorisa enfin la libération. Yoosung remercia véritablement et longuement sa maîtresse, avant de pénétrer la vachette, qui n’était plus vierge, mais pas depuis longtemps…
« Tu es si bonne, Cassandre... »
« Mmh… Meuh... »
Cassandre commença alors à se faire pénétrer, et les vas et viens doux vinrent lui arracher des gémissements de plaisirs… Mmh… Pour une Ushi qui découvrait tout juste le sexe, elle commençait déjà à adorer cela. Comment elle avait put vivre avant sans cela ? Oups… Visiblement, les aphrodisiaques lui étaient quand même un peu monter au cerveau… Boah ! Ce n’était pas très grave ! Après tout, les deux amants, sur le coups, étaient entrain de prendre leur pied, Yoosung se pressant même contre la fameuse Ushi, sur la table, qui sentit ses seins se faire écraser par le torse du jeune homme… Alors sur la table, elle fut décalée, et déplacée pour être plus libre d’accès par les hommes et les femmes qui commençaient à s’attrouper autour d’elle, voulant tous un petit bout, au moins, de la fameuse vachette… D’ailleurs, on pouvait entendre les fameuses déclarations, très révélatrice :
« Elle est si bonne… Vive les Ushis !
-Ouais ! »
De nouveau, la vachette était prise. Et ignorant de potentiels autorisations, un homme vint fermer la bouche de la vachette, la bouche gémissant, à l’aide de sa queue, que la vachette commença à sucer assez maladroitement, il faut bien avouer. Bah ouais elle n’était pas une experte, ce n’était que la deuxième queue, de toute sa vie, qu’elle avait décidée de commencer à sucer. On pouvait donc pardonner son état de débutante… Bref, elle faisait ça, se faisant balotter dans un sens par Yoosung, qui était plus doux, et dans la bouche par l’autre, plus brutal et moins attentionnée. Deux femmes, dont Noémie qui revenait à la charge, commencèrent à caresser le corps de l’Ushi, pendant que de nombreuses personnes continuaient à admirer le spectacle, tout en jettant des regards rapides, assez régulièrement en direction de Mélinda, pour savoir quand s’éloigner, s’il y avait quoique ce soit qui commençait à déraper, pour ne pas être une victime collatéral d’une éventuelle colère, punition, ou envie sadique de leurs maîtresse. Pendant ce temps là, une des servantes, en tenue de maid, s’approcha de Mélinda pour déclarer :
« Merci, madame, de votre gentilesse et de cette achat. Nous avons hâte de l’utiliser en cuisi… Enfin, son lait !!! Son lait madame ! »
La jeune servante (https://image.noelshack.com/fichiers/2017/05/1485760246-7a25e8401c1d3aa993ba59abb1ec95702.png) s’excusa tout de suite de sa confusion. Certains fous -pensaient quasiment l’intégralité des autres- aimaient la viande d’Ushi, en déclarant que ce n’était pas du canibalisme. Aux yeux du reste de l’humanité, cela l’était, mais passons… La servante ne voulait ainsi pas passer pour une folle devant sa maîtresse. Après tout, Claire n’était pas servante depuis longtemps… Et elle regardait avec envie l’esclave Ushi qui étaient entrain de se faire prendre maintenant par deux hommes, et deux femmes, qui n’avaient pus se retenir. Elle adorait être avec eux, mais elle devait se concentrer sur ses devoirs, la cuisine. Bref, pendant ce temps là, Cassandre apprenait peu à peu sa nouvelle place… Et elle aimait de plus en plus. On pouvait dire qu’elle avait de la chance d’être tombée sur cette maîtresse… Maîtresse d’ailleurs, dont le rôle était surtout celui de spectatrice pour le moment. Qu’allait-elle faire par rapport aux gang bang qu’avait la vache, et à la jeune servante devant elle… ? Que de questions, les réponses arriveront sans doute bientôt.
-
Mélinda restait silencieuse, un sourire amusé sur les lèvres. Elle aurait pu agir pour arrêter l’escalade... Mais n’en fit rien. Pourquoi les restreindre ? Pourquoi interdire ce gang-bang d’avoir lieu ? Par sentiment puritain fort déplacé ? Mélinda n’avait rien d’une sainte vierge, et aimait le sexe, la luxure... Et là, c’était ça qui parlait. Aucun ordre, aucune supplique, ses esclaves agissaient naturellement, et, si certains jetaient parfois des regards inquiets envers leur Maîtresse, l’absence de réaction de la part de cette dernière était suffisamment notable pour que Yoosung soit rapidement rejoint. Le jeune homme, simple lycéen au demeurant, était comblé. C’était la première fois qu’il prenait une Ushi, et, très rapidement, elle se mit à juter, libérant du lait tout autour d’elle, jusqu’à ce que des mains supplémentaires ne viennent presser encore ses tétons. Le lait éclata contre le torse de Yoosung, et deux filles se penchèrent vers lui, léchant amoureusement son torse, des mains caressant également ses fesses, durcissant encore sa queue. Le jeune homme rougissait furieusement en se pinçant les lèvres, crispant ses mains sur les hanches de l’Ushi, cherchant surtout à retenir son orgasme. En effet, plus il tarderait à jouir, et plus il pourrait profiter de ce corps magnifique, de cette sensation de plaisir extatique qui le traversait de part en part.
« Haaaaa... Hmmmm... »
Un autre homme grimpa rapidement sur la table, et amena l’Ushi à pencher sa tête vers l’arrière, enfouissant sa virilité dans sa bouche. On pouvait entendre Cassandre meugler, tandis que sa clochette cliquetait sous les coups de reins qu’elle subissait, et les mouvements qu’elle faisait, du fait de son excitation. Elle se tortillait sur la table, prise par ses amants, des mains caressant ses seins, son ventre, ses jambes, ses mains. Elle était le centre de l’attention des esclaves de Mélinda.
Cette dernière se retourna vers une servante, qui, attirée par le bruit, était sortie des cuisines, et expliqua que l’Ushi serait un grand atout pour les cuisines. Mélinda sourit devant la confusion de la jeune femme. La cuisinière, Claire, était une esclave assez récente, et qui portait, pour l’heure, une cage de chasteté, restreignant sa capacité de se faire du bien. C’était une mesure que Mélinda prenait parfois à l’occasion d’esclaves timides, ce que Claire était. En jouant sur la frustration sexuelle de son esclave, elle stimulait son appétit, pour des résultats... Magiques.
Yoosung finit enfin par se lâcher en elle, et fut rapidement remplacé par quelqu’un d’autre... Noémie ! La jeune femme était, elle aussi, comme bien des esclaves de Mélinda, une hermaphrodite, et s’enfonça, à son tour, dans le vagin de la belle Ushi, continuant ainsi cette délicieuse tournante.
Mélinda, de son côté, esquissa un léger sourire, et se retourna encore vers Claire.
« Oh... Oui, il n’y a pas qu’en cuisine que Cassandre saura se montrer indispensable. Je gage qu’elle soit réclamée par tous les services, en fait. »
En tout cas, le harem avait, semble-t-il, déjà décidé d’adopter l’Ushi... Et ça, ça ne pouvait que faire plaisir à Mélinda, qui se félicitait de voir que Cassandre n’aurait aucun problème d’intégration dans sa grande communauté !
-
Les esclaves étaient rassurés : Le gang-bang était autorisé.. Cela n’était nullement étonnant, Melinda n’était pas visiblement du genre à refuser ce genre d’amusement, de magnifique spectacle qu’elle avait le droit à mirer, en temps que maîtresse du Harem… Mais de l’autre côté… C’était littéralement le principe du : « Oui, mais on ne sait jamais. » Il suffirait d’un mauvais jour, d’une mauvaise ambiance, et la vampire pourrait s’énerver. Bien sur, Cassandre le sentait… Le lieu n’était pas du tout un lieu despotique. On sentait que rien ici ne marchait pas la terreur, qu’il y avait possiblement des punitions, mais ce n’était pas une ambiance, ou tout du moins ce que sentait Cassandre, un lieu de terreur… Enfin, ce qu’elle sentait… Pour le moment, elle sentait surtout une chose : c’était la bite de Yoosung, qui continuait de profiter de l’Ushi.
« Oh... Oui, il n’y a pas qu’en cuisine que Cassandre saura se montrer indispensable. Je gage qu’elle soit réclamée par tous les services, en fait. »
« Sans… Sans doute madame ! »
Claire était rassurée, elle n’avait pas fait de faute, puis, elle se tourna, un peu toujours médusée par ce magnifique spectacle. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle était là, mais quand on était relégué à la cuisine, mais qu’on ne pouvait rien faire de sexuelle, car la cage de chasteté bloquait tout, c’était un peu frustrant… Surtout dans ce genre de lieu. Non qu’elle était une avide de sexe… Mais l’ambiance, tout cela… C’était franchement assez érotique, et très excitant à son sens, mais elle devait se concentrer sur son rôle de cuisine. Sinon, cela n’allait pas bien se passer. Elle était une servante obéissante, et très satisfaite, elle se l’assurait.
Mais ce n’est pas Claire, notre personnage ! Bien qu’elle soit intéressante, et puis, il y avait énormément de personnages dans ce harem, cela serait bête d’ignorer les autres, en les transformant en des « no-name », à la pur fonction fonctionnel (ouah, la répétition). Donc, Cassandre… Que faisait-elle ? Et bien, elle reçu alors presque en même temps le cadeau dans son vagin, et dans sa bouche… Deux jouissance ensemble, qui fit plaisir à la vachette. Elle avala goulument, très gourmande, ce qu’on lui offrait, tandis qu’elle remarqua que Noémie commença à la bourrer à son tour. Chose amusante, cela ne la surprenait absolument pas. Pour le moment, les deux seules femmes qu’elle avait vue nue, avaient toute deux des pénis. Donc, cela ne lui semblait absolument pas étonnant, finalement…
Et cela continua, ainsi, avec grand plaisir… Beaucoup vinrent embrasser la vachette, lui enfoncer des pénis dans la bouche, la têter… Bref, le haut de son corps n’était pas épargné. Elle apprit même à faire une branlette, et une branlette espagnole, qui fut offert à Noémie, qui n’était pas encore totalement fini, après avoir joui une première fois à l’intérieur de la vachette… Cela était particulièrement amusant, la branlette espagnole, dans le cas de l’Ushi, car évidemment, en pressant les seins, régulièrement, du lait venait être projeté, tachant un peu les gens autour… Alors, pas d’inquiétude, de l’autre côté, du côté de son intimité, et bien, les différentes personnes profitaient aussi de son intimité et, même, de son anus. En effet, un courageux eut la chance incroyable de s’offrir la virginité anale de la vachette. Nullement un manque de respect envers Melinda, qui aurait pu vouloir l’avoir, juste un manque de bol : bah… Il ne savait pas que notre chère Cassandre était vierge de cet orifice… pas de bol. Quoiqu’il en soit, une fois le gang-bang, ou du moins, sa première partie, finie… Cassandre revint vers Mélinda, déclarant :
« Voilà… Mmh… J’ai embrassé tout le monde… Enfin, je crois, j’ai un peu perdu le compte au bout d’un moment ! »
En effet ! Elle ne savait pas trop donc si elle avait vraiment réussi sa mission, mais elle espérait vraiment. Donc, elle était retournée voir Mélinda. Elle était vraiment contente d’être une esclave pour son harem… Mais le mieux, était sans aucun doute le fait qu’elle semblait en plus accepter par tout le monde ! Cela voulait dire pour elle plein de nouveaux amis… pendant qu’elle était entrain de parler ainsi à Melinda, personne ne pouvait rater les coups d’oeils que poussait la fameuse Clair en direction des seins de la vachette… Mais passons, c’était normal après tout. Elle n’était pas loin, et les deux seins, d’où un peu de lait coulait encore des tétons, et bien… Et bien, c’était attirant. En tout cas, pour ce qui était du reste du harem… C’était un grand bonheur. L’arrivée de l’Ushi plaisait beaucoup à tout le monde, et ils étaient très heureux d’apprendre qu’elle faisait maintenant partie du grand ensemble… Heureusement qu’elle avait été offerte ! On pouvait dire… Que c’était un anniversaire réussi… Et loin d’être fini.
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La cravate de notaire avec Cassandre s’avéra particulièrement délicieuse à voir. Mélinda sourit, en se disant qu’elle risquait de le répéter avec l’Ushi à plusieurs reprises, car, au vu de sa production de lait, quand elle frottait ses seins contre une queue, elle crachait des filaments de lait, éclaboussant son partenaire, ce qui était particulièrement exquis à voir. Mélinda se dandinait sur place, serrant les lèvres. Dans la tournante, la virginité anale de l’Ushi fut prise. Dans l’idéal, Mélinda aurait aimé être la première à la prendre par cette porte, mais, comme elle lui avait déjà ôté sa virginité, elle n’allait pas se familiariser outre mesure. Emportés dans leurs élans, ses esclaves baisèrent bien proprement Cassandre, d’abord contre la table, puis ensuite à même le sol. Cassandre se retrouva assise sur un homme, pendant qu’une femme hermaphrodite lui agrippait les cheveux, et bourrait cette dernière avec sa queue, multipliant les gorges profondes. Des mains pressaient régulièrement les seins de la belle vachette, faisant jaillir son lait, au milieu du sperme et de la cyprine, formant ainsi d’épaisses tâches.
La scène finit par se calmer, et une Cassandre toute épuisée retourna près de sa Maîtresse, lui indiquant avoir accompli ce qu’on lui avait demandé... Même si elle n’en était plus trop sûre. Mélinda sourit doucement.
« Tu en as même fait plus que ce que je t’ai demandé, ma chérie. Viens, assieds-toi à côté de ta Maîtresse. »
Cassandre obtempéra. L’Ushi était au bout du côté de la table, Mélinda étant à l’extrémité, Vanillia et Akira sur sa droite, Cassandre à gauche. De la main, la vampire caressait ses beaux cheveux.
« Tu es déjà la coqueluche de notre petite communauté, Cassandre... »
C’était un doux compliment, et Mélinda sourit encore, puis se pencha vers Cassandre, et l’embrassa sur la joue, visiblement toute fière de sa nouvelle acquisition.
« Ma petite Ushi à moi... Tu es un magnifique cadeau ! »
Mélinda remercia encore Vanillia, et les deux femmes s’embrassèrent. Après ce gang-bang sauvage, les esclaves retournaient calmement à leur situation d’antan, signe que le sexe, ici, était une chose très normale.
« Je dois même admettre que tout ça m’a... Fortement excité. »
De malicieux, le sourire de la vampire devint plus pervers, tandis qu’elle écartait les jambes. On pouvait voir son phallus se dresser, déformant sa longue robe dorée en formant une pointe qui ressortait sensiblement.
« Et si tu allais sous la table pour me soulager pendant que nous mangions ? Rassure-toi, je te conserverai une part du gâteau... »
Elle sourit donc en précisant le fond de sa pensée, ne ressentant aucune gêne à l’idée de parler crûment :
« Je veux sentir ta bouche sur ma queue, Cassandre... Suce-moi bien fort, ma petite Ushi d’amour. »
-
C’était une première fois qui avait été... Disons... Incroyable ! Voilà ce que pourrait dire sans soucis la fameuse Ushi, qui considérait ouvertement qu’elle avait passé l’une des meilleurs matinée de sa vie... Mais il fallait dire quelques choses pour la fameuse Cassandre : Elle ne connaissait pas grand chose, et franchement, le début de cette vie lui semblait véritablement incroyable ! C’était donc ça la vie d’une vachette dans un harem ? Les gens étaient si gentils... Mais le plus important, pour la vachette, et elle avait bien raison de penser avant tout, à cela... C’était : Est-ce ce qu’elle avait été approuvée par la fameuse Mélinda Warren... Car c’était bel et bien ça le plus important pour une bonne servante : Etait-elle approuver par la maîtresse du manoir ? Et bien... Visiblement, cela marchait relativement bien :
« Tu en as même fait plus que ce que je t’ai demandé, ma chérie. Viens, assieds-toi à côté de ta Maîtresse. »
« Bien sûr, maîtresse ! »
Elle s’installa au côté de sa maîtresse... Si elle était plus connaissance de l’étiquette, de comment marchait les harems, etc... Elle pourrait se rendre compte qu’elle venait d’avoir un immense honneur ! Elle était quand même au côté de la femme et de la fille de La chef du Harem... Ce n’était pas rien, il fallait bien le dire ! Il faut dire, elle était véritablement la coqueluche du harem pour la journée. Sans doute, elle allait devenir plus « commune » avec le temps, et les gens allaient... Disons s’habituer à elle, et être moins impressionné par sa présence, enfin... Plutôt moins attiré. Sauf que là, aujourd’hui, ce n’était pas la même chose, c’était le jour de fête, pour Mélinda Warren, et pour Cassandre... C’était son premier jour, c’était la découverte, c’était tout cela... vous comprenez ?
« Tu es déjà la coqueluche de notre petite communauté, Cassandre... Ma petite Ushi à moi... Tu es un magnifique cadeau ! »
Alors, sa maîtresse était entrain d’embrasser sa femme. Cassandre était emplie de joie. Peut-être autant qu’elle avait été empli de Sperme... C’était pour dire ! Mais l’idée d’être « la coqueluche » de la communauté, d’être « un magnifique cadeau »... C’était incroyablement gentil ! Oui, l’objectification de la fameuse vachette ne la dérangeait pas. Après tout, les Ushis étaient souvent coimme cela... Mais combien d’Ushi avaient le droit à tout ses compliments... Là, Cassandre était sans doute l’une des rares à pouvoir s’en vanter. Pas toutes les Ushi avaient le droit d’être comme ça, installée à côté de sa maîtresse, lors du banquet d’anniversaire... Mais elle n’allait pas rester assise à cette endroit très longtemps. Changement d’avis de sa maîtresse... ? Non, c’est que cette dernière avait une bien meilleure place pour cette ushi.
« Je dois même admettre que tout ça m’a... Fortement excité. Et si tu allais sous la table pour me soulager pendant que nous mangions ? Rassure-toi, je te conserverai une part du gâteau... Je veux sentir ta bouche sur ma queue, Cassandre... Suce-moi bien fort, ma petite Ushi d’amour. »
« C’est avec plaisir que je vais vous sucer, maîtresse... »
Elle acceptait cette mission avec fierté ! Elle passa alors sous la table, et alors, vit... Qu’il y avait déjà du monde ! Comment cela ? Et bien, je vous rassure... Non, elle était seule pour le fameux magnifique engin de la vampire... Non, là où il y avait du monde, et bien... C’était sous la table. On trouvait de nombreuses personnes qui étaient placé, comme ça, et qui suçait avec amour, avec envie, et avec beaucoup d’entrain... Un peu moins d’une dizaine de personne. Cassandre aurait pu croire qu’ils étaient forcé... Mais non ! Ils semblaient tout à fait heureux de leur place, comme si leur rôle était celui de vide couille. Aussi bien des garçons que des filles ! Bref, Cassandre décida de se reconcentrer sur sa mission !
« Mmh… Elle a l’air si bonne... »
Et comment qu’elle avait l’air bonne... Elle avait l’air même... Délicieuse... Mmh... Faut dire, c’était quand même la bite de sa maîtresse ! Elle était sans aucun doute, sans la moindre hésitation, sans doute la meilleur de l’endroit... Déjà, elle était toute à fait charmante, cette fameuse bite, par sa taille, qui était tout à fait appréciable. Mais bon, assez de blabla, passe aux actes ! C’est à dire... A la bouche !
« Mmh... »
Voilà ! Elle avait la queue en bouche... Mmh... Cassandre était plus fellation que baisage. Elle préférait avoir quelques chose en bouche, plutôt que se faire enculer ou pénétrer. C’était... Comment dire... Cela était bien meilleure. Elle préférait manger, faut dire, et le sperme, devait avoir un goût merveilleux. Elle commença à sucer activement, pour être une bonne ushi. Elle était prête à rester tout le repas à sucer, s’il fallait ! C’était ça, une bonne esclave ! Donc, elle suçait, activement, tandis que d’autres faisaient de même. Il y avait presque autant de vie sous la table, que dessus... Si c’était pas une scène charmante ? Bref, en tout cas, Cassandre était bien placée, et elle n’échangerait sa place pour rien au monde... Sauf un ordre de sa maîtresse. Bien sur ! Elle était une bonne Ushi, et elle obéissait aux ordres ! Et la bite était tellement bonne... Mmmh... Elle allait en devenir si vite accroc...
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L’une des particularités des repas de Mélinda, c’était qu’ils étaient longs. Évidemment, avec toute une communauté à nourrir, il y avait beaucoup de plats à servir. Dès lors, et pour rester conforme à l’esprit du manoir, Mélinda organisait les repas en trois groupes : un groupe principal qui mangeait, un groupe secondaire qui faisait la cuisine et fournissait les plats... Et un troisième groupe, qui s’installait sous la table, et venait lécher et sucer les membres assis, recevant parfois des morceaux de poulets, des bouts de pain, afin de pouvoir manger un peu tout en s’affairant. Les règles étaient clairs : ceux du dessous pouvaient lécher et sucer qui ils voulaient, et personne ne devait leur refuser le passage. Au manoir, le viol n’existait pas entre esclaves, au profit du sexe libre et partagé. Le sexe n’était pas qu’un but, un moyen de s’enrichir, c’était aussi un élément de cohésion et d’harmonie sociale au sein du harem.
Cassandre pouvait donc voir tout ça. Les esclaves du dessous étaient généralement des nekos, plus aptes à être à quatre pattes, portant des tenues en latex. L’une portait notamment un bandeau autour des yeux, et avançait à tâtons, suçant un peu au hasard, avec automatisme et gourmandise. Il y avait aussi des garçons, de beaux éphèbes androgynes qui n’hésitaient pas, pompant des dards chauds, avalant le sperme juteux qui suintait de leurs sexes.
Mélinda sentit soudain le souffle des lèvres de Cassandre contre son sexe, et se pinça les lèvres, un frisson venant la traverser.
« Hmmm... »
Oh, ce contact délicieux ! Elle sentit sur son membre la bouche de la jeune Ushi, qui se mit à remuer. Son membre avait perdu en virilité et en taille, devenant plus mou, plus flasque... Mais, au contact des lèvres et de la langue de Cassandre, qui se mit à lécher ce gland, le bâton se redressa soudain, gagnant en virilité. Son vit érectile vint à se redresser fièrement, se relevant, et l’Ushi le prit en bouche, remuant sa tête d’avant en arrière, commençant à le prendre en bouche, et à accélérer le rythme, de plus en plus fort.
« Aaaaah oui, ma chérie, vas-y, suce bien fort... Prends-le en bouche, profondément... »
Cassandre s’exécutait docilement, son corps se glissant entre ses jambes. Pendant ce temps, les gens discutaient, parlaient entre eux, provoquant un agréable bruit de fond. Les servantes amenèrent ensuite les plats, et Mélinda commença donc à manger et à boire un peu de sang, ce qui eut pour effet de durcir encore sa verge. Elle sentit, vers la fin de l’entrée, son premier orgasme approcher, et mit volontiers sa main sous la table, posant cette dernière sur ses cheveux, et eut un beau premier orgasme, jouissant dans sa bouche. Elle lui offrit son foutre, et laissa néanmoins Cassandre continuer à la lécher.
« Haaannn, c’est si bon, ma petite Ushi... Vas-y, suce-moi encore... »
Le temps continuait à défiler, et Cassandre allait se familiariser avec le sexe long, c’est-à-dire qu’elle allait devoir tenir un certain temps à astiquer ainsi son membre, à se faire à cette longue et magnifique fellation. L’Ushi s’évertuait à la satisfaire au mieux, et Mélinda eut un second orgasme, en se trémoussant sur place, peinant à retenir ses gémissements, se pinçant les lèvres. Inexpérimentée, Cassandre misait sur sa passion, et ça, Mélinda le sentait. Elle multipliait les gorges profondes, faisant disparaître son membre intégralement dans sa bouche, continuant donc à la sucer.
Mélinda finit par lui ordonner de se retirer au bout d’un temps, car c’était l’heure du dessert. Quand Cassandre rejoignit sa place, elle put voir qu’on lui avait offert plusieurs parts de gâteaux au chocolat, avec une crème anglaise bien chaude.
« Comme tu as pu le voir, Cassandre, mes esclaves se répartissent les tâches. Tu pourras manger avec les autres nekos après, si tu le veux, mais je pense que tu as bien mérité une part de gâteau. »
La vampire lui sourit tendrement, avant de rajouter, intriguée, une fois que Cassandre eut commencé à boire de la crème anglaise :
« Alors... Comment trouves-tu le goût du sperme, ma chérie ? »
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L’organisation marchait parfaitement. C’était parfaitement huilée, et tout le monde s’adaptait… C’était relativement incroyable à penser, mais tout marchait comme sur des roulettes. Alors, sans doute que les éventuelles éléments indésirables, les grains de sables, avaient été retirés, avant qu’il puisse déréglée cette machine parfaiement huilée… Mais quoiqu’il en soit, cela ne se remarquait parfaitement. Le repas se déroulait à la perfection pour ceux qui mangeait, le tout dans un calme et des discussions tout à fait agréable, et bien mené… Ceux qui préparaient à manger, travaillaient bien et efficacement, n’hésitant pas à se relayer, apporter les repas, etc. Et cela, toujours aussi efficacement, et avec de grands efforts de ponctualité, pour que les plats chauds soient bien chauds, que les sauces soient onctueuses, et que les desserts soient particulièrement frais, quand ils devaient l’être...
Et la troisième équipe… Dont faisait partie Cassandre… Et bien, elle s’activait à toujours sucer activement les différentes queues qui se présentaient. D’ailleurs, quelques femmes non futa, avaient le droit elles aussi, à du plaisirs, vu que certains esclaves offraient non pas un suçage de queue intégral, mais de très beaux cunnis… Mais sur celle qu’on devait s’intéresser… C’était sans aucun doute Cassandre. Après tout, l’Ushi avait quand même le droit à la meilleure queue de l’ensemble, sans hésitation, étant donné qu’elle se faisait quand même la queue de la Maîtresse ! Ni plus, ni moins… Il fallait bien dire que cela n’était pas rien… Elle continuait de sucer activement, toujours aussi efficacement… Enfin, le plus efficacement qu’elle pouvait faire.
Deux fois, Cassandre eut le droit à la récompense… Quel récompense ? Et bien, par deux fois, elle eut le droit à une belle rasade de sperme dans sa bouche… La première fois, elle fut un peu surprise, il fallait bien le dire, mais elle arriva, avec un peu d’effort, à tout avaler, tranquillement et efficacement. La seconde fois, plus préparée, elle avala tout le plus goulument possible, telle une gorumande ;.. On pouvait dire, sans aucun doute, que visiblement, la fameuse esclave Ushi appréciait particulièrement la tache… Et même quand sa gorge se faisait empaler par plusieurs gorges profondes, elle appréciait ce traitement brutale, elle appréciait l’idée que sa gorge soit telle le fourreau, et le phallus telle l’épée qui se rangeait dans la fourreau. Cependant, tout les plaisirs eurent une fin, vu que Mélinda permit alors à la fameuse Ushi de revenir un peu au niveau de la table.
« Comme tu as pu le voir, Cassandre, mes esclaves se répartissent les tâches. Tu pourras manger avec les autres nekos après, si tu le veux, mais je pense que tu as bien mérité une part de gâteau. »
« C’est si gentil ! Mmh… C’est bon ! »
En effet… Cassandre n’y connaissait véritablement rien, en tout ce qui était matière de patisserie. Elle n’en n’avait jamais mangée auparavant. Alors, bien entendue, elle adorait cela… Mais la question vint alors sur… Une autre question de goût.
« Alors... Comment trouves-tu le goût du sperme, ma chérie ? »
« Oh, c’est délicieux ! »
Elle ne mentait pas. La vachette avait visiblement des goûts rien qu’à elle -et beaucoup de soumis du forum, mais passons sur ce point-, et trouvait cela véritablement délicieux. Donc, elle n’hésitait pas à avouer l’entière vérité à la fameuse vampire… Peut-être était-ce son sperme en particulier ? Elle ne savait pas trop. Pendant la tournante qu’elle avait subit avec grand plaisir -doit-on toujours alors utiliser le terme de subir ?-, elle a avait déjà avalée un peu de sperme, et elle avait déjà aimé à l’époque… Donc, bon… Mais bref, elle déclara cela avec un très grand sourire, montrant bien qu’elle était extrêmement heureuse, et elle continua l’explication, toujours aussi radieuse, le tout à sa fameuse maîtresse, pour expliquer à quel point elle avait adorée tout cela, elle déclara tranquillement :
« Personnellement, j’adore, n’hésitez pas à me redemander de le faire, c’est sans doute ce que je préfère, avec donner du lait ! »
Elle pensait qu’elle préférait sucer à se faire pénétrer… C’était sans doute mieux ! Après, elle adorait aussi quand on la trayait, c’était sans aucun doute ça le principale… Et puis, comme toujours, elle était une Ushi… Heureusement qu’elle aimait se faire traire ! Bref, notre fameuse Ushi se destinait à une très belle carrière de suceuse de queue, visiblement, ne semblant pas du tout déranger à l’idée de les sucer à longueur de journée… Après avoir déclarer cela, elle retourna à son gâteau. C’était bon ça aussi. Elle était vraiment bien tombée. Elle se disait que sans aucun doute, il y avaient des Ushi qui étaient bien plus malheureuses qu’elle… Maintenant, il fallait voir ce qu’allait dire, faire, ou déclarer, la fameuse Melinda Warren. En attendant, elle continuait de manger tranquillement son gâteau.
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Sentir Cassandre sucer son membre avait été très agréable, et, ce soir, Mélinda se sentait particulièrement euphorique. L’Ushi avalait goulûment son gâteau, tout en expliquant qu’elle aimait beaucoup le fait de sucer. La vampire sourit de toutes ses dents, et hocha la tête.
« C’est une bonne chose, Cassandre, car, crois-moi, ta belle bouche d’amour va encore servir beaucoup de fois. »
C’était là une promesse certaine. Ici, au harem, l’amour était une valeur cardinale et récurrente. L’Ushi en avait eu un bel aperçu avec cette orgie improvisée, et, tandis qu’elle mangeait, les chaises se vidaient petit à petit. Ceux qui avaient mangé partaient, et laissaient le soin à la troisième équipe de pouvoir enfin se sustenter. Mélinda, elle, restait assise, saluant la plupart de ses esclaves, tout en jetant un regard attendri vers Cassandra, avant de finir par regarder à nouveau sa femme.
Vanillia lui avait fait un magnifique cadeau avec cette petite Ushi. Et, vu la lueur malicieuse que Mélinda croyait discerner dans les yeux de Vanillia, sa femme savait qu’elle avait visé juste. Elles parlèrent entre elles à voix basse, tout en glissant quelques œillades vers Cassandre, et Mélinda se mit même à glousser un peu, un sourire onctueux venant se dessiner sur ses lèvres. Finalement, la vampire reporta son attention vers Cassandre, et vint lui tenir compte de sa conversation avec sa femme.
« Tu sais, Cassandre, je ne dors jamais seule le soir. J’ai toujours besoin de charmantes personnes pour me border et me tenir compagnie. Ma femme se dévoue volontiers à cette tâche, mais il en faut d’autres, car, vois-tu, à elle seule, elle est bien insuffisante. »
Difficile de ne pas voir où Mélinda voulait aller, car elle avançait avec la discrétion d’un éléphant cherchant à faire le funambule sur un banc de banquise. Elle sourit donc, et reprit, après quelques secondes :
« J’ai notamment besoin d’un coussin sur lequel dormir pendant toute la nuit. Et toi, ma beauté, avec ta peau toute douce et tes seins moelleux et généreux, tu serais, je crois, parfaite pour ça. »
Elle laissa planer quelques instants supplémentaires, avant de reprendre, du bout des lèvres, pour une parfaite question rhétorique, mais dont le seul but était de redonner la parole à sa belle petite vachette d’amour :
« Qu’en dis-tu, ma belle ? »
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Le repas peu à peu s’achevait. Cela avait été une merveilleuse soirée d’anniversaire, cela, on pouvait le dire, sans aucune hésitation. Il était même incroyable, toujours pour la vachette, qu’elle avait eu un superbe « cadeau », par son traitement, alors qu’elle était le cadeau ! C’était quand même fou comme idée… Mais vous supposez, qu’elle n’était pas contre, genre pas contre du tout. Au contraire, même, elle adorait tout ce qu’elle avait subit, même si encore une fois, je me demande si le verbe « subir », est vraiment adaptée, à la situation. Mais passons ! Alors que la fameuse Cassandre terminait alors tranquillement son repas, estimant qu’elle avait bien mangée (et qu’elle n’avait jamais mangée quelques choses d’aussi bon, ce qui quand tu connaissais ce que mangeais les Ushi lors de leur élevage, n’était pas si étonnant), et bien… La fameuse Mélinda avait une idée pour la suite des démarches…
« Tu sais, Cassandre, je ne dors jamais seule le soir. J’ai toujours besoin de charmantes personnes pour me border et me tenir compagnie. Ma femme se dévoue volontiers à cette tâche, mais il en faut d’autres, car, vois-tu, à elle seule, elle est bien insuffisante. J’ai notamment besoin d’un coussin sur lequel dormir pendant toute la nuit. Et toi, ma beauté, avec ta peau toute douce et tes seins moelleux et généreux, tu serais, je crois, parfaite pour ça.»
Oh ! Elle offrait de pouvoir dormir dans un lit !!! Vraiment !!! C’était !!! Ouah !!! Cela mérite beaucoup de point d’exclamation !!! On aime tous les points d’exclamation !!! Bon stop. Bref, en effet, la fameuse Melinda Warren offrait un honneur à la vachette assez impressionnant. Bien sur qu’elle acceptait ! Elle voulait dormir dans un lit avec sa maîtresse, c’était sans aucune hésitation, sans doute l’un des plus grands honneurs pour une esclave comme elle ! Elle se disait que la fameuse vampire était si gentille, si agréable… Elle était une maîtresse parfaite ! Et donc, pour une maîtresse parfaite… Que fallait-il ? Et bien, sans hésitation… Une servante parfaite ! Sinon, ce n’était pas digne ! Les maîtresses parfaites méritaient le meilleur du meilleur… Et Cassandre estimait qu’elle se devait d’être la meilleure des meilleurs.
« Qu’en dis-tu, ma belle ? »
« C’est avec plaisir maîtresse ! »
Elle aurait voulu répondre plus vite, mais malheureusement, la fameuse Melinda, après quelques secondes blancs, avait lancé l’interrogation… Chose logique, cela montrait bien qu’elle contrôlait la situation… Après tout, elle était la maîtresse. Si Cassandre acceptait avec joie, il fallait bien comprendre, qu’en vrai, la fameuse vachette n’avait pas vraiment le choix. C’était une proposition accepter d’avance. Oh, oui, Cassandre n’était pas du genre à comprendre cela, et elle pensait vraiment que sa maîtresse était un puits de sollicitude et de gentillesse, du genre à accepter des encarts, ou des problèmes… Non que Cassandre ne voulait en faire ! Au contraire, rappelez-vous des paragraphes précédents… Cassandre voulait être une servante parfaite ! Donc, il serait de son devoir de faire les choses le mieux possible… Juste -et c’était une excellente chose-, elle voulait le faire d’elle-même, et aucunement sous une contrainte ou une peur.
« Que devrais-je faire exactement ? Juste m’installer pour que vous vous installiez ? Mettre une tenue spéciale ? »
Cassandre posait tout un tas de questions… Car elle ne savait pas trop ce qu’elle devait faire. Là, on tapait, et sans aucune hésitation, dans le pire défauts de Cassandre : celle-ci était quasi incapable de prendre des initiatives, ou avoir ne serait-ce que des véritables idées… C’était un petit peu le problème avec elle. Elle était du genre à ne dire qu’une chose : « Que dois-je faire ? » Bien souvent, évidemment, on avait qu’une seule envie : lui répondre : « Mais réfléchis un peu par toi-même, bon sang de bonsoir... » Sauf qu’en général, dans ce genre de cas, et bien, qu’une seule idée lui venait en tête : « Et si je donnais mon lait ? »… Ce qui, il faut l’avouer… N’était pas toujours genre THE solution à avoir. Mais bon… Au moins… On pouvait dire qu’elle tentait ? C’était toujours mieux que rien… Bref, elle déclara alors :
« Je suis toute ouïe ! »
Au moins, l’avantage… C’était que la vachette était prête à tout pour satisfaire sa maîtresse. Attention, cela ne voulait pas dire qu’elle était prête à tout apprécier, elle n’était pas encore une parfaite soumise BDSM prête à tout subir, et en prendre du plaisir dans 99 % des cas… Cela ne serait tarder, mais ce n’était pas encore le cas, donc patience. Non, mais cependant, elle était prête à toute tenter, tant que c’était sa maîtresse qui le disait ou le proposait. Parfois, elle aurait peur, et elle croirait que c’est une punition, mais que parfois. Là, l’avantage, c’est qu’elle était tellement contente de l’honneur, de ce qu’elle avait mangée, subit, etc. Qu’elle était en parfaite disposition. Maintenant, plus qu’une question… Qu’allait proposer la fameuse Melinda ? C’était une très bonne question… Donc, wait’n see !
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La proposition de Mélinda faisait effectivement partie de ces offres qu’on ne pouvait pas refuser. Elle ne demandait son avis à Cassandre que pour la voir accepter, et lui donner l’occasion d’exprimer sa joie. Quel esclave, en effet, serait déçu à l’idée de dormir avec sa Maîtresse ? Cassandre était ravie, et ça, Mélinda le sentait à la manière dont son sang bouillonnait dans sa poitrine. Elle l’exprima ensuite, et posa plusieurs questions. Qu’est-ce qu’il faudra qu’elle fasse ? Porter une tenue particulière ? La vampire sourit doucement, et se dépêcha rapidement de satisfaire sa curiosité :
« Si je veux que tu portes une tenue spéciale, je te le dirais... Mais je pense que je vais me contenter de ta tenue d’Ushi. »
Aucun changement vestimentaire à porter, donc. Pour le reste... Mélinda sourit encore, et se pinça les lèvres.
« Tu joueras le rôle de ‘‘coussin’’, Cassandre, c’est-à-dire que je dormirais sur toi. Ton rôle sera donc de me bercer, me câliner, et de profiter de mon corps. Crois-moi, tu es très chanceuse, c’est un rôle que mes esclaves s’arrachent. »
Le « coussin » de Mélinda avait en effet la possibilité de passer toute la nuit avec la Maîtresse, de sentir son corps contre le sien, son souffle, et, dans un registre plus osé, de lui faire l’amour, de soulager ses soifs nocturnes, et d’être là, au réveil de la Maîtresse, pour la sentir vous pénétrer langoureusement en se réveillant. C’était une situation de choix, une place privilégiée, et Cassandre avait donc toutes les raisons du monde d’être heureuse. La vampire la laissait rêver et miroiter ce plaisir exquis, tout en se redressant, et en se rapprochant d’elle.
Sa main caressa la joue de la femme, et elle s’assit sur ses genoux, se mettant sur le côté, mains posées sur ses épaules. Elle lui sourit encore, et l’embrassa sur les lèvres, un joli et tendre baiser.
« Mais, en attendant, je te laisse explorer le manoir, Cassandre... N’hésite pas à aller voir les autres esclaves, vous appartenez tous à la même famille, maintenant. »
Mélinda n’allait en effet pas se coucher tout de suite, et elle ne voulait pas non plus traîner Cassandre partout derrière elle. Pour le moment, elle estimait plus judicieux de laisser l’Ushi prendre un peu ses marques, et découvrir par elle-même le manoir et toutes ses joies. Pour la vampire, c’était la meilleure approche possible, et elle esquissa un nouveau sourire à l’intention de la jeune femme, frottant tendrement son nez contre le sien, pour lui décerner ensuite un baiser supplémentaire.
Il y avait intérêt à ce que Cassandre ne soit pas une femme avare en matière de baisers, vu que, au sein du manoir, on en distribuait beaucoup !
« N’aie pas peur de te perdre, j’enverrais quelqu’un te chercher, ma petite vachette. »
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Cassandre était stupide. Cela... Et bien, c’était un fait. Il faut bien le dire. Cassandre n’était pas une vachette très intelligente. Mais aussi stupide était-elle... Elle était tout à fait capable de comprendre que ce que lui proposait la fameuse Melinda... était littéralement un privilège qui, il faut bien le dire, n’arriverait pas si souvent... Après tout, Cassandre avait conscience qu’elle était que la star pour une seule et unique journée. Très vite, et elle en était bien contente, elle allait faire partie du Harem, et en être très heureuse. Pour le moment, donc, elle avait le droit à des privilèges que bientôt, elle n’aurait plus. Donc, elle devait en profiter... Et surtout, être honorée de cela ! Après tout, c’était quand même un honneur... Que la fameuse Melinda mit bien en avant :
« Si je veux que tu portes une tenue spéciale, je te le dirais... Mais je pense que je vais me contenter de ta tenue d’Ushi. Tu joueras le rôle de ‘‘coussin’’, Cassandre, c’est-à-dire que je dormirais sur toi. Ton rôle sera donc de me bercer, me câliner, et de profiter de mon corps. Crois-moi, tu es très chanceuse, c’est un rôle que mes esclaves s’arrachent. »
« Je devine maîtresse ! Et j’en suis honorée ! »
Voilà ! Donc, elle retenait... Son rôle avait l’air pas trop dur, mais elle ne devait absolument pas se craquer, le rater, etc... Elle devait être à la hauteur de la tache qui lui serait demandé... Car c’était sa maîtresse qui le demandait... Elle allait faire tout ce qu’elle devait faire ! Et être la meilleure des servantes, pour sa précieuse maîtresse ! Après tout, maintenant qu’elle avait vu tout les avantages à être parmi les différents esclaves qui étaient chez les Warren... Et bien, elle devait voir aussi les responsabilités ! Car n’oubliais pas ce que dis l’Oncle Ben : « Un grand plaisir... Amène de grandes responsabilités ». Quoi ? Comment cela, il n’a jamais dis ça ? Attendez, je vais aller remater les films Spiderman. A force de mourir, je devrais bien trouver quand est-ce que L’oncle Ben a le temps de dire ça !
« Mais, en attendant, je te laisse explorer le manoir, Cassandre... N’hésite pas à aller voir les autres esclaves, vous appartenez tous à la même famille, maintenant. »
« Bien euh... »
Elle avait une hésitation... Une hésitation d’importance... En effet, elle ne savait pas grand chose de où elle était. Vous pourriez me dire : « Ce n’est pas bien, elle aurait du retenir un peu plus ! » Sauf que rappelez-vous... Elle était venue dans une boite. Les yeux bandées... Bref, elle n’avait rien pu voir du tout, elle ne connaissait rien. Pour elle, depuis le moment où elle avait été littéralement mise en boite, et bien, elle n’avait rien vu de son trajet... Tout ce qu’elle connaissait du manoir de la fameuse maîtresse, Mélinda Warren... Et bien, c’était cette salle à manger ! Donc, cela lui semblait risquer de pouvoir se promener. Surtout qu’elle ne savait ni lire, que cela soit l’heure ou des écrits éventuelles, ni bien se réperer en lieux inconnu... Donc... Mais heureusement, la fameuse Warren déclara :
« N’aie pas peur de te perdre, j’enverrais quelqu’un te chercher, ma petite vachette. »
« Ah ! Cela me rassure ! Vous êtes si gentille maitresse ! »
Ouf ! Sa crainte s’envolait, comme ça, d’un seul coup ! Cela voulait dire qu’elle pouvait commencer à s’aventurer dans le manoir, sans craindre de ne pas arriver à temps pour sa fameuse maîtresse... Ce qui franchement, aurait été horrible ! Inacceptable ! Extrêmement triste ! Bref, vous aurez compris... Notre fameuse vachette n’aurait pas spécialement aimé l’idée de ne pas réussir à être à temps pour la fameuse nuité que préparait la fameuse Melinda. Donc, après avoir remercier une énième fois la fameuse Melinda Warren, notre fameuse vachette prit congés. Il était temps maintenant d’explorer tout cela, de découvrir par elle-même.
« Lalala... »
Elle se demandait ce qui allait se passer, et commençait à errer dans les différents couloirs de la résidences. Loin d’être une résidence du XV siècle, c’est à dire une série de plusieurs pièces en enfilades, sans la moindre complications pour se retrouver (Au XV siècle, vous trouverez ainsi plusieurs pièces à la suite, qui se suivent, et ainsi, vous pouvez aisément trouver votre chemin, étant donné qu’il n’y a presque jamais de couloirs), là, au contraire, on pouvait tout à fait se perdre quand on ne connaissait pas. Car l’ensemble était relativement, enfin, de ce que la vachette connaissait, gigantesque. Avec plusieurs salles un peu partout... Et surtout, des tas et des tas de gens, qui étaient très curieux de voir la fameuse vachette se promener. Surtout que comme beaucoup dans le manoir, elle restait très peu vêtue.
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Difficile pour Cassandre de rester inaperçue, car elle avait une clochette reliée à son cou, qui carillonnait à chaque fois qu’elle marchait. Le manoir, quant à lui, était une grande bâtisse de style victorien, en forme de U. La salle à manger se trouvait au rez-de-chaussée de l’aile centrale. L’aile droite comprenait principalement les chambres, et se composait de plusieurs longs couloirs donnant sur les chambres. La nuit tombant, plusieurs esclaves étaient déjà dans leur chambre, et faisaient l’amour. Si Cassandre tendait l’oreille devant les portes entrouvertes, elle pouvait tout à fait les entendre.
L’aile gauche comprenait surtout des pièces de vie, comme la bibliothèque, la salle de sport, la piscine intérieure... Ou encore le salon de détente, un véritable paradis pour otakus. Financièrement parlant, Mélinda n’était pas avare avec ses esclaves, et ce d’autant plus qu’elle ne comprenait pas forcément très bien le principe de monnaie virtuelle, ou l’utilisation de la carte bancaire. Les esclaves avaient donc acheté quasiment toutes les consoles de jeux vidéos possibles, avec de multiples accessoires, et des centaines de jeux vidéos, qui s’empilaient dans un grand placard. Cassandre put rapidement constater que le manoir était assez vivant, et que personne ne semblait peiné d’être esclave. Des gens venaient régulièrement l’embrasser, ou la câliner, de manière à ce qu’elle ne se sente pas trop seule, et, en définitive, on lui proposa même de jouer.
Certes, le sexe était fondamental dans le manoir, mais ce n’était pas la seule activité à laquelle les esclaves de Mélinda s’adonnaient.
« Tu as déjà touché à un jeu vidéo, Cassandre ? Là, on se fait une partie de Mario Kart ! »
Pour la belle Ushi, tout ça devait être difficile à appréhender, mais personne ne se moquait d’elle. Au contraire, à chaque fois qu’elle perdait, elle avait droit à des baisers, comme pour la consoler. À cette heure, il était en revanche rare de voir des individus totalement habillés. La plupart des filles étaient en sous-vêtements, jouant en gloussant entre elles.
Le temps fila donc, et Cassandre, si elle était lassée de jouer, pouvait aussi se rendre à la salle de cinéma, où d’autres esclaves regardaient un film. Mélinda avait de l’argent, et tout ça se voyait très bien dans la diversité des activités proposées. Finalement, et au bout d’un moment, une jolie neko en tenue de maid, répondant au nom de Liana (http://img81.xooimage.com/files/2/2/3/liana-363035f.jpg), vint chercher Cassandre. L’Ushi était alors assise sur un canapé, en pleine séance d’embrassade avec un autre homme, dont le sexe tendu caressait ses cuisses.
La petite Liana se racla la gorge, les joues légèrement rougies.
« Maîtresse Mélinda souhaite la venue de Cassandre dans sa chambre pour passer la nuit avec elle. »
Liana avait une voix douce et tendre, mais précisa rapidement :
« Néanmoins, vous pouvez finir ce que vous avez commencé avant d’y aller... »
En effet, l’homme avait demandé à Cassandre de le masturber tout en l’embrassant, et Mélinda n’aimait pas qu’on s’arrête à mi-chemin...
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TOP A LA VACHETTE ! Quoi ? On avait bien libérée la fameuse vachette dans les couloirs du manoir de Mélinda Warren... Donc, c’était un peu comme dans Interville ? N’est-ce pas ? Il manque Guy Bedos, mais bon... Non, enfaite, cela n’avait rien à voir avec Intervilles. Surtout qu’en plus, on avait personne qui était déguisée en poulet géant. Mais passons sur ce point. Bref, en tout cas, la fameuse vachette continuait de se promener dans les fameux couloirs...
Au fur et à mesure des promenades, elle découvrait un peu plus le manoir. Cela ne ressemblait en rien avec tout ce qu’elle connaissait, il fallait bien le dire. Errant toujours, elle regardait à droite, à gauche. Elle remarquait la quasi nudité constante de tout ceux qui vivaient dans le manoir. Elle ne savait pas du tout si c’était une règle... Mais elle s’en fichait. Chacun faisait comme bon lui semble. A froce d’errer, elle passa donc vers la partie gauche du manoir. Elle remarque que beaucoup visiblement étaient entrain de faire l’amour. C’était donc une occupation comme une autre. Finalement, elle se retrouva dans une grande salle donc la fonction lui échappait... Cependant, beaucoup de filles étaient justement entrain de « jouer » visiblement. Elle s’approcha alors, tandis que les filles l’interpellaient, curieuses :
« Tu as déjà touché à un jeu vidéo, Cassandre ? Là, on se fait une partie de Mario Kart ! »
« Je ne connais pas ! »
En effet ! Faut dire, Cassandre venait de Terra... Et ne connaissait même pas les plaisirs et les loisirs que connaissaient le monde de Terra, justement. Pour tout dire. En effet, toute sa vie avait toujours été une pure vie de vachette, et c’est tout. Rien d’exceptionnel... Elle avait eu des amis, mais elle avait découvert pas grand chose. Ainsi, elle découvrit le monde du jeu vidéo. Elle fut très très nule, vous n’imaginez même pas. Alors qu’elle avait la manette en main... Déjà, elle mit énormément de temps à comprendre les commandes, mais en plus... Elle était tout simplement très très nulle. Elle passa alors une grande partie de la soirée à ça, car il faut bien dire... Elle s’amusa fortement ! C’était très fun comme jeu ! Cependant, elle partit à un moment, laissant sa place à autrui, tout simplement pour faire autre choses.
« Maîtresse Mélinda souhaite la venue de Cassandre dans sa chambre pour passer la nuit avec elle. »
« Mmh... ? »
La jeune vachette se rappela ! En effet, elle devait aller rejoindre Mélinda ! Ouah ! Elle était surprise, elle ne pensait pas que le temps était passé si vite. Elle devait faire vite, cependant, si elle voulait pas se faire rouspeter. Les retards, quand on était une bonne esclave, cela ne se faisait pas ! Pas du tout ! Car qu’est-ce qu’elle faisait... Et bien, en se promenant, elle avait rencontré un beau mec, qui s’appelait Tim, et qui de suite, lui avait pressé un peu les seins. De suite, le fameux bel homme avait commencé à malaxer ses seins, et avaient demandé une belle branlette... Sans aucun soucis, la fameuse vachette avait accepter de faire cela... Mais malheureusement, cela allait devoir se faire plus tard... Car elle avait bien peur qu’elle devait faire quelques choses de plus urgent. Cependant :
« Néanmoins, vous pouvez finir ce que vous avez commencé avant d’y aller... »
« Je vais finir ça rapidement alors ! »
En effet, elle décida de passer à la vitesse supérieur. Ayant brisé le baiser qu’elle avait offert à l’homme, et bien... Elle se baissa, et libéras ses deux gros seins. Aller. On va le faire jouir rapidement. De suite, le phallus de l’homme fut emprisonnée entre les deux seins de la vachette, qui commença à lui offrir une bonne branlette espagnole. Elle décida de le faire jouir rapidement, et notre cher Tim, commençait à gémir de plaisir. Elle continuait d’accélérer, et n’hésitez pas à être efficace. Finalement, le phallus cria grâce, et offrit plusieurs jet de jouissance, qui vinrent tacher la tête de la vachette, les cheveux roses, etc. Elle lécha ce qu’elle pouvait lécher, tranquillement, et tenta de se nettoyer un peu. Quoiqu’il en soit, elle déclara avec grand plaisir, une fois que cela se soit passer :
« C’était agréable ? Je l’espère ! Au revoir, et à bientôt Timmy ! »
Elle l’embrassa de nouveau, et le laissa alors. Après tout, elle lui avait fait une bonne branlette espagnole, et sans aucun doute que ce dernier, surnommé affectueusement Timmy, allait sans doute revoir un jour la vachette... De toute façon, les deux vivaient ainsi dans le même manoir, et la fameuse Cassandre commençait à franchement se dire qu’elle ne voudrait pour rien au monde, quitter ce fameux Manoir. Après tout, les gens étaient trop gentil, on y mangeait bien, et sa maîtresse, pouvait lui demander tout ce qu’elle voulait, car elle était une gentille Ushi, qui obéissait bien aux ordres ! Car les méchantes Ushis n’obéissent pas aux ordres, tandis que les gentilles, elles, le font. C’est comme ça que ça marche ! Et c’est logique ! Mais oui c’est clair, comme dirait le plus grand savant de langue francophone qui existe. Mais oui, vous le connaissez. Le grand Eddy Malou... Bon, cesse de stupidité :
« Me voilà Maîtresse ! »
Elle se présenta, toute sourire, tandis que sa camarade passait plus dans l’ombre. Le fameuse Cassandre était prêt pour sa mission. CAPORAL CASSANDRE READY FOR DUTY. Je prend ça beaucoup trop au sérieux... en même temps, ce n’était pas illogique. Car Cassandre, elle aussi, prenait cela très au sérieux. Mais comme toujours, on pouvait repprocher une chose à Cassandre... Elle ne prenait pas assez le devant. Là, elle attendait, alors qu’en théorie, elle savait quoi faire. Mais comme toujours, comme une bonne esclave, comme une bonne servante, elle préférait attendre les ordres de sa maîtresse, pour faire exactement, au détail prêt, ce qu’avait demandée sa maîtresse. C’était un défaut, à mon sens, mais peut-être que la fameuse Melinda Warren allait apprécier cette marque de dévotion envers sa personne... ? Qui sait. C’est toujours un peu complexe, ce genre de question, si vous voulez mon avis.
-
Il ne fallait pas non plus que Cassandre se montre anxieuse en craignant avoir pris trop de temps, et pouvoir mettre sa Maîtresse en attente. Mélinda ne voulait pas que l’Ushi se sente nerveuse. Au contraire, elle voulait que le séjour de l’Ushi ici soit comme un long fleuve tranquille, fait de douceur et de gentillesse. Cassandre acheva donc de jouer avec Tim, qui fut particulièrement ravi, puis elle suivit ensuite Liana, qui la conduisit vers la chambre de Mélinda.
Il s’agissait d’une belle chambre, se trouvant dans la partie centrale du manoir. Quand Cassandre entra, Mélinda était déjà nue, lui tournant le dos, ce qui permit à la belle vachette de voir ses magnifiques fesses, sa chute de reins, sa longue chevelure... Indéniablement, Mélinda était une très belle femme, une véritable nymphe, ce dont elle avait pleinement conscience, et dont elle jouait fort volontiers avec les autres.
« Coucou, Cassandre... J’espère que tu t’es bien amusée ce soir, ma petite chérie. »
Mélinda dormait généralement nue. Ce soir, elle était en compagnie des membres de sa proche famille, puisqu’il y avait Vanillia et Akira. Vanillia portait une élégante nuisette à dentelle (http://img110.xooimage.com/files/5/d/1/nuisette-dentelle...8496784f-51d490f.jpg) avec des collants. Akira, de son côté, avait opté pour de très fins sous-vêtements vifs (http://img110.xooimage.com/files/9/e/a/sexy-lace-lingeri...ont-sexy-51d491a.jpg), preuve que Cassandre serait très bien entourée.
Le lit de Mélinda était assez grand, pouvant aisément contenir quatre à cinq personnes. Un véritable lit King Size à la gloire de Mélinda, avec des draps propres et repassés. La vampire demanda à Cassandre ce qu’elle avait fait ce soir, et haussa les sourcils quand elle expliqua avoir joué à Mario Kart. Pour la vampire, ce genre d’occupations était tout simplement incompréhensible, la voluptueuse femme ayant bien du mal avec les pixels et les écrans... Puis Cassandre lui expliqua avoir rencontré Tim, et l’avoir masturbé.
« Oh, oui... Timmy ? Il adore ça... Surtout quand on le masturbe avec les pieds, en fait. C’est une chose que tu apprendras, ma chérie. »
Mélinda rejoignit ensuite le lit, et s’assit sur ce dernier, en tapotant une place vide à côté d’elle, pendant que Vanillia et Akira se positionnaient également.
« Ce soir, je dors avec ma famille... Et tu dors avec nous.
- C’est un moment privilégié pour toi, Cassandre... » sourit également Vanillia.
Le temps que Cassandre rejoigne le lit, elle reçut une série de caresses de la part d’Akira et de Vanillia, puis se retrouva à côté de sa Maîtresse, couchée sur le lit. Mélinda lui sourit tendrement, sa main venant caresser son visage, avant de l’embrasser tendrement.
« Est-ce que tu es contente d’être là, ma chérie ? De dormir avec ta Maîtresse ? »
-
Cassandre venait d’entrer dans la chambre. Bien sur, bien que Mélinda faisait tout pour rassurer la fameuse Ushi, il fallait quand même dire qu’elle eut un peu peur, au moment d’entrer véritablement dans la chambre... Elle savait qu’elle avait eu le droit de finir ce qu’elle devait faire, avant de devoir rejoindre sa précieuse maîtresse. Mais quand même ! De toute façon, c’était comme ça que marchait la plupart des peurs... C’était complètement absurde. Dans les faits, elle devrait littéralement s’en foutre, vu qu’elle savait que sa maîtresse, elle, n’y verrait aucun soucis... Mais bon, c’était quand même une peur...
« Coucou, Cassandre... J’espère que tu t’es bien amusée ce soir, ma petite chérie. »
« Oh oui maîtresse !! »
Heureusement, la peur pouvait s’envoler, surtout quand on avait une maîtresse aussi gentille. Si Cassandre n’avait pas tant peur de gêner, elle aurait raconter tout ce qu’elle aurait fait, dans les moindres détails... Mais elle se contenta, heureusement peut-être, de simplement expliquer rapidement deux trois choses, dont le fait qu’elle avait taillé une pipe à Timmy. Melinda, montrant encore aux yeux de Cassandre a quel point elle était une bonne maîtresse, montra qu’elle connaissait le jeune homme, en expliquant non seulement qu’elle le connaissait, mais aussi qu’elle savait qu’il appréciait fortement les masturbations, particulièrement avec les pieds... Cassandre se demandait comment on faisait, mais elle n’avait de doute sur le fait qu’elle allait très certainement vite apprendre... Après tout, on apprenait vite tout cela,
« Ce soir, je dors avec ma famille... Et tu dors avec nous.
- C’est un moment privilégié pour toi, Cassandre... »
Cassandre alors s’installa, en approuvant d’un hochement de tête. Elle eut alors très rapidement des questions qui lui furent posée, devant son petit silence.
« Est-ce que tu es contente d’être là, ma chérie ? De dormir avec ta Maîtresse ? »
« Je suis si heureuse maîtresse ! »
Cassandre déclara cela, sans la moindre hésitation... Cassandre n’était pas une Ushi très exigeante, ce qui, il faut bien l’avouer, était l’un des gros avantage de l’Ushi, quand on décidait de l’acheter. Pourquoi cela, me diriez-vous ? Et bien... Il ne fallait pas lui demander grand chose pour qu’elle soit heureuse. De la nourriture, un lieu où dormir, et surtout, la traire régulièrement, et elle devenait tout de suite extrêmement satisfaite de ce qu’on lui faisait subir. Même si on la trayait 24h/24, 7/7 ; et bien... Si on lui donnait à manger, et qu’on la protégeait, elle s’estimait heureuse... Cela faisait qu’il était parfois difficile, il faut bien le dire, de savoir si cela était vraiment si... Si important que cela, de l’entendre dire qu’elle était heureuse... Est-ce que cela avait de la valeur, véritablement... C’était une bonne question...
« Vous êtes si belle, si gentille, si douce, si parfaite ! »
Et avec cela, la question se dissipe alors entièrement. En effet, alors qu’on pouvait se demander si Cassandre ne disait pas qu’elle était tout le temps heureuse -sauf quand elle se faisait ouvertement maltraitée, elle était légèrement masochiste, mais pas non plus complètement, il faut bien l’avouer... Bref, elle ne disait pas tout le temps autant de compliment à ses maîtres et maîtresses... Pour tout dire, il était même rare qu’elle soit aussi élogieuse envers un maître ou une maîtresse... Non, franchement, ce n’était pas courant, et cela voulait dire bien souvent, une seule et unique chose... Qu’elle était très bien ici. Etant donné que la fameuse Cassandre, autant le dire, n’était pas suffisament intelligente pour savoir faire véritablement de la lèche. Ouais, c’était stupide, mais c’était comme ça qu’elle était...
« Je suis l’Ushi la plus heureuse du monde ! Je ferai tout pour vous, maîtresse ! »
Elle s’installa proche de sa maîtresse, et offrit alors ses seins, à celle des trois qui voulaient... Cassandre savait qu’elle ne pouvait faire grand chose de plus, mais elle comptait bien être, au moins, à la hauteur de ce qu’elle savait faire... C’était à dire, donner ses seins. Après tout, elle aimait une chose : se faire têter. Les gens appréciaient avant tout une chose, chez elle, et c’était... Ses seins... Donc, CQFD, les deux allaient bien ensemble. N’est-ce pas ? Bref, en tout cas, la fameuse vachette se demandait bien alors ce qu’allait faire les femmes. Elles s’offraient à ses trois maîtresses et celle-ci pouvait faire ce qu’elles voulaient. Sans doute allaient-elles en profiter... Je veux dire, ce n’est pas tout les jours qu’une charmante vachette s’offrait comme ça. Qu’allaient faire les femmes ? Et bien, j’ai ma petite idée...
-
Cassandre ne tarit pas d’éloges sur sa Maîtresse, et avoua ça avec une telle spontanéité que les filles ne purent que brièvement glousser. Mélinda sourit, amusée. Bien sûr, elle aurait pu prendre ça pour de la flatterie, mais elle savait que Cassandre était sincère. La petite Ushi s’exprimait tout simplement, avouant ce qu’elle pensait, et rejoignit ensuite le lit, où elle présenta sa généreuse poitrine aux trois beautés vampiriques.
« Oh...
- C’est vrai que les Ushis produisent naturellement beaucoup de lait... »
Tout en parlant, Vanillia pinça, du bout des doigts, l’un des tétons de l’Ushi. Immédiatement, du lait se mit à fuser, éclaboussant les doigts gantés de la femme, qui sourit, avant de suçoter ses doigts.
« Et elles en recrachent aussi beaucoup... Vu comment ses tétons sont tendus, notre petite vache doit avoir très envie qu’on daigne soulager à nouveau sa poitrine...
- Il n’y a pas que ça dont elle veut être soulagée », nota Akira.
Le sang de l’Ushi battait dans ses veines, témoignant de son état d’excitation, tout en, cependant, se concentrant autour de son sexe, de sorte qu’il était difficile de se méprendre. Deux seins, un sexe... La configuration n’était-elle pas idéale ? Les Warren n’eurent qu’à se regarder. Akira, quand elle était devenue une vampire, avait été très hostile envers sa mère. Mélinda l’avait transformé en vampire après l’avoir séquestré et violé, et, pour ne rien arranger, Akira était la fille d’un chasseur de vampires. Peu à peu, la jeune fille avait néanmoins su accepter son héritage, et goûter également au fruit défendu. Elle était maintenant aussi attirée envers le sexe que sa mère, ce qui était, bien entendu, tout à fait au goût de cette dernière.
Ayant déjà goûté à l’Ushi, Mélinda fit signe à sa femme et à sa fille de s’approcher. Elles couchèrent Cassandre sur le dos, au milieu du lit, sa tête se posant sur un agréable oreiller, à l’emplacement où, plus tard, Mélinda dormirait.
« Couche-toi bien, Cassandre... Et n’oublie pas de meugler bien fort, surtout, ma chérie ! »
Vanillia s’approcha alors de l’un de ses seins, et retourna le prendre en bouche, rapidement rejointe en ce sens par Akira, qui s’y attaqua également. Le corps de l’Ushi se mit naturellement à remuer sur le lit, tandis que le lait fusait dans la gorge des deux vampires. Mélinda, de son côté, était assise sur les genoux, et caressait avec ses mains les hanches de Cassandre. Bien sûr, elle aurait pu la pénétrer, mais, au lieu de ça, elle préféra se pencher vers la femme, et déposa une série de baisers sur son estomac.
Le corps de Cassandre était tout chaud, bouillonnant sous le contact des deux femmes occupées à la pomper de son lait. Mélinda, elle, alla rapidement à la cible privilégiée, le pubis de sa beauté, et fourra sa langue en elle... Puis commença à remuer dessus, enfonçant son appendice lingual dans cette délicieuse cavité humide, et lécha vigoureusement.
« Hmmmm... »
Qui oserait prétendre qu’elle ne s’occupait pas bien de sa petite Ushi ?
-
Bien installée aux côté de ses maîtresses, beaucoup d’émotions se mélangeaient dans la jeune vachette, qui était véritablement un peu tout à la fois… Elle était bien entendu, et avant tout, joyeuse. Sa situation était excellente, elle était confortablement installée dans le lit aux côté de ses maîtresses, elle était bien heureuse ! Mais il y avait aussi un peu de peur, étant donné qu’elle craignait véritablement de faire une erreur, une faute qui amènerait outre une punition, surtout, un manque de respect envers sa si gentille maîtresse… Et franchement, elle ne voudrait pas ! Cela ne serait pas bien ! Et à ses deux grandes émotions fortes, se rajoutaient des dizaines d’autres petites émotions, de l’excitation, de l’impatience, entre autres… Ainsi, elle fut tout d’un coup pincée au niveau du téton. Nullement de le méchanceté, seul un petit gémissement, autant de plaisir que de surprise, sortit de sa bouche.
« Oh...
- C’est vrai que les Ushis produisent naturellement beaucoup de lait... »
Elle fit oui de la tête. En effet, les Ushi étaient connus pour donner beaucoup de lait… Et en effet, en plus, Cassandre était une grosse productrice ! Elle pouvait même être considéré comme problématique, car… Bah, en toute logique, on devine que bien souvent, trop de lait… et bien, on sait pas quoi en faire ! Donc, parfois, prendre une Ushi de la trempe de notre chère Cassandre n’était pas spécialement une bonne idée, car cela revenait comme trop cher d’entretien… Oui, cela pouvait paraître assez atroce de penser comme cela, mais il fallait bien se dire que les vachettes étaient parfois vu comme de simple machine à lait vivante, donc, il falait réfléchir, en les achetant, en terme de rendement, et de production, en terme d’offre et de demande. Bien sur, tout cela, Cassandre n’était pas assez intelligente pour y penser, mais cela faisait parti quand même des choses à prendre en considération !
« Et elles en recrachent aussi beaucoup... Vu comment ses tétons sont tendus, notre petite vache doit avoir très envie qu’on daigne soulever à nouveau sa poitrine...
- Il n’y a pas que ça dont elle veut être soulagée »
« Meuh... »
En effet, elle était pas contre du tout l’idée de se faire un peu traire… Elle estimait qu’elle en avait bien besoin, après cette journée ! Après tout, une bonne traite, c’était toujours quelques chose qui faisait du bien aux Ushi ! Ainsi, elle fut installée bien sur le lit, allongée, et elle allait être au centre de toutes les attentions, aussi bien des deux femmes que de la fille… Voulait-elle être soulagée de partout ? Oui ! Sans aucune hésitation, la vachette avait très très envie qu’on s’occuper… Bien d’elle, disons. Et quand je dis, qu’on s’occupe bien d’elle… Vous voyez ce que je veux dire ! Ainsi, sans aucun doute, la vachette allait connaître une nuit très agréable, et pour cela… Elle ne pouvait que remercier d’avance ses trois compagnons de lits. D’ailleurs, elle put ainsi entendre les premières consignes, de cette nuitée qui s’annonçait agiter.
« Couche-toi bien, Cassandre... Et n’oublie pas de meugler bien fort, surtout, ma chérie ! »
« Je n’hésiterai pas… ! »
C’est alors que tout commença vraiment ! Cassandre allait être servi, cela, je vous l’assure. Comment cela, servie ? Et bien, littéralement, servie sur un beau drap, pour ses trois compagnes du moment… En effet, comme dit précédemment, laf amesue Cassandre allait être littéralement au centre des attentions. Et là, je vous dis, bien, le littéralement, il faut le prendre de manière littérale… En effet, alors que la vachette était allongée, et s’offrait toute entière, seins en avant, -c’était quand même ça principale caractéristique, il ne faut pas l’oublier… Deux des trois décidèrent de se laisser à aller à ses deux mamelles pleines de lait. C’était compréhensible, il fallait bien se dire qu’elles étaient tentantes ! Ainsi, Vanilla et Akira commencèrent toutes deux à têter la vachette, qui en meuglait de plaisir… Mais le mieux, le plus important, était encore à venir, étant donné qu’en bas… Il y avait…
« Hmmmm... »
« Meuh… Ah… Meuh... »
Que se passait-il en bas ? Et bien… Cassandre avait le droit à un véritable honneur, que sans doute peu de vachettes avaient eu le droit. Elle avait le droit littéralement, je ne plaisante pas, à un véritable cunnilingus, un de ces plaisirs saphiques les plus importants, offert par sa maîtresse et personne d’autre, une véritable jouissance. Pour la vachette, c’était l’une de ses premières fois, donc, évidemment, elle était très sensible, et meuglait de plaisir. Mais elle se sentait un peu coupable de recevoir, sans rien offrir, oubliant qu’elle offrait quand même son lait, même si elle recevait du plaisir grâce au tétons… Bref, la vachette décida qu’il était temps de demander, gentiment, et offrant un nouveau service !
« Si je peux faire plaisir à l’une d’entre vous… Qu’elle n’hésite pas… Meuh... »
Elle mentionnait bien évidemment sa bouche… Je rappelle qu’elle avait adoré la fellation, donc, il serait plutôt logique qu’en effet, elle ait envie de continuer à user de sa bouche. Mais s’il y avait un côté proche du fait qu’elle avait envie de le faire, il fallait bien comprendre qu’elle le proposait avant tout, comme un cadeau. Elle voulait vraiment offrir du plaisir, à ses dames qui étaient si présente, et si là pour elle… On allait bien voir ce que cela allait donner. Après tout, la vachette était quand même présente pour donner du plaisir. Elle comptait bien s’y activer !
-
Cassandre avait le corps bien pris par les trois femmes qui s’occupaient d’elle. Akira sur un sein, Vanillia sur l’autre, et le meilleur pour Mélinda, qui léchait l’intimité de la femme. Sa langue se glissait en elle, titillant sa cavité intime, ce délicieux trou. Ses mains se posèrent sur les fesses de l’Ushi, en appui, et elle continua à la lécher, tout en soupirant de plaisir. Yeux clos, elle frottait son nez contre la peau de l’Ushi, et sentait sa mouille se déverser contre sa langue. Il n’y avait, de ce fait, personne pour remplir la bouche de l’Ushi, vu que les trois femmes étaient déjà occupées. Alors, elles se contentaient de l’entendre gémir, et pousser des meuglements particulièrement mignons.
Le spectacle était en réalité très attendrissant, et Akira et Vanillia se régalaient. Le délicieux lait de l’Ushi était aussi magnifique que ce à quoi elles avaient pu s’attendre. Ce bon lait filait dans leurs gorges, les nourrissant et les excitant. Cassandre produisait en effet beaucoup de lait, et, à terme, Mélinda lui imposerait sûrement des heures de traite obligatoire, afin d’éviter que ses mamelles ne soient distendues par une trop forte accumulation de lait. Mais, pour l’heure, seul comptait ce qu’elle faisait, à savoir ses coups de langue.
Douée de sa bouche, Mélinda faisait rouler sa langue dans la cavité intime de la femme, titillant son clitoris, le léchant à plusieurs reprises.
« Hmmmm... Mmhhmm... »
Yeux clos, Mélinda se concentrait exclusivement à sa tâche, crispant toutefois ses doigts sur la chair moelleuse du petit cul de Cassandre. Tout était fait, en réalité, pour l’exciter au mieux. Les minutes continuaient à défiler, et le trio continuait à s’occuper avec amour et attention du corps de Cassandre. La main de Vanillia caressait et grattait le ventre de l’Ushi, rejointe en ce sens par celle d’Akira. Elles veillaient ainsi au bonheur de l’Ushi.
Pendant plusieurs minutes, le corps de Cassandre fut ainsi l’objet de l’assaut buccal des trois femmes, jusqu’à ce qu’Akira ne finisse par se redresser. Elle avait encore du lait plein la bouche, et se dépêcha d’aller embrasser Cassandre, répandant le lait qu’elle avait bu dans la bouche de Cassandre, pour un baiser très intense et très mielleux.
« Hmmmm... !! »
Oh oui, tout était vraiment fait pour offrir à la petite Ushi le meilleur traitement possible. Dans ce domaine, ses trois amantes étaient de redoutables partenaires. Akira l’embrassait langoureusement, sans pour autant délester son sein, qu’elle pinçait avec ses doigts. Vanillia avait également fini de boire le lait de l’Ushi, et se redressa alors. Sa main gantée caressa les cheveux d’Akira, qui rompit le baiser, tandis que Vanillia se glissait dans le dos de Cassandre, s’asseyant sur ses cuisses, genoux repliés sous son corps. Ses mains caressèrent la tête de la belle femme, puis elle approcha son bassin, ce qui permit à Cassandre de sentir, contre sa tête, une belle barre de chair.
« Tu as aimé quand Mélinda a fourré sa queue dans ta bouche, non ? Alors... Ouvre bien les lèvres ! »
Vanillia était aussi une hermaphrodite, et boire tout ce lait l’avait considérablement excité. Elle avait donc libéré son sexe de sa culotte, et l’approchait maintenant de la bouche de Cassandre, pendant que Mélinda, imperturbable, continuait son cunnilingus. Elle le lui avait dit. Ici, au harem, le sexe était central.
Cassandre en avait la démonstration concrète.
-
Que dire de plus ? A part qu’elle était au paradis ? Et bien, beaucoup de choses ! En effet, la vachette était complètement au centre des occupations, et cela ne la dérangeait absolument pas, il faut bien dire. Au contraire, elle semblait particulièrement apprécié à être au centre des préoccupations. Oui, il fallait bien le dire, notre fameuse vachette avait tendance à un peu vouloir régulièrement qu’on se concentre sur une seule et unique chose : elle-même. Mais c’était pas de l’égocentrisme, ou du narcissisme... Non, c’était juste qu’elle était contente que ses si gentilles femmes étaient là, pour elle, rien que pour elle. Elle était contente d’être à la hauteur, et que ses si gentilles maîtresses aient, envie, comme ça, de s’occuper d’elle. C’était un immense honneur, et elle se devait d’être à la hauteur !
Mais pour le moment, elle n’avait rien à faire... En effet, les trois femmes étaient toutes sur Cassandre, et chacune profitaient de la vachette. Comme toujours, il fallait bien se dire que c’était à ça que la vachette se débrouillait le mieux : offrir son corps. Elle n’était pas une bonne amante, véritablement, et était, autant le dire de suite, une catastrophe en dominante, où en donneuse de plaisir. Elle n’était pas du genre à pouvoir vraiment réussir, en dominante, où même ne serait-ce qu’avec un pénis, si on l’imaginait en futanari. Par contre, à offrir ses gros seins, à sucer des queue, ou bien à offrir son vagin, pour une langue ou pour un pénis... Et bien, on pouvait dire que là, elle savait y faire... D’ailleurs, cela continuait. Seins, vagin... Cassandre continuait de s’offrir, offrant plaisir... Et en recevant, bien sur !
« Hmmmm... !! »
Finalement, l’une des deux maîtresse, décida de profiter un peu ce qui était plus haut que cette paire de sein imposante. Qui ça ? Et bien, c’était Akira, qui la bouche encore pleine de lait, avait arrêté de boire le lait, et avait finalement décidé d’offrir un bon gros baiser sur les lèvres de la fameuse Ushi... Celle-ci apprécia tout particulièrement, appréciant tout particulièrement le fait qu’elle avait le droit à un baiser, un vrai. Elle en avait eu de nombreux, depuis qu’elle était venue ici, mais il fallait bien dire que ce baiser, lui, était légèrement différent. Bien loin d’un petit baiser volage, c’était un vrai baiser, là. Le baiser n’était pas la seule chose à faire remarquer, néanmoins. En effet, alors qu’elle embrassaient la fameuse Akira, une autre personne, elle, usait de ses mains pour offrir du plaisir à la vachette, montrer qu’elle était là, avant, qu’une fois le baiser fut rompu, offrir une proposition à la vachette.
« Tu as aimé quand Mélinda a fourré sa queue dans ta bouche, non ? Alors... Ouvre bien les lèvres ! »
« Oui maîtresse ! Aaaaaaaaah ! »
Cassandre ouvrit grand la bouche. Ce que Vanilla déclara, on ne pouvait pas mieux le dire : en effet, Cassandre avait adoré sucer la queue de sa maîtresse. Elle n’avait jamais sucé auparavant, mais elle adorait cette sensation d’avoir la bouche contrôlé par autrui, de rien pouvoir faire, à part sucer, d’être imposée à avoir la queue en bouche, jusqu’à avoir une importante quantitée de foutre qui vienne remplir sa bouche... C’était un plaisir qu’elle venait de découvrir. Elle fut très heureuse, ainsi, quand elle offrit sa bouche grande ouverte, à la voir, à son tour, se faire remplir, pour qu’elle puisse l’avoir bien en bouche. Comme Mélinda, l’engin de fameuse femme était tout à fait de taille impressionnante, et la fameuse Cassandre devait bien se mettre pour pouvoir avoir le plus de l’engin possible.
« Mmh... »
Elle commença à sucer alors... Mais ce ne fut pas la seule chose qui arriva. En effet, si cela faisait quelques temps que l’on se concentre sur le haut du corps de la vachette... Et bien, il se passait des choses en bas ! En effet, alors qu’elle était entrain de sucer, et bien, elle se faisait toujours lécher, elle aussi... En effet, Mélinda se débrouillait divinement bien avec son cunnilingus... Donc, il fallait bien le dire : elle était sur le point d’offrir un magnifique orgasme à la vachette... En effet, alors qu’elle léchait toujours, tranquillement, finalement, l’orgasme arrive, la poussant à sucer profondément, prenant en gorge profonde le fameux phallus, ce qu’elle... Adora encore plus. Elle adora être utilisée comme ça, et projeta pas mal de cyprine. Elle était au paradis, et les fameuses maîtresses pouvaient voir qu’elles avaient sous leur possession une très belle soumise... Cela allait être intéressant.
-
L’Ushi allait vite aimer le sexe. Ici, au harem, le sexe était en effet une valeur matrice, un pilier central et fondamental, au centre de toute chose. Et, avec une si belle Ushi, il allait de soi que son corps allait beaucoup servir. Vanillia avait ainsi fini par sortir son phallus, très excitée par tout ce lait qu’elle avait bu. Ah, ça, la petite Ushi pouvait bien s’estimer chanceuse ! Elle allait dormir avec trois vampires en même temps, trois Warren ! À tel point qu’on pouvait se demander si elle allait vraiment dormir, en fait... En tout cas, Vanillia avait posé ses mains sur le cou de Cassandre, et facilitait ainsi sa position, la tête repliée en arrière, Vanillia remuant à l’aide ses genoux sur le lit, pour coulisser en elle, tapant contre sa gorge, sa verge posée sur le visage de la femme, ses testicules heurtant ses yeux.
« Hmmmm.... Haaaa... J’adore... J’adore, c’est vraiment... Une superbe U-Ushi ! »
Qui irait nier cette assertion qui venait du fond du cœur ? Mélinda ne pouvait pas lui répondre, ayant la bouche pleine, mais souriait. Vanillia lui avait offert ce cadeau, et il était bien normal que sa petite femme vienne en profiter. Mélinda était toujours très partageuse avec ses cadeaux, et continuait à lécher son tendre sexe. La mouille filait dans sa gorge, et, même si ce n’était pas aussi bon que le sang, Mélinda appréciait beaucoup ce goût sucré.
Elle léchait donc avec appétit ce sexe, jusqu’à sentir la petite Ushi approcher de l’orgasme. Dans un grand soupir, Cassandre se dandina sur place, meuglant silencieusement, et jouit contre les lèvres de la vampire, le corps de la femme atteignant le point de plaisir suprême.
« Mmmhmmm... »
Mélinda sentit la cyprine de Cassandre éclater contre son visage, puis, en souriant, se redressa. Elle conserva ses mains sur les hanches de la femme, puis se rapprocha de Vanillia, et alla l’embrasser. Elle serra sa main contre ses cheveux, s’installant à hauteur de la poitrine de l’Ushi, tout en veillant à ne pas trop l’écraser. En effet, Akira, de son côté, n’était pas en reste, et avait également choisi de faire sortir son sexe masculin. Elle remplaça Mélinda, et, très excitée par le sang de l’Ushi, s’empressa de la pénétrer, enfonçant sa verge en elle, en tirant sur le corps de l’Ushi, de sorte que ses jambes se retrouvèrent hors du lit, permettant à Akira, tout en étant debout, contre le lit, de la fourrer. Son membre s’enfonça en elle d’un coup sec, et elle se mit à gémir.
Avec ces trois femmes sur elle, Cassandre était au cœur de tout, pendant que Mélinda et Vanillia s’embrassaient langoureusement. Un baiser qui témoignait, non seulement toute leur perversion, mais aussi tout leur amour mutuel.
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Être prise par trois Warren... Tous les serviteurs ne pouvaient sans doute se vanter d’un tel exploit ! Heureusement que la vachette était du genre à ne pas comprendre quand on décidait de se vanter, car sinon, elle le ferait allégrement. Heureusement, elle était très modeste -sauf sur la qualité de son lait, étant donné qu’elle faisait le meilleur lait de tout les temps, cela, il faut bien le comprendre, étant donné que si la vachette était bien fière d’une chose, c’était avant tout de son lait. Mais là, ce n’était point son lait qui intéressait. Celui-ci avait déjà eu le droit auparavant à sa petite heure de gloire, on l’avait bien vu. Maintenant, c’était autre chose qui avait tout l’intérêt de la fameuse... Non, des fameuses maîtresses... Chacune faisait son travail, et s’occupait de la vachette, en y prenant le plus de plaisir possible.
Comme nous avions vu précédemment, la fameuse Melinda avait bien profité de l’intimité de notre vachette... Après avoir bien léché, bien sucé, etc... Melinda avait finalement reçu le fruit de la jouissance, de notre chère Ushi, qui était donc arrivé directement dans sa bouche... Akira, elle, avait eu le droit à un baiser avec l’ushi, tout à l’heure... Et finalement, ce fut Vanilla qui décida de prendre un peu son tour sur la vachette. Celle-ci, en effet, décida de s’offrir la bouche que notre Ushi tenait grande ouverte. Ni une, ni deux, la bouche fut alors remplis du beau phallus, qui commença à prendre sa place, prendre ses aises, au niveau de la bouche de la fameuse vachette, se faisait bien plaisir. Elle en posa même jusqu’au testicules sur les yeux de la vachette, qui l’acceptait sans aucun soucis.
« Hmmmm.... Haaaa... J’adore... J’adore, c’est vraiment... Une superbe U-Ushi ! »
« Mmmh ! »
Et la vachette, ainsi, prenait son pied. Très vite, sa gorge se rhabitua au fait d’avoir ce fameux phallus en bouche... Appréciant même particulièrement cela. Visiblement, il fallait bien le dire, le phallus avait bien sa place, ici, et elle en profitait particulièrement. Elle suçait, elle aspirait... Elle faisait de son mieux, pour satisfaire Vanilla. Ne pouvait voir, à cause des testicules de la vampire, elle eut la très bonne surprise qu’une fois la langue partie, la fille adoptive de celle qui avait léché la vachette, décida de s’occuper aussi de l’intimité de l’Ushi. Alors que tout était libre, elle enfonça son sexe dans l’intimité de l’ushi, qui offrit un grand meugissement, entre le gémissement et le meuglement... C’est alors que s’installa, au niveau des seins de l’Ushi, la fameuse Melinda Warren, qui elle pour le moment, laissait tranquille la vachette.
Ainsi, maintenant, Cassandre était complètement en position de soumission. Elle ne pouvait rien faire, elle était utilisée, elle était un cadre pour des amours entre femmes, entre Akira, Melinda, et Vanilla... Quel contexte magnifique ? Et il faut bien se dire que la fameuse Cassandre se trouvait tout à fait à sa place. Elle était particulièrement heureuse de son sort, d’être ainsi, utilisée... Car elle pouvait en profiter, et même, elle en profitait le plus. Bien que l’amour, on le sentait, était de suite visible dans le fameux baiser entre Vanilla et Melinda, elle était le jouet de la soirée, l’héroïne de l’eros... Baiser, d’ailleurs, qui pourrait sembler normal, mais qui était dans un eros absolument splendide. Ce n’était pas qu’un simple baiser, mais le baiser qui illustrait le plus la beauté de l’amour entre les deux êtres.
« Mmh... Mmh... Mmh... »
Si la vachette n’avait pas ce magnifique phallus dans la bouche... Elle serait très malheureuse. Mais ce n’est pas ça que je veux dire. Ce que je veux dire, c’est que si elle ne l’avait pas, il faut bien imaginer qu’elle serait entrain de meugler de plaisir. Prise des deux côtés, la vachette était en véritable extase. Et un puissant extase, un extase de bonheur, absolument intense, et heureux... La fameuse vachette ne savait pas quoi dire, ni quoi faire véritablement, à part profiter du bonheur. Et ne t’inquiète pas Cassandre ! Tu n’avais pas besoin de te casser la tête. Ce qu’on te demande, vu la situation, c’était justement d’en profiter. Elle était au centre de ses amours, et les amours étaient bien présent. C’était des jours heureux, pour elle, et elle comptait bien en profiter le maximum ! Elle avait bien raison. Il fallait en profiter !
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Chanceuse, Cassandre l’était, en effet. Pour sa première soirée, elle avait droit à un traitement de luxe, les trois Warren s’occupant d’elle. Couchée sur le lit, elle était prise d’assaut par leurs verges. Il ne faisait aucun doute que cette nuit n’aurait rien de normale pour l’Ushi, qui allait en passer la majeure partie à faire l’amour longuement. Vanillia enfonçait sa queue dans sa bouche, remuant d’avant en arrière, en s’appuyant sur ses cuisses. Le visage de l’Ushi disparaissait sous les cuisses de Vanillia, et Akira, de son côté, la prenait avec passion. Son membre était bien dur, et c’était une chose qu’elle adorait, maintenant. À la base, elle avait eu en horreur toutes ces femmes hermaphrodites, et, peu à peu, comme pour le reste, Akira avait fini par y succomber.
La belle Ushi était coincée sous ces femmes, et, si Mélinda s’était juste installée, elle comptait bien agir encore. Il ne fallait pas croire qu’elle allait se retenir à un simple cunnilingus ! Mélinda avait également fait sortir sa verge, de sorte que l’Ushi avait, désormais, trois Futanaris rien que pour elle ! La vampire se pinça les lèvres, et se déplaça encore un peu.
« Ne t’inquiète pas, Cassandre, nous allons bien nous occuper de toi… Y compris de tes seins ! »
Surtout de ses seins, en fait ! Après tout, personne ne s’en occupait encore, et Mélinda avait, elle, son idée. Elle se rapprocha de la femme, frottant son corps contre le sien, et glissa son phallus entre ses seins. Cassandre avait une poitrine tellement généreuse qu’il était temps de passer aux choses sérieuses… À savoir une cravate de notaire. Elle posa ses mains sur les tétons de Cassandre, les pinçant délicatement, et commença à les remuer d’avant en arrière. Elle sentit la délicieuse masse de chair de Cassandre.
Mélinda crispa ses doigts sur ses seins, se pinça ses lèvres, et remonta sur ses tétons, puis remua ses seins encore, tout en se déplaçant d’avant en arrière. Sa queue remuait contre la poitrine de la femme, et Mélinda soupirait de plaisir, face à Vanillia. Les deux femmes souriaient ensemble, croisant leurs regards, tout en continuant à prendre Cassandre. L’Ushi se tortillait sous elles, et Mélinda sourit encore.
« Elle… Elle est magnifique, haaaa…
- Oui… Tu as vraiment fait un choix superbe, mon amour ! »
Les tétons de Cassandre crachèrent à nouveau du lait, qui éclata sur le ventre de Mélinda. Elle pinçait en effet assez fortement ses tétons, tout en remuant les seins de l’Ushi de droite à gauche. Sa queue se déplaçait d’avant en arrière, le bout de sa verge heurtant le menton de la femme. Elle continuait ainsi à jouer.
Au bout de plusieurs minutes, Vanillia finit par jouir, et remplit la bouche de la femme, avant de libérer enfin son visage, ce qui permit à l’Ushi de voir sa Maîtresse à l’œuvre.
« Ah… Cassandre, tu es… Hmmm… Magnifique… ! »
La vampire se pinça les lèvres, et Vanillia, de son côté, s’allongea à son tour, dans le dos de Cassandre, et caressa avec sa main gantée son visage, en posant surtout son pouce sur ses lèvres.
« Prends ton temps, ma chérie, n’avale pas trop vite mon sperme… Remue-le bien dans ta bouche… »
Vanillia se mit à sourire à nouveau, et l’embrassa sur le front.
Oh oui, elle allait l’adorer !
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L’amour de ses trois femmes étaient immenses. La fameuse Cassandre ne savait pas depuis combien de temps elles se connaissaient, depuis combien de temps ce trio s’était formé, mais elle pouvait ressentir que leur amours étaient quasi incassable. Dur pour elle d’imaginer ne serait-ce qu’une seconde que l’une des trois, avaient auparavant, été relativement… Oh, et bien, autant le dire, qu’elle avait été complètement contre ses deux vampires… Mais là, rien ne transparaissait de ce passé. Seul le futur comptait, étant donné que la fameuse Cassandre ne voyait que ce qui était entrain de se passer...
« Ne t’inquiète pas, Cassandre, nous allons bien nous occuper de toi… Y compris de tes seins ! »
Alors qu’elle était ainsi pénétrée, aussi bien dans la bouche que dans le vagin, la fameuse Cassandre put sentir que c’était à son tour de ses gros seins d’être occupés. Cela était relativement logique. Comme dit régulièrement auparavant… Les Ushi avaient surtout le plaisir au niveau de leurs seins. C’était leurs seins qui étaient la plus immense sources de plaisirs chez elle. En même temps, c’était constamment leurs seins qui étaient utilisés ! Donc, en toute logique… Les Ushi avaient longtemps été développés pour que leurs seins leur apportent le plus de plaisir possible ! Et oui, fallait penser rentabilité ! Une vachette heureuse, était une vachette qui donnait plus de lait. Comme toujours, il ne faut pas penser que c’était le cas pour faire plaisir aux Ushi ! Non bien sur que non ! C’était des raisons purement économique.
« Elle… Elle est magnifique, haaaa…
- Oui… Tu as vraiment fait un choix superbe, mon amour ! »
« Mmmh… ! »
Ses seins, son sexe, sa bouche… Tout était pris, et avec un très grand plaisir… Cassandre redevait, et ainsi, aussi bien ses seins, sa bouche, que son anus… Et bien, elle pouvait avoir un grand plaisir… Elle espérait vraiment qu’elle rendait autant qu’elle donnait. Elle ne savait pas trop, mais elle était heureuse. Très heureuse. Et visiblement, ses interlocutrice l’étaient aussi. En effet, après un bon moment à sucer, la fameuse Cassandre, finalement, eu le droit à sa grande récompense… En effet, la fameuse femme arriva à jouir, remplissant efficacement la bouche de son interlocutrice.
« Ah… Cassandre, tu es… Hmmm… Magnifique… !
-Prends ton temps, ma chérie, n’avale pas trop vite mon sperme… Remue-le bien dans ta bouche… »
« Mmh... »
Elle en avait la bouche remplie… Alors qu’elle s’était apprêté à avaler directement, elle s’arrêta. Elle en avait déjà pris un peu, dans ça va, elle n’était pas spécialement frustrée. Elle pouvait en profiter, maintenant, sans avoir la tentation de pouvoir goûter ce merveilleux sperme. Il n’y avait pas de doute, elle adorait maintenant les fellations. Elle l’avait découvert, et en l’espace de quelques expériences, elle estimait déjà que c’était l’une des meilleurs choses qu’elle avait eu. En même temps, on le dira jamais assez, mais sa vie avait été assez barbante, auparavant. Donc, c’était relativement logique qu’elle cherche à s’amuser un peu plus, avec donc, d’autres choses à faire, de nouvelles expériences… Mais trèves de bavardages !
« C’est si bon maîtresse, je... »
Et si ! Encore plus de bavardages ! Mais c’est ça qu’on aime. Bref, en tout cas, la fameuse vachette profitait bien du foutre bien placée dans sa bouche. Faut dire… Cela serait un crime de ne pas en profiter… Comme elle avait dit à sa maîtresse, elle appréciait vraiment apprécier, et c’était un immense honneur que sa maîtresse ait accepté de lui offrir son sperme, comme ça, si goûteux et si bon… Elle était bien contente. Elle se disait qu’elle allait pouvoir en profiter un moment… Sauf qu’une bonne question vous tarode, j’en suis sûr… Pourquoi avait-elle arrêté sa phrase au beau milieu ? C’est une bonne question… Et bien tout simplement, car il ne fallait pas oublier qu’en plus de ses seins et de sa bouche, qui étaient traité avec beaucoup d’amour… Il y avait aussi en bas, qui se passait des choses et… J’ai comme une impression de déjà vu. Pas vous ?
« Aah ! MMMMH ! »
Et oui… Akira maniait magnifiquement bien son phallus. A telle point qu’il serait quasiment impossible pour Cassandre de ne serait-ce que deviner que cette femme avait à une époque détester de cotoyer des futanaris, tellement son engin était maintenant maîtriser à la perfection… Et ainsi, avec une telle perfection, elle eu rapidement la jouissance de connaître… Euh… Bah la jouissance. Bon, d’accord. Cette phrase était complètement nulle. Mais je fais des efforts ! Bref, en tout cas, sa jouissance fut forte. On pu voir alors pas mal de lait être projeté de ses seins, et un peu de sperme couler de sa bouche… Mon dieu, c’était une véritable extase… Elle était dans un grand état de plaisir, et on pouvait remercier les différentes actrices qui avaient permis cela. Mais que croyez vous… Ce n’était pas encore fini !
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Akira avait été une élève beaucoup plus difficile que Cassandre. Elle était l’héritière d’un clan ancestral de chasseur de monstres et de vampires, et avait été éduquée en ce sens par son père. Elle avait été transformée en vampire contre sa volonté, et, pendant des semaines, si ce n’est des mois, en avait voulu à sa nouvelle mère... Puis son père avait tenté de la tuer, ce qui avait permis de les rapprocher. Et, après, petit à petit, on se faisait plutôt bien à la présence de Mélinda, et on ne pouvait éternellement rester insensible à cette luxure ambiante. Le résultat final était maintenant visible, celui d’une famille unie, unie dans la lubricité, la perversion, le sexe, et, bien entendu, une forme d’amour irrémédiable et insubmersible. Coucher avec ce trio était un grand honneur pour Cassandre, et elle en profitait pleinement.
Vanillia venait de jouir dans sa bouche, et put voir que l’Ushi n’avala pas tout de suite, préférant sentir ce sperme contre sa langue. Le geste fit naturellement glousser Vanillia, qui lui caressa encore un peu le visage. Le sperme n’était pourtant pas un liquide particulièrement bon... Surtout si on le comparait au lait. Il était poisseux, gluant, collant, mais, visiblement, l’Ushi aimait beaucoup ce contact. Autant dire que ce n’était pas pour déranger Vanillia !
Pour l’heure, la femme de Mélinda, après avoir joui, observait sa femme agir. Mélinda était toujours aussi belle quand elle faisait l’amour comme ça... Là, assise à califourchon sur Cassandre, elle malmenait avec délice ses seins, pinçant furieusement ses tétons. Elle faisait preuve de toute son expertise, son gros phallus se perdant entre les généreux seins de l’Ushi, qui allaitaient considérablement.
« Oh oui... Cassandre, hmmm... »
Mélinda jouant avec ses seins, l’Ushi allaitait beaucoup, et d’épaisses quantités de lait venaient éclater sur le ventre de Mélinda, sur ses mains, son visage, tombant ensuite sur le lit, ou même sur le corps de Cassandre. Pour le dire plus simplement, l’Ushi en foutait partout, ce qui, bien entendu, ne dérangeait nullement la vampire. Et, bientôt, tout ce lait se retrouva accompagné des projections de sperme que la vampire se mit à pousser. Vanillia ne tarda pas à venir l’aider, en venant embrasser à nouveau femme, et en léchant ensuite son visage, venant recueillir le lait qui s’y trouvait.
« Hmmm... »
Les deux femmes s’embrassèrent langoureusement, puis Vanillia se glissa dans le dos de la vampire, et posa ses mains sur ses seins, venant, elle aussi, les pincer, tout en léchant son cou, pour y recueillir les traces de lait ayant atterri ici.
« Tu es toute trempée, ma chérie...
- Hmmmm... !! »
Vanillia alla achever sa femme en plantant ses crocs dans son cou. Mélinda gémit alors en fermant les yeux, et cria même quand sa femme commença à avaler son sang. Ce geste renforça l’excitation de la vampire, qui continua à pincer les seins de l’Ushi, jusqu’à se mettre à jouir.
Le sperme éclata entre les seins de l’Ushi, et remonta le long de son cou et de son visage, la vampire se dandinant d’avant en arrière. Elle soupira longuement, le corps en feu, tout en tentant de retrouver son calme... Ce qui fut d’autant plus difficile que l’une des mains de Vanillia se posa sur son sexe, et se mit à la masturber, continuant ainsi à entretenir les braises du feu qui consumait le corps de Mélinda.
« Haaaaa... »
Akira, de son côté, continuait à pénétrer l’Ushi, avant de finir, elle aussi, par atteindre le point suprême du plaisir, et de se répandre dans le corps de Cassandre.
Il y avait donc du sperme et du lait partout sur et dans le corps de la vachette !
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C’était indécent. Cela, c’était -et de loin- le moins qu’on pouvait dire sur la situation. Pour un regard prude qui n’avait point sa place bien sur ! Pour Cassandre, c’était quand même l’une de ses premières fois... Et on pouvait dire qu’elle se débrouillait bien. De l’autre côté, c’était l’avantage des rôles de dominés, rôle qu’elle jouait ici à la perfection... En effet, notre fameuse vachette était visiblement destiné à un rôle de soumission ! Etait-ce étonnant ? Les Ushi étaient souvent plutôt soumise, et assez peu dominante. Sans doute car leur éducateurs évitaient de les rendre trop... Disons, Seme. Car si elle était trop seme, elle tombait vite dans l’envie d’être, au contraire, des dominants... Et là, risquait la tentative de désobéir carrément aux ordres. Et là, cela pouvait devenir catastrophique. Une Ushi qui n’était pas obéissante, il fallait soit la mater... Si c’était trop tard... Et bien, il ne restait plus qu’à l’abattre. Cela pouvait sembler cruel... Mais on pouvait pas prendre de risque.
« Tu es toute trempée, ma chérie...
- Hmmmm... !! »
C’était vrai ! Cela rajoutait au côté « indécent » cité précédemment, qui, il faut bien comprendre, était tout à fait normal dans le lieu. Mais c’est vrai que la vachette commençait à être intégralement trempée. Il y avait bien sur la première chose qu’on pouvait imaginer, vu la situation : vous avez deviné, je parle bien entendu du lait de la fameuse vachette, qui était évidemment, le plus important... Etant donné que notre vachette était quand même une grosse productrice. Il y avait aussi la mouille, la cyprine de la vachette... Elle avait joui, plusieurs fois, ce qui faisait que bien entendu, la cyprine avait eu le droit à beaucoup d’apparition, a bien tachée les draps de la fameuse maîtresse, et les maîtresses, elle-même. Enfin, il y avait, il faut aussi y penser... Le sperme. La vachette en avait avalé pas mal, mais c’était aussi pas mal retrouvée couverte... Et d’ailleurs... Ce n’était pas fini.
« Haaaaa... »
« Haaaa ! C’est si bon ! »
Après que cela ait été la vachette... Ce fut à Akira de jouir en la vachette... Mmh ! C’était si bon... Cassandre haletait. Elle n’avait jamais eu autant en si peu de temps, mais il fallait bien se dire qu’elle estimait qu’elle devait continuer. Après tout, elle voulait être à la hauteur, elle voulait être l’une des meilleurs esclaves de la fameuse Melinda Warren. Elle avait été un cadeau, elle se devait d’être un cadeau à la hauteur. Elle allait être une vachette incroyable, elle allait être la meilleure... Mais pour le moment, il fallait bien le dire, c’était surtout elle qui en profitait. Elle avait reçu tant de sperme, aussi bien dans la bouche que dans le vagin. Pour le moment, seul son anus n’avait pas encore été attaqué, au cours de ce passage au lit. Cela ne voulait pas dire que cela allait être toujours le cas... En effet, la vachette déclara :
« Oh, maîtresses... Vous êtes si bonnes... Si bonnes avec moi... »
Cela, c’était sûr. On l’a déjà dis plusieurs fois, donc, il était inutile de le répéter... Mais pour la vachette, il fallait bien comprendre que c’était incroyable ! Il faut bien se dire. Mais la vachette était en mode : « Ouaaaaaaaaaah » ! Elle aurait jamais pensé cela... Et donc, elle pensait qu’il fallait qu’elle soit à la hauteur. Elle déclara alors.
« Dites ce que vous voulez, et je le ferai... »
Elle déclara ça tranquillement. Sans doute que ses femmes ici présentes avaient d’autres idées en tête, mais l’un des soucis de la vachette, soucis qui était parfois une qualité, hein, comme toujours, il faut se rappeler que bien souvent, qualités et défauts sont des principes arbitraires, qui ne sont pas forcément les plus logiques, et bien... Et bien, notre vachette avait du mal à trouver une idée toute seule. Au contraire, il fallait bien souvent lui proposer de faire des choses pour qu’elle soit prête à le faire ! Et vous savez qu’elle était le meilleur ? Et bien, c’était très rare qu’elle refuse ! Comme quoi, elle était bien pratique, notre chère vachette.
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La belle Cassandre était bien au-delà au bord du bonheur, elle flottait sur son petit nuage, vivant un véritable rêve éveillé. Mélinda, Vanillia, et Akira, venaient toutes les trois de jouir en elle, la remplissant donc. Étalée sur le lit, l’Ushi était cependant loin d’être fatiguée, ou d’avoir envie que ce spectacle ne se termine. C’était même tout l’inverse, et ça, les vampires pouvaient le sentir dans la manière dont son sang battait dans sa poitrine. Elle était encore fiévreuse, pleine d’énergie, d’envie, de désir... Tout ça s’avérait particulièrement excitant, et Mélinda se mordilla délicatement les lèvres.
« Oh, il mais il ne s’agit pas de ce que nous voulons, ma chérie... Tu as l’air très consentante avec tout ce que nous te faisons subir, en réalité.
- Est-ce bien surprenant ? C’est une vraie peluche... »
Vanillia se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, la tête inversée par rapport à celle de l’Ushi. Allongée sur le lit, Cassandre avait effectivement de quoi être heureuse. La belle Ushi se dandinait sur place, et Vanillia se redressa, laissant Mélinda se lover contre le corps de la femme, l’embrassant à son tour.
« Mais il est temps de dormir, maintenant... Ton corps a beaucoup servi, Cassandre, et il servira encore demain, sois-en sûre... »
L’Ushi était endurante, c’était un fait indéniable, mais, pour autant, il valait mieux ne pas présumer de ses forces. La gourmandise de Cassandre pouvait aussi s’expliquer par le fait qu’elle avait passé un certain temps de transit, avant d’être finalement déballée par Mélinda. La vampire retourna l’embrasser, et Akira et Vanillia saisirent les mains de la belle Ushi, venant les poser sur les fesses de sa Maîtresse, pour qu’elle les presse, qu’elle appuie dessus, et qu’elle les malaxe bien. La langue de la vampire se glissait dans la bouche de la femme, roulant avec la sienne.
Ce baiser s’étala bien sur plusieurs minutes, pendant lesquelles Akira et Vanillia caressèrent tendrement le dos de Mélinda, à droite et à gauche du duo. Tout ce que l’Ushi avait à faire, c’était de répondre à ce baiser, et, bien entendu, de masser les fesses de sa Maîtresse comme il le fallait. Mélinda rompit finalement le baiser, et esquissa un léger sourire, avant de poser sa main sur son sexe, de se déplacer un peu.
« Ne t’inquiète pas... Je vais t’accompagner pendant ton sommeil... »
La verge de la vampire se glissa dans les lèvres intimes de la femme, doucement, puis la vampire enfouit sa tête contre le corps de la femme, en remuant plus lentement son corps.
« C’est comme ça que ma chérie aime dormir...
- Câline-là bien, engloutis-là sous un torrent d’affection... »
Pour autant, Mélinda ne dormait pas vraiment, car elle continuait à la pénétrer, optant pour un coït plus lent et plus doux, destiné à terminer cette folle journée... Dans la joie et le stupre !
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Une peluche... Une vraie peluche... Melinda avait entièrement raison : oui, il n’y avait aucun doute. Cassandre était une peluche. Une peluche d’affection et de chair, toute rondouillarde. C’est vrai qu’il y avait de la chair chez la vachette, elle n’était pas squelettique, ce qui permettait de pouvoir en profiter encore plus. Bref, une excellente vachette sur ce point ! Elle donnait du lait, et on pouvait la caliner... Quoiqu’il en soit, évidemment, Cassandre était prête à continuer -bien qu’elle sentait un peu de fatigue, entre le transport, et tout le reste-, mais heureusement pour elle, elle allait pouvoir se reposer, étant donné que ses maîtresses étaient bien d’accord sur le fait qu’il était temps maintenant d’aller dormir.
« Mais il est temps de dormir, maintenant... Ton corps a beaucoup servi, Cassandre, et il servira encore demain, sois-en sûre... »
« Cela sera avec plaisir. »
Elle était contente, et... Bon sang je vais le dire combien de fois ? Oui, on avait compris ! Notre fameuse Cassandre était très contente de son destin ! Etait-ce étonnant d’une vachette qui était extrêmement soumise, et extrêmement utilisable comme une peluche, comme j’ai dis juste avant ? Je ne pense pas qu’on a besoin de le redire une dernière fois. Ce qu’on peut dire, cependant, c’est qu’elle se sentait prête, avec une énorme motivation, pour recommencer ses missions demain ! En temps que bonne vachette, elle allait être utilisée, traite, et aller aider, autant qu’elle pouvait ! C’était ça le vraie devoir d’une bonne vachette !
« Ne t’inquiète pas... Je vais t’accompagner pendant ton sommeil... »
« Aaah... »
Alors qu’elle pensait que cela était fini, elle fut de nouveau pénétrée. Mais contrairement aux pénétrations précédentes, celle-ci fut douce, tranquille. Prête à lui préparer une nuit confortable. Ce n’était plus les profonds vas et viens, quelques peu précédents. Non, maintenant, c’était tel un baiser pour lui souhaiter une bonne nuit. C’était doux et chaleureux, c’était affectueux, c’était tellement fait avec amour, que cela faisait frémir la vachette. Bref, elle était dans un bel état d’extase... Ce qui pouvait surprendre, après l’entrain de ce qui avait été fait tout juste précédemment... Mais cela avait une logique. En effet, c’était le fait que cela était fait avec douceur, qui changeait grandement, et qui la marquait profondément. Non qu’elle n’avait pas aimé ce qui avait été fait auparavant...
« C’est comme ça que ma chérie aime dormir...
- Câline-là bien, engloutis-là sous un torrent d’affection... »
« Oui... Faites le... »
Elle voulait se faire engloutir sous l’amour... Ce n’était pas merveilleux comme idée ? Bref, elle était bien heureuse de comment on la traitait. Elle gémissait docilement et doucement, sous les petits coups de reins de sa maîtresse, tandis que ses gros seins rebondissaient légèrement. Elle était toujours aussi charmante, dans sa grande innocence, et dans ses sourires radieux, qu’on pouvait comprendre l’affection qu’elle avait envie de recevoir, et qu’elle recevait. Elle était bien heureuse de pouvoir dormir ainsi, et que franchement... Si sa maîtresse aimait dormir ainsi, et bien, et bien elle dormirait ainsi elle aussi ! C’était un moyen si agréable de dormir, qu’elle ne pouvait en être que contente.
« Ma chère maîtresse... »
Elle allait faire de si beaux rêves...
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Akira et Vanillia étaient bien placées pour savoir comment Mélinda fonctionnait. Elles savaient ce que la vampire masquait, les grandes fragilités qui zébraient son cœur, et contre lesquelles elle ne pouvait pas lutter. Elles savaient que, si Mélinda aimait autant le sexe, ce n’était pas que par perversion, mais aussi parce que c’était un moyen, pour elle, de combler le grand manque d’amour dont elle avait souffert pendant l’enfance. Son père, devenu dément, l’avait haï, car, quand Mélinda était venue au monde, elle avait provoqué la mort de sa mère, très affaiblie, et qui n’avait pas pu supporter l’accouchement. Et sa mère, Elizabeth, était la seule chose qui avait permis à son père, Adam Warren, de ne pas sombrer définitivement dans la folie. Et, après la mort d’Elizabeth, Kate avait reporté toute sa haine et sa frustration sur sa fille. Mélinda n’avait pas vu la lumière du jour pendant ces quinze premières années, et avait vécu comme une misérable, dans des cachots, en étant régulièrement battue et humiliée. Un passé terrible, qui, même si elle s’en était arrachée en mourant, pour renaître ensuite sous une forme vampirique, continuait régulièrement à la hanter.
C’est aussi pour ça qu’elle ne dormait jamais seule. La nuit, les cauchemars revenaient l’assaillir, mais, quand elle dormait avec quelqu’un, elle se calmait, se détendait. En fait, quand Mélinda dormait, elle était comme un petit bébé qui se crispait contre le corps de sa mère, comme si, inconsciemment, elle redevenait ce bébé qui souffrait de n’avoir jamais eu un seul câlin. Cette grande fragilité, peu de gens au sein du clan la connaissaient.
Mélinda avait donc planté son chibre dans le corps de sa belle Ushi, et se lova contre elle, enfouissant sa tête contre ses seins, pendant que, à droite et à gauche, Vanillia et Akira la caressaient, grattant son dos, remontant le long de ses cheveux, et descendant jusqu’à ses belles fesses. Cassandre soupirait légèrement, encore excitée par le vit planté en elle, ses battements sanguins nerveux ne pouvant qu’accompagner sa Maîtresse. Vanillia se pencha alors vers Cassandre, et l’embrassa doucement.
« Oui, dors, belle Ushi... Ne t’inquiète pas, nous nous occuperons très bien de toi. Dors, et sache que ta Maîtresse te réveillera en te faisant l’amour... »
La meilleure manière de se réveiller, n’est-ce pas ? Bien sûr, Cassandre était excitée, mais son corps, qui s’était longtemps reposé, et dans des endroits bien moins confortables que ce grand lit douillet, ne pouvait pas lutter. Vanillia l’embrassa encore, et, peu à peu, Cassandre ferma les yeux, sans les rouvrir...
Plus tard
Le manoir ne dormait jamais vraiment. Ce qui était formidable là-dedans, c’est que Mélinda, en éduquant bien ses esclaves, en les dressant convenablement, avait réussi à se rendre autant dispensable qu’indispensable. Elle était comme une sorte d’âme centrale, au centre du manoir, mais en sachant que ce dernier pouvait fonctionner en pilotage automatique. Ainsi, tandis que l’aube se levait, et que les premiers rayons de soleil éclairaient le manoir, des pensionnaires se réveillaient déjà. Il y avait certes beaucoup de lycéennes et d’étudiantes, mais aussi des personnes adultes, esclaves de Mélinda depuis des années, ou tout simplement ramassées et formées comme telles, qui se préparaient à aller travailler.
Quant à Mélinda, comme d’habitude, matinale, elle commença à émerger, ce qu’elle fit en remuant dans le corps de son Ushi. L’esprit à moitié embrumé, elle avait néanmoins une bonne érection matinale, ce qui fit qu’elle commença, tout doucement, à pénétrer l’Ushi... Et, tout en le faisant, et comme, là encore, à son habitude, elle posa ses lèvres sur l’un des seins de Cassandre, et le téta...
Mais, par rapport à d’habitude, il y aurait quand même une petite différence... Car, cette fois, les lèvres de Mélinda accueillirent le délicieux lait de l’Ushi, ce qui eut pour effet, non seulement de l’aider à la réveiller, mais aussi de durcir sa queue, et de rendre ses mouvements plus amples et plus rapides.
De quoi garantir un réveil intense !
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Cassandre ne connaissait rien du passé de ses maîtresses. Pour elle, elle n’était qu’une simple vachette, qui aimait les gens. Qui aimaient tout le monde, même. Cassandre était une bombe d’amour, et elle était tout à fait utilisable ainsi, utilisable pour diffuser l’amour, pour être là pour réconforter les gens... C’était un beau destin pour la vachette, et l’idée de faire cela, sans aucun doute, lui plairait énormément. Ainsi, Cassandre servait de repoussoir à cauchemars, une sorte de poupée, de doudou... Et cela expliquait d’ailleurs beaucoup la qualification comme « peluche » donnée précédemment. Oui, Cassandre était là, littéralement une peluche. Et elle faisait extrêmement bien son travail, permettant à tout le monde à tranquillement aller dans les bras de Morphée...
Finalement, la nuit passa tranquillement, et Cassandre, ayant l’habitude d’être une grosse dormeuse -ce qui était rare d’en profiter, quand on était une vachette, étant donné qu’il était fréquent d’être réveillée tôt, fut la dernière, sans doute, à se lever... En tout cas, Melinda se réveilla bien avant elle... Et en profita. Elle avait bien raison, la vachette était là pour cela. La fameuse Vampire alors pu reprendre le vas et viens qu’elle avait fait dans la vachette... Mais elle pouvait aussi profiter de quelques chose que seul la vachette avait : Son lait. Les deux seins de la vachette avaient bien profiter de la nuit, pour deux nouveaux être bien remplis de lait, pour être prêt justement à donner le lait dès la matinée... Se faire alors traire, de si bon matin, et de façon aussi agréable qu’en se faisant têter, aida la vachette à peu à peu émerger....
« Mmmmh... »
Sauf que donner le lait n’avait pas que la bonne idée de nourrir sa maîtresse... Même si c’était le premier intérêt, et intérêt tout à fait important... Et bien, cela donnait aussi force et vigueur à la vampire, qui commença à offrir un vas et viens de plus en plus vif et vigoureux, en la vachette. Bien sur, celle-ci qui commençait à peine à se réveiller, ne mit pas trop de temps, avant de commencer à le sentir bien en elle... A véritablement gémir de plus en plus fort, pour finalement, laisser échapper, un véritable cri de plaisir, qui en temps que vachette, se libéra sous la forme d’un :
« MEUH <3 ! »
Et voilà ! A peine réveillée, elle atteignit l’orgasme, de façon puissante. Il en fallait très peu à la vachette... ? Oui, mais n’oubliez pas qu’elle avait été prise presque toute la nuit, le phallus de la futanari s’étant occupée d’elle pendant un bon moment... Cela avait joué, bien entendu, sur la vachette, et sur son excitation. Bref, en tout cas, elle avait pu avoir un bon moment de jouissance, qui évidemment, là, là réveilla immédiatement. Cette fois, ce n’était plus l’émergence, c’était le réveil de façon intense. Elle déclara, alors, d’une voix un peu faible, transporté par les saccadements et la plaisir :
« Bon... Bonjour... Bonjour maîtresse... mmh...! »
Elle déclara cela en gémissant, son corps dur et tendus comme une allumette. Mmmh... Que de plaisir elle avait en elle, là, alors qu’on s’occupait d’elle... Que de plaisir. Pour elle, c’était un magnifique cadeau, comme réveil. Toutes les vachettes n’avaient pas la chance de pouvoir se lever aussi agréablement. La plupart était réveillée, et mise à la trayeuse, pour qu’elle puisse donner le plus de lait possible ! Là, elle gémissait, elle aussi, mais c’était de ses seins, et de son vagin. Les deux étaient délicieusement occupés, et la vachette donnait son lait... Et allait bientôt recevoir celui de la vampire... Mmh... MMMh... Que de plaisirs...
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Avec Mélinda, on avait toujours droit à des réveils très efficaces, sensuels à souhait. La vampire fonctionnait ainsi, tout simplement. Elle se réveillait toujours en faisant l’amour, en faisant preuve d’une énergie progressive. Le sexe, ça l’aidait à se réveiller. C’est aussi pour ça qu’elle ne dormait jamais seule, car elle se réveillait toujours avec l’envie de faire l’amour. Et qui oserait se refuser à elle ? Sûrement pas la belle Cassandre, en tout cas, dont les gros seins laiteux furent très rapidement l’objet de l’assaut lingual de Mélinda. La vampire les titilla donc, dans un état semi-léthargique, et entendit l’Ushi se mettre à meugler, se tortillant sur le lit en sentant les coups de reins progressifs de Mélinda. Elle se réveillait lentement, et, après avoir bu de son lait, Mélinda était maintenant pleine d’énergie. Elle se releva donc, et embrassa la femme sur les lèvres.
« Bon-Bonjour, ma Cassandre... Hmmmm... »
Oh, ce lait, ce lait délicieux ! Mélinda en frissonnait sur place. Ce fin nectar l’avait stimulé comme un coup de fouet, et elle commença donc à remuer sur elle, faisant doucement craquer le lit. Parfois, les esclaves de Mélinda s’entraînaient pour se réveiller avant elle, et pour la regarder dormir. Endormie, et paisible, Mélinda ressemblait à un beau petit bébé. Impossible, alors, de voir en elle la redoutable Maîtresse qu’elle était en réalité... Mais, somme toute, ça correspondait bien à la vampire. Sa cruauté était nimbée d’amour et d’un manque d’affection depuis l’enfance qui s’exprimait à travers son désir compulsif de faire l’amour. La belle Cassandre en avait une démonstration sous les yeux.
Petit à petit, le rythme venait à s’amplifier, et Mélinda poussait des soupirs supplémentaires, son membre enflant et grossissant, et, avec lui, tout le reste du corps se mit à s’électriser. Un réveil bougrement efficace ! Après le premier baiser, Mélinda embrassa la femme plus énergiquement, et posa sa main sur l’un de ses seins. Tout en fourrant sa langue dans la bouche de Cassandre, elle pinça avec ses doigts l’autre sein, et sourit en sentant un peu de lait éclater contre la paume de sa main.
« Tes seins sont déjà tout distendus, ma chérie... Tu allaites effectivement beaucoup, bien plus que ce que je pensais initialement ! »
Et, dans la bouche de Mélinda, ce terme était vraiment un compliment. La vampire la bourrait donc au petit matin, et, rapidement, les deux vampires qui dormaient avec elles se réveillèrent également. Vanillia était habituée aux réveils matinaux de sa femme, et elle-même partageait un peu cela... Car Mélinda sentit contre sa cuisse l’érection de sa femme.
« Hmmmm... Ma chérie... »
Inutile d’en dire plus. Mélinda sentit Vanillia se redresser, et se lover contre elle, avant de caresser ses fesses avec son sexe. Elle s’allongeait contre le dos de Mélinda, qui était elle-même occupée à pénétrer Cassandre, ce qui fit que mélinda se retrouva rapidement enfermée dans un cocon de douceur et de douleur, surtout quand la verge de Vanillia s’enfonça dans ses fesses. Un long gémissement s’échappa alors de ses lèvres, et ses joues se mirent à furieusement rougir.
« Haaaaaaaaaaaaa... !! »
Oh, comme tout ça était bon ! Encore, encore, voilà tout ce que souhaitait Mélinda !
Vraiment, il n’y avait pas meilleur façon de se lever que de baiser au petit matin...
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Le réveil de la vachette avait été donc efficace. Très rapidement, alors que la vachette était à l’origine plutôt encore assoupi, et bien, là, elle avait été réveillée progressivement, et de la façon la plus agréable qui soit. Son lait était tranquillement bu, tandis qu’elle continuait à recevoir l’amour de son interlocutrice, interlocutrice qui utilisaient les lèvres intimes de la vachette avec tant d’amour que la vachette en gémissait de plaisir, lachant quelques meuglements. Bien que ceux-ci étaient sans doute extrêmement agréable à l’oreille... Et bien, Melinda eu la bonne idée de faire taire la vachette, à son tour, en closant avec sa paire de lèvre, l’autre paire de lèvres de notre vachette. Quel bonne idée !
Cassandre ne voyait pas, et ne pouvait même pas imaginée la « Melinda cruelle » que beaucoup connaissait. Pour elle, c’était tout le contraire. Ce n’était ni de la haine, encore moins du sadisme qui vivait dans sa maîtresse, mais au contrairement, que, et uniquement de l’amour. Elle ne connaissait rien du passé de sa maîtresse, rien de ses actions, rien de son manque d’amour. Elle ne connaissait qu’une chose : ce qu’elle voyait, et ce qu’elle vivait. Et dans ses deux cas, et bien... Elle n’avaient que de l’amour. Que de l’amour, qui la rendait heureuse, et qui la faisait voir le meilleur de la personne de sa maîtresse...
« Tes seins sont déjà tout distendus, ma chérie... Tu allaites effectivement beaucoup, bien plus que ce que je pensais initialement ! »
« Oui... Oh... Mmh... C’est... C’est ma spécialtié... »
En effet ! Cassandre était vraiment une très grosse productrice de lait ! C’était même parfois affolant, et surtout, cela expliquait pour Cassandre n’était absolument pas « adaptée » pour une simple personne, qui voulait juste un excellent lait. Bien sûr, il aurait son excellent lait, là n’était pas le problème. Le problème, c’est qu’elle produisait beaucoup trop. Heureusement, dans le cas de Mélinda, des Warren, et bien, le soucis ne se posait pas. Le Harem des Warren était très imposant, et Cassandre aurait largement assez de personne ici pour s’occuper de son lait. Mais bon, trève de ce blabla très « professionnel », concentrons-nous, s’il vous le voulez bien, sur ce qui devait nous concentrer... C’est à dire le sexe !
« Hmmmm... Ma chérie...
-Haaaaaaaaaaaaa... !! »
« Mmmh !!! Meuuuuh ! »
Cassandre était en extase... Mais elle n’était plus la seule à se faire pénétrée ! En effet, un troisième player venait de rejoindre la fête, sans que Cassandre dans un premier temps le remarque, étant donné qu’on le remarquait surtout aux nouveaux gémissements qui arrivaient dans le concert. Cassandre gémissait en même temps que ses interlocutrices, heureuse... Elle déclara, d’ailleurs :
« Oh maîtresse, je suis si heureuse... Ah... Aaaah !!! »
Elle prit alors une initiative ! Oh ! Ce n’est pas courant cela ! En effet, la vachette avait plutôt l’habitude d’être assez soumise, et d’éviter le plus possible les initiatives, de rester le plus souvent dans son petit cocon confortable d’obéissance. Mais là, ce n’était pas le cas. Alors qu’est-ce qu’elle fit ? Et bien, elle profita du fait qu’elle était la deuxième tranche du sandwich d’amour, pour tenter de passer ses bras autour de Mélinda et sa femme. Comme pour les serrer, les garder dans ses bras, les lover d’amour autant qu’elle pouvait. Car Cassandre, comme dit précédemment, était pleine d’amour. Elle ne savait pas si elle avait le droit ou non... Mais elle s’en fichait, là, elle se ferait punir si elle n’avait pas le droit, et y était prête. Là, elle voulait juste faire ce qu’elle estimait... Être bien.
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Il fallait bien s’attendre à ce que Vanillia finisse par intervenir. Elle aussi, elle avait toujours aussi envie de sexe, surtout quand elle se réveillait. Alors, forcément, voir sa femme s’envoyer en l’air avec cette belle Ushi aux formes généreuses, c’était... Un appel irrésistible ! Vanillia s’était donc lancée là-dedans, mais elle se redressa bien rapidement. Se tenant debout, par rapport aux deux femmes couchées devant elle, elle disposait ainsi d’une plus grande amplitude pour pouvoir mieux sodomiser sa femme. Chaque séance qu’elle passait avec Mélinda était toujours aussi savoureuse. Quand Mélinda avait connu sa Vanillia, elle était plus timide que maintenant, moins encline à céder au sexe. Et maintenant... Ensemble, les deux formaient vraiment la pair ! Il n’y en avait pas une pour rattraper l’autre, ce qui expliquait qu’elles forment un si bon duo.
Mélinda continuait à prendre Cassandre, soupirant et gémissant à chaque fois, fermant parfois les yeux, gémissant tout contre le corps de Cassandre lorsqu’elle sentait la queue de Vanillia s’enfoncer profondément en elle. Mélinda reprenait ensuite sa respiration, et poursuivait ses coups de reins, se délectant du corps chaud, doux et ample de la femme. L’Ushi se tortillait sous elle, et, tandis que les deux femmes s’embrassaient, Mélinda sentit les mains de Cassandre remonter. Elle les posa sur les bras de Vanillia, comme pour inciter sa femme à se rapprocher.
« Ohhhh... »
Vanillia se pencha alors, et rejoignit les deux femmes, s’écrasant de nouveau sur le corps de Mélinda, qui se mit à couiner, en se tortillant faiblement. Elle était coincée entre les deux femmes, et Cassandre put ainsi relever les mains, et les poser sur les fesses de Vanillia, qui se mit à gémir. Son visage était dans le creux du cou de Mélinda, et elle commença à remuer son corps, en posant ses bras sur le lit. Des trois, c’était Mélinda qui se retrouva dans un rôle de poupée, son corps remuant en fonction des mouvements de Vanillia.
« Hmmmmm... Haaaaaaaaaa... !! »
Mélinda était entourée dans un cocon de chaleur, de douceur, et de stupre. Autant dire qu’elle était particulièrement ravie en ce moment, et continuait à se tortiller sur place. Au bout d’un moment, elle finit par jouir dans le corps de son Ushi adorée, tout comme Vanillia. La vampire se redressa ensuite, et resta à côté de Cassandre, les cheveux décoiffés, le corps légèrement redressé.
« Eh bien... Tu vois, Cassandre, c’est ça qu’on appelle un très bon réveil ! Tu te sens bien, ma chérie ? La journée ne fait que commencer, tu sais... »
Vanillia, elle, s’était allongée à côté de Cassandre, et approcha sa bouche de l’un de ses seins.
« Moi, je n’en ai pas encore fini avec toi, ma chérie... »
Et, joignant le geste à la parole, elle commença à avaler le délicieux lait de la jeune Ushi...
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Et finalement, le choix de Cassandre était récompensée ! Cela était surprenant, et si je ne m’aventurai pas à dire que c’était la première fois, cela ne devait pas être très courant qu’une servante, une domestique, une esclave, vous utilisez le terme que vous préférez, était capable de... Oui, de dominer sa maîtresse, surtout quand celle-ci était Melinda Warren ! Alors, oui, bien sur, ce n’était pas une complète domination. Il fallait rappeler que celle qui était pénétrée, c’était bel et bien Cassandre, et c’est tout, hein. Mais quand même, la fameuse Cassandre, et de l’autre côté, l’épouse de la vampire, maîtrisait bien le rythme, et ainsi... Et ainsi, de l’autre côté, Melinda était bien occupé... Bref un bonheur.
Et le bonheur n’allait pas de paire sans la jouissance ! C’est ce qui arriva. Magnifiquement synchronisé, la fameuse vampire arriva à jouir en même temps que la vachette ! Cassandre poussa un « Meuh » d’extase absolument exquis, tandis qu’elle sentait s’emplir du foutre de sa maîtresse... Mmh, le bon foutre de sa maîtresse dès le bon matin, c’était quelque chose qu’elle voudrait absolument avoir... D’ailleurs, elle écouta les déclarations de sa maîtresse.
« Eh bien... Tu vois, Cassandre, c’est ça qu’on appelle un très bon réveil ! Tu te sens bien, ma chérie ? La journée ne fait que commencer, tu sais... »
« Oh, c’est si génial ! »
Avec ses goûts sexuelles, on pouvait dire qu’il n’y avait qu’une seule chose qu’elle aurait sans doute autant plu, c’est une bonne fellation. Comme dit précédemment, c’était ce qu’elle préférait... Enfin, ce qu’elle préférait... Disons que c’était oui, quelques chose qu’elle préférait dans les faits, mais qu’elle aimait un peu tout. Elle n’était pas difficile, et elle n’allait pas cracher sur une petite pénétration du matin. Elle était une bonne et gentille vachette ! Bref, elle s’était bien réveillée, et elle avait commencé la journée en beauté ! Mais comme avait trèèèèès bien dit Melinda Warren... La journée ne faisait que commencer, étant donné qu’elle avait encore d’autres choses à faire, et qu’elle devait s’y mettre tout de suite !
« Moi, je n’en ai pas encore fini avec toi, ma chérie... »
« Mais je suis là pour ça, venez boire... »
Totalement ! Cassandre le répétait suffisamment pour que cela commence à devenir clair pour tout le monde.
« C’était formidable comme réveil ! Je ne crois pas m’être déjà réveillée de façon aussi agréable ! »
Elle se remémorait mais non. D’habitude, elle avait eu l’habitude d’être trainée pour être traite... Et bien, dès qu’elle fut assez vieille pour donner du lait, ce qui chez les Ushi, étaient relativement jeune, étant donné que les Ushis étaient programmés (dans le sens génétique du terme bien sur, elles n’étaient pas des machines) pour donner du lait le plus rapidement possible. Après tout, à quoi servait une Ushi qui ne donnait pas de lait ? Absolument à rien, c’était juste une bouche à nourrir. Donc, assez jeune, les Ushi commençaient à donner leur lait. Cassandre, ainsi, d’habitude se réveillait en donnant son lait. Là, pour la première fois de sa vie, elle se réveillait non pas uniquement en donnant... Mais en recevant ! Donc, c’était exceptionnel pour elle... Et exceptionnellement bon, aussi, faut bien rappeler.
« Que puis-je faire pour vous, maîtresses ? Peut-être un peu de sang ? »
Si la première expérience de se faire sucer le sang n’avait pas été une complète réussite pour Cassandre, elle avait cru comprendre que les vampires aimaient cela, et en avaient... Et bien, tout simplement besoin. Ainsi, elle tendait son cou, pour l’offrir si besoin à son interlocutrice. On allait bien voir ce qu’elle allait dire, ce n’était qu’une proposition de la fameuse Vachette... Mais qui sait, peut-être que la proposition allait bien plaire ? Quoiqu’il en soit, Cassandre cherchait toujours l’approbation de sa maîtresse, bien qu’elle l’avait déjà... Bref, notre fameuse vachette faisait de la lèche... Mais c’était de la lèche agréable, étant donné qu’elle ne faisait pas ça de façon intéressé. Non, elle faisait ça car elle aimait ses maîtresses ! L’une prenait son lait... Pourquoi pas une autre son sang ?
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Mélinda et Vanillia s’étaient plutôt bien réveillées. En ce moment, il ne faisait plus aucun doute que la vampire allait vite s’enticher de sa belle Ushi. Au sein d’Ashnard, une Ushi, c’était un signe de luxure, car les Ushis étaient très prisés, précisément pour leur délicieux lait. Et ce dernier afflua dans les gorges de Mélinda et de Vanillia, jusqu’à satiété. Les glandes mammaires de Cassandre se vidèrent dans leurs bouches, ce qui n’était pas trop grave, car Cassandre avait déjà prouvé qu’elle pouvait produire beaucoup de lait. Heureusement qu’il y avait une flopée de bouches au harem, mais, même sans ça, Mélinda savait déjà quoi faire de ce lait. Une Ushi était onéreuse, certes, mais c’était un investissement rentable, car son lait était très prisé. Il était très bon, et était utilisé dans bien des domaines, allant de la simple alimentation à l’alchimie. Autant dire que Mélinda allait trouver bien d’autres usages à sa belle Ushi.
Ravie, après leur avoir offert son corps, et son lait, Cassandre proposa à Mélinda et à Vanillia son sang. Les deux vampires déglutirent lentement. Ce n’était pas raisonnable... Cassandre n’avait pas encore mangé, son corps manquait de protéines, mais... Chez les vampires, le sang formait un appel irrésistible. Mélinda soupira lentement, entrouvrant davantage les lèvres.
« Tu nous proposes ton sang... Le délicieux sang bouillonnant d’une Ushi... »
Non, quelle vampire pourrait le refuser ? Sûrement pas Mélinda ! Elle se pencha alors, et déposa un baiser dans le creux du cou de Cassandre, léchant sa peau, l’humidifiant bien, et planta ses crocs dedans. Vanillia, quant à elle, se mit à sourire. Comme sa femme, elle aimait aussi beaucoup le sang, mais... Eh bien, elle aimait davantage sa femme, et elle adorait la regarder en train de boire, ou, plus poétiquement, de pratiquer l’Étreinte. La vampire avala le délicieux sang de Cassandre, et Vanillia caressa le corps de sa femme, grattant son dos, tout en se penchant vers le duo, s’allongeant à côté de Cassandre. Sa main se déplaça, et caressa également le visage de l’Ushi, enserrant la belle Cassandre dans un cocon de chaleur et de tendresse.
« Mélinda n’est pas raisonnable... Tu devrais manger avant d’offrir ton sang, Cassandre.
- Mmmhmmm... !! »
Han, par tous les vampires, que ce sang était bon! Mélinda le buvait avec un appétit immodéré, avalant de multiples gorgées... Mais, pour autant, elle pouvait faire preuve de tempérance et de modération. Sa femme avait raison, bien entendu, et Mélinda finit par retirer sa bouche au bout de plusieurs minutes. Rapidement, son visage se colla à celui de Vanillia, et, sous les yeux de Cassandre, les deux vampires se livrèrent à un baiser passionné et endiablé, mélangeant autant la salive que le sang... Ce qui fit que quelques gouttes tombèrent sur le menton et sur les lèvres de Cassandre.
En constatant cela, Mélinda se mit à sourire, et se pencha vers son esclave, léchant tendrement sa peau, glissant sa langue sur ses lèvres, son menton, s’y attardant un peu.
« Ta peau est vraiment d’une douceur incroyable... Je te lècherai comme ça avec plaisir pendant des heures, mais... Boire ton sang ne m’a pas laissé totalement indifférente, et, comme c’est ton sang, ma petite vachette, c’est toi qui vas régler ce problème. »
Difficile de se méprendre sur ce que Mélinda évoquait, il suffisait de sentir la bosse tendue qui caressait les cuisses de la femme. Mélinda avait beau avoir joui en elle, boire le sang de Cassandre avait réveillé son érection. Mélinda se redressa, et, délicieusement nue, s’assit sur un fauteuil, face au lit, en écartant bien les jambes, révélant sa belle queue, une virilité qui pointait vers le plafond.
« Allez, Cassandre... Viens ! Ma queue a besoin de tes petites lèvres... »
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Cassandre ne savait pas forcément que cela n’était pas raisonnable, ce qu’elle avait proposé, elle s’y connaissait que extrêmement mal au niveau des habitudes vampiriques… Et franchement, je pense que personne ne sera surpris… Etant donné que bah… Nous avons affaire à une vachette, et pas une spécialiste des vampires… Mais il faut bien comprendre que même si elle savait que ce n’était pas raisonnable, elle aurait proposé quand même… Pourquoi cela ? Et bien, car elle aimait rendre service, surtout à ses maîtres ou ses maîtresses… Cela lui faisait plaisir ! Elle était une bonne vachette, et elle faisait toujours ce qu’on lui demandait… Et quand elle pouvait, elle faisait même plus !
« Mélinda n’est pas raisonnable... Tu devrais manger avant d’offrir ton sang, Cassandre.
- Mmmhmmm... !! »
« Je... Je ferais tout pour ma maîtresse ! »
Elle avait du mal à tenir. Évidemment, c’est vrai qu’elle aurait du manger, mais elle voulait absolument être une vachette parfaite, l’esclave la plus nécessaire du monde même ! Bref, aux yeux de Cassandre, une bonne vachette ! Une bonne vachette, c’était celle qui était capable de faire ce qu’on voulait, le plus rapidement possible. Et ainsi, elle offrait son sang, bien qu’elle n’était pas totalement prête à cela... Et bien ! On pouvait dire que la fameuse vachette allait devoir manger un bon petit déjeuner... Et prendre sans doute des compléments alimentaires, car la vachette était pescetarienne... Ou alors, la former à la viande, mais le problème, c‘est qu’elle en avait jamais mangé auparavant... Bref, quoiqu’il en soit, la vachette gémissait légèrement, et après un petit moment, Melinda termina sa tache, et déclara justement à sa vachette :
« Ta peau est vraiment d’une douceur incroyable... Je te lècherai comme ça avec plaisir pendant des heures, mais... Boire ton sang ne m’a pas laissé totalement indifférente, et, comme c’est ton sang, ma petite vachette, c’est toi qui vas régler ce problème. »
« Je… Je suis prête ! »
Elle retrouva vite des forces ! Même si elle était encore un peu faiblarde, elle était prête à continuer ses tâches ! Après tout, c’était son devoir. Comme dit précédemment, les vachettes étaient souvent parmi les terranides assez résistants. Déjà, car elles produisaient énormément de lait, et donc, il fallait tenir le coup physiquement, mais en plus car les Ushis étaient souvent résistantes de bases, prête à risquer de se faire attaquer, et capturées pour leur raretés… Bref, Cassandre n’en menait pas large, mais elle était encore consciente et capable de faire des actions. De plus, l’avantage de Cassandre était que si elle n’était pas spécialement grosse, elle avait quand même de la réserve, elle pouvait mieux tenir que quelqu’un qui était petit et maigre. Bref, elle tenait debout, mais elle allait devoir faire de la réserve, et surtout, ne pas abuser de bonnes volontés ! Heureusement, les deux vampires semblaient bien connaître jusqu’à où elles pouvaient aller… C’était tant mieux, car la vachette, elle, semblait pas spécialement prête à cela !
« Allez, Cassandre... Viens ! Ma queue a besoin de tes petites lèvres... »
« C’est une si grande récompense... Merci maîtresse ! »
Quel grandeur de sa maîtresse ! Après avoir ainsi pu donner son sang... Et bien, elle avait le droit à une récompense ! Oui, pour notre fameuse vachette, c’était bel et bien une récompense, elle n’avait rien à dire sur ce point ! Comment ne pas voir comme une splendide récompense le fait qu’elle puisse sucer une belle queue vampirique, de si beau matin ? Après tout, elle avait donné son sang, mais rien n’obligeait à la fameuse vampire de donner, elle, son sperme. Donc, elle était bien contente, et ainsi, elle s’approcha, tranquillement, à a quatre pattes, faisant que sa grosse poitrine descendait tranquillement.
« Mmmh... »
Elle s’approcha, jouant un peu le jeu... Elle faisait comme si elle hésitait, passait sa bouche proche du phallus... Dit donc ! En à peine une soirée, la vachette avait bien progressé niveau jeu ! On pouvait dire que c’était plutôt de l’improvisation, elle improvisait pour voir comment elle pouvait faire pour tenter d’être la plus excellente possible. Une simple fellation serait simple, efficace, et franchement, si elle faisait plaisir aux deux participants, dans le cas de Cassandre, cela restait assez mécanique. Ainsi, elle approcha sa langue... Et finalement, commença à lécher, tranquillement, le gland. Elle ne commençait pas encore à vraiment le prendre en bouche, mais elle commençait déjà à donner le plaisir qu’elle se devait de donner à sa maîtresse... Au bout d’un moment, elle commença à prendre la bite en bouche...
« Mmh... Mmh... »
Elle commença un vas et viens, pour le moment, qui se voulait relativement doux, relativement lent... Elle commençait d’abord par donner le plus de plaisir possible, léchant bien, suçant de temps en temps, faisant un vas et viens doux qui lui permettait d’aller assez profondément. Elle n’était pas sûr d’encore pouvoir réussir à faire des gorges profondes, -elle ne connaissait pas encore ce terme-, à une plus grande vitesse, donc, peu sur d’elle, elle restait plutôt lente... On allait bien voir si cela suffisait pour le moment à la fameuse vampire... Peut-être pas, mais ça, après tout, cela serait à Melinda, éventuellement, de reprendre le contrôle. Pour le moment, la vachette gardait le contrôle, à quatre patte, le sperme de sa maîtresse coulant encore de son vagin, s’écoulant le long de sa jambe... Elle aimait être bien remplie cette fameuse vachette !
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Mélinda n’avait pas abusé outre mesure. Cassandre avait eu droit à un réveil de choc, et elle ne voulait pas que l’Ushi tombe de fatigue... Sans même s’être réveillée. Ça avait juste été plus fort qu’elle ! Vanillia regardait sa femme d’un air désapprobateur, mais finit par lui sourire, et l’embrassa sur les lèvres en se penchant vers elle.
« Tu es vraiment incorrigible, toi...
- J’ai pas pu me retenir... » confessa Mélinda.
La vampire avait bu le délicieux sang de la femme, comme un moyen de clore cette superbe séance. Mais, comme il fallait bien s’y attendre, ce délicieux sang avait réveillé son excitation. Un véritable cercle vicieux ! Vanillia en était amusée plus qu’autre chose. De toute manière, elle était incapable d’en vouloir très longtemps à Mélinda. Il suffisait qu’elle la regarde, et que sa femme lui sourit, pour que toute forme de colère s’évapore instantanément. Mélinda était en tout cas chargée à bloc, et Cassandre, mutine, approcha son visage de son membre tendu, mais sans encore daigner la sucer. Puis, lentement, sa petite langue glissa sur sa hampe de chair, remuant dessus, de haut en bas, soulevant de quelques millimètres la queue de la vampire, qui se mit à gémir et à soupirer.
Cassandre put rapidement sentir combien Mélinda était sensible, car chaque coup de langue, provoquait une crispation de son corps, amenant la vampire à remuer des jambes, les rapprochant avant de les éloigner, tout en crispant ses mains sur les accoudoirs, enfonçant ses griffes. Elle avait encore ses canines qui pointaient, signe qu’elle était toujours sous l’effet de cette délicieuse succion vampirique. Et sa vicieuse Ushi prenait son temps ! Mais, finalement, elle rapprocha son visage, après avoir inondé de sa salive la queue trempée de Mélinda, et l’enfonça lentement dans sa bouche.
« Hmmmm... Haaaa... Ca-Cassandre, hmmm... »
Les onctueux soupirs de Mélinda traversèrent l’espace, emplissant la pièce, sa tête filant en arrière, son corps se crispant lentement, au fur et à mesure que la bouche de Cassandre avalait son membre. L’Ushi remuait dessus, avec un indéniable talent, qui confirmait son goût pour la chose. Elle filait d’avant en arrière, s’enfonçant de plus en plus profondément, se motivant probablement par les profonds soupirs de sa Maîtresse. Vanillia fléchit alors les genoux, se mettant à côté de l’Ushi, et caressa avec sa main la tendre chevelure de la femme, son autre main venant à nouveau pincer ses seins. On put entendre de petits bruits d’éclaboussures, et Vanillia sourit, en constatant que ses doigts étaient déjà légèrement recouverts de lait.
Vanillia la pinça encore sur les tétons, et s’amusa ensuite à descendre sa main entre les cuisses de la femme, venant la masturber.
« Ton lait lubrifie très bien mes doigts, tu sais... » lui glissa-t-elle dans le creux de l’oreille.
Vanillia la lécha donc, et l’embrassa encore, approchant ensuite son autre main des belles fesses rondes de Cassandre, et les pinça, avant même de distribuer plusieurs fessées sur ces dernières.
« Là, là, suce-là bien, petite traînée... C’est la queue de ma femme que tu tiens en bouche, elle mérite bien beaucoup d’égards, non ? »
Question purement rhétorique, bien évidemment !
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Eheh ! Elle était fière d’elle. Visiblement son petit jeu avait bien marchée, et avait surtout plu à sa maîtresse, étant donné que cela avait nullement fini par une véritable punition. Cassandre avait eu quelques doutes, mais non, tout était bien, et visiblement, cela avait plu à sa maîtresse ! Ce qui était le principal. Cassandre jouait très rarement avec ce genre de trucs… Mais si cela plaisait, elle allait faire cela plus souvent… Houuuu ! Visiblement, dans son extrême soumission -oui, car il ne fallait pas exagérer, Cassandre restait une soumise, elle n’aurait jamais la carrure d’une dominante- et bien, elle pouvait quand même s’amuser à faire quelques petits jeux où elle se permettait d’être un tout petit poil plus dominante… Mais bref.
Bref, en effet, maintenant, elle avait bien commencée à sucer la bite de Melinda, de sa précieuse maîtresse… Mmh… Elle était drolement bonne. Visiblement, même si Cassandre ne pouvait pas le savoir, et bien, le fait d’avoir bu le sang de la vachette, avait véritablement augmentée l’excitation de la fameuse vampire, car la bite était tout aussi dure que quand celle-ci c’était réveillée, en même temps que Melinda, et avait profité du lait de la vachette… Bref, une bonne bite bien solide qui était entrain de se faire sucer… Le plaisir de sucer était accroit par le plaisir de Melinda, ce qui confortait Cassandre dans ses actions, et lui faisait surtout prendre de l’assurence… Surtout que de l’autre côté, et bien… Et bien, elle se faisait récompenser par la femme de sa maîtresse, donc, de facto sa maîtresse également, qui était entrain de lui caresser les cheveux, puis les seins… Cela lui donnait encore plus envie de bien faire !
« Ton lait lubrifie très bien mes doigts, tu sais... »
C’est vrai que son lait avec de très nombreuses fonctions ! Mais la lubrification des doigts n’avaient pas encore été mis en application auparavant, il faut bien le dire. C’était plutôt quelques chose de nouveau, par rapport à ce qui avait été fait auparavant du lait de la fameuse vachette. Sauf que la main de la fameuse Vanilla n’était pas qu’entrain de jouer avec ses seins… Une main aventureuse commençait à la masturber, ce qui faisait gémir de plaisir la vachette, alors qu’elle avait encore la queue entre ses lèvres. Elle était donc bien occupée, et ses deux maîtresses n’hésitaient pas à bien la traitée… On pouvait dire que le réveil était un peu « retardée » disons, par la vachette, qui occupait pas mal de temps… Mais en même temps, quand on avait une si agréable vachette… Et bien, on ne pouvait qu’en profiter, n’est-ce pas ? Bref, ainsi, elle écouta la suite des déclarations de sa maîtresses…
« Là, là, suce-là bien, petite traînée... C’est la queue de ma femme que tu tiens en bouche, elle mérite bien beaucoup d’égards, non ? »
Mmmh… Elle était une petite trainée et elle en était fière… Elle aurait jamais pensée qu’elle serait autant une trainée, mais là, disons qu’il n’y avait plus de doute. Elle était bien devenue -si elle ne l’avait pas toujours été- une véritable trainée qui adorait sucer des queues. Et c’était littéralement ça. Il n’y avait pas de doute : elle adorait véritablement sucer les queues. Peut-être était-ce particulièrement celle de ses maîtresses ? En même temps, c’était le principe, la queue de ses maîtresses étaient toujours le meilleur. Bref, elle était totalement excitée… Et la masturbation, accompagnée du tripotage de fesses qu’étaient entrain de lui offrir Vanilla n’aidait absolument pas la vachette à se calmer. Au contraire, même, cela la poussait à continuer…
Oui, car il y avait autre chose à faire remarquer. Après ce qu’avait dit Vanilla, et bien… Elle se disait qu’il fallait assurer pour sa fameuse fellation ! Ainsi, elle se prépara, et enfonça d’un seul coup le phallus de la vampire dans sa gorge… Cela n’était pas facile, elle eut du mal, mais elle tenta de le faire de la meilleure manière possible… Et cela de façon totalement surprise, pour surprendre sa maîtresse, et ainsi la satisfaire. Une sacrée bonne surprise, sans doute, pour la vampire qui venait d’avoir cela…
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Cassandre était en train d’embarquer dans une véritable tornade de luxure et de stupre. Quand la vague serait passée, elle ne serait plus jamais la même. Maintenant qu’elle avait goûté au fruit défendu, sa bouche lui rappellerait sans cesse ce délicieux goût, et elle voudrait toujours y revenir. Le sexe pouvait véritablement devenir une drogue, tant le plaisir qu’il prodiguait était fort. Et ça, Cassandre était en train de le réaliser. Qui mieux que Mélinda et Vanillia pour rendre la jeune Ushi totalement addict à cette sensation ? À ce plaisir sinueux qui remontait en soi, à ce sentiment grisant et excitant de franchir les limites, de profiter à pleine bouffée d’une dose incompressible de liberté, en s’adonnant aux pires vices qui soient ? Cassandre se dandinait sur place, remuant sous les mouvements digitaux de Vanillia, qui la masturbait donc, et aventurait son autre main le long de ses fesses. Elle gifla le délicieux cul de Cassandre à plusieurs reprises, la faisant couiner, et caressa ensuite sa croupe.
Vanillia n’enfonça un doigt dans son fondement que quand Cassandre opta pour une gorge profonde, surprenant Mélinda qui écarquilla les yeux pendant plusieurs secondes, et serra ses doigts sur les cheveux de Cassandre, comme pour maintenir plus fermement la belle Ushi contre son corps. On pouvait entendre les oupirs de Cassandre, le bruit de claquement du pénis de Mélinda contre sa bouche, ses testicules qui claquaient contre son menton, et sa queue qui disparaissait au fond de sa gorge.
« Tu es très courageuse, Cassandre... Pense à respirer par le nez, et n’hésite pas à reculer cette queue, tu manques encore de pratique, petite gourmande... »
Il fallait que sa gorge s’habitue à la présence de ce membre. Vanillia continuait à la conseiller et à l’encourager, tout en embrassant et en léchant régulièrement sa joue, frottant son nez contre son corps, enfonçant désormais deux doigts dans son fondement. Elle la masturbait et la pénétrait, également, remuant les deux mains, sentant la mouille de Cassandre inonder ses doigts, pendant que le corps de sa femme, magnifique spectacle de beauté et de luxure, remuait d’avant en arrière. Cassandre venait de se découvrir une passion profonde pour les fellations, et, sur ce point, elle pouvait être rassurée. Au harem, on était très friands de ça !
Vanillia continuait donc à l’encourager, tout en la masturbant de plus en plus fort.
« Remue ta langue, petit cœur, et pense à bien sucer. Déplace aussi ta tête. Avaler la queue de ma chérie, c’est bien, mais, pour une bonne fellation, il faut aussi donner du rythme. »
Vanillia espérait que ses conseils trouveraient une oreille attentive, mais elle ne s’en faisait pas trop là-dessus. Cassandre avait déjà prouvé qu’elle écoutait soigneusement les instructions qu’on lui donnait.
Mélinda, de son côté, soupirait de plus en plus.
« Elle va bientôt jouir... Pense à bien tout avaler, ma petite vachette... Le sperme de ta Maîtresse est un nectar aussi délicieux que ton doucereux lait... »
Tout en parlant, Vanillia continuait à jouer avec le corps de Cassandre, enfonçant profondément ses doigts dans son fondement. En d’autres circonstances, elle aurait pu continuer à dilater le fondement de Cassandre pour y glisser d’autres doigts, mais, vu la position de l’Ushi, elle évitait de maltraiter son corps. Avec ses autres doigts, elle pinçait son clitoris, sachant que Cassandre allait approcher de l’orgasme. Et Vanillia était aux premières loges pour voir ça, et voyait surtout ses seins se gonfler démesurément sous l’effet du plaisir.
*Je me demande si son lait va éclater sous l’effet de l’orgasme...*
Raison de plus pour la doigter plus énergiquement encore, tout en murmurant des mots salaces dans le creux de l’oreille de Cassandre :
« Jouis, petite traînée... Allez, sale catin, jouis ! Laisse-toi aller, petite pute, jouis contre mes doigts, allez, allez... !! »
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Cassandre n’avait pas été très sexuelle avant de rentrer dans le Harem de Mélinda... Pour tout dire, même, elle n’y connaissait pas grand chose... L’élevage d’où venait Cassandre n’avait jamais fait en sorte de faire apprendre aux Vachettes l’amour du sexe, pour la raison très simple qu’il se vantait sans aucune hésitation du fait qu’elles étaient vierges, ses fameuses vachettes. D’ailleurs, les rares fois où certaines vachettes avaient perdus leur virginité AVANT la vente, et bien... Elles étaient vendus au rabais, souvent à des gens peu fortunés, qui cherchaient juste une esclave sexuelle, avec des bénéfices, ou parfois pour certains, comme juste glory hole, dont les seins sortaient du murs et étaient pressés pour donner le plus de lait possible.
« Tu es très courageuse, Cassandre... Pense à respirer par le nez, et n’hésite pas à reculer cette queue, tu manques encore de pratique, petite gourmande... »
Mais Cassandre était motivée, et voulait apprendre. Ainsi, elle rattrapait son manque d’expérience, par surtout un très grand enthousiasme, qui faisait plaisir à voir ! Et qui faisait aussi plaisir à Melinda. Casssandre était maintenant complètement contrôlée, maîtrisée. Alors bien sûr, le plus évidant, ce qui sautait aux yeux, c’était le fait qu’elle était complètement contrôlée au niveau de la tête, étant donné que c’est là qu’avait lieu la fellation. Cela, c’est plutôt facile à comprendre... Mais aussi par Vanilla. Vanilla controlait complètement la vachette, grâce à la masturbation qu’elle effectuait sur la fameuse Ushi. Celle-ci gémissait de plaisir, alors qu’elle continuait à sucer avec amour...
Mais elle n’était pas hypnotisée ou abrutisée par la bite. Elle était au contraire extrêmement attentive. Car si elle n’était pas attentive, et bien... Elle raterait les précieux conseils que lui donnait son interlocutrice. Et ses précieux conseils, et bien.. Et bien, cela lui permettait de s’améliorer ! Comme dit précédemment, elle avait encore tout à apprendre, elle ne connaissait pas grand chose, donc, dès qu’elle avait un nouveau conseil, et bien, elle continuait de tenter de les appliquer, plus ou moins bien. Alors, le tout était encore très innocent, enfin, non pas du tout, mais disons plutôt que le tout était encore très maladroit. On sentait qu’elle ne maîtrisait pas encore tout, ce qui faisait que le tout n’était pas parfait... Sans doute un avantage !
« Elle va bientôt jouir... Pense à bien tout avaler, ma petite vachette... Le sperme de ta Maîtresse est un nectar aussi délicieux que ton doucereux lait... »
Mmmmh ! Elle ne comptait pas gâcher le nectar de sa maîtresse... Il n’y avait AUCUN doute ! Alors, elle comptait par contre...Ne... Ne pas tout à fait respecter la demande de son autre maîtresse. Elle n’allait pas avaler... Enfin, pas tout de suite. Elle comptait profiter un peu du sperme dans sa bouche, avant de tout avaler. Elle avait vraiment beaucoup aimée le goût, quand elle en avait eu au repas, le jour juste précédent... Donc, elle comptait continuer à profiter de ce fameux goût, avant de l’avaler entièrement -excellent à ses yeux petit déjeuner pour bien commencer sa fameuse journée !- Bref, la vachette cependant avait bien conscience que ce précieux nectar, et bien... Elle n’y avait pas encore accès. Et comme tout, et bien, il fallait le mériter ! Donc, elle continua à sucer, toujours masturbée, lui donnant de plus en plus de plaisir...
« Jouis, petite traînée... Allez, sale catin, jouis ! Laisse-toi aller, petite pute, jouis contre mes doigts, allez, allez... !! »
« MEUUUUH ! »
Chose demandée, chose dues. Les paroles et les actions de Vanilla furent littéralement le point d’orgue pour la vachette. Elle avait fait de son mieux, mais elle n’avait pas pu finalement se retenir plus longtemps. Ainsi, elle fit un magnifique moment de jouissance, puissant et violent, véritablement orgasmique. Elle poussa un meuh, qui fut légèrement etouffée par le fait qu’elle avait toujours la queue entre sa bouche... Mais qui avait été complètement audible. Ce fut Melinda qui en fut récompensée d’un côté, et Vanilla de l’autre. Si la dernière eut le droit à la cyprine, la mouille, de la vachette... Et bien de l’autre côté, le lait fut projeté, avec une belle giclée... La vachette continuait ainsi...
« Meuh... meuh... »
Elle continuait, avec un peu plus de difficulté sa fellation, mais elle était toujours là... Elle savait que Vanilla avait raison : Melinda devait jouir bientôt, donc, il fallait qu’elle face de son mieux pour la satisfaire à la fin... Une fellation, c’était comme toute relation sexuelle... la fin était très importante, et une mauvaise fin, et bien, cela pouvait gâcher tout ce qui avait été fait avant. Donc, malgré le fait qu’elle avait jouie, elle devait continuer à faire de son mieux !
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Vanillia était vraiment la digne femme de Mélinda ! Il n’y avait qu’elle pour pousser ainsi les esclaves dans leurs derniers retranchements, alternant avec talent entre douceur, injures, tendresse, et fermeté. Vanillia n’avait, de fait, rencontré aucune réelle difficulté à s’imposer aux yeux des esclaves comme une seconde Maîtresse, tant elle était complémentaire de Mélinda. Considérée comme plus « douce » que Mélinda, Vanillia n’en restait pas moins perverse, et, à force de côtoyer sa femme, avait encore gagné en perversion. Ses mots très pervers achevèrent donc Cassandre, qui se mit à jouir, inondant de mouille les doigts gantés de la femme... Pendant que ses seins libérèrent également des filaments de lait. Un vrai petit geyser crémeux, qui inonda les jambes et les cuisses de Mélinda, faisant hoqueter cette dernière, qui, sous ce contact, finit par jouir à son tour.
Le corps de Mélinda se cambra, ses doigts se crispèrent, et elle balança la sauce à son tour ! Un jet jaillit dans la bouche de Cassandre, Mélinda maintenant bien sa tête, tout en répandant, à chaque coup de reins, des giclées de foutre supplémentaire. Elle gémit longuement, en sentant de délicieux frissons la traverser. L’orgasme, une sensation magique, vertigineuse, où le plaisir atteignait un statut tel qu’il vous transcendait. Un état névralgique, terriblement grisant, et, même si Mélinda avait appris à aimer le sexe pour le sexe, sans atteindre l’orgasme, il fallait quand même admettre que ce moment était indescriptible... Et aussi bon qu’éphémère.
« Haaaa... »
Elle se relâcha, elle oublia tout, totalement aliénée, avant de revenir progressivement à la réalité. Sa tête s’était redressée, et, tandis que sa queue se calmait, et avait bien rempli la bouche de Cassandre, elle baissa la tête, et retira un peu ses doigts, en constatant que ses ongles s’étaient déployées, formant des griffes. Pas de quoi faire saigner la belle Ushi, mais elle avait quand même perdu un ou deux cheveux. Mélinda sourit en voyant alors le carnage, avec des projections de lait un peu partout, éclatant sur le corps de Mélinda, mais qui avait surtout coulé le long des seins de Cassandra, maculant son beau torse.
« Tu jutes vraiment beaucoup, ma chérie... Visiblement, il y a un lien entre le plaisir et ta production de lait. C’est très intéressant pour la suite... »
Mélinda s’amusa un peu, en se déplaçant un peu, remuant sa queue dans la bouche de Cassandre, puis retira finalement son sexe.
« Bon ! Il est temps de te présenter aux autres, je suis sûre que mes protégés ont très envie de jouer avec toi !
- Mais elle est toute sale...
- Tu as encore envie de la lécher, toi, hein ? Mais n’abusons pas, laissons-là comme ça... »
Mélinda lui enfila juste ses collants, ses gants, et son petit collier avec la clochette, avec une laisse. Elle-même s’habilla, enfilant sa longue robe dorée, puis, tenant la laisse, sortit. Cassandre marcha donc à quatre pattes, laissant le lait couler ici et là, mais, fort heureusement, la chambre de Mélinda n’était pas très éloignée de la salle à manger, puisqu’elles avaient juste un escalier à descendre, et une porte à franchir sur leur droite. On pouvait déjà percevoir de délicieuses odeurs. On avait servi du chocolat chaud, des viennoiseries... Mélinda disposait d’un boulanger français, qui, chaque matin, envoyait l’un de ses préposés fournir du pain ici... Et restait généralement une heure supplémentaire.
La vampire rejoignit donc le troupeau des femmes et des hommes occupés à manger, et, très rapidement, Cassandre se retrouva couchée sur la table, où des langues léchèrent son torse, venant la nettoyer, pendant qu’on la saluait, qu’on la pouponnait, qu’on lui demandait si elle avait bien dormi... Et deux bouches se posèrent sur ses seins, pendant qu’une verge masculine rentra en elle, la pénétrant contre la table. Ce sexe appartenait à un homme, qui soupira très légèrement, et pas n’importe quel homme...
C’était le frère de Mélinda, Bran !
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Le lait. Cassandre n’avait jamais remarqué, mais histoire de faire un peu un avant goût de ce qui allait être dit par la suite, en effet, Cassandre, plus elle était excitée, plus elle produisait de lait. Et dans les faits, elle pouvait produire vraiment BEAUCOUP de lait. Une vachette Harmington pouvait nourrir un lycée pendant une journée, tout les étudiants pouvant venir en prélever, racontait souvent l’éleveur Harmington. S’il y avait un peu d’exagération, et bien... C’était pas faux. Cassandre était née d’une vachette déjà très productrice, et d’un des plus beau Minotaure qu’avait jamais rencontré l’éleveur. Cassandre était le bijoux, le chef d’oeuvre des Harmington, et pour lui, c’était sans doute la meilleure vachette jamais faite. Elle était l’Ushi ultime, l’Ushi unique pour les gouverner tous et dans le lait les lier... Attendez quoi ? Bref, elle produisait beaucoup, surtout quand elle était excitée ainsi.
Mais un autre lait avait son importance, là, maintenant... En effet, finalement, après un bon moment, une belle réussite de la vachette -bien que comme dit précédemment, elle avait encore beaucoup à apprendre, elle était encore une débutante sur beaucoup de pointe-, et bien... Finalement, elle eut la consécration ! Le prix ultime ! Bref... En un mot comme en cent, elle eut le droit à la jouissance de Melinda, qui pu jouir avec liberté dans la bouche de la vachette. Celle-ci profita alors bien du sperme, qui arriva dans sa bouche... Comme l’avait dit Vanilla, elle ne comptait pas perdre ne serait qu’un petit extrait de cette fameuse merveilleux textures... En temps que bonne vachette, elle allait tout avaler !
« Tu jutes vraiment beaucoup, ma chérie... Visiblement, il y a un lien entre le plaisir et ta production de lait. C’est très intéressant pour la suite... »
Elle fit oui de la tête. Pour le moment, elle ne pouvait pas trop parler, étant donné qu’elle avait encore... Comment dire... Oh, bah, autant le dire de manière cru, elle avait encore un pénis dans la bouche. D’ailleurs, elle s’amusa légèrement avec le phallus dans la bouche. Tandis que Melinda le déplaçait, le remuait, le faisait bouger dans la bouche, et bien... La langue de Cassandre continuait alors à jouer un peu avec... Finalement, elle retira son pénis, laissant la bouche de la vachette encore plein de sperme... Elle en profita encore un peu, avant de tout avaler, conformément à ce que lui avait conseillé l’une de ses deux maîtresses, Vanilla. Elle était une vachette obéissante ! Et elle écoutait attentivement ce que disait ses deux maîtresses, justement.
« Bon ! Il est temps de te présenter aux autres, je suis sûre que mes protégés ont très envie de jouer avec toi !
- Mais elle est toute sale...
- Tu as encore envie de la lécher, toi, hein? Mais n’abusons pas, laissons-là comme ça... »
Elle eut le droit alors à se faire légèrement habillée. Attention, hein, quand je dis légèrement, c’est légèrement, étant donné que la vachette avait le droit à ses collant habituel, et surtout son collier. Le collier était très important, étant donné qu’il était nécessaire pour promener la vachette ! Oui, car quand on avait une vachette aussi gentille et agréable... Tout le monde avait envie de la promener. Il manquait dans sa tenue habituel, le soutien gorge et la culotte, mais après tout ce qui s’était passé, et bien, ils n’étaient pas vraiment nécessaire, tout le monde était relativement d’accord sur ce point. On pouvait s’en passer, sans trop de difficulté. D’ailleurs, sans doute que personne savait où ils étaient... Bref, elle marchait, tranquillement à quatre pattes, aimant bien marcher ainsi. Ses seins la gênaient moins, elle trouvait. Bref, elle avanca vers la salle du petit déjeuner, qui heureusement, n’était pas très loin de la chambre des Warren.
Une fois arrivée, Cassandre fut toujours aussi bien acceuilli. Elle savait que c’était grandement car elle était nouvelle, mais elle était toujours honorée d’être aussi bien traitée ! Après tout, elle n’était qu’une vachette... Et les vachettes, d’habitude, ce n’était pas aussi bien traitée. A chaque fois que cela arrivait, elle se rappelait qu’elle devait alors redoubler d’effort, pour être une vachette encore plus sympathique, encore plus agréable, encore plus obéissante. Sans qu’elle sache trop comment, elle se retrouva vite couchée sur la table, et presque parmi les mets les plus succulant de la table. Tous voulaient goûter à la vachette, non comme humburger, mais plutôt comme une sucrerie qui avait l’air délicieuse. Elle était lécher, mais aussi pouponnée. Elle tenait de répondre entre deux meuh de plaisir aux bonjours, pour bien rester poli... Elle se faisait teter, quand soudainement, elle se fit pénétrée. Elle se tourna vers le très bel homme qui s’occupait d’elle, et déclara :
« Bonjour monsieur, merci de vous occuper de moi de si bon matin ! »
Elle déclara cela avec toute la politesse du monde, alors qu’elle gémissait aussi... Ce phallus avait une taille plus qu’honorable, histoire de ne pas dire tout simplement... Enorme ! Bref, la fameuse vachette tentait de rester d’une politesse exemplaire. Après tout, elle n’était qu’une simple vachette, entourée ici de maîtres, de maîtresses, et de collègues, dont Cassandre avait parfois du mal à différentier... Mais bon, elle avait une tactique plutôt simple. Dans le doute, ils étaient tous au dessus d’elle, ainsi, elle ne risquait pas de faire une faute... Oh, et puis... Elle s’en fichait, elle pouvait se concentrer sur ce qui se passait, c’est à dire... Un bon phallus, après celui de Melinda. Cela lui avait presque manquée. Elle gémissait, avec plaisir, alors qu’elle était utilisée. Un bon petit déjeuner !
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Bran Warren (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4797) était très connu au sein du harem. Il était, après tout, le grand-frère de Mélinda, son gardien et exécuteur silencieux, un homme qui n’hésitait pas à tuer ceux qui menaçaient la vie de sa sœur, ou à les torturer. En clair, il était l’esclave parfait, ne vivant que pour elle, prêt à se suicider si Mélinda le lui ordonnait. Elle l’avait formé pour ça, et, aujourd’hui, il était temps que Cassandre goûte à lui. Mélinda était une femme cruelle, mais pouvait aussi se montrer très aimante, et elle avait envie de faire plaisir, non seulement à Cassandre, mais aussi à son frère. Quand Bran la pénétra, les autres esclaves s’écartèrent, afin de laisser l’homme, torse nu, s’enfoncer dans le corps de la jeune femme. Les fesses de l’Ushi se retrouvèrent posées sur le rebord de la table, ses seins s’enfoncèrent contre son torse. Il posa une main sur les cheveux de Cassandre, et l’embrassa goulûment, tout en continuant à la prendre ainsi, debout, le corps de Cassandre rebondissant d’avant en arrière, glissant sur la table, son beau petit cul s’enfonçant contre le bois de la table, faisant sauter les proches couverts.
Une magnifique séance, avec un vampire qui était, comme on pouvait s’y attendre, très endurant. Bran la prenait donc, griffant ses cheveux, grattant le dos de la femme, sentant rapidement le lait affluer sur son torse. La petite Cassandre se faisait bien bourrer, sous le regard amusé du public. Qu’il était difficile de manger pour une Ushi ! Mais il fallait aussi bien comprendre l’état d’excitation du harem. Une Ushi, ça ne venait pas tous les jours, et Cassandre était si belle que tous avaient envie de lui faire l’amour. Alors, quand ils apprendraient que la quantité de lait produite par Cassandre était proportionnelle à son excitation sexuelle...
« Hmmmm... Tu mouilles beaucoup, petite vache... »
L’Ushi était très excitée, et Bran frissonnait au contact du lait, qui s’étalait de plus en plus sur son corps, formant des gouttes qui tombaient sur le sol.
« Même pour une Ushi, c’est quand même impressionnant, toute cette quantité de lait...
- Son père est un Minotaure, non ? Ce croisement génétique très particulier doit expliquer ces particularités... »
Mélinda acquiesça. Pour acheter l’Ushi, elle avait dû verser une somme très importante, et elle n’était pas peu fière de voir qu’elle valait largement son investissement. Les meuglements, les soupirs de Cassandre, accompagnaient les coups de reins de Bran, qui l’embrassa dans le cou, léchant les deux trous faits par les dents de sa sœur, et finit enfin, au bout de nombreuses minutes, par jouir en elle. Le corps de Bran se crispa sur place, ses muscles tendirent, et il relâcha le plaisir en elle, balançant des filaments de foutre dans son corps.
Bran était un amant aussi énergique que Mélinda, mais encore plus intense dans ses coups de reins. Il relâcha la jeune femme, qui manqua s’écrouler sur la table.
« Mange, maintenant, ma belle Cassandre. Mange bien, car tu vas brûler énormément de calories aujourd’hui... »
Mélinda restait mystérieuse sur ce qu’elle envisageait pour son Ushi.
Un peu de suspens !
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Cassandre gémissait ! Elle était de nouveau prise, et bon dieu, quel pied ! Bran était entrain de la pénétrer, et telle une cérémonie, tous s’étaient écartés, comme par crainte, respect, ou envie de mieux admirer le spectacle... L’énergique amant faisait des vas et viens dans la vachette, qui meuglait de plaisir, sans se retenir nullement, laissant échapper des meuh de plaisir. Enfaite pour tout dire, ses meuh de plaisirs ne se turent que quand elle fut embrassée par le fameux Bran, qui ainsi fit taire la vachette de la seconde façon qu’elle préférait sans doute... La façon qu’elle préférait restait sans doute la bite dans la bouche, mais bon... Bref, elle gémissait, avait du plaisir... Elle était heureuse, et le faisait savoir, aussi bien par ses sons... Que par son corps. En effet, quand on regardait, comme faisait Bran, au niveau de son intimité...
« Hmmmm... Tu mouilles beaucoup, petite vache... »
« M... merci... »
Elle était prise d’une toute nouvelle façon... Enfin, ce n’était pas tant la position, Cassandre ne s’y connaissait pas du tout pour vraiment juger des positions et des trucs du genre... Non, là où c’était nouveau, c’était dans l’état d’esprit. Elle n’avait encore jamais été prise ainsi, de cette façon. C’était une nouvelle façon, beaucoup plus... Bestiale ! Il la prenait comme une animale, et c’était loin de lui déplaire ! Elle n’avait encore jamais connu ça, mais cela avait aussi son lot de plaisir. Elle préférait sa maîtresse, mais elle aimait aussi ça ! Et cela se sentait, cela s’entendait, bref, cela résonnait même dans cette salle à manger, ou plusieurs admirait la beauté de l’acte sexuel, ce corps puissant mâle et viril, qui profitait de la vachette obéissante, ronde et féminine. Deux mondes qui s’entrechoquaient et se melaient dans l’acte bestiale, plein de sperme et de lait... D’ailleurs...
« Même pour une Ushi, c’est quand même impressionnant, toute cette quantité de lait...
- Son père est un Minotaure, non ? Ce croisement génétique très particulier doit expliquer ces particularités... »
Eheh ! Si Cassandre, elle, n’entendait pas, elle était trop... Occupée, et bien, on pouvait quand même en parler ! En effet, Cassandre était donc bien née d’un Minotaure. Cela faisait d’elle une vachette très productrice, et de sa mère, une vachette sans doute qui avait été comblée par le dit Minotaure. Cassandre ne connaissait pas sa mère, qui avait été vendu peu après sa naissance, sans doute pour produire du lait. Bref, Cassandre ainsi donnait son lait, et put en donner soudainement encore plus... Pourquoi cela ? Et bien, car finalement, elle eut un puissant orgasme, qui projeta comme toujours du lait, et qui la laissa totalement sur les rotules, après avoir été baisé autant de fois... Elle écouta alors, un peu K.O. mais capable quand même de se relever, bien qu’on pouvait voir le sperme couler long de sa jambe, et encore un peu de lait sur ses seins...
« Mange, maintenant, ma belle Cassandre. Mange bien, car tu vas brûler énormément de calories aujourd’hui... »
« Promis maîtresse ! »
Elle avait fait sa fière en déclarant cela... Mais il lui nécessita quand même quelques minutes pour réussir à bien se mettre sur la table... Elle s’était littéralement écroulée, après avoir été prise avant... On pouvait voir qu’elle avait bien pris son pied, mais que l’assault bestial du frère de Melinda l’avait un peu mise à terre... Elle finalement se remit, et commença à manger. Elle mangea avec apptétit, surtout des choses sucrées et des choses qui n’étaient pas forcément très peu... Economes niveaux des calories. Cassandre mangeait un peu de tout, sauf de la viande, étant uniquement pescetarienne, elle ne mangeait donc jamais de viande. Heureusement, en petit déjeuner, il était rare d’en voir... Mais qui sait, il y avait parfois des tranches de bacons, et des choses du genre... Bref, elle mangeait avec appétit.
La chose amusante, et qui amusa beaucoup certains convives... C’est que donc, Cassandre avait été pendant un bon moment sur la table à se faire prendre... Et bien pour manger, elle... était resté sur la table ! Et oui ! Cela ne se faisait pas vraiment Cassandre... Mais elle avait tendance à ne pas connaître bien les règles de politesses. Les différentes personnes présentes avaient surtout trouver la chose cocasse, et avait compris que Cassandre était qu’une Ushi, après tout. C’était habituel que les Ushi aient quelques connaissances moindre en tout ces sujets, souvent car on n’apprenait pas ça à des Ushis. On les apprenaient à donner leur lait, le plus rapidement possible, et puis basta ! Certaines avaient aussi quelques connaissances en sexe, mais ce n’était pas trop le cas de Cassandre, nous en avons déjà parlé précédemment. Quoiqu’il en soit, notre chère vachette se concentra alors de nouveau sur sa maîtresse, et déclara, d’un ton tout joyeux, comme elle avait bien l’habitude.
« Voilà, c’était très très bon ! »
Elle avait mangé peut-être un peu rapidement, mais elle voulait être prête rapidement, pour ne jamais décevoir. Après, ça allait. Elle avait pas mangé trop rapidement. Elle avait fait attention de bien manger. On disait souvent que manger trop rapidement, cela povuait provoquer des problèmes de digestion, et cela faisait grossir ! Bon, après, pour ce second point, et bien, on pouvait dire que cela allait, étant donné que la fameuse vachette allait faire beaucoup de sport... Et cela, c’était une bonne chose ! Car Cassandre était quand même une vachette gourmande, n’est-ce pas ? Bref, en tout cas, la vachette était concentrée maintenant sur Mélinda. Quel tâche allait-elle devoir accomplir ? Etant descendue de la table, elle se rappela de comment elle était venue, donc, elle se réinstalla de nouveau à quatre pattes ! Elle était une gentille vachette obéissante, elle se mettait dans la position que sa maîtresse voulait. Elle la regardait ainsi, en souriant, ses gros seins pendant, toujours prêt à être utiliser.
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Bran ne l’avait pas loupé, comme on pouvait s’y attendre. Le vampire était un amant redoutable, ce dont beaucoup de gens, ici, autour de cette table, avaient pu réaliser. Coucher avec lui,c ‘était un exercice très sportif, et la scène n’avait pas manqué de monter la tension dans la pièce, tant Cassandre avait meuglé. Elle avait joui, et en avait profité pour cracher beaucoup de lait sur le torse de Bran, maculant ce dernier. Cassandre s’écroula ensuite sur la table, et Bran continua encore à jouir en elle pendant quelques secondes, poussant quelques grognements. Un amant terrible, qui jutait beaucoup au moment de l’acte. Après cela, Bran se retira toutefois, et, rapidement, plusieurs filles, des lycéennes qui avaient déjà enfilé leurs uniformes, se rapprochèrent de lui, et léchèrent son torse et son sexe, gémissant et soupirant lentement, tout en le nettoyant à leur manière. Deux filles sur son sexe, le léchant en se mettant côte-à-côte, et deux autres en hauteur, léchant son torse.
Au bout d’un moment, Cassandre finit par se redresser... Et mangea sur place. Elle ne grimpa pas sur une chaise, mais resta assise sur la table, et mangea en se mettant en tailleur, ou en se mettant à quatre pattes pour récupérer des mets se trouvant à proximité. Il y avait beaucoup de viennoiseries et de pâtisseries, Mélinda en étant particulièrement friande. La vampire mangeait aussi avec appétit, souriant en voyant combien Cassandre avait réussi son intégration. Peu à peu, les conversations reprirent, comme si le fait d’avoir assisté à un coït, puis à ce que l’homme se fasse lécher le corps ensuite, soit tout à fait normal ici.
« Alors... ?
- On va la mettre au traitement, Vanilla... »
Cassandre ne serait pas une prostituée. Du moins, pas continuellement. Pour l’heure, Mélinda avait d’autres projets pour elle, et elle attendit que Cassandre ait fini. Cette dernière finit par se retourner vers sa Maîtresse, en expliquant avoir bien mangé. Mélinda sourit, et se releva, puis caressa tendrement sa tête, ébouriffant légèrement ses cheveux.
« C’est très bien, ma Cassandre d’amour. »
Avant de passer aux choses sérieuses, Mélinda guida Cassandre dans une salle de bains, non sans laisser les filles saluer le départ de Cassandre... Même si tout le monde la reverrait bientôt. Une fois dans la salle, Mélinda tourna les robinets, faisant sortir l’eau, et, en attendant que sa grande baignoire se remplisse, elle s’assit sur le rebord, en croisant tendrement les jambes.
« L’hygiène est très importante ici, Cassandre. Tu dois prendre un bain ou une douche tous les jours. Tu es mon esclave, ma petite vachette, mais tu dois aussi savoir faire ça par toi-même, car, comme tu as vu, tu as rejoint une très grande famille. Même si j’aimerais le faire, je ne peux malheureusement être systématiquement derrière chaque esclave. Tu dois donc faire preuve d’un peu d’autonomie, ma belle. Alors, si tu dois bien retenir une chose, c’est, comme je l’ai dit... De prendre grand soin de ton corps parfait ! »
Elle lui sourit ensuite, avant d’ajouter, tout en retirant sa robe, et en finissant toute nue :
« En attendant, tu vas prendre ton bain avec moi... »
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Elle avait bien mangée ! Cela l’avait requinquée ! Elle avait quand même beaucoup jouie, et peut-être que l’accouplement bestial avec le frère de Melinda avait été un peu beaucoup, surtout qu’elle avait donné de son sang, ce qui fait qu’elle était quand même un peu plus faible que normalement... Mais quoiqu’il en soit, elle avait eu de quoi rebooster son énergie ! Bien sur, les pâtisseries avaient été ce qu’elle avait préférés. Comme dit précédemment, au cours de sa vie, Cassandre avait vraiment pu profiter d’extrêmement peu de pâtisserie... Ce n’était pas quelques choses qu’on donnait aux vachettes, un peu de la même façon qu’on disait qu’on ne donne pas de confiture aux cochons... Mais bref, elle était maintenant de nouveau avec sa maîtresse... Visiblement, elle allait avoir donc une mission à faire, ou elles allaient faire quelques choses, mais Cassandre ne savait pas encore vraiment...
« C’est très bien, ma Cassandre d’amour. »
OUIII ! Elle avait eu un compliment ! Elle avait encore un compliment ! Elle était si heureuse. Cassandre aimait vraiment quand comme ça, Mélinda disait qu’elle faisait quelques choses de très bien. Mais pas question, comme toujours, de se reposer sur ses lauriers. Après, elle faisait en sorte qu’elle réussisse encore, et encore, et qu’elle a encore plus de compliment ! Après tout, elle était une bonne vachette, et avait plein de compliment... Oui, Cassandre aimait vraiment quand on lui disait du bien... C’était comme ça ! Après, elle le montrait... Ouais, elle le montrait beaucoup. Sa queue de vache s’agitait derrière ses fesses, et elle avait les deux oreilles qui se dressaient, tandis que ses yeux brillaient d’excitation. Elle suivait tranquillement sa maîtresse, alors... Elle avait une nouvelle chose à faire, et se demandait bien ce que cela allait être... Elle arrivait alors dans une salle de bain...
« L’hygiène est très importante ici, Cassandre. Tu dois prendre un bain ou une douche tous les jours. Tu es mon esclave, ma petite vachette, mais tu dois aussi savoir faire ça par toi-même, car, comme tu as vu, tu as rejoint une très grande famille. Même si j’aimerais le faire, je ne peux malheureusement être systématiquement derrière chaque esclave. Tu dois donc faire preuve d’un peu d’autonomie, ma belle. Alors, si tu dois bien retenir une chose, c’est, comme je l’ai dit... De prendre grand soin de ton corps parfait ! »
« Promis ! Je ferais très attention, je me laverai tout les jours, et je serais toujours toute propre, et je sentirai tout bon !! »
Cassandre avait bien entendu ! Après tout, c’était logique. La propreté, cela, les vachettes Harmington connaissaient le principe. Bien sur, un maniaque de l’hygiène pourrait dire qu’elles sont très sales... Et il n’aurait pas totalement tord non plus... Mais quand même ! Les vachettes Harmingtons savaient se laver. Peut-être, néanmoins, qu’elles ne connaissaient pas tout les produits de beautés, qui existaient néanmoins. En effet, Cassandre s’était toujours lavé avec ses copines vachettes dans l’eau, mais elles n’avaient jamais utilisés plus complexe qu’un savon. Vous comprenez ? Ainsi, elle connaissait l’hygiène, mais elle avait encore beaucoup à comprendre pour mettre le plus en valeur son corps d’elle-même. Il faut bien dire qu’avant sa vente, Cassandre avait été lavée par autrui... Donc, elle écouta la fameuse Melinda, qui déclara :
« En attendant, tu vas prendre ton bain avec moi... »
« Vous êtes si belle maîtresse ! »
Comme toujours, aucune tentative de flatterie. Cassandre n’était pas assez intelligente pour faire véritablement de faire de la flatterie. Elle était trop stupide pour ne pas dire ce qu’elle pensait... Elle disait que Melinda était belle, car elle avait de nouveau la chance de la voir nue ! Oooh ! Elle espérait qu’elle aurait très souvent la chance de la voir nue... Elle se demandait d’ailleurs pourquoi elle ne faisait pas la même chose qu’elle, se promener sans avoir de vêtements ? Cela serait bien plus joli ! Mais peut-être ne pouvait-elle pas ? En tout cas, elle se rappela qu’elle devait arrêter de réfléchir, et agir plus vite. Ainsi, elle retira progressivement le peu de vêtement qu’elle avait encore, et se retrouva, à son tour, dans la tenue d’Êve. Une fois ainsi dévêtue, elle déclara, toute contente, surtout d’être là :
« Voilà, moi aussi je suis nue ! Je me permet, maîtresse, d’aller dans le bain... »
Elle entra dans le bain... Manque de respect envers Melinda ? Et bien, cela, seul évidemment Melinda pouvait le dire. La fameuse Cassandre, elle, ne pouvait pas juger si elle avait manqué de respect ou non... Mais dans l’esprit, cela n’était pas du tout le cas. En effet, elle était entré dans le bain, qui était très fortement agréable, il fallait bien le dire, et en avait tenté la température... Mais surtout, maintenant, elle tendait ses bras pour aider la fameuse Melinda à entrer à son tour dans l’immense baignoire... Elle déclara, alors, avec une bouille adorable, montrant bien que son but n’avait jamais été de manquer de respect envers sa précieuse maîtresse... Au contraire, même !
« Voilà, si vous le voulez bien, maîtresse, que je vous aide à entrer dans l’eau ? »
Elle déclara cela en souriant, voulant être le plus utile possible. Comme une servante qui aidait sa maîtresse à entrer dans le bain. Le plus drôle étant que cela allait sans doute être la maîtresse qui allait être le plus utile pour la fameuse Cassnadre, étant donné que comme dit précédemment, elle connaissait peu le monde des bains... Mais quand même ! Elle était là, elle souriait, elle était radieuse, comme un soleil ! On pouvait vraiment dire que Cassandre avait été chanceuse, quand même, d’arriver là... Elle pouvait s’épanouir, et chaque moment était pour elle un moment de découverte, qu’elle attendait avec impatience ! Chaque moment avec Melinda était pour elle un moment de découverte, et elle comptait bien faire en sorte qu’elle puisse être utile, en donnant le plus de lait possible !
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Il était important d’apprendre d’emblée à Cassandre les bonnes pratiques. Mélinda pouvait se montrer très sale quand elle faisait l’amour, en pratiquant du sexe intense, s’étalant sur la durée. Il fallait voir l’état des chambres après qu’elle se soit lâchée en bonne compagnie ! Alors, forcément, la contrepartie, c’est qu’elle imposait une hygiène irréprochable au sein du manoir pour éviter que ce dernier ne ressemble à une porcherie. Ses pensionnaires se relayaient en différentes équipes de nettoyage, et, chaque jour, faisaient le ménage. C’était toute une organisation interne qui facilitait l’insertion sociale, et le sentiment communautariste. Cassandre aussi risquait de s’y coller, mais, à vrai dire... Les filles de l’équipe de nettoyage se faisaient souvent des câlins, et, vu la propension naturelle de l’Ushi à cracher du lait de ses seins, la perspective n’était pas particulièrement reluisante.
*Donc, à la réflexion, je crois que je vais oublier le nettoyage pour elle...*
Finissant également toute nue, Cassandre rejoignit la baignoire. Elle était vraiment très belle, avec des formes magnifiques et très agréables à voir. Mélinda s’en mordilla doucement les lèvres, et esquissa ensuite un léger sourire quand son Ushi tendit ses bras vers elle, l’invitant à la suivre. Ce n’était effectivement pas comme ça que, normalement, les choses s’agençaient entre elle et ses esclaves, mais, honnêtement, elle n’allait pas se familiariser pour si peu. La vampire s’approcha lentement de la baignoire, et grimpa par-dessus, se glissant dans les bras.
L’eau était délicieusement chaude, et la vampire sourit, avant de se lover contre Cassandre. Une main sur l’une de ses épaules, elle la poussa délicatement en arrière, et la coucha ainsi dans le fond de la baignoire, l’eau lui remontant jusqu’à hauteur du cou.
« Hmmmm, ma chère Cassandre... Aussi serviable que belle... »
Mélinda lui sourit tendrement, avant de se pincer les lèvres, puis posa sa tête contre la poitrine de Cassandre.
« Un bain, Cassandre, c’est une séance de relaxation. Il faut laisser l’eau détendre tes muscles. Bien sûr, généralement, je fais l’amour avec les personnes qui m’accompagnent, mais... Il ne faut pas abuser des bonnes choses, ce qui implique ton corps. »
La vampire se redressa un peu, et lui sourit encore.
« Sinon, tu vas mourir d’épuisement, ma chérie. »
Mélinda l’embrassa sur le bout du nez, puis se lova encore contre elle. Vu sa position, on aurait presque pu croire à une fille venant chercher les bras de sa mère pour un doux câlin. L’image était assurément très mignonne, et la vampire respirait lentement, l’eau recouvrant son corps.
« Je suis heureuse de t’avoir, Cassandre, glissa-t-elle ensuite. Tu es destinée à un très bel avenir au sein de ma communauté, les gens vont t’adorer... »
Et ça, Mélinda en était sûre !
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La préséance Cassandre ! La préséance ! Elle n’y connaissait rien, et violait toutes les règles de courtoisie, politesse… Dites ce que vous voulez, mais comprenez bien que Cassandre n’y connaissait absolument rien, et agissait toujours quasi à l’instinct. Elle faisait ce qu’elle estimait être le mieux. Heureusement, deux choses. Déjà, Cassandre faisait des efforts, elle faisait en sorte d’être une vachette polie, agréable, qui ne pose pas de soucis… Bref, une bonne vachette, bien polie comme toujours… Et deuxièmement, et bien, le manoir de Mélinda ne semblait pas trop à cheval sur l’étiquette, tant que le respect était là. Oui, car il y a une vraie différence entre les deux. On peux être respectueux, sans être forcément parfaitement bon en étiquette, vous comprenez ? Pour ce qui est de Cassandre, son respect envers sa maîtresse était immense… Mais l’étiquette… Et bien, elle avait encore beaucoup à apprendre.
« Un bain, Cassandre, c’est une séance de relaxation. Il faut laisser l’eau détendre tes muscles. Bien sûr, généralement, je fais l’amour avec les personnes qui m’accompagnent, mais... Il ne faut pas abuser des bonnes choses, ce qui implique ton corps. »
« Bien, je ferais très attention ! »
Elle déclara cela avec grande attention. Melinda faisait en sorte de bien contrôler le corps de sa vachette, et elle avait bien raison de lui apprendre à se détendre. Surtout Cassandre, qui était en effet destinée à être beaucoup… Utilisée, que cela soit dans sa bouche, son intimité, ou, le plus important… Ses seins. Surtout ses seins. Ainsi, Melinda, poussa tranquillement la vachette, pour qu’elle s’enfonce bien dans l’eau. En temps normale, Cassandre n’aurait pas été rassurée, ne sachant pas nagée, et ayant peur de se noyer… Mais là, elle était avec sa maîtresse. Elle n’avait rien à craindre, tant qu’elle était avec sa maîtresse. Elle écouta alors, maintenant bien installée dans son bain, sa maîtresse qui ainsi expliqua pourquoi il ne fallait pas abuser des bonnes choses.
« Sinon, tu vas mourir d’épuisement, ma chérie. »
Ouais, non, elle n’avait pas envie de mourir. C’était pas cool la mort ! Et puis, elle savait qu’elle devait pas trop en faire ! C’était qu’une vachette, elle n’était pas une déesse. D’ailleurs, elle apprenait ! Elle avait compris que sa maîtresse appréciait le sang… Mais elle devait éviter de lui proposer de boire le sien, alors qu’elle n’avait pas encore mangé. C’était mauvais pour elle, elle n’avait pas encore la force de tenir ce qu’elle offrait. Et c’était le minimum… Quand on offrait quelques chose à quelqu’un, on se devait de faire attention d’être en mesure de l’offrir ! Donc, elle prenait bien des notes mentales, pour tenter d’être la meilleure vachette possible ! Après tout, c’était comme ça qu’elle pourrait se rendre utile… Et en se rendant utile, c’était comme ça qu’elle pourrait se faire apprécier…
« Je suis heureuse de t’avoir, Cassandre. Tu es destinée à un très bel avenir au sein de ma communauté, les gens vont t’adorer... »
« Je ferais en sorte que les gens m’apprécient ! »
Elle était bien partie... En même temps, comment ne pas aimer une telle bombe d’amour ! Cassandre aimait tout le monde, et on pouvait dire qu’elle arrivait bien à rendre ça réciproque. Les personnes qui n’aimaient pas Cassandre devaient exister. Certains la trouveraient niaise, d’autres la trouveraient insupportable à toujours être contente et joyeuse... Enfin, certaines personnes étaient intolérentes au lait, et bien, ça quand c’est le cas, c’est difficile d’aimer une vachette qui était 24h24 entrain de vous proposer du lait. Après, sachez que le lait des vachettes étaient bien plus facilement digérable que le lait de vache, étant donné que les vachettes étaient plus proches des humains... C’est bien pratique n’est-ce pas ? Cela fait qu’une bonne vachette peut justement vous aidez niveau de votre lait et si vous ne le digirez pas... N’est-ce pas bien pratique ? Quoiqu’il en soit, la vachette continua alors à parler, tranquillement :
« Je suis si heureuse ! Mon éleveur expliquait toujours que les vachettes qui produisaient le plus de lait, elles étaient faites pour être juste mise dans une boite, et donnez le plus de lait possible, mais vous… »
Elle s’exprimait clairement, sans faire de floritures... Alors, elle savait que peut-être qu’un jour, un moment, voir même peut-être après ce bain, elle serait mise en boite pour donner du lait... C’était possible ! Mais elle s’en fichait, car elle savait que c’était normal, qu’il n’y avait pas de questions à se poser... Cela faisait partie de la vie, tout simplement ! Après tout, elle était une vachette, et elle était rien de plus. Elle n’allait pas demander à être plus que ce qu’elle était tout simplement... Non... ? Mais bref, ainsi, si son destin pouvait être sombre, et bien, c’était quelques chose qu’elle acceptait, et qu’elle remplissait avec honneur et plaisir. Mais pourquoi avait-elle autant d’honneur et de plaisir... Elle serait comme ça, quelques soit la situation ? Vous pensez vraiment cela ? Et bien, vous vous trompez ! Si elle avait tout cela, ce n’était pas car notre vachette était une miss parfaite, quelques soit la situation... Non, c’est que...
« Vous, vous vous occupez de moi ! Je sais que c’est aussi car je suis nouvelle... Mais je ferais tout pour m’occuper de vous aussi ! Tout le temps ! »
C’est que la situation lui était parfaite ! Il était difficile de savoir si Mélinda avait l’habitude d’entendre cela, mais quoiqu’il en soit, c’était rare que les serviteurs mentionnent à quel point ils se sentaient bien traités par une maîtresse... Et bien dans le cas de Cassandre, c’était 200 % le cas ! Et ouais ! Bref, la vachette était contente, très contente. Mais elle n’était pas non plus dupe pour autant, comme ses déclarations le montraient bien. Elle savait bien que c’était aussi en grande partie car elle était nouvelle, et que Mélinda n’aurait pas toujours l’occasion de s’occuper d’elle... Mais c’était pas grave ! Car elle, elle comptait bien s’occuper de sa fameuse maîtresse dès qu’elle peut ! C’était une bonne vachette, et elle avait une maîtresse qu’elle aimait... Oh que oui, elle l’aimait... Elle l’aimait vraiment beaucoup !
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Le sort des Ushis n’était pas forcément très enviable. Comme Cassandre l’indiqua, leur rôle était souvent d’être cantonné à être dans un enclos, et à être ponctionné de leur lait. C’était plutôt froid et inhumain, car les Ushis y restaient jour et nuit. Dans certains centres d’élevage impériaux, ou nexusiens, c’était ce système. Mélinda était bien placée pour le savoir, puisqu’elle était dans ce milieu. Mais Cassandre, si elle ne l’avait pas encore remarqué, comprendrait vite combien Mélinda était une Maîtresse spéciale. Ceci tenait peut-être au fait que, avant de devenir la puissante vampire qu’elle était, elle avait été une esclave. Elle avait connu l’humiliation, la souffrance, la frustration, et elle concevait son rôle d’esclavagiste comme une fonction assez différente de ce que la plupart des autres faisaient. Pour elle, sa fonction n’était pas tant d’asservir et d’exploiter que de dominer et de protéger. Des mots proches, mais qui exprimaient des idées bien différentes.
« Ma principale préoccupation, Cassandre, c’est que tu te sentes heureuse, ici... Heureuse, et en sécurité. »
Et il n’y avait visiblement aucun doute à avoir là-dessus. Mélinda s’en pinça les lèvres, et embrassa à nouveau Cassandre. Dire qu’initialement, elle avait juste voulu prendre un bain avec Cassandre, et lui apprendre à se nettoyer convenablement... Mais, finalement, son Ushi avait encore su se montrer irrésistible, par sa douceur, sa beauté, et ses paroles très agréables à entendre. Tout en l’embrassant, Mélinda pinça l’un de ses seins, une zone très sensible du corps de l’Ushi, et Cassandre put sentir quelque chose pousser contre ses cuisses, heurtant sa peau. Mélinda avait encore fait appel aux particularités très spéciales de son corps, et venait de faire sortir sa verge. Son membre phallique heurta les cuisses de Cassandre, et se glissa ensuite, très naturellement, dans sa fleur intime.
Mélinda embrassait alors toujours Cassandre, tout en l’enfournant, et elle ferma les yeux pendant quelques secondes, avant de commencer à remuer, provoquant une série de clapotis sur l’eau.
« Hmmmm... !! »
Se pinçant doucement les lèvres, la vampire enchaîna les mouvements, faisant tendrement l’amour à sa belle Ushi. Elle rompit le baiser, et la regarda en souriant.
« C’est vrai... Hmmmm... Tu devras me donner beaucoup de lait, mais... Ici, tu ne seras jamais considérée comme un simple objet, Cassandre, je... Je prends soin des personnes qui me sont proches, comme toi, hnnn... »
Rien à voir avec un esclavagiste ordinaire, en effet ! Mais ce n’était clairement pas Cassandre qui allait s’en plaindre, n’est-ce pas ?
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L’eau était agréable, et la vachette en profitait pour quelques peu se nettoyer... Le peu qu’elle connaissait hein ! Comme dit précédemment, tout les produits chimiques utilisées pour se nettoyer, elle ne connaissait pas vraiment. Mais bon ! Elle savait quand même entretenir son corps... Surtout qu’elle, au contraire de Mélinda, était bien dans l’eau, étant donné qu’elle était en dessous... C’était la chance, pour celle qui était quand même censée être là pour se nettoyer... Alors, oui, la vachette avait par contre tendance à distraire les gens de leur occupation... Mais que voulez-vous ! Elle était vraiment trop mignonne, et donc, on avait envie de se la faire ! Oui, bon d’accord, dit comme ça, ça peut sembler étrange, mais si si, je vous assure !
« Ma principale préoccupation, Cassandre, c’est que tu te sentes heureuse, ici... Heureuse, et en sécurité. »
« C’est réussi ! »
Et comment que c’était réussi ! C’est vrai qu’elle soit heureuse, c’était important... Mais la sécurité, aussi, c’était importante. Les vachettes étaient souvent assez peureuse. C’était aussi le cas de Cassandre... Mais vous allez me dire « NANI ? » ! Comment Cassandre, une vachette aussi... Comment dire... Ayant l’habitude de sauter dans les bras de n’importe qui, pouvait-elle être peureuse ? Au contraire ? Elle semblait même plutôt insouciante des dangers ! Et bien, oui, mais si elle faisait ça, c’était au contraire car elle était dans un cadre où elle pouvait le faire. Si elle était dans la vie sauvage, elle ne le ferait pas. Voilà l’une des raisons pourquoi dans les faits, si la vachette était « libre », et bien, elle n’aimerait pas ça ! Elle saurait pas quoi faire, elle ne saurait pas comment s’en sortir... Vous comprenez ?
Mais trève de blabla... Car ce n’était pas que du blabla qui se passait ici. En effet, alors que la vachette était toujours contre le corps de sa maîtresse, elle put être la première à remarquer le fait que quelques chose était entrain de gonfler... C’était bel et bien l’érection de sa maîtresse qui était entrain de réapparaître. Visiblement, le corps de Cassandre faisait toujours autant d’effet... Et c’était bien compréhensible. Ainsi, la vachette se fit de nouveau pénétrer, et poussa un gémissement de plaisir... Elle n’aurait jamais pensé autant l’apprécier, mais il n’y avait pas de doute : elle adorait cela. Elle adorait comment sa maîtresse s’occupait d’elle... En même temps, il n’y avait pas de doute... Sa maîtresse l’aimait, et comme ce qu’elle déclara, et bien, on pouvait voir que Cassandre était bien plus qu’un simple objet aux yeux de sa maîtresse.
« C’est vrai... Hmmmm... Tu devras me donner beaucoup de lait, mais... Ici, tu ne seras jamais considérée comme un simple objet, Cassandre, je... Je prends soin des personnes qui me sont proches, comme toi, hnnn... »
« Merci ! »
Elle le pensait vraiment, et était surtout honorée qu’elle était considérée comme « proche ». Oh, elle n’était pas dupe, elle devinait sans aucun problème que plus d’une esclave devait être proche de la fameuse Mélinda... Mais comme dit précédemment, c’était énorme pour une vachette quelques chose de tellement énorme... les terranides n’étaient que des Terranides, après tout, et alors, quand c’était des vachettes... Les Ushis étaient presque considéré comme les plus « bestiales » des terranides, étant donné qu’elles donnaient du lait, elles étaient là pour faire de la production, contrairement à beaucoup d’autres terranides... Quoiqu’il en soit, Cassandre déclara :
« Mmmh... Moi aussi je prendrais soin de vous maîtresse... »
Elle gémissait de plaisir... Elle savait qu’elle pourrait prendre soin de sa maîtresse... Savoir comment, c’était parfois plus compliquée, mais elle comptait bien faire de son mieux pour réussir à être la plus efficace. Elle savait qu’elle avait son lait, mais maintenant, elle savait aussi qu’elle pouvait donner de son sang, quand elle avait l’énergie. Elle devait faire attention... Mais si sa maîtresse appréciait cela, et bien, elle n’hésiterait pas à le faire ! Après tout, elle était quand même une vachette ! Mais pour le moment, elle faisait autre chose : elle utilisait son bassin. Elle tentait de suivre le rythme, d’aider la fameuse vampire de prendre le plus de plaisir possible. Après tout, plus elle donnerait du plaisir à sa maîtresse, plus celle-ci pourrait comprendre que Cassandre serait en effet là pour prendre soin de sa maîtresse...
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Avec Mélinda, Cassandre allait vite comprendre que le sexe était une notion omniprésente. Mélinda aimait profondément le sexe. Elle n’avait aucune difficulté à admettre être une perverse, avec des tendances très proches de la nymphomanie. Après avoir passé des siècles à gérer un harem, il ne fallait pas s’attendre à autre chose, et, avec Cassandre, c’était bien ce qui se passait. La belle Ushi se tortillait sous elle, follement heureuse en constatant combien elle était chanceuse d’être ici. Une belle Ushi rien que pour Mélinda, il fallait avouer que la vampire était chanceuse ! Sa queue s’enfonçait dans les parois intimes de Cassandre, et, tout en soupirant, Mélinda la prenait. Le corps de l’Ushi se soulevait et s’abaissait, tapant régulièrement contre le fond de la baignoire.
« Hmmmm... Oooh, ma Cassandre, ma délicieuse Cassandre ! »
Mélinda exultait, et embrassa le creux du cou de la femme, mordillant sa peau, sans boire son sang, simplement pour diffuser un peu de douleur, et l’entendre couiner, meugler, et gémir encore. La main de Mélinda se crispa ensuite sur l’un de ses seins, qu’elle pinça vigoureusement, tirant sur le téton dans tous les sens. Elle sentit ses doigts s’humidifier. Les seins de Cassandre ressortaient un peu de l’eau, de sorte que c’était bien du lait qui filait, avant que Mélinda ne poussa encore la femme, enfouissant ses seins sous l’eau, répandant le lait autour des deux femmes.
« Diable, tu... Hmmm... Tu allaites en-Encore... Haaaaa... Ma petite catin... !! »
Tout ça continuait à exciter férocement Mélinda, qui se pinça les lèvres, et retourna l’embrasser, en continuant ensuite ses coups de reins. Mélinda semblait tout simplement infatigable en la matière, ne relâchant jamais ses efforts, bourrant de plus en plus profondément et de plus en plus vigoureusement sa belle Ushi. Oh oui, Cassandre allait prendre profondément goût au sexe ! Comme toutes les esclaves de Mélinda, son destin était tout tracé. La vampire continuait donc à la prendre, jusqu’à gémir encore, poussant des soupirs de plus en plus prononcés.
Elle soupirait le nom de Cassandre, elle gémissait, se tortillant contre elle. La vampire se pinça les lèvres à nouveau, et retourna l’embrasser, pressant encore ses seins.
« Ca-Cassandre, hmmm... Cassandre !! »
Dans un soupir, Mélinda se relâcha en elle, après de longues minutes. Son sperme fusa dans l’intimité de Cassandre, et Mélinda, en soupirant longuement, s’allongea contre elle. Le lait de Cassandre avait juté abondamment, se mélangeant à à l’eau.
« Ohhh... Ça fait tellement du bien, mon amour... »
Elle l’embrassa doucement sur la joue.
« Tu ne trouves pas ? »
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Cassandre avait le droit à tout le tour, comme on disait dans certaines régions ! Elle s’était levé, elle avait baisé. Elle avait mangé son petit déjeuner ? Elle avait baisé. Elle se lavait ? Elle baisait ! On pouvait dire que c’était un peu beaucoup, mais comme dit précédemment, que cela soit les vampires ou les terranides vaches, leur endurance était souvent assez importante, étant donné que, pour ce qui est des créatures vaches, et bien celles-ci devaient souvent vivre de façon très physique, active... Donc, c’était assez logique. Après, Cassandre avait bien conscience, encore une fois, qu’elle jouissait, dans les deux sens du terme, du fait qu’elle était nouvelle. Après, si elle allait encore souvent baiser, et bien, cela allait arriver moins souvent quand même. Mais trève de blabla, concentrons-nous sur ce qui se passe.
« Hmmmm... Oooh, ma Cassandre, ma délicieuse Cassandre ! »
Cassandre gémissait de plaisir alors que son nom était dit, gémit, chanté presque avec plaisir. Dieu qu’elle adorait, dieu qu’elle était heureuse ! Cassandre n’était pas seulement pénétrée, il fallait bien le dire... Mélinda jouait entièrement avec le corps de la vachette, qui était là, qui s’offrait pour elle... Avec tellement de plaisir, que Cassandre ne pouvait qu’être heureuse. Que cela soit ses cuisses, son ventre, ou ses seins, tout était objet de plaisir, tout était utilisable... Et évidemment, bien entendu... Utilisant ses seins, Mélinda put de nouveau activer la machine, comme on dit, et ainsi, le lait put de nouveau s’affirmer...
« Diable, tu... Hmmm... Tu allaites en-Encore... Haaaaa... Ma petite catin... !! »
« Ou… OUI ! »
Cassandre ne put se retenir plus longtemps. Après un si bon baisage, on pouvait le dire ainsi, son corps réclamant grâce de pouvoir enfin jouir eut l’autorisation d’offrir la jouissance à la vampire, bien que c’était la vachette qui allait recevoir la majorité du fruit des jouissances des deux personnes... Bref, elle était heureuse, elle venait de jouir... Mais ce n’était pas fini... étant donné que sa maîtresse n’avait pas encore jouit, elle, donc, évidemment, pour le moment c’était la vachette qui se laissait entrainer... Enfin, était-ce nécessaire de vraiment préciser « pour le moment » ? Je pense que vous avez bien compris que la vachette ne contrôlait que peu le jeu... Elle était surtout une dominé, et elle en était extrêmement heureuse, il faut bien le dire.
« Ca-Cassandre, hmmm... Cassandre !! Ohhh... Ça fait tellement du bien, mon amour... »
« Ha… Han… Han... »
Elle gémissait de plaisir, son orgasme avait encore une fois été puissant... Et elle avait adorée ça. Sa maîtresse avait-elle prit autant de plaisir ? Premièrement, Cassandre l’espérait vraiment, étant donné qu’en temps que bonne petite vachette, elle prenait soin de faire très attention à donner le plus de plaisir et de lait... Voir les deux à la fois, comme toujours. Mais secondement... Et bien, visiblement, cela avait bien marché, étant donné que sa maîtresse était satisfaite... C’était le principal, aux yeux de Cassandre, et donc, elle écouta attentivement les demandes suivantes de sa fameuse maîtresse, demande qui était encore une fois, on ne le dira jamais assez, preuve qu’elle avait une maîtresse rare pour une esclave, une maîtresse qui demandait son avis !
« Tu ne trouves pas ? »
« J’adore… Je n’avais jamais vécu ça avant… C’est torride, et presque aussi plaisant qu’être traite après une longue attente... »
Totalement ! Elle était devenue accroc ? Mmmh... Oui et non. Oui, je sais, c’est trop facile de dire ça, mais attendez, je vous explique. Donc, non, d’abord. En effet, elle était pas accroc, folle de ça. Elle adorait, mais ce n’était pas non plus la chose la plus importante du monde. Elle préférait manger, par exemple... Sauf que vous avez bien compris d’où vient le oui, avec la comparaison avec « manger ». Si elle préférait manger, et bien, le sexe était pour elle maintenant un besoin tout aussi important et tout aussi présent que se faire prendre !
« Oh, laissez-moi vous lavez, ma chère maîtresse ! »
Et ouais ! Notre Cassandre se souvenait de la situation... Et finalement, la retournait. En effet, c’était la fameuse Mélinda Warren qui avait prévu de bien montrer à la vachette comment on se lavait... Mais Cassandre décidait de tenter de faire son travail de servante, domestique, esclave, tout les termes que vous voulez, pour rappelez qu’elle était à la hauteur, et surtout, faire en sorte que ce ne soit pas elle qui soit trop gâtée par sa maîtresse. Alors, elle adorait ça, hein, mais bon... Il fallait quand même qu’elle soit digne d’une servante. Ainsi, elle avait prit un gant, qui était accessible pour elle, et nettoyait, enfin, passait le gant sur sa maîtresse, endroit intime compris. Elle tentait de faire de son mieux, après tout... Elle était Cassandre ! La bonne vachette et l’excellente servante ! C’était la moindre des choses !
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Mélinda aimait le sexe, vraiment. C’était délicieux, jouissif, et, même si ça faisait des siècles qu’elle s’envoyait régulièrement en l’air, et pratiquait du sexe intensif dans tous les sens, elle aimait toujours autant jouir, et avoir des orgasmes à répétition. La vampire était couchée contre Cassandre, et savourait ce moment, la séance d’après-sexe. Elle frottait doucement sa joue contre les gros seins de Cassandre, doux et volumineux, agréables, comme des sortes de gros coussins. Ils étaient très agréables, et elle n’hésitait pas à déposer quelques baisers. Les deux femmes venaient de jouir, et le lait de Cassandre s’était mélangé dans l’eau, formant d’agréables tâches. Fermant les yeux, Mélinda se lova contre Cassandre. L’eau aidait à la détendre, et, quand on ajoutait à ça le sentiment d’allégresse après le sexe, il était fréquent qu’elle s’endorme.
« Hmmm, ma Cassandre tu es si douce… »
La vampire pouvait se montrer perverse, violente, cruelle, mais aussi incroyablement douce et affectueuse. Elle avait plusieurs facettes, pouvant passer presque instantanément de la Maîtresse dominatrice et intraitable à la jeune fille adorable, la petite enfant pleine d’amour, comme une magnifique poupée qui ferait la fierté de ses parents. Et là, là, contre Cassandre, Mélinda devenait la petite poupée en porcelaine. Yeux clos, elle se reposait, quand Cassandre proposa de lui faire sa toilette.
Mélinda gloussa alors, et se pinça les lèvres, avant de relever son visage, un sourire magnifique sur les lèvres, véritablement angélique. Ses yeux pétillaient d’amusement, et elle avait un grand sourire en coin, ce sourire dont elle avait le secret.
« J’adore quand on s’occupe de moi et de mon corps, Cassandre. Vas-y, nettoie-moi, il y a du savon, là… »
Bien sûr, Mélinda lui indiqua le savon et le gant de toilette, puis Cassandre se mit sur le côté, et passa le savon sur tout son corps, précautionneusement, frottant ses bras, ses doigts, ses mains, son visage, ainsi que son corps. Mélinda se releva même, se tenant debout au milieu du bain, l’eau dégoulinant sur tout son corps, et elle laissa Cassandre continuer à savonner son corps.
« Oui, ma chérie, très bien… Frotte bien, hmmm… »
Sans la moindre pudeur, Cassandre frotta également son sexe, et dut s’y reprendre à plusieurs reprises, tout comme ses fesses. Ce faisant, elle put entendre sa Maîtresse soupirer doucement, et, quand Cassandre retourna savonner sa queue, celle-ci connut une nouvelle érection, en se dressant fièrement. Les joues de Mélinda s’empourprèrent, et elle soupira, sa main se déplaçant pour caresser ses cheveux.
« Oh, ma belle… Tu en profites, hein, petite coquine ? Mais tu as raison. Mon corps est agréable, hein ? »
On disait certes que tout flatteur vivait aux dépens de celui qui l’écoute, mais… Eh bien, Mélinda était très sensible à la flatterie !
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Le bain avait été bien tourmentée, on pouvait le dire... Et c’était de la tourmente comme on aimerait en avoir plus souvent. Le lait avait un peu taché tout, il fallait bien le dire... Mais quand on était une vachette aussi productive que Cassandre, et bien, on provoquait souvent des éruptions lactée un peu partout... Bref, elle produisait plus de lait qu’un homme ou une futanari faisait de sperme... Et c’était quand:même incroyable ! On pouvait dire que c’était vraiment une très grosse productrice... Bref, quoiqu’il en soit, ce n’était pas l’heure de donner du lait, mais bel et bien celui de participer au nettoyage, et même cela, Cassandre le faisait avec beaucoup d’attention.
« J’adore quand on s’occupe de moi et de mon corps, Cassandre. Vas-y, nettoie-moi, il y a du savon, là… »
« Bien ! »
Elle récupéra le savon... Et de suite... ADORA CA ! Pourquoi ? Car ça faisait plein de mousse ! Oui !!! Plein de mousse ! Ouais, Cassandre avait un peu une âme d’enfant parfois. Alors oui, une âme d’enfant vachement sexualisé, mais ne mélangeons pas tout, bien entendu. Je dis cela dans le sens que Cassandre aimait s’amuser, elle aimait avoir des choses qui l’amusent, et donc, dans cela, il y avait justement le fait qu’elle adorait la mousse. Et le savoir, et bien l’avantage, c’est que cela faisait beaucoup de mousse, blanche, exactement comme le lait et le sperme, vous avez bien suivi l’ensemble, c’est bien... Bref, elle avait maintenant le tout, et commençait à continuer le nettoyage avec plus d’efficacité, ayant le matos nécessaire.
« Oui, ma chérie, très bien… Frotte bien, hmmm… »
Cassandre faisait bien attention d’écouter les demandes et les attentions de sa fameuse interlocutrice et maîtresse... Ainsi, maintenant avec le savon et les gants de toilettes, elle passait un peu partout. Et quand je dis « un peu » partout, et bien, vous pouvez retirer le « un peu » car enfaite, il est complètement inutile, c’est véritablement partout, tout simplement. Elle passait du haut du cou, vers les seins, puis le ventre... Quand même, il fallait préciser qu’elle mettait beaucoup de soin pour les seins, mais cela, c’était logique. Pour une vachette, la partie la plus importante du corps, ce sont les seins. Mais l’intimité de la fameuse vampire n’était pas en reste, tout comme les fesses... Et les jambes, aussi, histoire de finir... Mais retournons sur l’intimité, soin appliqué qui fit dire à sa fameuse maîtresse :
« Oh, ma belle… Tu en profites, hein, petite coquine ? Mais tu as raison. Mon corps est agréable, hein ? »
« J’en profiiiite... ? Moi.... ? »
Elle faisait exprès de jouer la fausse naïve. Bien sur qu’elle en profitait, et elle en profitait bien... Après tout, elle était là aussi pour ça non ? Bref, vous avez bien compris... Que cela soit les seins, sur laquel je me suis attardée un peu plus tôt, vous avez bien compris qu’elle avait mis beaucoup de soin à ses endroits particulièrement, ou bien de l’autre côté, le phallus et l’intimité de la vampire... Cassandre mettait bien plus de soin qu’à d’autres endroits qui l’intéressaient moins, comme les pieds, ou le hauts du dos... Bien qu’elle avait pris soin de les laver aussi ! Bien entendu ! De toute façon, si les parties... Sexuelles disons du corps, intéressait Cassandre... Dans les faits, tout le corps de sa maîtresse était agréable pour la vachette, comme elle témoigna :
« Oui ! J’en profite, votre peau est douce et bien entretenue, c’est un plaisir à laver... »
Etait-ce car c’était une vampire ? Cassandre se posait la question, mais elle trouvait la peau de Melinda d’une douceur absolue, nullement rugueuse... C’était très très agréable au toucher, et elle adorait ça ! Soit c’était peut-être car elle était une vampire, c’était une théorie possible, étant donné que Cassandre ne connaissait absolument rien des vampires, et donc pouvait justifier un peu tout et n’importe quoi... Et bien sur le fait qu’elle était une vampire... Soit c’était peut-être car justement, Mélinda prenait souvent des bains, ce qui faisait qu’elle avait la peau plus douce, car elle était tout simplement plus entretenue. Oui, c’était possible aussi, mais tout cela ne restaient bien entendu que des théories... Quoiqu’il en soit, elle déclara :
« Je pourrais faire ça toute la journée, ma maîtresse... »
Bien entendue, elle se souvenait de ce qu’avait dit sa fameuse maîtresse... Elle ne pourrait malheureusement pas faire ça toute la journée, étant donné que la fameuse Melinda avait de nombreuses choses à faire dans la vie. Comme elle, Cassandre, devait donner du lait, et bien elle doutait très peu que Mélinda avait aussi des responsabilités. C’était le lot de n’importe qui d’avoir des responsabilités, et donc, elle doutait qu’elle ne pouvait y échapper... C’est pour cela que Cassandre était là, maintenant. Elle comptait offrir à Melinda un moment où elle pouvait échapper à ses responsabilités, et juste avoir sa vachette, qui pour une « soumise », et bien, savait quand même prendre des initiatives, quand elle estimait que c’était pour sa maîtresse... Et cela, et bien, cela est assez intéressant dans le caractère de la vachette !
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Sa peau était douce ? Mélinda en sourit légèrement. Ce n’était pas une conséquence de sa nature vampirique, mais de ses gênes. Elizabeth Warren, sa mère biologique, était une femme à la grande beauté. D’ailleurs, quand on voyait les tableaux d’elle, certains la prenaient pour Mélinda. Les deux femmes partageaient les mêmes yeux verts, ce regard perçant et hypnotique dans lequel une âme pouvait se noyer. Et, dans les journaux et carnets que Mélinda avait lu, elle avait appris que sa mère, qu’elle n’avait jamais connu, avait une peau douce. Alors, c’était sans doute un trait héréditaire. En tout cas, Cassandre aimait beaucoup sa peau, et revenait régulièrement embrasser ses cuisses et ses jambes.
« Nous sommes des femmes, Cassandre, nous représentons le beau sexe. Qu’on le veuille ou non, la beauté est la plus redoutable de nos armes. »
C’était un conseil affectueux, et Mélinda lui sourit, caressant les cheveux de la femme. L’eau avait commencé à se rafraîchir, devenant tiède. Elles étaient maintenant propres, mais Cassandre continuait à nettoyer avec le savon. Elle restait maintenant à genoux, se concentrant sur les cuisses et sur le bassin de la vampire. Le sexe de la Maîtresse était maintenant bien dressé, ayant retrouvé sa rigidité sexuelle. Comme toujours, Mélinda s’enflammait très rapidement. Le sexe était un pilier de sa nature, et elle frémissait sur place.
Oui, Mélinda aimait bien Cassandre. Elle comptait encore la former, l’éduquer, veiller sur elle, à son épanouissement psychologique et sexuel... Car les deux étaient liés, tout simplement. Et ça, plus vite l’Ushi le réaliserait, et mieux ce serait pour elle. Enfin... Pour ce qui est du sexe, en tout cas, après tout ce que Cassandre venait de vivre en si peu de temps, Mélinda ne se faisait pas trop de doutes là-dessus. La malicieuse vachette admit volontiers qu’elle en profitait, et Mélinda sourit donc.
« Tu es très gourmande, tu sais, Cassandre... »
Bien entendu, c’était un compliment qu’elle lui faisait. Mélinda n’avait rien contre la gourmandise, surtout en matière sexuelle. Une lueur d’amusement brillait donc dans ses yeux, et elle enchaîna :
« Je ne devrais pas, car ce n’est pas raisonnable, mais... Crois-tu que tu pourrais terminer ton œuvre en t’occupant de mon sexe... Avec tes lèvres ? »
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Le bain était très agréable, bien que le temps passé dedans… Et bien, chose logique, avait fait que la chaleur du bain s’était grandement évaporés. Alors, il n’était pas non plus devenu froid, mais disons qu’il ne restait plus qu’une tiédeur agréable, bien que la chaleur était toujours la plus agréable, il fallait bien le dire. Bref, cela sonnait sans doute que l’heure du bain allait finir par être terminer… Oui, on devinait la déception, mais bon, que voulez-vous ? Toutes les bonnes choses avaient une fin, et malheureusement, la fin de celle-ci commençait peu à peu à approcher. C’était comme ça, c’est tout ! Mais bon ! Concentrons-nous sur ce qui était entrain de se passer… Car après tout, et bien… Tout n’était pas fini, loin de là ! Ainsi, Melinda avait quelques mots à expliquer à la fameuse vachette :
« Nous sommes des femmes, Cassandre, nous représentons le beau sexe. Qu’on le veuille ou non, la beauté est la plus redoutable de nos armes. »
« Armes ? Les vachettes ne doivent pas porter d’armes, mon tuteur me le disait… Ca sera donc l’unique que j’userai... »
Tient, tient ! Un peu du passé de Cassandre… Cela faisait longtemps ! Et oui, il fallait se rappeler que Cassandre, chez son « tuteur », le Harmington, et bien, elle avait été éduqué… Et Cassandre avait toujours appris une chose : les armes leur étaient interdite. Voilà pourquoi Cassandre ne touchait jamais à un couteau ou quoique ce soit du genre ! Cela lui avait été interdit, et plusieurs exercice de sa jeunesse avait été littéralement de lui dire de prendre une « arme », et se faire punir pour cela… Un jeu où elle était forcément perdante. Si elle prenait l’arme, elle était punie car elle avait prit une arme, si elle ne prenait pas l’arme, elle était punie car elle n’obéissait pas. Vous voyez un peu le genre… bref, en tout cas, elle écouta la suite des déclarations de sa très chère maîtresse, qui déclara :
« Tu es très gourmande, tu sais, Cassandre... »
« Oui ! »
Ah oui, ça, elle confirmait ! Elle savait bien qu’elle était gourmande, et il faut bien l’avouer… Elle était très heureuse d’être gourmande, car c’était chouette d’être gourmande ! Elle aimait manger, elle aimait beaucoup avoir des bons petits plats… Cependant, elle n’était pas dupe, ni une véritable idiote, il fallait bien l’avouer. Elle savait s’y faire, et elle s’y connaissait suffisamment pour comprendre ce qu’avait voulu dire la fameuse Melinda ! Elle n’était pas stupide… Elle savait que la gourmandise n’était point le péché ici mit en avant… Mais bel et bien la luxure ! Le plus beau des péchés, le plus acceptable aussi, et franchement… Le plus plaisant et présent de ces lieux, n’êtes vous pas tous d’accord, mes amis ? Ainsi, il était temps… De mettre en application tout cela, étant donné que Mélinda proposa alors à la fameuse vachette, bien attentive.
« Je ne devrais pas, car ce n’est pas raisonnable, mais... Crois-tu que tu pourrais terminer ton œuvre en t’occupant de mon sexe... Avec tes lèvres ? »
« Mmmh... »
Elle fit alors TOTALEMENT semblant d’hésiter. Elle faisait toute les mimiques, posant son doigt au niveau de sa bouche, se tortillant légèrement… Bref, elle s’amusait. Encore une fois, cela manquait de politesse de la part d’une esclave, et bien des maîtres pourraient punir leur vachette pour cela… Mais il fallait bien comprendre que Melinda ne semblait pas du genre à punir ce qui était plus du jeu qu’un vrai manque de respect. Surtout que Cassandre montrait un total respect et une totale soumission en contrepartie. Cela, il n’y avait pas le moindre doute, vous pouvez en être sûre et certains. A part, évidemment, dans le cas, où la punition, dans les faits, est tout autant un jeu qu’une véritable « punition ». Vous comprenez le cas ? Bref, en tout cas, après une très courte -comme toujours, ne vous fiez pas à la longueur d’un paragraphe pour le temps réel- Cassandre déclara :
« Je pense qu’il n’est pas bon de laisser les choses à moitié faîtes, ma maîtresse, vous avez raison ! »
Totalement ! Une bonne vachette ne laissait pas les choses à moitié faites. Elle s’installa alors pour préparer son action… Qui allait être une bonne fellation ! Après tout, il était vrai qu’il fallait terminer son nettoyage, et elle trouvait le gant de toilette n’était pas, il faut bien l’avouer, le plus pratique dans ce genre de situation. C’était même, avouons-le, loin d’être le plus pratique… Non, le plus pratique, c’était de loin ses jolis lèvres. Ainsi, elle commença à léchouiller le phallus qui avait formé déjà une belle erection, il fallait bien le dire. Néanmoins, contrairement à sa dernière fellation, elle n’était pas là pour jouer au même jeu, c’est à dire, jouer celle qui teasait la fellation… Non, en effet, elle devait user de ses lèvres. Donc, elle commença dès le début, à englober, et commencer des vas et viens très lent, mais tentant d’aller assez profondément… Et oui, elle tentait de laver avec ses lèvres, c’était le but !
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D’aucuns auraient pu estimer que Mélinda et Cassandre avaient déjà largement fait l’amour comme ça pour toute la journée... Mais, penser ça, c’était clairement méconnaître Mélinda, qui était une femme pleine d’appétit et d’envie. Cassandre avait déjà pu s’en faire une bonne idée, et elle n’était qu’au début de ses surprises. Mais, quand la vampire lui proposa de la sucer, elle vit la jeune Ushi hésiter... Ce qui était en contradiction avec son rythme sanguin, qui s’emballait nerveusement. Mélinda n’était pas dupe, et elle savait que la vachette se montrait déjà un peu mutine. Était-ce par pure provocation ? Ou parce qu’elle commençait à prendre goût au jeu de la soumission ? Ce jeu qui consistait à faussement jouer la rebelle, de manière à justifier la fausse colère de son propriétaire, et ainsi recevoir une juste et exquise punition... Mélinda en sourit légèrement, réfléchissant déjà à une idée de punir la petite Ushi pour son impertinence. Mais, à son corps défendant, Mélinda avait donné une légère inflexion à son ordre, un « Crois-tu » qui laissait libre d’interprétation.
Elle allait lui dire de se dépêcher, mais Cassandre finit d’elle-même par décider que, finalement, il était intéressant de le faire. Mélinda répliqua alors, non sans une ironie mordante :
« Oh, eh bien, si Sa Majesté décide de me satisfaire... »
Sa main se posa ensuite sur les cheveux de l’Ushi, et elle caressa sa tête, non sans avoir une poigne ferme sur sa chevelure.
« Tu sais, Cassandre, quand ta Maîtresse te pose une question consistant à faire quelque chose pour elle, c’est un ordre... Alors, vu ta lenteur à réagir, je vais quand même devoir te fesser après... »
Mélinda le dit sans méchanceté aucune. En tant qu’esclave, l’Ushi allait devoir aimer aussi le fait d’être punie, et d’y prendre son pied. Autrement, elle risquerait de devenir capricieuse. Pour former une bonne esclave, il ne fallait jamais oublier le bâton et la carotte. Là, Cassandre goûtait à une bonne carotte... Mais, ensuite, ce serait l’heure du bâton !
« Là, là, suce-moi bien, ma chérie !! »
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Cassandre était bien contente d’être ici, d’être avec sa maîtresse, et de pouvoir la servir. Peut-être manquait-elle un peu de respect néanmoins. Si cela n’excusait pas, il fallait comprendre néanmoins que cela pouvait se comprendre, par le fait qu’elle se sentait bien, et bien… Elle se sentait beaucoup plus à l’aise, beaucoup plus à même de pouvoir faire des choses qu’elle avait pourtant appris à ne pas faire ! Et oui, les vachettes Harmington, messieurs-dames, et bien, c’est de la grande qualitée ! Ce n’est pas de la vachette sauvage, comme certains aimaient, il faut bien l’avouer, mais c’était de la vachette éduquée. Il faut bien se dire que le père Harmington aurait très peu apprécié de voir le comportement de la fameuse vachette, et l’aurait sévèrement punie. Très très très loin de la petite punition, plus érotique que véritablement disciplinaire, d’ailleurs, qu’allait prévoir la fameuse Mélinda…
« Oh, eh bien, si Sa Majesté décide de me satisfaire... »
Ou… Oups… ? Oui, en effet, oups ! On pouvait dire que visiblement, cette fois… La vachette était allée trop loin ! Et ouais, cela devait arriver, Cassandre avait trop jouée avec le feu, et comme on dit, jouer avec le feu, et bien, on finit par se brûler ! Et surtout quand on était une vachette qui, il faut bien le rappeler, était une serviteure de la fameuse Melinda ! Et bref… Et bien, notre fameuse vachette avait compris qu’elle avait poussé le bouchon un petit peu trop loin… Elle en paierait les conséquences, elle le savait bien ! Maintenant, il fallait espérait qu’elle arrive à se rattraper et ne pas finir en steak haché ! Bon, d’accord, même si Cassandre avait fait une très grosse bêtise -on parle bien de bêtise, hein-, il serait très peu probable qu’elle finisse carrément en steak haché, c’était un peu sévère comme punition… D’ailleurs, concentrons-nous effectivement sur cette fameuse « punition » !
« Tu sais, Cassandre, quand ta Maîtresse te pose une question consistant à faire quelque chose pour elle, c’est un ordre... Alors, vu ta lenteur à réagir, je vais quand même devoir te fesser après... »
« Ou… Oui, j’ai été très très vilaine... »
Même si Melinda n’avait pas été méchante, elle avait compris qu’elle avait fait une bêtise, et donc, elle savait qu’elle allait avoir une bonne fessée en punition ! Donc, de suite, on pouvait voir la jeune femme baisser ses grands yeux, et même ses oreillettes de vachettes, tout d’un coup, se baissèrent, montrant d’un côté sa totale soumission, et de l’autre, le fait qu’elle était vraiment désolée… Après tout, elle voulait toujours être une vachette exemplaire, donc, ce n’était pas bien quand elle faisait des bêtises. D’ailleurs, sa « tristesse », que je met entre guillemet, car il faut bien compris qu’elle n’est pas non plus folle de tristesse, elle a juste une petite honte, et bien, n’était absolument pas feinte pour être moins punie… Non, elle savait qu’elle avait fait une bêtise… Et bien, et bien, elle savait qu’elle allait être punie !
« Là, là, suce-moi bien, ma chérie !! »
« Bien ! »
Elle se devait d’être efficace… le plus efficace possible, même. Ainsi, dans un premier temps, la vachette décida de continuer à jouer dans la catégorie qu’elle avait décidée de jouer : Celui de la gorge profonde, celui de cette fellation qui n’était pas du tout dans le bute d’être rapide, mais qui avait pour but d’alterner comme ça, le phallus depuis l’entrée littéralement de la bouche, jusqu’au fond de la gorge. Bien entendu, notre chère vachette était encore une débutante dans ce genre d’exercice, donc… Donc, elle était loin de maîtriser cela, vous comprenez ? Bref, ainsi, la vachette continuait ses vas et viens. L’expérience était sans aucun doute agréable, surtout vu toute la bonne volontée de la vachette… Mais à terme, cela risquait vite de devenir monotone… Donc, heureusement, la vachette avait encore des tours dans son sacs, et elle avait parfaitement compris les risques…
Ainsi, après ce vas et viens, elle changea tout d’un coup de techniques. Les conseils que Vanilla lui avait donnée plus tôt dans la journée étaient bien dans sa tête, et elle se souvenait des efforts qu’elle devait faire… En effet, il n’y avait pas à douter que la fameuse Mélinda avait eu de nombreuses fellations dans sa vie, et Cassandre pouvait rêver pour que sa fellation soit l’une des meilleurs qu’elle ait eu… Mais cette difficulté ne faisait que motiver la vachette ! Ainsi, après les vas et viens, la vachette décida de miser beaucoup plus sur sa langue… Langue qui était là pour justement faire profiter le plus possible… Elle passait, encore et toujours, avec une efficacité, qui faisait qu’elle ne voulait pas que le moindre minimetre carré soit abandonner… Elle continuait avec une fougue et une énergie, qui cherchait à vraiment satisfaire sa maîtresse… Allait-elle y arriver ? Vous le saurez au prochaine épisode !
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Mine de rien, il y avait bien des manières de pratiquer une fellation. Mélinda savait que les prêtresses de Lust, culte centré sur la luxure, suivaient des formations consistant à utiliser les différentes techniques enseignées pour sucer au mieux quelqu’un. Globalement, on pouvait, soit recourir à la langue, soit ne pas s’en servir. Il ne fallait pas aussi négliger les mains, le jeu des regards, la position du corps. Le sexe était à la fois quelque chose d’instinctif et de très sophistiqué, un plaisir inné et où on pouvait être très expérimenté. Cassandre avait tout le temps de se former, mais, pour l’heure, Mélinda sentait bien que sa petite provocation avait marché, et que l’Ushi se sentait coupable.
*Bah, peu importe !*
Elle comptait bien lui dire, une fois avoir joui en elle, que tout ça n’était qu’une taquinerie. Le moins qu’on puisse dire, c’est que Cassandre était très sensible. Contrairement à ce qu’on pouvait penser, avec les esclaves, le pire n’était pas leur rébellion, mais leur trop forte soumission. Ils paniquaient très facilement, en pensant constamment mal faire, et étaient hypersensibles. Mine de rien, c’était un peu compliqué, car cet entrain naturel à une forte soumission s’accompagnait aussi de défauts qu’il fallait savoir gérer. Fort heureusement, Mélinda avait de l’expérience. Ce qu’il fallait à tout prix éviter, c’était que ses esclaves soient jalouses les unes des autres, et en viennent à se disputer ses faveurs. Mélinda se méfiait beaucoup de ce genre de sentiments naissants, et c’était aussi pour ça qu’elle laissait ses esclaves en roue libre pendant un certain temps, pour qu’ils comprennent qu’ils n’étaient pas des privilégiés uniques, et que le simple fait d’être un esclave était, en soi, un privilège.
Mélinda sourit en sentant la langue de l’Ushi filer sur son membre, caressant sa verge. Cassandre s’appliquait, et Mélinda crispa ses doigts sur les cheveux de la femme, soupirant encore. Les minutes défilaient avec plaisir, l’eau ruisselait sur son magnifique corps, et sa tête partit en arrière.
« Oui, hmmm... Haaaa... Cassandre, hmmmm... !! »
Se pinçant les lèvres, Mélinda soupira encore, et ne tarda pas à jouir. Elle se relâcha dans la bouche de Cassandre, crachant sa semence sur sa langue, dans sa bouche, et dans sa gorge. Elle se répandit donc en gémissant, et, pendant plusieurs secondes, se répandit rapidement, avant de se retirer. Un fin filet de sperme suivit sa queue, et elle fléchit les genoux, mettant rapidement son visage à hauteur de celui de l’Ushi.
« Avale bien tout, ma chérie... »
Et, une fois qu’elle entendit l’Ushi déglutir en avalant le sperme de sa Maîtresse, Mélinda sourit, et l’embrassa tendrement, à tel point qu’elle renversa la belle Ushi, la couchant dans la baignoire. Mélinda rompit ensuite le baiser, et sourit brièvement à la femme, lovée contre elle.
« Tu sais, Cassandre... Tout à l’heure, je t’ai juste taquiné. Je ne t’en veux pas vraiment, ma choupette. Il est important de savoir quand tu fais une bêtise, Cassandre, et quand ta Maîtresse veut juste te taquiner un peu. Disons que, quand ta Maîtresse te fait l’amour immédiatement après t’avoir reproché quelque chose, c’est que ce n’est pas bien grave... »
Elle lui sourit encore, et l’embrassa à nouveau.
« Tu comprends ? »
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Ahlala... S’occuper d’une esclave, tout en étant « humain », soucieux du bien être de celle-ci... Ce n’était pas simple ! Les rebellions, les esclaves qui refusaient ce statut, c’était assez facile... Il suffisait de les briser. Mais une fois qu’un esclave était bien obéissant, et bien, il fallait faire attention qu’il ne soit pas non plus complètement dépendant, et donc, incapable d’avoir la moindre action sans craindre de mal faire... Et donc, mal faire. Et oui, quand vous craignez de mal faire, vous augmentez vos chances d’en effet, mal faire ! Bref, quoiqu’il en soit, au moins... Cassandre tentait de faire quelques choses de satisfaisant, et elle était d’autant plus motivée qu’elle tentait de réparer ses fautes, la rendant encore plus productive, encore plus efficace... Elle apprenait vite, la vachette ! Ainsi...
« Oui, hmmm... Haaaa... Cassandre, hmmmm... !! »
Eheh... Elle était pas peu fière la vachette ! Pourquoi cela ? Et bien, elle avait l’impression qu’elle commençait vraiment à s’améliorer en fellation ! Elle en faisait depuis maintenant une petite journée, et elle commençait à prendre la main ! Elle devait continuer ainsi à faire des efforts. Ainsi, ne laissant aucun répit, elle continuait à faire ce qu’elle devait faire... Cela dura encore quelques temps, avant que la sauce vienne, la vachette gardant tout un petit moment dans sa bouche, tentant évidemment d’en perdre le moins possible... C’était très important pour elle de montrer qu’elle adorait le sperme de sa maîtresse... Celle-ci d’ailleurs se positionna, et s’installa alors à sa hauteur, avant de déclarer :
« Avale bien tout, ma chérie... »
Elle n’allait pas se priver ! Elle commençait vraiment à adorer le sperme... Sa maîtresse était si bonne ! Même quand elle était punie, elle avait quand même le droit à une telle récompense... On pouvait dire qu’elle était bien gâtée par sa maîtresse ! Très gâtée ! Quel gentille maîtresse ! Bref, elle savourait bien le sperme, et avala tout ce qu’avait offert sa maîtresse, sans en perdre la moindre goutte, bien entendue. Alors qu’elle avait bien tout avalée, elle se fit soudainement embrassée. Se laissant faire, comme toujours, elle fut alors entraînée vers la baignoire, allongée à nouveau. Etait-ce le début de sa punition ? Pas du tout, elle avait le droit à un baiser, qu’elle acceptait volontiers, étant donné qu’elle appréciait fortement cela... Mais au fond, qu’est-ce que cela voulait dire ? Qu’est-ce que sa maîtresse faisait exactement ? Et bien... Elle allait avoir la réponse à sa question, un peu de patience !
« Tu sais, Cassandre... Tout à l’heure, je t’ai juste taquiné. Je ne t’en veux pas vraiment, ma choupette. Il est important de savoir quand tu fais une bêtise, Cassandre, et quand ta Maîtresse veut juste te taquiner un peu. Disons que, quand ta Maîtresse te fait l’amour immédiatement après t’avoir reproché quelque chose, c’est que ce n’est pas bien grave... Tu comprends ? »
« Oui, oui maîtresse ! Désolée, je pensais avoir vraiment fait une bêtise ! »
Arrête de dire désolé ! Bon sang de bonsoir ! C’est quand même terrible, elle sait pas se débrouiller sans dire désolé ? Et bien... Ouais. Elle dit tout le temps désolée... Faut dire, elle avait vraiment cru qu’elle avait faire une grosse bêtise, et... Et c’était compréhensible. Après tout, certains maîtres n’auraient pas du tout appréciés ce qu’avait dit Cassandre. Elle aurait put être sévèrement punie... il y a meme des maîtres qui tuaient pour moins que ça ! Souvent, ils devaient être soit extrêmement riche, soit extrêmement débile, car tuer un esclave pour si peu... Et bien, ça revient vite cher, mais passons sur ce point. Quoiqu’il en soit, et bien, Cassandre s’excusait encore une fois... Cela pourrait vite devenir saoulant, si vous voulez mon avis, mais heureusement, la vachette n’était pas non plus stupide, en effet...
« Mmh... Je dois bien apprendre à différentier punition pour grosse bêtise... Et taquinerie... Oui, c’est différent, c’est évident, j’aurais pas eu votre sperme en récompense sinon... Oh ! Maîtresse est si intelligente ! »
Et ouais ! Elle apprenait de ses erreurs ! Elle apprenait de ses erreurs, exactement comme elle avait appris à faire une bonne fellation. C’était comme ça qu’on s’améliorait, n’est-ce pas ? Et ainsi, Cassandre ne restait pas figée, comme était certains esclaves, sur ses erreurs du passé. Voilà, c’était arrivé, et bien... Et bien, maintenant, il fallait faire en sorte que cela n’arrive pas une seconde fois... C’était bien ! Et c’était ce que devait apprendre notre chère Cassandre de cette erreur. Ainsi, maintenant, elle allait faire de son mieux pour comprendre quand on était entrain de la taquiner, et quand on la punissait vraiment... Déjà, en tentant de faire en sorte que les vraies punitions arrivent le moins souvent possible. Cela serait une bonne idée... Bref, quoiqu’il en soit... La vachette changea alors de position, et présenta son postérieur à sa maîtresse... Nani ?
« Bon, je suis prête maîtresse, vous pouvez me donner ma fessée ! »
Et oui ! C’était bien beau, mais elle devait se prendre une fessée ! Sa maîtresse l’avait dit, donc, elle était prête. Elle se mordait légèrement la lèvre, craignant évidemment un peu la fessée... Mais c’était comme ça ! Si sa maitresse avait dit qu’il fallait faire une fessée, et bien, elle était prête à la recevoir, comme une bonne vachette. Offrant alors son postérieur, elle était prête ! Et oui, une bonne vachette obéissait, quoiqu’il arrive ! Même quand c’était de la taquinerie. Car après tout, peut-être que sa maîtresse avait envie de lui offrir une bonne fessée ? Et dans ce cas... Et bien, ses fesses s’offraient justement en cadeau ! Maintenant, si elle n’avait pas envie, et bien, elle pourrait ne pas le faire. C’était comme voulait sa chère maîtresse ! Cassandre fera toujours ce que veut sa maîtresse... Même si ça veut dire avoir mal aux fesses !
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Mélinda esquissa un nouveau sourire devant le comportement de Cassandre. La petite Ushi était bien joueuse ! Elle commençait à comprendre comment les choses marchaient ici, mais Mélinda savait qu’elle devrait encore la former. Elle lui avait appris le plaisir, et même le plaisir intense, mais il fallait encore lui apprendre une autre notion fondamentale de sa communauté : la douleur. Mélinda la vit donc bomber son beau petit cul, réclamant sa fessée, et elle sourit, avant de poser doucement ses deux mains dessus. Elles venaient de faire longuement l’amour dans la baignoire, et, à la titiller ainsi, Cassandre risquait bien de refaire partir Mélinda pour un tour supplémentaire ! Sa queue caressait déjà les fesses de l’Ushi, et la vampire poursuivit son enseignement :
« Tu dois faire l’expérience de la douleur, Cassandre... Tu dois apprendre à aimer te faire punir... Quand il ne s’agit pas de véritables punitions, bien sûr. Tu vois, la douleur et le plaisir, ce sont les deux facettes d’une même pièce, deux versants qui, tous les deux, permettent d’atteindre le plaisir suprême. Tu la sens bien quand tu fais l’amour, non ? La douleur... Elle remue en toi, elle t’imprègne, elle te marque... Elle est un élément indispensable du désir sexuel, et tu apprendras à gravir ce versant à travers le prisme de la douleur. C’est à ce prix qu’on devient une bonne esclave, Cassandre. »
La voix de Mélinda était toujours aussi mélodieuse, mais on pouvait l’entendre reprendre son souffle. Même elle pouvait se fatiguer ! La différence avec un humain normal, c’est que la vampire repartait vite du bon pied ! Et ça, Cassandre ne cesserait de le réaliser à chaque fois ! Pour l’heure, la vampire continuait à masser tendrement ses fesses, malaxant son joli petit cul, pinçant ensuite sa chair, appuyant dessus... Puis, brusquement, Mélinda donna... Une petite tape.
Sourire amusé.
Puis sa main se releva, et s’abattit plus fermement, provoquant un claquement sonore qui résonna dans la pièce. Une première grosse claque qui fit sursauter l’Ushi, et s’accompagna rapidement d’une autre gifle. Des coups appuyés, qui ne faisaient que témoigner de la puissance de Mélinda, de l’énergie qu’elle pouvait donner dans ses claques. Une troisième claque jaillit alors de son autre main, s’abattant sur le délicieux petit cul de Cassandre, rebondi et très doux.
« Hihi ! Meugle, petite traînée ! Meugle, et implore le pardon de ta Maîtresse ! Allez, sale traînée, obéis ! »
Et Mélinda la gifla encore !
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Cassandre avait toujours envie d’apprendre… C’était peut-être lié au fait qu’elle était… Stupide ? Et ouais, il fallait bien appeler un chat, un chat. Ou plutôt, une vachette, une vachette. En effet, Cassandre était stupide. Elle n’était pas très intelligente. Mais elle faisait de son mieux pour pallier cela, et ainsi, apprendre. Bien sur, ce n’était pas des connaissances académiques -cela serait bizarre d’imaginer la fameuse vachette commencer à apprendre des connaissances académiques voir universitaire, mais des connaissances pour devenir une très bonne vachette, une adorable vachette… Elle faisait de son mieux pour avoir le plus de connaissance possibles, et ainsi, être une vachette d’une grande qualité, appréciée, et respectée. Une bonne servante ! Ainsi, elle écoutait attentivement ce qui était dit, pour tenter de le comprendre, et surtout, de bien l’assimiler pour le respecter.
« Tu dois faire l’expérience de la douleur, Cassandre... Tu dois apprendre à aimer te faire punir... Quand il ne s’agit pas de véritables punitions, bien sûr. Tu vois, la douleur et le plaisir, ce sont les deux facettes d’une même pièce, deux versants qui, tous les deux, permettent d’atteindre le plaisir suprême. Tu la sens bien quand tu fais l’amour, non ? La douleur... Elle remue en toi, elle t’imprègne, elle te marque... Elle est un élément indispensable du désir sexuel, et tu apprendras à gravir ce versant à travers le prisme de la douleur. C’est à ce prix qu’on devient une bonne esclave, Cassandre. »
« Bien ! »
Malheureusement… Elle n’était pas sure d’avoir tout bien compris, il fallait bien l’avouer. Mais ce n’était pas grave ! Car l’important, ce n’était pas tant de comprendre, mais bel et bien de faire ! Elle cherchait à apprendre, mais elle savait que parfois, et bien… Elle n’avait pas le niveau, quoiqu’il arrive. Mais c’était pas grave, dans un sens, car elle faisait de son mieux, premièrement, et deuxièmement, et bien… Elle était prête à compensée par une obéissance totale, et une soumission complète… Et cela se voyait, non ? En effet, elle présentait ses fesses, bien sagement, de façon bien tentante d’ailleurs. Et la tentation, et bien, c’était une très bonne chose, car elle était visiblement prête à se mettre en application… Ni une, ni deux… Les fesses bien rondes et bien rebondis étaient prêtes à recevoir !
« Hihi ! Meugle, petite traînée ! Meugle, et implore le pardon de ta Maîtresse ! Allez, sale traînée, obéis ! »
« Meuh !!! »
Le premier « meuh » ne fut vraiment pas sorti juste par obéissance ! Ce fut une vraie réaction semi-douleur, semi surprise ! Et voilà ! La première fessée de la vachette commençait. En effet, c’était bien la première fessée de la vachette, étant donné que ses punitions, les rares qu’elle avait eu, cela avait été des vrais punitions. Alors, évidemment, la vachette connaissait le principe, elle l’avait retenu… Une première claque, une deuxième, une troisième, une quatrième… Celle-ci venaient, à un rythme assez lent, mais suffisament présent pour faire comprendre à la vachette que cela continuait… D’ailleurs, il fallait que la vachette y mette des siens, n’est-ce pas ? Et oui, elle l’avait compris, en effet, étant donné qu’elle commencer à déclarer, d’une voix mi-suppliante, mi-coquine, avec envie :
« Désolée maîtresse ! Je suis une petite trainée ! Meuuuh ! »
Ahlala… Quelle bonne comédienne, n’est-ce pas ? Elle avait bien compris le jeu, et comparé à tout à l’heure, où elle tremblait vraiment de peur en croyant avoir fait une vraie bêtise… Et bien, là, elle était totalement dans le jeu, elle avait bien compris, et elle commençait à meugler, à dire des choses comme le fait qu’elle était une petite trainée… Et elle recommençait, histoire de continuer à plaire à sa maîtresse… Celle-ci avait bien compris, en effet ! Elle n’était pas qu’une vachette qui donnait du lait, encore et toujours du lait, comme une bonne vachette… Non, elle était aussi une vachette qui était une vraie trainée ! Elle en oubliait presque son précieux lait, pour se concentrer sur le sexe, où va le monde !
« Je suis une vilaine vachette trainée ! Meuh ! Meuh ! »
Elle commençait à apprécier cela, bien sur, cela faisait mal, mais cela faisait partie du jeu, et il fallait ainsi l’accepter ! Puis… Puis il n’y avait pas besoin de chercher midi à quatorze heure, hein… Cassandre était bien une masochiste, cela se voyait, c’était presque inscrit sur son front. Tient, d’ailleurs, on pourrait presque faire ça, prendre un fer rouge, et lui graver « Trainée » sur les seins. Trainée et masochiste. Car, il fallait bien l’avouer, la vachette montrait qu’elle était prête à être les deux… Et le pire, ou le meilleur, selon vos choix… Et bien, c’est qu’elle en était parfaitement heureuse. Elle passait un très bon moment à être une petite traînée dans sa baignoire, avec sa maîtresse. Mais bon, il allait bien falloir commencer à réfléchir à ce qu’elle allait faire, la fameuse vachette. Elle n’allait pas pouvoir rester dans le bain toute la journée. Mais chut ! n’allons pas trop vite, la fessée n’est même pas finie !
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Mélinda avait de très grands projets pour sa petite Ushi. Celle-ci était vraiment très prometteuse, et il lui tardait de l’essayer davantage, de la pousser dans ses derniers retranchements, de continuer sa formation comme elle le faisait en ce moment. La main de Mélinda s’abattit donc sur sa croupe, et elle sourit en entendant Cassandre couiner et meugler. La belle Ushi se tortilla sur place, et ne tarda pas à satisfaire sa Maîtresse, répondant à sa requête en se mettant à s’insulter elle-même. En retour, Mélinda ne put que sourire, et se mordilla les lèvres, très excitée par la situation. Fesser des culs, ça lui plaisait toujours, surtout un cul aussi tendre et souple que celui de Cassandre. Meuglant et gémissant, Cassandre se dandinait d’avant en arrière, poussant des cris de plaisir, s’insultant copieusement, ce qui ne manqua pas de faire sourire la vampire.
« Oui, une sale traînée, Cassandre... Une vilaine petite traînée, même... »
La vampire esquissa un sourire supplémentaire, et la gifla encore. Les claques résonnaient dans la pièce, faisant meugler la belle Ushi, qui se dandinait sur place, serrant ses poings. Mélinda la gifla encore, admirant, adorant même, le son que ses mains produisaient sur sa peau douce et tendre.
« Avec un cul parfait, même... » la complimenta Mélinda.
Elle avait déjà sodomisé bien des fois sa petite Cassandre, mais le sexe était ainsi, une ritournelle, une répétition vers laquelle on revenait continuellement. La vampire continua donc à la fesser, jusqu’à en avoir mal aux mains, ponctuant ses gifles de jurons et d’insultes bien senties.
« Petite pute, hmmm... Qui aime se faire battre, qui aime... Haaaaa... Se faire humilier, hnnn... !! Salope, petite chienne, hmmm... Petite pute !! »
Mélinda jouait avec elle, et, pendant qu’elle s’appliquait, sa queue retrouva sa dureté naturelle. Son sexe se redressa fièrement, jusqu’à caresser le petit cul de l’Ushi, annonçant un nouveau rodéo à venir ! Oui, encore un ! Comme quoi, Mélinda ne savait pas être raisonnable, et ignorait quand elle devait s’arrêter à temps... Mais, à son corps défendant, il fallait bien admettre que l’Ushi était irrésistible, et que boire son lait n’avait pas manqué d’enflammer les sens de Mélinda ! À tel point qu’elle la gifla encore, jusqu’à manquer de renverser la petite Ushi.
Là, Mélinda se mit à sourire malicieusement, les yeux brillants de désir, puis fléchit les genoux, après avoir brièvement observé sa main endolorie :
« Pardonne-moi, amour, j’ai du mal à me retenir face à un si joli cul... J’ai dû te faire un peu mal, je crois, non ? Ne t’inquiète pas, je vais soulager tes bobos... »
Voix douce, langoureuse, changeant du tout au tout avec sa voix perverse et sauvage de tantôt. Mélinda fléchit les genoux, et malaxa tendrement le petit cul de Cassandre, tout en lui demandant de se relever, et embrassa ensuite ses fesses, les léchant tendrement, déposant ses lèvres sur les parties rougies de son cul.
« Là, là... Tu as un cul bien rouge, ma belle, tu as un peu trop fait la folle, je crois, heureusement que... Mmmmmhm... Ta Maîtresse est là pour veiller sur toi, petite cochonne... »
C’était très curieux venant de sa part, puisque c’était Mélinda qui était à l’origine de la souffrance de Cassandre... Mais la Maîtresse avait toujours raison, n’est-ce pas ? En tout cas, Mélinda, tout en l’embrassant et en léchant ses fesses, se rapprochait petit à petit de sa croupe, et écarta finalement ses fesses avec ses pouces, puis lécha son fondement, titillant de sa langue le délicat trou rose qui s’offrait à elle, soupirant lentement en le faisant.
« Hmmmm... Cassandre, hmmm... » gémit-elle au passage.
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Elle se faisait toujours autant fesser, et elle devait avouer que si cela faisait du mal... Et bien, cela faisait du bien aussi ! Et ouais, Cassandre était une masochiste, cela se voyait. Et elle était particulièrement contente que sa maîtresse soit contente de ce qui se passait. Qu’elle soit contente que la vachette meuglait de plaisir alors qu’elle se faisait bien fesser... Elle faisait encore des meuh, régulier et extatique, tandis que les claques continuaient de tomber sur ses deux belles fesses bien rondes. Celle-ci, d’ailleurs, commençait à prendre une belle teinte rouge, pour bien montrer qu’elle recevait l’offrande de leur maîtresse.
« Oui, une sale traînée, Cassandre... Une vilaine petite traînée, même... Avec un cul parfait, même... »
« Merci maîtresse ! Meuh ! »
Elle était très contente du compliment, tandis que la main continuait de recevoir les claques, les fesses devenant bien rouge... Son cul était parfait ? Quelle bonheur de l’entendre ! Elle était très contente de savoir que son cul était qualifié de « parfait » par sa maîtresse, c’était si gentil ! Elle n’avait pas pensé du tout que ses fesses seraient qualifiés de « parfaites » par une maîtresse, qui elle, avait un cul parfait... Pourquoi cela ? Et bien, tout simplement car c’était sa maîtresse, et que sa maîtresse était parfaite de jure comme de facto ! Bref, donc, elle recevait des compliments, et faisait ainsi l’ironie parfaite. Ouais, elle était littéralement entrain de remercier sa maitresse... Car elle se faisait fesser. Et elle aimait ça !
« Petite pute, hmmm... Qui aime se faire battre, qui aime... Haaaaa... Se faire humilier, hnnn... !! Salope, petite chienne, hmmm... Petite pute !! »
« J’adore ma maîtresse, c’est ma passion ! »
Oui ! C’était sa passion ! Elle était tout ce que disait sa maîtresse ! Une petite pute ! Une vachette qui aimait se faire battre, qui aimait se faire humilier ! Même en public, si sa maîtresse le désirait, cela ne la gênerait pas ! Totalement ! Elle était une salope, une petite chienne... Bref, elle se reconnaissait dans tout ce que disait sa maîtresse... Car vous savez quoi ? Et bien, si elle ne l’était pas... Elle ferait en sorte de le devenir ! Et ouais, elle comptait bien devenir une vraie petite pute pour sa maîtresse ! Car elle était une bonne vachette, sage et obéissante. Et ouais, elle comptait bien rendre sa maîtresse fière, et visiblement... L’une des manières, c’était de devenir une vraie salope... Qu’elle se prépare, elle aura bientôt la meilleure vachette salope du monde !!!
« Pardonne-moi, amour, j’ai du mal à me retenir face à un si joli cul... J’ai dû te faire un peu mal, je crois, non ? Ne t’inquiète pas, je vais soulager tes bobos... »
« C’est... C’est mon cul qui vous a tenté maîtresse, je suis coupable... »
Oh, c’est mignon non ? On pouvait dire que la fameuse Cassandre ainsi, était prête à tout pour sa maîtresse, y comprit tentée sa maîtresse avec son cul, et le reconnaître ! Après tout, sa maitresse était une femme raisonnable et intelligente. Elle aurait pu se retenir tout à fait, mais elle n’avait pas aidée en montrant comme ça son cul, pour encourager la fessée. Surtout qu’après tout, à l’origine, la fameuse Melinda avait expliqué que ce qu’elle avait fait, et bien, ce n’était pas une bêtise. Cela aurait pu vouloir dire qu’elle n’avait pas besoin d’avoir une fessée. Mais non, elle avait tendis ses fesses, comme on peut tendre le bâton pour se faire battre. En quelques sortes, Cassandre avait tendis les fesses pour se faire fesser.
« Là, là... Tu as un cul bien rouge, ma belle, tu as un peu trop fait la folle, je crois, heureusement que... Mmmmmhm... Ta Maîtresse est là pour veiller sur toi, petite cochonne... »
« Désolée maîtresse... »
Et ouais, cela marchait nickel de la part de la fameuse Melinda. Ainsi, ce n’était pas Mélinda qui en avait trop fait avec Cassandre... Non, c’était l’inverse ! C’était Cassandre qui avait trop fait la folle, à demander sa fessée et à la recevoir. Ce n’était pas une bonne chose non ? Franchement, on povuait dire que Cassandre était ainsi une vachette sage et obéissante, qui savait ce que voulait dire par là la fameuse Melinda ! Mais bon... Et bien après la douleur, il y avait le réconfort, pour cette fameuse vachette, réconfort qui allait arriver... Et qui faisait du bien à la vachette, étant donné que Melinda savait aussi bien manier le fléau que le plumeau, et ainsi, faire du bien à sa petite vachette... Ce qui fit dire à Cassandre :
« Oh... Maîtresse... mmh... C’est si gentil... »
Et après une telle fessée, qui était déjà une récompense en quelques sorte, pour elle... et bien, elle reçut une autre, une autre arriva... En effet, alors qu’elle gémissait encore des caresses sur ses fesses rougis par les coups, et bien... Elle commença à gémir, tandis que son anus se faisait lécher... Bon sang, elle ne s’était pas du tout attendu à cela ! Comme quoi, elle qui pensait qu’elle commençait à bien comprendre, et qu’elle ne se ferait plus surprise... on pouvait toujours se faire surprendre... Et c’était chouette, car c’était des très bonnes surprises, ce genre de surprise ! Elle gémissait alors que continuait son action la fameuse Melinda... Cela lui faisait un bien fou, et elle en était particulièrement heureuse... Mmh... Que de plaisir...
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Le sexe était un acte omniprésent chez Mélinda. Depuis qu’elle était arrivée ici, Cassandre n’avait cessé de se faire prendre, Mélinda ne cessant de lui témoigner, à coups de reins, la profonde affection qu’elle lui vouait. Là, elle léchait son fondement, tandis que la petite Ushi avait naturellement compris une règle fondamentale pour la bonne organisation de ses rapports avec Mélinda... Quoi qu’il arrive, la Maîtresse avait toujours raison, même quand elle avait tort ! Mélinda avait bien préparé le terrain, et entama donc, avec un plaisir toujours renouvelé, uen belle sodomie. Sa queue s’enfonça dans le fessier de Cassandre. Elle avait bien préparé le terrain, et s’y attaqua donc avec envie, remuant longuement en elle, longuement et profondément, pinçant ses fesses, prenant appui sur son cul. Mélinda accéléra progressivement le rythme, gémissant longuement, se tortillant sur place. Son beau membre enflait en elle, son mandrin revenait l’explorer.
Et, pendant que Mélinda faisait ça, la vampire gémissait. Elle revenait parfois gifler le cul de Cassandre, mais se concentrait surtout sur sa sodomie. Sa queue remuait dans le fessier de l’Ushi, la prenant généreusement, et longuement. C’était par pure gourmandise, les deux femmes ayant déjà longuement fait l’amour... Mais Mélinda ne se voyait pas conclure sans un dernier coup dans le cul de l’Ushi.
« Hmmm, ma chérie, haaaa... Tu... Tu es si bonne, hmmm... Ouuiii... !! »
Son petit cul, ça, Mélinda le reprendrait encore volontiers ! Elle s’enfonça donc en elle, et les minutes passèrent. La séance finale dura bien un bon quart d’heure, avant que Mélinda, dans un grand soupir, ne se répande de nouveau en elle. Ce n’était évidemment pas la première fois que Cassandre goûtait au sperme de sa Maîtresse, ni la dernière !
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... Ca-Cassandre, hmmmmmmmmmm... !! »
Les muscles de Mélinda se raidirent sur place, et, dans un grand soupir, elle se répandit dans son corps. Elle jouit donc, crachant son foutre, puis se retira ensuite, caressant le corps de sa petite Ushi, lui souriant tendrement. Mélinda se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres.
« C’est très bien, ma chérie d’amour... Mais, maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses. »
Que pouvait-il y avoir de plus sérieux que ça ? Elles baisaient comme des folles depuis heures, mais... Eh bien, Cassandre n’avait toujours pas commencé à travailler ! Tout en l’incitant à se rhabiller, et en remettant ses vêtements, Mélinda commença à lui faire quelques explications sur ce qui allait arriver, restant volontairement mystérieuse :
« J’ai longuement préparé ton arrivée, tu sais... J’ai prévu beaucoup de choses pour toi, toute une installation rien que pour ma Ushi adorée ! Tu es gâtée, n’est-ce pas ? »
Mélinda remit sa robe dorée, et s’assura que ses cheveux tombaient bien derrière son corps. Ils étaient encore assez humides, et dans un sale état. Fort heureusement, très rapidement, la porte s’ouvrit sur une esclave en tenue de maid, qui s’empressa de coiffer proprement la vampire, et de veiller à ce que la robe tombe bien sur son corps. Pour cela, Mélinda s’était assise sur un fauteuil, et s’observait dans le miroir de la salle de bains, tout en regardant également Cassandre.
La vampire lui adressa un nouveau sourire chaleureux, avant de poursuivre :
« Alors, toujours heureuse d’être ici ? Es-tu prête à aller travailler, Cassandre ? »
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Notre fameuse Cassandre était bien contente... Après s’être une bonne grosse fessée, qui avait fait quand même un peu mal -mais elle avait compris que cela faisait aussi partie du jeu-, et bien... Et bien, la fameuse vampire avait décidée de s’occuper de ses fesses, de façons... Bien plus gentille. Ce qui était quand même extrêmement gentil de la fameuse vampire ! Après tout, elle avait fait quelques bêtises, puis elle avait vraiment tentée la fameuse maîtresse... Fameuse maîtresse qui n’avait pas finie d’être tentée par cette jolie paire de fesses... Et c’est ainsi que la vachette, alors qu’elle ne s’y attendait pas... Se fit vivement pénétrer dans son anus. Elle poussa alors un couinement de plaisir, bien contente de ce qui venait de se passer... Et elle put entendre avec grand plaisir...
« Hmmm, ma chérie, haaaa... Tu... Tu es si bonne, hmmm... Ouuiii... !! »
Et elle se faisait bien enculer ! Tandis que la queue faisait des vas et viens dans son intimité mouillée, elle gémissait avec grand plaisir. C’était si bon... La queue savait visiblement bien s’y faire avec les anus, qui, toujours chez la vachette, était encore un conduit relativement serré, où faire des vas et viens n’était pas forcément la chose la plus simple. Mais visiblement, et personne n’en doutait, la fameuse Melinda Warren avait de l’expérience, y comprit quand les anus des vachettes étaient trop serrés... mmh... Oui, c’était extrêmement spécifique comme situation, je le reconnais. Mais que voulez-vous, il y a bien des jours où cela arrive ! En tout cas... Le tout dura un bon moment, ponctuée par les gémissements aussi bien de la vampire que de la vachette... Mais finalement, ce qui devait arriver arriva !
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... Ca-Cassandre, hmmmmmmmmmm... !! »
Et une nouvelle jouissance, qui encore une fois, fut très bien synchronisée avec celle qu’eut la vachette au même moment ! Du foutre bien chaud vint alors dans son anus... On pouvait voir, une fois que la vampire se soit retirée de l’anus de la vachette, le foutre couler lentement en dehors de l’anus, venant souligner l’ensemble... Ce n’était pas beau à voir ? On avait une paire de fesses bien rouge, et du sperme blanc qui venait ajouter un peu de blancheur à cette ensemble... Ce n’était pas délicieux ?
« C’est très bien, ma chérie d’amour... Mais, maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses. J’ai longuement préparé ton arrivée, tu sais... J’ai prévu beaucoup de choses pour toi, toute une installation rien que pour ma Ushi adorée ! Tu es gâtée, n’est-ce pas ? »
« Je suis si gâtée ! J’ai reçu plein d’attention, j’ai été nourrie comme jamais, j’ai dormi dans le lit le plus confortable du monde, avec les plus belles maîtresses au monde... Je n’ai jamais connu ça, c’est le paradis ! »
Eh beh ! C’est vrai qu’elle avait bien changée la fameuse vachette... Les vachettes, quand elles étaient éduqués dans leur ranch, et bien... Ce n’était pas le lieu du paradis, du confort optimum, etc... Et oui, c’était juste l’endroit où les vachettes étaient éduqués, on allait pas non plus leur offrir des hôtels quatre étoiles ! Et bien, en temps qu’esclave, la fameuse vachette avait connu une ascension fulgurante de son niveau de vie... Mais cela ne faisait pas du tout sans contrefaçon. En effet, il fallait passer aux choses sérieuses. Elle ne pouvait pas rester seulement à rien faire comme ça, elle n’était pas en repos, ou je ne sais pas moi... Un député français ! Non, elle devait bosser... Surtout contrairement à ces derniers ! Quoiqu’il en soit, elle écouta alors la suite des déclaraitons de la vampire.
« Alors, toujours heureuse d’être ici ? Es-tu prête à aller travailler, Cassandre ? »
« Bien sûr maîtresse ! »
Le bien sûr pouvait marcher pour... Tout enfaite ! Aussi bien la première que la seconde partie de la déclaration de son interlocutrice. Je vous explique... Elle était bien entendu toujours heureuse d’être ici. Même, plus le temps passait, plus elle était contente d’être là... Car elle découvrait de nouvelles choses, elle qui avait toujours été enfermée dans une vie... Relativement simple, enfaite. Maintenant, elle se rendait compte que le monde était bien plus compliqué qu’elle pensait... Mais que ce n’était pas une mauvaise chose ! Au contraire, même ! Et pour la seconde partie de déclaration... Et bien, c’était encore plus important, étant donné que c’était le fait qu’elle était tout à fait pour travailler... D’ailleurs, elle précisa cela, étant donné qu’elle déclara :
« Je ne suis pas là pour me reposer, mais pour être la meilleure vachette possible, je peux tout faire ! »
Elle était maintenant complètement rhabillée, bien qu’en temps que vachette, sa tenue était toujours aussi révélatrice, ne cachant que le minimum, si on excepte les collants des bras et des jambes... Mais cela voulait dire qu’elle était un peu plus présentable pour faire ce qu’elle devrait faire... Et surtout, cela serait plus pratique que entièrement nue... Sauf si elle devait donner du lait ! Car bon, quand on donne du lait, le soutien gorge, c’est plus un défaut qu’autre chose. La fameuse vachette, en tout cas, était extrêmement motivée à ce qu’elle allait faire ! Elle était prête à faire tout ce qu’allait demander la fameuse Vampire... Sauf que tout d’un coup, comme si elle remarquait ce qu’elle disait, elle rectifia :
« Enfin... Pas tout faire... Mais je sais faire le ménage, la cuisine, et puis, je donne beaucoup de lait... ! Mais ça, vous savez bien ! »
En effet ! Elle n’était qu’une vachette, et de surcroit, une vachette pas spécialement intelligente, donc... Mieux vallait, pensait-elle, pas trop lui en demander... Car sinon, on risquait d’être fort déçue. Elle voulait dire... Elle était qu’une simple vachette ! Donc, elle annonça bien ce qu’elle savait faire, bien qu’elle avait conscience que la fameuse Melinda savait déjà... Après, si elle se retrouvait dans quelques choses qu’elle ne savait pas faire... Ou qu’elle croyait ne pas savoir faire... Et bien, quand même ! Elle tenterait ! Car c’était comme ça qu’une vachette fonctionnait, quand elle était courageuse ! Maintenant, elle regardait sa maîtresse, les deux seins en avant, l’air déterminé dans sa tête. Elle était tellement motivée que c’était presque mignon à voir... Et elle se demandait bien ce qu’elle allait faire !
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Mélinda était désormais prête. Ses esclaves prirent leur temps à bien la coiffer, à la parfumer. C’était un véritable rituel, consistant aussi à la manucurer. Ainsi, Mélinda écarta chacun de ses doigts, déployant ses griffes, et laissa les esclaves user d’une lime à ongle, taillant les griffes, évitant ainsi de les rendre trop tranchantes. Pas de maquillage, en revanche, mais elles prenaient grand soin des cheveux de Mélinda, les coiffant longuement. Tant de belles attentions, pendant que Cassandre se préparait rapidement, et répétait à Mélinda ses points forts pour travailler. Le manoir de Mélinda n’était pas une administration publique, de sorte que, pour mériter sa pitance, ses esclaves devaient travailler. Dans le cas de Cassandre, le choix était un peu particulier, car la vampire ne comptait pas l’affecter à des tâches ménagères. Elle avait d’autres projets pour elle.
Souriant légèrement, elle se redressa finalement, enfin prête. Somptueuse, radieuse, comme toujours, avec une très agréable odeur qui s’échappait d’elle. Aussi élégante que sauvage, aussi sensuelle que bestiale, Mélinda se retourna vers Cassandre, et caressa l’un de ses seins à travers le bonnet de son soutien-gorge.
« Je sais que tu produis beaucoup de lait, Cassandre... Et c’est tout ce que je te demande, en réalité. Suis-moi, ma belle. »
Mélinda se déplaça, mais, avant que Cassandre ne puisse avancer, Mélinda récupéra la laisse, et la remit à son collier, puis lui indiqua de se déplacer à quatre pattes. Il n’y avait aucune raison particulière à cela, mais elle aimait bien l’idée de promener sa petite Ushi. Et les deux femmes se déplacèrent donc, la clochette de Cassandre venant à carillonner à chacun de ses pas. Quelques filles souriaient en voyant cela, et n’hésitaient pas à caresser brièvement le corps de Cassandre, ou à lui donner une petite tape aux fesses.
Toujours aussi mystérieuse, Mélinda rejoignit l’arrière du manoir, et fila sur la terrasse centrale. Le manoir de la vampire présentait une forme de U, et, au centre de cette forme, il y avait une terrasse, abritant une belle piscine, très agréable, et très confortable. Personne ne s’y trempait encore, vu qu’on était au petit matin.
« Tu peux te remettre debout, cassandre, on va s’avancer un peu dans la forêt. »
Que de mystères... Mélinda reprit sa marche, rejoignant la lisière de la forêt. Elle suivait un petit sentier qui conduisit assez rapidement jusqu’à une sorte de cabane en bois, où plusieurs personnes étaient déjà présentes.
« Tout est prêt ? s’enquit Mélinda.
- Bien sûr, Maîtresse ! »
Mélinda sourit encore, puis se retourna vers Cassandre.
« Voici, Cassandre... C’est là où tu travailleras une bonne partie de ton temps. Je suis sûre que tu as plein de questions, alors... Allons voir ! »
Mélinda, qui, visiblement, ne se souciait guère de salir sa robe en la laissant traîner sur le sol (elle en avait après tout d’autres de rechange), entra dans la grange. Celle-ci avait été nettoyée intégralement, et était plongée dans la pénombre. Mélinda appuya alors sur un interrupteur, et Cassandre put voir une curieuse installation au centre.
Il y avait des sangles avec des pompes se terminant par deux espèces de ventouses en plastique. Les pompes menaient jusqu’à une sorte de grosse turbine qui était ensuite reliée à plusieurs réservoirs. Enfin, un matelas rembourré était posé sur le sol.
« Tu vois cette installation, Cassandre ? Elle a pour but de te traire, ma chérie... »
-
Qu’est-ce que sa maîtresse était belle bon sang... A chaque fois, elle s’en rendait compte, et à chaque fois, elle s’en rendait encore plus compte. Sa maîtresse était une femme magnifique, bien plus belle que tout ce qu’avait vu Cassandre... Et elle n’avait pas vu grand chose, mais quand même, cela faisait quand même pas mal de choses qu’elle avait vu au cours de sa vie... Bref, elle trouvait sa maîtresse magnifique, et était impressionnée par tout les soins, toute la beauté aussi bien de son corps que de ses vêtements. Belle, intelligente, forte, érotique... Elle était même d’une gentilesse extrême, car quand Cassandre s’emmela les pinceaux, comme elle avait toujours l’habitude de faire, et bien, elle reçu la gentillesse extrême de se faire caresser un sein, ce qui la fit rosir de plaisir... Elle écouta alors les déclarations.
« Je sais que tu produis beaucoup de lait, Cassandre... Et c’est tout ce que je te demande, en réalité. Suis-moi, ma belle. »
« Oui maîtresse ! »
Elle retrouva alors sa laisse, et se retrouva de nouveau à quatre pattes. Elle marcha ainsi dans le manoir, la clochette sonnant à ses pas. Elle eut le droit aussi à beaucoup d’attention pendant son trajet, ce qui la rendit très contente. Elle eut le droit à des caresses, des petites tapes sur la tête, sur les fesses, et même une personne pinça l’un de ses seins ! Elle était contente, et en profitait. Elle savait bien que sa maîtresse n’aurait pas toujours le temps de la promener en laisse, et que bientôt, elle devrait se débrouiller toute seule. Elle l’avait bien compris. Donc non seulement, elle tentait de mémoriser le chemin... Mais en plus, elle en profitait le maximum possible, car sinon... Et bien, elle n’aurait pas profité, et c’est nul !
« Tu peux te remettre debout, cassandre, on va s’avancer un peu dans la forêt. »
« Bien ! »
Elle se releva, et ainsi, suivi sa maîtresse jusqu’à l’endroit où elles devaient se rendre. Pendant un moment, elle pensa que sa marche à quatre pattes fut plus amusant que marcher... Mais comme elles arrivaient toutes deux au niveau de la forêt, et bien... Il fallait marcher ! Elles ne marchèrent pas très longtemps, étant donné que le cabanon où elles se dirigeaient était là... Enfin, « cabanon »... C’était plus une vraie cabane ! Cassandre regardait tout autour d’elle, impressionnée, et tentant de bien retenir le chemin, étant donné qu’elle n’avait pas envie de se perdre dans le futur. Cela serait une mauvaise chose, les bonnes vachettes savaient se retrouver ! Elle n’écouta que d’une oreille distraite les discussions entre Melinda et les autres esclaves, et quand on lui parla :
« Voici, Cassandre... C’est là où tu travailleras une bonne partie de ton temps. Je suis sûre que tu as plein de questions, alors... Allons voir ! »
Oh zut ! Elle devait se renconcentrer ! Elle était partie un peu en live, à regarder tout autour d’elle, et voilà qu’elle en oubliait qu’elle n’était pas là pour rigoler ! Après tout, elle était quand même là pour travailler. Une bonne esclave doit écouter sa maîtresse... Oh mon dieu, si elle continuait à faire n’importe quoi, elle allait finir par avoir une bonne fessée, et bam ! Une bonne punition. Mais une vraie cette fois, pas comme celle qu’elle avait eu précédemment, qui était plus là pour rigoler, étant donné qu’elle avait pas vraiment fait de bêtises, contrairement à là, où elle commençait à faire des vraies bêtises et... Oh mon dieu ! Mais elle continuait, avec son monologue intérieure ! Donc, elle se concentra bien sur sa magnifique maîtresse, et ainsi...
« Tu vois cette installation, Cassandre ? Elle a pour but de te traire, ma chérie... »
« Haaaan ! C’est une installation pour les vachettes ! »
Ha ! Cela, au moins, il aurait vraiment fallu qu’elle soit stupide pour ne pas reconnaître. Toutes les vachettes un brin « moderne » savait reconnaître une machine pour les vachettes, étant donné que beaucoup en utilisaient... Certaines étaient même condamnées à ne rester que toujours brancher dessus, nourrie par des tubes, et contrôlées par des machines 24/24. C’était une possibilité que toutes les vachettes connaissaient et qui pouvaient leur arriver à tout moment, donc, il fallait bien qu’elle le sache. En tout cas, la vachette regarda un peu le dispositif. Le fait qu’elle savait que cela existe ne voulait pas forcément dire qu’elle en avait déjà vu, et là... Et bine, on frappait en plein dans le mille, étant donné qu’elle n’en n’avait jamais vu en vrai, son ancien propriétaire, son « tuteur » disons, préférait traire à la main. Elle déclara alors :
« C’est ingénieux ! Je n’aurais qu’à me mettre ici, et on pourra récupérer mon lait ! Vous êtes si intelligente, maîtresse ! »
Elle déclara cela en regardant bien l’appareil. Elle ne savait pas trop comment cela fonctionnait dans les faits, elle n’était pas une ingénieuse, mais elle devinait que c’était très certainement quelques choses d’extrêmement intelligent, et ça... Franchement, ça lui coupait le souffle ! Elle avait hâte d’essayer, étant donné qu’elle ne l’avait pas fait... Mais elle se demandait bien comment cela marcha it véritablement ? Comment devait-elle se mettre ? Elle supposait que sa maîtresse, ou d’autres esclaves allaient très certainement lui montrer, étant donné qu’elle débutait. Après, elle allait bien retenir pour pouvoir le faire toute seule, et ne plus déranger qui que ce soit... Mais dans un premier temps, elle devait apprendre, et on apprenait en imitant... N’est-ce pas ? Et bien, oui, en effet ! Quand soudain, avant de se faire installer, elle posa une question, mettant son doigt sur son menton...
« Mais, pourquoi sommes-nous aussi loin du manoir ? Enfin, je me pose juste la question maîtresse, c’est juste comme ça, ça ne me dérange pas ! »
Elle se rattrapa immédiatement. Elle ne voulait pas passer pour une vachette qui se plaignait, pas du tout ! Après tout, cela ne la dérangeait pas de se déplacer, cela arrivait qu’une vachette marche, et cela ne la dérangeait pas ! Surtout qu’elle ne voulait pas que cela soit prit comme « Et bien, tu resteras là maintenant », ce qui pouvait tout à fait arrivée ! Non, si elle se posait cette question... Et bien, c’est juste qu’elle était curieuse, et qu’elle se posait vraiment la question car elle ne savait pas. Elle ne savait pas pourquoi elle devait rester là... Et donc, la question était bien présente... Maintenant, il fallait voir ce que cela allait donner. Est-ce qu’elle allait avoir sa réponse ? C’était une bonne question... Il fallait juste voir Melinda, qui sans doute avait les clefs de la réponse à cette question...
-
L’installation était rudimentaire, mais très efficace. Les filles préparaient les machines, provoquant un léger bourdonnement émanant de la centrifugeuse, située à l’arrière-salle. Tout ça rien que pour Cassandre… La petite Ushi semblait ravie, mais, à travers sa dernière question, Mélinda comprit rapidement ce qui l’angoissait vraiment. Certes, Cassandre regretta immédiatement d’avoir posé cette question, sans doute en craignant que sa Maîtresse n’en fasse une mauvaise interprétation. La vampire sourit doucement, et sa main vint caresser le visage de la jeune femme :
« Première chose, Cassandre… Tu ne dois jamais avoir peur de me poser des questions, ni regretter de le faire. Il n’existe aucun tabou chez moi, et nulle question n’est idiote dès qu’elle est posée. »
Elle sourit encore, affectueusement, et s’attaqua ensuite au fond :
« Ton planning n’est pas encore définitif, mais tu ne passeras pas l’éternité ici. Aujourd’hui, par exemple, tu y resteras jusqu’à Midi, puis tu pourras te reposer au manoir, et tu reprendras la traite dans l’après-midi. Je préfère faire ça dans une installation reculée, car il y a plus de place, et nous pouvons stocker plus facilement le lait que tes généreux mamelons produisent. »
Pendant qu’elle parlait, les filles travaillaient sur les machines, allumant des générateurs, et utilisaient un treuil pour faire descendre des sangles du plafond, au-dessus de Cassandre.
« Mais tu passeras aussi des journées au harem, à faire plaisir aux clients. Les Ushis sont très demandés, tu sais. Bref, ne crains pas de devoir passer tes jours ici… Même si je pense que tu devrais beaucoup aimer la traite. »
Qu’est-ce que Mélinda avait en tête ? Elle resta volontiers énigmatique, pendant que les filles demandèrent à Cassandre de lever les bras, et attachèrent ses poignets aux sangles. Le treuil s’abaissa encore, ce qui dut comprimer un peu Cassandre, qui se retrouva le corps penché en avant, les jambes écartées, maintenue en l’air par les sangles à ses poignets. Cassandre put alors voir que le treuil comprenait une sorte de barre, le tout formant un triangle, et on posa ses mains sur la barre, tout en l’amenant à plier ses jambes, l’amenant ainsi dans une position très suggestive, et très excitante, avec son petit cul qui pointait vers l’arrière.
Une position très exquise (http://img110.xooimage.com/files/5/a/1/sans-titre-53f0bf2.png), qui ne manqua pas de faire sourire Mélinda.
Ses mains caressèrent les fesses de Cassandre, pendant que deux femmes approchaient des tuyaux, avec des ventouses à leur extrémité, et les posèrent sur chacun des seins de la femme.
« Les tuyaux filent vers une centrifugeuse qui traite ton lait, et le répartit ensuite dans des cuves. Mais je ne t’ai pas encore dit le meilleur, ma belle Cassandre… Car j’ai bien compris que ta production de lait était proportionnellement liée au plaisir que tu ressentais, alors, si tu as peur de passer tes journées dans une salle triste, solitaire, et sans personne pour lui tenir compagnie… »
Il était de bon aloi que Mélinda entame cela en personne. Les filles mirent en place les machines, et Cassandre sentit les ventouses pomper sur ses seins, en absorbant le lait… Puis Mélinda retira sa robe, et, une fois n’est pas coutume, posa ses mains sur les hanches de l’Ushi, et la pénétra d’un coup sec, enfonçant sa verge dans son corps.
« Hmmm… Voilà ta traite, ma meuh-meuh adorée ! Te faire baiser sans relâche toute la journée, encore et encore ! Hmmmmm… !! »
N’était-ce pas un programme parfait ? Tout le monde serait là pour s’occuper de Cassandre !
C’était une Ushi bien heureuse…
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Cassandre était ne vachette, une Ushi, une esclave. Il fallait bien comprendre que beaucoup de maîtres étaient très sévère avec ces vachettes, et n’appréciaient guère quand celles-ci manquaient de respect... Mais qu’est-ce que manquer de respect ? Là, c’est une vraie question... Notre fameuse Cassandre n’avait pas l’impression que sa maîtresse était du genre à être vraiment à cheval sur tout ça, mais il ne fallait pas qu’elle manque de respect par inattention... Donc, elle faisait attention... Trop ? Et bien, oui, trop, bien souvent. Comme dit précédemment, les révoltes d’esclaves c’étaient pas si fréquent. Oh, il y en avait toujours, mais beaucoup étaient plutôt dans le cadre inverse, et perdait toute autonomie, car ils voulaient absolument être le meilleur esclave possible... Bref, ainsi, Melinda avait bien raison de remettre les points sur les I...
« Première chose, Cassandre… Tu ne dois jamais avoir peur de me poser des questions, ni regretter de le faire. Il n’existe aucun tabou chez moi, et nulle question n’est idiote dès qu’elle est posée. »
« Bien ! »
Donc ; elle avait le droit de poser des questiosn, et même si elle les trouvait stupide, elle pouvait quand même les poser ! Tant mieux... Après tout, elle était une Ushi, et donc... Elle avait quand même bien conscience qu’elle n’était pas très intelligente. Et ouais, c’était triste, mais elle devait bien avouer qu’elle savait très bien qu’elle n’était pas très intelligente... Les Ushis ne sont pas très intelligente, et c’est comme ça. Elles n’étaient pas fait pour cela, après tout, elles étaient avant tout fait pour donner du lait, et c’est tout. Pourquoi former et rendre intelligente une Ushi, quand on pouvait se contenter de juste faire en sorte qu’elle donne le plus de lait possible. Et oui, les gens, c’est avant tout rentabilité ! Une vachette, ça donne du lait, ça résout pas des équations ! Qui sait, si les vachettes étaient intelligentes, elles auraient peut-être trouvée le bosson de Higgs ?
« Ton planning n’est pas encore définitif, mais tu ne passeras pas l’éternité ici. Aujourd’hui, par exemple, tu y resteras jusqu’à Midi, puis tu pourras te reposer au manoir, et tu reprendras la traite dans l’après-midi. Je préfère faire ça dans une installation reculée, car il y a plus de place, et nous pouvons stocker plus facilement le lait que tes généreux mamelons produisent. Mais tu passeras aussi des journées au harem, à faire plaisir aux clients. Les Ushis sont très demandés, tu sais. Bref, ne crains pas de devoir passer tes jours ici… Même si je pense que tu devrais beaucoup aimer la traite. »
« Bien Maîtresse ! Je ferais de mon mieux quoiqu’il arrive ! »
Elle venait d’être positionnée pour la traite... Et franchement, il n’y avait pas de doute, sa position était exquise ! Elle montrait ainsi bien sagement ce qui était le plus important chez elle, mettant en valeur d’un côté ses deux gros seins bien plein de lait, et de l’autre son cul... On pouvait dire que c’était sans doute la meilleure position possible, car franchement, elle mettait en valeur tout ce qu’elle était. D’un côté, deux énormes seins de lait... De l’autre, un cul et une chatte qui en demandait... Bref, Cassandre comptait faire de son mieux, et elle comptait bien apprécier la situation de sa nouvelle vie. Après tout, elle allait donner son lait jusqu’à midi, puis allait donner son lait l’après-midi. Et lele comptait bien profiter de cela ! Elle ne savait pas encore ce qui allait se faire au harem... Mais sans doute que cela serait chouette aussi !
« Les tuyaux filent vers une centrifugeuse qui traite ton lait, et le répartit ensuite dans des cuves. Mais je ne t’ai pas encore dit le meilleur, ma belle Cassandre… Car j’ai bien compris que ta production de lait était proportionnellement liée au plaisir que tu ressentais, alors, si tu as peur de passer tes journées dans une salle triste, solitaire, et sans personne pour lui tenir compagnie… »
« Oh, merci ! »
Elle était rassurée ! Elle n’allait pas être abandonnée ! Et pour fêter cela, autant commencer ! Ainsi, les ventouses avaient été mis sur ses seins... Et elle commençait à être traite ! Bon sang, ce que cela faisait du bien... On pouvait voir que la vachette donnait un débit de lait absolument incroyable, on se rendait compte à quel point elle était une grosse produtrice. On pouvait remercier son père, le Minotaure, qui avait visiblement bien joué dans cela... Bref, la vachette ainsi pouvait donner son lait, encore et toujours... Mais pour augmenter la quantité et la qualité du lait, il y avait d’autres façons, d’autres façons que la fameuse Mélinda connaissait bien, et n’hésitait pas à utiliser... Celui de baiser la vachette ! Quel gros avantage des Ushis, ça, n’est-ce pas ?
« Hmmm… Voilà ta traite, ma meuh-meuh adorée ! Te faire baiser sans relâche toute la journée, encore et encore ! Hmmmmm… !! »
« Meuuuuuh ! Merci maîtresse ! »
Elle meugla de plaisir ! Quel plaisir de se faire baiser sans relache, comme ça, sans hésitation, sans doute, bref, un plaisir immense pour elle... Cela venait de tout, d’ailleurs. D’un côté, elle était traite, de l’autre, elle était baisée ! Et tout cela, c’était grâce à sa maîtresse, sa divine maîtresse, sa maîtresse déesse même ! Bref, vous avez compris, elle était extrêmement contente de sa situation, et elle espérait que cela allait continuer ainsi, encore et toujours... Dans sa position, elle ne pouvait pas trop voir comment elle pouvait faire pour augmenter le plaisir de sa maîtresse -bien entendu, c’était aussi ce qu’elle cherchait, elle n’était pas égoïste, et elle se devait de remercier sa maîtresse en tentant quelques choses... Finalement, au bout d’un moment, une idée lui vint... Et ainsi, elle comemnça à déclarer :
« Meuh ! Meuh ! Je suis une bonne salope ! »
Eheh ! Elle avait appris comme vous pouvez voir de ces derniers cours ! Elle se souvenait que pour augmenter l’excitation de celui ou celle qui était entrain de se faire plaisir en l’utilisant, et bien, elle pouvait utiliser la technique de rappeler qu’elle n’était qu’une salope, s’insulter... Souvent, Cela augmentait l’excitation... Donc, elle n’hésitait pas ! Puis, après tout, c’était pas loin de ce qu’elle était non ? Elle adorait baiser maintenant ! Sérieux, elle ne connaissait pas du tout ça, mais elle estimait qu’une vachette heureuse, c’était une vachette qui était bien baisée ! Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ainsi, Cassandre allait en redemander, et n’allait pas hésiter à s’insulter pour augmenter l’excitation de sa maîtresse... Car elle, pas besoin d’augmenter son excitation... Entre ses seins et son intimité, elle brûlait déjà largement de plaisir !
-
Une « bonne salope »... Ma foi, Cassandre avait parfaitement résumé ! Mélinda sourit donc, heureuse, et, en même temps, assez fière, de voir avec quelle rapidité l’Ushi s’était adaptée à son nouvel environnement. Le sexe était une drogue dont on devenait rapidement accroc, surtout avec une femme comme Mélinda comme chef d’orchestre. Mains posées sur les hanches de l’Ushi, elle la pénétrait avec énergie, enfonçant son membre veineux dans son vagin,. Les chaînes retenant Cassandre cliquetaient en accompagnant les mouvements d’avant en arrière de Cassandre. Elle filait en meuglant, la verge de Mélinda provoquant des claquements spongieux en s’enfonçant dans le corps de l’Ushi. Combien de fois est-ce que Mélinda avait couché avec sa vachette, depuis qu’elle était arrivée ici ? N’avaient-elles pas pulvérisé un record, ensemble ? Et encore... Vu la passion naturelle de Cassandre pour le sexe, c’était à se demander si les Terranides n’étaient pas conçus pour ça.
Pendant ce temps, les pompes absorbaient le délicieux lait de l’Ushi, et, comme prévu, sous l’effet de l’excitation sexuelle, le corps de Cassandre se mettait à en produire davantage. Le lait filait dans la centrifugeuse, puis tombait rapidement dans des seaux. Il y avait tout un système automatique avec un tapis roulant, les seaux se déplaçant ensuite dans de grandes cuves. Une véritable installation laitière, les futs se répandant ensuite dans des bouteilles qui se déplaçaient également automatiquement. Toute une production qui n’attendait qu’une Ushi pour pouvoir se faire, car Cassandre était, somme toute, au centre de cette structure. Quel honneur !
« Mmmhm... Haaaa... Ma petite vachette salope, haaa... Tu es toujours aussi bonne à... Hm... À f-fourrer... ! »
Les doigts de Mélinda se crispaient contre les hanches de Cassandre, et elle multiplia ses coups de reins, prenant bien le temps de baiser Cassandre. Et, au bout d’un moment, comme on pouvait s’y attendre, Mélinda soupira une ultime fois, puis répandit sa crème dans le corps de l’Ushi. Elle jouit en elle, envoyant son sperme dans le beau ventre de Cassandre, puis se retira ensuite.
« Hmmm... »
Les liquides intimes dans le corps de Cassandre tombèrent dans la cuvette, et Mélindaz caressa encore son corps, puis l’embrassa dans le creux du cou.
« Ne t’inquiète pas, je ne te laisse pas toute seule, ma petite salope... Mais n’hésite pas à motiver tes nouveaux amants, ma chérie ! »
Mélinda sortit ensuite, saluant également les fermières qui veillaient sur le bon fonctionnement des machines. Et, comme Mélinda l’avait annoncé, très rapidement, Cassandre entendit un raclement de gorge dans son dos, puis le bruit d’une ceinture qu’on déboutonne, et d’un pantalon qui tombe... Puis un homme s’empressa de la pénétrer, enfonçant une belle trique dans son cul. Qu’elle soit vaginale ou anale, toute pénétration était après tout bonne à prendre ! Le jeune homme était un lycéen japonais qui avait eu la chance immense, selon lui, d’attirer l’attention de Mélinda. Encore vierge avant de la croiser, il était maintenant un esclave, et sans aucune envie de retrouver sa « liberté ».
« Haaa... Ton cul se dilate bien, hmm... Maîtresse a dû bien te baiser, toi... Petite pute ! »
Et l’homme gifla ses fesses.
Et ce serait la même ritournelle jusqu’à ce midi !
-
Mmh ! Se faire prendre comme ça, c’est le pied ! Et le pire… C’est qu’elle ne s’en lassait toujours pas ! Ce qui est quand même exceptionnelle, car il faut bien se dire que depuis le début de la matinée, Mélinda et Cassandre avait quand même fait de très, TRES nombreuses fois l’amour. Beaucoup plus de fois que ce que pourrait faire deux humains normaux… Sauf que nous n’avions pas affaire à des humains normaux, au contraire ! On avait affaire à une Ushi, une terranide, et de l’autre côté, on avait affaire à une vampire. Dont deux créatures qui avaient leur défauts, leur faiblesses, mais dont l’endurance n’en faisait pas partie, cela, je peux vous l’assurer ! Ainsi, elles faisaient l’amour, encore et toujours, et notre fameuse vachette appréciait toujours cela à un niveau assez grand… Même très grand, on pouvait bien le dire. Pour elle, c’était une découverte qui s’était transformée en passion, il n’y avait point d’autres mots à dire !
« Mmmhm... Haaaa... Ma petite vachette salope, haaa... Tu es toujours aussi bonne à... Hm... À f-fourrer... ! »
« Merci !!! MEUh ! »
Elle meugla fortement, alors que sa maîtresse continuait de la prendre. Elle avait meuglée, plusieurs fois, car elle aimait ça. Mais là, elle avait non seulement meuglée, mais elle avait aussi remerciée. Car oui, c’était totalement une chose à faire, dans la situation donnée ! Elle devait remercier sa maîtresse, car elle était contente, car elle était bien traitée, car on la libérait de son lait, et qu’en plus, on la baisait… Les coups de reins, les balancements des hanches, tout cela se multiplia encore un long moment en elle, avant que finalement, la jouissance puisse arriver jusqu’à elle, lui offrant alors le plaisir d’avoir de nouveau en elle le bon sperme de sa maîtresse… Oh, maîtresse ! Elle ne refuserait jamais d’avoir un peu plus du sperme de celle-ci… !
« Ne t’inquiète pas, je ne te laisse pas toute seule, ma petite salope... Mais n’hésite pas à motiver tes nouveaux amants, ma chérie ! »
« Avec plaisir ! Meuh ! »
Elle déclara cela avec plaisir, alors que sa maîtresse partie. Elle devait être attentive, après tout, effectivement, sa maîtresse maintenant allait devoir faire autre chose… Et elle devait donner le plus de lait possible ! Après tout, si elle donnait pas assez de lait, ou pire… Du lait de mauvaises qualités, et bien, elle n’aurait pas été, et de loin, à la hauteur de ce qu’elle devait faire pour sa maîtresse. Et comme elle était une bonne vachette, et bien, elle ferait tout pour se montrer à la hauteur, donnant le meilleur lait du monde, et satisfaisant tout ceux qui voudraient l’utiliser. Car c’était comme ça qu’une bonne vachette devait vivre ! Elle ne savait pas si c’était vraiment comme ça… Mais elle allait faire de son mieux ! Car elle était la vachette de sa maîtresse ! Mais bon, concentrons-nous un peu sur ce qui était entrain de se passer…
« Haaa... Ton cul se dilate bien, hmm... Maîtresse a dû bien te baiser, toi... Petite pute ! »
« Meuh ! Meuh ! »
Et oui, car il faut bien dire, mais quelqu’un était arrivé ! Comme quoi, on pouvait dire que la fameuse Melinda n’avait pas menti, quand elle avait dit qu’elle allait vite avoir de la compagnie ! Ainsi, elle venait de se prendre un beau calibre dans l’anus, et cela, cela faisait plaisir ! Alors, bien sur, l’anus était encore la zone dont elle avait le moins l’habitude… Oh, elle allait s’habituer, déjà, elle était très contente d’apprendre sur cul se « dilater bien ». Elle ne comprenait pas forcément ce que cela voulait dire dans les faits… Mais c’était très certainement une qualité vu ce que disait le fameux mec qui s’occupait de la pénétrer ! Elle gémissait, et meuglait de plaisir, tandis que ses seins continuaient de donner le meilleur lait possible ! Elle gémissait car elle adorait cela, elle gémissait car elle en voulait plus, elle gémissait car celui qui était entrain de la prendre, comme ça, méritait d’entendre ses gémissements de petite pute, comme elle était !
« Oui, messire, j’adore ça ! Je suis une bonne pute, et je donne énormément de lait ! »
Elle déclara cela extrêmement contente. Et elle disait la stricte vérité ! Elle décida d’ailleurs de montrer qu’elle était présente, en tentant de jouer un peu des hanches. Pendant une pénétration par l’anus, elle était essentiellement passive… Et il fallait bien l’avouer, c’était quand même le rôle qu’elle préférait, étant donné que la vachette se considérait comme très peu active, préférant recevoir le sperme et les coups de reins, plutôt que d’en faire… Mais elle devait quand même montrer qu’elle pouvait faire de son mieux, étant donné que quand même elle était là pour satisfaire ceux qui voulaient l’aider à donner du lait. Elle serait une très vilaine vachette si elle ne tentait même pas ! Donc, elle faisait de son mieux pour tenter de faire quand même quelques efforts… Et ouais, c’était ça une bonne vachette ! Elle déclara, alors qu’elle faisait de son mieux pour accompagner le mouvement, et que le bonheur arriva à son paroxisme…
« Me… Merci de m’utiliser ! Meuuuuuuh ! »
Elle remercia alors qu’elle jouissait ! Quel bonheur ! De suite, quand la jouissance arriva jusqu’à l’entierté de son corps, celui-ci fut pris de frisson, et ses seins ne donnèrent alors que plus de lait ! Encore plus ! Cela montrait à quel point elle était heureuse, et qu’elle avait appréciée son traitement ! Et c’était pas fini ! Premièrement, car l’homme qui était à son derrière, sans aucun doute n’avait lui-même, pas encore fini… Deuxièmement, car elle devait encore tenir ! Elle était là pour faire ce qu’elle devait faire, et jamais elle ne renoncerait à se donner à 200 % ! Elle donnait son lait, etc. Après, c’est vrai que c’était un peu fatiguant… Mais dieu que c’était gratiffiant, et dieu que cela donnait un plaisir immense… Donc, dans les faits, et bien… Elle ne regrettait absolument pas de faire cela…
-
Mélinda laissait à la jeune Ushi une matinée sans sa présence. Depuis hier, les deux femmes avaient été très inséparables, faisant l’amour de manière régulière et intense, témoignant ainsi d’une grande gourmandise. Rien n’avait pu les calmer, et la matinée allait être du même aloi. Certes, la vampire était partie, mais le reste était à l’avenant. Très rapidement, le fondement de Cassandre fut comblé, et elle sentit aussi des mains se serrer sur ses hanches. Elle ne savait même pas qui était l’homme la sodomisant, mais avait-elle vraiment besoin de le savoir ? Tout ce qu’elle savait, c’est qu’il lui voulait du bien. Tout le reste était, somme toute, sans importance.
« Dieu, que t’es bonne, sale pute, hmmm… J’ignorais que baiser une Ushi, ce serait aussi bon ! »
Les meuglements de l’Ushi le motivait à la besogner, mais il n’avait pas l’endurance naturelle de Mélinda. De plus, les ronronnements de la machine ponctionnant le lait de Cassandre avaient aussi tendance à l’exciter. Devant le couple, deux femmes en tenue de lycéennes observaient les machines, vérifiant que tout fonctionnait bien. Cassandre générait une quantité phénoménale de lait, pompé par les appareils, et qui se déversait dans les récipients. Des diagrammes et des capteurs confirmaient que tout se passait bien. Formidable mécanique que cette séance, où le sexe devenait un stimulant des plus efficaces !
L’amant de Cassandre finit par jouir dans son cul, et se serra contre elle, embrassant son cou, mordillant sa peau, se déversant sans ménagement dans son corps. Le sperme afflua par vagues, et il se détendit ensuite progressivement. Toutefois, très rapidement, des pas se firent entendre, permettant à Cassandre de réaliser qu’il n’y avait pas que lui.
« Attends, enfile-lui ça… »
Elle sentit alors un voile noire se poser sur ses yeux. Une culotte noire, féminine, qui fut posée sur ses yeux, obstruant la vue, attachée à hauteur de la nuque. Puis une nouvelle verge s’enfonça alors dans sa chatte, la pilonnant sans ménagement, des mains fermes et puissantes s’abattant sur ses hanches.
« C’est notre Ushi à nous…
- Et elle adore qu’on la baise bien fort… »
Les filles ricanèrent, puis Cassandre sentit des mains se poser sur sa tête. Les tuyaux reliés à ses seins furent déplacés entre les jambes d’un homme, qui enfonça son épaisse trique dans sa bouche.
« Là… Suce bien, salope de vachette, suce ma queue ! »
-
Donner du lait… C’était la vie des vachettes. Et bah oui, faut bien se dire, une vachette, ça donne du lait. D’ailleurs, si Cassandre ne donnait pas son lait… Et bien, elle aurait vachement mal aux seins ! Voilà pourquoi les Ushis ne cherchaient pas la liberté, à fuir leur condition, etc. Parce que tout simplement… Et bien, une vachette, libre, aura du mal à donner son lait, et à vivre sa liberté… Bref, voilà, les Ushis acceptaient leur condition, car d’autres conditions n’étaient pas possible pour elle ! Et oui, il fallait donner son lait… Si elle ne donnait pas son lait, elle pourrait en mourir ! Et non, ne rigolez pas, ce n’est pas une blague nulle. C’est vrai, la vachette avait vraiment besoin de donner son lait ! C’était comme ça, cela faisait partie des réalités de ses terranides, elles donnaient du lait, et avaient besoin qu’on les « vide », si elle voulait pas mourir ! Comme les vaches, d’ailleurs, sur ce point cela ne change pas !
« Dieu, que t’es bonne, sale pute, hmmm… J’ignorais que baiser une Ushi, ce serait aussi bon ! »
« MEUH ! Meuuuh ! »
Et là, elle ne faisait pas que donner du lait, une chose était sûre ! Non, elle prenait son pied ! Oui, enfin, pas littéralement, hein les gens. Elle n’était pas entrain de littéralement tenir son pied… Déjà, car ce n’était pas vraiment possible vu sa position, étant donné que ses mains étaient coincés, mais quand même ! Bref, elle avait une belle queue qui s’occupait d’elle, et surtout, des mots parfaitement adpatées à ce qu’elle était ! Et oui, elle était bonne, cela, elle était contente de le savoir… Elle était aussi une grosse sale pute, et cela, elle confirmait avec grand plaisir… Et baiser une ushi, c’était sans doute une chose exceptionnelle, et c’était vraiment cool de l’apprendre ! Donc, elle n’avait qu’une chose à dire : elle approuvait entièrement ce qui était dit… Mais pendant qu’elle prenait son pied, d’autres choses se passait !
« Attends, enfile-lui ça… »
« Meuh… ? »
Qu’allait-il se passer ? La vachette n’en savait rien, mais elle n’allait pas tarder à avoir les réponses à cette question… En effet, quand elle fit son petit meuh… Quelques chose s’installa sur ses yeux… Et oui ! Elle venait d’avoir les yeux bandées ! Et maintenant qu’elle n’avait plus ses yeux, la situation qui autrefois rendait difficile de savoir qui allait la baiser, et bien, devenait carrément impossible. Elle ne pouvait plus savoir qui allait s’occuper d’elle, et… Et c’était extrêmement excitant ! Elle se sentait touchée, elle se sentait manipulée, mais elle ne pouvait pas savoir qui le faisait, et dans quel but… Bref, une situation on ne peux plus exquise, qu’elle allait bientôt profiter à 200 % !
« C’est notre Ushi à nous…
- Et elle adore qu’on la baise bien fort… »
Elle confirmait ! C’était comme ça qu’une bonne traite devait se faire ! Elle donnait du lait, et recevait du sperme ! C’était l’échange équivalant ! Bon, d’accord, elle donnait sans doute beaucoup plus de lait qu’elle recevait de sperme, mais bon, on va dire que ce que je dis marche quand même car je vous l’ai demandé très gentiment, puis d’abord, ta gueule, c’est magique. Bref, quoiqu’il en soit, elle était bien traitée ainsi… Son vagin était de nouveau prit par une verge, une belle verge qui ramonait bien son intérieur… Et de l’autre côté, sa bouche, elle, n’allait pas rester inoccupé si longuement… Les tuyaux qui récupéraient son lait ayant été installé pour ne pas déranger, une queue venait frapper à la porte pour demander d’entrer… Ce que la vachette accorda volontiers, quand la demande arriva :
« Là… Suce bien, salope de vachette, suce ma queue ! »
Owi ! Sucer ! Cela faisait bien longtemps ! Trop longtemps même ! Baiser était devenue une passion pour la vachette, cela ne faisait aucun doute… Mais alors, sucer, ça, c’était quelques choses dont elle allait avoir énormément de mal à trouver quelques choses de mieux. Non sérieux, baiser, c’est la vie, baiser, c’est trop cool ! Mais sucée, c’est vraiment le mieux d’abord, car c’est ça qui est le plus agréable. Elle adorait avoir une bonne grosse queue en bouche, car c’était quelque chose de bon, d’agréable, d’amusant… elle adorait cela, et elle adorait quand la personne arrivait à jouir alors dans sa bouche et lui offrait alors du bon sperme à manger ! Bref, c’était ça qu’était le meilleur, et elle comptait bien en profiter là, vu qu’elle avait la bonne queue en bouche…
Et c’est ainsi qu’une excellente matinée s’acheva… Bon sang, qu’est-ce qu’elle avait fait aujourd’hui ! Depuis qu’elle s’était levée, elle avait mangée avec sa maîtresse, elle avait pris un bain avec sa maîtresse et… Elle avait énormément baiser avec sa maîtresse. Puis, quand son travail avait commencé, elle avait donné énormément de lait, et elle avait baisé, baisé, et encore baisé ! Elle avait envie de baisé encore plus, car elle adorait cela. Baiser, c’était agréable, amusant, bref, c’était quelques chose qui plaisait à la vachette ! Rien de mieux que bien baiser, cela faisait plaisir, et tout el monde aimait cela ! Enfin, elle pensait ! Elle n’en savait pas vraiment grand-chose, mais elle aimait ça, et c’était largement suffisant pour elle ! Elle avait pas besoin d’en savoir plus, pour tout dire…
-
Cassandre était vraiment une Ushi incroyable ! Infatigable, elle continuait à en redemander encore, et passa toute la matinée à se faire baiser, à sentir des queues en elle, des mains sur son corps, des gifles, des caresses, des pincements, et parfois des baisers. Tout ça était très agréable pour Cassandre, qui jouissait sur commande, sans pouvoir se retenir. Son corps se relâchait au fur et à mesure que les amants se multipliaient. À force, même le bandeau finit par glisser de ses cheveux, le nœud se défaisant pour tomber sur le sol... Puis les coups de reins se multiplièrent encore, ses meuglements remplissant la pièce. Son lait, lui, affluait énergiquement, venant remplir les bouteilles. Ce matin, Cassandre avait été très productive !
« Eh bien, ma chérie, tu es une vraie ouvrière stakhanoviste ! Je n’aurais jamais cru qu’un corps comme ça puisse contenir et produire autant de lait...
- Et elle n’est même pas fatiguée ! Enfin... Dans le sens où elle est pas tombée dans les pommes, quoi ! »
Et ça, mine de rien, c’était quand même exceptionnel ! Elle tenait toujours debout, la belle Cassandre, mais, pour ce matin, la séance de travail était terminée ! Néanmoins, avant de la relâcher, les deux fermières utilisèrent une bassine remplie d’eau pour la nettoyant, la rinçant, et en profitèrent pour lui voler plusieurs baisers. Un traitement très agréable, mais elles ne batifolèrent pas de manière excessive.
« Maîtresse est très impatiente de te revoir, Cassandre !
- Quand tu es venue ici, tu es passée près d’une piscine, non ? Elle s’y trouve ! Il fait beau dehors, profite-en, nous on va finir de ranger ! »
Et de nettoyer aussi, car la grange était quand même un peu sale, avec tout ce sperme sur le sol... Ainsi que des culottes usagées malencontreusement oubliées. Quoi qu’il en soit, Cassandre fut libérée de ses obligations, et put retourner vers le manoir... Où elle ne tarda pas à entendre des rires et des gloussements, ainsi qu’une délicieuse odeur de grillade. À côté de la piscine, on avait mis en marche un barbecue, et, tandis que plusieurs filles jouaient dans la piscine, Mélinda, elle, était lascivement allongée sur un transat. Elle avait troqué sa robe pour un bikini noir (http://img110.xooimage.com/files/2/d/d/z_131381bk-5415b01.jpg) avec des lunettes de soleil, et tourna sa tête en entendant le carillon de la clochette.
Un joyeux sourire éclaira ensuite ses tendres lèvres en voyant sa vachette favorite se rapprocher.
« Cassandre, ma chérie ! Tu vas bien ? Pas trop fatiguée ? Viens t’installer à côté de moi, ma belle, et dis-moi comment ça s’est passé ce matin... »
-
Et bien ! C’était fatiguant tout ça, mais Cassandre estimait que pour une première fois, et bien... Elle avait plutôt assurée... Et elle n’avait pas tord ! Il est vrai que franchement, elle s’était débrouillée comme une chef, et il n’y avait rien à dire sur ses talents de donneuse de lait ! C’était une experte, et en plus son lait était très bon en plus d’être très nombreux... Mais voilà ! Elle était quand même fatiguée, elle avait bien envie de se reposer un peu avant de continuer sa journée... Heureusement, après avoir satisfait plusieurs personnes, et donné énormément de lait, et bien, sa matinée touchait à sa fin, c’était la liberté, elle allait pouvoir un peu se reposer. D’ailleurs, les deux personnes qui s’occupaient d’elle depuis le début, lui expliquèrent toutes deux sur les talents de la fameuse vachette...
« Eh bien, ma chérie, tu es une vraie ouvrière stakhanoviste ! Je n’aurais jamais cru qu’un corps comme ça puisse contenir et produire autant de lait...
- Et elle n’est même pas fatiguée ! Enfin... Dans le sens où elle est pas tombée dans les pommes, quoi ! »
« Je... je sais pas ce que ça veut dire, mais je suis heureuse de l’être ! »
En effet, il fallait bien se dire que les mots étaient un peu trop compliqué pour la fameuse Cassandre... Mais elle était fière de sa production de lait... Bon, il allait falloir qu’elle se repose un peu, et qu’elle mange, avant de pouvoir refaire ça, il faut bien le dire. Mais quand on sait que certaines vachettes croisées à des minotaures étaient parfois traites 24h/24... Et bien, cela relativisait l’exploit de Cassandre ! Alors, concrètement, c’était de l’usure pure et dure, étant donné qu’en faisant ça, bien souvent, les vachettes étaient condamnés à une mort jeune, après une petite dizaine d’année à avoir fait ça... Mais bon ! Quoiqu’il en soit, Cassandre était libérée, maintenant, elle allait pouvoir un peu se reposer, et retrouver sa maîtresse... D’ailleurs...
« Maîtresse est très impatiente de te revoir, Cassandre !
- Quand tu es venue ici, tu es passée près d’une piscine, non ? Elle s’y trouve ! Il fait beau dehors, profite-en, nous on va finir de ranger ! »
« Ok ! »
Elle était un peu gênée de partir comme ça, sans nettoyer... Rappelez vous ce que j’ai souvent dit sur Cassandre : oui, bien sur, elle savait donner du lait, tout ça, c’est très bien. Mais ce n’était pas tout ! Elle savait aussi faire autres choses, dont, faire le ménage. Donc, cela lui faisait bizarre qu’elle, elle puisse partir comme ça, et qu’elle ne fasse pas le ménage. De l’autre côté, elle était bien contente, car elle était fatiguée, et elle avait faim. Elle arriva alors au niveau de la piscine... Plusieurs filles étaient entrain d’y jouer, et la fameuse Melinda était sur un transat. L’odeur de grillade se faisait sentir, et la fameuse Cassandre espéra qu’il y avait des légumes en préparation, étant donné qu’elle ne mangeait pas de viande... Ou du poisson, c’était bon aussi le poisson. Oui, notre Cassandre était pescetarienne !
« Cassandre, ma chérie ! Tu vas bien ? Pas trop fatiguée ? Viens t’installer à côté de moi, ma belle, et dis-moi comment ça s’est passé ce matin... »
« Je suis fatiguée, mais ça va ! Ca va très bien ! »
Elle fit un magnifique sourire à sa maîtresse, avant de se permettre de s’asseoir par terre. Je ne l’avais pas dis, mais on avait pu deviner au fait qu’elle avait de nouveaux sa clochette, la vachette était de nouveau habillée, avec son soutien gorge et sa culotte, tout comme elle avait ses bas et ses manches, bref, les habitus habituels de la vachette. Elle était fatiguée, cela se voyait, étant donné qu’elle s’était assise par terre : Si elle avait pu manquer de respect, avec le fait qu’elle s’était assisse sans attendre l’autorisation de sa maîtresse, et bien, elle gardait quand même une marque de respect en s’installant par terre, montrant qu’elle n’était pas à la hauteur de sa maîtresse. Bon qu’on soit clair, sans doute qu’au fond, sa maîtresse s’en fichait... Mais Cassandre tenait quand même à montrer qu’elle était une bonne vachette, soucieuse des règles.
« C’était formidable ! Après que vous êtes partis, il y a plein de gentilles personnes qui sont venus me prendre, aussi bien par derrière que dans la bouche ! Et j’ai donné énormément de lait, ce qui fait que c’était vraiment génial ! J’espère que le lait sera très bon ! »
Elle espérait en effet que son lait allait satisfaire sa maîtresse... Elle se demandait si elle allait utiliser l’entièreté de son lait, ou bien il y allait avoir de la vente ? Les deux étaient possible, après tout, cela arrivait plus d’une fois que son lait soit vendu, c’était normal après tout... Mais quand même ! Elle se posait la question. Quoiqu’il en soit, elle montrait son enthousiasme et le fait qu’elle avait vraiment aimée... En même temps, il y avait tout ce qu’elle aimait dans son traitement ! On s’occupait d’elle, on l’aimait... Bref, la jeune vachette était très contente, et regardait la vampire, comme d’hab, ses seins en avant, et un grand sourire dans sa bouche... Elle comptait bien faire plaisir à sa maîtresse, comme ça, en travaillant le plus possible. On allait bien voir ce qui allait se passer maintenant !
-
Cassandre avait été très active aujourd’hui. Mélinda avait eu des retours très positifs, et était donc très heureuse. Son Ushi était magnifique. Non seulement elle était très belle, mais elle était aussi largement à la hauteur de la réputation des Ushis : endurante, énergique, insatiable, et très productive. En une matinée, elle avait fourni une bonne quantité de lait et Mélinda savait déjà que ses bouteilles allaient se vendre comme du petit pain. Le lait d’une Ushi était plus précieux, et bien plus recherché, que le lait d’une vache laitière ordinaire. Bien sûr, il fallait encore le traiter, mais Mélinda s’était renseignée, et comptait bien le commercialiser. Cassandre allait être le point de départ d’un magnifique trafic, et elle allait encore continuer à produire. Mais là, pour le coup, après avoir relâché du lait pendant plusieurs heures d’affilée, ses seins étaient enfin apaisés. Plus de lait menaçant de déborder, juste une Ushi qui se reposait en s’asseyant à terre, à côté du transat de sa Maîtresse.
Mélinda, de son côté, dérogeait à la réputation des vampires d’être vulnérables à la lumière du soleil. Oh, bien sûr, il existait des races vampiriques qui craignaient effectivement les rayons ultraviolets, mais ce n’était pas le cas de Mélinda. Elle bronzait en revanche assez difficilement, et savourait toujours un bon bain de soleil. Comme il faisait chaud et bon ce midi, l’occasion était idéale de sortir les grillades. Toutefois, l’Ushi avoua rapidement à sa Maîtresse qu’elle n’aimait pas la viande.
« Oh… Eh bien… On va te trouver autre chose. »
Autant dire que, pour une vampire, ne pas aimer la viande rouge était assez curieux. Elle-même planta ses crocs dans la viande qu’on lui amena, tandis que Cassandre reçut une assiette comprenant des légumes et un bout de saumon avec de la sauce. Cassandre était visiblement suffisamment cultivée pour savoir se servir de couverts, mais Mélinda n’avait pas spécialement envie qu’elle mange par terre. Les deux rejoignirent donc une grande table installée près de la piscine, avec d’autres esclaves de Mélinda. Un parasol avait été installé, on avait sorti les sodas, des boissons rafraîchissantes. Difficile de croire qu’on se trouvait dans un manoir esclavagiste avec une Maîtresse vampirique, et que le sexe y était fréquent.
Quant à Mélinda, elle était très au courant de la vie de ses esclaves, puisqu’elle ne manquait pas de se renseigner sur elles :
« Tu en es où avec Haku, Asami ?
- Hum, il continue à me tourner autour… Je crois qu’il sera bientôt prêt pour nous rejoindre, Maîtresse.
- C’est parfait ! »
Utiliser ses esclaves pour récupérer d’autres esclaves, c’était l’une des spécialités de Mélinda. D’autres filles parlaient de sujets divers et variés, comme la dernière série à voir sur Netflix, l’arrivée à un concert, etc… Le sexe n’était qu’un sujet parmi tant d’autres. Elles parlèrent finalement des dernières sorties cinéma à aller voir, et l’une des femmes s’adressa ensuite à Mélinda là-dessus :
« Vous pensez que Cassandre pourra nous accompagner, Maîtresse ?
- Si elle peut se retenir deux heures sans que ses seins ne fuient… Mais il faudra cacher ses oreilles.
- On lui mettra une casquette, ça lui ira très bien ! »
La jeune esclave se retourna vers Cassandre, curieuse :
« Ça te dirait, d’aller au cinéma ? Tu sais ce que c’est ? »
-
Quel gentilesse de la part de sa maîtresse ! Il était vraie que pour une vmapire, sans aucun doute, cela devait surprendre d’avoir à sa table une créature pescetarienne, c’est à dire qui ne mangeait pas de viande... Surtout que ce n’était donc pas lié au fait qu’elle était soit-même proche d’un animal, étant donné qu’elle mangeait quand même du poisson... Cela voulait dire donc qu’elle mangeait quand même des êtres vivants animaux ! Surotut que bon, de nos jours, on sait que les plantes aussi ont des émotions, donc, bon, cela veut dire que manger des plantes est aussi un acte qui détruit... Mais passons sur ce point. Heureusement, sa maîtresse n’allait pas imposer des méthodes alimentaires, ce qui franchement, aurait pu arriver, étant donné qu’elle... Était la maîtresse ! Donc, imposer la nourriture, c’était quelques choses qu’elle pouvait tout à fait faire... C’est quand même incroyable !
« Tu en es où avec Haku, Asami ?
- Hum, il continue à me tourner autour… Je crois qu’il sera bientôt prêt pour nous rejoindre, Maîtresse.
- C’est parfait ! »
Tout en mangeant tranquillement, avec l’immense honneur de manger non loin de sa maîtresse, elle se permettait d’écouter un peu ce qui se disait à table... Sans dire grand chose elle-même, toujours un peu dans la peur de ne rien avoir d’intéressant à dire ! Donc... Elle écoutait... Sans trop vraiment comprendre ni savoir, étant donné qu’elle ne connaissait pas tout ses noms. Cela ne lui faisait pas tant peur, étant donné qu’elle était pas concernée, mais quand même, c’était très intéresssant ! Elle comprenait peu à peu que la vie de la fameuse villa de Mélinda Warren était une véritable fourmilière et qu’il se passait quelques choses... Quel honneur pour elle de se retrouver un peu... Mêlée à tout ça ! Et bien, elle écoutait donc, et finalement, c’est son nom qui arriva sur la table, qui m’intéressa fortement !
« Vous pensez que Cassandre pourra nous accompagner, Maîtresse ?
- Si elle peut se retenir deux heures sans que ses seins ne fuient… Mais il faudra cacher ses oreilles.
- On lui mettra une casquette, ça lui ira très bien ! »
Oh oui ! Oui oui oui ! Elle était enthousiaste sans même savoir de quoi parlait véritablement les deux femmes... Mais le fait d’être impliquée dans tout ça l’intéressait au plus haut point. Elle voulait vraiment devenir une membre du harem de Mélinda, une personne non pas importante, la responsabilité lui faisait peur, mais elle avait envie d’aider, elle avait envie d’être présente, et ainsi, de montrer à sa maîtresse qu’elle était prête à toute, car elle était une gentille vachette ! Un peu un moyen de remercier la fameuse Mélinda de tout ce qu’elle faisait, étant donné que la vachette était véritablement traitée, à ses yeux, de façon royale, et elle en était extrêmement heureuse. Ainsi le fait de cacher ses oreilles ne la dérangeaient absolument pas... S’il fallait cacher ses oreilles, il n’y avait pas de soucis, elle pouvait le faire !
« Ça te dirait, d’aller au cinéma ? Tu sais ce que c’est ? »
« Je sais ce que c’est ! C’est un plaisir humain ! »
Eheh ! Pour une fois, en plus, elle savait ce que c’était ! Elle savait ce qu’était le cinéma ! C’était montrer des images en mouvements, et ça racontait une histoire ! Donc, voilà, c’était bien la preuve qu’elle en avait entendu parler... Bien entendu, d’extrêmement loin. Elle n’était jamais allé au cinéma, ni véritablement voir des films, étant donné que ce n’était pas trop le genre d’occupation de la vachette. Par contre, elle connaissait bien le principe de fiction. Elle même avait raconté des histoires avec ses copines vachettes... parfois des histoires drôles, parfois des histoires tristes, parfois des histoires épiques, parfois des histoires qui faisaient peur... Bref, donc, elle savait que c’était un plaisir humain... Enfin, pas forcément humain, vu qu’elle supposait que Melinda ausis était allé voir des films dans sa vie... Bref, quoiqu’il en soit, elle déclara, toute fière et toute contente d’expliquer :
« Je n’y suis jamais allé, mais j’en ai entendu parler, parfois, vaguement. Moi, ça me dit complètement ! »
Et oui, vaguement... Pour tout dire, elle ne savait même plus où elle en avait entendu parler, quand, comment, etc... Bref, c’était très flou dans sa tête, et on devinait qu’elle avait du en entendre parler dans un contexte bien défini... Mais que maintenant, elle ne savait plus ! Cela arrivait, mais quand même, c’était bête qu’elle ne sache plus... Quoiqu’il en soit, la fameuse vachette venait de terminer de manger, et elle avait bien mangée... On mangeait si bien chez sa maîtresse ! Miam miam miam ! Ainsi, après avoir mangée, elle était prête maintenant à partir pour sa nouvelle aventure, vers les contrées mystérieuses du... Cinéma ! Oh elle avait hâte !
« Je suis prête à y aller ! »
Oh non ma vieille, pas comme ça ! Elle n’était pas nue, il fallait bien le dire, mais cela voulait pas dire qu’elle était suffisamment habillée pour être acceptée dans un cinéma... Et ouais, elle n’avait pour le moment je le rappelle que des collants au niveau des bras et des jambes, et sinon, un bikini... pas suffisamment pour al couvrir des regards disons... Intéressé de beaucoup, et surtout, inquisiteur de la loi, qui ne rigolait pas là dessus. Surtout qu’il fallait faire attention. Cassandre était une vachette gentille, mignonne... Belle... Très belle. Et comme elle n’était pas très futée, il valait mieux faire attention qu’elle n’attire pas trop l’attention de certains hommes. Bien que le risques aux côtés des différentes personnes qui composaient le harem de Melinda était donc bien amoindri... Il existait encore, et un homme pourrait facilement tenter de récupérer la vachette, et celle-ci accepterait avec la plus grande innocence du monde, sans savoir que certains avaient parfois des pensées malveillantes... Et oui, il fallait faire attention à sa vachette !
-
Cassandre était en train de découvrir que, sous son autoritarisme, Mélinda pouvait aussi se montrer très tolérante. Elle tolérait les goûts des uns et des autres sans rechigner particulièrement. Si Cassandre n’aimait pas la viande, ce n’était donc pas bien grave, il suffisait de la nourrir autrement. Là-dessus, Mélinda avait les moyens de diversifier son alimentation. En revanche, l’idée d’une sortie cinéma séduisit tellement l’Ushi qu’elle se redressa brusquement, pensant visiblement que les filles allaient partir tout de suite. Il y eut quelques gloussements, et Mélinda secoua doucement la tête.
« C’est le soir, Cassandre... Cet après-midi, tu dois encore retourner à la cabane produire du lait. Et elles, soit elles vont travailler au lycée, soit elles révisent, ou elles travaillent pour le harem. »
Après tout, si Mélinda avait des esclaves, c’était aussi pour que ces derniers lui rapportent de l’argent. Sa générosité n’était pas totalement désintéressée, et même loin de là. Se retournant en tout cas vers Cassandre, la vampire lui sourit doucement, et se redressa alors. Ses mains caressèrent les épaules de la belle Ushi, et, se montrant plus tactile, Mélinda approcha son corps du sien.
« Je t’aime, ma chérie, et je crois que tu n’as pas envie de retourner t’asseoir, alors... »
Se pinçant les lèvres, Mélinda retourna l’embrasser, et en profita pour poser ses mains sur ses fesses, les pressant et les malaxant affectueusement. L’Ushi sursauta sur place, et la vampire se pressa plus fortement contre elle, ses seins heurtant les seins rebondis de l’Ushi. Le baiser se prolongea volontiers tandis que la langue de la vampire se glissait dans sa bouche, jouant avec la sienne. Un baiser tendre et délicieux, que Mélinda termina au bout de plusieurs secondes.
La jeune femme sourit encore, et prit Cassandre dans le creux de sa main. Elle rejoignit ensuite son transat, et incita Cassandre à se coucher. Mélinda n’avait aucune gêne à faire l’amour en public, et se concentra un peu. Son bikini se déforma alors, et Cassandre put voir la queue de la vampire en sortir, se dressant fièrement le long du bikini, la pointe ressortant à l’air libre. Esquissant un soupir, Mélinda se rapprocha ensuite de la femme, et grimpa sur elle, s’allongeant le long du transat.
« Cet après-midi, il faudra encore traiter ton lait, pendant au moins quatre bonnes heures. Je pense qu’ensuite, tu pourras passer plusieurs heures en ville sans fuite... »
Mélinda lui sourit, et mordilla son cou, serrant ses dents sur sa chair, puis déplaça sa main, titillant son sein à travers le bonnet de son soutien-gorge.
« Pour l’heure... Je crois que nous allons faire un gros câlin, toi et moi... »
Et, en disant ça, son sexe se frottait volontiers contre la culotte de l’Ushi...
-
Elle allait découvrir de nouvelles choses ! Pour une vachette c’était exceptionnelle ! Les vachettes, pas toutes bien sûr, mais un bon nombre d’entre elles, étaient des terranides extrêmement curieuses, c’est pour ça qu’il fallait en faire attention. C’était important, car sinon, la vachette pouvait faire des bêtises, ou pire, se blesser en faisant des ânneries ! Bref, donc, on surveillait bien les vachettes. Et heureusement au sein du harem de Melinda, et bien, la vachette était bien entourée, et que des gens qui semblaient beaucoup l’apprécier, apprécié énormément cette vachette à gros seins, qui était toujours aussi joyeuse, et qui adorait donner son lait à n’importe qui ! Malheureusement, elle était même un peu trop enthousiaste, étant donné qu’elle avait mal compris que ce n’était pas maintenant qu’elle allait y aller !
« C’est le soir, Cassandre... Cet après-midi, tu dois encore retourner à la cabane produire du lait. Et elles, soit elles vont travailler au lycée, soit elles révisent, ou elles travaillent pour le harem. »
« Oh désolé ! »
Elle s’excusa rapidement, bien qu’elle se souvenait que ce n’était pas nécessaire. Elle s’excusait plus pour le principe, pour montrer qu’elle avait bien compris qu’elle s’était trompée. Cela pouvait parfois être un peu fatiguant, et oui, c’était vrai... Elle avait tendance à s’excuser tout le temps ! Après tout, c’était logique, mieux vallait s’excuser pour rien, que ne pas s’excuser et ainsi être une mauvaise esclave ! Heureusement, ce n’était qu’un « désolé », elle n’en faisait pas trop non plus, elle s’était excusée, maintenant, on pouvait passer à autre chose. C’était logique en effet ! Elle devait travailler et donner son lait, puis, les autres aussi devaient travailler donc au Lycée -elle ne savait pas ce que c’était-, et au harem, ça, elle avait déjà entendu...
« Je t’aime, ma chérie, et je crois que tu n’as pas envie de retourner t’asseoir, alors... »
Alors que la vachette était toujours là, elle se fit embrassée, et tripotée par sa maîtresse. Quel plaisir ! Elle aimait toujours quand elle se faisait traitée ainsi. Ses seins, gros seins, pressaient contre les beaux seins de Melinda. La vachette n’avait pas pensée beaucoup à ceux-là, mais ils étaient extrêmement beau, et franchement, elle n’avait pas à rougir de ses seins, au contraire ! La fameuse vampire avait une magnifique poitrine. Quoiqu’il en soit, elle fut installée sur le même transat que la fameuse vampire, et la vachette put sentir le phallus de sa maîtresse... Quel plaisir, elle était bien installée au côté de sa maîtresse, et c’était toujours aussi agréable. Elle écouta alors la suite des déclarations de sa maîtresse, déclarations qui étaient quand même très intéressantes, étant donné qu’elles donnaient quand même la couleur de ce qui allait se passer maintenant !
« Cet après-midi, il faudra encore traiter ton lait, pendant au moins quatre bonnes heures. Je pense qu’ensuite, tu pourras passer plusieurs heures en ville sans fuite... »
« Oui, je serais tranquille pour la soirée ! »
En effet, elle confirma rapidement ! Elle donnait énormément de lait, mais là, avec autant d’heure de traite intensive, elle allait être tranquille pour toute la soirée, et sans doute la nuit ! Elle retournerait à sa production matinale après ! Son rythme de traite était intensive, et franchement, Melinda pouvait remercier le papa de la vachette, ce minotaure, qui avait donné des gênes extrêmement bénéfique pour la production de lait de la fameuse vachette. Quelque chose qui faisait que la vachette avait fait un beau potentiel de lait. Franchement, c’était pas super comme situation... Mais bref, ce n’était pas encore l’heure pour la vachette de se concentrer sur le lait qu’elle allait avoir à donner... Oh non ! Elle avait quelques chose à faire avant, de beaucoup plus important...
« Pour l’heure... Je crois que nous allons faire un gros câlin, toi et moi... »
« Mmh... Maîtresse... »
Elle sentait le phallus de sa maîtresse. Bon, il n’y avait absolument plus de doute pour la fameuse vachette, hein, son phallus préféré, c’était, et de loin, celui de sa maîtresse. Elle avait le meilleur phallus, de très loin, le plus gros, le plus agréable, le meilleur. Ouais ! Bref le meilleur de tous. Et pourtant, elle avait commencé à en goûter et en avoir pas mal, que cela soit dans son anus, dans son intimité, ou même dans sa bouche. Mais il y avait un phallus pour les gouverner tous, et dans la luxure les lier... Et c’était celui de sa maîtresse ! Donc, avant de travailler, avoir la chance d’en profiter un peu... Oh oui ! Elle n’avait pas dire non, au contraire, elle allait sauter sur l’occassion, et sur le phallus. Et ouais, c’est un zeugma ! La classe non ? Bref, la vachette décida de jouer un peu, se rappelant que la vampire aimait bien ça...
« Oh ma douce maîtresse... Je sais que j’ai mangé... Mais auriez-vous l’obligeance de me donner un peu de votre... Lait... Avant que je retourner donner le mien ? Cela me motiverait grandement, oh ma merveilleuse maîtresse ! »
Lait évidemment ici avait un double sens ! Lait était le sperme de sa maîtresse. Elle proposait donc d’en prélever un peu, mais elle fit exprès de ne pas préciser où elle voulait ce « lait ». Ainsi, c’était sa maîtresse qui décidait, et donc, qui avait l’entièreté du contrôle. La vachette ne faisant que blaguer, faire croire que c’était elle qui demandait, et donc qui avait la situation en main, alors que c’était bien entendue sa fameuse maîtresse qui dominait tout ! L’autre avantage était qu’ainsi, si Mélinda voulait, elle pourrait demander à la vachette ce qu’elle préférait. Et de tout ce qu’elle avait tenté, son préféré était... Sa bouche ! Et ouais, si elle devait choisir, elle préférait avoir un gros phallus en bouche. C’était ça plutôt son penchant, mais peut-être que cela évoluerait avec le temps... Bref, on allait voir ce que sa maîtresse allait décider !
-
Il ne fallait généralement pas aller très loin pour que Mélinda se décide à vous pénétrer... Surtout quand vous étiez une belle Ushi aux gros seins et aux longs cheveux roux. La vampire était redoutable pour sa perversion exceptionnelle, et l’envie de faire l’amour revenait fréquemment chez elle, comme une délicieuse drogue. Il y avait très clairement, chez la vampire, une sorte de nymphomanie prononcée, entièrement assumée, et totalement délectable. N’était-elle pas une amante exceptionnelle, après tout ? Esquissant un léger sourire, Mélinda entendit Cassandre lui faire sa proposition, et comprit alors que les goûts sexuels de l’Ushi commençaient à s’affiner. À la base, Mélinda était partie pour la pénétrer classiquement, pour enfoncer sa queue tendue dans son intimité, et la prendre sur le transat. C’était fréquent que le soleil excite Mélinda. Comme quoi, quand on disait que les vampires n’aimaient pas le soleil, on se méprenait légèrement. Il existait bien des vampires qui n’étaient pas sensibles aux ultraviolets, et c’était le cas de Mélinda.
Elle hocha donc la tête, et déposa un bref baiser sur les lèvres de Cassandre.
« Tu aimes bien sucer, hein ? demanda-t-elle, sans chercher à enrober ses mots. Très bien, Cassandre... Je ne peux rien refuser à mon Ushi préféré. »
Il fallait bien admettre que Cassandre était clairement exceptionnelle. Non seulement elle avait la beauté et les capacités naturelles d’une Ushi classique, mais aussi l’endurance exceptionnelle des Minotaures. Un fascinant croisement génétique, faisant presque de Cassandre une super-Ushi, tant à raison de la production de lait, que de son appétence et son endurance pour le sexe. Mélinda se redressa alors, et laissa Cassandre sortir du transat. La vampire s’allongea alors sur ce dernier, sur le dos, et écarta les jambes. Sa queue se dressait devant elle, et elle fit signe à Cassandre de se mettre entre ses cuisses.
Le reste était évident, et Mélinda laissa donc Cassandre ouvrir ses belles lèvres, et attraper son membre, le prenant en bouche. La vampire ferma les yeux en soupirant doucement, et sa main caressa les cheveux de l’Ushi, tout en les serrant ensuite nerveusement.
« Là, hmmm... Prends-le bien en bouche, ma belle coquine, hmm... Utilise tes mains, aussi... Caresse tes bourses, ou masturbe-toi. »
Autour de la table, et même dans la piscine, les filles et les garçons qui se trouvaient là gloussaient en observant la scène. Voir leur Maîtresse faire l’amour, c’était toujours, pour elles, un savoureux spectacle !
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t ouais ! Elle était une Ushi incroyable, et elle en était fière ! Franchement, elle n’arrivait même pas à croire parfois qu’elle avait réussi à devenir aussi incroyable aussi vite ! Il fallait vraiment se dire que la vachette était partie de loin, et telle une fusée véritable ! C’était impressionnant, et on pouvait dire que la vachette ainsi montrait qu’elle comptait bien avoir une place importante dans le harem pour montrer à sa nouvelle maîtresse qu’elle allait être une excellente esclave, sans doute l’une des meilleures qu’elle aurait jamais eu ! Ainsi, comme ça, elle comptait être une très bonne esclave, et sa maîtresse l’aimerait encore plus ! Car oui, c’était ça l’objectif de la vachette, faire en sorte que sa maîtresse l’aime encore plus ! Et ouais, c’était l’avantage de Cassandre, elle n’était motivée que par son attachement aux gens !
« Tu aimes bien sucer, hein ? Très bien, Cassandre... Je ne peux rien refuser à mon Ushi préféré. »
« Vous êtes... Parfaite ma maîtresse... »
Elle déclara cela sans aucune hésitation ! Après tout, ce n’était qu’un fait qu’elle ne faisait énoncer... Sa maîtresse était parfaite, et elle était bien heureuse de pouvoir se faire juter un peu... Bref, vous avez bien compris, la situation plaisait énormément à Cassandre, et cela était logique ! Tout était prêt pour lui faire plaisir. En effet, la vachette était à quatre patte, devant le phallus, tandis que la maîtresse de cette fameuse vachette était elle bien allongée. Elle offrait sa magnifique queue à la vue et au goût de la vachette, qui ne pouvait plus se retenir. Tel un loup devant un merveilleux bifteack abandonné, la vachette sauta sur l’occasion... C’était le moment, c’était ce qu’elle attendait, c’était ce qu’elle aimait !
« Là, hmmm... Prends-le bien en bouche, ma belle coquine, hmm... Utilise tes mains, aussi... Caresse tes bourses, ou masturbe-toi. »
Elle fit oui de la tête. Pas le moment de parler, car... Tient, j’ai eu l’impression de déjà vu ? C’est moi où j’ai écris quelques choses similaire dans un autre RP ? Oui, possible, mais la situation était totalement différent ! Non, elle ne parlait pas, car elle avait quelques choses en bouche... Et ce n’était pas poli de parler la bouche pleine ! Quand on a la bouche pleine, et bien, il faut d’abord finir ce qu’on est entrain de faire, et après, seulement, on peut tenter de parler ! C’est comme ça que cela marche quand on est une personne bien polie, bien courtoise... Bref, une bonne esclave comme notre chère Cassandre... Car oui, il n’y avait pas de doutes... Cassandre est une bonne esclave, et elle prépare quelques choses...
Car oui, notre chère Cassandre tentait quelques choses... Qu’est-ce qu’elle tentait ? Et bien, elle décida d’aller le plus profondément, de tenter de maximiser la gorge profonde, tout en usant de ses mains pour faire encore plus... Ainsi, une fois qu’elle eut bien le gland en bouche, elle commença à bien le léger, le lécher le plus efficacement possible, le mieux possible... Une fois cela fait, elle commença à faire glisser le membre dans sa bouche, lentement, progressivement. Elle tentait de se remémorer les souvenirs qu’elle avait eu avec Vanilla, quand cette dernière lui avait donné des conseils sur comment bien sucer Melinda... C’était la femme de cette dernière, donc, en toute logique, elle s’y connaissait bien. C’était le moment pour justement trouver sa voie... Elle allait offrir la meilleure gorge profonde que Melinda avait jamais eu...
Donc, le phallus continua ainsi de glisser dans sa bouche, pour atteindre progressivement sa gorge. Elle suçait activement, efficacement, et décida de faire passer ses mains à l’actions. Un main commença à caresser les cuisses de son interlocutrice, tandis que l’autre caressait les testicules de cette dernière. Ses mains, c’était le bonus de cette fellation, elles se devaient donc d’être efficace sans être indispensables, là, sans être omniprésente... Tandis que la bite, elle, continuait d’entrer dans la gorge de la vachette... Elle sentait qu’elle pouvait le faire. Elle pouvait offrir cela à sa maîtresse, et elle comptait bien faire cela dans les règles de l’art... Finalement, elle arriva à prendre l’entièreté du phallus de la vampire dans sa gorge, et commença à se maintenir, pompant le phallus comme elle pouvait... Qu’en pensait la vampire ? C’était une bonne question... Cassandre espérait qu’elle appréciait...
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Le sexe était quelque chose que Mélinda connaissait très bien. Elle en avait un rapport extrêmement intime, et ne s’en lassait guère. Et là, face à une si belle Ushi, elle ne voyait vraiment pas comment s’en lasser. Cassandre était motivée, endurante, très belle, avec des formes amples et généreuses. La vampire pouvait donc lui autoriser ce petit fantasme. L’Ushi s’agenouilla devant le transat, et ne tarda pas à prendre ce membre en bouche, venant le sucer. Mélinda l’observa silencieusement, un sourire sur le coin des lèvres. L’Ushi s’efforça à enfoncer le membre de Mélinda aussi loin que possible, et, comme d’habitude, l’excitation sexuelle que la vampire ressentit entraîna une concentration sanguine à hauteur de son membre. Ce dernier se mit à grossir, à se durcir, et s’enfonça plus profondément dans la bouche de Cassandre, qui s’efforça à le prendre aussi loin que possible.
Toute à son œuvre, Mélinda se demandait si Cassandre sentait le public l’observer. Des filles les filmaient sans hésitation avec leurs portables, gloussant sur place. Les mains de Mélinda se crispèrent sur le transat, puis elle gémit, soupirant lentement, ses joues rosissant sous l’effet du plaisir. Sa main se posa alors sur la tête chevelue de Cassandre, ses doigts se crispant sur ses cheveux, et Mélinda soupira encore. Yeux mi-ouverts, elle hocha la tête.
« Oui, ma Cassandre, hmmm... Là, oui, prends ma bite bien profond, haaaa... »
L’Ushi passait visiblement à l’étape supérieure, optant pour une gorge profonde. Toutefois, les deux femmes furent rapidement rejointes par une troisième. Deux mains se posèrent sur les épaules de Cassandre, et une silhouette se blottit dans son dos, des seins rebondis s’enfonçant sur elle.
« Voilà donc la fameuse Ushi... » glissa une voix sensuelle dans le creux de l’oreille de Cassandre.
Des lèvres se posèrent ensuite dans le creux de son cou, mordillant sa peau. L’une des mains posées sur son épaule se déplaça, et fila entre les cuisses de Cassandre, glissant sous sa culotte pour la masturber, tandis que l’autre descendit pour masser l’un de ses généreux seins. Ces deux mains, tout comme cette bouche mordante, appartenaient à une seule et même femme : Leyli (http://img110.xooimage.com/files/6/4/6/sample_0086abfc89...0c9c445d-5444e16.jpg). Une immigrée venue au Japon il y a quelques temps, qui n’était pas au lycée, mais qui était devenue l’esclave de Mélinda. Et là, elle portait des sous-vêtements blancs avec des tâches noires, évoquant ainsi ceux de l’Ushi.
Ses doigts experts remuèrent dans son intimité, et Leyli continua à mordiller le cou de la femme, avant de lécher sa peau.
« Suce comme il faut la queue de Maîtresse, petite Cassandre... »
Leyli put sentir le lait commencer à jaillir des seins de Cassandre quand elle les pinçait, confirmant ainsi le lien très fort entre la production de lait et l’excitation sexuelle.
« Ta salive, ta mouille, ton lait... Tu recommences à fuir de partout, ma belle !
- Hmmmm... Haaaaa... C’est... Hnnn... Gentil de te joindre à nous, Ley... Leyli...
- Quand les filles m’ont dit qui vous aviez, Maîtresse, je me suis sentie obliger de venir. J’ai chargé une nourrice de veiller sur mes enfants pendant que je faisais le détour ici. »
Des enfants ? Leyli était une esclave de longue date de Mélinda, en réalité, et ne vivait pas au manoir, mais dans un appartement de la ville, et avait un emploi stable. Pour autant, elle restait toujours l’esclave de Mélinda, et avait d’ailleurs destiné ses enfants, une fois qu’ils auraient l’âge requis, à devenir, eux aussi, les esclaves de la vampire. Mais, pour l’heure, Leyli profitait de la belle Ushi, s’amusant à la pincer, tout en l’observant sucer la queue de Mélinda avec appétit et envie...
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Sucer des queues allait devenir une passion pour Cassandre, cela ne faisait aucun doute. Ca, et ses seins, bien sur. Les seins restaient quand même la plus grande passion de la fameuse Vachette, et si elle n’était pas contre se prendre une bite dans l’intimité ou dans l’anus, et bien, elle semblait plutôt préférée la bouche. Intéressant, il faudra le retenir. Surtout que là, le phallus était quand même bien intéressant, c’était celui de sa maîtresse, donc de facto, c’était le plus intéressant, le plus gros, le plus beau, bref, celui qui méritait le plus le détour... Vous comprenez ? En plus, la scène était visiblement très appréciée par tout le monde, étant donné que beaucoup appréciaient le spectacle, beaucoup de gens regardaient, filmaient... Cassandre, en temps qu’Ushi donc complètement néophyte pour toutes les nouvelles technologies, ne pensaient rien de spécial en voyant qu’elle était filmée... Tant mieux, cela fera des bons souvenirs à celle qui auront gardés les images, après tout !
« Oui, ma Cassandre, hmmm... Là, oui, prends ma bite bien profond, haaaa... »
Elle continuait à tenter... C’était hésitant, c’était pas parfait, il y avait encore des tas et des tas de défauts qu’on pouvait remarquer. Il fallait bien le dire. C’était pas encore parfait, et il fallait qu’elle continue à apprendre. Mais elle faisait de son mieux, et rien que pour ça, et bien cela méritait des compliments... Quoiqu’il en soit, elle était donc fortement concentrée sur ce qu’elle faisait, et elle pensait, cela est important à noter, elle pensait que rien ni personne ne pourrait la déconcentrer de ce qu’elle faisait... Et bien, ce n’était pas le cas visiblement, étant donné qu’une nouvelle personne arriva, et surprit la fameuse Ushi, qui sursauta quand elle sentit quelqu’un la toucher. Elle arriva heureusement à ne pas s’etouffer avec le phallus qu’elle avait en bouche... Et pu voir la personne qui était entrain de parler...
« Voilà donc la fameuse Ushi... »
Une... Une autre Ushi ? Tout de suite, Cassandre avait pensé cela à cause de l’habit de cette dernière. Celle-ci d’ailleurs était entrain de mordiller au niveau de son coup, tandis que ses mains voyageaient sur le corps de Cassandre... L’un était entrain de tripoter l’un des généreux seins, toujours prêt à être utilisé et mis en avant, l’autre venait la tripoter au niveau de son intimité... Bref, elle était entrain d’être utilisée avec intelligence, et cela donnait énormément de plaisir à la fameuse Cassandre... Surtout ses seins, qui étaient toujours l’une des parties les plus importantes de la vachette, et donc, l’une des principales à s’occuper dans ce genre de cas... Bref, elle écouta alors la déclaration de la fameuse nouvelle venue :
« Suce comme il faut la queue de Maîtresse, petite Cassandre... »
Et comment qu’elle allait sucer comme il fallait ! Là, on pouvait voir l’un des défauts de Cassandre... Elle était très compétitive. Oh, pas envers les humains, loin de là... Mais envers les autres Ushis ! Elle se considérait comme l’une des meilleurs, et donc, elle allait montrer qu’elle était la meilleure ! Elle était Cassandre de l’élevage Harmington, et elle était la meilleure vachette du monde ! Quoiqu’il en soit, on voyait avec son excitation, que la production de lait était de nouveau relancée, elle recommençait à donner plein de lait... C’était comme ça ! Elle était là pour produire énormément de lait... Donc, voilà, elle était excitée, et elle recommencer … Oui à fuir de partout, comme le disait très bien la nouvelle venue.
« Ta salive, ta mouille, ton lait... Tu recommences à fuir de partout, ma belle !
- Hmmmm... Haaaaa... C’est... Hnnn... Gentil de te joindre à nous, Ley... Leyli...
- Quand les filles m’ont dit qui vous aviez, Maîtresse, je me suis sentie obliger de venir. J’ai chargé une nourrice de veiller sur mes enfants pendant que je faisais le détour ici. »
La vachette continuait sa gorge profonde, prenant grand plaisir à aspirer le plus possible le phallus de son interlocutrice... Mmh... Elle allait montrer à la fameuse nouvelle Ushi -vu qu’elle croyait vraiment que c’était une Ushi !- qu’elle savait bien sucer ! Et surtout, comme ça, sa maîtresse allait continuer d’apprécier le suçage de queue. C’était en montrant qu’elle faisait des très bon suçage de queue, qu’elle allait ainsi avoir le droit de sucer régulièrement des queues. De préférence, la queue de sa maîtresse, mais, bon d’autres queue de toute façon ne semblait pas la déranger plus que ça... la fameuse Vachette ainsi suçait tranquillement, et contiunuait d’user de sa bouche pour satisfaire la queue de sa maîtresse... Mais que faisait-elle avec le reste ? Et bien elle continuait de caresser les cuisses, les testicules, bref tout ce qu’elle pouvait atteindre. Après tout, la nouvelle Ushi la masturbait presque, et caressait ses seins... Ejectant d’ailleurs du lait, tachant un peu tout... La vachette fuyait vraiment de partout !
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Leyli claqua rapidement des doigts, et des femmes se rapprochèrent, apportant un plateau en argent avec une série de godes et de vibromasseurs situés dessus. Elle remercia de la tête la jeune fille, puis, tout en masturbant l’Ushi, attrapa avec son autre main un vibromasseur violet. Un joli gode, assez gros, avec plusieurs vitesses. Elle l’enclencha, et l’appareil se mit à vibrer, puis elle déplaça ensuite son gode, et l’enfonça contre sa culotte. La femme déplaça ses doigts de son intimité, et écarta la culotte, pour y mettre ensuite le gode. Le vibromasseur s’enfonça dans l’intimité luisante de la femme, et elle l’enfonça assez profondément, sentant les parois internes de Cassandre se dilater aisément. Elle put ensuite repositionner la culotte, et conserva sa main dessus, serrant l’extrémité du gode à travers, et continua à appuyer dessus, retirant la culotte en arrière, puis l’enfonça de nouveau en avant.
La bouche de Leyli lécha ensuite de nouveau l’oreille de l’Ushi, et elle embrassa ensuite le creux de son cou, remontant son autre main pour pincer le sein. Le lait jaillit sur les cuisses de Mélinda, et elle laissa la femme danser avec sa bouche. Cassandre continuait à pomper le délicieux dard de sa Maîtresse, sans jamais s’arrêter.
« Oh, mais quelle affamée... Elle est gourmande, hein, Maîtresse ?!
- Hmmm... Comme... Comme vous toutes, haaaa... »
Elle ferma les yeux, et sa main se crispa sur les cheveux de la femme. Cassandre continuait à bouger goulûment, et d’intenses bruits de mastication et de succion se faisaient entendre. Mélinda soupira longuement, sa tête s’appuyant contre son transat. Cassandre continuait à couiner, pendant que le vibromasseur continuait à remonter en elle, s’enfonçant profondément dans le corps de l’Ushi. La mouille de la jeune femme coulait sur le sol, et elle continuait à la prendre.
De nombreuses minutes passèrent donc, jusqu’à ce que Mélinda ne finisse par jouir. Elle se relâcha alors, sa main se crispant nerveusement sur les cheveux de l’Ushi, et elle s’abandonna donc en elle. La queue de la vampire tressauta, et cracha ensuite des filaments de sperme. Le liquide intime afflua dans sa bouche, et, juste après ça, Leyli tira sur les cheveux de la femme, empêchant Cassandre d’avaler ce foutre, et elle fourra sa langue dans sa bouche, lui volant un intense baiser, sentant le lait fuiter des seins de Cassandre pour tomber sur son ventre. Elle-même lui répondit goulûment, soupirant longuement.
« Hmmm... »
Les lèvres de Cassandre étaient délicieuses, et l’Ushi put constater que Leyli savait très bien embrasser. Elle était même extrêmement douée en la matière, et Mélinda se redressa un peu, souriant légèrement. Leyli avalait sans problème son sperme, et elle lui sourit ensuite tendrement.
« Voilà... Toi et moi, je crois qu’on va bien s’entendre, ma chérie. »
Pour le coup, Cassandre pouvait réaliser que Leyli, contrairement à ce qu’elle avait initialement pensé, n’était pas une Terranide comme elle, mais bien une humaine...
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Cassandre continuait de sucer... Mais la bouche, on verra ça plus tard, si vous le voulez bien. Nous allons ici nous intéresser à une autre paire de lèvres qui pour le moment étaient inoccupés, ignorés, abandonnés... Mais plus pour longtemps ! En effet, Leyli avait commencé à faire venir plusieurs objets que Cassandre ne connaissait pas. Mais cela faisait peu d’importance, étant donné que Cassandre ne regardait même pas cela, pour tout vous dire. Elle était trop concentrée. Ainsi, elle fut quand même un petit peu surprise, il faut bien l’avouer, quand soudainement, entra progressivement dans son intimité. Progressivement, bien tranquillement, entrant facilement étant donné que la vachette mouillait quand même aisément. Une fois celui-ci mit en position, Cassandre gémissant bien de plaisir face à cela, et bien... Elle pouvait profiter d’encore plus de plaisir...
« Oh, mais quelle affamée... Elle est gourmande, hein, Maîtresse ?!
- Hmmm... Comme... Comme vous toutes, haaaa... »
En effet ! Mais faut dire, que c’était bon ! Comment résister à quelques choses d’aussi bon, et qui donnait autant envie ! Ainsi, on pouvait entendre les bruits de succion, qui continuait comme ça, tranquillement, et qui kiffait cela. Cela dura encore de longues minutes, où elle faisait ça avec une vigueur et un enthousiasme qui continuait à être admirable, cela ne faisait aucun doute. Mais finalement, celle qui recevait la fellation arriva à se crisper, serrant la tête de la fameuse Ushi, qui continuait de pomper... C’était visiblement le moment que la fameuse vachette attendait avec impatience, elle venait d’arriver à faire jouir son interlocutrice, qui laissa échapper alors une bonne quantité de foutre à l’intérieur de la bouche de la vachette, qui commença à tenter d’avaler... Mais cependant...
« Hmmm... »
Mais elle n’eut pas le droit d’avaler. Elle était sur le point de le faire, quand elle fut un peu brutalement -mais ça va, ce n’était pas non plus excessivement violent- ramenée de force jusqu’à la nouvelle arrivée, qui décida de l’embrasser. Cassandre était loin d’être contre, même si elle aurait bien volontiers d’abord avaler le sperme... Mais néanmoins, ce ne fut pas totalement le cas, car dans ce baiser torride, car oui, il n’y avait pas d’hésitation, c’était un baiser véritablement toride que la novuelle interlocutrice était entrain de donner... Et bien... Et bien... Elle était entrain de lui voler le sperme, et d’en avaler une bonne partie ! Visiblement, la nouvelle arrivante aimait tout autant le sperme de Melinda que Cassandre... Bon, cela, cela n’était pas spécialement étonnant, le sperme de la vampire était délicieux... Mais quand même !
« Voilà... Toi et moi, je crois qu’on va bien s’entendre, ma chérie. »
« Pas … mmmh... si tu me voles le précieux sperme de ma maîtresse. »
Elle gémissait car elle avait encore le vibro dans son intimité... Et cela lui donnait du plaisir. Mais voilà, il fallait bien dire qu’elle jouait là, la boudeuse... En même temps, c’était le sperme de sa maîtresse ! Le précieux sperme de sa maîtresse ! Et voilà qu’après avoir bien sucée celle-ci, voilà qu’on lui volait le résultat ! Elle faisait la moue... Mais elle faisait exprès d’exagérer. Car comme dit précédemment, Leyli embrassait extrêmement bien... Et cela lui avait plaisir d’être embrassée. Non, elle jouait celle qui était toute mécontente, plus pour l’humour que pour un véritable sérieux. Un peu comme quand elle l’avait fait avec Melinda ! Ainsi, après une petite moue en mode « je suis pas contente, je boude », elle retrouva son côté très contente, très heureux, et elle déclara en direction de la nouvelle -enfin plus ancienne qu’elle mais passons- !
« Allez, vient boire MON liquide blanc, madame Leyli ! C’est mieux ! »
Elle prit la tête de Leyli, et s’approcha de ses seins. Après tout, visiblement, ce n’était pas une Ushi, donc, la rivalité était passée, elle pouvait lui donner son lait sans aucune hésitation. Et cela faisait plaisir, sans aucun doute ! Donc, ainsi, elle « força » avec peu de difficulté, étant donné qu’elle semblait pas du tout contre. Ramenant sa tête au niveau des seins, elle invita alors à commencer à boire du lait, si elle voulait. Ainsi, la position changeait légèrement, vu que maintenant, c’était Cassandre qui était à faire des baiser au niveau des oreilles de son interlocutrices... D’ailleurs, après en avoir fait un, un vrai, et bien... Elle se dirigea lentement, ses lèvres, vers l’oreille, et commenca à déclarer, d’une voix se voulant la plus coquine possible...
« Merci beaucoup pour... mmh... pour mon intimité... »
Voilà... Pas d’inquiétude, cela montrait qu’elle pardonnait COMPLETEMENT à son interlocutrice, quand elle déclara cela alors à celle-ci. Et elle le pensait bien ! Faut dire, le vibromasseur, qui là, était entrain de lui donner beaucoup de plaisir, et de la faire gémir, était quand même une très bonne trouvaille. Elle ne connaissait que mal tout le monde des jouets sexuelles, mais il fallait bien dire qu’elle était loin d’être contre d’en découvrir encore plus... Mais une chose était quand même à faire remarquer. Quoi donc me demanderiez vous ? Et bien Melinda ! Elle était oubliée la pauvre ! Heureusement, ce ne fut pas le cas longtemps, car d’un sourire et d’un geste de tête, Cassandre invita la vampire à venir boire le lait à l’autre sein. Après tout, elle avait deux seins, ce n’était pas pour rien ! La vampire de toute façon pouvait faire ce qu’elle voulait avec Cassandre, vu que Cassandre était toujours partante !
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Comme quoi, il était très facile de vite s’attacher à Cassandre. La belle Ushi débordait de qualités, et, tandis que Mélinda reprenait ses esprits, elle observait les deux femmes s’embrasser, savourant le contraste, les différences et les ressemblances. Cassandre, une jeune Ushi qui venait d’arriver, débordant d’enthousiasme et de bonne volonté. Et Leyli, une esclave de longue date, qui avait acquis son indépendance, tout en restant évidemment très obéissante envers Mélinda. La preuve que la vampire était une main de fer dans un gant de velours, pour reprendre l’expression consacrée. Cassandre répondit en tout cas fort volontiers à son baiser, et les deux femmes s’embrassèrent donc, avant que Leyli n’entende Cassandre lui reprocher d’avoir « volé » le « précieux sperme » de leur Maîtresse.
Bien évidemment, cette phrase arracha un sourire sur les lèvres de Leyli, et même un léger gloussement.
« Hm... Toi, je sens que je vais t’adorer, ma belle. »
Leyli était amusée, en tout cas, et observa rapidement les lourds seins de Cassandre. Là aussi, évidemment, sous l’effet du désir sexuel, l’Ushi recommençait à allaiter, et ses seins étaient donc bien gonflés. Autant dire que Leyli n’allait clairement pas louper ce mets délicieux ! Ses yeux s’illuminèrent brusquement.
« Ah, ça, ma belle, il ne faudra pas me le redire deux fois... »
Un si bon lait, diable ! Cassandre savait-elle seulement combien, sur Terra, le lait d’Ushi était précieux ? C’était comme un vin de très grande qualité ! À Tekhos, on en offrait dans les restaurants de luxe. Avec cette petite boule d’amour qui allaitait des litres à la minute, sa Maîtresse avait vraiment trouvé une magnifique poule aux œufs d’or ! Leyli se rapprocha donc de ses seins, et en prit un en bouche, venant le suçoter avec appétit, se frottant contre elle. Yeux clos, elle savourait le lait qui filait en elle. Et, tout en se pressant contre la femme, elle laissait Cassandre l’embrasser, tout en suçotant, l’une après l’autre, ses seins.
Tout en la laissant faire, Mélinda se déplaça un peu, se mettant à quatre pattes, et caressa de la main les cheveux de l’Ushi.
« Viens par là, toi... »
Et Mélinda pencha ses lèvres contre les siennes, venant l’embrasser tendrement sur les lèvres. Sa langue joua tendrement et malicieusement avec la sienne, puis la vampire lui sourit brièvement.
« Il faut savoir partager, ma Cassandre d’amour... Surtout quand on est une femme aussi énergique que toi... »
De fait, Mélinda se pencha vers la poitrine de l’Ushi, et s’attaqua au sein resté libre, venant en pomper le délicieux lait à son tour.
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Comment ne pas aimer Cassandre ? C’était vraiment une crème, et elle avait un caractère qui pouvait être très rigolo ! Bref, elle était très attachante, car elle savait se rendre attachante, elle savait se rendre indispensable, et surtout… Et bien, elle était du genre à toujours faire ce que les gens demandaient, et en faire plus, même. Son optimiste, sa bonne humeur… Bref, elle était un véritable rayon de soleil, cela ne faisait aucun doute. Et donc, la plupart des gens l’aimaient… Sauf les gens qui n’aimaient pas ce genre de personnalité, bien entendue. Et oui, il y avait bien des personnes qui n’aimeraient pas trop Cassandre… Car trop excitée, elle tient pas en place etc. Bref, les gens qui préféraient le calme, la solitude, et qui ne supporteraient pas Cassandre, et il faut bien le dire, son idiotie… Heureusement, ce n’était pas les cas des gens ici présent, qui au contraire, semblait bien aimer la fameuse vachette !
« Hm... Toi, je sens que je vais t’adorer, ma belle. »
Dans les faits, elle aussi elle allait beaucoup aimée cette femme. Elle ne la connaissait pas, mais elle semblait rigolote, et puis, elle s’occupait bien d’elle ! Après tout, grâce à elle, elle avait beaucoup de plaisir, vu qu’elle sentait toujours ce qu’elle avait reçu dans la culotte. Cela la faisait gémir de temps en temps, lui donnant du plaisir, la faisant trémousser légèrement… C’était pour cela que pour le moment, elle ne tenait pas en place ! Vraiment ! C’était tant de plaisir ! Bon, elle préférait avoir une vraie bite, mais c’était déjà pas mal… Car oui, on ne peut pas se promener 24h sur 24 avec un énorme phallus dans la chatte, ce n’était pas trop… Physiquement possible ! Quel dommage, mais bon, que voulez-vous, c’est comme ça ! Quoiqu’il en soit, sa proposition ne sembla pas tomber dans les oreilles d’un sourd, étant donné qu’elle reçu alors :
« Ah, ça, ma belle, il ne faudra pas me le redire deux fois... »
« Viens par là, toi... »
Eheh ! Que cela soit l’une ou l’autre, son lait était toujours appréciée ! Cassandre ne se rendait pas compte du tout à quel point son lait était apprécié et précieux. Pour elle, c’était normal… Mais les vachettes, vraiment, elles étaient rares… Surtout les Ushi venant d’un Minotaure ! Comment cela me demanderiez-vous ? Et bien, très souvent, les mères ne survivaient pas au moment où elle était accouplée avec un Minotaure… C’était un pari de se faire accoupler une Ushi avec un Minotaure… Mais quand on voyait Cassandre, et bien, on pouvait se dire que le paris avait été remporté avec brio ! Cela permettait à avoir pour Melinda une vache au lait d’or… Oui, car pas possible de dire une poule aux œufs d’or, étant donné qu’elle donne du lait ! Bah oui, faut être logique un peu, palsembleu !
« Il faut savoir partager, ma Cassandre d’amour... Surtout quand on est une femme aussi énergique que toi... »
« Promis maîtresse ! »
C’est vrai ! Mais comment avoir envie de partager des choses aussi exceptionnel… Après tout, le sperme de sa maîtresse, était de très loin le meilleur sperme qui existe… Au monde ! Et ouais, de très loin ! Le meilleur sperme, car il est excellent, délicieux, nourrissant, et puis, c’est celui de sa maîtresse ! Mais bon… Elle n’était pas la seule esclave de sa maîtresse, donc, il fallait bien apprendre à partager, en effet. Tant pis ! Puis de toute façon, si c’était sa maîtresse qui le disait, voilà, elle était prête à le faire ! Elle donnait alors tranquillement son sein aux deux femmes. Elles semblaient toutes les deux adorer le lait que la vachette donnait, et il fallait bien avouer qu’il était en effet délicieux ! Et toujours aussi excitant sans doute pour celle qui décidait d’avoir un phallus… Et celles qui n’en n’avaient pas, aussi, l’excitation ne voulait pas seulement dire avoir la bite qui bande ! Bref, Cassandre caressait la tête de ses interlocutrices, cherchant ce qu’elle pourrait proposer pour être une bonne vachette, quand l’idée alors lui vint !
« Maîtresse, après le lait, n’hésitez pas à prendre un peu de sang. J’en ai donné ce matin, si vous en voulez un peu plus, n’hésitez pas, je suis là pour ça. »
Cassandre proposa ça, alors qu’elle continuait de caresser la tête des deux femmes qui étaient entrain de boire son lait. Elle savait qu’elle devait faire attention, et qu’elle devait pas trop en donner. Cela, elle le savait bien… Mais sa maîtresse avait sans doute très envie d’avoir un peu de sang. Elle allait être un peu fatiguée, mais elle pouvait tenir ! Elle était optimiste sur ses propres capacités ! Puis… A quoi cela servait une esclave qui n’était même pas capable de donner un peu plus que du simple lait pour sa maîtresse vampire ? Elle voulait vraiment faire en sorte que sa maîtresse soit heureuse. Et elle méritait bien un peu de son sang ! Maintenant, il fallait voir si Melinda allait sauter sur l’occasion, ou bien si elle allait demander à Cassandre d’attendre un peu avant de lui donner de son sang ! On allait bien voir, c’était son choix après tout !
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Cassandre était une Ushi très généreuse ! Non contente de donner frénétiquement son lait par dizaines de litres, elle allait jusqu’à faire à Mélinda une offre que celle-ci ne pourrait certainement pas refuser. Son sang ! Le délicieux sang d’une Ushi ! Quel vampire aurait refusé une telle offre, hein ? Eh bien, sûrement pas Mélinda ! La vampire ne tarda pas à délaisser le sein de la femme, et Leyli, qui savait très bien comment sa Maîtresse fonctionnait, s’écarta en souriant doucement.
« Ça, Cassandre, ma belle, il ne faut pas me le répéter deux fois... »
Mélinda lui vola un baiser, et posa ensuite ses mains sur ses épaules, venant la déplacer et la renverser. Une inversion des rôles, car ce fut Cassandre qui se retrouva allongée sur le transat, avec sa Maîtresse au-dessus d’elle. Sourire moqueur et joueur sur les lèvres, la vampire approcha ses lèvres de celles de son amante, et l’embrassa une nouvelle fois, plus longuement, tandis que sa queue caressait les cuisses de la femme. Mélinda venant de jouir dans la bouche de l’Ushi il y a seulement quelques minutes, son érection était encore un peu molle, mais il n’y avait pas vraiment à s’en faire pour sa vigueur sexuelle, la connaissant.
Elle se déplaça un peu, et, après ce baiser, embrassa le cou de la femme, sentant rapidement l’emplacement où elle l’avait précédemment mordu. Deux petits trous qui avaient cicatrisé, mais qui formaient encore une légère dépréciation dans la peau de la femme.
« C’est là... Très précisément ici. Ne t’en fais pas, Cassandre, ce sera encore moins douloureux que la première fois. »
Contrairement aux idées reçues habituellement sur le vampirisme, l’Étreinte n’était pas, en soi, mortelle. Elle pouvait le devenir, mais, quand on maîtrisait bien son sujet, ce qui était évidemment le cas de Mélinda, l’Étreinte était un moment extrêmement agréable pour l’heureux élu, provoquant un sentiment d’allégresse et de relâchement tout simplement jouissif. C’était donc un plaisir partagé, un véritable nirvana sensoriel qu’il était toujours plaisant de ressentir à nouveau. C’est bien pour cette raison que la vampire se concentra à nouveau, et planta ses canines, déposant sa marque, sa signature, tout en pénétrant Cassandre au même moment. Sexe et sang, les deux facettes d’une même pièce pour n’importe quel vampire digne de ce nom.
« Hmmm... Haaaaaa... »
La succion reprenait donc, se mélangeant à une prise du missionnaire. Que demander de plus pour la belle Cassandre ?
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Elle voulait s’offrir complètement à sa maîtresse. En temps que nouvelle Ushi de Melinda, et bien, il fallait comprendre que la jeune vachette comptait tout donner à son interlocutrice. Aussi bien son lait, qui était quand même le principal, il faut bien le dire, mais aussi beaucoup de plaisirs sexuelles, car c’était très important, et enfin… Son sang, c’était un peu le cadeau ultime, le dernier cadeau qu’elle pouvait offrir. Oh, je vous rassure, c’est pas qu’elle est en mode qu’elle va crever si elle donne son sang ! C’est qu’elle ne pourrait pas aller plus loin. Elle pouvait pas aller jusqu’à donner sa chair ou ses organes, donc… Le sang, c’était l’ultime cadeau, le lien le plus intime qu’elle pouvait donner à sa maîtresse. Le donner était un immense honneur, et le fait que sa maîtresse l’accepte… Cela, c’était un immense bonheur…
« Ça, Cassandre, ma belle, il ne faut pas me le répéter deux fois... »
Elle voulu répondre, mais reçu un baiser… Et ouais, elle avait bien envie de baiser au lieu de parole… Baiser, dans le sens bisou, un… Enfin, si elle voulait bien baiser, quand même, mais… Bon, de toute façon, c’était sans doute ce qui allait arriver. En effet, la vampire inversa les rôles : Maintenant, c’était Cassandre qui était allongée bien confortablement sur le transat, et la maîtresse par dessus. c’était elle qui dirigeait les opérations, après un court moment où Cassandre avait décidé de dominer légèrement. Nouveau baiser, nouvelle joie de la part de la fameuse Ushi, alors que la queue commençait à se promener au niveau des cuisses… Bref, on pouvait dire une chose, une bonne partie allait bientôt recommencer, et il ne fallait pas craindre le fait qu’elle était à demi-molle, cela n’allait sans doute pas durer extrêmement longtemps. Sans doute que très vite, elle allait se montrer… Plus vigoureuse...
« C’est là... Très précisément ici. Ne t’en fais pas, Cassandre, ce sera encore moins douloureux que la première fois. »
« Merci maîtresse ! »
Sa maîtresse était exceptionnelle… Et en voilà une raison. En effet, elle aurait pu avoir un maître ou une maîtresse qui s’en contrefiche de savoir si cela était douloureux ou pas. Même certains feraient en sorte que cela soit douloureux à chaque fois, car ils tiraient du plaisir au fait qu’ils faisaient de la douleur à l’Ushi… La fameuse Melinda, elle… Elle n’était ps comme ça. Elle était gentille, elle était parfaite, elle était agréable, et surtout, elle se souciait vraiment d’elle. Cassandre avait beau être qu’une Ushi, une simple et bête Ushi, et bien, la vampire tenait à elle. Encore une fois, elle pourrait se contenter de juste la laisser en vie. Mais non, encore une fois, elle était une maîtresse qui partageait son plaisir et ce qu’elle faisait à ses esclaves, en échange d’une servitude. Et quand on voyait tout les esclaves du harem, on devinait que ces derniers étaient heureux, très heureux de cet esclavage…
« Hmmm... Haaaaaa... »
« Han… C’est bon ! C’est si bon ! »
La première fois qu’elle avait été mordue, elle eut extrêmement peur. Elle s’y attendait absoluemnt pas, elle avait peur, elle n’avait pas du tout imaginé que cela arrive… Bref, vous avez compris. La seconde fois, cela s’était bien mieux passé, elle l’avait acceptée, tranquillement, cela se passait très bien. Enfin, maintenant… Cela était toujours un peu douloureux au début… Mais c’était comme le sexe. En effet, sang et sexe étaient vraiment les deux faces d’une même pièce, et il y avait chez la vachette une sorte de plaisir à se faire pomper légèrement le sang… C’était plus violent que se faire pomper le lait, mais c’était pas si loin dans un sens. Elle donnait son précieux liquide à celle qu’elle aimait, et que cela soit le sang ou le lait, cela n’avait pas d’importance. Ce qui était important et bien… C’était sa maîtresse. Et cela se passait bien car justement, la fameuse maîtresse se souciait en retour de la vachette.
« Tout pour ma précieuse maîtresse ! Tout !!! »
Tout ! Elle commença à entrainer son bassin, pour suivre cette pénétration dans la position du missionnaire. Après tout, il fallait penser au fait que la vachette était quand même là ! Donc, alors qu’elle sentait son sang être aspiré, elle faisait bouger son vas et viens. Elle avait presque l’impression qu’elle ressentait encore plus le plaisir dans ce genre de cas… C’était extrêmement érotique, extrêmement plaisant… Bref, elle se sentait totalement en vie dans ce genre de cas… Et bon sang qu’est-ce que c’était bon ! Melinda était une déesse aux yeux de l’Ushi, une déesse aussi bien car elle donnait à manger, elle s’occupait, mais surtout, elle prenait soin d’elle… Et elle se débrouillait comme une déesse pour lui faire l’amour. Cela, c’était extraordinaire. Elle n’avait jamais vécu ça par le passé, et c’était incroyable. Elle aurait vraiment envie que cela dure, encore et toujours, tellement c’était agréable. Ainsi, elle bougeait, recevait tant de plaisir, elle était comme une bombe de plaisir prête à exploser, tellement elle sentait que c’était agréable… Oui… Oui…. ! OUI !!!!
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Mélinda n’était effectivement pas une Maîtresse comme les autres. Oh, elle n’était pas la seule à penser fortement au bien-être de ses esclaves, et à voir davantage en eux des protégés que des esclaves. Il y avait les sœurs Karistal, par exemple, mais, en ce qui concerne Mélinda, le fait est qu’elle avait jadis été une esclave. Elle savait donc comment les esclaves fonctionnaient, elle savait de quoi le milieu de l’esclavage était fait, les traitements inhumains et dégradants réservés à bien des esclaves, et elle ne voulait pas de ça. Sa méthode s’avérait finalement payante, car elle avait permis de populariser son harem, et de faire d’elle une femme richissime. Sa fortune classait aisément Mélinda parmi le haut du panier des fortunes privées d’Ashnard, sans parler de sa réputation et de son influence. Pour une vulgaire tenancière de harem, c’était un destin tout simplement exceptionnel, surtout qu’elle était maintenant la Matriarche d’un clan vampirique. Et, tout ça, elle le devait grâce à ses protégés, grâce à des femmes comme Cassandre. Elle allait donc prendre soin d’elle.
Et là, tandis que la vampire pompait son sang, elle pouvait sentir toute l’excitation de l’Ushi. Son sang s’emballa rapidement, et elle se dandina sur place. Son sang délicieux, légèrement aphrodisiaque, couplé à cette motivaiton, et à son corps délicieux, agréable, doux, et aux formes amples et généreuses, ne manqua pas d’exciter fortement Mélinda. Sa queue se mit à durcir, à s’allonger, à s’étirer, sous l’effet de son érection, et elle gronda sur place. Ses pupilles virèrent au rouge tandis qu’elle buvait le sang de la femme, et commençait à la prendre, accélérant le rythme. Les meuglements de Cassandre continuèrent à s’échapper de ses lèvres, et les filles les observaient, filmant volontiers la scène avec leurs téléphones portables.
« Elle est si belle, cette Ushi... »
La jeune lycéenne qui prononçait cette phrase s’appelait Azami (https://i.pinimg.com/originals/9a/1d/9a/9a1d9ad06668f41853682e5562669405.jpg). Très mignonne, elle se rapprocha de Cassandre, et, évitant de déranger sa Maîtresse, embrassa l’Ushi sur les lèvres, posant ses mains sur ses joues, tournant très légèrement son visage, sans empêcher sa Maîtresse de continuer à boire le sang de la femme. Azami l’embrassa donc, goûtant avec joie à ses lèvres.
« Arrête, Azami-chan, Maîtresse adore entendre ses partenaires couiner !
- Mmmhmmm... »
Ce fut finalement Leyli qui intervint, séparant les deux femmes. Azami cligna des yeux, surprise, et se retourna vers Leyli, qui lui sourit, et posa ses doigts sur son menton.
« Tu es une petite gourmande, toi... »
Elle lui sourit tendrement, et embrassa la femme sur les lèvres. Au manoir, le sexe était quelque chose qui s’appliquait très facilement. Mélinda, de son côté, continuait à bourrer l’Ushi, et but tranquillement son sang. L’Étreinte dura ainsi une bonne minute, pendant laquelle on pouvait entendre le transat grincer et craquer, mais sans se rompre. Mélinda ne jouissait pas facilement, mais, là, elle s’était gorgée du sang de l’Ushi... Et, tout en buvant son sang, elle n’hésita pas à pincer l’un de ses tétons, faisant évidemment jaillir du lait, qui éclaboussa ses doigts, ainsi que son torse. La vampire appuya plus fermement sur le sein de Cassandre en cessant de boire son sang, et l’embrassa sur les lèvres, partageant avec elle un long baiser... Pendant lequel elle se laissa aller au plaisir suprême.
Dans un grand soupir, elle se mit à jouir, balançant des chapelets de foutre dans son corps. Mais, avec ce sang dans ses veines, sa queue restait toujours aussi raide, et elle continua donc volontiers ses coups de reins, sa queue baignant dans son propre sperme.
« Oh, ma Cassandre d’amour, tu fuites encore de partout... » se moqua doucement Mélinda.
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Cassandre était-elle l’esclave parfaite ? Bien sur que non. Mais c’est vrai qu’elle était extrêmement soumise, et surtout, reconnaissante qu’on s’occupe d’elle. Cassandre aimait être au centre de l’attention des gens... Et donc, l’avoir comme « protégée », que vous pouviez voir comme un euphémisme « d’esclave », bien entendue, et bien, cela lui permettait de se sentir à l’abri. Et cela, c’était une bonne chose. Donc, en échange qu’on s’occupe bien d’elle, qu’on prenne soin, etc... Et bien, elle était prête à offrir tout ! Aussi bien son lait, son sang, ou de la satisfaction sexuelle. Et franchement... Elle avait raison de faire ça. Pourquoi cela ? Et bien tout simplement car là, cela l’excitait tout autant qu’une simple traite, il faut bien l’avouer, et se faire sucer son sang, elle n’aurait jamais cru, l’excitait encore plus.
Elle est si belle, cette Ushi... »
« Oh... Me... »
Elle ne put finir. Mais bon, évidemment, ce n’était pas si dur de trouver ce qu’elle avait voulu dire. Elle avait tout simplement tenue à dire « merci » à celle qui venait de lui faire un compliments... Mais voilà ! C’était une personne que Cassandre ne connaissait pas, mais elle s’en fichait, franchement, elle ne connaissait pas beaucoup de gens du harem, et c’était logique, étant donné qu’elle n’était qu’une débutante, et qu’elle n’était là que depuis quelques jours, deux pour tout dire... Donc, ainsi, elle accepta parfaitement le fait d’avoir le visage détourné... Pour recevoir un baiser, baiser dont elle ne se contenta pas d’être passive, mais tenta d’avoir une rôle actif, étouffant par cela ses gémissements, et bien entendu, donc,
« Arrête, Azami-chan, Maîtresse adore entendre ses partenaires couiner !
- Mmmhmmm... »
Oui, c’est vrai... Donc Cassandre décida de gémir quand même malgré le baiser ! Eh, si c’était pas une bonne idée, ça ? Cependant, il fallait bien l’avouer, ce n’était pas très concluant. Mais eh ! Au moins, elle tentait, c’était une très bonne chose ! Donc, voilà, Azami continuait d’embrasser la fameuse Cassandre, au diable visiblement les gémissements ! Heureusement pour ceux et celles qui aimaient la vachette gémir, et bien, Azami eut le baiser rompit par une tierce personne, qu’on avait presque oubliée : Leily ! Et ouais, elle était toujours là... Et ainsi, elle échangea sa place avec Cassandre pour le baiser, rendant la scène de plus en plus torride, avec de plus en plus de personnes sur le pauvre transat, qui pliait mais qui ne rompait pas ! Il avait bien du courage le lascar, c’est le moins qu’on puisse dire.
Et c’est tant mieux ! Car la vachette gémissait, couinait de plaisir, etc... Faut dire, sucer le sang de la vachette n’était pas la seule activité de la vampire, qui décidait qu’on pouvait faire plein de chose avec le corps de la vachette -et qui avait bien raison d’ailleurs ! Après tout, ce corps n’était pas seulement là pour donner du sang ! Et donc, les pincements de ses tétons faisaient que du lait, encore plus, et finalement, ce fut même la bouche de la vampire qui vint sur celle de la vachette, donnant presque un petit goût de sang... C’était l’apothéose, et presque en même temps, à quelques secondes peut-être avant celle de son interlocutrice, et bien, Cassandre eut la jouissance qui vint en elle, poussant un grand gémissement de plaisir alors que de solide coup de rein vint lui donner du sperme en belle quantitée.
« Oh, ma Cassandre d’amour, tu fuites encore de partout... »
« C’est … Que j’adore vous en donner tellement... ! »
Oui, enfin, ce n’était pas vraiment « donner », étant donné... Que bah... Disons que son lait n’était pas forcément récupérable, et venait un peu tout tacher. Heureusement, les taches de lait, même le super lait de Cassandre, et bien ça se lave aisément. Tant mieux, car il faut pas qu’elle vienne tout saloper notre chère vachette ! Cela ne serait pas bien ! Bref, donc, on pouvait interpreter ça différemment, bien entendu. Après tout, une chose qu’elle avait « donnée », et qui avait été reçu avec énormément de plaisir... Et bien, c’était son sang. Et il y avait de quoi. Cassandre n’avait jamais goutté son sang, encore heureux, vu qu’elle n’était pas une vampire, mais visiblement, pour une vampire, il avait tout du met délicieux et tout à fait plaisant... Donc, c’était une très bonne chose !
« Je ne peut que rendre une partie de ce qu’on m’offre... J’espère que ça vous plait... »
En effet, Melinda aussi avait « fuité », mais c’était bien plus jouissif pensait la fameuse Cassandre, que quand c’était elle qui donnait. N’est-ce pas ? Bref, la fameuse Cassandre était bien contente. Franchement, le sperme était un met délicieux, quand elle pouvait l’avoir en bouche... Mais lui en mettre ailleurs, et bien, ce n’était pas gênant. Après tout, cela était aussi un moyen de gagner pas mal de plaisir... Maintenant qu’allait faire notre Ushi nationale ? Et bien... Elle comptait apprendre un peu, en faisant quelques choses qu’elle avait beaucoup eut, mais qu’elle n’avait pas encore pu beaucoup donner... Donc, autant en profiter et franchement, faire quelques efforts pour donner un petit peu quelques choses de nouveaux, ou du moins, nouveau pour elle, étant donné que comme dit précédemment, elle l’avait peu tentée d’elle-même....
« Mmmh... »
Et ce quelques choses, c’était un baiser ! Et ouais, elle avait reçu beaucoup de baiser, mais elle avait pas encore donnée beaucoup de baiser. Donc, alors qu’elle était encore en prise avec la fameuse vampire, et bien, elle l’embrassait avec un très grand plaisir, un très grand bonheur... Bref, elle adorait, elle adorait ça. Elle adorait sa maîtresse, elle adorait le harem, et elle adorait toutes les personnes qui en faisaient partie ! Et ouais, bien qu’elle ne les connaissait pas tous, elle était persuadée qu’elle les aimerait tous ! Bref, nous avions affaire à une vachette très heureuse, qui serrait dans ses bras, et contre sa bouche la fameuse Vampire, l’enlaçant et l’embrassant. Un magnifique spectacle, qui fut criblée de photographie.
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C’était clairement de l’amour. Une délicieuse forme d’amour entre esclave et Maîtresse. Car l’amour pouvait prendre bien des formes, il n’était pas réservé qu’à cette vision égoïste, humaine, monolithique, chrétienne... Chez Mélinda, c’était l’amour qui soudait son harem, l’amour qui unissait les esclaves entre eux. Un amour vertical, mais aussi horizontal. Vertical, car marqué par leur infériorité vis-à-vis de la Maîtresse, mais horizontal, car ils étaient tous égaux entre eux. Si on aurait donné à Mélinda l’opportunité de donner un cours d’Histoire humaine à Cassandre, elle lui aurait dit que l’Homme avait toujours été partagé entre deux pulsions contradictoires : d’une part, une propension naturelle à la soumission à ce qu’il considérait comme l’autorité légitime, et, d’autre part, une émancipation à cette même autorité. Mélinda incarnait finalement ce paradoxe, car, dans son manoir, les individus pouvaient exprimer toutes leurs pulsions, tout en se soumettant à l’autorité de la vampire. Finalement, tout le monde y trouvait son compte, et Mélinda avait la chance de partager sa couche avec quantité de magnifiques femmes et de garçons somptueux. Qui aurait pu rejeter cela ? Tous l’aimaient, comblant son manque affectif. Cassandre l’embrassa donc, serrant son corps contre le sien, exprimant, par ce baiser et ce câlin, le profond amour qu’elle ressentait envers sa Maîtresse. La vampire en frémit de toute part, et serra également ses mains sur le corps de l’Ushi, répondant volontiers à son baiser, sentant les flashs des téléphones scintiller autour d’elles.
« Woow...
- C’est super...
- Shhttt... ! Ne gâchez pas ce moment, bécasses ! »
Loin de se terminer au bout de quelques secondes, le baiser se prolongea. Mélinda y enfonça même sa langue, et joua avec celle de Cassandre, remuant très faiblement son corps. Elle voulait surtout sentir les lèvres de l’Ushi, même si elle sentait aussi, contre son corps, son délicieux lait, qui commençait à couler de son corps. Elles s’embrassèrent finalement pendant plusieurs minutes, un long baiser, que les filles immortalisèrent en le filmant, n’hésitant pas à faire de gros plans... Leurs lèvres scellées l’une contre l’autre, la main de Mélinda qui se déplaça pour pincer le sein de Cassandre au cours du baiser, faisant jaillir un petit geyser blanc de son téton...
Finalement, la vampire retira ses lèvres. Un mince filet de salive relia sa bouche à celle de l’Ushi, qu’elle essuya d’un coup de langue. Ses yeux pulsaient de désir en observant la femme, et elle se pinça doucement les lèvres.
« Je t’aime, ma Cassandre... »
Ma Cassandre. Le possessif était toujours très important chez Mélinda, et jamais anecdotique. La vampire sourit ensuite à nouveau, avant de rajouter :
« Mais je ne vais pas pouvoir te nettoyer toute seule... Oh ça non ! »
Souriant encore, Mélinda se retourna, et se coucha sur le dos, avec son sexe toujours dressé.
« Empale-toi sur moi, Cassandre ! Et vous, les filles, plutôt que de rire bêtement, vous allez nettoyer notre magnifique Ushi... Avec vos langues ! » précisa-t-elle utilement.
Oui, Mélinda n’avait pas encore fini de s’occuper de sa délicieuse Cassandre !
-
Quel merveilleux baiser ! Enfin, c’était l’intention qui comptait. Encore une fois, l’intention était là, cela ne faisait aucun doute… Mais il manquait encore la pratique, la pratique qu’elle allait vite acquérir ! Mais qu’elle n’avait pas encore, et cela se sentait. En effet, si Melinda elle était une experte pour le baiser, et qu’elle faisait bien ce qu’il fallait, Cassandre, chez elle, c’était encore assez maladroit, il faut bien l’avouer, encore assez inexpérimenté, comme si elle avait encore besoin d’entrainement. Après, vu toutes les esclaves qui étaient là, on pouvait dire que cela allait sans doute être très vite intéressant ! Bref, le baiser était savoureux, mais sans doute que d’ici quelques jours, semaines, voir mois, il sera encore plus merveilleux ! Et cela, c’est une chose exceptionnelle, il faut bien le dire !
« Woow...
- C’est super...
- Shhttt... ! Ne gâchez pas ce moment, bécasses ! »
Eh beh ! Cela jacassait dans les couloirs ! En effet, les diverses spectatrices semblaient adorer le spectacle… Faut dire, il y avait tout à aimer. Car on parle du baiser, bien entendue, c’était ça le plus savoureux… Mais il y avait encore d’autres choses… D’autres choses tout aussi savoureuses. En effet, les mains de la fameuse vampire ne chomaient pas, loin de là, et continuaient de se balader sur le fameux corps de la vachette, n’hésitant pas à faire sortir du lait que la vachette produisait toujours autant… Quand je dis que les vachettes ne sont pas fait pour la consommation individuelle ! Surtout celle fille d’un minotaure ! Faut bien le dire, c’est trop productrice une telle vachette ! Sauf quand on s’appelle Melinda…
« Je t’aime, ma Cassandre... Mais je ne vais pas pouvoir te nettoyer toute seule... Oh ça non ! »
« Vous voulez que je le fasse maîtresse ? »
De suite Cassandre c’était proposée ! Mais il y avait un soucis ! Cassandre faisait beaucoup d’effort, il fallait bien l’avouer. C’était une vachette qui était attentionnée et qui faisait tout pour satisfaire sa maîtresse. C’était très bien ! Mais malgré tout ses efforts, et bien, il fallait bien le dire… Elle pouvait pas se nettoyer toute seule ! Et oui, elle était pas assez souple pour ça, et même si elle était très souple, même le plus souple des hommes ne pourraient se nettoyer tout seul. Bien sur que si me diriez-vous… Et vous auriez raison. Mais il faut savoir qu’ici, on ne se nettoyait pas, dans ce genre de cas précis, de la même façon que la façon, traditionnelle disons… Mais ne vous inquiétez pas, Melinda allait tout expliquer, pour tout le monde, et pour la suite des événements, disons…
« Empale-toi sur moi, Cassandre ! Et vous, les filles, plutôt que de rire bêtement, vous allez nettoyer notre magnifique Ushi... Avec vos langues ! »
« Ouais, d’abord ! Faut que vous le fassiez ! »
Les filles gloussèrent et s’approchèrent. Pourquoi glousser ? Car autant, l’ordre de Melinda était tout aussi plaisant qu’absolument à obéir… Autant la tentative de Cassandre de jouer dans le même registre était juste… Trop mignon ! En effet, Cassandre avait presque imité la fameuse Melinda, sauf qu’elle avait toujours cette air adorable qu’elle portait toujours sur son regard, rendant juste la situation très drôle. Oh, bien sur, elle avait compris ce qu’elles allaient devoir faire, et elle était prête à le faire ! Hors de question de ne pas obéir et écouter la maîtresse ! Mais quand même, Cassandre avait rendue la situation assez comique, et elles aimaient beaucoup cela ! Bref, quoiqu’il en soit Cassandre regardait la nouvelle position de sa maîtresse… Ou plutôt un certain détail de la nouvelle position de sa maîtresse !
« Ouaaah… Elle est toujours si dur et si… Miam ! »
Elle admirait le phallus de sa maîtresse, tandis que les différentes anciennes spectatrices commençaient à devenir actrice de cette grande pîèce. L’ensemble était délicieux à voir, et les différentes lycéennes faisaient bien en sorte de laisser la place à Cassandre. En effet, ils ne fallaient pas qu’elles gènent dans l’empalage qu’allait « subir » la fameuse Cassandre ! Entre guillemet bien sur, quand on se rappelait à quel point elle adorait ça. Bref, en tout cas, après avoir admirée ce qui l’avait prise tout à l’heure, et qu’elle connaissait bien pour l’avoir souvent pris en bouche… Et bien, voilà qu’elle s’installait à son tour. En effet, elle était prête en temps que vachette à faire un rodéo, encore un ! Eh, là, c’était plutôt logique qu’une vachette fasse un rodéo et… Quoi comment ça d’habitude c’est plutôt l’inverse ?
« Haaan… Si… Gros ! »
Voilà ! Elle s’était empalée, formant la position de l’amazone. Une vachette amazone ! Là, c’était quand même assez drôle si vous voulez mon avis. Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse Cassandre venait de se prendre le phallus dans la chatte. Elle était un peu plus habituée, maintenant, que quand elle était entrée pour la première fois dans le harem, mais cela faisait encore toujours autant d’effet ! Les lycéennes, elles, commencèrent à s’activer. Elles léchaient partout, faisant en sorte qu’aucun centimètre carrée des deux femmes ne soient oubliés par leurs langues… Bon, une tire-au-flanc visiblement -ou une gourmande, c’était une bonne question-, décida de se concentrer un peu plus visiblement sur les seins de la vachette, mais quand même. Le tout était relancée dans une ambiance d’érotisme absolument divin, ou cette fois… Et bien, tout le monde participait, et personne n’était mis de côté !
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« Hihi ! Tu l’entends ?
- Ce petit ton autoritaire... Notre belle vachette se prend pour une Maîtresse ! »
Des esclaves autoritaires, il y en avait pourtant au sein du harem. C’était les « Mamans », les femmes qui donnaient naissance à d’autres esclaves, et agissaient officieusement comme des contremaîtres. Tel n’était toutefois pas le cas de Cassandre, et, après sa phrase, elle eut droit à plusieurs fessées, comme pour la punir. Des mains s’abattirent à plusieurs reprises sur son cul, et d’autres pincèrent ses tétons, tirant ensuite dessus... Moqueuses et joueuses lycéennes ! Mélinda observait la scène en souriant, avant de voir le visage de Cassandre filer de droite à gauche, au gré des baisers des lycéennes, pendant que les langues filèrent, caressant son corps, nettoyant sa peau. Une vision merveilleuse pour Mélinda, qui en prenait plein les yeux avec un bonheur fulgurant. Il fallait dire que ce petit spectacle était vraiment des plus excitants, et elle s’en pinça doucement les lèvres, voyant les langues glisser, entendant les soupirs, percevant les baisers, ce bonheur jouissif, vivifiant, plein de passion.
En retour, sa queue devenait plus lourde, plus grosse, et elle crispa ses mains sur les hanches de Cassandre, quitte à les pincer légèrement, sentant encore la belle Ushi danser sur son corps, tout en partageant les baisers. Ah, quel délicieux spectacle ! Mélinda se régalait, tout simplement, et les observa une nouvelle fois, souriant malicieusement. Ses mains remontèrent pour caresser les hanches de l’Ushi, griffant doucement sa peau, et le spectacle dura encore, magnifique.
« Tu es si belle, ma Cassandre... »
Leyli intervint alors, en posant une main sur le cou de Cassandre, et lui mordilla le creux du cou. La jeune Ushi put alors sentir une belle virilité taper contre son fondement. Leyli venait de manifester une belle surprise, une belle verge noire qui se mit à pointer entre ses cuisses. Une belle érection, mais, avant de passer aux choses sérieuses, la femme titilla la porte arrière de Cassandre avec ses doigts, avant de les enfoncer doucement, un sourire sur le coin des lèvres.
« Là, ma belle, nous n’en avons pas encore fini avec toi... Tu es une telle gourmande, c’est incroyable ! »
Gloussant encore, Leyli continua son office, enfonçant profondément ses doigts, veillant à bien préparer la belle Cassandre... Pour pouvoir évidemment ensuite glisser sa propre trique en elle !
-
Evidemment, Cassandre n’était pas une dominante. Elle était tout sauf une dominante. Et bien évidemment, pour son plus grand plaisir... Et bien, sa petite déclaration eut l’effet qu’elle voulait, c’est à dire, elle se fit punir pour ses déclarations ! Bien sur, c’était une punition bien gentille, c’était nullement une punition forte et violente, pour lui faire comprendre qu’elle n’aurait pas du faire cela... Au contraire, cela semblait même avoir plutôt plu à ses interlocutrices, ce petit moment de joie... Ainsi, elle se prenait des fessées, des petites claques sur les fesses, tandis qu’elle recevait baiser sur baiser, léchouilles sur léchouilles... Cassandre là était au milieu de tout, et tous se concentraient sur elle, elle était au centre des attentions, et franchement, on allait bien le dire... Cela lui plaisait énormément.
Mais concentrons nous sur un peu plus bas... C’est à dire le bassin de la fameuse vachette ! Car oui, cela s’activait ! Et cela faisait bien son travail ! Visiblement cela plaisait à Melinda, qui n’hésitait pas à en profiter. Melinda, intelligente comme elle était, savait bien que baiser, ce n’était pas juste faire un geste de vas et viens, et user de son phallus. Non, tout comptait, aussi bien les mots, les gestes, que la pénétration en elle-même. Ainsi, de ses mains expertes, elle jouait avec la peau des hanches de la vachettes, n’hésitant pas à légèrement griffer, pincer, caresser... Un mélange de légère douleur, de plaisir, de douceur... Tout cela marchait excessivement bien, et Cassandre profitait, profitait énormément, profitait même peut-être plus qu’elle donnait.
« Tu es si belle, ma Cassandre... »
« Meuh... ? »
Tient tient ! Bah oui, fallait pas l’oublier elle ! Elle était toujours là ! Qui ça elle me diriez-vous ? Et bien, c’était... Leyli ! Et oui, qui continuait à léchouiller, voir même mordiller le cou de la fameuse vachette, montrant bien qu’elle était encore là... Mais il n’y avait pas que sa bouche qui montrait qu’elle était encore là... Oh non, loin de là ! Il y avait aussi... Autre chose. Mais quoi donc me demanderiez-vous ? Et bien, une belle virilité, qui n’attendait qu’à entrer dans ce qui était encore disponible chez la vachette... Mais il fallait préparer le terrain, car ce dernier n’était pas encore prêt... Donc elle allait en profiter. Et cela avait déjà commencé, étant donné que sa main commençait déjà à doigter la fameuse vachette, la faisant évidemment gémir de plaisir.
« Là, ma belle, nous n’en avons pas encore fini avec toi... Tu es une telle gourmande, c’est incroyable ! »
« Meuh ! Comment ne pas être gourmande quand il y a de si beau plat... »
En effet ! En quelques sortes, la fameuse Cassandre se « défendait », entre guillemet bien sûr, vu qu’elle était très fière de l’être, d’être une « gourmande ». Quand le plat est bon, on n’est pas gourmand, on profite juste de ce qu’il y a... Et là, franchement, c’était le meilleur qui était au service... Comment refuser alors ? Cela ne se ferait pas ! Quand on a un magnifique repas sur une table, et bien... On vient manger ! C’est bien comme ça que ça marche ! Ainsi, invitée par son interlocutrice à faire cela, elle n’allait pas refuser un tel magnifique présent ! Donc, elle en profitait le plus possible... Et en plus, visiblement... On lui en offrait plus, car en effet... Plus bas il se passait des choses aussi...
« Mmmh... Meuh... »
Son petit meuglement montra le plaisir qu’elle avait, alors que les doigts continuaient de faire leur effet. Bien entendue, elle n’en n’oubliait pas Melinda, et jouait des hanches pour tenter de maximiser le plaisir... C’était très important, excessivement important même pour la fameuse Cassandre, c’était qu’elle ne devait absolument pas « monopoliser » le plaisir. Elle savait que depuis qu’elle était arrivée le charme de la découverte faisait qu’elle était beaucoup aux centres des attentions... Mais celle qui devait vraiment concentrer toutes les attentions... et bien, c’était bien entendue Mélinda ! C’était elle la maîtresse, la délicieuse maîtresse, la meilleure ! Et donc, Cassandre faisait tout pour donner du plaisir à cette dernière !
« Mmh... »
Sa bouche venait d’être fermée par une lycéenne... Qui avait cherchée le baiser, et qui lui roulait littéralement une pelle. Deux lycéennes s’étaient prises aux seins, et d’autres léchaient. D’ailleurs, pas que Cassandre, la maîtresse aussi était à léchée ! Franchement, Cassandre était bien mignonne, mais elles étaient deux à nettoyer ! Bref, pour revenir sur la vachette, là, elle n’avait plus aucune once de « liberté ». Tout était pris, tout ses orifices, ses seins, elle était entièrement prise, prise dans le plus délicieux des pièges. Cela donnait une véritable Orgie, ou plusieurs lycéennes d’ailleurs usaient de leurs mains pour se caresser, caresser les deux femmes aux centre de l’ensemble, ou bien se caresser entre elle... Formant un ensemble absolument délicieux. Le plus délicieux, même des ensemble, en effet...
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Ici, tout n’est que luxe, calme et volupté. À un mot près, le ver de Baudelaire pourrait tout à fait s’appliquer à ce que Mélinda voyait sous les yeux. Peu de calme, en effet, mais, pour ce qui est du luxe et de la volupté... Peu importe où Mélinda déplaçait ses mains ou son regard, elle ne voyait qu’une succession de belles femmes, de courbes langoureuses, de peaux douces et sensuelles... Un cocktail sanguin accompagnait Mélinda, et sa queue l’élançait douloureusement dans le con de Cassandre, pour son plus grand plaisir. C’était une micro-orgie concentrée autour de Cassandre et d’elle. De temps en temps, une lycéenne venait l’embrasser, avant de s’écarter, laissant ainsi à sa Maîtresse le soin de contempler par elle-même l’érotique spectacle qui se déroulait devant ses yeux. Cassandre était prise d’assaut par plusieurs femmes, et recommençait à fuiter. Soin lait était avalé par deux lycéennes, tandis qu’une troisième l’embrassait, et que Leyli l’enculait. Fort heureusement, le transat arrivait encore à tenir, mais Mélinda était totalement immobilisée. Ses mains, initialement posées sur les hanches de Cassandre, la griffèrent un peu, et, même si deux lycéennes buvaient son lait, celui-ci tombait le long du corps de l’Ushi, glissant sur le ventre de Mélinda.
Sa belle queue n’était pas pressée de se relâcher, Mélinda voulant savourer ce moment autant que possible. Elle aimait le sexe, elle aimait cette sensation d’être emportée, de voir toute son attention se concentrer autour de sa queue. L’hermaphrodisme était un phénomène puissant, et un phallus tendu exprimait à lui seul toute la force du sexe, comme une sorte de pompe qui absorbait tout votre être pour ne vous faire plus penser qu’à ça. Le plaisir inique ressenti était exquis, et Mélinda se mordilla doucement les lèvres, voyant Leyli tourner le visage de Cassandre, et l’embrasser encore, longuement.
« Hmmmm... »
Leyli savait aussi y faire. Elle était une « Maman », et, même si elle ne vivait plus au harem, elle avait tellement fait l’amour ici qu’elle ne pouvait pas perdre tout ce qu’elle avait appris. La jeune femme remuait donc son bassin dans le cul de Cassandre, s’y enfonçant très facilement. Après tout, Cassandre avait l’endurance d’un Minotaure, alors elle se faisait baiser presque sans relâche depuis son arrivée au manoir ! Son cul avait déjà été fouillé en profondeur à plusieurs reprises, de sorte que ses parois anales se dilatèrent facilement.
Les minutes passèrent ainsi, le corps de Cassandre faisant l’objet d’une double pénétration, de caresses, de baisers, de succions mammaires, de pincements, de griffures de la part de Mélinda... Dans de telles circonstances, la belle Ushi ne put que jouir, et Leyli, avec grand plaisir, se relâcha dans le corps de Cassandre, tout comme Mélinda. Les orgasmes et les cris se multiplièrent pendant une bonne minute, remplissant le ventre de Cassandre.
« Haaaaa...
- Damn, tu es si bonne, Cassandre, hooo... »
Les lycéennes s’écartèrent juste avant l’orgasme de Cassandre, où ses seins crachèrent des volutes de lait, car Leyli les pinça tous les deux, sur les tétons, en jouissant. Le lait éclaboussa le ventre de la femme, salissant le corps de Cassandre, mais aussi celui de Mélinda, qui n’en jouit que plus joyeusement encore !
Le plaisir passé, la vampire cligna des yeux en souriant.
« Bon... J’adore vraiment te faire l’amour, Cassandre, mais...
- Il est l’heure de reprendre la traite, Cassandre ! » s’exclama une fille.
Et, visiblement, il risquait d’y avoir encore plus de monde que ce matin !
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C’était une mini-orgie, où on pouvait dire... Que le héros... C’était bel et bien le transat ! Le transat qui tenait toujours, malgré cette merveilleuse orgie qui se passait donc sur lui... Que cela soit son anus ou sa chatte, les phallus faisaient des vas et viens profonds et efficaces, lui apportant plaisir et jouissance... Les filles, tout autour, ne chomaient pas non plus, elles continuaient d’user du corps de la vachette, passant leur mains, bouche, et parfois même seins partout. Que cela soit sur la vachette pour quasiment la moitié, et pour le reste, la plupart étaient sur la vampire, mais d’autres étaient sur Leily... Mais encore une fois, c’était plus complexe, car les filles n’hésitaient pas à passer d’une femme à l’’autre, pour ne jamais faire une routine qui pourrait être inintéressante ! Non, au contraire, il fallait toujours profiter de l’une ou l’autre des filles ici présente... Et elles en profitaient, oh oui, ça c’est sur !
« Haaaaa...
- Damn, tu es si bonne, Cassandre, hooo... »
« Vous... Vous l’êtes tellement maîtresses... »
Elle avait comme toujours un peu de mal à bien parler après avoir jouie... Car oui, aussi bien traitée, et bien, on pouvait le dire, elle atteignait facilement l’orgasme. Mais atteindre l’orgasme, c’est bien beau... Mais il faut aussi donner l’orgasme ! Car une bonne vachette, et bien, elle donne autant qu’elle reçoit, c’est ça qui est très important. Donner et recevoir ! Donc, elle faisait de son mieux pour tenter de faire jouir ses deux pénétratrices -cela ne se dit absolument pas- mais malgré cette horrible choix de mots, et bien, finalement, elle arriva à faire jouir les deux femmes, qui se vidèrent absolument de manière délicieuse aussi bien en Cassandre dans l’anus, qu’en Cassandre dans la chatte. Plus le temps passait, plus la vachette commençait à être délicieusement remplie. On pourrait presque la faire gonfler à coup de sperme, qui ça continuait. Et le pire, c’est qu’elle adorerait...
« Bon... J’adore vraiment te faire l’amour, Cassandre, mais...
- Il est l’heure de reprendre la traite, Cassandre ! »
« Ou... oui... »
En effet, une bonne vachette savait que le principal, et bien, ça restait la traite ! Et donc, il fallait bien qu’à un moment, on reprenne la traite ! Après tout, là, ce qu’elle venait de faire, c’était du loisir, et donc, le loisir, cela passe après le travail ! Enfin, là, c’était avant le travail de l’après-midi, mais on pouvait dire que c’était après le travail du matin, donc, c’était nickel et ça passait ! Bref, elle reprenait son souffle, là, tandis que les Lycéennes s’éloignaient un peu pour laisser la vachette pouvoir se relever. Après tout, il fallait quand même lui laisser un peu d’espace, car elle semblait un peu fatiguée ! Faut dire, encore une fois, elle venait de faire un sacrée tour de rodéo, et cela avait été franchement excitant ce qu’elle avait fait. Donc, finalement, après un tout petit moment, elle se releva et déclara !
« C’était épuisant... Mais génial... Je suis prête ! »
Elle se releva ! Parfait ! Elle avait donc encore assez de force pour rester debout. En tout cas, la mission « nettoyage » fait par les lycéennes, on pouvait dire... Etait une semi-réussite ; Car la vachette avait encore du lait qui coulait de ses tétons, et pas mal de saleté. De plus, on voyait bien son anus et sa chatte dégoulinant de sperme, après qu’on ait bien jouie en elle. Elle était contente, et cela ne la gênait pas. Après tout, c’était une vachette, donc franchement, elle s’en foutait d’être vraiment présentable ou pas. Beaucoup de vachettes vivaient nue. Mais Cassandre se souvenait que Melinda avait dit que la propreté était importante ! Donc, après la traite, elle ferait en sorte de prendre un bon bain pour être présentable ! Car elle avait cinéma ce soir, et donc, elle allait devoir être propre.
« Je crois qu’il y aura un peu moins de lait par contre... »
Elle baissa un peu les oreilles, un peu honteuse... Et oui, c’était logique. Oh, elle aurait encore du lait, il n’y avait pas d’inquiétude, mais comme on l’avait traite et qu’on avait éjecté pas mal de lait, et bien, elle aurait sans doute un rendement moins efficace que le matin. Mais pas d’inquiétude ! La vachette allait faire de son mieux, et même si elle donnait moins de lait, elle savait maintenant offrir plein d’autres services qui permettraient de faire en sorte qu’elle plaise. Donc... Et bien, elle était prête ! Elle allait assurer comme ce matin, et s’il fallait qu’elle trouve d’autres façon d’assurer, et bien, elle allait les trouver ! Car quand on est une vachette, comme Cassandre, on trouve toujours des moyens de rappeler qu’on est une vachette efficace, plaisante et douée.. Mais chut... C’est une autre histoire !
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Il allait quand même falloir que Mélinda se renseigne un peu. Comment cette Ushi arrivait encore à tenir debout ? Certes, les Ushis étaient connus pour leur endurance sexuelle, mais, à ce niveau-là... Une telle production de lait, une telle énergie insatiable... Tout ça laissait Mélinda perplexe. Et puis, chaque fois qu’elle buvait du sang de Cassandre, Mélinda sentait la particularité de ce dernier. Visiblement, les gènes du Minotaure étaient très présents chez Cassandre. Mélinda avait vraiment dégoté une perle rare, et elle ne comptait pas la laisser partir si facilement. Elle sourit donc quand la jeune Ushia voua toutefois qu’elle ne produirait sans doute pas beaucoup de lait cet après-midi. Mélinda sourit donc, et se pencha vers elle, en la voyant faire la mine basse. Ses mains se posèrent sur chacune de ses joues, et elle déposa un bref baiser sur ses lèvres, avant de lui sourire doucement.
« Tu dois sortir ce soir, ma belle, alors, il vaut mieux qu’il n’y ait plus une seule goutte de lait dans tes seins pour la soirée ! »
Avec tout ça, Cassandre avait-elle oublié sa sortie cinéma ? Heureusement, Mélinda était là pour penser à tout ! Elle l’embrassa une nouvelle fois, puis, ensuite, on remit à Cassandre son beau collier avec sa clochette, et elle put retourner à l’arrière de la propriété, dans la grange. Cette dernière avait été nettoyée, et, comme pour la matinée, les filles escortant Cassandre l’attachèrent, puis posèrent sur ses seins des pompes, avant de lui donner une claque sur les fesses.
Un nouveau sourire se dessina sur les lèvres de l’une des filles, qui embrassa Cassandre sur la joue.
« Cet après-midi, il va y avoir beaucoup de garçons, ma belle Cassandre ! Tu en as de la chance, tu sais, tu es gâtée ! »
D’aucuns auraient sans doute pu avoir un avis bien différent, mais, au harem de Mélinda, faire l’amour était toujours une bonne chose, après tout ! En tout cas, la machine se mit en position, et, rapidement, des bruits de pas supplémentaires se firent entendre, annonciateurs d’un superbe après-midi !
Autant dire que Cassandre allait être sacrément comblée !
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Une vachette prenait ENORMEMENT soin de sa poitrine, et donc, une énorme fierté à donner du lait. C’était ça qui était très important pour elle. Donc, en toute logique, quand elle se retrouvait à donner moins que ce qu’elle pourrait faire, et bien, bien souvent, la vachette avait quelques peu honte, il faut bien l’avouer. Les vachettes donc faisaient toujours en sorte de donner le plus de lait possible… Enfin, tout ça, il faut bien comprendre, ce sont pour elles ce qui est le plus important au monde… Donc, elles font très attention que leurs seins soient toujours au plus fort, au plus beau, et au meilleur de la forme… Donc, voilà pourquoi Cassandre était un peu honteuse. Elle avait l’impression qu’avec ses galipettes, et bien, elle n’avait pas été responsable. Elle avait perdu du lait… Heureusement…
« Tu dois sortir ce soir, ma belle, alors, il vaut mieux qu’il n’y ait plus une seule goutte de lait dans tes seins pour la soirée ! »
« Oh, oui, c’est vrai ! »
Heureusement que sa maîtresse était là pour se rappeler de tout ! Et aussi, rassurer la vachette ! Bref, ainsi, elle retourna au travail, après avoir quand même reçu de nouveau un bon baiser sur la bouche avec la fameuse vampire. Cassandre marcha alors tranquillement vers la grange, tandis qu’on continuait d’entendre la sonnette de sa clochette, tintillant au rythme de ses pas, tout comme ses seins se balançaient. Une fois de nouveau dans la grange, qui était entièrement propre, la fameuse vachette fut de nouveau attacher solidement, et ses seisn furent de nouveau pompée. Elle poussa même un petit meuh, quand on tapa l’une de ses fesses ! Oh, c’était bien gentil, d’ailleurs, le meuh était plus un meuh mignon, qu’un meuh mécontent ! Bref, on sentait que l’après-midi allait être aussi plaisante que la matinée… Sauf que…
« Cet après-midi, il va y avoir beaucoup de garçons, ma belle Cassandre ! Tu en as de la chance, tu sais, tu es gâtée ! »
« Chouette ! »
Et ouais… Cassandre avait parfaitement assimilée le fait que rester ici, cela allait vouloir dire… Beaucoup de sexe ! Et elle semblait apprécier ! Mais comment elle allait tenir ? On pouvait dire une chose… Elle allait bien dormir cette nuit ! Car quand même, il fallait bien falloir se reposer à un moment ou à un autre, car là, c’était pas humain ce qu’elle faisait ! Et c’était normal… Cassandre n’était pas humaine, elle était… Vachette ! Et ouais ! Ca c’est la classe ! Comment cela, cela marche pas comme ça ? Oui, mais si, car c’est Cassandre. Et puis, de toute façon, elle était pour ! Oh que oui, elle était pour, cela voyait, étant donné qu’elle était très contente à l’idée de pouvoir faire cela, de pouvoir faire l’amour, encore et encore ! Elle était devenue accroc, et elle pensait pas qu’elle pourrait s’en passer maintenant… Dire qu’il y a encore quelques temps, elle ne savait même pas ce que c’était...
« J’attire tant que ça ? C’est fou quand même... »
Et ouais, Cassandre ne se rendait pas compte à quel point elle était devenue populaire. Faut dire… A son sens, elle n’était qu’une Ushi, et elle donnait du lait ! Donc, elle n’avait pas conscience de tout son caractère érotique, et tout ce qui venait là dessus. Pour elle, c’était super chouette, mais elle ne s’y connaissait pas encore pour véritablement s’y faire ! Donc, elle ne savait pas pourquoi tant de gens venaient pour la baiser, ou pour faire autre chose avec elle… Peut-être qu’il y avait une raison que sa maîtresse ne lui avait pas dit ? Sans aucun doute ! Faudrait qu’elle demande tient… Enfin, connaissant Cassandre, elle allait sans doute oublier de demander… Ou peut-être que l’une des filles qui s’occupaient de la vachette, on va les appeler « les fermières » allaient justement lui expliquer, étant donné qu’elle
« C’est quand vous voulez ! »
En effet, on pouvait entendre les pas s’approcher… Et vu le nombre de pas, soit quelqu’un avait décidé de faire un spectacle de claquettes, soit il y en avait beaucoup qui approchait ! Mais vraiment ! Et un bon paquet… Bref, la fameuse vachette allait sans doute vivre une après-midi mouvementée, mais c’était justement cela qu’elle recherchait. Histoire de pouvoir encore plus s’amuser… Et peut-être découvrir plus ! Il fallait qu’elle soit bien attentive, étant donné qu’elle pouvait apprendre beaucoup, et restituer ce qu’elle avait appris plus tard pour donner encore plus de plaisirs à sa précieuse maîtresse ! Et ouais, il fallait apprendre des autres, pour donner encore plus de plaisir à sa précieuse maîtresse… On allait bien voir comment cela allait se passer, et elle souriait, prête, et surtout, extrêmement contente d’être là.
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« Ça n’a rien de surprenant, tu sais, tu es très précieuse pour Maîtresse... Les Ushis sont des Terraniudes rares, et qui coûtent beaucoup d’or sur le marché ! Et puis, tout le monde sait maintenant que tu as aussi des gènes de Minotaure. Alors, forcément, le résultat final... »
Et a fortiori dans un endroit comme le manoir de Mélinda, où il n’y avait aucun secret... La « légende » de Cassandre s’était par conséquent très vite répandue, d’un couloir à l’autre, et attirait son lot de curieux. Et, même si Cassandre avait rencontré beaucoup de femmes, et que la gente féminine composait une bonne partie du manoir, la vampire avait aussi des garçons. Elle n’était pas sexiste sur ce point, au moins, et il était temps que Cassandre découvre le reste des pensionnaires ! En tout cas, l’Ushi devrait sans doute être ravie d’apprendre qu’elle était à ce point populaire. Une popularité aussi rapide que fulgurante, mais les filles avaient tout à fait raison. Sur Terra, les Ushis étaient très précieuses, et, quand on voyait Cassandre, on ne pouvait qu’en comprendre les raisons.
Des bruits de pas s’approchèrent donc, et, très rapidement, un premier homme entra. Un simple lycéen, qui se pinça les lèvres en voyant le corps de Cassandre, qui lui tournait le dos. L’Ushi put entendre le bruit d’une braguette qui s’ouvrait, puis d’une cienture qui se débouclait. L’homme posa ensuite ses mains sur les hanches de la femme.
« Une Ushi... Ton cul... »
Tout en parlant, le jeune adolescent caressa les fesses de la femme, les pinçant fermement, son sexe caressant ses cuisses, se redressant lentement.
« Si doux, si tendre... C’est incroyable ! »
Oh, le petit cul de Cassandre plaisait ! Mais il n’y avait évidemment pas que cet insolent fessier. Très rapidement, les choses sérieuses commencèrent, et la verge de l’homme s’enfonça dans le sexe de la femme, s’unissant à elle. Un frisson le traversa, et les coups de reins commencèrent, la symphonie du sexe reprit. Tout l’après-midi, Cassandre allait se faire prendre, une véritable tournante, avec quelques instants de repos, où les filles venaient l’abreuver, la nettoyer un peu, mais les garçons étaient nombreux, et s’avérèrent également très endurants.
Ils n’hésitaient pas à la gifler, à la pincer, alternant entre son vagin ou sa délicate porte arrière, la sodomisant énergiquement. Et, sous l’effet de l’excitation sexuelle, le lait de l’Ushi vint à nouveau, abondamment au début, puis de plus en plus faible. L’incroyable flux de Cassandre vint à progressivement se tarir, sans que son plaisir ne diminue également. C’était juste que ses poches de lait étaient vides, et que son organisme avait besoin de nutriments pour produire à nouveau du lait.
Autrement dit, après cette folle journée de baise, l’Ushi était enfin sevrée !
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Les biais, vous connaissez ? Et bien, Cassandre, non elle ne connaît pas. Ceci est une bonne entrée en matière, car on peux avoir l’impression que ce qui va suivre n’aura aucun sens… Mais je m’explique. Cassandre n’avait pas conscience que les Ushis étaient des créatures rares… Car avant d’être achetée, elle avait toujours vécu avec d’autres Ushis, et c’est tout. Donc, vous devinez sans aucun problème que la fameuse vachette avait l’impression que les Ushis étaient nombreuses. Donc, quand on lui disait « Non ! Les Ushis, c’est pas fréquent ! » Et bien, pour elle, c’était surprenant. Elle avait un biais de représentativité, exactement comme ce qu’ont de nombreuses personnes quand ils critiquent un surplus de quelques choses. Ainsi, l’explication fut assez intéressante et enrichissa la connaissance de la vachette…
« Ça n’a rien de surprenant, tu sais, tu es très précieuse pour Maîtresse... Les Ushis sont des Terraniudes rares, et qui coûtent beaucoup d’or sur le marché ! Et puis, tout le monde sait maintenant que tu as aussi des gènes de Minotaure. Alors, forcément, le résultat final... »
« Oooooh ! »
D’accord ! Donc, elle était super populaire ! C’est quand même génial d’apprendre cela ! Franchement, Cassandre aimait être populaire, nous avions affaire à une vachette qui aimait quand on parlait d’elle, et qu’on s’occupait d’elle. Alors, évidemment, comme elle manquait beaucoup de connaissance, et bien, elle ne savait pas forcément ce qu’était une « Terranide », mais elle supposait que c’était des gens comme elle ! Et maintenant, elle savait qu’elle comptait beaucoup d’or sur le marché ! Ouaaah ! Sans doute donc qu’on avait payé très cher pour l’avoir ! Voilà pourquoi elle devait donner du très bon lait ! Car elle devait valoir le coup, et si elle ne valait pas le coup, et bien, ça ne serait pas bien du tout ! Heureusement, elle pouvait aussi valoir le coup pour d’autres raisons que pour son lait… Comme on put l’entendre...
« Une Ushi... Ton cul... »
« Meuh ! »
Le meuh fut joyeux, content ! En effet, ça y est, quelqu’un venait d’arriver, un homme visiblement, qui avait déjà son engin de prêt, prêt à fonctionner et être utilisé… Et il caressait son fessier… Bref, il était là pour une raison et bien précise, et il y a encore quelques temps, notre chère Cassandre n’aurait pas su ce qu’il voulait vraiment… Mais maintenant, elle avait bien murie, et elle avait compris que là, il était là pour du sexe ! Mais il était gentil, il commençait par préparer le terrain ! Pour un mâle en rut, cela changeait, et c’était agréable ! En tout cas, pour la fameuse Cassandre, cela lui plaisait visiblement, étant donné qu’elle était prête ! L’homme continuait de passer sa main, et appréciait visiblement ce qui était entrain de se passer, étant donné qu’au bout d’un moment, il déclara :
« Si doux, si tendre... C’est incroyable ! »
Finalement, l’attente ne fut pas si longue, et l’homme arriva à céder à ses pulsions -oui, cette phrase est très étrange, deal with it. Donc, le fameux jeune homme enfonça alors son membre viril -je tiens à préciser, son membre traditionnel serait sans doute trop pour la vachette- et ainsi, il commença un vas et viens qui se voulait efficace dans la vachette. Bien qu’adolescent, le jeune homme avait un peu plus d’expérience qu’on pourrait croire, étant donné que ce dernier était visiblement tout à fait capable de faire un ensemble correct, qui plaisait tout à fait à la vachette, et surtout, qui avait de l’endurence. Ce ne fut pas « je pénètre, je jouis, je repars » ! Oh non, loin de là, on sentait qu’il avait de l’expérience, et qu’il était prêt à faire ce qu’il devait faire… Et c’était pour le plus grand plaisir de notre Cassandre nationale !
Cet homme fut alors le premier d’une longue, très longue série d’homme. Tous vinrent pour voir la vachette et l’utiliser. Seuls quelques moments de repos, imposer par les demoiselles qui géraient l’étable, furent installés, pour que la vachette puisse être nettoyée, abreuvée, bref, un peu chouchoutée ! Mais sinon, c’était sexe, sexe, et encore sexe, avec même quelques tapes, que cela soit des giffles ou des fessées. Bien sûr, ce n’était jamais trop violent, sans doute que les demoiselles auraient empêché cela… Mais Cassandre comprenait mieux pourquoi « violence » « douleur » et « plaisir » étaient associés pour la fameuse Vampire, qui était sa maîtresse. En effet, les trois allaient ensemble, et ne pouvaient véritablement être dissocié, et cela plaisait visiblement beaucoup à Cassandre !
Finalement, la journée de lait toucha progressivement à sa fin, et les équipes de Mélinda arrivèrent alors l’incroyable… Cassandre était tari. Mais vraiment. Alors, la vachette n’était pas inquiète, c’était que temporaire, mais elle n’avait vraiment plus de lait. Même quand on appuyait, on ne voyait que quelques misérables gouteletes sortir avec une très grande difficulté… Bref, ouais, là, elle était à sec, elle devait refaire le plain ! Elle allait devoir beaucoup manger, et manger des bons trucs ! Enfin, ça, c’est pas obligée, mais Cassandre préférait ! Bref, elle était donc prête pour la soirée, tandis que les différentes femmes continuaient à prendre soin, commençant à la libérer, et lui offrant un nettoyage intégrale. Evidemment ! Si elle allait au cinéma, fallait qu’elle soit propre, sans la sueur et le sperme ! C’était quand même mieux !
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Ce matin, Mélinda avait essentiellement laissé des femmes jouer avec le corps de Cassandre. À Seikusu, l’hermaphrodisme était très fréquent, car il circulait dans la ville des pilules spéciales, faites de magie rose, et qui permettaient de doter les femmes d’un sexe masculin. Mais, cet après-midi, la vampire avait décidé de tourner, et ce fut donc une série de garçons qui s’abattirent sur elle. Il y avait de jeunes hommes timides, qui étaient souvent travestis en femmes, et d’autres, plus virils, plus musclés, qui la prirent sans ménagement, tirant parfois sur ses cheveux. Ce fut une succession de pénétrations, de coups de reins, d’orgasmes, car ils jouissaient tous en elle. Dans ces conditions, on aurait tout à fait pu craindre que Cassandre puisse tomber enceinte... Et c’était d’ailleurs une perspective à envisager. Cassandre était encore là depuis trop peu de temps, mais elle verrait sans aucun doute sous peu que le manoir de Mélinda sur Ashnard disposait d’une crèche, et qu’il était assez fréquent de voir des esclaves enceintes. De cette manière, Mélinda perpétuait la tradition et son service, car les enfants étaient évidemment des esclaves, formés dès leur plus jeune âge à servir leur Maîtresse, apprenant le sexe à l’approche de leur quinze ans. Nés esclaves, ils étaient éduqués en ce sens, les cours de Mélinda s’axant sur le fait qu’ils n’avaient aucun intérêt à être libres, et que, dans leur position, ils pouvaient mener une vie heureuse et épanouie.
Et puis, comme les filles l’avaient dit, Cassandre était une Ushi très particulière, une esclave qui avait coûté une fortune, mais sur qui Mélinda misait gros. Par l’intermédiaire de son clan, elle comptait bien vendre son lait à peu près partout. Elle savait par exemple que les Tekhanes raffolaient du lait d’Ushi, et étaient déjà en train de chercher des distributeurs là-bas pour inonder le marché. Plus vite Cassandre tomberait enceinte, et mieux ce serait, d’autant que, sous l’effet de sa grossesse, elle allaiterait encore plus !
Quoi qu’il en soit, Cassandre passa donc une merveilleuse journée, qui finit par se terminer à 18 heures. Le dernier homme jouit en elle, crispant ses doigts sur son cul, s’abandonnant copieusement dans son corps, avant de se reculer. Les deux filles veillant sur Cassandre s’occupèrent de la nettoyer rapidement, puis lui dirent qu’elle allait devoir prendre un bain.
« Mais, avant ça... »
L’une des femmes lui pinça un téton, assez fortement, sans qu’aucune goutte de lait ne sorte.
« Tes réserves de lait sont totalement épuisées, Cassandre. Le dernier garçon qui t’a pénétré, c’était juste pour le plaisir. Ton corps ne produisait alors plus de lait. Tu as épuisé toutes tes réserves.
- Autrement dit, tu vas pouvoir passer ta soirée sans craindre de fuite ! »
Pour Cassandre, c’était sans aucun doute une bonne nouvelle, mais on ne pouvait qu’admirer sa productivité ! Toute la journée, le corps de Cassandre avait produit du lait en rafale, avant de finalement se calmer. Et le pire, c’est qu’elle n’était effectivement même pas enceinte... À titre de comparaison, une vache ne produisait du lait que quand elle était enceinte. La comparaison pouvait toutefois se faire, car, biologiquement, Cassandre produisait du lait de la même façon que les vaches, par stimulation des glandes mammaires. Quant à la production... En moyenne, une vache laitière produisait 25 litres de lait par jour, avec une énorme différence, puisque certaines vaches peuvent ne produire que 4 litres de lait, et d’autres... Jusqu’à 60 litres ! Pour Cassandre, elle avait produit environ 50 litres de lait aujourd’hui ! C’était une très belle prestation, et il allait d’ailleurs sans doute falloir que Mélinda investisse davantage dans son équipement.
La belle Ushi se retrouva ensuite dans un grand bain, couverte d’eau chaude. Comme les filles le lui avaient dit, aujourd’hui, il n’y aurait plus une seule goutte de lait émanant de ses seins, et, même si elles avaient épongé son corps, après cette journée de baise intense, un bain n’était pas de trop !
Pendant le bain, Cassandre reçut la visite de Leyli (http://img110.xooimage.com/files/6/4/6/sample_0086abfc89...0c9c445d-5444e16.jpg). La femme la rejoignit dans le bain, et l’embrassa énergiquement, tout en se renseignant sur elle.
« Ta première journée s’est bien passée, Cassandre ? Tu sais que tu es très précieuse pour Maîtresse... »
Elle lui sourit ensuite tendrement, avant de rajouter :
« C’est moi qui vous guiderai ce soir au cinéma, Cassandre, toi et les autres... »
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La vachette avait fait tout ce qu’on lui avait demandé, et même plus ! Elle ne connaissait pas les rythmes de productions des vachettes. Enfaite, il y avait plusieurs choix. Il y avait ce qu’on appelle les « gaspilleurs ». Le principe d’un gaspilleur était assez simple… Il utilisait sa vachette jusqu’à épuisement. Il voulait le plus de lait possible, et imaginable. Cela pouvait passer par l’ingestion de drogue, imposer des rythmes de traites absoluments ingérables, voir carrément la traire 24h/24 en lui donnant tout un tas de produit pour qu’elle donne encore, encore et encore… C’était une technique qui était très populaire chez certains, mais elle avait un gros défauts… Elle épuisait les vachettes. D’où le fait que cette technique n’était pas du tout rentable sur le long terme. A court terme, tu gagnais plus… Mais au bout de cinq ans, ta vachette elle était tarie. Et tu perdais alors une infinité de lait que tu aurais pu gagner…
« Tes réserves de lait sont totalement épuisées, Cassandre. Le dernier garçon qui t’a pénétré, c’était juste pour le plaisir. Ton corps ne produisait alors plus de lait. Tu as épuisé toutes tes réserves.
- Autrement dit, tu vas pouvoir passer ta soirée sans craindre de fuite ! »
« Merci beaucoup ! »
La gestion de Mélinda était bien plus efficace sur le long terme. Elle ne fatiguait pas la vachette, elle l’encourageait. Elle trouvait ce qui stimulait le lait, chez Cassandre, les activités sexuelles, et en profitait. Cela lui permettait de gagner une belle production de lait, pas trop ni pas assez, et ainsi, de ne pas trop fatiguer la vachette. Ainsi, peut-être que dans dix ans, Cassandre n’aura que vingt-huit ans… Et bien, elle aura toujours d’aussi beau sein, et donnera toujours autant de lait. Là, c’était une question de stratégie. Qu’est-ce qui était préféré ? Investir sur le long terme ou produire beaucoup très rapidement ? Parfois, la seconde solution, selon sa situation, était la meilleure. Parfois, c’était plus intéressant pour quelqu’un, d’avoir beaucoup d’un seul coup, pour vendre et investir dans une autre vachette plus tard…
Mais pour les vachettes, et bien, c’était souvent catastrophique, et beaucoup de vachettes mourraient jeune à cause de ça… En comparaison ? Et bien, Cassandre, elle, elle était dans un bain entrain de profiter et de se laver. Elle avait bien appris ce que sa maîtresse lui avait fait apprendre, et donc, elle se débrouillait très bien toute seule, pour se laver… On pouvait dire donc que Melinda avait fait un choix qui était donc responsable sur la durée… Mais qui en plus était responsable pour la santé de la vachette… Elle prenait soin de sa vachette, elle prenait soin d’elle et faisait en sorte que celle-ci soit en bonne santé. Et ça, c’est une très bonne chose ! Cela montrait bien que Cassandre n’était pas qu’un simple investissement, elle était une jeune vachette qui était la bienvenue et qui allait se faire pouponner et occuper, autant qu’elle donnait du lait… Bref, ainsi, alors qu’elle était au début seule…
« Ta première journée s’est bien passée, Cassandre ? Tu sais que tu es très précieuse pour Maîtresse… C’est moi qui vous guiderai ce soir au cinéma, Cassandre, toi et les autres... »
« C’était génial ! »
Elle sauta alors dans les bras de son interlocutrice, pressant alors son corps contre cette dernière. C’est là que celle-ci put remarquer qu’en effet, les lycéennes ne lui avaient pas menti -dans le cas où elle leurs aurait demandés-. En effet, la vachette n’avait bel et bien plus de lait pour le moment, elle avait réussi à être solidement pompée pour donner tout ce qu’elle avait. En effet, Leyli venait de rejoindre le bain. Cassandre se souvenait d’elle, et était très contente de la revoir. Oui oui ! Très contente ! Je sais qu’auparavant, elle avait fait un truc genre elle était vexée… Mais je vous rappelle qu’on parle de Cassandre… Donc, d’une vachette qui n’est pas capable d’en vouloir à quelqu’un… Là, elle était de toute façon trop contente de le voir avec elle dans son bain, qu’elle était toute excitée… Et donc, comme toujours quand on est Cassandre et qu’on est surexcitée, qu’est-ce qu’on fait… ? On pose des tas et des tas de questions… !
« C’est super gentil de votre part de nous amener ! J’ai jamais été au cinéma ?! Et vous ?! C’est bien ? On y fait quoi ? »
Elle bombarda de questions son interlocutrice, car elle était très enthousiaste, et comme elle savait qu’elle ne savait pas grand-chose… Pour pas dire rien du tout, et bien, elle faisait en sorte de dire le plus de chose possible pour tenter d’apprendre le plus possible… Ce qui était pas très intelligent de la part de Cassandre, car comme elle n’était pas très intelligente, douée pour se concentrer, etc. Et bien, quand on lui faisait ça, elle ne prenait après pas assez le temps pour tenter de bien tout comprendre… Et finalement, elle ne maîtrisait pas tout ce qu’elle avait appris. Bref, vous comprenez un peu le soucis avec une vachette comme Cassandre… Beaucoup, énormément de bonne volonté, mais là haut, dans le cerveau, et bien ça ne suivait pas toujours… Comme quoi… Finalement après une pause elle déclara :
« Les vachettes y sont acceptés, ou je devrais me déguiser ? »
Après la petite pause pour souffler, elle posa là, enfin, vraiment une question intéressante… Qui montrait que si Cassandre était pas très intelligente, elle n’était pas stupide pour autant. Elle savait bien que les vachettes, ici, ce n’était pas courant. Hors, si ce n’était pas courant, sans doute que cela devait pas se balader partout. Donc, la fameuse vachette faisait attention, et demandait quelques conseils… Faut dire, sans aucun conseil, Cassandre ne ferait pas long feu dans la nature. Elle se ferait immédiatement capturée. Alors, imaginez dans une ville terrienne… Une belle femme comme Cassandre, naïve et gentille, qui se promène là où plusieurs hommes de passe, ou tout simplement violeur… Bref, heureusement qu’elle allait avoir un chaperon avec elle… Car sinon, Melinda risquait de pas la revoir de sitôt la vachette ! Pas de la faute de la vachette, mais quand même ! Fallait le dire !
-
Cassandre ne le réalisait peut-être pas, mais elle était effectivement très bien tombée. Pour fidéliser ses esclaves, Mélinda n’hésitait pas, quand le besoin s’en faisait ressentir, à leur parler du sort réservé à d’autres esclaves. Mais, pour l’heure, il était préférable d’épargner à Cassandre le récit de certaines Ushis qui faisaient de l’élevage en batterie. Pour l’heure, l’Ushi était chouchoutée, traitée comme une petite Princesse. Elle prenait un bain, elle avait sa propre chambre, mangeait bien, et était régulièrement câlinée. C’est ce qui faisait de Mélinda une Maîtresse si redoutable, car elle dominait ses possessions par la douceur, par l’amour, par les sucreries et par une forte affection. Leyli prenait ainsi soin de la belle Cassandre, qui lui posa plusieurs questions.
Souriant doucement, Leyli lui expliqua donc sommairement ce qu’était le cinéma, tout en la câlinant, et en lui administrant plusieurs baisers, frottant ses jambes contre les siennes.
« Le cinéma, c’est une séance qui dure entre 90 et 120 minutes, où nous regardons un film, ma chérie… Mais nous faisons aussi d’autres trucs, mais ça, tu verras sur place, petit bout. »
Les surnoms affectueux étaient légion avec Cassandre. Leyli sortit de l’eau avec elle, et continua à la pouponner, la nettoyant avec sa serviette, sentant ensuite son corps se presser contre le sien. Les gros seins de Cassandre se collèrent aux siens, et Leyli alla lui rouler un délicieux baiser. Sa main se posa sur ses cheveux, et elle prolongea le baiser pendant de nombreuses secondes. Son autre main alla même flatter les seins de Cassandre, et, cette fois, il n’y eut aucune projection de lait, pas même une seule petite goutte. Leyli pinça même le téton, mais, comme prévu, rien ne sortit. Cassandre était bel et bien vidée de son lait. La belle Leyli éloigna ensuite ses lèvres de la femme, et lui sourit tendrement.
Rompant le baiser, Leyli s’écarta, puis fit s’asseoir Cassandre sur un fauteuil, avant de la coiffer, tout en répondant enfin aux autres interrogations de l’Ushi :
« Tu porteras encore ton collier, mais oui, tu ne peux pas sortir avec tes oreilles. Je pense que le mieux est de te mettre un béret, vu la présence de tes cornes. Sinon, on aurait pu te mettre un simple serre-têtes, mais ça ne passera pas avec tes cornes… »
Leyli avait visiblement bien réfléchi, et, de plus, elle trouvait très mignonne de faire porter à la belle Ushi un délicieux béret. Elle termina donc de la coiffer, puis guida ensuite Cassandre dans une salle d’habillage. La jeune Ushi en sortit habillée de manière urbaine. Si elle avait toujours des sous-vêtements blancs avec des tâches noires, elle portait aussi un jean, et un chandail blanc. Leyli termina en lui mettant sur les épaules une belle veste rose… Puis son béret bleu, qu’elle vissa soigneusement sur son crâne.
« Voilà ! Regarde comme tu es mignonne, Cassandre ! Une vraie petite beauté ! »
Se tenant dans son dos, Leyli déposa un gros baiser sur l’une de ses joues, tout en l’enlaçant avec ses mains, restant tendrement collée à elle.
« Tu vas faire fureur ce soir, tu sais… » glissa-t-elle ensuite.
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Cassandre ne pouvait pas demander mieux… Elle était toujours choupinée… Mais elle avait un peu peur… On disait que c’était bien qu’elle n’avait plus de lait… Mais quand même, les vachettes doivent avoir du lait… Heureusement que Melinda comprenait… Demain, elle en aurait de nouveau. Mais quand même.. Non ! Pas d’inquiétude, elle devait se concentrer sur le cinéma ! Et oui, derrière notre fameuse vachette, parfois, elle a un peu de peur… C’est étonnant quand même, quand on savait à quel point elle était toujours contente ! Bref, la fameuse vachette ainsi, écouta attentivement les déclarations de son interlocutrice pou en savoir plus. Car le savoir, c’est le pouvoir… Pouvoir aider plus sa maîtresse ? Oui, c’était sans doute ça ! Sans aucun doute même ! Bref !
« Le cinéma, c’est une séance qui dure entre 90 et 120 minutes, où nous regardons un film, ma chérie… Mais nous faisons aussi d’autres trucs, mais ça, tu verras sur place, petit bout. »
« Ooooh ! »
Elle n’osa pas dire qu’elle ne savait pas ce qu’était un film… Mais elle se souvenait de la partie de Mario Kart ! Donc, elle se disait que c’était peut-être proche ? Et pour les autres trucs ? Et bien, elle ne savait pas ce que c’était, mais ce n’était pas grave, étant donné que son interlocutrice avait sous-entendue qu’elle le saurait bientôt… Quoiqu’il en soit, les deux femmes sortirent de l’eau, et Leyli continua de choupiner la vachette… Un vrai baiser de plusieurs secondes, et quelques pincements aux seins qui montraient bien que la vachette n’avait pas de lait avec elle. On pouvait dire que la technique de Leyli, et celle de Melinda… Et bien, c’était la technique gagnante avec la fameuse Cassandre… Car plus on s’occupait d’elle, plus elle voulait bien faire, et s’améliorer… C’était une très bonne chose, n’est-ce pas ?
« Tu porteras encore ton collier, mais oui, tu ne peux pas sortir avec tes oreilles. Je pense que le mieux est de te mettre un béret, vu la présence de tes cornes. Sinon, on aurait pu te mettre un simple serre-têtes, mais ça ne passera pas avec tes cornes… »
« D’accord ! »
Cassandre se laissa habillée. Faut se rappeler que la vachette ne savait pas s’habiller. Et oui ! Elle n’avait jamais eu s’habiller. Bien sur, elle avait toujours portée son soutien gorge et sa culotte, car la nudité complète était parfois mal vue, dans certains milieu, mais c’était tout ! Tout de chez tout. En hiver, quand il faisait froid, elle se souvenait qu’elle se recouvrait juste de couverture, et c’est tout ! Donc, comme elle ne savait pas s’habiller, elle se laissa faire. Mais Cassandre, qui je le rappelle savait bien qu’elle était stupide, et qu’elle devait apprendre, regarda bien comment faire, pour mettre plus tard des vêtements… Et franchement, ce n’était pas dur ! Elle pourrait le faire toute seule, elle en était sûre… Et elle avait raison. Il n’y avait rien à craindre sur ses capacités à s’habiller sans problème… Bref, ainsi :
« Voilà ! Regarde comme tu es mignonne, Cassandre ! Une vraie petite beauté ! Tu vas faire fureur ce soir, tu sais… »
« Je suis trop mignonne ! »
Après avoir reçu un baiser sur la joue… Elle venait de se regarder ! Et ouais, car elle avait vu les vêtements quand on lui enfilait le tout… Mais il y avait une grande différence entre la tenue quand elle est encore par terre, ou entrain d’être mise… Et quand on la portait. Bref, c’était adorable à entendre : le petit « je suis trop mignonne », comme si elle le découvrait… Cela donnait un résultat absolument adorable. Elle regardait son béret, sa robe rose, son jeans… Elle bougeait les jambes, tournait sur elle même, découvrait comment elle était… Bref, elle était absolument adorable à voir, on sentait qu’elle aimait beaucoup cette tenue… Et qu’elle allait longuement l’admirer. Bref, cela montrait qu’une seule et unique chose… Elle était extrêmement contente… Et elle allait le montrer à son interlocutrice…
« MERCIMERCIMERCI !!! »
Elle sauta au cou de son interlocutrice et commença à lui faire de nombreux baisers… Et oui, une chose importante à dire sur Cassandre… Peut-être qu’on avait pas assez dit d’ailleurs… Elle était super affective. Et ouais, elle était du genre à être très très affectueuse, et dès qu’on commençait à lui faire du bien, et bien, elle commençait à devenir encore plus affectueuse. Melinda le savait très certainement étant donné qu’elle avait été la première témoin de cela… Et ouais, la fameuse vampire était aux yeux de la fameuse Cassandre son object d’affection numéro 1 ! Mais le numéro 2… Et bien, il y en avait des centaines, que dis-je, des milliers aux yeux de Cassandre de numéros 2 ! Vous allez me dire que c’était pas trop possible… Mais je vous rappelle qu’on parle de Cassandre. Et ouais, de suite, cela veut tout dire… Donc, quoiqu’il en soit, la vachette était super contente de son look, et de celle qui l’accompagnait…
-
Leyli avait vite compris que Cassandre était une petite Ushi qui débordait d’affection, et qui n’hésitait pas à en faire preuve dès qu’elle en avait l’occasion. Et là, en s’observant, elle bondit sur la femme, lui laissant une série de baisers. Souriant doucement, Leylie empoigna ses cheveux, et l’embrassa alors sur les lèvres, tout en poussant en avant, renversant ainsi la belle Ushi sur le lit. Là, Leyli continua son baiser, frottant son corps au sien, sentant les jambes de Cassandre se resserrer sur elle. Avec son débardeur rose et son jean, ses formes étaient très bien moulées, et c’était là l’objectif voulu par Leyli. Elle aurait aussi pu simplement la doter d’une robe, mais elle préférait mouler son beau cul. Visiblement, Cassandre n’étouffait pas trop, et Leyli continua donc son baiser, pendant une bonne minute.
Finalement, elle le rompit en lui souriant, constatant qu’elle avait posé ses mains sur les épaules de la femme.
«
Non, non, on va rester raisonnables, Cassandre, ou nous allons arriver en retard... »
Et ce serait dommage ! Leyli se redressa donc, et attrapa la main de Cassandre. Les deux filles rejoignirent le reste de la bande, composée de deux autres filles, que Leyli lui présenta rapidement :
- Erika (http://img110.xooimage.com/files/4/7/e/kazua-50e1516.jpg). Erika venait de terminer le lycée, et était depuis lors une étudiante à l’université de Seikusu. Très belle, elle avait une magnifique poitrine, et était depuis plusieurs années l’esclave de Mélinda. Elle avait d’ailleurs redoublé une année après être tombée enceinte au manoir. Une jeune femme très chaleureuse, qui salua Cassandre par une série de baisers, en lui indiquant qu’elle avait fait partie des femmes l’ayant sodomisé ce matin. Elle était la moins vêtue des quatre, avec un très court débardeur blanc mettant en valeur son opulente poitrine, et une minijupe noire très courte avec des bords blancs ;
- Asuka (https://cdn.discordapp.com/attachments/240597030546833408/419542691735666701/00004231_02.jpg). Benjamine du quatuor, Asuka avait rejoint le harem il y a à peine quelques semaines, presque volontairement. Ayant grandi à Seikusu, elle avait entendu parler, au collège, par le biais de son grand-frère, du lycée Mishima, et de Maîtresse Warren. Son frère était d’ailleurs un esclave, et, dès qu’Asuka avait rejoint le bon âge, elle avait été dépucelée par son frère et par sa Maîtresse. Autant dire qu’Asuka était une jeune fille très immorale, qui rêvait maintenant que sa mère, sexuellement frustrée depuis que son mari avait divorcé, devienne aussi une esclave de Mélinda !
«
Moi aussi, je t’ai pénétré ce matin, Cassandre, tu es vraiment très bonne... Et mon frère t’a pris cet après-midi, il a adoré tes meuglements ! »
Au sein du manoir, la morale sexuelle et les bonnes mœurs étaient abandonnées sur le palier. Leyli connaissait d’ailleurs la mère d’Asuka, qui était une amie d’un club de littérature. Elle était en train de planifier la capture de la mère d’Asuka, afin de la convertir ensuite à la soumission, et en faire l’esclave de sa Maîtresse. Pour les vampires, l’inceste était quelque chose de très naturel, et qui était souvent très apprécié.
«
Bon ! Allons-y, les filles ! »
Leyli rejoignit sa voiture. Le manoir comprenait plusieurs garages, et elle avait une belle Toyota GT86 rouge (https://images.caradisiac.com/images/0/2/6/4/90264/S1-Toyota-GT86-4-portes-d-abord-un-concept-306555.jpg). Elle grimpa à l’intérieur, et Cassandre fila à l’arrière, à côté d’Asuka, qui l’aida à mettre sa ceinture de sécurité. Leyli démarra ensuite, et roula dehors... Et, très récemment, Asuka alla embrasser Cassandre, fourrant sensuellement sa langue dans sa bouche.
«
Oh... Je comprends pourquoi tu es la coqueluche du harem, toi ! Tu es si belle, ma chérie... Tes lèvres sont si douces, si tendres... »
Et Asuka s’empressa de l’embrasser encore !
-
L’affection de Cassandre était dangereuse, on le voyait là. Pourquoi dangereuse ? Et bien, car quand on avait quelques choses à faire… C’était difficile de ne pas céder à la mignonneté de la vachette, et faire donc complètement autre chose. Le pire, c’est qu’elle faisait pas exprès. Elle faisait pas genre elle faisait exprès de tenter d’attirer les gens, genre notre vachette devenait une succube. Non, elle faisait vraiment cela car elle pensait bien faire ! Bref, heureusement, Leyli se rappelait que là, elle avait plus important à faire que s’occuper de la vachette… Donc, elle accompagna la fameuse vachette vers la voiture, pour la fameuse aventure qui les attendaient… Aller au cinéma avec une vachette aussi excitée et enthousiaste, cela risquait de faire des étincelles… Mais cela allait sans doute être assez drôle si vous voulez mon avis !
Bref, donc, elles furent rejointes par deux autres femmes. La première fort peu vêtue, était comme Leyli une femme à gros seins. Cependant, notre chère Cassandre avait appris de son erreurs précédentes. Des gros seins ne voulaient pas forcément dire que c’était des vachettes. D’ailleurs, Cassandre restait celle qui avait les plus gros seins de tous, mais elle trichait. L’autre demoiselle ressemblait plus aux lycéennes que la fameuse Cassandre avait pu voir. Elles semblaient toutes très enthousiastes d’être là, que cela soit dans le harem ou dans cette voiture pour aller au cinéma. Bref, nous avions affaire à une belle équipe, toutes composées de filles plus charmantes les unes que les autres… Bref que du bonheur, si vous voulez mon avis !
« Moi aussi, je t’ai pénétré ce matin, Cassandre, tu es vraiment très bonne... Et mon frère t’a pris cet après-midi, il a adoré tes meuglements !
-Bon ! Allons-y, les filles ! »
Oooh ! C’était donc des personnes qui la connaissait ! Elle avait un peu honte, mais elle ne se souvenait plus bien. De ce qui s’était passé de la journée, et bien, elle se souvenait très bien de Leyli, quelques lycéennes… Et surtout et avant toutes choses, Melinda, qui était bien entendue quand même la plus importante. Bah oui, Melinda, c’est Melinda ! La seule et l’unique… D’ailleurs, elle était un peu déçue qu’elle ne vienne pas au cinéma. Quoiqu’il en soit, elle découvrait alors la voiture. Elle n’avait jamais été dans une voiture, donc, elle avait un peu peur, et elle fut surprise quand elle fut « attachée ». Elle ne s’y attendait pas. Pourquoi elle était attachée ? Elle n’avait pas conscience des notions de sécurité ! Après s’être fait embrassée sur la bouche, elle écouta les déclarations...
« Oh... Je comprends pourquoi tu es la coqueluche du harem, toi ! Tu es si belle, ma chérie... Tes lèvres sont si douces, si tendres... »
« Hihi ! Je fais très attention ! Mmh... »
Evidemment, pas besoin de préciser qu’elle attendit la fin du baiser pour y répondre. Baiser qu’elle apprécia extrêmement, étant donné qu’elle adorait tout ce qui était buccale. Les fellations comme les baiser. C’était un peu pareil les deux d’ailleurs, sauf que cela n’avait rien à voir, mais c’était quand même pareil car c’était la bouche dans les deux cas. Oui, je vous rappelle qu’on parle de notre chère Cassandre. Elle était du genre à se faire ce genre de reflexion sans queue ni tête. Faut dire, c’était une vachette, et elle n’était pas extrêmement douée dans tout ce qui était reflexion. Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse jeune vache était donc concentrée sur ce qu’elle disait, et d’une manière un peu fière, fière de pouvoir expliquer comment fonctionnait une Ushi, elle déclara d’un ton toute contente :
« Une bonne Ushi est une vachette affective, et qui donne beaucoup de lait. Et pour maîtresse Melinda, je serais parfaite ! »
Sauf que non. Enfin, si, une bonne Ushi donne beaucoup de lait. Mais plusieurs personnes ne cherchaient pas spécialement d’affection dans leurs Ushis. Juste éventuellement une grande réserve de lait, et pour certains, un vide-couille. Mais les Harmingtons avaient toujours fait en sorte d’éduquer leurs Ushis pour qu’elles servent autant de servantes que de simple réservoir de lait. Vous comprenez un peu la différence ? Bref, quoiqu’il en soit, on sait que la vachette était toute curieuse, mais il y avait une question, une question qui brulait les lèvres de la vachette, mais qu’elle n’avait pas pu poser auparavant… Maintenant qu’il y avait plein de filles, elle pouvait en profiter, et enfin demander quelques choses qui l’intéressait fortement, c’est à dire…
« Et vous, vous faites quoi ? Les gens, ils font quoi quand ils donnent pas de lait ? »
Voilà, la fameuse question. Cassandre ne connaissait pas les métiers, etc. Et elle devinait que toutes n’étaient pas des fermières. Donc, elle voulait vraiment savoir, car elle était curieuse. Bien sûr, elle se posait la question, mais si on ne voulait pas lui repondre, elle comprendrait amplement. Après tout, elle n’était qu’une vachette, et peut-être que tout cela étaient des mystères qui étaient seulement réservés aux plus intelligentes ! Et donc, inaccessible pour de simples vachettes telle qu’elle. Mais voilà, peut-être qu’elle aurait quelques réponses, et cela, rien que cela, cela la mettait en joie. En même temps, vous allez me poser la question… Qu’est-ce qui ne met pas en joie la fameuse Cassandre… ? Les endives. Elle déteste les endives. Non sérieux, ne donnez pas d’endives à Cassandre. C’est pas cool.
-
La voiture roulait vers le centre-ville, afin de rejoindre le cinéma de Seikusu. Un très grand cinéma, comprenant une dizaine de salles. Il y en avait d’autres, bien sûr, mais Leyli préférait se rendre au plus grand. Pendant ce temps, elle regardait régulièrement dans le rétroviseur, voyant Cassandre et Asuka se rouler régulièrement des pelles, et sourit doucement. Au sein du harem, il n’y avait pas de tabous, et surtout pas en matière sexuelle. Asuka avait donc librement avoué à Cassandre qu’elle lui avait fait l’amour ce matin, avant d’être rejointe par son petit-frère. Très clairement, chez Mélinda, la morale sexuelle se terminait devant la porte. Toutefois, plus précisément, c’était quelque chose de commun à tout Seikusu. Quelque chose dans l’air, comme dirait Phil Collins... Elle roulait tranquillement, et sourit ensuite quand Cassandre leur demanda ce qu’elles faisaient quand elles n’étaient pas occupées à produire du lait.
Souriant doucement, Leyli regarda dans le rétroviseur pour lui répondre en s’arrêtant à un feu rouge.
« Je vais peut-être te surprendre, Cassandre, mais ma vie ne se résume pas qu’à donner du lait. »
C’était sans aucun doute une révélation pour Cassandre. La vachette ne vivait que grâce à ses seins, pour produire du délicieux lait.
« Nous étudions, surtout, précisa Erika. Asuka est au lycée, et moi à l’université. C’est... Nous apprenons des connaissances, pour faire simple.
- Et, sinon, on s’amuse ! On sort, on va au cinéma, on joue aux jeux vidéos, on lit des bandes dessinées, on écoute de la musique...
- Maîtresse nous laisse une grande liberté, Cassandre. Tu y iras droit, toi aussi, mais... Toi, c’est différent, tu ne connais pas la Terre, alors on ne peut pas te laisser sortir toute seule... Au début, du moins. »
La voiture se rapprocha ensuite de l’une des routes qui menait des quartiers résidentiels, en hauteur, vers le centre-ville, plus bas. C’était un spectacle féérique, une véritable « ville de lumière », qui attirerait sûrement l’attention de Cassandre. Sur ce point, la vachette avait un comportement assez enfantin, très innocent... Même après avoir passé une journée entière à faire l’amour. Continuant à rouler, Leyli rejoignit ainsi le centre-ville seikusien, très éclairé, et comme toujours assez animé. Des panneaux lumineux en façade le long des bâtiments, de belles avenues animées...
Leyli s’arrêta à un carrefour.
« Tiens, je vais te faire écouter de la musique, Cassandre... »
Elle lança le lecteur MP3, et opta pour un grand classique des années 1980’s, afin de voir si Cassandre aimait danser : « Take On Me (https://www.youtube.com/watch?v=djV11Xbc914) » du groupe a-ha.
Et Leyli était assez impatiente de voir ce que Cassandre allait en penser...
-
La conduite en voiture se passait bien.. ? Tant mieux ! Vraiment tant mieux… Car cela n’avait pas été assuré. Elle n’avait pas eu peur. Il fallait préciser, car elle aurait très bien pu prendre peur aisément. Mais non, heureusement, la vachette était restée parfaitement calme, et elle n’avait pas peur de la voiture. Ouf ! Car beaucoup de terranides craignaient les véhicules à moteurs, choses qui n’existaient pas bien souvent dans leur réalité… Mais Cassandre était une vachette très courageuse, il faut bien le dire, donc, cela faisait qu’elle n’avait peur de rien. Au contraire ! Enfaite, si elle avait peur de beaucoup de choses. Par exemple, les serpents ! Brrr ! C’est très vilain et méchant les serpents, elle ne veut pas en voir, oust ! Pssshit ! Oust ! Bref, quoiqu’il en soit, elle écouta alors les déclarations de son interlocutrice :
« Je vais peut-être te surprendre, Cassandre, mais ma vie ne se résume pas qu’à donner du lait. »
Elle ne fut pas tant surprise. Elle devinait que c’était exclusif aux vachettes de résumer leur vie au lait… Et que même une vachette pouvait faire autre chose ! Alors, bien sur, toutes ses autres choses seraient totalement secondaire par rapport à la prise de lait -faut pas déconner non plus, on parle de Cassandre quand même-, mais voilà ! Bref, ainsi, ce qu’elle demandait, c’était surtout quoi faire ! C’était le grand soucis des vachettes… Elles n’étaient que très peu éduqués, donc, elle connaissait mal comment s’occuper dans la vie, et ainsi, cela faisait qu’elle ne savait pas jouer à des jeux vidéos, lire des livres, faire des activités genre danser en discothèque… Bref, elles n’étaient pas adaptés à une vie moderne et contemporaine… Ainsi, elle écouta soigneusement les déclarations suivantes :
« Nous étudions, surtout, précisa Erika. Asuka est au lycée, et moi à l’université. C’est... Nous apprenons des connaissances, pour faire simple.
- Et, sinon, on s’amuse ! On sort, on va au cinéma, on joue aux jeux vidéos, on lit des bandes dessinées, on écoute de la musique...
- Maîtresse nous laisse une grande liberté, Cassandre. Tu y iras droit, toi aussi, mais... Toi, c’est différent, tu ne connais pas la Terre, alors on ne peut pas te laisser sortir toute seule... Au début, du moins. »
« Oui, c’est normal ! Je suis moins intelligente que vous ! »
En effet, cela serait une catastrophe si Cassandre sortait toute seule… Elle se retrouverait dans la rue, et elle ne saurait pas quoi faire. Et imaginez avec sa naïveté et sa gentilesse ! La ville pour elle semblait être un endroit merveilleux, et elle était du genre à penser que tout le monde était gentil tout plein dans le monde. Sauf que non, dans les faits, le monde est loin d’être remplie de personne uniquement aux bonnes attentions. Et pour une jolie vachette pour Cassandre, il est sur que si elle était libérée à un endroit sans surveillance, elle finirait mal… Heureusement, dans le fameux harem de Melinda, la vachette pouvait être accompagnée et surveillée… Mieux valait limiter le plus possible sa liberté, enfaite, car cela pourrait mal finir… Et mal finir pour la fameuse vachette surtout ! Car dans les faits, si la vachette était capturée, elle serait la première triste de son sort !
« Tiens, je vais te faire écouter de la musique, Cassandre... »
« Oh ? »
Elle allait découvrir quelques choses ! Oui !!! C’était trop cool ! Bref, la jeune vachette alors s’installa, tandis que le MP3 commençait à être installé. Le MP3 passa en mode haut-parleur, car il était difficile de mettre des écouteurs à Cassandre. Elle avait des oreilles de vache, et malheureusement, les écouteurs n’étaient pas fait pour les vachettes comme elle. Dommage ! Faut dire le marché n’est pas spécialement grand. Mais passons sur ce point. D’abord, la musique fut instrumentale, très dansante, et la vachette écouta. Elle aimait bien, bien qu’elle n’avait pas l’habitude. Elle sursauta quand des paroles arrivèrent. Ce fut rigolo de voir, car dans un premier temps, elle regarda tout autour d’elle, pensant que c’est quelqu’un qui chantait quelques part. Ce fut après un petit moment qu’elle comprit que cela venait du MP3. Ainsi, elle déclara… D’une voix un peu forte disons…
« C’EST SYMPA !!! J’AIME BEAUCOUP ! C’EST JOLI ! »
OUAH ! Mais pourquoi elle hurle ? Enfaite, elle avait l’impression qu’avec la musique, on allait pas l’entendre ! Donc, voilà ! Il fallait la rassurer, et lui dire qu’on pouvait très bien l’entendre malgré la musique, c’est important. Mais bref, elle aimait bien la musique. C’était la première fois qu’elle entendait vraiment de la musique. Elle avait déjà entendu des gens chantonner, elle avait déjà entendu de la musique au loin… Mais elle n’avait jamais entendu de vraie musique, de musique instrumentale accompagnée de chant… Et elle aimait visiblement ça ! Alors, elle comprenait RIEN DU TOUT à ce qui était dit, mais c’était pas grave, l’important, c’était que c’était joli… Elle écoutait alors, puis elle demanda curieuse :
« MAIS COMMENT CA FAIT POUR FAIRE DE LA MUSIQUE ? LA BOITE PEUT PAS FAIRE CA TOUT SEULE ! »
Alors attention… ELLE NE PENSAIT PAS QU’IL Y AVAIT DES PETITS BONHOMME DANS LE MP3. Je tiens à préciser, car c’était un grand classique. Non, Cassandre devinait que même une fée n’entrerait pas dans une aussi petite machine… Bref, cela allait être complexe là. Car comment expliquer à la fameuse jeune vachette aux cheveux roses la complexité du fonctionnement d’un MP3 ? Et ouais, qu’on soit claire, elle était loin, TRES loin d’être assez intelligente pour comprendre le fonctionnement complexe d’un MP3… Non, donc, il allait falloir trouver une solution pour réussir à lui expliquer quelques choses de complexe, sans être trop cryptique pour la jeune vachette… Vous voulez mon avis ? Cela allait être complexe. On va bien voir comment les différentes femmes vont trouver une solution… En tout cas, Cassandre continuait d’écouter, et ça lui plaisait !
-
Mélinda avait beau avoir beaucoup d’individus gravitant autour d’elle, les goûts musicaux d’une écrasante majorité se résumaient principalement au rock, et à la musique de variété des années 1980’s. Il y avait toutefois aussi beaucoup de musique pop japonaise, la fameuse J-Pop, mais celle-ci n’était qu’un lointain héritage des morceaux des années 1980’s. Et « Take On Me » était justement une musique de pop rock ! Cassandre était sous le charme, et fit sourire Leyli en hurlant, demandant à savoir comment cette étonnante magie fonctionnait.
« Pas la peine d’hurler, trésor, on t’entend très bien ! »
Leyli continuait à tenir le volant, se rapprochant lentement du cinéma, et, pour prolonger cette séance d’apprentissage, choisit de prendre un léger détour, s’engageant dans un nouveau boulevard.
« Non, la boîte ne fait pas ça toute seule, Cassandre. La musique est contenue dans la mémoire de cet appareil. Tu sais ce que c’est, la mémoire, n’est-ce pas ? Et bien... Disons que cette boîte peut contenir une mémoire électronique. J’y ai mis dedans des musiques que nous pouvons ensuite écouter. »
Leyli n’allait pas rentrer dans les détails. Après tout, elle-même ignorait le fonctionnement précis du lecteur mp3, ou comment il était possible, à travers des signaux électroniques, de retranscrire des sons.
« C’est la technologie, tout simplement. Je ne pourrais pas t’expliquer dans le détail, ma belle, j’ignore moi-même comment ça fonctionne. Bref, tu veux en écouter une autre ? »
Cassandre ne put qu’acquiescer, et Leyli choisit une autre musique de son répertoire, plus moderne, mais tout aussi rythmée : « Sky Full Of Stars (https://www.youtube.com/watch?v=VPRjCeoBqrI) », de Coldplay. Une musique très réussie.
« Profite, Cassandre, mais rassure-toi, il existe des millions et des millions de chansons ! »
C’était un monde tout nouveau qui s’ouvrait à elle !
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C’était ce genre de moment qui sont extrêmement précieux pour Cassandre. La vachette n’était pas très intelligente et… Stop. Stop. Pourquoi stop ? Et bien, on va parler un peu. Enfaite, je dis souvent que Cassandre n’était pas très intelligente… Ce qui est vraie et faux. Car pourquoi elle n’est pas très intelligente ? Et ouais, on l’a jamais dis. Et bien voilà pourquoi… Car elle n’a pas de connaissance. C’est pour cela qu’elle est pas intelligente. Elle a jamais rien appris. Ainsi, le fait de pouvoir prendre la voiture, et discuter avec ces différentes filles, et bien, cela lui permettait d’apprendre pleine de chose ! Et donc, de devenir plus intelligente, plus cultivée. Et ça tombait bien, car Cassandre avait là, la meilleure qualité du monde… Elle était extrêmement curieuse, et donc… Avide de savoir !
« Pas la peine d’hurler, trésor, on t’entend très bien ! »
Oh. Oui, en effet. On avait pas besoin d’hurler. Elle s’était trompée ! Comme quoi, elle avait vraiment beaucoup à apprendre ! Bref, c’était mieux… Car hurler, bah, ce n’était pas très agréable ! Elle préférait parler normalement comme… bah euh n’importe qui enfaite, qu’on soit clair. Mais que voulez-vous, nous avions affaire à Cassandre, et notre chère vachette était du genre à tout expérimenter. Quand elle découvrait quelques choses, elle voulait de suite expérimenter. Là, elle avait cru qu’elle devait parler fort, très fort, pour être bien être audible malgré la musique. Maintenant qu’elle y réfléchissait, cela avait été assez stupide de sa part ! Bon sang de bonsoir, elle devait vraiment apprendre à être plus efficace ! Quoiqu’il en soit, elle écouta attentivement les déclarations suivantes.
« Non, la boîte ne fait pas ça toute seule, Cassandre. La musique est contenue dans la mémoire de cet appareil. Tu sais ce que c’est, la mémoire, n’est-ce pas ? Et bien... Disons que cette boîte peut contenir une mémoire électronique. J’y ai mis dedans des musiques que nous pouvons ensuite écouter. »
Oh d’accord… On apprenait à ces boites à faire de la musique ! D’accord ! Il devait y avoir des moyens de leur apprendre, un peu comme quand on lui apprends des choses ! C’est fou ce qui était possible maintenant de nos jours. On pouvait même apprendre à des boites à faire de la musique ! Ce qui était quand même plus pratique qu’apprendre à des humains. Elle se demandait si la boite, elle comprenait rapidement, ou bien si elle était comme la vachette, et qu’elle n’arrivait pas à comprendre vite ? Qu’il fallait lui expliquer longtemps ? Peut-être qu’elle devait souvent écouter la musique ! Oh, et, elle, elle oubliait souvent, donc, cela devait sans doute arriver sans soucis à la boite… Donc, c’est pour cela qu’il fallait souvent l’utiliser !
« C’est la technologie, tout simplement. Je ne pourrais pas t’expliquer dans le détail, ma belle, j’ignore moi-même comment ça fonctionne. Bref, tu veux en écouter une autre ? »
« Oui oui !! »
Alors, on va bien le dire, elle comprenait rien du tout à la technologie… faut dire, à part les machines à traire, elle ne cotoyait pas beaucoup de technologie… C’était même un peu antinomique même. Les Ushi sont du genre à vivre un peu comme des hippies… Mais Cassandre, elle, elle n’avait rien contre la technologie ! Au contraire, cela l’intriguait plus qu’autre chose ! Donc, elle avait envie de découvrir tout ce qui était cette technologie… Et surtout… Bah, maintenant, elle découvrait donc tout juste ce qu’était le monde de la musique. Elle venait de commencer à écouter des chansons pour la première fois, et elle n’avait pas envie que cela s’arrête de suite ! Ainsi, elle approuvait totalement l’idée d’en découvrir une autre. On allait bien voir ce qu’elle en penserait. Peut-être qu’elle allait ne plus trop apprécier certains genre, et grave en kiffer d’autres ! C’était une question intéressante.
« Profite, Cassandre, mais rassure-toi, il existe des millions et des millions de chansons ! »
« Tellement ! »
Elle écoutait cela, tout en étant totalement… Abasourdi par les déclarations de son interlocutrices… Des… Des millions ?! Mais comment faire pour toute les écouter ? Sérieux ? C’est incroyable ?! Elle n’arrivait pas à croire ! Il lui faudrait tant, mais alors tant de temps pour toute les écouter ! Car ouais, elle était motivée, mais vraiment motivée… Pour tout écouter ! Alors, qui lui dit que c’est complètement impossible ? Personne n’ose ? Et ouais, on sentait qu’elle écoutait là, la musique avec grand plaisir, et qu’elle avait décidée de découvrir plus la musique… Qui aurait cru que notre chère Cassandre devienne une mélomane ! C’était une bonne chose ! Une très bonne chose, même si vous voulez mon avis ! Ce qui l’amena alors à dire :
« J’ai décidé mesdames… En plus de donner du lait... »
OH. MON. DIEU. Là, attention, vous avez un jour à noter d’une pierre blanche. Véritablement. Pourquoi cela ? Et bien, on l’a longuement dit, une vachette vivait avant tout pour donner du lait. Pour elle, c’est le principal. Les vachettes sont éduqués ainsi, elles apprennent toute leur vie l’importance de donner leur lait. Et bien entendu, notre fameuse Cassandre n’échappait pas à la règle, pas du tout… Mais si elle disait « en plus », cela montrait bien que maintenant, le lait partageait cette importance avec quelques choses d’autres… Et cela, cela avait son importance, une importance non négligeable à mentionner. Donc, qu’allait dire la fameuse Cassandre… Et bien, c’était bien entendu en rapport avec ce qui avait été dit avant :
« JE VAIS APPRENDRE A LA BOITE UNE CHANSON MOI AUSSI ! »
Alors, attention. Tout à l’heure, Cassandre hurlait. Là, elle était plutôt à parler forte, car elle était enthousiaste ! Et ouais, visiblement, cela, ce qu’elle avait entendue, et bien, elle décidait de se lancer dans la musique ! Alors, bien entendue, elle n’imaginait pas toutes les complications. Et ouais, elle ne pouvait pas connaître, elle manquait de connaissance sur ce point ! Bref, la fameuse vachette manquait totalement de connaissance sur ce point. Donc, que dire ? Et bien, on allait voir ce qu’allaient dire ses interlocutrices. Allaient être inquiète de cet enthousiaste tout d’un coup de ce que faisait notre Cassandre ? Ou au contraire, allait-elle trouver cela très amusant ? Voir encourager la fameuse jeune demoiselle Ushi à essayer, au moins, de faire une chanson un jour ? On allait bien voir !
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Cassandre découvrait une activité typiquement humaine : la musique. Comme elle venait de Terra, elle n’avait pas dû grandir en écoutant beaucoup de musique. Après tout, ce monde était majoritairement médiéval, et la musique n’était entendue que dans des endroits très précis : les auberges, les grands-places des villages, les bals… Des endroits où une jeune esclave n’avait pas dû se rendre souvent. Totalement hypnotisée par la musique, Cassandre laissa passer de longues secondes, avant de finalement avouer qu’elle avait désormais un autre grand objectif dans sa vie. Outre donner quotidiennement du lait, elle voulait aussi… Devenir une chanteuse ! Leyli sourit doucement, la regardant dans le rétroviseur.
« Vraiment ? C’est vrai que tu as de la voix et de l’énergie à revendre, après tout… »
La belle Ushi était sûre de son fait, ce qui amena immédiatement les filles à surenchérir :
« Tu sais, précisa Erika, nous disposons d’un groupe de musique au sein du manoir. Notre Maîtresse nous a laissé acheter tout un équipement.
- Je suis sûre que les filles seront ravies de te faire une place ! Une Ushi en tête d’affiche, ça ne se refuse pas ! »
Le moins qu’on puisse dire, c’est, qu’avec Mélinda, les filles n’étaient pas pauvres. Très riche, la vampire laissait ses esclaves acheter presque tout ce qu’elles voulaient. C’est ainsi que le manoir disposait de tout un ensemble de consoles de jeux vidéos, avec d’importantes collections, un matériel de pointe avec des télévisions géantes, des enceintes énormes… Et même une salle de concert ! La vampire dépensait sans compter, preuve de son immense richesse. Mais, pour elle, tout ça n’était pas grand-chose. En fait, la fortune de Mélinda venait surtout de ses revenus ashnardiens, et il existait à Seikusu des bourses illégales, qui convertissaient les fonds ashnardiens en fonds japonais. Or, la valeur monétaire ashnardienne était très largement supérieure au yen japonais. C’était une véritable économie parallèle qui existait, et dont Seikusu bénéficiait très largement, puisque Mélinda avait une adresse fiscale, et payait de lourds impôts pour son manoir. Et les multiples achats qu’elle faisait bénéficiaient à l’économie locale. Son installation électronique avait nécessité plusieurs sociétés, et autant dire que les ouvriers qui venaient avaient toujours plusieurs jours de retard, vu qu’ils finissaient souvent dans le lit, à coucher avec des lycéennes surexcitées pendant plusieurs heures, au détriment de l’installation des consoles et des téléviseurs.
Mine de rien, le manoir Warren se montrait très chaleureux avec ceux qui venaient ici. Les facteurs en savaient quelque chose, et se débrouillaient toujours pour arriver sur la pause du midi, afin de ne pas perdre trop de temps par la suite. Leyli regrettait souvent d’avoir quitté le manoir pour avoir son propre logement, mais elle y revenait de temps en temps, et profitait de sa position pour offrir à sa Maîtresse de nouveaux esclaves. Néanmoins, si une Ushi se trouvait au manoir, elle risquait d’y passer plus souvent.
« On en parlera à Maîtresse, elle acceptera, tu verras… Mais il faudra que tu suives des cours musicaux, tu sais, ça ne s’improvise pas, le chant ! »
Ou peut-être la musique ? Qui sait ce que Cassandre préférerait ? En tout cas, la voiture avait finalement rejoint le cinéma, et Leyli se gara sur le parking.
« On verra ça une prochaine fois, les filles, on est arrivées. »
Elles sortirent de la voiture, et Asuka vérifia encore le béret de Cassandre, puis glissa sa main dans le creux de la sienne, avant de l’embrasser une nouvelle fois, sans aucune autre raison que de goûter à ses lèvres. Leyli fit signe à ses troupes, et elles se rendirent sur le fronton du cinéma, avec une série d’affiches.
« Bon, vous voulez voir quoi ? »
Il y avait plusieurs films d’actions à l’affiche, des blockbusters hollywoodiens, dont un film d’action horror sur une invasion de zombies, « Zombicalipse », des films humoristiques, des films japonais…
« Allons voir les zombies ! proposa Erika.
- On tiendra Cassandre dans nos bras si elle a peur !
- Vous avez intérêt ! »
Le choix du film était fait, et le quatuor rejoignit ensuite la file. Il y avait du monde, et, sur plusieurs écrans, des bandes-annonces défilaient régulièrement.
Toute une nouvelle vie s’ouvrait pour la belle Cassandre !
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Vous connaissez une célèbre fake news ? Alors, c’était dans les années 90, un homme aurait fait écouter du Mozart à des vaches, et ainsi, celles-ci auraient produit plus de lait. Evidemment, les recherches scientifiques ont relégués cette déclarations à ce rang de légende urbaine qui sont amusantes à citer en soirée, mais qui concrètement, n’auront pas beaucoup d’influences sur la vie de tout les jours. Et bien, visiblement, Cassandre avait envie de relancer ce genre d’étude ! Alors ce n’était pas du Mozart, hein, mais visiblement, elle aimait la musique ! Bon, par contre, pas d’inquiétude, la vachette était toujours à sec pour le moment… Donc, il n’y avait pas à craindre que les seins de la vachette commencent à fuir ! Quoiqu’il en soit, les différentes personnes présentes semblaient intéressés par l’idée que Cassandre se lance dans la chanson…
« Vraiment ? C’est vrai que tu as de la voix et de l’énergie à revendre, après tout…
Tu sais, nous disposons d’un groupe de musique au sein du manoir. Notre Maîtresse nous a laissé acheter tout un équipement.
- Je suis sûre que les filles seront ravies de te faire une place ! Une Ushi en tête d’affiche, ça ne se refuse pas ! »
On pourrait croire que c’était un coup de tête… Et qu’on soit clair ça y ressemblait. Mais je vous rappelle que c’est Cassandre. Cassandre n’était pas du genre à dire quelques choses sans le faire à 100 %. Donc, oui, c’était un coup de tête, mais elle voulait vraiment le faire, elle voulait devenir une chanteuse, elle voulait apprendre à la boite de la musique ! Car c’était génial ! En tout cas, il était vrai que Cassandre pouvait devenir une chanteuse intéressante. Dans un monde « d’idol » à la Japonaise, Cassandre pouvait être intéressante. Jolie et gentille, naïve et sympathique, elle avait un peu tout de l’idol japonaise telle qu’on l’imaginait… Et le corps de rêve de la vachette permettrait vite une popularité pas forcément lié à la qualité de la musique d’ailleurs. Quoiqu’il en soit, cela allait continuer plus tard, car là...
« On en parlera à Maîtresse, elle acceptera, tu verras… Mais il faudra que tu suives des cours musicaux, tu sais, ça ne s’improvise pas, le chant !
On verra ça une prochaine fois, les filles, on est arrivées. »
Les quatre femmes arrivèrent ainsi au niveau du cinéma. Cassandre regardait PARTOUT elle était fascinée. Elle voulait tout voir, elle était passionnée, elle voulait tout comprendre. C’était pour elle un tout nouveau monde. Oh bien sur, elle se raccrocha aussi aux choses qu’elle connaissait, comme les bisous… Bisou qu’elle eut d’ailleurs, et auquel elle répondit ! Quoiqu’il en soit, les quatre femmes entrèrent alors dans ce qui était clairement un multiplex, un de ces ensembles où il n’y avait pas qu’un seule, mais plusieurs films possibles. L’ensemble était très intriguant pour Cassandre, qui n’y connaissait rien, et qui forcément, sa curiosité était totalement piqué à vif. Elle voulait absolument tenter de tout comprendre, de savoir ce qui se passe, exactement…
Beaucoup regardèrent le groupe de filles, et plusieurs regards se posèrent sur la fameuse Cassandre… Enfaite tout le groupe attirait les garçons, fallait bien avouer, les femmes présentes étaient toutes belles, mais Cassandre attirait bien le regard, à cause de ses cheveux roses dans un premier temps… Puis dans un sens temps, les regards restaient sur la fameuse vachette à cause du fait qu’elle n’était PAS DU TOUT naturel. Elle regardait partout, et elle semblait s’émerveiller sur des choses totalement banales, des choses de la vie quotidienne. Donc, vous avez bien compris… Elle intriguait énormément plusieurs personnes, qui se demandaient qui étaient cette jeune femme… Et d’autres avaient des idées bien plus sombre derrière la tête, rappelant à quel point heureusement que Cassandre n’était pas toute seule.
Cassandre était trop émerveillé par tout ce qu’elle voyait pour véritablement s’intéresser aux choix du film. De toute façon, comme elle n’y connaissait rien, elle ne pouvait guère véritablement donner son avis. En effet, elle n’y connaissait absolument rien ! Elle n’était jamais allé au cinéma. Il fallait donc sans doute un film simple pour une personne comme Cassandre. Si on lui mettait un Jean-Luc Godard, par exemple, cela n’allait sans doute pas bien fonctionner… Car bon, les connaissances de la fameuse Vachette n’était pas assez importante pour qu’elle puisse comprendre un artiste de la complexité intellectuelle d’u n Jean-Luc Godard. Mais une chose lui plaisait… le fait qu’elle allait la prendre dans les bras… Ainsi, les filles allèrent donc vers la salle, le film allant bientôt commencer… Donc, maintenant, il fallait attendre...
Bien installée, Cassandre était au centre, pour que toutes puisses l’aider et la soutenir. Cassandre comprit très vite qu’il fallait être silencieuse, car c’était comme ça qu’on était ici. Les bandes annonces deffilèrent, les publicités, puis finalement… Le film commença. Cassandre regardait donc une vieille maison, abandonnée… Un scientifique fou semblait travailler, tentant de trouver un remède à la vache folle… Cassandre fit des petits cris d’indignations : les vaches sont pas folles ! Le scientifique cependant c’était trompé dans les proportions… Et ainsi, les gens ayant consommé ce « vaccin » mourrait. D’ailleurs le scientifique fou allait lui même boire le vaccin, tandis que des centaines de gens dans la ville le consommait aussi… Tous mourrurent, mystérieusement… Cassandre trouvait ça triste pour le moment. Ellipse, vingt ans plus tard, le héros achetait la maison. Là, on pouvait supposer que les morts à cause du « vaccin » allait revenir à la vie, et faire un film de zombie classique… Et soudain, la sœur du héros ouvrit brusquement la porte, nous offrant un magnifique JumpScare ! Evidemment, cela fit l’effet attendue sur notre chère Vachette, qui commencer à laisser échapper un petit cri…
« AAAAAH !!
-Chut !
-Voyons !
-Chut ! »
Et ce n’était que le premier Jumpscare de la soirée…
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Un film de zombies... C’était peut-être mettre la barre un peu haut pour la jeune Cassandre, mais le plan des filles était clairement d’amener l’Ushi à se serrer contre elles. « Zombicalipse » était un véritable nanar sur les zombies, et le quatuor rejoignit la salle. Il y avait d’autres personnes, et Leyli les conduisit dans un coin assez isolé. Cassandre s’assit au milieu, Leyli à sa gauche, et Erika à sa droite. Asuka, qui avait déjà bien profité de Cassandre pendant une bonne partie de la journée, choisit donc de se mettre à côté d’Erika. La séance commença par l’actuel défilé des bandes-annonces, puis le film commença. Leyli en avait profité pour envoyer un bref SMS à sa Maîtresse, en lui assurant que tout se passait bien avec Cassandre, et que l’Ushi avait envie de se lancer dans la chanson.
Les lumières s’éteignirent finalement, et Leyli se pencha vers Cassandre :
« N’oublie pas, si ça te fait peur, viens te réfugier dans nos bras ! »
La projection commença par une séance en noir et blanc, tournée avec une vieille pellicule, donnant ainsi à l’ensemble un look rétro remémorant dans la mémoire collective ces vieux films d’épouvante d’avant-guerre. Gros plan sur un manoir isolé au cœur de la forêt, une nuit orageuse, puis sur un scientifique déjanté, expérimentant une curieuse machine sur des cobayes qui n’avaient pas l’air volontaires. Le but de ce scientifique était de trouver un vaccin contre l’encéphalopathie spongiforme bovine, abrégée ESB, une maladie mortelle plus connue encore sous le terme de « maladie de la vache folle ». En apprenant cela, Cassandre en fut scandalisée, et Leyli se dépêcha de poser un doigt devant ses lèvres, lui intimant le silence.
Les expériences du scientifique fou semblèrent n’avoir guère apporté satisfaction, et les cobayes mouraient les uns après les autres, les assistants du scientifique les enterrant ensuite dans le jardin du manoir, qui jouxtait une exploitation agricole. La scène introductive se terminait par l’injonction du sérum dans les veines du scientifique.
Retour à la couleur, à l’usage d’une pellicule plus normale, tandis qu’un homme achetait une maison avec leur famille pour relancer une ancienne exploitation agricole. Le héros était un ancien entrepreneur qui avait fait faillite, et tentait de se refaire une santé en se lançant dans l’exploitation bovine, sans tenir compte des rumeurs locales circulant sur ce manoir hanté. Le film présenta rapidement un premier jumpscare, ces scènes où il était nécessaire de sursauter, quand la sœur de l’entrepreneur explorait les chambres, et que la caméra se fixait sur des zones où elle était hors-champ. Elle ouvrit brusquement une porte d’une penderie, et hurla, ce qui fit hurler aussi Cassandre... Un simple chat apparut toutefois, filant rapidement.
Leyli caressa alors la tête de Cassandre, et déposa un baiser sur son front.
« Ça va, ma belle ? Ne sois pas si émotive, ma beauté... Ou viens dans mes bras ! »
C’était, après tout, le plan des filles en allant voir ce film ! Ou, tout du moins, l’un de leurs objectifs.
À l’écran, le héros, Jason Jensen, se retrouvait désormais dans le village local, faisant les courses. C’est à cette occasion qu’il se rendit à un bar. Il avait choisi de se retirer dans un village reculé, situé le long d’un lac, difficilement accessible par la route. Le spectateur apprenait quelques éléments d’intrigue, notamment sur le fait que la ferme locale avait été jadis la propriété d’une famille d’agriculteurs, qui l’avaient vendu à une grosse tête de scientifique, qui avait utilisé celle-ci pour faire des recherches sur la maladie de la vache folle. Las, il y avait eu un incendie il y a une vingtaine d’années, et, suite à cela, il s’était écoulé de nombreuses années où le manoir avait été à l’abandon. La recherche d’héritiers s’étant avérée infructueuse, le bien était tombé entre les mains de la collectivité, de l’État, qui avait choisi de le confier à un promoteur immobilier pour le rénover et le revendre. C’est comme ça que Jensen avait récupéré le bien.
Vers la fin de la scène, l’homme se rendit vers les toilettes, commençant à souffrir de migraines, et s’enfila plusieurs médicaments, tandis que l’ampoule des toilettes grésillait et sursautait. Des plans plus intimes, où on voyait l’homme se rappeler ses échecs en tant qu’entrepreneur, des souvenirs imprécis et flous de son passé confus. Puis la lampe s’éteignit brusquement, l’homme poussa un juron, puis la lumière se ralluma brusquement... Mais, dans le miroir des toilettes, outre le visage fatigué et barbu du héros, qui avait un air furieux de Keanu Reeves, une femme décomposée se tenait dans son dos. Un mort-vivant, bras tendus.
Un second jumpscare, qui n’était qu’une hallucination de Jensen, mais qui fit évidemment sursauter la salle... Sans parler de la réaction de la belle et sensible Cassandre.
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« Ça va, ma belle ? Ne sois pas si émotive, ma beauté... Ou viens dans mes bras ! »
Elle fit oui de la tête ! C’est juste que cela faisait très peur, puis, elle s’était pas attendue ! Elle s’installa alors dans les bras de son interlocutrice… Cassandre découvrait tout juste le monde du cinéma, et elle se demandait pourquoi le réalisateur, enfin, le mec qui avait fait le film, il faisait ça. Après, elle se demandait si c’était vrai ou pas ? Cassandre connaissait le principe de « fiction », elle n’était pas stupide à ce point, mais le soucis, c’est que ne connaissant encore pas grand-chose au cinéma, et ce dernier n’ayant pas encore tenté de présenter une partie « fantaisiste », et bien, Cassandre n’arrivait pas à savoir si on était dans une fiction, ou dans la vraie véritée de la réalité véritable.
Cassandre ne connaissant rien au Cinéma, elle ne comprenait pas que la plupart des gens là, n’étaient pas là du tout pour avoir peur. Certains étaient là pour emballer des filles. Après tout, quoi de mieux que prendre un film d’horreur, pour justement pécho ? Cela montrait qu’on était un mâle alpha, qu’on avait peur de rien… Mais en vrai, la plupart des spectateurs étaient des grands amateurs de cinéma, avait reniflé immédiatement le bon gros nanard. En plus, pour que ce film américain (qui en faite était une co-production germano-américaine) sorte jusqu’au Japon… C’est que justement, il était prêt à être un bon gros nanard, et consommé comme telle. Donc, plusieurs rigolaient de temps en temps. Enfin, quelques personnes étaient là justement, sérieusement, voulant voir un vrai film d’horreur. Ils allaient être déçu.
Pendant ce temps là, le film continuait bien sûr ! Notre héros barbu, après plusieurs remémorage d’échec passé, chose qui mis Cassandre dans un grand état de confusion, étant donné qu’elle ne connaissait rien au principe de « Flashback » et bien, se dirigea alors vers les toilettes… Et dans le miroir de cette salle, apparue une femme décomposée ! Un zombie ! Beaucoup sursautèrent de cette apparition surprise, mais vite, l’alerte et la tension tomba. Ce n’était qu’une hallucination du héros. D’ailleurs, comble de la prise pour un con des spectateurs, par le réalisateur… Le héros déclara, bel et bien mot pour mot, que « ce n’était qu’une hallucination… Les zombies n’existent pas. » Bref, un joli « NO SHIT SHERLOCK » que tous auraient pu dire… Tous sauf Cassandre, qui évidemment eut une énorme réaction, qui consista à :
« AAAAAAAAAAAAAAAAH ! LA FILLE ELLE EST APPARUS ET… et… Désolée…
-Mais chut, mais bon sang !
-C’est pas possible !
-C’est qui cette conne ? »
Les commentaires étaient pas gentils… Cassandre baissa de suite la tête, se blottit de nouveau. C’est pas gentil de dire qu’elle était conne, elle était sûre qu’il y avait plein de vachette qui étaient dans des cinémas, et qui avaient très peur à cause des films. Voilà ! Puis, de toute façon, les personnes qui disent ça, elle est persuadée, ils donnaient même pas de lait ! Donc voilà, elle, elle est peut-être stupide mais au moins, elle sert à quelques choses ! Et toc ! Bien fait pour eux ! Ils avaient qu’à pas être aussi méchant. Bref, elle continuait de se lover contre ses interlocutrices, bien contente qu’au moins, elles se moquaient pas d’elle, elles. Cassandre se disait qu’il y avait vraiment des gens méchants dans le monde… Très méchant même !
Mais reprenons le film. Nous avions vu précédemment, le film donc semblait tenter de faire un thriller psychologique, avec des hallucinations… Mais visiblement, le film ne semblait jamais choisir dans quoi être exactement… Vu qu’après l’hallucination, le héros fut arrêté par un cri sordide. Il fonça, alors, sauta inutilement une barrière, et découvrit qu’une brave dame était morte. Là, maintenant. Elle avait été déchiquetée… Son crane éclaté. Le maquillage était grotesque, autant le dire clairement, mais on partait maintenant dans l’enquête, il fallait découvrir qui avait tué cette femme. Tout le visage pensait à une bête sauvage… Mais le héros… Lui, il sentait qu’il y avait quelques choses de louche. Et bien entendu il était le seul à le penser...
Et Cassandre dans tout ça ? Et bien, elle n’eut pas peur, comme toute la salle, de l’état du cadavre. Car même quelqu’un de naïf et un peu stupide comme Cassandre, remarquait que… Que c’était grotesque. Franchement, la seule différence avec els autres spectateurs… C’est qu’elle, elle ne comprenait pas enfaite ce qu’avait tenté le réalisateur. Là, la femme semblait juste… Euh… Elle savait pas trop. Oh, et puis, attaque pas des bêtes ? Que c’était stupide. Ca, Cassandre connaissait, une bête, ça n’attaquait pas ainsi, elle aurait fait en sorte de prendre plus de chair, de manger le cadavre, et n’aurait pas attaquée de façon aussi brouillonne. Bref, exactement comme Keanu Reeves, elle se disait que les villageois étaient bien stupides de croire à une attaque de bête….
Derrière, un homme regardait les femmes, et sortit un téléphone. Discrètement, très discrètement, il prit en photo le groupe, concentra son attention sur Cassandre. L’homme était grand, mais fin et sec. Il rangea immédiatement son téléphone, sachant très bien que si quiconque le voyait vraiment entrain de prendre des photos, il serait chasser de la salle. C’était interdit d’avoir des appareils d’enregistrement dans une salle. Néanmoins, ce ne fut pas fait sans avoir quand même envoyé un mystérieux quelques choses, sans doute un message que cela soit par Facebook, Twitter, ou peut-être un simple SMS, puis sembla se reconcentrer sur le film. Impossible de savoir pour le moment qui était cet homme mais une chose était sûre, il s’était intéressé à la personne de Cassandre, mais également aux autres compagnons de la jeune vachette. Tout cela était bien mystérieux, et bien plus intriguant que ce nanard bien prévisible, bien que drôle.
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Il était prévisible que Cassandre se fasse remarquer. C’était sa première séance au cinéma, pour une vachette qui venait de Terra. Tout ça devait être incroyable pour elle, et Leyli veillait donc sur elle, en finissant par la prendre, et, comme un petit-enfant, par la poser sur ses genoux. Cassandre lui tournait le dos pour voir le film, mais pouvait se retourner sans peine, tandis que les mains de Leyli caressaient ses hanches, ou l’enlaçaient.
« N’aie pas peur, Cassandre, je suis là… »
Elle l’embrassa dans le creux du cou, faisant fi des commentaires indignés d’une partie de la salle. Certains allèrent même jusqu’à insulter Cassandre, ce qui conduisit évidemment Leyli à la consoler à sa manière, en la caressant et en l’embrassant encore.
« Ne t’inquiète pas, Cassandre, c’est ton premier film, c’est normal d’être paniquée, ne fais pas attention à eux… »
Regarder un film avec Cassandre promettait en tout cas d’être du sport ! Toutefois, l’Ushi sembla se calmer, sans doute vexée qu’on ait pu l’insulter. Le film, de son côté, se poursuivit avec un mystérieux meurtre, et l’inquiétude des villageois. Jensen, de son côté, se retrouva à discuter brièvement avec le shérif du coin, une femme assez belle, qui ordonna aux badauds de se disperser, et commenta brièvement la venue de Jensen, apparemment déjà au courant qu’un nouvel individu avait rejoint sa communauté. On était dans le village américain typique, ce petit bled paumé dans les montagnes où tout le monde connaissait tout le monde, et où le shérif local avait les clefs de chaque boutique.
Jensen retourna ensuite à l’exploitation agricole, perturbé par ce qu’il avait vu dans le village, et retrouva sa sœur pour lui parler de ce qui était arrivé. De son côté, celle-ci avait commencé à inspecter l’équipement agricole, et expliqua qu’il ne serait pas difficile de remettre la ferme sur pied.
Quelques scènes passèrent ensuite, montrant notamment Amanda, le shérif du coin, en train de discuter avec ses adjoints, tous se montrant particulièrement idiots, et préférant passer leur temps à jouer à la console de jeux vidéos plutôt qu’à travailler et à s’entraîner. Pour le reste, le village espérait surtout que ce meurtre ne remette pas en cause le tournoi annuel de courses de vaches, une grande spécialité locale qui attirait son lot de compétiteurs et de touristes.
Pendant que le film se déroulait, et que Jensen, en explorant la cave, découvrait un passage secret menant au laboratoire du docteur vu au début du film, Leyli, elle, commença à se livrer à des actes plus intimes. Ses mains se glissèrent contre le corps de Cassandre, et commencèrent à caresser ses cuisses, ses doigts se rapprochant de plus en plus lentement de son bassin, caressant sa culotte, glissant dessus. Elle ignorait alors qu’un individu dans leur dos avait décidé de les photographier, et se livrait à son petit plaisir au cinéma : caresser intimement ses partenaires.
« Là, ma chérie, susurra-t-elle, laisse-moi te détendre un coup, mais… Sois silencieuse, mon trésor. »
Il ne fallait tout de même pas qu’elles se fassent remarquer en pleine action !
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Quand on y réfléchissait, et des filles intelligentes comme les trois compagnes de la fameuse vachette l’avait fait, l’idée d’amener Cassandre au cinéma voir un film d’horreur allait forcément amener ce genre de comportement. C’était évident. Quand on y réfléchissait, les vachettes n’étaient pas du genre des grandes courageuses en général, et c’était logique. Elles étaient des proies dans la nature ! Donc, évidemment, dès que quelques choses pouvait faire peur… Voilà ! Cela se mélangeait d’ailleurs assez mal avec leur grande curiosité ! D’un coté curieuse, de l’autre appeurée aisément… Vous comprenez que cela pouvait vite amener à des catastrophes ! Heureusement ici, la situation était quand même meilleure ! Bien meilleure. Car Cassandre avait quelqu’un pour la rassurer, et s’occuper d’elle.
« Ne t’inquiète pas, Cassandre, c’est ton premier film, c’est normal d’être paniquée, ne fais pas attention à eux… »
Cassandre fit un petit oui de la tête. Elle reçu quelques baisers, dans le cou, bref, on s’occupait bien d’elle. De suite, cela faisait que la situation un peu effrayante à cause du film était bien plus supportable, étant donné qu’on s’occupait d’elle. Et ouais, quand on s’occupe de vous, de suite, vous êtes moins concentrée à ce qui se passe durant le film. C’est le « Netflix & Chill » comme disent les djeunz ! Bref, donc, la vachette ainsi, avait moins peur, car on s’occupait d’elle. On était là pour elle, donc rien de grave n’allait arriver, et elle était à l’abri. Ce genre de situation est donc la meilleure pour une vachette innocente, qui avait très très peur ! Ainsi, elle ne se concentrait plus vraiment sur le film...
Pourtant, le film continuait. Après la rencontre avec la cheffe de police, dont tout le monde pouvait comprendre sans problème qu’elle allait être soit la Love Interess du héros, soit une victime, soit les deux, et bien, dans le laboratoire du fameux scientifique du début, le héros après avoir été apeuré par un rat qui était brusquement apparu dans le champ de la caméra, commença à découvrir de nombreux documents, et surtout, des traces d’expériences qui avaient mal tourné. Il voyait bien, héros intelligent, qu’il y avait quelques choses… De louche dans toute cette histoire… Mais que pouvait-il bien se passer ici dans ce manoir. Jensen vit une fiole, qui était encore remplis d’un liquide cyan brillant… Mais fut interrompu par le cri de sa sœur. De suite, il quitta les lieux, abandonnant sa découverte...
« Là, ma chérie, laisse-moi te détendre un coup, mais… Sois silencieuse, mon trésor. »
« Meuh ? »
La vachette fut surprise, mais décida de bien obéir. Elle commençait à se faire caresser aux endroits intimes, donc, elle commença à se trémousser… Elle ne savait pas pourquoi elle devait se taire, mais elle supposait que c’était lié au fait qu’elles étaient au cinéma. En effet, quand elle avait criée, et bien, des gens l’avaient insultés… Donc, elle supposait que c’était pareil si elle criait de plaisir ! Dans un sens, se rendre compte de cela avait presque un avantage pour la fameuse vachette… Cela permettait de la rassurer, en se disant donc qu’elle avait été vraiment insultée surtout car elle avait fait du bruit et… Oh et puis zut ! Vous avez bien compris que ce n’est que de la narration… En vrai, Cassandre ne pensait absolument pas à ça, mais gémissait de plaisir, alors qu’elle se faisait caresser intimement !
Mais le film ? Que se passe-t-il ? Et bien, la sœur du héros était alors sur un meuble, et… Le premier zombie du film était ENFIN à l’écran. On était quand même à trente minute de film. Le zombie avait les deux jambes brisés, et rampait en direction de la jeune femme appeurée. Celle-ci avait le haut de son vêtement qui glissait, chose qu’on peut attribuer à… à rien du tout enfaite, si ce n’est que le film était interdit au moins de 18 ans, et pas seulement pour des raisons de sang (ce qu’il y avait, on voyait la coulée rouge provoquée par la perte des jambes du zombie, chose qui n’avait… aucune logique, étant donné que c’était un zombie mais passons. Bref, ainsi, un peu de nudité pour les adolescents (car oui, on va pas le cacher, les films interdit au moins de dix huit étaient enfaite tous visionnés par des adolescents.) Attention, ce n’était qu’un peu de nudité, on voyait juste la naissance du sein, et le puratanisme d’Hollywood allait sans doute faire qu’on ne verrait jamais le téton, chose interdite dans un film !
Beaucoup regardaient le film, d’autres se caressaient intimement… Et enfin, l’homme de toute à l’heure, qui avait donc envoyé un message à quelqu’un se leva discrètement, et se retira du cinéma. Il bouscula quelques personnes, en partant s’excusant discrètement, tandis que les gens continuaient de grommeler. D’ailleurs, l’une des personnes qui montra son énervement vis à vis du comportement peu cavalier de l’homme, était justement l’une des personnes qui s’était déjà agacé à cause de Cassandre ! Comme quoi, visiblement, l’homme semblait particulièrement énervée… Bref, quoiqu’il en soit, il retrouva une personne juste à la sortie du cinéma, et tout deux quittèrent la salle… Chouette ! Ce mec chelou est parti ! Sans doute qu’on va plus en reparler, non ? Ouais… Sans doute qu’on va plus en parler…
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Loin de s’attendre à ce que quelqu’un puisse les observer, Leyli continuait discrètement son office, n’hésitant pas, le cas échéant, à poser son autre main sur la bouche de Cassandre, étouffant ainsi les gémissements qu’elle était susceptible de pousser. Elle se concentrait, du reste, s’appliquant à la caresser intimement, à titiller son clitoris, mais aussi à caresser le pourtour, afin de faire durer le plaisir. De fait, Leyli sentit rapidement, contre ses doigts, un liquide humide fuitant du bassin de l’Ushi, et sourit lentement, l’embrassant encore. Heureusement, il n’y avait aucun tiers à côté d’elles, personne pour les surprendre. Leyli essayait toujours de choisir des places isolées pour ça, car il était fréquent qu’elle s’amuse comme ça. La belle Cassandre se tortillait ainsi sur ses cuisses, Leyli l’invitant à lécher ses doigts, tout en continuant, avec son autre main, à la pénétrer et à la caresser profondément.
Pendant ce temps, à l’écran, les images continuaient à défiler. Après la première rencontre avec un zombie, Jensen partait avec sa sœur rejoindre la shérif, tandis que le soleil se couchait. La fête de la vache avait, quant à elle, commencé, et les fermiers leur versaient un ingrédient cultivé sur place. Parallèlement, dans la voiture fonçant à tambours battants, Jensen expliquait que le zombie trouvé était l’un des manutentionnaires chargés de nourrir les vaches, et qu’il ressortait des recherches du scientifique qu’il avait développé une sorte de foin génétiquement modifié pour améliorer le système immunitaire des vaches. La vache folle était une maladie ayant pour origine une infection causée par une protéine particulière, le prion, un agent infectieux qui n’était, ni un virus, ni un microbe. Les recherches du scientifique devaient amener ce foin modifié à protéger les vaches contre le prion, mais les résultats avaient été décevants. Retour ensuite sur le concours, où les vaches mangeaient justement du foin, un foin venant de la ferme de Jensen, et que ce dernier avait distribué sans savoir à quoi il s’attendait. La caméra zooma alors sur une vache en train de manger son foin, et dont les yeux se mirent à rougir. C’était le côté très nanar’ du film, celui où les vaches se transformaient en mammifères porteurs du virus, un virus qui se répandait dans leurs mamelles pour modifier leur lait. Le spectateur comprenait alors qu’il y avait, entre les deux scènes en superposition, une ellipse temporelle. En effet, les séquences sur la fête de la vache constituaient un flash-back, car elles avaient eu lieu pendant la journée... Ce que le spectateur réalisa quand Jensen, en roulant vite sur un virage, heurta violemment une vache abandonnée.
« Le film se barre en couilles...
- C’est le tout premier film de Cassandre, allons, soyez positives, mes chéries ! »
Leyli continuait encore à la masturber. Elle alternait si bien le rythme qu’elle pouvait retenir pendant plusieurs minutes l’orgasme de Cassandre, en jouant avec ses nerfs, en la stimulant longuement. Elle était douée. Après tout, Leyli avait de l’expérience en la matière, et faisait donc au mieux pour faire durer le plaisir, laissant Cassandre dans une situation d’extase profond. La jeune Ushi continuait à soupirer de plaisir, se rapprochant doucement de l’orgasme.
À l’écran, Jensen se réveillait au sol. Le choc avec la vache avait envoyé la voiture dans le décor, et il était passé par la portière, tombant en contrebas. Une roue de la voiture tournait dans le vide, et sa sœur n’était plus là. Le film virait maintenant dans une optique survival, car le lait avait transformé les participants de la fête en zombies, qui avaient infecté les autres. Marchant à travers la forêt, Jensen se rendait vers la ville, inconscient de tout cela, dans l’espoir de retrouver sa sœur. Ses pas l’approchèrent néanmoins d’une station-service à l’extérieur de la ville, où il espérait trouver du monde, mais ne vit que plusieurs vitres cassées, du sang... Et un zombie bloqué dans la réserve. Tandis que Jensen explorait le magasin, cherchant un téléphone, des coups sourds résonnaient contre la porte de la réserve. Quelqu’un avait visiblement réussi à y enfermer un zombie, et ce dernier sortit alors, puis se rua vers Jensen en hurlant, se montrant plus rapide que les zombies traditionnels de Romero.
Difficile de dire ce qui captiverait le plus Cassandre entre la scène d’action et les doigts inquisiteurs de Leyli...
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Dur, dur de se concentrer quand on est une vachette traitée ainsi, sur le film ! En effet, Leyli se faisait plaisir, et faisait plaisir à la vachette, sans aucune hésitation, n’hésitant pas à user de ces mains avec allégresse et attention. Et évidemment, la vachette suivait le rythme. Elle gémissait allègrement, et léchait les doigts de son interlocutrice, profitant de sa propre mouille. Bref, elle appréciait énormément ce qui se passait. Faut dire, on sentait que Leyli était une professionnelle en ce domaine. Et c’était important de le préciser, car il fallait être professionnelle sur deux points ! D’abord, il fallait donner du plaisir avec ses doigts, et le faire suffisamment bien pour que cela soit agréable… Mais il fallait être aussi discret ! On sentait qu’elle faisait régulièrement cela au cinéma… Et c’était tant mieux pour Cassandre !
Après, cela se faisait au détriment de quelques chose, et c’était bel et bien le film ! Et ouais, Cassandre ne voyait donc pas ce monument du septième art, où franchement, de plus en plus de personne commençaient à douter… C’était un nanar volontaire ? Et bien, non. Quand le film sortira en DVD et Bluray, le réalisateur avait bien expliqué qu’il croyait que son film avait un message politique et écologique. Enfaite, il voulait transposer le film de zombie sur la question actuelle de la surconsommation de viande. Et ouais !!! D’où les vaches et les manipulations génétiques. Fervant croyant, le réalisateur, qui s’appelle Edmont Bois (il était d’origine française, bien qu’américain de naissance), expliquait que son film visait à lutter contre la surconsommation de viande, et les manipulations génétiques. Ainsi, un moyen de lutter expliquait-il, contre ces fléaux… Et donc que son film était plus qu’un simple divertissement… Et bien cela ne semblait guère marcher, si vous voulez mon avis…
« Le film se barre en couilles...
- C’est le tout premier film de Cassandre, allons, soyez positives, mes chéries !
-Oh, vous inquiétez pas, j’ai rien compris. »
Malgré l’attouchement, elle arriva à articuler cela ! Et ouais, elle comprenait rien. Faut dire, la jeune vachette était encore débutante dans la vision de film. Elle ne comprenait donc pas forcément le principe de « flashback ». Et ouais, pour Cassandre, mieux valait raconter une histoire en étant simple dans la temporalité. En respectant début, milieu, fin. Car si on commençait à faire des retours en arrière. Il fallait bien se dire que sur certains points, elle était une débutante ! Donc, quand elle se retrouvait face à des originalités d’écriture, elle n’arrivait pas forcément à comprendre ! Donc, elle se concentrait sur quelques choses qu’elle comprenait mieux… Se faire toucher ! Et ouais ! Ca, c’était chouette.
Pourtant, le film s’approchait de plus en plus de la Palme d’Or. Enfin, non, plutôt du direct to Nanarland, mais passons. Nous avions abandonné notre héros face à un zombie bien rapide. Il commença à lutter contre ce dernier. Il arriva à le vaincre avec un combo digne d’un Street Fighter, où d’un hypercut, il arracha la tête du zombie, qui voltigea, tuant de cela ainsi aussi bien le zombie que les lois de la physique, et de la gravité. De suite, il comprit quelques chose… Il fonça alors vers le Commissariat où il eut la chance de retrouver en bonne santé, bien que sa tenue était fortement déchiré, dévoilant quelques peu sa poitrine, Amanda. Celle-ci expliqua que c’était la folie, et qu’elle avait du tuer elle-même ses collègues… Elle vint pleurer dans les bras virils du héros… Quand arriva… La salle entière de cinéma resta sur le cul devant cette apparition...
Mais d’abord concentrons-nous sur Cassandre. Et oui, c’est une manière honteuse de vous garder concentrer, mais je n’ai pas honte ! Je suis une folle moi ! Bref, ainsi, la vachette continuait de se faire chouchouter… Mais devait arriver ce qui devait arriver. Bien que Leyli était très douée pour faire venir peu à peu l’orgasme, et bien, Cassandre était encore très sensible. Hors, comme elle était encore assez sensible, il fallait bien dire… Quelques choses comme un orgasme allait toujours surprendre, aussi bien elle que Leyli. Ou peut-être qu’au fond, Leyli s’attendait que celui allait finir par arriver ? Bref, quoiqu’il en soit, la vachette atteignit finalement, sans qu’elle puisse se retenir plus longtemps, le fameux orgasme… qui arriva pile au moment de la révélation… En effet, le réalisateur avait osé mettre… UNE VACHE. ZOMBIE. Et oui, il y avait à l’écran une véritable vache zombie, qui fut accompagnée alors d’un :
« Meuuuuuuh ?!
-Ahahahah ! C’est le cas de le dire !
-Elle a de l’humour l’autre crétine de tout à l’heure ! »
Ouf ! L’orgasme que Cassandre n’avait finalement pas réussi à retenir arriva PILE au bon moment. Là, la fameuse Cassandre, un peu haletante après son orgasme, ne savait pas trop comment interprêté ce qui venait de se dire. Certes, on venait de la traiter de « crétine », et elle ne l’était pas en effet, elle savait ce que cela voulait dire « crétine ». Mais de l’autre, on semblait avoir trouver son « meuh » approprié ! De suite, elle regarda l’écran, et vit horrifiée la vache. Qu’est-ce que putain de quoi ?! Terrifiée (alors que tout le monde dans la salle éclatait de rire, et beaucoup s’esclamaient « PUTAIN ILS ONT OSES ») elle se réfugia dans les bras de Leyli. Sans le savoir, notre réalisateur de tout à l’heure, Edmont Bois, et bien, avait réussi à créer le premier film d’horreur pour Ushi ! Et ça, c’est un putain d’exploit !
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Le film se poursuivait, sans avoir une attention très particulière de Leyli. Les sorties cinéma constituaient un petit rituel au sein du manoir de leur Maîtresse, une manière très simple de montrer que Mélinda n’entendait pas couper ses filles du reste du monde, et leur offrait une certaine forme de liberté. Comme Mélinda le disait souvent, elle se voyait davantage comme une seconde famille que comme un simple club sexuel. Et Cassandre en était une parfaite illustration, car Mélinda, non seulement prenait soin d’elle en l’entretenant, mais entreprenait aussi de l’éduquer. Elle aurait pu garder Cassandre dans un enclos, afin de servir de réservoir à lait continuel, mais, au lieu de ça, la belle Ushi se trouvait au cinéma, où Leyli la caressait intimement. Cassandre ne vit ainsi pas Jensen se rendre dans le centre-ville en folie du village. Il faisait nuit, et c’était le spectacle classique et habituel des survival, avec des cadavres sur le sol, des voitures accidentées, et des zombies qui erraient. Il rejoignit le commissariat, comprenant plusieurs cadavres. Une petite station de police dans une annexe de l’hôtel de ville. Amanda, la shérif locale, était là, et, tandis que les deux discutaient, Leyli sentait Cassandre approcher de son orgasme.
De fait, l’Ushi se mit à jouir quand la porte de la station de police s’ouvrit, livrant passage à une énorme masse sombre, la gueule ensanglantée. Une vache zombifiée, sinistre, mais terriblement kitsch, qui, au milieu des gloussements, fit paniquer Cassandre. La jeune femme alla se serrer contre Leyli, qui s’étonnait de l’imagination du réalisateur, Edmont Bois. L’homme était au passage un réalisateur vegan, qui, avant d’être réalisateur, avait été un membre activiste de l’association L214. Ce film d’horreur, comme il l’avait expliqué aux quelques journalistes désespérés l’ayant interviewé, se voulait être un reflet de la société de consommation actuelle, où l’animal était vu comme un pur produit de viande, sans prendre en compte ses spécificités et sa conscience. Mais, malheureusement pour son message politique, il y avait fort à parier que les spectateurs ne retiendraient que la vache zombie qui se mit à charger comme un taureau en poussant des beuglements effrayants et ridicules, provoquant l’hilarité de la salle. Le film ne virait pas dans le ridicule comme dans le cas de Braindead, mais la scène burlesque d’une vache zombie courant dans les couloirs de la station de police valait tout de même son pesant d’or.
Leyli, elle, vit Cassandre se crisper contre ses seins, se tassant sur place.
« Allons, ma chérie, ce n’est qu’un film... Rien de tout ça n’est vrai, tu sais. »
Leyli lui caressa le visage, et écarta alors son chandail, tout en récupérant dans sa poche une petite pilule blanche, assez spéciale.
« C’est une pilule spéciale, Cassandre... Elle va remplir mes glandes mammaires de lait. Tu n’auras qu’à téter pour te détendre. »
En effet, la jeune Ushi ne se calmait pas, toujours aussi nerveuse. Leyli avala la pilule, et, tandis que Jensen et Amanda sortaient dehors, grimpant dans une voiture de police, les seins de Leyli se gonflèrent doucement, et elle soupira, se pinçant les lèvres, sentant la douleur pointer dans ses seins, devenus lourds.
« Ca-Cassandre, hmm... » gémit-elle, attendant avec impatience de sentir ses douces lèvres venir pomper ses seins...
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Le coup de la vache zombie était quand même un moment d’anthologie du cinéma. Le réalisateur, Edmont Bois, était sans doute persuadé du bien fondé de sa déclaration, et évidemment, il croyait vraiment que cela ferait réfléchir les gens sur la surconsommation carné que connaissait la civilisation occidentales… Et ouais, quand on y réfléchissait, on sentait justement le choix Veganiste de l’ensemble, avec des fermes à l’abandon, une ville agricole arriérée… On sentait qu’il cherchait à montrer que le monde actuel, fermier, était dans une impasse. Mais le soucis… C’est qu’il faisait ça dans un film où nos deux héros étaient poursuivi par une vache zombie, dont, on va être franc, l’image de synthèse, bien que non dégueulasse, n’était pas pour autant une franche réussite… Ouais, c’était très kitch. Très. Très. Kitch. La scène allait sans doute devenir culte, mais plus chez les amateurs de cinéma… Alternatif disons.
« Allons, ma chérie, ce n’est qu’un film... Rien de tout ça n’est vrai, tu sais. »
« Oui… Mais... »
Mais ça faisait peur quand même ! Et puis, pauvre vache et pauvre acteurs… Combien de personnes avaient donc du être tué pour la réalisation de ce film ? Bon, d’accord, elle supposait que c’était sans doute des gens suicidaire, mais quand même ! Oui, Cassandre ne réalisait pas, bien entendu, la notion d’effet spéciaux. Comme ceux-ci étaient quand même suffisamment bien fait, contrairement à genre Mac et Moi, pour qu’on ait pas notre suspension consentit de l’incrédulité qui éclate en morceau. Non, là, c’était suffisamment réaliste pour qu’elle ait peur et croit que cela nécessite de faire quand même vraiment mal aux gens. Heureusement, l’interlocutrice de la vachette était là pour faire du bien à Cassandre, et la faire oublier ce qui s’était passé… Et elle avait une bonne technique pour cela ! Très bonne !
« C’est une pilule spéciale, Cassandre... Elle va remplir mes glandes mammaires de lait. Tu n’auras qu’à téter pour te détendre. »
« OH ?!
-Mais chut bon sang ! »
Le commentaire fut logique, car Cassandre ne put cacher son excitation à l’idée de pour la première fois goutter le lait d’autrui. Oh, bien sûr, entre Ushi, elles avaient régulièrement bu le lait de camarades. C’était traditionnelle chez les Ushi. Mais là, c’était une humaine ! Elle allait pouvoir goutter le lait d’une humaine. C’était… C’était incroyable ! La peur du film s’était complètement envolée, faut dire, elle ne se concentrait maintenant même plus sur le fameux film. Elle se concentrait maintenant entièrement sur ce qui allait arriver… C’est à dire le fait qu’elle allait pouvoir boire le lait de Leyla ! L’excitation était totale, et elle avait beaucoup de mal à le cacher… Dans un sens, tant mieux, étant donné que c’était prêt ! Elle pouvait s’attaquer au sein de son interlocutrice ! Et qu’on soit clair… Elle ne s’en priva pas !
« Ca-Cassandre, hmm... »
Ouaaah ! Alors, fierté bovine (ou de Ushi, si vous trouvez ça moins insultant, mais bon, grosso-modo c’est la même chose), elle trouvait quand même son lait meilleur. Mais quand même ! Cassandre en profitait largement, et tétait… C’était la première fois qu’elle avait du lait d’autrui, d’humaine, donc, elle n’allait pas rater cela… Mais il y eut une surprise… Asuka, qui se considérait un peu lésée, plongea littéralement, et attrapa l’autre sein, pour téter à son tour. On pouvait dire que cela ne se faisait pas, mais voilà, elle décida de se permettre… Bref, elle était prise de deux côtés ! Ce qui était franchement assez excitant, et cela commençait de plus en plus à ressembler à une orgie silencieuse… Et Asuka avait déjà sa défense toute trouvée… « Désolée ! J’ai pas pu m’en empêcher ! »
Pendant ce temps là, le film continuait… En larme, après cette course poursuite folle, le héros dut tuer la vache zombie. Horrifiée, la cheffe de police expliqua alors que ces pauvres bêtes… La folie zombie était du aux hommes, mais que les animaux en souffraient également. Et peut-être même plus que les hommes, car ceux-ci, dans leur folie, s’en fichait du sort des vaches, des chèvres, et de tout les autres animaux… Mais là, Jason Jensen se leva, et attrapa un fusil à pompe, abandonné par un policier mort. Il déclara alors à la femme qu’il aimait (tient, ils s’aimaient maintenant?) que les hommes avaient trop fait. Qu’ils étaient temps de libérer ces pauvres animaux, et de vaincre ses zombies, que la nature retrouve alors son équilibre. La cheffe de police acquiesa. Ensemble, ils pouvaient rendre la liberté à cette ville, en la libérant aussi bien des zombies que de cette habitude d’exploiter les animaux.
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Le film sombrait dans un délire de film d’horreur à la Braindead sur fond de message politique vegan, formant un ensemble assez cocasse, très atypique. Une véritable expérience audiovisuelle. Erika était d’ailleurs la seule du quatuor à suivre encore, mais elle avait toujours été davantage intéressée que les autres par les slashers, les films d’horreurs, et ces autres joyeusetés. Cassandre, elle, oublia tout le reste en attaquant le sein de Leyli, venant boire son lait. Effectivement, le lait de l’humaine était moins bon que celui de Cassandre, mais... Et bien, ça restait malgré tout du lait ! Leyli gémit donc doucement, retenant ses soupirs, afin de ne pas déranger les spectateurs, pendant que le film de Bois virait au cauchemar absolu, avec des fermiers devenus cinglés. Les protagonistes avaient notamment rejoint un abattoir, où le film se livrait à une parenthèse rappelant aux plus férus des spectateurs qu’Edmont Bois avait été militant de l’association L214. Gros plans sur des cages de poules sanguinolents, sur des carcasses de vaches qui pendouillaient au plafond en meuglant car elles avaient repris vie, corps d’ouvriers gisant au sol, transformés en zombies, murs repeints de rouge avec des viscères qui pendouillaient... Le réalisateur s’était lâché tandis que le couple improvisé entre Jensen et la shérif fuyait une colonie de vaches zombies.
Parallèlement, de gros plans montraient le village, où les vaches zombies, transformées en espèces de taureaux, attaquaient les habitants, heurtant violemment des voitures, patrouillant dans les rues. Les sympathiques mammifères herbivores avaient été transformés en terribles monstres assoiffés de sang, et, pendant ce temps, Leyli continuait doucement à soupirer, jusqu’à ce qu’Asuka ne vienne les rejoindre.
« Ohhh... Petite gourmande !
- Hihi... Oh ça oui ! »
Leyli ferma les yeux en soupirant doucement, serrant ses doigts sur les cheveux de Cassandre. Terminer le film dans l’abattoir était un excellent moyen, pour Bois, de concilier sa vision avec le film, l’abattoir d’animaux représentant, à ses yeux, le Mal absolu. Il s’avérait que tout cela était une expérience sinistre, étant originellement lancée par... Le scientifique fou du début ! Le docteur avait lancé le virus depuis l’abattoir et depuis son ancienne ferme afin de contaminer la ville, dans le but de vendre ensuite sa formule à des organisations terroristes ou à des dictateurs ! Jensen et la shérif affrontaient alors le scientifique fou et de nouveaux zombies, dans une scène finale digne d’un jeu vidéo.
Comment le scientifique fou avait-il fait pour se retrouver là ? Ce twist final avait l’air complètement ahurissant, mais Leyli ne suivait plus vraiment le film. En effet, la pilule qu’elle avait vu présentait aussi des effets secondaires sur sa libido, et ce surtout quand on pompait ainsi ses seins. Pour le dire simplement, Leyli était doucement en train de mouiller, et, surtout... Cassandre dut sentir contre elle une pointe jaillir d’entre les cuisses de la femme.
« Oh bon sang... »
Et oui ! Comme bien d’autres personnes au sein du manoir de Mélinda, Leyli était une belle hermaphrodite, une magnifique Futanari qui, sous l’effet de l’excitation, avait laissé parler sa virilité masculine, sa belle verge se mettant à jaillir, déformant son short, tandis qu’elle gémissait longuement...
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Bon, le film était oublié chez les filles. Elles étaient trop occupés ! Bah oui, car faut dire… à part celle qui semblait aimer ce genre d’oeuvre, Cassandre commençait toujours, et on pouvait dire que pour le tout premier film de sa vie, c’était du TRES lourd. Mais quand je dis du très lourd, c’est de d’extrêmement lourd, et peut-être même un peu trop pour un vachette qui commence. Peut-être aurait-il été plus sage de commencer sur un film plus… Traditionnel ? En même temps, rien n’avait garantis un tel… Film. Franchement, même un Jean-Luc Godard aurait été une meilleure idée, quand on pense après coup, mais voilà… Les filles n’avaient pas su. De toute façon, visiblement, aucune n’était malheureuse de ce passage au cinéma, car visiblement, elles étaient toutes occupés. Une sur le film… Les deux autres sur les seins.
« Ohhh... Petite gourmande !
- Hihi... Oh ça oui !
-M’oubliez pas ! »
Cassandre fit ce petit cri d’indignation, encore en chuchotement heureusement, ce qui empêcha que tout le monde se rende compte qu’il se passait quelques choses, qui était loin… Très loin… De simplement regarder le film. On pouvait même dire que cela allait bien plus loin que le simple baiser échangé comme cela arrivait parfois, même très souvent. Ce genre de film était là pour rassurer le mâle alpha de ces capacités de séductions, donc, cela arrivait plus d’une fois que les films étaient en vrai fait uniquement pour satisfaire les bas instincts d’adolescents, qui ainsi, pouvaient pécho. Ainsi, dans la vie j’ai vu pas mal de chose bizarre et inattendus, mais avoir deux femmes qui têtent allègrement le sein d’une troisième, alors, ça je n’ai jamais vu. Grand prix à celui qui trouve la référence, elle est pas facile celle là.
Pendant ce temps là, c’était la fin pour nos deux pourtant vaillant héros. Ils avaient fait de leur mieux, mais le scientifique fou avait son armée aussi bien de zombie humain que de zombie vaches. C’était la fin… Ainsi, notre shérif tomba dans les bras de notre héros. Il l’embrassa. Il l’embrassa fougueusement, ce qui était cohérent avec ce qui se passait du côté de notre héroïne. Le scientifique en profita pour cracher tout son mépris pour la vie et l’amour. Tout ce qui comptait à ses yeux, c’était la puissance, et l’argent… La puissance était bien plus importante que l’amour… C’est alors que notre cher Jason comprit. Il fallait qu’il utilise quelques choses qui n’avait jamais été utilisé… Il rompit le baiser, et regarda les vaches. Elles s’approchaient… Et ainsi, il les regarda, et déclara un simple « désolé. » Suivit très vite d’un « Désolé pour ce qu’on vous a fait. Vous ne méritez pas cela. »
« Oh bon sang... »
« Hihi... »
Impossible de le cacher à Cassandre… Faut dire, là, alors que d’habitude, Cassandre avait toujours été la dominé, celle qui subissait -pour son plus grand plaisir, je tiens bien à préciser- et bien là… C’était bel et bien Leyli qui avait le droit au tout ! C’était elle qui se faisait totalement dominer par une adolescente et une vachette. C’était quand même amusant. Mais qu’est-ce qu’elle avait bien pu sentir ? Et bien… Une bite bien sûr ! Mais bon sang de bonsoir, évidemment. Je veux dire, qu’est-ce que cela pourrait être bien d’autre qu’une bonne grosse bite ! C’était ça le mieux, c’était ça qu’on aime le plus. Qu’est-ce qu’on aime ici ? La bite ! Et bref, visiblement, l’apparition de ce phallus que la vachette connaissait très bien maintenant, et bien, cela permettait de la convaincre de s’aventurer à autre chose…
« Je me permets ? Hein ? »
Ainsi, sans même attendre une réponse, négative ou positive, la fameuse vachette décida alors de se glisser en bas… Attention, les seins de notre chère « nouvelle vachette » était pas inoccupé ! Vu qu’Asuka décida de prendre l’entierté des seins pour elle… Cassandre, elle, se baissa, et glissa entre la rangée de siège et le siège de notre chère Leyli… Et commença à la sucer. Et ouais, elle suçait littéralement, sans avoir la moindre honte. Elle tentait d’être quand même un peu discrète, mais voilà… Ainsi, la pauvre femme se faisait littéralement aspirer des deux côtés. D’un côté, c’était la fameuse Asuka qui profitait des seins, de l’autre, c’était Cassandre qui profitait du phallus. Bref, l’ensemble était absolument délicieux à voir, mais restait pour le moment cacher. Le « pour le moment » était-il important ? Cela impossible à savoir pour le moment.
Mais que se passait-il dans le film hein ? Et bien, les vaches s’étaient arrêté, tandis que le scientifique rigolait. « CE SONT DES VACHES ! ZOMBIFIE ! ELLES SONT STUPIDE ET NE PENSENT QU’A LA CHAIR MAINTENANT ! » Dit-il en hurlant. Mais non. Les vaches s’étaient arrêté. Et là, elles se retournèrent. Pour la première fois de leur vie, elle avait eu de l’amour, quelqu’un qui se souciait d’elle. Et ainsi, elles avaient décidés de se battre au côté de celui qui leur apportait amour. Jason, et la Shérif (dont je me souvenais plus si elle avait eu un nom ? Aucune idée.) décidèrent alors de s’attaquer au scientifique. Celui-ci, n’ayant plus que des zombies humains qui affrontaient les vaches, s’injecta alors un serum… Le faisant… Muter ? Ouh là… On s’approchait du climax du film, qui semblait avoir oublié qu’il était un film d’horreur, et devenait une sorte de film d’action chelou…
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La belle Leyli (http://img110.xooimage.com/files/6/4/6/sample_0086abfc89...0c9c445d-5444e16.jpg) avait révélé l’une de ses surprises... Elle était une femme hermaphrodite ! Une délicieuse femme hermaphrodite, dont le sexe tendu se dressait fièrement sous son minishort, lui arrachant de délicieux frissons. Leyli ne se préoccupait également plus du film, où Jensen et Amanda, la shérif locale, continuaient à se battre contre le scientifique fou mégalomane, comme une allégorie des grandes puissances multinationales piétinant sauvagement la nature, avec leurs pesticides, pour s’enrichir grassement sur le dos des gens. Leyli avait également bien du mal à s’y intéresser, et, quand Cassandre sentit cette belle bosse, elle se retourna, et indiqua qu’elle comptait se rendre en bas. Leyli lui sourit malicieusement, et écarta doucement les jambes. Ses seins étaient délicieusement tendus, et, quand Cassandre se déplaça, Asuka en profita pour s’attaquer à son tour à ses seins, se penchant contre elle.
« Oh... Bon sang, les filles, hmmm... »
La jeune femme retint un cri en se pinçant les lèvres quand Asuka mordilla son téton, bien décidée à la mettre à rude épreuve. Asuka était un peu plus vorace que Cassandre, mais ceci ne refréna nullement la passion de Leyli, au contraire. Son sexe lui fit même encore plus mal, et la jeune Ushi tira sur son short. Elle put ainsi apercevoir le phallus tendu de Leyli qui, sous ses vêtements, portait des sous-vêtements en forme de peau de vache, avec des tâches noires.
Sa belle queue se dressa devant elle, et Cassandre, se désintéressant du film, vint sucer son membre, agenouillée sur le sol. Leyli ferma les yeux, heureuse qu’il n’y ait personne à côté d’elle. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait l’amour au cinéma, et, à vrai dire, c’était même un rituel assez classique quand elle allait au cinéma avec sa Maîtresse, ou avec ses esclaves. Il fallait bien avouer que Maîtresse s’amusait à former ses esclaves pour en faire de véritables perverses, des femmes totalement corrompues qui aimaient s’adonner au sexe régulièrement, y compris en public. Leyli avait d’ailleurs déjà sucé, elle aussi, au cinéma. Elle avait été à la place de Cassandre, et parfois dans un cinéma clairement bandé, à voir de jeunes adolescents l’observer pendant qu’elle suçait la queue d’un des garçons de sa Maîtresse, rougissant en voyant leurs érections naissantes. Et là, Cassandre s’était spontanément dirigée vers son chibre, sans même attendre l’accord de Leyli.
Autant dire que la jeune femme était ravie de voir l’Ushi se montrer si naturellement encline au sexe, et se pinça les lèvres. D’une main, elle serra les cheveux d’Asuka, et, de l’autre, caressa la tête de Cassandre, ses doigts glissant sur sa longue chevelure soyeuse.
« Hmmm... Cassandre, haaaa... »
Leyli se pinça encore les lèvres, tandis que, à l’écran, le pouvoir de l’amour amenait les vaches à combattre le scientifique fou accompagné de commandos paramilitaires. Leyli ne se souciait plus de vouloir suivre, et Asuka récupéra son téléphone portable, photographiant Cassandre, puis envoya un MMS à sa Maîtresse, tout en retournant s’attaquer aux seins de Leyli, les mordillant de nouveau.
« Hmmm... Hmmmm...
- Mes... Mes beautés, haaaa... Mes petites beautés... »
Leyli savourait vraiment ça. Voilà qui lui rappelait le bon vieux temps, et elle ferma les yeux en s’adossant contre son dossier, laissant une vague de plaisir la traverser. À l’écran, le film approchait de la fin, entrant dans les dernières minutes, et Asuka embrassa alors Leyli sur les lèvres, étouffant contre sa bouche les gémissements de Leyli.
Erika apparut alors, s’installant sur le sol, et se mit à côté de Cassandre, venant se blottir contre elle, et glissa sa main contre son bassin, venant la masturber doucement, en glissant ses doigts sous la ceinture de son jean.
« Là, là... Savoure, ma belle, savoure bien ! »
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Oublié le film ! Finalement, plus personnes dans les quatre filles ne le regardaient. Faut dire, qu’on soit clair, ce qui se passait autour de Leyli… Et bien, c’était bien plus intéressant que TOUT ce qui se passait. Mais alors, véritablement tout, étant donné que c’était quand même une orgie qui se tentait d’être la plus silencieuse possible… Et ça, c’est cool ! Je veux dire, c’est pas cool de voir ça ? Malheureusement -ou heureusement, tout dépends du point de vue-, et bien… Pour le moment, les filles n’étaient pas encore découvertes, donc impossible de savoir si cela allait vraiment avoir une influence sur la suite. Pourtant, pour Leyli, c’était tellement de plaisir, que cela devenait de plus en plus difficile d’être vraiment discrète. D’ailleurs, cela s’entendait, que cela soit Leyli, ou les autres...
« Hmmm... Hmmmm...
- Mes... Mes beautés, haaaa... Mes petites beautés... »
Cassandre avait décidé donc de prendre en bouche le fameux phallus. Bon sang, elle n’aurait pas cru que Leyli aussi était une hermaphrodite ! Bon sang de bonsoir, ça, on allait de bonne surprise en bonne surprise au cinéma ! Et même avant. Maintenant, elle savait qu’elle voulait être une vachette chanteuse, mais qu’en plus, et bien, elle savait que celle qui l’avait accompagnée avec un phallus. Donc, au lieu de regarder ce film qui était très méchant avec les vaches qui avaient rien demandés d’abord, et bien, elle pouvait sucer une bonne bite. Et ça, on peut tourner ça dans tout les sens qu’on veux, bah, c’est ça le meilleur ! Une bonne bite, ça fait toujours plaisir ! Mais vous savez ce qui encore plus plaisir ? Quand non seulement, t’as une bite en bouche… Mais qu’en plus… Et bien, lisez, vous comprendrez...
« Là, là... Savoure, ma belle, savoure bien ! »
« Meuh… »
Et ouais, elle n’était plus toute seule sous la rangée des sièges ! Erika venait d’apparaître, et s’offrait le luxe de s’occuper de l’intimité de la vachette, qui forcément, n’allait pas dire non à cette arrivée plus que bienvenue ! Cela faisait gémir la vache, mais heureusement, elle avait un baillon bien plus efficace que n’importe quel jouet : le meilleur des baillons… Une bonne bite ! Bref, pour Cassandre, c'était... Tant de plaisir ! Encore plus de plaisir ! Franchement...
Pendant ce temps là, le film continuait. Jason, qui avait retiré son blouson, révélant son torse nu, combattait le scientifique, qui mystérieusement, maîtrisait les arts martiaux. D’ailleurs, Jason aussi les maîtrisaient… Oh, et Amanda ? Vous savez, la policière qui normalement devrait savoir se battre ? Bande de rigolo… Notre cher réalisateur a beau être progressiste sur la cause animale, il fait quand même un film à HOLLYWOOD. Vous croyez vraiment que vous allez laisser une femme se battre à la fin ? Non, la femme était reléguée à un rôle secondaire, Amanda avait été pécho par Jason, et donc, le combat… Ah non ! En effet, Jason fut empalé par un pique tenu par le scientifique, et ce fut Amanda qui l’acheva d’une balle dans la tête… Et c’est alors que tout les zombies prirent feu… Normal… Je suppose… Amanda prit alors Jason dans ses bras, pleurant, et réclamant qu’il ne l’abandonne pas… Par pitié…
Cassandre s’en fichait de ce moment d’émotion -qui allait vite être brisée, mais j’en dis pas plus-… Elle était plus concentrée sur ce qui se passait dans son monde… Elle suçait activement, avec grand plaisir… Et elle allait de plus en plus profond. Elle se souvenait bien de ce qu’elle avait appris donc avec Vanilla Warren, donc, sur comment sucer une bite. Et elle mettait tout en application. Bon sang qu’est-ce qu’on avait affaire à une vachette attentive ! C’était très bien. Pendant ce temps là, quelques personnes dans le cinéma se disait que ce qui se passait au niveau des filles étaient étranges, mais personnes ne s’en soucia assez pour vérifier. Des jeunes partaient déjà, déçu de ce final merdique. On pouvait même voir un jeune homme aux cheveux noir, d’une quinzaine d’année, aller seul au toilettes unisexe, et ne pas en revenir. Tiens, étrange… Ca me rappelle que Cassandre allait sans doute y passer après le film.
Mais pendant que Cassandre se laissait aller à la gorge profonde, et bien, le film, il se concluait… Sur Jason et Amanda. Amanda, ronde, parlait du futur bébé. Les deux étaient dans la grange, et préparaient la « nouvelle » Fête de la vache. Celle-ci avait bien changée… Comme la ville d’ailleurs. Après qu’elle se soit relevée de cette terrible ancienne fête, les fermiers survivaient avaient décidés de vivre en harmonie avec leur vache. Plus d’exploitations, les vaches étaient libres, et on ne consommait même plus leur lait. C’était même pas des animaux de compagnies, elles étaient entièrement libre et avait même, accroché vous, le droit de vote. Jason, maire de la ville, avait décidé de faire de cette ville un havre de paix pour tout les animaux, qui ainsi, étaient protégés et tenus comme égaux devant la loi. La fête de la vache, ainsi, était une fête anniversaire où on célébrait et on acceuillait les nouveaux animaux sauvés… Et le symbolisme fut bien présent, car quand la fête commencé, Amanda accoucha du bébé, symbole d’une nouvelle ère… Une fin bisounours et idyllique, qui laissèrent autant consterné qu’hilare les spectateurs, qui ne s’attendaient pas du tout à une telle fin dans un film d’horreur !
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Il y aurait sans doute beaucoup à dire sur ce film, sur ce mélange étonnant entre nanar, slaher, et film aux revendications politiques... Beaucoup à dire sur les intentions du réalisateur, et sur ce qui était arrivé, sur ses talents de metteur en scène. Mais il aurait fallu pour cela un meilleur public que les quatre jeunes perverses s’adonnant ensemble aux plaisirs les plus pervers qui soient. Tandis que Cassandre la suçait, Asuka embrassait longuement Leyli, et Erika la masturbait. La belle Ushi se tortillait sur place, mouillant frénétiquement. Leyli, elle, savourait tout cela, cet assaut de femmes, et elle répondit au baiser d’Asuka avec envie, écartant ses jambes, son autre main caressant les cheveux de Cassandre.
À l’écran, la scène finale avait lieu, et le générique se lançait. Fort heureusement, le quatuor se trouvait dans un coin éloigné des sorties de la salle, ce qui fit que personne ne sembla vraiment leur porter attention. Tandis que le générique défilait, les quatre femmes continuaient ainsi à se faire l’amour. Leyli en avait totalement oublié le film, ne pensant qu’à la bouche de la jeune femme remuant sur son sexe, pompant longuement son dard. Elle fermait les yeux à plusieurs reprises, utilisant son endurance pour retenir autant que possible son orgasme.
Leyli ferma encore les yeux, et sentit finalement une énième vague la traverser. Son corps se crispa sur place, et elle se relâcha brusquement, son foutre jaillissant dans la bouche de Cassandre. Leyli se relâcha donc, puis sourit ensuite.
« Bon... Vous êtes contentes, les filles ? Fières de vous, je suppose ? »
Leyli regarda ensuite autour d’elle, pour constater qu’il n’y avait plus qu’elles dans la salle. Celle-ci était complètement vide, et les derniers morceaux du générique filaient. Leyli remit ensuite ses vêtements en place.
« On devrait emmener Cassandre aux toilettes, elle s’est un peu salie le visage !
- Hmmm... Si vous y tenez, oui... »
La ménagère avait renfloué ses gènes hermaphrodites, et guida donc le groupe hors de la salle de cinéma. La porte menant aux toilettes se trouvait dans le couloir à la sortie.
« Nettoie-toi un coup, Cassandre, et fais vite.
- Ne t’en fais pas, je vais l’accompagner ! s’exclama Asuka, qui tenait Cassandre par la main. Allez, viens, ma chérie... »
Asuka ouvrit alors la porte des toilettes et fila à l’intérieur avec Cassandre, sans se douter que quelqu’un les attendait déjà à l’intérieur...
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Le plus triste dans cette histoire, c’est qu’Edmont Bois avait vraiment voulu faire passer un message qui peut se comprendre. Le zombie ne devenait enfaite qu’une sorte d’exutoire sur les folies humaines niveau consommation de viande. Et le mieux, c’est que le film était -contrairement à ENORMEMENT d’autre- assez gentil avec les omnivores : le film avait pour vocation de montrer leur erreur, mais jamais ils n’étaient considérés comme coupable. Ils étaient un peu stupide, oui, mais ils n’étaient pas méchant, contrairement à ce que beaucoup de Vegan font. Edmont Bois, on peut le reconnaître, avait bien cherché à montrer que non, ce n’était pas ceux qui consommait de la viande les méchants, mais les grandes corporations qui tuaient et faisaient de l’argent sur cela. En gros, le film marchait bien mieux que les trois quart des vidéos youtubes sur le Véganisme. Malheureusement le public n’était pas venu pour cela. Certains étaient venus pour voir un bon film d’horreur, il était déçu… D’autre pour voir un bon nanar, et il était satisfait… Et enfin quatre spectatrice… Pour faire autre chose. Et elles étaient TRES loin d’être déçue.
« Bon... Vous êtes contentes, les filles ? Fières de vous, je suppose ? »
« Oui ! »
Avec tout ce blabla, on a raté le moment ou Leyli a jouie dans la bouche de Cassandre ! Méchante narratrice ! Méchante ! Bref, allez, je suis gentille, et je vous raconte. Après avoir atteint elle-même une grande jouissance par le fait qu’elle avait été touchée, elle arriva à faire atteindre le plaisir maximum à Leyli. Celle-ci alors juta dans la bouche de la fameuse Ushi, qui, on va être clair, était très très contente ! Que de plaisir ! Cela était bien satisfaisant ce genre d’expérience. Bref, la fameuse vachette était fière d’elle, et remettait elle aussi bien ses vêtements. Quand même ! Il fallait être présentable, elle avait bien compris cela… Heureusement, Cassandre n’eut même pas à le dire, car en effet, la fameuse Erika expliqua !
« On devrait emmener Cassandre aux toilettes, elle s’est un peu salie le visage !
- Hmmm... Si vous y tenez, oui... »
Leyli semblait avoir des doutes, mais c’est vrai que c’était le plus sage. Les quatre filles furent les dernières à sortir, sous le regard blasé d’un gérant de salle, qui avait bien deviné -sans en deviner l’ampleur néanmoins- pourquoi les quatre demoiselles étaient restés si longtemps. Cela faisait assez longtemps qu’il bossait là pour savoir. Pas d’inquiétude néanmoins, car justement, cela faisait assez longtemps qu’il bossait là pour ne plus en avoir rien à foutre. Mais bref ! Ainsi, très rapidement, les demoiselles arrivèrent au niveau des toilettes ! C’était l’endroit parfait pour se nettoyer car… Bah euh pourquoi j’explique ? Ce sont des toilettes ! C’était évident qu’elles allaient se faire un brin de toilette rapidement ! Il ne pouvait rien se passer d’autres et… Et qui je trompe. Evidemment qu’il va se passer quelques choses. Fusil de Tchekov vous connaissez ? Bref….
« Nettoie-toi un coup, Cassandre, et fais vite.
- Ne t’en fais pas, je vais l’accompagner ! Allez, viens, ma chérie…
-Je me dépèche ! À de suite ! »
Toilette unisexe, aussi bien homme que femme pouvaient entrer dans cette ensemble de toilettes. Question de gérer non pas les coûts mais l’espace. Le mètre carré est cher, donc, faut économiser le plus possible ! Bref quoiqu’il en soit, les filles entrèrent… Et furent rapidement immobilisée et endormie le plus efficacement possible. Pas un bruit, les deux hommes, de gros bras déguisée en démanageur tout ce qu’il y a de plus normal, avaient été horriblement efficace. C’est alors qu’apparu… L’homme qui les avait photographié dans le cinéma ! Ni une, ni deux, il retira le béret de Cassandre… Et fit un grand sourire. Son instinct ne l’avait pas trompé, c’était bien plus qu’une simple fille normale. Parfaite ! Trois jeunes en plus, elles allaient pouvoir beaucoup produire. Trois ? Mais pourtant, Asuka et Cassandre ne faisait que deux jeunes, non ? Et bien, oui, mais il y avait un troisième capturée… En effet...
Un jeune homme efféminé était déjà dans une caisse, et fut rejoint par Cassandre et Asuka, toute deux profondément endormie. Avant de les installer, il retira tout les vêtements des filles, qu’il roula en boule, et fourra dans un coin de la caisse, sans prendre le moindre soin. Les trois furent stabilisés, bien attachés, et l’homme vérifia qu’elles pouvaient respirer. Il ne fallait pas qu’ils prennent le moindre risque d’abimer leurs précieuses proies ! Bref, il sorti un téléphone, un vieux téléphone pourri qui n’était PAS celui qu’il avait utilisé pour téléphoner et prendre en photo les filles tout à l’heure, et déclara alors à son interlocuteur, tandis que par une porte dérobée, disparaissait les deux déménageurs de tout à l’heure, et surtout, la précieuse caisse qui contenait les trois captifs...
« Oui… Les paquets sont sécurisés… Non, je n’ai pas eu les quatre. Que deux. Je sais, je me dépèche avant qu’elle se ramène. J’ai eu un autre. J’lui ai donné le X-3. Faut voir s’il survit. Je sais qu’un sur 10. Mais on sait jamais. »
L’homme parla dans son téléphone… Puis le brisa et jeta les restes dans les toilettes, avant de partir par la porte dérobés, suivant ainsi les deux paquets bien protégés. Il allait pouvoir retourner vers son acolyte, et surtout leur cachette. Ils devaient avoir été le plus discret possible… Heureusement qu’ils savaient que ce vieux cinéma étaient sur une ancienne planque de Yakuza ! Donc, ils connaissaient tout les passages secrets, digne d’un vieux James Bond, que regorgeaient la demeure, plus à cause de la paranoïa de son premier commanditaire que pour une vraie utilité. Mais passons sur ce point. Quoiqu’il en soit, il supervisa la mise en place du colis dans le camion, et s’installa dedans, tranquillement, tentant d’être le plus naturel possible. Des camions, dans cette ville, il y en avait des tonnes. Pourquoi le sien serait plus remarqué qu’un autre ?
Ainsi, le camion parti. À son bord, trois personnes… L’homme était content. Il avait de suite reconnu une « Ushi », une de ces étranges créatures qu’on voyait TRES rarement sur terre. Pour eux qui faisait commerce de lait, c’était bien pratique. On pouvait le mélangeait avec le lait humain qui sera produite par le petit nouveau et Asuka. Mais le petit nouveau est un homme ! Pas d’inquiétude ! Il avait déjà donné à ce jeune homme, Mikoto de son prénom, une substance qui était entrain de le transformer en demoiselle, d’où son évanouissement -le processus n’était PAS agréable, qu’on soit clair-. Bientôt, Asuka, Mikoto et Cassandre rejoindrait sa petite production artisanale de lait… Trois nouvelles filles d’un coup, alors qu’il n’en n’avait à l’origine que deux, c’était nickel ! Et personne le retrouverait… Oh oui. L’homme n’avait pas idée qu’il venait de s’attaquer à BEAUCOUP plus gros que lui, Melinda Warren. Mais le temps de découvrir, il aurait peut-être déjà eu ces premiers litres.
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Le camion sortit de la ville pour rejoindre la grande forêt de Seikusu. Le clan avait un repaire dissimulé dans une ferme. Une exploitation agricole en apparence normale, avec des vaches, un silo industriel, des bottes de foin, un manoir, des écuries... Mais qui servait en réalité de couverture pour le clan. D’autres hommes se trouvaient là, et accueillirent les Yakuzas. Ils observèrent ensuite les corps endormis, et un sourire ravi se dessina sur les lèvres d’un homme bedonnant en costume, chauve, et portant des lunettes solaires.
« Très bien joué. Une Ushi, je n’arrive pas à y croire... »
Nasagi était un lieutenant influent du clan, qui y voyait là une excellente opportunité. Ses doigts libidineux et gras caressèrent le corps nu de Cassandre, palpant ses seins. Il les pinça même, arrachant un léger frisson au corps de l’Ushi, et observa ensuite les deux autres prisonniers, dont Mikoto. Le jeune éphèbe était encore en train de se transformer, et serait sûrement le premier à se réveiller, d’où la douleur qu’il ressentait. Nasagi ordonna donc qu’on les déplace, et qu’on conduise Cassandre dans son bureau. Les Yakuzas obtempérèrent, tandis que Mikoto fut déplacé dans les écuries.
Le lieutenant utilisa ensuite son téléphone. Il organisait les ventes ici, pour le compte du clan. C’était une activité très lucrative, et les Ushis étaient très recherchés, notamment par des clients très particuliers. Tandis que les hommes de Nasagi attachaient Cassandre dans son bureau, la ligotant à des cordes en position redressée, et mirent un gag-ball sur les lèvres, lui appela ses contacts. Il sourit ensuite quand la cliente annonça qu’elle enverrait ses agentes ce soir.
« Préparez-là bien. Et mettez les deux autres au chaud. »
Plus tard...
« Elle est très jolie...
- Oui... J’ai du mal à croire que cette beauté soit libre.
- Ça n’a rien de surprenant, Mesdames, il arrive fréquemment que des Terranides se perdent dans la forêt en empruntant des Failles.
- Hmmmm... »
Des talons claquaient sur le sol, et des mains gantées caressaient le corps de la jeune Ushi, qui se réveillait lentement. Peu à peu, les connexions se rétablissaient, tandis que des doigts écartaient ses lèvres, observant la blancheur de ses dents, avant de lui remettre son gag ball. Finalement, la jeune Ushi ouvrit les yeux, et, après quelques secondes, put constater qu’elle était attachée. Ses bras étaient noués dans son dos, retenus par une espèce de harnais, et son corps était courbé vers l’avant, ses fesses écartées. Une corde était reliée à une laisse autour de son cou, redressant ainsi son visage, lui permettant de voir...
Deux redoutables femmes (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2637441), aux poitrines monstrueuses, ayant une chevelure blanche et rouge, et qui l’observèrent lentement. Elles avaient surtout chacune une redoutable trique, et lui sourirent doucement.
« J’ignore si tu comprends ce qu’on te dit, jeune femme... Mais tu es à nous, maintenant.
- Nous sommes tes Maîtresses, estime-toi heureuse ! Ta vie de sauvageonne dans la forêt est terminée ! »
Les deux beautés semblaient ignorer que Cassandre avait déjà une Maîtresse... Et elles avaient en tout cas très envie de profiter de leur cadeau, leurs sexes érigés caressant doucement le visage de la belle Ushi...
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Après un transport qui fut un peu long, et bien, les trois captifs furent amenés vers une ferme, qui était évidemment une planque. Le carton fut ouvert. Asuka dormait assez paisiblement, reposant sur un sein de Cassandre, tandis que Mikoto lui s’agitait déjà un peu, à cause de la douleur. Son phallus avait presque entièrement disparu, et des seins, de beaux seins avaient commencés à apparaître. Un homme en costard -sans doute le chef, se dirait-on-, tatait les jeunes captifs, comme on taterait un avocat pour vérifier s’il était mur ou pas. Sans attendre une seconde, il commença à donner ses directives, qui se voulaient très clairs. Il fallait « préparer » les deux humains normaux, et l’Ushi… oh oui, l’ushi. Une telle fortune, cette Ushi. Une fortune vivante, dont il fallait vite en profiter. Très vite.
Où allait être transportée Mikoto et Asuka ? Les deux étaient déjà « transformés » par des produits chimiques inconnus en des « ushi-humaines » par la volonté des Yakuazas… Mais malheureusement, Cassandre ne semblait pas destinés à les rejoindre… Ce qui était logique : Cassandre valait sans doute beaucoup plus d’argents… Il était donc impossible de savoir ce qui allaient advenir là maintenant, aux deux jeunes personnes. Sans doute que nous les reverrons plus tard, pas d’inquiétude, cela n’allait sans doute pas être des souris abandonnés ! Des souris dans le sens narratifs du terme, bien entendu, et pas dans le sens… Petit mammifère de l’ordre des rongeurs. Bref, quoiqu’il en soit, Asuka et Mikoto restaient pour le moment ensemble, mais ne se connaissant même pas, cela n’allait leur apporter que peu de réconforts.
Mais laissons les un petit moment de côté, et concentrons-nous donc sur Cassandre. Donc, que faisait notre vachette ? Et bien, pas grand-chose, faut dire, elle était encore inconsciente. Et quand on est inconscient, on a le gros problème d’être… D’être… ? Allez, je vous aide… On est… Inconscient ! Et ouais, bravo ! Vous avez deviné ! Vous êtes ma foi fort doué. Bref, quoiqu’il en soit, donc, elle était encore inconsciente. Elle ne pouvait pas savoir quel produit on lui avait foutu dans la tronche, mais cela ne faisait aucun doute que c’était pas de la gnognote. Peut-être s’était-il demandé, notre kidnappeur, quel produit serait le plus efficace sur une terranide comme la fameuse Cassandre ? C’était sans doute une reflexion importante… quoiqu’il en soit, se réveillant tout juste, elle put entendre...
rprenant, Mesdames, il arrive fréquemment que des Terranides se perdent dans la forêt en empruntant des Failles.
- Hmmmm... »
Cassandre se réveilla, en attendant des bribes de phrases… Où était-elle ? Etait-elle rentrée ? Elle ne savait pas trop, étant donné qu’elle était encore dans le coltar. Elle ne reconnaissait pas vraiment les voix, mais elle était là depuis peu de temps, cela pourrait être une personne qu’elle ne connaissait pas encore dans le harem ! Après tout, il y avait tellement de gens, tellement de gens si gentil, c’est absolument formidable ! Elle adorait ce harem, elle adorait toutes ses personnes, elle avait découverte tant de choses formidables ! Franchement, on ne pouvait pas mieux traiter une Ushi comme elle, elle était l’Ushi du bonheur ! Donc, elle voulait bien se demander qui étaient ses dames ? Car ouais, c’était deux dames… Ses yeux étaient maintenant bien ouvert, elle était prête à voir, et donc, à entendre, et à se rendre compte…
« J’ignore si tu comprends ce qu’on te dit, jeune femme... Mais tu es à nous, maintenant.
- Nous sommes tes Maîtresses, estime-toi heureuse ! Ta vie de sauvageonne dans la forêt est terminée ! »
« Mmh… ? »
Elle tenta de déclarer quelques choses… Mais elle ne put rien dire du tout. Pourquoi cela ? Et bien car ses lèvres étaient complètement scellé ! Elle avait un bâillon ! Ce fut la première chose qu’elle remarqua, étant donné que bah… Comme elle était bien bâillonner, il fallait imaginer qu’elle ne pouvait guère parler. Cela, déjà, c’était un premier truc étrange, inhabituel, pas normal, bref, pas normal du tout. Donc, cela était un premier point… Mais ce n’était pas tout ! Comme si cela ne suffisait pas pour que cela soit bien étrange, elle était aussi immobilisée ! Elle pouvait ni bouger, ni parler. Alors, ne pas bouger, c’était déjà arrivé quand elle devait se faire traire… Mais là, la situation était clairement pas la même… De plus, il y avait quelques choses encore devant, car ouais, les deux femmes n’avaient pas rien dit, elles avaient dit des choses qui évidemment avait de l’importance… Beaucoup d’importance !
« Mmh !! »
Elle tentait de faire comprendre qu’elle était un peu paniquée, qu’elle voulait retrouver sa précieuse maîtresse, et ses amis ! Encore une fois, il serait absolument possible que cela soit d’autres membres du harem de Mélinda… Mais il y avait ses déclarations qui étaient étranges… Comment ça « tu es à nous » ? comment ça « nous sommes tes maîtresses ? » De plus, elle n’avait même pas croisée de forêt ici ! Elle avait été transportée dans une grosse caisse, et puis, après, elle avait été dans le manoir de Melinda ! C’est tout ! Bref, elle tentait de parler, mais c’était peine perdue… Tout ce qu’elle voyait là, c’était deux gros calibres qui semblaient prêt à jouer avec elle… Et quand je dis jouer avec elle, vous imaginez bien comment cela allait jouer… Car ouais, cela n’allait pas jouer juste comme ça… Oh oh… Prépare toi Cassandre ! Comme Asuka, Mikoto, tu étais dans une situation bien inconfortable.
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ASUKA (https://cdn.discordapp.com/attachments/240597030546833408/419542691735666701/00004231_02.jpg)
Asuka émergea progressivement du sommeil dans lequel elle avait été plongée. Elle constata rapidement qu’elle était attachée, retenue par des chaînes aux mains, suspendue en l’air. La jeune fille avait été déshabillée, et portait un court uniforme en latex, avec des collants, des gants longs, un harnais avec un soutien-gorge, et une petite culotte. Elle éternua rapidement, et secoua doucement la tête, le temps de comprendre ce qui lui arrivait.
«
Mais qu’est-ce que.. ? -
Oh, tu es enfin réveillée, ma chérie ! »
Quelques lumières s’allumèrent. Complètement perdue, Asuka se rappela la séance au cinéma, ses gâteries avec Cassandre, et...
«
Maî-Maîtresse ? -
Oh, c’est flatteur, mais... Je ne suis pas Mélinda, non ! »
Asuka déglutit doucement, commençant à sentir la panique monter en elle. Tandis que ses yeux s’acclimataient à la luminosité ambiante, elle entendit les bourdonnements d’une machine, ainsi que des talons qui claquaient sur le sol. D’autres lumières s’allumèrent, et elle écarquilla les yeux en voyant un jeune homme travesti (http://img110.xooimage.com/files/5/6/3/mikoto-55304a3.png), attaché sur un fauteuil, en proie à une curieuse machine vivante. Il s’agissait de Mikoto, mais ça, Asuka ne pouvait pas le savoir.
La jeune femme vit alors une sorte de tuyau gluant descendre du plafond, et se poser sur la tête du jeune homme, qui se mit à hurler. Asuka ne pouvait pas le voir, mais des tentacules rentraient dans les oreilles de Mikoto (http://img110.xooimage.com/files/0/c/f/mikoto-55304b6.png), ce qui devait être déstabilisant pour lui. C’est à ce moment qu’Asuka nota la forme très particulière du « fauteuil », qui ressemblait en réalité à d’étranges cuisses. Asuka constata alors, en écarquillant les yeux sous la surprise, que le jeune homme était assis sur un énorme monstre (http://img110.xooimage.com/files/3/8/7/monster-55304c5.png), et qu’un gros pénis était en train de lui labourer le fondement.
«
Mais... Mais qui êtes-vous ?! »
Les talons claquèrent encore, et Asuka vit une jeune femme (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2705663) apparaître dans son champ de vision. Elle portait une étrange tenue sombre, un sourire ravi et pervers sur les lèvres, et, à travers sa robe transparente et sombre, Asuka vit un étrange glyphe à hauteur de son ventre, juste au-dessus de son sexe.
«
Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer... » sourit malicieusement la femme.
Mikoto hurla encore, tandis que des tentacules étaient plantés sur ses tétons, et que d’autres se tenaient sur ses testicules... Asuka ne comprenait rien à ce qui se passait, et espérait juste que sa Maîtresse viendrait vite la secourir !
LES SOEURS NIKITA & ALEXIA (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2637441)
Nikita sourit doucement devant le corps tendu de l’Ushi. Les deux femmes étaient enfin seules, et, devant Cassandre, Alexia, elle, frottait sa queue sur le visage de l’Ushi. Pleinement réveillée, celle-ci couinait en se débattant sur place. Toutefois, les deux femmes ne souhaitaient nullement se montrer inutilement cruelles envers elle. Alexia alla donc chercher une seringue hypodermique, abritant un liquide violet assez vif.
«
Ne t’en fais pas, ma petite Ushi, ce liquide va t’aider à apprécier le bien que nous allons te faire... »
La seringue fut plantée dans le cou de Cassandre, et un puissant aphrodisiaque se déversa dans ses veines. L’Ushi couina encore, tandis que ses seins se durcirent, et que, contre la queue de Nikita, son sexe changea également, devenant plus humide. Nikita n’attendit pas davantage, et écarta la culotte de l’Ushi, puis planta sa grosse queue dans son vagin. Retenue par les chaînes, Cassandre put ainsi sentir une belle queue s’enfoncer dans sa chatte, et se mit à couiner lentement. Pour son malheur, les deux sœurs s’avéraient être des amantes particulièrement douées, et la queue de Nikita remonta dans les entrailles de Cassandre, jusqu’à taper contre son col de l’utérus.
Alexia, de son côté, retira alors le
gag ball de la bouche de Cassandre, mais, avant même que la jeune Ushi ne puisse dire quoi que ce soit, empoigna d’une main ses longs cheveux roux, et fourra sa grosse trique dans sa bouche, se mettant à remuer.
«
Ça y est, hmmm... Ces idiots ne nous écoutent plus ? »
D’une main, Nikita tenait un téléphone portable, et acquiesça.
«
Le brouilleur fonctionne... »
Alexia sourit, et, tout en continuant à bourrer Cassandre, lui parla :
«
Nous sommes filmées, ma chérie, alors prends bien ton pied, surtout, hmmm... Tu as été kidnappée par des individus mal intentionnés. Mais nous savons que tu as une Maîtresse, qui ne devrait pas tarder à te retrouver. -
En fait... Hmmm... La compagnie pour laquelle nous travaillons a très envie de rencontrer ta Maîtresse, et le fait qu’elle se soit dotée d’une Ushi croisée avec un Minotaure... -
Nous voulions déjà te récupérer lors de l’adjudication, mais... La femme de Miss Warren a été plus rapide que nous. Ne t’en fais pas, hmmm... Tu vas pouvoir retrouver ta Maîtresse. »
Il était plus que probable que celle-ci était déjà sur les traces de Cassandre. La petite vachette avait sans aucun doute beaucoup de questions, mais, pour l’heure, les deux sœurs perverses hermaphrodites continuaient à la bourrer, y allant de plus en plus forts, et de plus en plus profondément...
-
Mikoto avait toujours été un garçon… Normal. Oui, d’accord, ce n’était pas le plus viril de tout les garçons, mais quand même ! Il n’avait vraiment rien pour lui, rien pour le différencier des autres, pour qu’on le remarque plus qu’un autre. C’était un mec lambda, tout ce qu’il y a de plus normal. Et un jour, il avait décidé de faire l’activité la plus lambda possible : aller au cinéma. C’était normal aller au cinéma… Non ? Cependant, partant avant la fin à cause d’un très mauvais film, et bien, il était arrivé au mauvais endroit, au mauvais moment. Et là, il ne savait pas encore que sa vie avait changée pour toujours. Il ne serait plus jamais, mais alors plus jamais Mikoto. Il serait… quelqu’un d’autres. Mais n’allons pas plus vite que la musique, concentrons-nous d’abord sur ce qui se passait peu à peu pour lui…
Quand il s’était réveillé, il avait changé. Il était encore plus efféminé qu’avant… Il avait toujours été effiminé, mais pas par choix. Il était ainsi, c’était tout. Il pouvait guère changer comment il était. Au passage, il sentait que cela avait été de force… Encore dans un état second, il n’avait ni remarqué quelques choses, mais il avait quand même remarqué quelques chose : il n’était pas tout seul. Il avait un ou une compagnon d’infortune. Bref, il voyait qu’on faisait des choses à la fille, mais il ne comprenait pas. Encore une fois, il était trop dans le coltar pour vraiment se rendre compte de ce qui arrivait vraiment autour de lui. Les effets de ce qu’on lui avait injecté était visiblement violent, et il ne savait pas que le produit qu’il avait eu, avait tué enfaite la plupart des personnes qui l’avaient consommés. Et parfois des gens bien plus solide que lui… Mais il était solide, et allait le prouver.
Mais soudain, un énorme phallus l’empala littéralement. Il crut qu’il allait mourir, véritablement, que c’était pas possible qu’il tienne. Mais visiblement, il avait déjà suffisamment été transformé pour résister. Bref, il était là dans une situation… Qu’il n’aurait jamais cru. C’était… C’était un immense démon, il était comme le Roi prisonnier d’un immense trone démoniaque qui l’enculait ! Ouais, l’image est pas mal jusqu’à la mention de l’enculage qui brise un peu la « poésie » de l’ensemble si vous voulez mon avis… Tant pis on la garde ! On a pas le budget de la refaire de toute façon. Bref, son anus était défoncée, élargi comme pas possible, et il était là, sans savoir ce qui arrivait, sans avoir la force d’articuler une phrase pour tenter de demander « Que m’arrive-t-il ? » ou « Ou suis-je ? » ou tout simplement même « Pourquoi ? » !
Il était prit de partout. C’était son anus qui prenait le plus cher, mais depuis le temps, ses tétons avaient aussi été pénétrer par des tentacules, le faisant hurler… Mais si ces tétons et son anus étaient les deux choses qu’on voyait le mieux… Ce n’était pas les deux choses les plus importantes. Oh non… Ce qui était le plus important… C’était un autre chose… Un autre chose tout aussi intéressant, mais un peu plus présent… Car en effet, le jeune homme avait un petit quelques choses en lui, et non, ce n’était pas un Tenessee… Bien qu’on en a tous un peu en nous. Non, c’était son cerveau qui lui-même été attaqué par des tentacules ! Pourquoi ? Que lui faisait-on ? qu’allait-on lui faire ? Il n’en savait rien, mais la nature démoniaque du lieu, oh mon dieu… Tout cela ne lui disait rien, mais alors rien qui vaille.
***
Mais revenons-en à Cassandre, vous le voulez bien ? Et ouais, car la fameuse Ushi était toujours captive, prisonnière, ne pouvant rien faire, captive ! Ouais, j’ai dis deux fois captives. Mais c’est pas grave. Elle ne connaissait rien de rien, de sa situation… Et cela, bien entendu, c’était très inquiétant. Il n’y avait rien de rassurant dans sa position. Attachée, bâillonnée, et surtout… Loin de sa précieuse maîtresse ! C’était ça, bel et bien ça le plus terrible ! Elle voulait retrouver sa maîtresse, elle avait peur ! Vite vite vite ! Bref, la fameuse Ushi n’était pas bien, et visiblement, les deux fameuses « maîtresses » autoproclamées de la vachette l’avaient parfaitement remarquée ! Donc, quoiqu’il arrive, et bien, elles avaient prévus le coup… Et donc, avaient décidés de faire un petit quelques choses à la vachette… Oh trois fois rien…
« Ne t’en fais pas, ma petite Ushi, ce liquide va t’aider à apprécier le bien que nous allons te faire... »
Un aphrodisiaque ! Sur une vachette comme… Bah euh… la vachette, c’était drôlement efficace. Cassandre était particulièrement faible contre les aphrodisiaques, elle ne le savait pas, mais voilà ! Enfaite, pour être plus précis, c’était du à sa nature même. Enfaite, sa nature de croisement entre un Minotaure et une Ushi faisait que non seulement, c’était très rare, les ushis survivaient que très peu régulièrement à cela, et mourrait bien souvent lors de la procréation, ou en couche, et en plus, les femelles étaient assez rares. Et ces femelles étaient très sensibles à toutes les sortes de magie… Toutes. Hors, beaucoup d’aphrodisiaques, je parle bien entendus des vrais, pas de ces trucs vendus par des charlatans dans le commerce, étaient fait à base de… De… Magie rose ! Bravo, 10 point pour le mec au fond ! Ou la nana ! Je sais pas ! T’es comme Mikoto, je vois mal ! Bref, quoiqu’il en soit…
« Nous sommes filmées, ma chérie, alors prends bien ton pied, surtout, hmmm... Tu as été kidnappée par des individus mal intentionnés. Mais nous savons que tu as une Maîtresse, qui ne devrait pas tarder à te retrouver.
- En fait... Hmmm... La compagnie pour laquelle nous travaillons a très envie de rencontrer ta Maîtresse, et le fait qu’elle se soit dotée d’une Ushi croisée avec un Minotaure...
- Nous voulions déjà te récupérer lors de l’adjudication, mais... La femme de Miss Warren a été plus rapide que nous. Ne t’en fais pas, hmmm... Tu vas pouvoir retrouver ta Maîtresse. »
Alors, là, la situation était… Complexe. Comment cela me demanderiez-vous ? Et bien, d’un côté, elle était rassurée… Très rassurée. Cela voulait dire que les maîtresses ici présentes n’étaient pas des méchantes maîtresses qui allaient l’interdire de revoir sa précieuse maîtresse, sa seule et unique maîtresse, sans compter toute les autres, c’est à dire, sa mâitresse. Vous n’avez pas compris ? Pas grave, je vous résume… Elle était rassurée que Melinda allait venir la sauver ! Et ouais, car elle voulait être sauvée, elle voulait qu’on vienne pour la sauver, pour la ramener chez elle, et qu’elle puisse reprendre ses missions, c’est à dire, donner beaucoup de laits pour ces précieuses maîtresse ! Car c’est ça, sa vie ! La vie d’une bonne Ushi ! Bref, ainsi, d’un côté elle était rassurée… Mais vous devinez bien que si elle n’est rassurée que d’un côté, et bien, cela voulait dire que de l’autre côté, et bien, elle n’était pas rassurée ! Et ouais, cela marche des deux côtés !
Mais de l’autre, elle n’était pas rassurée. Pourquoi ? Et bien, car elle se souvenait qu’au cinéma, elle était avec des personnes, des amies ! Et là, depuis qu’elle était là… Et bien, elle ne savait pas où elles étaient ! Où étaient Asuka !? Sans doute captive elle aussi, étant donné que notre fameuse Asuka souffrait de son côté ! Bon, on l’a mentionné un peu plus tôt… Bref, donc, la fameuse Ushi s’inquiétait aussi pour les autres. Car il n’y avait pas qu’Asuka ! Il y en avait tant d’autres ! Peut-être qu’elles quatre étaient en danger, quelques parts dans ce milieu ! Bref, la vachette allait sans doute s’en souvenir de sa première sortie… Pas en mal non plus, elle aurait beaucoup de bon souvenir… Mais aussi des mauvais. Quoiqu’il en soit, il faudrait sans doute qu’elle parle pour demander où étaient ses autres amies… Mais malheureusement, elle ne pouvait… Elle ne pouvait tout simplement pas.
Pourquoi ne pouvait-elle pas parler ? Il y avait un brouilleur ! Après tout, cela empêchait aux autres d’entendre non ? Et bien, tout premièrement, on avait affaire à Cassandre, et comme toujours avec Cassandre, elle comprenait rien à tout ce qui était technique. Mais ce n’était pas ça non plus qui l’empêchait de parler… C’était tout simplement que… Bah, elle avait la bouche occupée. Et oui ! Je ne l’ai pas dis, mais depuis tout à l’heure, elle avait quand même un gros engin dans la bouche ! Ce qui joue beaucoup, bien entendu. Elle suçait donc activement, pompait la queue qui était entre ses lèvres, avec efficacité, et surtout, avec une certaine envie. On se rappelle que notre vachette, notre brave vachette, elle préfère largement une bonne fellation. C’est ça qu’elle préfère avant toute chose… Mais parlons un peu de l’arrière si vous le voulez bien.
Et sa bouche n’était pas la seule à être en position « occupée » ! Et ouais ! Elle avait un autre trou qui était bien bouchée, et donc, qui ne pouvait rien recevoir pour le moment… De l’autre côté, la queue bourrait bien. Ainsi, tout à l’heure, l’une des deux maîtresse avait demandée quelques choses d’assez simple : « qu’elle prenne son pied ». Et bien, pas d’inquiétude ! Entre l’aphrodisiaque, que j’ai déjà élaborés plus tôt, et surtout… Le fait qu’elle aimait le sexe, et bien, elle prenait son pied ; bon sang ! Elle espérait que Melinda ne serait pas trop en colère du fait qu’elle prenait son pied alors qu’elle n’était pas avec sa maîtresse ? Heureusement, sa maîtresse était une dame pleine de sagesse et de gentillesse… Elle comprendrait sans doute. Et bon sang de bonsoir… Elle espérait qu’elle arriverait vite ! Très vite !
-
ASUKA (https://cdn.discordapp.com/attachments/240597030546833408/419542691735666701/00004231_02.jpg)
«
Je suis une jeune femme qui travaille pour des personnes très puissantes, Asuka... Des personnes qui recherchent des liens à travers les mondes pour pouvoir développer leurs activités. J’étais jadis une simple adolescente qui combattait les démons, tu comprends ? Quand ils tentaient de venir sur notre monde, je les affrontai, je les repoussai, à l’aide de pouvoirs magiques... Jusqu’à ce qu’une faille ne m’absorbe, moi et ma sœur, en Enfer. C’est là que j’ai été progressivement transformée, qu’on m’a offert l’occasion de servir mes Maîtresses, et non plus de les combattre. -
Ta... Ta sœur ? » demanda Asuka, éberluée.
Des talons claquèrent à côté d’Asuka, et une main gantée nouvelle caressa son visage, puis des lèvres l’embrassèrent pendant quelques secondes. Elle soupira doucement, et cligna des yeux à plusieurs reprises. À côté de la première adolescente, il y en avait une autre,
Akari (http://img110.xooimage.com/files/3/8/b/141-553b438.jpg), un peu plus jeune, mais avec le même look noir, sanglé, et démoniaque.
Asuka déglutit encore, tandis que Mitoko se mettait à couiner. Les deux sœurs se retournèrent, et Akari se rapprocha de lui. Elle caressa le visage de Mitoko, qui portait en ce moment une délicieuse tenue de fille. Elle l’embrassa sur la joue, gloussant doucement
«
N’aie pas peur, Mitoko... Nous avons vu ta souffrance, ton désarroi... Tous les garçons se moquant de toi parce que tu ressembles davantage à une fille qu’à un garçon... Tes soirées à pleurer dans ta chambre, les moqueries et les brimades, et tes attirances pour la gente féminine... Les Maîtresses ont tout vu de toi dans leur boule de cristal. »
Akari semblait en effet tout savoir de Mitoko. Être un jeune homme efféminé n’était jamais très facile. Mitoko avait eu droit à son lot de brimades, de moqueries, des images qui défilèrent alors dans son esprit, tandis que le tentacule phallique continuait à le bourrer, l’approchant de l’orgasme. Asuka, quant à elle, continuait encore à planer, essayant encore de comprendre ce qui lui arrivait.
«
Je... Je ne comprends rien... -
C’est pourtant simple ! Nous nous sommes acoquinés avec ces criminels de bas étage pour mettre la main sur toi, et attirer l’attention de ta Maîtresse ! Tu seras notre témoin, Asuka, tu verras ce que nous proposons à ta Maîtresse ! Vois ça comme une espèce de publicité ! -
Mais qui êtes-vous ? -
Nous étions jadis des magical girls, c’est ce que je t’ai expliqué... Puis nous avons eu de nouvelles destinées. Les esprits qui sont venus nous donner nos pouvoirs travaillaient en réalité pour de très puissantes démones, ces même démones qui ont décidé d’offrir à Mitoko la chance de sa vie... »
Akari continuait à parler au jeune homme, dont le plaisir continuait à croître... Mais sa queue, elle, ne cessait de rapetisser. De plus, les tentacules posés sur ses seins continuaient à s’agiter, vibrant doucement, émettant de chaudes lueurs en faisant gonfler à cet emplacement la peau du jeune homme.
«
Les tentacules dans ton cerveau remodèlent tes synapses, tes neurotransmetteurs de plaisir, Mitoko, afin de les transformer, de les faire davantage correspondre à ceux d’une femme. Tu comprends ? Nous faisons de toi une fille ! Nous mettons fin à ton ambiguïté sexuelle pour te transformer en une délicieuse fille ! Car nous savons tout de toi, y compris de tes fantasmes pervers où tu t’imagines être prise comme une fille, des séances où tu te travestis... Tu as envie d’être une fille, Mikoto ! Admets-le, ma belle... Ta petite queue est en train de disparaître, tu sais... »
Il aurait normalement dû jouir sous l’effet de ce tentacule phallique lui bourrant l’anus... Mais, à cause des tentacules nichés dans son crâne, remuant dans son cerveau, il en était tout simplement incapable, tandis que la suave voix d’Akari continuait à se répandre contre son oreille, afin de le perturber encore.
LES SŒURS NIKITA & ALEXIA (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2637441)
Tout avait été savamment calculé pour laisser aux femmes un peu de temps. Malgré les apparences, Nikita & Alexia faisaient partie de la même équipe que les deux
magical girls démoniaques qui torturaient Mikoto en contrebas. Elles avaient juste des fonctions et une mission différentes d’elles. Elles, elles devaient s’occuper de la précieuse Ushi. Kidnapper l’Ushi était risqué, mais c’était un excellent moyen d’attirer l’attention de la vampire. Les deux femmes ne ressentaient aucune empathie particulière pour les Yakuzas, qui allaient sûrement souffrir. Car Mélinda pouvait se montrer aussi aimante que cruelle, surtout quand on s’en prenait à ses protégées. Mais, pour l’heure, Cassandre n’était nullement en souffrance. L’aphrodisiaque concocté par les Maîtresses prouva rapidement sa terrible efficacité, en dilatant ses parois, et le corps de l’Ushi se détendit progressivement, tandis que les deux femmes vinrent mutuellement la baiser.
Leurs épaisses triques s’enfoncèrent à la fois dans la bouche et dans la chatte de Cassandre, qui se mit à mouiller frénétiquement.
«
C’est bien ce que je pensais, hmmm... Vu la manière dont son corps réagit, la vampire a dû... S’occuper longuement d’elle. -
Oui, elle ne manque pas d’amour, hmmm... »
Nikita gifla alors le cul de Cassandre, faisant couiner l’Ushi, qui continuait à sentir les épaisses triques s’enfoncer en elle. Le chibre d’Alexia tapa contre sa gorge, et celui de Nikita contre son col de l’utérus. Les deux femmes y allaient sans ménagement, aimant se satisfaire avec cette femme, cette magnifique Ushi qui couinait et se dandinait sur place.
«
Ta copine va bien, au fait... Elle est dans un autre lieu de cette ferme. Dans une position tout aussi enviable que la tienne. »
Autant rassurer un peu la petite Ushi.
«
Contente-toi de savourer, trésor, tu n’as rien à craindre, et, bientôt, tu seras dans les bras de ta Maîtresse... »
Il n’était pas sûr que Cassandre comprendrait tout, vu les capacités intellectuelles assez limitées de l’Ushi... Mais ce ne serait sûrement pas le cas de Mélinda !
-
Cette bite ! CETTE BITE ! Bon sang, pour une première fois, cela ne faisait aucun doute, c’était un peu beaucoup… Cette ambiance, que le fameux jeune homme n’arrivait pas vraiment à capter, à sentir, à voir, à entendre, était expliqué à Asuka… Mais lui, lui, il n’y avait que cette énorme bite qui défonçait son anus. Par contre, s’il ne captait pas l’intégralité de la conversation, et bien, en effet, il entendait très bien une chose : le fait que ce n’était pas normal. Il n’était pas dans sa réalité, il n’était pas dans la réalité qu’il connaissait, certes morne et ennuyante, mais loin d’avoir tout cela, ces magicals Girls, ses choses qui étaient complètement folles pour le jeune garçon qu’il était. Mais bref, il ne réfléchissait même pas à ça ! Il était trop occupé par… Un petit… Quelques choses… Un je sais pas quoi… UNE ENORME BITE DANS LE CUL WESH ! Mais quand même, il sentit que quelqu’un lui parlait…
« N’aie pas peur, Mitoko... Nous avons vu ta souffrance, ton dés… quant de toi parce que tu ressembles davantage à une fille qu’à un garçon... Tes soir… imades, et tes attira… te féminine... Les Maîtresses ont ... cristal... »
Comme vous pouvez voir, le temps que son esprit accepte de suffisamment se concentrer pour comprendre… Mais il y avait suffisamment de bribes pour bien comprendre ce qui se passait… Et finalement ce n’était pas si dur, dans le sens où effectivement, Mikoto avait toujours subis cela, et le savait bien. Ouais, il avait eu une scolarité TRES difficile. En effet, effeminé, il avait souffert. Le pire, c’est qu’à la base, ce n’était même pas lui qui avait voulu cela. C’était sa mère. Sa mère qui voulait une fille, et qui avait tout fait pour qu’il soit une fille. Au début, il avait détesté ça. Puis sa mère était morte dans un accident de voiture. Et là, la culpabilité l’avait fait continué à jouer le jeu. À s’habiller en fille, à se coiffer comme une fille. Et progressivement, comme un moyen de vivre avec la mort de sa mère… Et bien, il avait de plus en plus apprécié cela… Sans perdre sa masculinité néanmoins ! Néanmoins...
« Les tentacules dans ton cerveau remodèlent tes synapses, tes neurotransmetteurs de plaisir, Mitoko, afin de les transformer, de les faire davantage correspondre à ceux d’une femme. Tu comprends ? Nous faisons de toi une fille ! Nous mettons fin à ton ambiguïté sexuelle pour te transformer en une délicieuse fille ! Car nous savons tout de toi, y compris de tes fantasmes pervers où tu t’imagines être prise comme une fille, des séances où tu te travestis... Tu as envie d’être une fille, Mikoto ! Admets-le, ma belle... Ta petite queue est en train de disparaître, tu sais... »
« Non… Je… Suis une fille... »
Garçon. Il voulait dire garçon. Car en effet, même s’il avait toujours vécu comme un travesti, il n’avait jamais nié le fait qu’il était un garçon ! Damnit, il ne voulait même pas le nier ! Il était un jeune homme, et l’acceptait totalement ! Il voulait être un garçon… Le soucis, c’est que les tentacules qui étaient dans son cerveau ne l’entendait pas de cet oreille. Ainsi, pourquoi avait-il dit l’inverse qu’il pensait ? Car tout simplement, il était incapable de dire qu’il était un garçon. Alors qu’il voulait dire « je suis un garçon », ce qui sortait de sa bouche, c’était « Je suis une fille ». Il ne pouvait rien dire de plus… Et le pire, c’est que ça ne s’arrêtait pas là. Ça ne s’arrêtait pas à bloquer son langage, comme vous pourrez le voir… Ou plutôt l’entendre… Ou enfaite, vous pourrez le voir et l’entendre, lisez bien la suite !
« Je suis une… Fille…… Fille… Je suis… Une… fille... »
Alors, là, c’est un peu complexe. Je vous explique. Les premiers « filles », c’était des garçons. Enfin, c’était l’envie de dire « garçon » comme je vous ai expliqué tout à l’heure, vous l’avez bien compris maintenant. Mais les suivant… Ah, ce n’est pas tout à fait la même chose. Son cerveau continuait de bien se faire triturer, et plus cela passait, plus il acceptait le fait d’être une fille. En effet, au fond de lui, et bien sa tortionnaire n’avait pas tord… Et ouais, il avait vraiment envie d’être une fille. D’abord, cela avait été pour satisfaire sa mère, aussi bien vivante que défunte… Mais peu à peu, il eut envie d’être une fille… Pour être une fille. Ainsi, autant, le premier « je suis une fille » était forcée… Le second, on pouvait commencer à avoir des doutes… Et le dernier, et bien, ouais, il était vraiment une fille… Vraiment.
Mais mais mais… L’était-il vraiment ? Et bien… Regardons ! En effet, son corps était toujours sous l’emprise de ces tentacules, et de cette énorme bite qui lui ramonait bien le cul… Mais ça, on laisse de côté pour le moment… Sa bite était maintenant vraiment minuscule, ridicule… Déjà qu’il n’avait jamais été connu pour avoir une queue de grande taille, il était à peine dans la moyenne… Et bien, là, maintenant, il avait un micro-pénis, cela ne faisait aucun doute… Mais tandis que son pénis disparaissait, c’étaient ces seins qui eux apparaissaient. Des vraies seins, cela ne faisait aucun doute, ils commençaient à avoir une belle taille. Franchement, elle ne serait pas à plaindre, si cela continuait, et que cela se maintenait dans cette belle courbe de progression… Alors bien sûr, on sentait qu’ils n’atteindraient pas les seins d’une Ushi… Mais quand même ! Tient, en parlant de la bête…
***
Pendant ce temps là, Cassandre était toujours au prise par les deux belles futanaris, qui se faisaient plaisir. Faut dire, ce n’est pas tout les jours qu’on a une aussi belle Ushi sous la main ! Les Ushis sont rares, faut en profiter, surtout des Ushis de la qualité de Cassandre. Car on ne va pas se cacher… Hein, il y a les « Ushi », et Cassandre, et Cassandre est de loin bel et bien la meilleure, cela ne fait aucun doute ! Quoi ? Qu’entends-je ? Qu’ouie-je ? J’exagère ? Pas du tout voyons ! Notre belle Ushi est l’une des meilleure Ushi du forum, et si vous voulez pas être d’accord, et beh, venez vous battre ! J’ai pas peur ! J’suis une folle, j’vous défonce tous au Free-Fight et… Et reprenons notre sérieux. Ainsi, non seulement Cassandre était une magnifique Ushi, cela ne faisait aucun doute, mais en plus… Et bien, comme le déclara alors son interlocutrice, elle était plus que cela !
« C’est bien ce que je pensais, hmmm... Vu la manière dont son corps réagit, la vampire a dû... S’occuper longuement d’elle.
- Oui, elle ne manque pas d’amour, hmmm... »
En effet ! Dire qu’il y a encore quelques jours, elle avait été une vachette vierge vendue… Et maintenant, elle était quand même bien plus douée dans les choses de l’amour. Ce n’était pas une pro, mais elle faisait de son mieux… Même si là, c’était un peu plus complexe. Comme Mikoto, bien que bien moins fort, la jeune vachette était dans un conflit intérieur, et cela du à un élément exterieur qui avait été mise en elle sans son accord… En effet, je vous explique. D’un côté, elle avait le fameux aphrodisiaque qui était bien violent, et qui la faisait ressentir un grand plaisir, cela est totalement indéniable… Mais de l’autre côté, et bien… Elle s’inquiétait vraiment pour sa copine. Pour Asuka… Pour les autres… Donc, impossible de vraiment profiter de tout ! Un peu comme si vous baisiez alors que vous savez pas si votre père est en vie ! Ouais, un peu sombre ma comparaison…
« Ta copine va bien, au fait... Elle est dans un autre lieu de cette ferme. Dans une position tout aussi enviable que la tienne. »
Heureusement, l’une des deux femmes eut la gentille d’expliquer que la fameuse Asuka allait bien, et était pas loin ! Elles étaient toutes deux au même endroit, donc, elles n’étaient pas séparés. Et visiblement, ces dames ne savaient pas qu’elles étaient quatre au départ ! Donc, cela voulait dire que ses deux autres amies n’avaient pas été capturés ! Donc, ouf ! Elles n’étaient pas en danger. Et vu ce que disait les deux femmes, Asuka étaient juste entrain de faire de l’amour… Donc… Tout allait bien non ? Faire l’amour, c’est chouette, et puis, si tout se passe bien… Tout va bien ! Et ouais, notre Ushi, bien qu’elle venait de Terra, ne pouvait pas du tout imaginer ce qui était entrain de se passer… Dans l’autre salle. Elle serait sans doute bien moins rassurée, cela ne ferait aucun doute…
« Contente-toi de savourer, trésor, tu n’as rien à craindre, et, bientôt, tu seras dans les bras de ta Maîtresse... »
Ouf ! Là, le manque d’intelligence de Cassandre était contre elle. Pourquoi ? Car quand elle entendait cela, et bien, elle imaginait que c’était chouette… En gros, ses deux femmes voulaient juste faire un bon gros coup, baiser bien gentiment, mais ça allait ! Après, elle retrouverait sa mâitresse, et tout irait bien ! Donc, grosso-modo, tout était ok ! Elle était rassurée, et limite heureuse de se dire que tout cela n’était donc qu’un bon moment à passer… Bientôt, Melinda serait avec elle, et elle récupérait aussi bien Asuka et que la vachette… Dans un sens, sans doute que Cassandre n’avait pas tord… mais cela n’allait pas exactement se passer dans la douceur que notre ushi est visiblement entrain d’imaginer… Mais bref, tout ça pour dire que cela permettait à la vachette d’enfin se détendre un peu…
Maintenant rassurée, elle se détendait, et ainsi, prenait bien plus de plaisir qu’avant. Ce qui était important ! On sentait que tout son corps se détendait. Alors, dans l’arrière, c’est pas très remarquable, en effet, la vachette n’avait rien de spécial, elle était… Normal quoi. Mais… à l’avant, cela se remarquait bien mieux ! Comment cela me demanderiez-vous ? Et bien tout simplement qu’elle prenait plus d’initiative dans la fellation. Elle suçait avec plus de plaisir, comme si elle était contente d’être là. Elle suçait avec action, et aimait beaucoup ce qui se passait… Mmh… Du Plaisir, car ouais… Si les deux femmes n’étaient pas ses maîtresses, loin de là… Et bien, on pouvait au moins leur faire l’honneur de mettre en avant le fait qu’elle avait de bon chibres, et qu’elles faisaient du bon taff’ sur ce point ! Bref, on allait bien voir ce qui allait se passer, mais là, Cassandre prenait du pied ! Beaucoup de pied !
-
ASUKA (https://cdn.discordapp.com/attachments/240597030546833408/419542691735666701/00004231_02.jpg)
Akari s’amusait beaucoup. Le traitement hormonal et magique sur le corps de Mitoko fonctionnait à merveille. Elle inspecta son sexe, et vit que ce dernier continuait à se réduire, tandis que le corps du jeune homme continuait à subir encore des transformations. Et, maintenant que son esprit était prêt, il était temps de passer à la suite. Akari se redressa donc, pendant que, de son côté, Asuka assistait à la scène, de plus en plus excitée.
Kyoko (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2705663), l’ancienne
magical girl, continuait à caresser intimement Asuka, ses doigts gantés s’imbibant de la cyprine de la jeune femme. Sa mouille glissait sur ses cuisses, tandis qu’elle voyait le corps de Mitoko se recouvrir d’une sorte de substance noirâtre brillante, ressemblant à une texture symbiotique... Et à du cristal.
Kyoko continua à lui expliquer les choses, d’une voix sauve, en étant collée contre son flanc, bouche près de son oreille :
«
C’est un système expérimental, mais il nous faut l’accord du sujet pour le transformer pleinement. Le cerveau, vois-tu, est un organe incroyable, mais terriblement résistant. Et, une fois que le cerveau humain a su se convaincre d’un changement, le reste du corps suit. Je veux que tu observes attentivement ce qui se passe, ma chérie, car tu seras notre témoin pour la venue de ta Maîtresse. »
Asuka était une simple adolescente. Elle ne venait pas de Terra, et, si elle avait rencontré la magie en rejoignant le manoir de sa Maîtresse, elle avait ici affaire à un tout autre degré ! Elle observa donc, fascinée, le corps de Mitoko se recouvrir de cette substance noirâtre. Une chrysalide noirâtre (http://img110.xooimage.com/files/9/a/9/126-5543b06.jpg) qui le recouvrit intégralement, tandis que, sur le ventre du jeune homme, elle aperçut ce sigle particulier, ce cœur violet et pulsant qui se mit à briller doucement, pendant que le jeune Mitoko poussait quelques soupirs étouffés.
L’autre
magical girl se déplaça lentement. Le démon continuait à transformer le corps de Mitoko, tant d’un point de vue externe qu’interne. Ses fesses se modifiaient, tout comme sa chute de reins, et son appareil génital était également modifié.
«
Vous... Que voulez-vous ? -
Nos Maîtresses désirent faire commerce avec des gens comme ta Maîtresse. Nosu sommes leurs humbles messagères, et Mitoko... Disons que c’est un cadeau promotionnel. »
La transformation ne se faisait pas en quelques secondes, et il fallut attendre encore plusieurs minutes. Le jeune homme soupirait parfois, son corps remuant doucement... Puis la chrysalide commença à se fissurer, à se briser. Asuka entendit des craquellements, et, petit à petit, le cocon se dispersa, tandis que la monstrueuse verge du démon se redressait à nouveau fièrement, et s’enfonça, non plus dans le fessier de Mitoko, mais... Dans son vagin ! Et, tandis que sa queue remontait, le cocon continua à se briser.
Les derniers morceaux du cocon finirent par voler en éclats, tombant sur le sol, tandis que Mitoko reprenait vie... Sous une succulente et très appétissante nouvelle forme (http://img110.xooimage.com/files/4/4/4/nsfw-5543b18.png) !
L’opération était un succès !
LES SŒURS NIKITA & ALEXIA (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2637441)
Comme Asuka le réalisait, et maintenant sans doute Cassandre, leur mésaventure initiale en étant capturée connaissait une issue heureuse, totalement improbable et imprévisible... Mais, après tout, elles ne s’étaient pas vraiment attendues à se faire capturer en allant juste au cinéma ! Cassandre se détendit quand elle apprit que, non seulement Asuka allait bien, mais qu’elle allait bientôt revoir sa Maîtresse ! Certes, les deux sœurs auraient pu mentir, mais elles étaient, pour le coup, sincères. Il fallait laisser le temps à Mélinda de recouper les informations, de remonter le trace du traceur GPS posé sur le corps de Cassandre, et de planifier son attaque. Il y avait donc très largement le temps pour permettre aux deux femmes de baiser cette précieuse Ushi.
Précieuse, Cassandre l’était bien plus qu’elle ne pouvait l’imaginer, mais il aurait été vain de le lui dire. Elles la baisaient donc, mais elles ne se contentaient pas de la baiser pour le simple plaisir de forniquer avec elle. En fait, et même si tout laissait penser le contraire, les deux sœurs se livraient à une expérience scientifique ! Tandis qu’elles prenaient Cassandre, des capteurs transmettaient quantité d’informations sur le fonctionnement du corps de Cassandre, et surtout sur sa production de lait. Le lait d’une Ushi était très important pour Nikita et Alexia, mais ça, il allait falloir attendre que Mélinda arrive pour le lui expliquer !
«
Elle est si bonne... -
Si tendre... Je regrette tellement que nous n’ayons pas réussi à obtenir cette Ushi ! -
Ce n’est que partie remise, haaaa, crois-moi... Vu ce qu’on dit sur cette vampire, elle acceptera sans problème notre marché ! »
L’Ushi aurait sans doute pu se poser des questions, mais une grosse claque s’abattit sur son postérieur. Les deux femmes avaient une force incroyable, une vitalité terrible, et elles l’illustraient clairement en ce moment, continuant à besogner sans vergogne la jeune Ushi, la prenant goulûment et avidement.
Au bout de plusieurs minutes, Alexia se retira toutefois de la bouche de Cassandre, et l’Ushi fut redressée. Elle fit ainsi face à Alexia, qui enfonça alors son épaisse verge dans sa chatte,e t frémit sur place, avant de serrer entre ses doigts l’un de ses seins.
«
Oh, ses seins sont en souffrance ! -
Ça ne m’étonne pas, ses tétons doivent être distendus ! -
On la baise peut-être un peu fort... Mais je ne vais pas me plaindre, ce lait est la raison de notre présence ici... »
Et Alexia se pencha vers Cassandre, puis tout en ayant sa queue nichée en elle, apposa ses lèvres sur son sein, et commença à le sucer tendrement, venant le pomper, gémissant de plaisir en sentant le magnifique lait de cette non moins magnifique vachette se déverser en elle. Oui, il n’y avait maintenant plus aucun doute possible...
...Cassandre était bien un trésor rare, le trésor précieux qu’elles étaient venues chercher ici !
-
Plus le temps passait, plus la masculinité de Mikoto disparaissait. Mais disparaissait complètement. Déjà qu’il avait jamais été très viril, mais alors son phallus lui… à l’origine, il était pas bien gros, on pourrait même dire qu’il avait une petite bite… Mais là, sa bite devenait de plus en plus petite, plus le temps passait. Bientôt, il n’en n’aurait sans doute plus. Car ouais, le jeune garçon n’allait même pas avoir la « joie » de passer en futanari. Non, et c’était « tant mieux », car au fond, il voulait perdre la moindre once de masculinité en lui, le moindre rappel qu’il avait été autrefois un homme. Bref, sans doute pour les Magical Girl une situation absolue exquises, qu’elles attendaient sans doute avec impatiences !
Et tant mieux, car visiblement, la situation semblait s’accélérer, comme si le fait que pour la première fois, qu’il dise « Je suis une fille », en pensant qu’il était effectivement une fille, et bien, cela avait déclenché quelques choses dans le processus… Bref, que se passait-il… je vous l’explique, une seconde. Déjà, il ne se faisait plus enculer, son anus était maintenant libéré, alors bien élargie par ce qui lui était arrivé. Faut dire une telle bite dans son fondement, je vous dis, ça vous marque. Mais genre, ça vous marque « littéralement ». Mais cela ce n’est qu’un détail, par rapport à ce qui va suivre, c’est à dire… Cette sorte de substance noir qui l’envahissait totalement, petit à petit, le recouvrant totalement. Bientôt, tout son corps fut emprisonné dedans...
Entièrement enfermée dans la crysalide, les transformations se faisaient. Mikoto était dans une espèce d’état second, où il se rendait compte de ce qui lui arrivait, sans en être entièrement conscient. Un petit peu comme s’il voyait cela arriver à quelqu’un d’autres, mais qu’il savait quand même que ce quelqu’un d’autre, bah c’était lui ! C’était extrêmement troublant, je ne vous le cache pas. Bref, ainsi, son corps terminait sa transformation. Bientôt, en effet, son sexe ne fut qu’un mauvais souvenir, ses seins, eux, commençaient à pousser, à vraiment apparaître, et comble de l’ironie, se remplir… De lait visiblement. Enfin, last but not least comme disent nos amis anglo-saxons, un glyphe étrange apparu sur son ventre...
Finalement, après plusieurs minutes, le cocon se brisa, révélant de nouveau le jeune ho… Que dis-je ! La jeune demoiselle ! Et ouais, car ce n’était plus un homme, maintenant, il ne restait plus rien de l’homme. Plus haut, je vous ais décris les changements « majeures », qu’avait connu le jeune homme… Mais des tas de changements mineurs étaient aussi visible. Déjà pas bien musculeux, il avait gagné encore plus en rondeurs féminines, ses cheveux n’étaient plus noirs d’ébènes comme avant, mais d’un très beau blond… Bref, il semblait être totalement une adolescente, un peu de l’âge d’Asuka, quoi… Dommage, seul un point manquait : la voix. En effet, le garçon avait muri, donc une voix d’homme… Avait-il gagné une voix de fille ? Bonne ques…
« Aaaaaaaaaaaah… ! »
Merci le démon ! En effet, je vous vous confirmer, il a gagné une voix bien plus féminine, comme si son ancienne voix, le fait qu’il avait mué, et ben, cela avait complètement disparu. Mais genre complètement. Mais la question : Pourquoi avait-il hurlé ? Et bien, le jeune homme… Avait perdu sa virginité ! En effet, il venait de se faire prendre non plus dans l’anus, toujours aussi élargie, mais dans la chatte. Or visiblement, dans un soucis de réalisme absolument admirable, la transformation lui avait confié un… hymen ! Donc, il venait de perdre sa virginité avec un phallus d’une très belle taille, cela ne fait aucun doute ! La transformation était un franc succès, et on pouvait dire que c’était une sacrée entrée dans sa nouvelle vie, pour Mikoto !
***
La vachette était donc bien prise des deux côtés. Que cela soit sa bouche ou son intimité, les deux étaient bien pris avec vigueur et dynamisme. Surtout que depuis qu’elle se détendait, le tout devenait quand même plus agréable pour tout le monde, et plus facile, aussi pour tout le monde. Vigueur et efficacité continuait à la prendre, et elle accompagnait le mouvement, en gémissant avec plaisir… C’était tellement agréable, et elle était bien contente de ce qui se passait, après tout, elle baisait tranquillement, et voilà qu’après, elle pourrait rentrer chez elle, et retrouver toutes ses amis ! C’était ça le principal après tout ! L’amitié ! C’est si beau… Vous devinez bien que la vachette se faisait beaucoup d’illusion sur ce point…
« Elle est si bonne...
- Si tendre... Je regrette tellement que nous n’ayons pas réussi à obtenir cette Ushi !
- Ce n’est que partie remise, haaaa, crois-moi... Vu ce qu’on dit sur cette vampire, elle acceptera sans problème notre marché ! »
Cassandre était stupide, oui. Cela ne faisait aucun doute. Mais elle n’était pas non plus complètement stupide. Nuance. Quel est la différence ici ? Et bien, quand elle entendis cela, et bien, elle eut quand même des doutes… Ces dames étaient… Bizarre… Cependant malheureusement, l’effet entre l’aphrodisiaque, et le fait qu’elle se faisait prendre quand même par deux orifices, par deux femmes qui avaient une puissance physique non négligeable (elles ridiculisaient l’Ushi sur ce point, qui paraissait très faible en comparaison !), et bien, voilà. C’est bête, car elle aurait pu se rendre compte qui se passait un truc… Dommage ! Après un moment, sa fellation prit alors fin, et elle fut redressée. Attention, cela ne voulait pas dire que c’était fini ! Son vagin, lui, était toujours occupé !
« Oh, ses seins sont en souffrance !
- Ça ne m’étonne pas, ses tétons doivent être distendus !
- On la baise peut-être un peu fort... Mais je ne vais pas me plaindre, ce lait est la raison de notre présence ici... »
« Meuh... »
Et oui ! Depuis le cinéma, et bien, la fameuse vachette avait refait ses réserves… Et donc, elle avait de nouveau une bonne quantité de lait en elle, une quantité non négligeable… Et enfaite, en quelques sortes, elle ne se rendait compte que maintenant, mais… Mais cela la dérangeait pas mal ! Et ouais, c’était très gênant… Une vachette doit être traite, ça, vous devez le comprendre avant d’acheter une Ushi. Une ushi dont vous ne faites aucune traite, et bien, elle meurt. Non, c’est pas une blague ou une exagération. Donc imaginez le soucis avec une Ushi comme Cassandre qui produt ENORMEMENT de lait ! Bah ouais, vous pouvez vous retrouver avec trop de lait. Voilà pourquoi une Ushi qui est comme Cassandre ne trouve pas forcément acheteur, ou pire, se fait abandonner…
Ainsi, les deux femmes le savaient, ou se rendirent compte que la vachette était gênée par le fait qu’elle avait trop de lait… Mmh ? Pourquoi vous me regardez ainsi ? Oh ! Que je vous rassure ! La vachette allait bien, hein, ce n’était pas trop grave non plus, et puis, elle avait été bien vidée avant, non. Avant qu’elle meurt, lui faudrait bien une à deux semaines sans qu’on s’occupe d’elle, sans qu’on fasse rien. D’ailleurs, si vous voulez faire un test, prenez une Ushi comme Cassandre en test, attendez deux à trois jours… Et là, commencez à la traire… Ca va être explosif, je vous le garantis ! Elle va vous donner vraiment énormément de lait, d’un coup, cela peut-être très drôle. Enfin, ne faites pas ça trop souvent si vous tenez à votre Ushi. Et ne faites pas ça si votre Ushi est rancunière. Ouais, car c’est pas très agréable comme jeux… Donc, je vous aurai prévenu, au moins, je ne serai donc pas coupable si cela se passe mal !
Bref, ainsi, l’une des deux femmes décida de se lancer à la conquête des seins ! Et là, ce fut une libération. Son lait, de suite, arriva, toujours aussi délicieux et sucrée. Et ouais, il faut rappeler que la production de Cassandre était non seulement de qualité, mais aussi en quantité… Et je vous rappelle l’un des critères niveau de la quantité de notre chère Cassandre, niveau lait ? Oui je vous rappelle ? L’excitation sexuelle ! Et elle avait quoi en elle ? De l’aphrodisiaque ! Bref, entre le fait qu’elle était encore pénétrée, et qu’en plus, elle commençait à sortir du lait… Deux réactions explosif arriva ! Déjà son sein encore libre commença à projeter du lait, lui aussi… Mais également son intimité ! Car ouais, la jouissance arriva, et fut violente, explosive, la vachette laissant échapper même un immense « MEUH » extatique ! Bref, elle était dans un état de béatitude, absolument absolu.
-
ASUKA (https://cdn.discordapp.com/attachments/240597030546833408/419542691735666701/00004231_02.jpg)
«
Oh... Ça a fonctionné ! -
Nous avons une nouvelle sœur ! » s’exclama Akari, joyeuse, en tapant dans ses mains et en sautillant sur place.
Asuka aurait presque cru voir deux gamines bondir de joie en découvrant leur cadeau de Noël. Bien que la jeune femme soit perturbée et ait été capturée, les connexions utiles avaient commencé à se faire dans son esprit, ce qui fit qu’elle avait bien compris qu’elle ne craignait rien en soi, et qu’elle assistait à une étrange expérience. Face à elle, Mitoko s’était transformée. Malheureusement, les Maîtresses n’avaient pas encore réussi à perfectionner suffisamment la transformation. Il était nécessaire que le démon incubateur, celui qui transformait le garçon en fille, le fasse en jouissant en lui lors de la transformation. Son sperme permettait de sceller la transformation, et, surtout, le petit sceau magique qui était apparu autour du nombril de Mitoko, et symbolisait désormais son appartenance au clan des Maîtresse. Son hymen brisé permettait d’assurer à la transformation un définitif point de non-retour.
Le démon n’en avait pas encore fini avec elle, et, tandis qu’il la pénétrait, le long du doigt de Mitoko, un anneau se forma (http://img110.xooimage.com/files/a/4/8/demon_ring-5547870.png). Un anneau démoniaque symbolisant également son allégeance aux Maîtresses. Le démon, une fois cela fait, gronda ensuite doucement, et pencha sa tête massive (http://img110.xooimage.com/files/e/c/5/demon-look-554787a.png) vers Mitoko, avant de sortir de sa bouche édentée une interminable longue langue, qui se faufila dans la bouche de Mitoko, partageant ainsi avec lui un baiser bruyant et baveux (http://img110.xooimage.com/files/e/2/7/demon-kiss-5547878.png), seul signe d’affection dont le démon incubateur pouvait faire preuve jusqu’à présent.
Pendant ce temps, les
magical girls observaient la scène, et Asuka sentit les liens la retenir se rompre. Elle s’effondra au sol, et se redressa lentement, tandis que le démon continuait à baiser furieusement Mitoko. Les minutes défilaient tandis qu’Asuka aperçut, à gauche, la porte de sortie... Mais choisit encore de rester. Elle n’aurait su dire pourquoi, mais, même si cette séance était assez effrayante... Elle se sentait de plus en plus attirée. Après tout, la jeune femme était une esclave de Mélinda, ce qui signifiait qu’à la base, le danger ne la laissait pas de marbre, et elle avait déjà eu l’occasion de croiser des créatures très improbables jusqu’à présent.
«
Que... Que va-t-il lui arriver, maintenant ? -
Mitoko n’est plus. Il va falloir que nous trouvions un nom pour notre petite sœur. La femme que tu vois devant toi est désormais l’une des concubines et esclaves des Maîtresses, investie de leur pouvoir. L’anneau qui s’est formé à son doigt en est le signe. Normalement, nous devrions l’emmener avec nous, mais nos Maîtresses veulent que Mitoko reste avec ta Mélinda. C’est un cadeau, comme je te l’ai dit, un signe de notre bonne volonté... Et une excellente excuse pour que nous venions dans ce fameux manoir afin de témoigner à notre petite sœur de tout l’amour que nous ressentons pour elle ! »
Pour l’heure, elles attendaient le premier orgasme féminin que Mitoko allait avoir, ce qui, toutefois, au vu de l’intensité des coups de reins du démon, et de sa terrible et longue queue, ne saurait tarder...
LES SŒURS NIKITA & ALEXIA (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2637441)
Cassandre n’était plus en état de réfléchir intelligemment. L’aphrodisiaque avait sur elle des effets secondaires, accélérant considérablement sa production de lait, ce qui n’avait, en soi, rien de surprenant. L’entreprise dans laquelle les deux soeurs travaillaient utilisait cet aphrodisiaque sur les Ushis à disposition pour qu’elles soient plus productives... Mais aucun d’entre elles n’était un croisement entre une Ushi et un Minotaure. Pour leur malheur, c’était Mélinda Warren qui avait acheté Cassandre ! Une esclavagiste connue pour accorder grand soin à ses protégés, et pour accepter très difficilement les rachats. Historiquement, seul un chevalier hyène, Theorem, avait eu l’honneur d’être rachetée... Par une dragonne qui était depuis devenue membre du clan Warren ! Ce que Mélinda donnait d’une main, elle le récupérait donc de l’autre. Bien sûr, les sœurs auraient pu capturer tout simplement Cassandre, mais se faire une ennemie d’une cliente potentielle n’était jamais une bonne idée.
Alexia commença donc à pomper ce sein, et frémit quand le lait arriva. Il fusa en des proportions importantes, tout comme le lait dans l’autre sein, qu’elle titillait avec sa main. Il y eut une belle projection de lait, qui éclaboussa le bureau de la pièce, et macula les doigts de la femme. La puissante Futanari en frissonna, sa queue se durcissant dans le corps de Cassandre, et elle frémit sur place, avant de sentir la mouille de Cassandre recouvrir sa queue. Là, ce fut trop pour Alexia, qui mordilla le téton de la femme,e t se mit à jouir à son tour. Un orgasme copieux et immense, qui vint remplir le ventre de la femme, sans que sa queue ne se calme vraiment. Son membre tressauta dans l’intimité de Cassandre, et la femme continua à jouir intensivement, puis continua ses bourrades, même si, concrètement, c’était surtout Nikita qui bourrait le cul de Cassandre.
L’Ushi était ainsi prise depuis un quart d’heure, Alexia alternant entre chaque sein. Elle avait un terrible appétit, et, plus elle buvait de ce lait, et plus sa queue semblait se durcir, devenir raide, ou même grossir, ce qui arracha à cassandre quelques cris de douleur. L’Ushi n’était plus qu’une poupée de chair entre ces deux puissantes femmes... Ce qui l’empêcherait sans doute d’entendre les hurlements dehors.
Car, en-dehors de ce bureau, et en-dehors de la grange où Asuka observait les
magical girls corrompues à l’œuvre, la vampire venait d’arriver, et, comme les sœurs l’avaient soupçonné, montrait aux Yakuzas ce qui se passait quand on s’attaquait à ses protégées.
Ainsi, tandis que le sexe fusait dans une pièce, de l’autre côté de la porte, c’était le sang qui giclait...
-
MIKOTO
Elle… Quoi ? Problème de pronom ? Et bien, non, maintenant, il allait falloir l’appeler « elle ». « Il » était devenu « elle » ! Bref, elle allait encore rater toutes les discussions. Quoi ? C’est un moyen cheapos car je suis incapable de voir les couleurs utilisées, et donc, que je fais un peu au pif quand je poste mes réponses ? Alors, oui, mais c’est très vilain de le faire remarquer. Bref, quoiqu’il en soit, elle n’allait pas pouvoir suivre les discussions pour la simple raison qu’elle était absolument vidée de tout son cerveau, par ce qui venait d’arriver. Son cerveau avait énormément de mal à ne serait-ce que comprendre tout ce qui était entrain de lui arriver. Alors, en plus, réussir à suivre les discussions… Ouais, vous avez bien compris, cela releverait du miracle…
Elle se faisait toujours aussi efficacement pénétrée… Tandis qu’apparaissait autour de son doigt, un anneau. Elle n’avait aucune idée de l’utilisation, de la puissance, ou même de la raison de la présence de l’anneau… Mais visiblement, celui-ci avait de l’importance, étant donné qu’il apparu par la magie des magicals Girl, qui étaient importantes… Ouais c’était quand même quelques choses… Elle se faisait pénétrée, avec un énorme phallus, les démons avaient visiblement des membres qui rendaient ridicule son ancienne petite bite. Ce n’était plus que son anus qui était faible, les deux avaient été élargies… Elle était complètement prise… Elle était complètement offerte à ce démon. Ce qui avait été autrefois un garçon n’était maintenant qu’un bout de chair pour un démon titanesque !
Mais que de violence pour une jeune femme qui vient tout juste de découvrir sa féminité ! Au sens le plus propre pour une fois ! Et ouais, car il faut dire que le démon ne semblait pas s’y connaître en fragilité : elle était véritablement prise sans aucune pitié. L’immense créature cyclope sortit une énorme langue, langue qui était presque aussi grosse que la moitié de la tête jeune femme. Elle, la langue, n’était pas là que pour faire jolie… En effet, notre chère Mikoto eut le droit à un baiser assez doux, plutôt surprenant en comparaison au reste dont elle avait eu le droit… Et ce qu’elle avait toujours le droit. Car tandis qu’elle était embrassée, et bien, elle était toujours baisée, un peu une sorte de yin et yang !
Arriva finalement ce qui devait arriver… C’était évident qu’il n’allait pas trainer. Comme dit de nombreuses fois précédemment, la jeune demoiselle maintenant n’avait encore jamais connus la moindre joie « féminine », avant, vu qu’elle avait eu des joies masculines. Donc, vous imaginez une bite comme ça pour votre première fois ? Mmh ? Vous n’arrivez pas à visualiser ? Et bien, je vous conseille de regarder le très bon (et très drôle) Frankenstein Junior, de Mel Brooks. Et ouais, ce film montrait bien, vu que pour sa première fois, la fiancée de Frankenstein (pardon, Fronkonstine), et bien, reçoit une bonne grosse bite du monstre de Frankenstein et… Ouais, plus besoin de tergiverser, l’orgasme arriva, avec puissance, scellant une bonne fois pour toutes sa nouvelles natures : Mikoto le jeune garçon n’était plus. Il était maintenant une jeune femme, qui avait fait sa première fois !
***
CASSANDRE
Cassandre, de son côté, réfléchissait-elle ? Et bien plus du tout. Franchement, elle était dans un autre monde, un monde de plaisir. Je vous rappelle qu’il y a encore 48h, elle était vierge. Et là, elle avait un traitement sexuelle qu’elle n’avait jamais eu, un traitement dantesque, et franchement, absolument démentiel ! La vachette avait du mal à suivre, car c’était un traitement qui était absolument fou ! Et elle adorait cela, elle n’arrivait plus du tout à réfléchir, et elle jouissait très souvent : Et quand je dis très souvent, c’était genre qu’elle jouissait presque toutes les dix minutes, en poussant des cris extatiques. Des cris de plaisirs, qui accompagnaient les moments de jouissance absolus.
Ses seins donnaient énormément, on arrivait presque pas à croire qu’une vachette puisse donner autant. Là, avec ce traitement, elle allait sans doute être vide en quelques heures, contrairement à la dernière fois, où cela avait demandé une bonne journée. Comme quoi, les deux sœurs avaient peut-être une bonne idée de comment s’occuper de la vachette ! Le gros soucis était que… Bah, il y avait bien des pertes… Genre beaucoup de pertes. Ouais, on sentait que la vachette giclait dans tout les sens, enfin, le lait de cette dernière. Ouais, non, pas la « vachette » littéralement, étant donné que dans ce cas, bah, ça serait sacrément dégueulasse. Ouais, je vous dis… Bref, la vachette jouissait, donnant ainsi de la mouille et du lait en quantité…
Mais revenons à la jouissance. Oh, pas celle de Cassandre. On avait bien compris qu’elle, s’était la jouissance continue. Ok, j’ai compris… Mais de l’autre côté, du côté du phallus, qu’est-ce que ça donnait ? Et bien je vais vous le dire ! Le tout durait depuis un bon quart d’heure, et les femmes avaient énormément jouie, la vachette en avait presque grossis. Et ouais, elle était absolument remplis de sperme, que cela soit dans son vagin ou dans son intimité. Et heureusement qu’il n’y avait plus de femmes qui s’occupait de sa bouche, car sinon, même son estomac serait remplie de ce magnifique foutre blanc. Elle en avait jamais eu autant eu, et elle était totalement concentrée sur ça, bavant presque, et quand elle ne bavait pas, et bien, elle criait.
Dans ses cris de vachette, et bien, elle entendait pas les autres cris, ceux d’une femme, une femme qu’on avait volé, et qui venait se venger. Car elle avait toutes les raisons du monde de se venger après tout. Et ouais, je ne peux vous le dire en détail, mais visiblement, plusieurs personnes devaient se mordre les doigts d’avoir accepté de « garder » des personnes qui avaient osés s’amuser à voler la propriété d’autrui. Alors, ok, parfois ça passe très bien, regardez nos politiques… mais quand il s’agit d’une vampire extrêmement puissante, et bien, un conseil… Faites gaffe à votre cul. D’ailleurs, certaines personnes s’en mordaient les doigts… On pouvait dire que l’expression était très bien trouvée car cela arrivait qu’ils finissent leur main dans la gueule. Littéralement. Bref, elle allait bientôt arriver… Faites gaffes les sœurs… La grande méchante vampire est là…
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ASUKA (https://cdn.discordapp.com/attachments/240597030546833408/419542691735666701/00004231_02.jpg)
«
Mais... Pourquoi vous... Pourquoi vous offrez Mitoko à Maîtresse ? -
Et pourquoi pas ? Tu ne la trouves pas belle ? Et encore, elle ne maîtrise même pas encore ses pouvoirs ! »
Confuse, Asuka reprenait peu à peu ses esprits, tandis qu’elle réalisait que ces femmes, malgré leur apparence sombre, et leurs redoutables pouvoirs magiques, ne lui voulaient aucun mal. Certes, elles l’avaient kidnappé, et elles avaient transformé un homme en fille à l’aide d’étranges sortilèges et d’un impressionnant démon qui continuait à baiser Mitoko, mais.. Asuka avait déjà vu bien pire. Après tout, elle-même avait été capturée et droguée par sa Maîtresse, qui l’avait longuement violée pendant tout un week-end, afin d’en faire son esclave. À la fin de ce traitement intensif, Asuka était définitivement accroc au sexe, et beaucoup plus perverse. Elle-même s’était amusée à capturer ses propres amies pour les violer chez Mélinda, jusqu’à leur faire aimer le sexe comme elle. Sa vie n’était plus du tout la même depuis sa rencontre avec sa Maîtresse, et elle se faisait l’effet d’une chenille devenue depuis un délicieux papillon rose et pervers.
Et Mitoko était à son tour devenu
e un beau papillon rose ! Elle se mit à jouir, atteignant un formidable orgasme, se tortillant frénétiquement sur la queue du démon, qui jouit à son tour en elle. Un très bel orgasme qui en gonfla le ventre de la petite Mitoko, le démon grognant sur place, avant de se relâcher. Mitoko tomba en avant, et Akari et Kyoko la réceptionnèrent doucement, l’empêchant de tomber trop brutalement.
«
Ce démon a rempli son office... -
Il va maintenant pouvoir mourir ! »
Asuka vit effectivement le corps du démon se flétrir, son œil cyclopéen se fermant. Son corps devint ensuite plus sombre, plus marron, tandis que la vie semblait le quitter. Il avait accompli son rôle, l’incubateur avait transformé un homme en femme, et, tandis que Mitoko reprenait ses esprits, ses deux sœurs continuèrent doucement à la câliner, l’une contre l’autre, partageant avec elle une série d’onctueux baisers.
«
Elle est encore toute excitée, ma sœur... -
Ce qui n’a rien de surprenant ! »
Les deux
magical girls gloussèrent encore, continuant à embrasser et à peloter la jeune femme.
«
Comment tu te sens, ma chérie ? -
Ton esprit est enfin apaisé, ma belle ! Toi qui étais partagée entre plusieurs sentiments contradictoires... Ils ne font maintenant plus qu’un ! La paix et le sexe règnent dans ton esprit ! »
N’était-ce pas là une formidable nouvelle ?
LES SŒURS NIKITA & ALEXIA (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=2637441)
«
Elle approche, ma sœur... -
Déjà ? -
Ne me dis pas que tu n’en profites pas... -
Cette Ushi n’est pas comme celles du centre, expliqua Alexia,
elle a une endurance phénoménale, et une production de lait incroyable ! »
Elles discutaient tranquillement entre elles, presque comme si elles étaient à la buvette, tout en continuant à la fourrer. L’Ushi était prise par deux membres monstrueux, appartenant à deux femmes terrifiantes, bénéficiant visiblement d’une endurance sexuelle surnaturelle. Dehors, de l’autre côté de la porte, des hurlements supplémentaires se firent entendre. Les voleurs de l’Ushi réalisaient avec horreur que voler à une vampire l’une de ses possessions pouvait vous attirer une foudre terrifiante. Le pire était que Mélinda n’avait même pas déployé une armée entière pour attaquer la ferme, juste elle et son frère... Mais Bran était une véritable machine à tuer. Tandis qu’Alexia et Nikita plongeaient l’Ushi dans un cocon de stupre et de bonheur, dehors, dans la ferme, un véritable abattoir avait lieu.
Alexia finit par gémir, et se délesta alors du corps de l’Ushi, laissant s’écouler quantité de mouille, puis s’écarta gauchement, tandis que Nikita, la bite toujours plantée dans le cul de Cassandre, l’écrasa contre le bureau. Elle posa l’une de ses mains sur les cheveux de l’Ushi, et accéléra alors violemment ses coups de reins, non sans avoir préalablement fourré sa queue dans sa chatte.
«
Allez, ma chérie, jouis un bon coup avant qu’il n’arrive... »
Ayant bien compris que Cassandre était masochiste, Nikita tira volontiers sur ses cheveux, lui arrachant plusieurs cris de plaisir et de douleur. Son lait coulait sur le bureau, et elle se dandinait dessus. Devant ce rythme intensif, Cassandre ne put que jouir...
...Et, juste après, la porte s’ouvrit brusquement, sur un homme paniqué. Nikita s’écarta juste au bon moment, et le plaisir de Cassandre fut de courte durée, car elle sentit une main ferme l’empoigner par les cheveux, et le couteau tranchant d’une lame contre sa gorge.
«
Ne m’approchez pas, sinon je la tue ! »
Dans l’embrasure de la porte, un homme se trouvait là, torse nu, du sang coulant de son torse. Difficile de dire si c’était le sien ou celui des êtres. L’homme tenait Cassandre en otage saignait, d’ailleurs.
«
Je sais que vous êtes venus pour elle ! »
Il serrait fort, risquant bien par mégarde de l’égorger... Ce qui semblait bloquer
Bran (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4797). Le frère de Mélinda réfléchissait sur la conduite à tenir, quand une paire de mains saisit brusquement les joues de l’homme.
«
Tu ne feras pas de mal à Cassandre ! -
Qu’est-ce que... ? »
La surprise de l’homme fut relativement brève... Puis il y eut un bruit de craquement quand Nikita lui brisa la nuque avec ses mains, puis l’homme s’effondra mollement au sol. Puis Mélinda apparut ensuite, dans une tenue adaptée à sa situation (http://img110.xooimage.com/files/3/d/3/pvc054-1-55569dc.jpg).
«
Cassandre ! » s’exclama-t-elle, visiblement heureuse de revoir sa belle Ushi.
Bran, de son côté, observait les deux femmes, qui étaient restées prudemment en retrait, avec leurs sexes toujours dressés et assoifés...
-
Le démon avait fait son rôle ! Il pouvait retourner sur sa planète ! Non, je déconne, il pouvait crever. Après tout son rôle avait été uniquement de transformer le jeune homme sans histoire, en une jeune demoiselle qui allait pouvoir servir de cadeau. Limite, restait plus que maintenant à faire un joli paquet cadeau, et cela serait parfait, n’est-ce pas ? Bref, quoiqu’il en soit, elle fut rattrapée par l’une de ces « soeurs », et on pouvait dire que cela se fit avec une certaine douceur, ce ne fut pas fait comme une énorme brute, et cela, cela faisait plaisir à voir ! Surtout qu’elle était bien pleine ! Son ventre avait bien gonflé. Bref, elle avait méchamment prise, et on pouvait dire que ce papillon était magnifique, cela ne faisait aucun doute… D’ailleurs, les filles ici présentes semblaient admirer cela avec un plaisir non dissimulé.
« Elle ... excitée, ma sœur...
- ... rien de surprenant ! »
Ah ça y est ! Elle reprenait enfin ces esprits… ! En effet, cela faisait un moment qu’elle n’avait pas entendue les paroles de celle qui l’avait adoptée. Torturée, mais adoptée. Bref, en effet, la jeune demoiselle, nouvelle, et bien, commençait à reprendre un peu conscience de ce qui se passait autour d’elle… Dans un premier temps, et comme vous pouvez entendre, ce fut partielle. Ce ne fut pas l’intégralité des déclarations de son interlocutrice qu’elle put entendre, mais bel et bien des bribes, des morceaux totalement non sélectionés, bien entendus. Elle avait entendue « elle », « excitée », « surprenant »… Bref, difficile de faire une belle phrase complète avec des données aussi lacunaire, on va pas le cacher. Mais plus le temps passait, plus elle retrouvait ses esprits, et mieux elle comprenait ce qui se passait…
« Comment tu te sens, ma chérie ?
- Ton esprit est enfin apaisé, ma belle ! Toi qui étais partagée entre plusieurs sentiments contradictoires... Ils ne font maintenant plus qu’un ! La paix et le sexe règnent dans ton esprit ! »
« Je... »
ELLE PARLAIT ! SHE IS ALIVE ! Non, sérieusement, on pouvait se poser la question après une première fois aussi mouvementée, n’est-ce pas ? Bref, elle avait parlé, donc, elle allait sans doute dire ce qu’elle pensait : Allait-elle être furieuse ? Après tout, elle avait été un garçon, quand même, et maintenant elle se trouvait être une fille. Est-ce qu’on pouvait penser que son esprit serait « apaisé » ? Au contraire, même, je pense ! Il était probable qu’elle soit choquée, qu’elle ne sache pas quoi répondre ? Qu’elle soit choquée à jamais, qu’elle ne s’en remette jamais, même, il faut bien le dire ! Bref, cela serait possible… Mais vous savez ce qu’on dit ! Ce qui est possible n’est pas français ! Mmh, je crois que c’est pas ça à l’origine… Boha, ça marche ! Quoiqu’il en soit, donc, il déclara finalement...
« Je crois… Que… ça va... »
Ah bah ! Finalement, cela semblait aller… Et ouais, et pour cela, vous savez qui on peut remercier ? La carte kiwi ? Mais non bien entendu… On peut remercier… Allez, je vous attends… Mais oui ! Les tentacules dans le cerveau ! Et ouais, elles avaient bien meubler le terrain (cela ne se dit absolument pas) et donc, elles avaient préparés le jeune homme pour qu’elle soit parfaite, prête… Et voilà qu’ainsi, elle avait l’impression que ça allait… Ses cheveux blonds et longs étaient donc magnifiquement prêt… Parfait n’est-ce pas ? On pouvait dire que ça allait être un très beau cadeau, cela ne faisait aucun doute ! Mais vous savez quoi ? Melinda a l’air assez… Remonté ? Ouais, c’est le terme, donc, on pouvait pas être sûre qu’elle allait digérer aussi facilement cela… On allait bien voir ce qui allait se passer !
***
Discuter ne semblait pas gêner les deux futanaris qui se faisaient plaisir avec le corps de l’ushi. Leur énorme chibre déversaient une quantité de foutre impressionnantes, qui faisait rougir n’importe quel homme, sans aucun doute. Son ventre en était dilatée, bien gonflé, étant donné que la quantité de foutre avait presque tordue la vachette ! Et elle tenait ! On pouvait dire qu’elle était vraiment solide ? Peut-être qu’il faudra lui faire rencontrer un minotaure, à son tour ? Ouais, possible, mais bon, n’allons pas trop vite, après tout, plus on va vite, plus on risque de faire des bêtises ! Donc, la vachette était complètement baisée, et les deux futanaris devaient être bien contentes pour se faire la vachette ! Et la vachette était bien contente de se faire prendre…
Masochiste, elle l’était bien ! Elle se faisait tirer les cheveux, on s’occupait d’elle… Bref, cela ne faisait aucun doute… Elle était en extase complète ! Donc, à la question avait-elle jouie ? Et bien, à votre avis ? Ouais ? Vous avez entièrement raison ! Elle avait eu un puissant jouissement, et en bavait, après avoir fait un beau cri… On aurait pu croire que cela cesserait maintenant, qu’elle était bien pleine, et qu’elle ne pouvait plus rien faire ? Et bien, oui, elle ne pouvait plus rien faire, elle avait ni force ni énergie pour cela… Mais cela ne voulait pas dire que c’était fini… Alors que se passait-il me demanderiez-vous ? Et bien, soudainement, la porte s’ouvrit violemment, et ce fut l’apparition dans le bail de la porte, un homme, complètement paniqué… Et de suite, il prit en otage la vachette !!!
« Ne m’approchez pas, sinon je la tue ! Je sais que vous êtes venus pour elle ! »
Alors, on va pas le cacher… Même si là, Cassandre était dans un VRAI danger de morts… Et bien, dans un premier temps, elle ne se rendit même pas compte ! Encore une fois, vu ce qu’elle venait de se taper, il lui fallait un petit moment avant de retourner à notre réalité… Et ouais, carrément, c’était quand même à dire. Pourtant, et bien, elle avait bien la froide lame contre son cou, hein, ça, c’était pour du fake, elle était vraiment là, la lame… Et ouais ! Donc, vous devinez bien que la situation était assez cocasse, et pourtant, et bien, il y avait un vrai danger… On sentait que l’homme ne plaisantait pas, et tentait le tout pour le tout, pour se sauver la peau ! Et qu’il n’hésiterait pas à faire verser le sang de la vachette… Vachette qui ne captait pas le danger évident de la situation. C’est la meilleure…
Ainsi, elle ne put reconnaître Bran, et le plus ironique, presque drôle, c’est que finalement, elle commença à remarquer qu’il y avait quelques qui clochait… Quand finalement, la situation devint bien meilleure ! Comment cela me demanderiez-vous ? Et bien, on ne savait pas trop pour qui ses hommes travaillaient, mais une, elle, le savait. C’était Nikita. Donc, sans doute qu’elle avait choisi un camp. On pouvait supposer que si l’homme travaillait pour elle, et bien, il serait plutôt dans son camp… Sauf que non. L’homme se retrouva avec la nuque brisée, sans même avoir espéré pouvoir faire le moindre mal à Cassandre… Il était mort, caput, crevé, et finalement, arriva celle qui devait arrivée, c’est à dire… Vous l’attendez tous… Vous l’aimez bien… Mais oui, c’est Melinda Warren ! En chair et en os ! Et en sang…
« Cassandre ! »
« Maî… Maîtresse… ! »
MELINDA ! Mais oui c’est elle ! Sa précieuse maîtresse ! Comme quoi, la vachette pensa que les deux femmes n’avaient pas mentis : En effet, sa précieuse maîtresse était arrivée, et elle était de nouveau là pour s’occuper d’elle ! Oh bon sang, elle était rassurée de la voir, en plus, elle avait une tenue très seyante, franchement, cela ne faisait aucun doute. Elle aimait beaucoup. Et ouais, après tout, elle avait une maîtresse si belle ! Elle ne semblait pas tant se rendre compte qu’il y avait eu un vrai massacre pour venir jusqu’à elle. Comme quoi, notre vachette ne changeait pas, et était toujours aussi… Aussi… Cassandre quoi ! Bref, elle avait eu un peu de mal à dire ça, car elle était encore sous le coup de sa séance de baise intensive, et ainsi, sa seconde déclaration fut tout aussi laborieuse, on va pas le cacher…
« Je… Je suis contente de vous voir… Oh bon sang... »
« SHE IS COMPLETELY FUCKED SILLY ! » Comme dirait nos amis anglo-saxons ! Ouais, on pouvait bien le dire, elle ne semblait pas se rendre compte de tout ce qui venait de se passer… Elle était avachie sur le sol, de manière complètement obscène, en sueur, alors qu’elle avait littéralement du sperme qui coulait de son anus, et de sa chatte, elle était bien pleine, elle était donc bien prise, c’était donc un spectacle… Comment allait réagir la fameuse Vampire ? Voilà que son jouet, sa Ushi, avait été prise, qu’elle avait aimée cela… Après, Cassandre avait pour elle sa naïveté et sa gentilesse avec elle, donc, elle risquait d’y échapper… Bref, vous savez quoi ? C’était probable que les deux histoires parralèles, là, se rejoignent, et là, je vous dis, ça risquait d’être très intéressant, n’est-ce pas ?
-
Ça y est ! L’esclave avait enfin retrouvé sa Maîtresse ! Les deux femmes étaient réunies, et Cassandre semblait au bord des larmes en voyant sa Maîtresse... Mais celle-ci restait méfiante. Elle portait des mitaines en cuir le long de ses mains, et ses ongles étaient désormais longs de plusieurs centimètres, devenues de belles griffes acérées et écarlates, recouvertes du sang des criminels que Mélinda venait de tuer. Les deux puissantes femmes ne semblaient toutefois guère inquiètes.
« Elle est aussi belle que ce qu’on dit, non ?
- Ce latex vous va aussi bien que votre robe, Mélinda. À moins que ce ne soit du cuir ? Mais ça m’a l’air un peu trop brillant pour du cuir...
- Qui êtes-vous ?! » siffla Mélinda entre ses dents.
Des gens avaient osé s’en prendre à ses protégées, ce que Mélinda n’appréciait clairement pas. Elle était leur Maîtresse, chargée de les protéger, et même le physique avenant de ces deux femmes ne suffisait pas à détourner son attention. Les deux femmes se regardèrent brièvement entre elles, puis l’une sourit alors, avant de lui répondre :
« Nous sommes venues vous faire une offre que vous ne pourrez pas refuser. »
Au même moment, Mélinda entendit des bruits dans son dos. Elle se retourna, et vit Asuka qui approchait, accompagnée de trois étranges femmes.
« Maîtresse ! Maîtresse ! »
Mélinda se retourna, surprise, et vit Asuka gravir les marches de l’escalier du hall central de la demeure, pour sauter dans ses bras. La vampire lui caressa ensuite les cheveux, tandis qu’Asuka se mit à pleurer, se frottant fortement contre sa Maîtresse, visiblement très heureuse de pouvoir enfin la retrouver.
« Oh, Maîtresse, j’ai eu peur, si peur !!
- Allons, allons... Calme-toi, Asuka, ce n’est pas le moment ! »
Mélinda écarta doucement son esclave, pour retrouver les femmes qui l’accompagnaient... Mais celles-ci s’étaient téléportées dans le bureau, en compagnie des deux autres femmes membrées et musclées. Mélinda les regarda encore, et vit les deux hermaphrodites musclées s’agenouiller respectivement devant les jeunes filles, comme si elles étaient leurs subordonnées. Mélinda savait déjà que la taille ne voulait rien dire, même si le geste la surprit un peu. Elle se pinça doucement les lèvres en les observant, puis vit l’une des trois étranges femmes se retourner vers elle.
Elle lui sourit alors, avant de s’expliquer :
« Bonsoir ! Je comprends tout à fait votre colère, Mélinda Warren, mais vous n’avez pas à vous en faire. Nous nous sommes associés avec ces sinistres personnages pour avoir l’occasion de nous rapprocher de vous. Il n’était nullement dans notre intention de vous ravir vos esclaves. Vous noterez d’ailleurs qu’Asuka est indemne. Quant à votre Ushi... Et bien, n’en voulez pas trop à Nikita et à Alexeï, elles ont acquis leur constitution exceptionnelle grâce au lait d’Ushi. Elles se sont prises de la plus sincère des affections pour elle, tout simplement.
- Mais qui êtes-vous à la fin ?!
- Je suis, avec Kyoko, la messagère de trois puissantes Princesses infernales, qui ont également créé la compagnie dans laquelle Nikita et Alexeï travaillent : la Fut-Corp, basée à Tekhos... Et dont vous avez peut-être déjà entendu parler. »
Mélinda ne confirma rien du tout, puis Akari lui présenta l’autre fille, celle qui avait l’air mal en point :
« Pour se faire pardonner des tracas, nos Maîtresses vous offrent cette toute jeune femme, un Trap’ que nous venons de transformer en fille rien que pour vous. Va dire bonjour à ta Maîtresse, Mikoto ! »
Pour Mélinda... Tout ça faisait beaucoup à encaisser sur le coup !
-
Bon sang, que la situation était complexe pour une pauvre vachette ! Et ouais, elle était un peu perdue. Alors, faut bien imaginer qu’en temps normale, elle aurait eu du mal à comprendre… Donc, alors là, faut bien imaginer que c’était bien trop compliqué pour elle ! Surtout que même si elle reprenait de plus en plus ses esprits, cela restait compliquée pour elle de comprendre tout, et de suivre tout… Tout ce qu’elle comprenait, c’était que Melinda était de retour et… Et qu’elle ne semblait pas contente ! Oh oui, elle ne semblait pas contente du tout… La vachette avait un peu peur sur le coup, elle espérait que ce n’était pas elle qui avait fait une bêtise… oh non, elle ne voudrait vraiment pas être une vilaine vachette, et avoir fait des bêtises… Surtout que c’était pas sa faute d’abord...
Et là arrive Mikoto ! En effet, trois femmes étaient apparus, donc, femmes qui visiblement étaient importantes, cela, même Cassandre le comprit, quand elle remarqua que les deux femmes qui l’avait sauvagement baisé s’agenouillait respectueusement devant ces personnes. Une semblait quand même un peu à part, des deux autres, et c’était… C’était… Mikoto ! Et ouais, il avait rejoint les trois sœurs maintenant, donc, c’était logique qu’on parle de lui, comme on parle des deux autres… Sauf que là, on va quand même le dire, ce n’était pas tout à fait comme les deux autres, allez, soyons un peu sympathique… Mikoto était en effet encore un peu… Dans un autre monde, confus, ne sachant pas trop ce qu’il se passait… Il n’était que femme depuis quelques dizaines de minutes, faut le dire.
L’apparition de ces trois femmes, en plus, fit dire à Cassandre que quand même, tout cela était pas normale… Et elle avait un peu peur… Donc, elle profita de la confusion pour aller le plus vite possible près d’Asuka qui avait rejoint sa maîtresse, et Melinda, donc. Bran sans doute non plus n’était pas loin, mais cela on ne pouvait jamais être sûre avec lui. Quoiqu’il en soit, maintenant qu’elle était presque dans les pattes de sa maîtresse, elle était bien plus rassurée. Cela, c’était un monde qu’elle connaissait, et qu’elle appréciait bien mieux. Dans un sens, même, elle préférerait rester là jusqu’à la fin de préférence, mais elle ne devait pas être trop dans les jambes de sa maîtresse, cela ne se faisait pas !
« ASUKA ! J’ai eu peur… Toi aussi ils t’ont fait gonflé le ventre ? Non on dirait pas... »
Cassandre ! La vachette ne changera jamais… Bref, elle était très heureuse de retrouver Asuka ! Après tout, c’était avec elle qu’elle s’était fait kidnapper, donc, elle était contente de la retrouver… Ainsi, Asuka eut le droit à un calin de la part d’une vachette à gros ventre, remplis et couverte de sperme et de lait… Faut bien dire que la tenue de cette dernière n’apprécia pas, et se retrouva fort tachée… Mais Cassandre s’en fichait… Elle regarda un peu Asuka, et vit qu’elle était donc pas nue… Cela voulait dire qu’elle n’avait pas subit les même choses ! Tant mieux, car pfiou ! Elle avait bien aimée, mais cela avait été un peu hardcore… Quoiqu’il en soit, donc, retournons aux deuxième personnage...
« Pour se faire pardonner des tracas, nos Maîtresses vous offrent cette toute jeune femme, un Trap’ que nous venons de transformer en fille rien que pour vous. Va dire bonjour à ta Maîtresse, Mikoto ! »
« Bon… Bonjour... »
Le bonjour fut hésitant… Mais suffisamment clair pour montrer que ça y est, après un long moment dans les vapes, elle était enfin de retour dans notre monde ! Bienvenue agente Mikoto ! Et ouais, enfin, elle parlait relativement clairement. Faut dire la situation avait changée. Elle n’hésitait plus sur le fait d’être une fille ou un garçon, déjà, cela aidait… Mais surtout, et bien voyez vous… Elle n’avait plus une énorme bite de démon dans l’anus… Ou dans la chatte, étant donné qu’elle avait perdue sa virginité d’une façon… Dont peu peuvent se vanter d’avoir eu la même. Ah oui, ça c’est sur... Ah ouais, quand même, cela aide un peu, n’est-ce pas ? Ouais, cela aide beaucoup même si vous voulez mon avis… Son Bonjour fut donc un peu hésitant, mais c’était un gros progrès par rapport à précédemment…
« Je suis la dernière sœur de la famille… Je n’ai pas encore de nom, mais je suppose que vous m’en trouverez un beau... »
En effet, elle savait que Mikoto était son nom d’autrefois, d’avant… Sans doute allait-il changer… ou peut-être pas ! Après tout, et bien, Mikoto ce n’était pas un nom que masculin… En Japonais, c’est un nom mixte ! Qui peut donc aussi bien aller à ce dernier à l’époque où il avait encore une bite, et était donc un trap, qu’à aujourd’hui, où il n’a plus de bite -no shit Sherlock- et qu’ainsi, il est donc une femme… Mais cela, cela dépendrait d’une et une seule personne… Melinda ! Car ouais, elle récupérait sa vache, mais elle récupérait aussi dans ses bagages une membre de son harem, et donc, une nouvelle recrue… Impossible de savoir ce qu’elle en ferait, mais Mikoto semblait déjà avoir une idée de cela, vu ce qu’elle fit…
« Je suis votre servante... »
Elle s’agenouilla devant Melinda, et commença à lui baiser les pieds… Elle n’allait pas plus loin, mais on sentait que la jeune femme blonde n’avait qu’une envie, c’était de continuer ses baisers, un peu comme si elle était déjà sous l’envoutement de la vampire, comme si c’était pour elle la meilleure chose qui pouvait lui arriver, d’être ainsi toute dévouée pour sa nouvelle maîtresse… En même temps, comme dit précédemment, elle était une sœur de sa fratrie, oui, mais elle était avant tout un cadeau, et se considérait comme avant tout comme le cadeau. Un peu comme Cassandre ! Et ouais, rappelez-vous, il y a longtemps (et quasiment 11 pages de RP!) Cela avait été l’anniversaire de Melinda il y a deux jours ! Donc, c’était un peu un cadeau en retard… Non ? Non ? On allait bien voir ce qu’elle allait en penser !
-
Mélinda était encore très confuse. Que se passait-il donc ? On venait de lui restituer ses esclaves (dont sa précieuse Cassandre), ainsi qu’une nouvelle esclave, une étrange femme avec une tenue moulante très belle. Elle portait un justaucorps noir moulant dissimulant le haut de ses seins, ses bras, ainsi qu’une culotte noire, et de longs collants moulants noirs. Un corps assez charmant (https://i.nhentai.net/galleries/1293903/142.jpg) au demeurant ! La jeune femme s’inclina devant elle, et baisa tendrement les pieds de la vampire.
« Pourriez-vous m’expliquer ce qui se passe, à la fin ?! »
Akari haussa les épaules en posant ses mains sur ses hanches.
« C’est ce que je viens de dire ! Nous travaillons pour le compte de trois puissantes démones, qui m’ont capturé, moi et Kyoko, il y a des années, et nous ont transformé. Nous sommes désormais leurs propres filles, travaillant pour elles. C’est elles qui nous ont demandé de venir vous voir, Miss Warren.
- Mais pourquoi donc ? »
Akari soupira, ayant l’impression de se répéter, puis croisa les bras sous sa poitrine.
« Comme vous le savez, le Royaume des Démons est subdivisé en sept Cercles, chacun correspondant à un Péché Capital. Mais il existe aussi des démons ayant refusé d’obéir à l’autorité des Cercles. Les démons exilés sur Terra, par exemple... Ou nos Maîtresses. Et celles-ci recherchent des clients, des alliés potentiels sur les Plans Intermédiaires. Et vous, Miss Warren, depuis que vous avez fondé un clan vampirique, vous avez attiré l’attention de mes Maîtresses, car vous avez le profil requis. Vous êtes belle, vous êtes forte, bien implantée, une esclavagiste charmante, et avez des accointances aussi bien sur Terre que sur Terra.
- Et vous aviez besoin de capturer mes esclaves pour ça ?! »
La magical girl corrompue haussa négligemment les épaules, bottant en touche sur cette question, avant de se déplacer un peu.
« Quand votre femme a acheté Cassandre pour vous l’offrir, cet achat a été repéré par les Yakuzas. Ils comptaient agir, nous n’avons fait que nous greffer à leur opération pour la retourner contre eux. Mais c’est bien en raison des tracas causés que nos Maîtresses vous offrent cette délicieuse esclave... C’est notre petite-sœur, alors prenez-en soin, mais sachez qu’elle est déjà accroc au sexe. »
Après tout, Mikoto portait sur elle la marque des succubes, un sceau magique chargé de magie rose qui devait sûrement la perturber fortement en ce moment.
« Je vois... Et vos deux copines membrées ? Vous êtes de la Fut-Corp, c’est ça ?
- Si fait. Vous êtes l’une de nos clientes privilégiées, Mélinda, et la Fut-Corp est gérée en hauteur par les Maîtresses. Et nous avons des revendications un peu particulières à faire en ce qui concerne votre charmante Ushi minotaure.
- Comment ça ? »
Nikita et Alexeï se tenaient par la main en lui souriant malicieusement, avant de poursuivre :
« Pour devenir les charmantes F-Girls que vous voyez, nous recevons une substance particulière, dont l’un des composants essentiels est du lait d’Ushi. Et votre magnifique vachette, grâce à ses gènes de Minotaure, produit un lait dans des quantités phénoménales. Pour faire simple, nous désirons acheter une grande partie du stock produit par Cassandre à un tarif préférentiel, ainsi que le droit de venir régulièrement aider à sa productivité en la baisant énergiquement. »
Mélinda en resta muette. Elle était venue ici pour récupérer ses esclaves, en déchaînant le fracas et la fureur sur ces individus peu scrupuleux et renégats, et voilà qu’elle se retrouvait à négocier ! Nikita se rapprocha ensuite, un sourire sur les lèvres.
« Hein, Cassandre, que tu seras heureuse de pouvoir nous faire l’amour... Nous nous occupions très bien de toi, non ? »
Difficile de trop s’approcher de l’Ushi, car Mélinda n’hésitait pas à s’interposer, intimant de la main Cassandre à rester prudemment derrière elle. Le fait est que Mélinda avait pour habitude de ne jamais accorder sa confiance trop facilement...
-
Encore du blabla ! Alors, faut pas croire, c’est pas que Cassandre s’en fichait… Non, c’était deux choses. Premièrement, elle ne comprenait pas. Deuxièmement, elle était un peu trop dans les vapes. C’était le même principe pour Mikoto, qui regardait un peu d’un air défacé la fameuse Melinda… Bref, mes 2 personnages ne sont pas spécialement à l’écoute, mais ce n’était pas un manque d’envie, c’était un manque d’attention, et son imbécillité pour Cassandre. Ouais, je sais ce que vous pensez, ce n’est pas très gentil pour la fameuse pour Cassandre, qui s’en prenait encore plein dans la gueule… Mais voilà, c’est comme ça. J’en suis désolé, hein. Bref, la fameuse vachette était donc sans compréhension de ce qui s’était passé….
Pourtant, ce n’était pas inintéressant ! Loin de là ! Au contraire, on sentait que dans tout ce système, il y avait une organisation, qui était rondement mené, et qui ne laissait pas ou peu de place à l’imprévu. Pourquoi dire cela ? Et bien, tout ce qui avait pu ressembler à de la chance, ou du hasard, on sentait que cela avait été prévu. Peut-être que le hasard avait joué sur quand certains éléments étaient intervenus, mais voilà. Par exemple, peut-être que le hasard était intervenu pour le choix du Rapt au cinéma. Mais par exemple, Mikoto. On aurait pu se dire : « Oh le pauvre, il s’était retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment. » Mais toutes ces révélations montraient que non. Tout cela avait été bien prévu. Bref… Tout était dans une certaines logiques… Et le kidnapping de la fameuse Ushi avait une logique tout aussi importante :
« Pour devenir les charmantes F-Girls que vous voyez, nous recevons une substance particulière, dont l’un des composants essentiels est du lait d’Ushi. Et votre magnifique vachette, grâce à ses gènes de Minotaure, produit un lait dans des quantités phénoménales. Pour faire simple, nous désirons acheter une grande partie du stock produit par Cassandre à un tarif préférentiel, ainsi que le droit de venir régulièrement aider à sa productivité en la baisant énergiquement. »
Donc, c’était pour ça… ! Cassandre comprit -elle n’était pas si stupide, faut quand même le dire, car on est quand même entrain de bien la bolosser depuis quelques temps-, qu’on parlait d’elle. Et de son lait. Et donc visiblement, que son lait avait un rapport avec la fameuse raison de pourquoi elle était là. Faut dire, avec une Ushi, il y avait pas trente six-mille raisons hein ! C’était souvent pour les même raisons qu’on tentait de voler ses pauvres femmes. Le sexe et le lait. Donc, finalement il y avait une tentative de faire… Et bien un accord ! Un accord qui pourrait sans doute convenir à tout le monde, suivant la situation… Cela dépendrait néanmoins de la fameuse Melinda. Après ce qui s’était passé… Est-ce qu’elle allait accepter comme ça de faire l’accord ? Surtout que… Qu’est-ce qu’elle y gagnait ? Ok, Mikoto en temps que Cadeau semblait une bonne base, mais voilà… Ainsi, Nikita semblait tenter de négocier directement avec l’ushi, pour maximiser ses chances...
« Hein, Cassandre, que tu seras heureuse de pouvoir nous faire l’amour... Nous nous occupions très bien de toi, non ? »
« ... »
Elle ne déclara rien dans un premier temps, gardant donc le silence. En effet, il fallait bien l’avouer… Et bien, sexuellement parlant, elle n’avait pas passé un mauvais moment. Pour tout dire, même, cela avait été le moment le plus intense sexuellement qu’elle avait vécu. Contrairement à Melinda et son harem, elle n’avait pas du tout été épargné, ou on avait pas du tout tenté de la ménager. Non, elle avait été traitée comme un vulgaire bout de viande, et cela n’avait fait aucun doute qu’elle était un jouet sexuelle pour les 2 femmes. Et cela avait bien marché pour en effet, mettre en avant son lait. Donc, vous voyez ? En théorie, elle avait tout intérêt d’accepter, c’était le plus probable que ça se passe ainsi. Mais vous savez que l’histoire est souvent bien plus coquine que prévu, et ainsi…
« Non, je préfère ma maîtresse ! »
TIN TIN TIN ! Bah ouais, Cassandre aimait le sexe, il n’y avait pas de doute sur ce point… Sauf que non. Enfin si, si, elle aime vraiment hein, ma phrase est mal construite. Disons qu’elle était pas une obsédée du sexe. Elle est pas du genre à quémander les expériences sexuelles les plus incroyables et intenses qui existent. Et pourtant, elle était assez olé olé comme vachette, hein, cela ne fait aucun doute sur ce point ! Mais voilà, il faut différencier « olé olé » de… De trop. Bien qu’elle avait aimé ça, encore une fois. La fidélité était totale envers sa maîtresse : elle aimait avant tout sa précieuse maîtresse, et donc, elle comptait pas prendre un mi-temps chez une autre maîtresse. Bref, elle avait beaucoup de choses à faire, et elle déclara, en montrant qu’elle ne connaissait pas le sens de « travail à temps plein. »
« Puis, j’aurais pas le temps. Satisfaire ma maîtresse est un travail à plein temps, et donner du lait l’est aussi. Enfin, j’aurais aussi à faire pour ma carrière à temps plein de chanteuse ! Donc, ça fait trop. Vous trouverez plein d’autres Ushi chez mon éleveur ! Donc, seul maîtresse elle peut dire si vous avez le droit de venir pendant ma traite. C’tout. »
Ouais, mais pas au niveau de Cassandre. Bref, quoiqu’il en soit, Cassandre montrait qu’elle laissait la fameuse Melinda choisir pour elle. Pour le lait ? Qu’elle voit avec le harem de Melinda ! Bah ouais, elle n’était que la productrice directe, elle ne s’occupait de la vente de son propre lait. De même, elle ne s’occupait pas de qui venait dans sa ferme pour la traite. Si elles avaient le droit d’entrer ? Et bien elles pourraient aussi venir prendre leur pied ! Mais chacun son tour, et elles n’auraient pas le droit de la prendre plus de temps que les autres ! Et ainsi, pour finir… Et bien, on voyait bien qu’elle n’avait pas changée d’avis. Têtue comme une Ushi, elle avait décidée de prendre une voix de star de la chanson, et elle voulait le faire ! Mais attends Cassandre, tu viens pas de dire que tu aurais trois travaux à temps plein ? Cela allait être difficile ma chère vachette ! Cela allait être difficile !
-
La réplique de Cassandre, pleine d’assurance, sembla surprendre un peu tout le monde, et ce d’autant que, auparavant, Cassandre avait tout de même été prise pendant une bonne demi-heure par les deux F-Girls. Elle avait subi un traitement intensif, si intensif que ses seins fuyaient à nouveau ! Et, pourtant, la seule idée qu’on puisse envisager de la séparer de sa Maîtresse la fit d’emblée réagir. Ce comportement ne manqua pas d’émouvoir Mélinda, qui sourit brièvement, surtout quand Cassandre indiqua vouloir devenir chanteuse. Elle regarda brièvement Asuka, qui haussa les épaules.
« Je vois... Vous avez un talent inné pour que vos esclaves s’entichent de vous, Mélinda...
- Ça s’appelle l’amour.
- La plus redoutable des prisons. »
Mélinda haussa doucement les épaules, et caressa avec sa main les cheveux de Cassandre, puis regarda alors Mikoto. Un peu confuse, Mikoto était toujours agenouillée devant elle, et sursauta doucement quand l’autre main de Mélinda glissa sur son visage.
« Tu es très mignonne, toi... Et je crois que vos démons incubateurs m’intéresseront beaucoup. »
Transformer des hommes en filles, ou des filles en hommes... Visiblement, la Fut-Corp’ était bien plus qu’une simple organisation sexuelle tekhane offrant à ses clientes des partenaires membrés très solides. Akari sourit également, tandis que Mélinda invitait Mitoko à embrasser son pied droit, et invita Cassandre à faire de même avec son pied gauche.
« Notre partenariat peut prendre bien des formes... Y compris sponsoriser votre Ushi. Elle ne peut décemment pas espérer prospérer sur Terre, ses attributs de Terranide seront un frein, alors qu’ils doivent être un atout. Si elle veut chanter, elle peut le faire sur Tekhos. »
Mélinda y songeait aussi. Mais tout ça faisait beaucoup pour elle d’un seul coup. Elle était venue ici pour se battre, et elle avait d’ailleurs beaucoup tué. Semblant comprendre cela, Akari tournoya encore sur place, faisant claquer ses talons sur le sol.
« Le mieux est de vous laisser le temps d’y réfléchir. Pendant sa transformation, Mikoto a reçu toutes les informations utiles sur nos Maîtresses. »
La vampire observa encore l’étrange magical girl corrompue, puis Akari généra un Portail avec sa main. Les F-Girls s’en rapprochèrent, leurs mandrins toujours dressés, adressant un dernier salut à Cassandre. Imaginer une Ushi se mettre au chant... L’image n’était pas banale, mais elle pouvait tout à fait s’envisager. Mélinda les vit partir, puis, quand le Portail se referma, il n’y avait plus que le bruit reptilien des langues et des lèvres de Mikoto et de Cassandre, qui venaient lustrer les bottes et les mollets de leur Maîtresse mutuelle.
Mélinda les observa alors, puis fit signe à Bran.
« Incendie cette maison, fais disparaître les traces de notre présence... Moi, je retourne au manoir.
- Bien, Maîtresse. »
Mikoto avait généré une laisse en cuir qui se rattachait à son collier, et Mélinda en mit une au collier de Cassandre, puis, les maintenant dans une seule main, les fit descendre, tout en ordonnant à Bran de mettre un bandeau autour des yeux d’Asuka et de Cassandre. Elles ne virent ainsi pas les traces de carnage dans la maison. Au milieu du hall d’entrée, un énorme lustre s’était fracassé, des traces de balles zébraient les murs, des corps démantibulés gisaient au sol, égorgés, éviscérés... Les vampires ne se battaient pas proprement, ils mordaient, ils griffaient, ils lacéraient, éviscéraient, étripaient... Un spectacle des plus macabres !
Le groupe sortit finalement à l’air libre, où un van attendait. Mélinda retira alors à Asuka et à Cassandre leurs bandeaux, et grimpa à l’arrière du van. Le véhicule démarra ensuite, et fila vers le manoir.
« Nous retournons à la maison, Cassandre... Et à ta nouvelle maison, Mikoto ! »
Mikoto semblait en être ravie, mais Mélinda sentait chez les deux femmes ce même appel au sexe. Après tout, Cassandre se faisait bien prendre quand la vampire était arrivée. Mélinda se concentra donc, et, après quelques instants, fit apparaître sa verge. Celle-ci déforma sa minijupe noire, qu’elle abaissa avec ses mains, libérant sa queue à l’air libre, et les observa toutes les deux.
« On va être secouées pendant le trajet, mais je compte sur vous deux pour venir lécher et sucer ma queue... »
Ce qui serait, sans aucun doute, une excellente manière de faire oublier à Cassandre sa soirée tendue, et pour Mikoto d’en savoir un peu plus sur sa nouvelle Maîtresse !
-
Et ouais ! L’amour ! Bah oui, c’était enfaite que ça qui faisait ce qu’avait dit notre chère Cassandre. Dans le cas où elle aurait juste été une vachette attachée, qui serait traite, encore et encore, elle aurait largement acceptée la proposition des F-Girls. Sauf que là, sa situation en temps qu’esclave de Melinda était de loin, de TRES loin la meilleure, car elle était bien plus heureuse avec quelqu’un comme Melinda, que ce qu’elle pouvait imaginer. Attention, cela ne voulait pas dire que les F-Girls étaient méchantes, non, juste que Cassandre avait plus confiance en Melinda. Peut-être que celle-ci étaient très gentilles. D’ailleurs, ainsi, cela expliquait pourquoi Cassandre n’était pas contre que celle-ci reviennent, mais uniquement si elles jouaient le jeu, et attendaient leur tours comme toute personne du harem ! Pas de traitement de faveur… On a donc vu du côté de Cassandre, et du côté de l’autre ?
« Tu es très mignonne, toi... Et je crois que vos démons incubateurs m’intéresseront beaucoup. »
« Merci maîtresse... »
Mikoto était très heureuse de cette déclaration. La jeune adolescente blonde trouvait les déclarations de sa nouvelle maîtresse, comme quelques choses qui allait directement au coeur. Après tout, elle n’était qu’une nouvelle, une fille parmi les autres filles du harem. Donc, être décrite comme « mignonne »… Cela faisait tellement plaisir… Elle espérait vraiment qu’elle allait se plaire dans cette endroit, mais elle ne doutait point que cela allait sans doute être extrêmement agréable… Oh que oui ! Elle était heureuse d’être un cadeau… Donc, Melinda avait deux cadeaux, et ces deux cadeaux étaient toute deux extrêmement heureuse de l’être… Celles qui étaient moins contentes, visiblement, c’étaient les autres magicals girls, qui néanmoins, n’étaient pas rancunières, étant donné qu’elles déclarèrent...
« Notre partenariat peut prendre bien des formes... Y compris sponsoriser votre Ushi. Elle ne peut décemment pas espérer prospérer sur Terre, ses attributs de Terranide seront un frein, alors qu’ils doivent être un atout. Si elle veut chanter, elle peut le faire sur Tekhos. Le mieux est de vous laisser le temps d’y réfléchir. Pendant sa transformation, Mikoto a reçu toutes les informations utiles sur nos Maîtresses. »
Comment ça un frein ? D’abord, elle allait chanter trop bien ! Et ouais, Cassandre n’avait pas forcément conscience que sa nature même n’était pas une nature… Disons… Habituelle sur cette planète. Bah oui, ma chère Cassandre, imagine que du jour au lendemain, la Terre découvre dans son intégralité qu’il y a une femme-vache, qu’elle chante, et qu’elle produit du lait ?! On est pas dans un scénario d’anime, ma chère, tu ne finiras en idole, tu finiras dans un laboratoire, puis, le laboratoire finira mort car Melinda n’aurait pas apprécié cela… Bref, vous avez un peu compris pourquoi… Non, pour le moment, enfin, pas sans quelques choses… Cassandre ne pouvait pas encore se lancer entièrement dans la chanson.
Quoiqu’il en soit, ils étaient temps de rentrer ! Les deux nouvelles esclaves eurent toutes les deux droits à une laisse, mais Asuka et Cassandre elles eurent le droit aussi à un bandeau sur les yeux… C’était tant mieux, car même sans le bandeau, Cassandre se sentit… Mal à l’aise, alors qu’elle marchait dans la maison. Elle ne se rendait pas compte de ce qui s’était passé, mais voilà, elle devinait qu’il… Qu’il y avait eu quelques choses… Quoi ? Elle ne savait pas. Elle ne savait vraiment pas, et c’était peut-être ça qui était le plus flippant dans tout ça. c’est qu’elle n’avait aucune idée de ce qui avait bien pu se passer, mais qu’elle devinait que c’était quelques choses qui n’était pas… Bref, elle fut bien heureuse quand elle sentit alors l’air frais sur son corps… ça, c’était chouette, et cela voulait dire qu’elle avait quitté l’endroit.
« Nous retournons à la maison, Cassandre... Et à ta nouvelle maison, Mikoto ! »
« Ouiiii ! »
Cassandre sauta dans les bras d’Asuka et Mikoto, alors qu’elle venait de retrouver sa vue ! Bon sang, qu’est-ce qu’elle était contente ! Elle avait eu très peur, franchement, et elle était bien contente de retrouver la normalité. Car une chose était importante dans ce genre de cas… Savez-vous quoi ? Et bien, si vous élevez une Ushi, il est important qu’elle ait sa stabilité, qu’elle soit tranquille. Il ne faut pas trop régulièrement la changer de lieux et… Quoi ? C’est ridicule ? Non mais attendez, ce n’est pas une blague nulle que je fais car j’adore faire des blagues hein ! Non, là, je suis complètement sérieux dans ces déclarations. En effet, ouais, une Ushi, il fallait de la stabilité, et évitez le plus possible d’aller à l’encontre de ces habitudes ! Cela pouvait jouer sur la production de lait, et ça… Bah c’est pas cool ! Quoiqu’il en soit, toutes montèrent alors dans le van, et ainsi, Melinda mit en garde :
« On va être secouées pendant le trajet, mais je compte sur vous deux pour venir lécher et sucer ma queue... »
« Bien sur !
-Oui maîtresse... »
Ouaiiiis ! Une bonne fellation ! Ça, c’était quelques chose qu’elle connaissait maintenant, et qu’elle appréciait. Pour Mikoto… Et bien, cela allait être la première fois, mais elle avait déjà des connaissances quelques peu apportés par les magicals girls. C’était un peu comme quand tu achètes un PC windows, et que t’as déjà Skype et d’autres logiciels. Bah, en achetant ou recevant Mikoto, t’as déjà le logiciel « fellation de base ». Ainsi, tandis que Cassandre approchait pour lécher le membre, bien dressé, et bien, Mikoto alla direct à l’essentiel, et commença à prendre le gland en bouche, comme si son objectif était d’être le plus efficace possible. Bref, un peu gênant, étant donné que l’objectif était d’être quand même le plus endurant possible ! Bref, de toute façon, Cassandre n’avait pas dis son dernier mot !
« Eh ! Laisse en moi ! »
Tututut ! Pas de jalousie voyons Cassandre ! Vous pouvez partager ! Mikoto arrêta alors, fit un bisou sur le front de l’ushi, et commença à s’attaquer non pas au phallus, mais aux testicules, et ouais… Elle commençait à lécher le tout, tandis que Cassandre, satisfaite, commença à faire des grands mouvements de langues sur le mats bien dressé de la vampire. Les deux faisaient un magnifique travail de préparation, et la jalousie s’était envolée aussi vite que venue… Asuka, regardant ça, se permit même de commencer à se doigter… Bon sang, on retrouvait l’ambiance du harem, et après toutes les peurs, et tout ce qui s’était passé, et bien… on pouvait dire que c’était bien satisfaisant de retourner dans une situation bien plus confortable, bien plus rassurante… Vous ne trouvez pas ?
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Le trajet allait bien durer une bonne vingtaine de minutes, le temps de quitter cette ferme isolée pour rejoindre son manoir. Et, même si le chauffeur allait se débrouiller pour éviter les mouvements brusques, les nids-de-poule, l’arrière d’un fourgon n’était pas un endroit très stable. Assise au fond du van, Mélinda avait les jambes écartées, voyant Mikoto se rapprocher. La magical girl infernale ne semblait avoir aucune difficulté d’adaptation à sa nouvelle vie, ce qui était à la fois excitant... Et effrayant. Les pouvoirs de ces femmes étaient très impressionnants, et, somme toute, Mélinda était plutôt heureuse d’être leur amie, et non une ennemie potentielle. En tout cas, Mikoto s’attaqua rapidement au chibre de Mélinda, qui gémit doucement. D’une main, elle s’agrippait à une rambarde, surtout quand le van devait négocier des virages, et, de l’autre, elle caressa les cheveux de sa belle esclave.
« Là, oui, hmmm... »
Mélinda se pinça doucement les lèvres, et apposa sa tête contre le mur du van, tout en savourant le contact. Mikoto découvrait son nouveau corps, mais constatait déjà son fort attachement à sa Maîtresse. Et encore, Mélinda n’avait même pas eu l’occasion de voir ses pouvoirs magiques ! Elle comprendrait bien vite que ses nouvelles partenaires ne s’étaient pas du tout moquées d’elle en lui offrant cette jeune femme. Mais ce spectacle laissa une spectatrice sur sa faim. L’Ushi rappela qu’elle était là, et qu’elle avait envie de goûter à la queue de sa Maîtresse, elle aussi ! La vampire, elle, resta silencieuse, se contentant de légèrement sourire.
Fort heureusement, Mikoto se montra très compréhensive, et se retira du sexe de sa Maîtresse. Sa queue était bien humide, et la magical girl alla lécher ses testicules, déposant des baisers dessus, ou embrassant l’appareil phallique à sa base, le léchant également, laissant ainsi l’Ushi lécher ce sexe. Asuka, qui était en leur compagnie, peinait à rester calme, surtout quand Mikoto retourna à nouveau lécher ce sexe, en profitant pour frotter avec sa langue celle de Cassandre.
« Oh, oh, mes petites chéries... »
Leurs coups de langue fonctionnaient à merveille sur le corps de Mélinda, qui tremblait doucement sur place.
« Là, voilà, ensemble... Je ne veux pas de jalousies entre vous, mes belles... Vous êtes toutes les deux mes esclaves... »
Une bonne entente au sein du manoir était fondamentale ! Malheureusement, Mélinda avait régulièrement affaire à des crises de jalousie. Tout ne pouvait pas être parfait ! On aurait pu craindre des tentatives de rébellion, des esclaves souhaitant s’affranchir, mais, au vu des techniques très particulières de Mélinda, qui liait amour et soumission, c’était souvent la jalousie qui prédominait entre les esclaves. Elles voulaient toutes garder leur Maîtresse pour elles-mêmes, oubliant ainsi que le rôle fondamental d’une esclave était d’obéir, et que la relation la liant à sa Maîtresse était verticale.
Mélinda soupirait doucement en les observant toutes les deux, et releva les yeux vers Asuka, qui était en train de se caresser intimement.
« Ne t’inquiète pas, Asuka, j’ai prévu de m’occuper de vous deux toute la nuit... Il faut bien ça pour que vous surmontiez votre traumatisme, non ? Et toi aussi, Mikoto, tu seras la bienvenue... Leyli sera très rassurée de vous revoir, elle s’est sentie... Hmmm... Extrêmement coupable pour ce qui est arrivé. »
Leur retour allait fortement la rassurer ! Après tout, Leyli avait eu la responsabilité de cette soirée, et, même si Mélinda ne lui avait rien reproché, Leyli l’avait fait elle-même !
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Être dans la van, après tout cela, c’était comme… Sortir d’un maudit cauchemar, pensa quelques peu Asuka. Enfaite, sans la nouvelle qu’était Mikoto, et bien, cela pourrait presque se dire que finalement, il ne s’était rien passé, et qu’elles étaient bien à l’abri, que tout cela n’était donc qu’une illusion, quelques choses qui n’existait pas. Cependant, voilà, la présence de Mikoto, et bien, elle prouvait bien que c’était réel ce qui s’était passé ! Je veux dire, Mikoto sinon ne serait pas apparu comme ça. Asuka se demanda rapidement si Mikoto avait acquis des pouvoirs de Magical Girl avec tout cela ? Cela serait bien possible, mais elle ne savait rien… Peut-être que Melinda en saurait plus ? Elle en avait aucune idée mais ça serait bien possible, après tout. Quoiqu’il en soit… Et bien...
« Là, oui, hmmm... Oh, oh, mes petites chéries... »
Revenons-en à Mikoto et Cassandre ! Et ouais ! Finalement, donc, Mikoto avait laissé le joyaux à notre chère Cassandre… oh, quand je parle de joyau, je vous laisse deviner qu’il ne s’agit pas des bijoux de familles, dont maintenant Mikoto s’occupait de la satisfaction, mais bel et bien du chibre en lui-même ! Et ouais, la vachette elle faisait un vas et viens très efficace, n’hésitait cependant pas à l’arrêter de temps en temps pour jouer de sa langue, et user ainsi de tout son talent de linguiste… Oui, c’est une blague totalement naze, mais j’assume à fond, je suis comme le gouvernement, qu’est-ce que vous croyez ? Bref, ainsi, Cassandre et Mikoto faisait un beau travail, mais ensemble, comme le mit en avant la fameuse vampire.
« Là, voilà, ensemble... Je ne veux pas de jalousies entre vous, mes belles... Vous êtes toutes les deux mes esclaves... »
« Désolé maîtresse... »
Et oui, petite vachette ! Oh, ne soit pas triste, ne pleure pas… Tu n’es pas une méchante fille, c’est juste que tu dois apprendre à ne plus être jalouse. Melinda est maîtresse d’énormément de personnes, et tu es qu’une esclave parmi tant d’autres ! Enfaite, Cassandre voulait tellement être une bonne esclave, et satisfaire sa maîtresse, qu’elle en oubliait qu’elle n’était pas seule, et donc, qu’elle devait aussi penser aux autres esclaves ! Et là, c’était à Mikoto ! Surtout que Cassandre, bien que tu n’étais pas très ancienne dans le Harem, et bien… Tu restais quand même plus vieille que Mikoto au sein du harem ! Tu dois donc montrer l’exemple ! Et ouais ! Alors, laissons de côté les deux filles, et concentrons-nous sur Melinda, qui déclara, alors, à tout le monde et pour tout le monde, sans mettre en avant une ou l’autre !
« Ne t’inquiète pas, Asuka, j’ai prévu de m’occuper de vous deux toute la nuit... Il faut bien ça pour que vous surmontiez votre traumatisme, non ? Et toi aussi, Mikoto, tu seras la bienvenue... Leyli sera très rassurée de vous revoir, elle s’est sentie... Hmmm... Extrêmement coupable pour ce qui est arrivé. »
Oh oui, Leyli ! La pauvre, elle avait été la responsable de la soirée, et elle avait lachée des yeux que quelques minutes les deux filles, Asuka et Cassandre… Que quelques minutes ! Et voilà qu’elles se faisaient tout deux kidnappés ! Les pauvres, tout ce qui était arrivé ! Et Leyli sans doute devait se sentir à mort responsable. Elle avait promis qu’elle s’occuperait bien des filles, et deux se faisaient kidnapper ! Bon sang, c’était horrible… Enfaite, c’était typique malheureusement : bien souvent, il n’y avait dans ce genre de cas, même pas « besoin » d’engueuler la personne « responsable », car elle le faisait toute seule… Alors que dans les faits, comme très bien dit, elle n’avait rien fait ! Elle était innocente, ce n’était pas du tout de sa faute...
En tout cas, tout le monde était maintenant sauvée, il n’y avait plus de risque, et les coupables étaient soient mort, soient avaient justement fait un pacte avec la vampire pour que cela ne recommence plus ! Ainsi, c’était une bonne chose, et une très bonne conclusion pour la situation. Tout le monde pouvait être rassurée, tout le monde pouvait être heureux ! Ouais, et on s’encule tous en coeur, tous heureux ! Plus sérieusement, Asuka se touchait ainsi bien rassurée, et était heureuse de se dire que là, elles avaient toutes les trois leur maîtresse ! C’était… Une chance tellement chanceuse ! Cela ne veut rien dire, pensa-t-elle… Ouh là, elle était encore un peu sous le choc visiblement… Vivement d’être arrivée pour que tout cela soit bien terminée pour de bon, il n’y a rien de mieux que de bien rentrer à la maison, cela, c’est bel et bien sûr…
Et comme si elle était compréhensive de sa petite bêtise, et du fait que Mikoto en temps que nouvelles avait le droit… Et bien, après avoir bien sucé, elle décida de laisser de nouveau le membre bien dur à Mikoto… Pourquoi cela ? Et bien, car elle avait bien entamée le travail, et que bientôt… Sans doute que la vampire allait lacher la crème ! Et donc, elle décida de laisser cette chance à Mikoto. Cassandre était évidemment un peu déçue de se dire qu’elle ne l’aurait pas… Mais il fallait partager en effet ! Quoiqu’il en soit, elle commença à prendre la place de Mikoto au niveau des boules, et la nouvelle magical girl décida alors de bien prendre le membre en bouche, offrant même une gorge profonde à Melinda… Sa maîtresse méritait le mieux, après tout !
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Cette séquence dans le van n’avait pas pour fonction d’épancher la soif sexuelle du trio, mais de les aider à décompresser un peu. Le plus dur était encore à venir quand le trio atteignit le manoir. Mélinda offrit au passage un jet de sperme dans la bouche de Mitoko, qui en fut particulièrement ravie. La vampire leur ordonna ensuite de se calmer. Malgré l’heure tardive, le manoir était bien animé, et, dès qu’elles sortirent du van, Leyli fut la première à apparaître, et prit fortement Cassandre dans ses bras, lui offrant un long et gros câlin. Mélinda regroupa ensuite tout son personnel dans la salle à manger du manoir, qui était la plus grande pièce de la maison, et résuma la situation à ses protégés.
C’était la preuve que Cassandre était populaire, mais aussi que Mélinda veillait soigneusement sur les siens. Elle leur présenta également la belle Mitoko, qui s’avéra plutôt timide. Néanmoins, dans l’ensemble, les personnes furent soulagées, surtout Leyli, qui s’en voulait de son manque de vigilance. Mélinda lui assura qu’elle ne lui en voulait pas, et que sa présence n’aurait rien pu changer. Dans un coin de sa tête, Mélinda pensait toujours à ses mystérieuses femmes, aux Maîtresses, et se promit de se renseigner davantage. Pour l’heure, elle laissa Cassandre recevoir une série de câlins et de baisers de la part des filles et des garçons du harem. Mitoko, de son côté, resta surtout proche de Mélinda, n’osant pas trop encore se mêler des autres. Il allait sans doute falloir un peu de temps pour qu’elle s’intègre à la communauté.
« Bon, allez les filles ! finit par s’exclamer Mélinda en tapant dans ses mains. Il est temps pour tout le monde d’aller dormir ! »
Leyli indiqua qu’elle allait dormir là ce soir, car elle voulait continuer à veiller sur Cassandre. Mélinda, de son côté, fit signe à Mitoko et à Cassandre de la suivre, tendant ses mains pour que chacune en attrape une, puis elle les guida vers sa chambre. La chambre de Mélinda se trouvait à l’entrée du manoir, accessible depuis l’escalier d’intérieur dans l’atrium, au deuxième étage, le premier abritant son bureau. Mélinda guida donc Cassandre et Mitoko jusqu’à sa chambre, une belle pièce avec un grand lit rembourré, et referma la porte derrière elles.
« Bon, alors voilà... Maintenant que nous sommes seules, il est temps de célébrer plus dignement nos retrouvailles ! »
Elle caressa les visages de ses deux esclaves, et les embrassa toutes les deux, avant de descendre ses mains pour les glisser autour de leur taille, les serrant ainsi contre elle. Mélinda prolongea volontiers le baiser pendant quelques secondes avec sa Ushi, puis se déplaça ensuite, et grimpa sur le lit. Elle s’assit dessus, puis se retourna vers les deux femmes. Elle regarda alors Mitoko, curieuse elle aussi de savoir de quoi la jeune femme était bien capable, et demanda donc une petite démonstration.
Mitoko hocha doucement la tête, puis se concentra alors. Elle ouvrit la fermeture de sa culotte, et força ensuite le passage. Ses belles joues rosirent ainsi pendant quelques secondes... Puis, dans un soupir, Mitoko libéra une belle verge (http://img110.xooimage.com/files/8/9/1/mitoko_futa-55806e0.png). Son phallus se dressa fièrement, une verge tendue et assoiffée. Mélinda sourit lentement devant ce membre, et hocha la tête.
« Rends-toi utile, ma Cassandre d’amour... Honore donc ce sexe comme il se doit ! »
Pour chasser de l’esprit de Cassandre les mauvais souvenirs de cette fin de soirée, Mélinda était prête à tout...
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Mikoto avait gardé enfaite beaucoup plus qu’on ne le pense de sa personnalité d’origine. Qu’on ne le pense, mais pas que les Magicals Girls avaient dis ! En effet, celles-ci avaient bien expliqués que la fameuse transformation qu’allait connaître notre Mikoto était plutôt un moyen pour lui de redécouvrir, de redevenir le « vrai lui ». Donc, et bien… C’était pas mal le cas. Et il était timide, quand il avait été un garçon. Maintenant qu’il était devenue une demoiselle, il en restait pas moins relativement timide, s’effaçant assez aisément, et se sentant guère à sa place… Oh pas d’inquiétude ! C’était vraiment un soucis d’intégration, et surtout de moquerie qui avait fait naître ce sentiment chez lui. Cela ne faisait aucun doute que maintenant qu’il était au sein du harem de Melinda, la nouveauté allait être totale pour lui !
Bref son caractère était aux antipodes de celui de Cassandre ! Notre chère Cassandre qui elle, reçu dès son arrivée un immense câlin qui manqua de briser ses côtes de la part de Leyli ! Celle-ci était heureuse, tellement heureuse que même une idiote comme Cassandre put comprendre cela. Elle disait « désolée » tout le temps, et Cassandre se tuait à lui dire que ce n’était pas grave ! Bref, elle était au milieu de toutes les attentions, on sentait qu’il y avait une vraie peur. Que les gens avaient vraiment craint que la vachette soit fichue. Oh, pas d’inquiétude que Melinda aurait vaincu ces ennemies… Mais la peur avait été vraiment d’apprendre que Cassandre soit morte, tuée, ou pire même… Bref, ainsi, l’ensemble était extrêmement plaisant… Mais l’horloge tournait, comme dirait Miro !
« Bon, allez les filles ! Il est temps pour tout le monde d’aller dormir ! »
Et ouais ! Car même les meilleurs choses ont une fin les enfants ! Faut bien allez faire quelques choses de logique… Dormir ! Bah oui, la journée avait été épuisante, éreintante même pour tout le monde. Entre le kidnapping d’un côté, et le stresse résultant donc du kidnapping de l’autre côté… Ouais, vous imaginez bien que c’était pas spécialement le meilleur moyen de dormir… Tout le monde avait sans doute passé un mauvais moment niveau sommeil… Cassandre donc aura le droit à sa seconde nuit chez Melinda, car en effet, Melinda demandait à elle et Mikoto d’accompagner elle, enfin, la vampire jusqu’à sa chambre. Ouais ma phrase était pas terrible, mais bon, vous avez bien compris ce que je veux dire ! Dormir ? Mmh… Il y avait un peu plus que simplement à dormir, si vous voulez mon avis !
« Bon, alors voilà... Maintenant que nous sommes seules, il est temps de célébrer plus dignement nos retrouvailles ! »
« Oui !!! »
Oh oui ! Vous vous rappelez quand je dis que Cassandre est naïve ? Oh oui, vous vous en souvenez, étant donné que je le dis environ une fois tout les posts. Bref, au début, elle avait vraiment cru qu’elles allaient se coucher… Mais une bonne nuit sans nuit d’amour, cela serait fort décevant, n’est-ce pas ? Bref, ainsi, Mikoto avait le droit à sa première nuit, et Cassandre sa seconde ! Cassandre, cependant, se souvenait de ce qu’avait dit Melinda. Elle devinait que la situation était exceptionnelle, et qu’elle ne devait pas trop monopoliser Melinda ! Elle était bien plus qu’elle, et elle devait lui apporter quelques choses, elle, Cassandre, bien sur. Cassandre devait apporter quelques choses à Melinda, pas l’inverse ! Donc, là, elle était extrêmement heureuse d’avoir exceptionnellement le droit à un peu plus… Mais elle ne devait pas en abuser… Et pour éviter d’en abuser, il faut obéir à tout les ordres, dont celui-ci !
« Rends-toi utile, ma Cassandre d’amour... Honore donc ce sexe comme il se doit ! »
« Oooooh ! Je savais pas que tu pouvais faire ça Mikoto... »
Mais qu’avait fait Mikoto ! Et bien comme avait lu le post précédent, et vu la magnifique image… Et bien, comme ses sœurs très certainement, elle était capable de se faire pousser un phallus ! D’ailleurs, pour l’anecdote, il n’avait rien à voir avec son ridicule phallus de quand elle avait été un garçon… Non, c’était un bien meilleur phallus, bien plus beau, et d’un bien plus gros calibre. Genre, tu changes ton petit pistolet par un bon fusil à pompe, et tu la sens la grosse différence, n’est-ce pas ? Quoiqu’il en soit, maintenant, il y avait un phallus dans la place… Et il était là pour être utilisée ! Après tout, cela serait trop dommage qu’il ne serve à rien… Cassandre se souvenant qu’il fallait tout autant jouer avec la personne quand on faisait l’amour, qu’il fallait jouer avec son corps, déclara alors d’un ton mi-séducteur, mi-boudeur :
« Comme j’ai pas eu le droit tout à l’heure... »
Elle blaguait, mais cela n’empêcha pas Mikoto de tourner un peu la tête gênée d’avoir volée le sperme de la maîtresse à Cassandre… Surtout que le sien serait bien moins chouette que celui de Melinda… Mais elle comprit très vite que Cassandre blaguait, et donc, se détendit, tandis que Cassandre s’approchait à quatre pattes… Ouah… Mikoto -peut-être en temps qu’ancien garçon, qui sait- fut hypnotisé dans un temps par ses seins… Oh mon dieu, c’est deux énormes seins, qui pendouillent tandis que la vachette fait exprès de marcher à quatre pattes… Et finalement, en moins de temps qu’il en faut pour le dire, là voilà qui était proche de son amante, en partie, de la soirée… Et elle était fin prête à faire ce qu’elle devait faire, déclarant ainsi !
« Bonne appétit ! »
Elle prit alors le phallus en bouche… Et commença d’abord à le garder tout simplement en bouche, sans faire de vas et viens, mais offrir un tour complet avec sa langue ! Et ouais, sa langue était là, après tout, il fallait aussi se débrouiller avec, n’est-ce pas ? Mais… Et Melinda me diriez-vous ? Etait-elle condamnée à jour les portes chandelles ? Alors, si vous pensez cela, c’est que vous connaissez bien mal la vampire… Mais aussi, il faut bien se dire… Cassandre ne pensait pas du tout à cela ? Que fit-elle donc ? Et bien, elle offrit alors son magnifique fessier à la vampire. Elle laissait sa maîtresse décider quoi faire avec ses jolies fesses ! Deux trous, l’anus et la chatte, un beau fessier à fesser, ou plein d’autres possibilités perverses s’offraient à la vampire, tandis que la vachette, elle, elle continuait de sucer avec une grande efficacité. Bref, un très beau spectacle ! Deux fesses donnant sur une vachette qui suce !
-
Mélinda se retrouvait avec une femme assez exceptionnelle, Mikoto, et appliquait avec elle sa doctrine classique : la découverte par le sexe. Elle était extrêmement curieuse d’en savoir plus sur Mikoto, car elle n’était pas sûre d’avoir tout compris à ce qui s’était passé dans la ferme. Un jeune homme avait été transformé en femme par une sorte de monstrueux démon, et elle voulait désormais savoir de quoi Mikoto était capable. La jeune femme avait généré une belle verge, une solide queue pour Cassandre. Avançant à quatre pattes, celle-ci se rapprocha de ce membre tendu et assoiffé, et le prit en bouche, tout en présentant ses fesses à sa Maîtresse. Celle-ci sourit doucement, comprenant parfaitement ce que la jeune vachette voulait.
Mais, avant ça, Mélinda laissa les deux esclaves seules, en rejoignant un auvent, où elle entreprit de se changer. Une tâche qui lui prit bien quelques minutes, avant qu’elle ne revienne voir le duo, dans une nouvelle tenue sensuelle, qui laissait son sexe libre, permettant ainsi à son phallus de se dresser. En la voyant, Mikoto écarquilla les yeux en entrouvrant les lèvres, son sexe se durcissant et s’amplifiant encore un peu plus. Mélinda avait en effet opté pour un ensemble moulant terriblement sexy (http://img110.xooimage.com/files/8/4/9/19-4eade16.jpg), comprenant une paire de longs gants brillants noirs, des collants noirs avec des jarretelles reliées à un bustier rouge et noir, également en latex. Une magnifique tenue qui embellissait à merveille les formes langoureuses et exquises de la vampire. Souriant malicieusement, Mélinda se rapprocha, portant également des talons qui claquèrent sur le sol. Ses seins étaient également à découvert, la tenue comprenant enfin un collier autour de son cou. Un ensemble parfait, qui faisait clairement d’elle la Maîtresse.
« Maî-Maîtresse… » murmura Mikoto.
La vampire rejoignit le duo, et posa ses mains sur les fesses de Cassandre, les massant, puis attrapa sa verge… Et l’enfonça dans l’anus de Cassandre. Son choix était ainsi fait, et l’Ushi, en sentant le membre de sa Maîtresse se planter en elle, gémit longuement, ses yeux s’écarquillant sur place.
« Là… Ouiii, hmmm… »
Mélinda laissa passer quelques secondes, le temps de s’habituer à cette sensation, et regarda ensuite Mikoto.
« Qu’est-ce que… Qu’est-ce que tu peux faire, Mi-Mikoto, hmmm… ? »
La jeune femme rougissait de plaisir, crispant ses mains sur les cheveux de Cassandre, et répondit donc, autant qu’elle pouvait le faire :
« Je… Haaaa… Je suis une magical girl, Maîtresse… Mais… Hmmm… Une magical girl démoniaque, haaaa… Je peux… Hmmm… Générer un phallus, et… Hnnn… Générer des tentacules, aussi, haaaa… Et… Hmmm… Amplifier le désir et le vice chez mes partenaires, surtout masculins, haaaaa… »
Mélinda écoutait soigneusement, tout en bourrant le cul de Cassandre. Mikoto était une sorte de magicienne sexuelle, maîtrisant simultanément magie noire et magie rose. Elle avait après tout été transformée et corrompue par des démons, et expliqua à sa Maîtresse se souvenir de son ancienne vie, de ses parents… Et de sa sœur aînée.
« Stella est… Une magical girl, elle aussi, haaaa… Elle… Elle va tenter de me retrouver, Maîtresse, hmmm… Il… Il faudra que nous la capturions et que… Hmmm… Haaaaannn… Que vous en fassiez une autre… Comme moi… Plus nous serons nombreuses, et plus nos pouvoirs seront forts ! »
Qu’est-ce que tout cela cachait ? Mélinda doutait que les femmes ayant corrompu Mikoto l’aient envoyé uniquement comme cadeau de dédommagement… Mais l’ambition n’avait jamais dérangé Mélinda, qui soupira encore, et continua à sodomiser Cassandre, tout en réfléchissant aux multiples possibilités que ces magical girls corrompues lui offraient…
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Mmmh… La fameuse Mikoto avait une bonne bite, cela ne faisait aucun doute… C’était vraiment une demoiselle plein de surprise ! Et ouais, Cassandre pensait de suite à « demoiselle », étant donné qu’elle ne connaissait sinon quasi rien de son interlocutrice… Et ouais, nous, qui avons lu les RP en entier, nous savons qu’elle avait été autrefois un jeune homme, mais pour Cassandre, qui ne connaissait nullement tout cela, et bien, pour elle, Mikoto était juste une fille, qui pouvait devenir une futanari. Enfaite, elle ne savait même pas ce qui différenciait hommes, femmes, futanaris… Franchement, c’était complexe ! Après… Tant qu’elle peut les sucer… Et s’en prendre… Franchement, elle était satisfaite. Cassandre n’est pas une vachette compliquée, n’est-ce pas ? Ouais, elle ne l’est pas !
Mais là, une seconde bite arrive ! Bon sang, ça c’est de la bonne surprise, de la très bonne surprise… Elle apprécie fortement ce genre de surprise, quand là, tu te fais prendre par une vampire aussi belle et attirante… Et qu’elle t’honore de te prendre ainsi avec autant de gentilesse… Il n’y avait pas de doute, franchement, Melinda était la meilleure de toute… De toutes les maîtresses possibles ! Donc, elle avait une bite dans le cul et une bite dans la bouche… La vachette était bien prise, et surtout, c’était bien mieux qu’avec les deux femmes de la Futa-Corp, ou je ne sais quoi, elle ne se souvenait pas bien exactement de quel était le nom exact, qui avait été très brutale, et pas du tout comme sa maîtresse qu’elle aimait tant !
« Mmmmmh… mmmh... »
Et elle gémissait bien ! Vous imaginez bien, quelqu’un dans le cul, quelqu’un dans la bouche… Ses gémissements étaient un délice pour les oreilles, et c’était en général tellement cool de l’entendre comme ça gémir… Mmh, on sentait qu’elle prenait son pied… Mais qu’elle prenne son pied, c’est important… Qu’elle donne du plaisir aussi c’est important ! Donc, elle fit de son mieux pour qu’elle puisse être tout autant donneuse que receveuse de plaisir. Pour Melinda, cela passait en offrant bien son cul et accompagnant les coups de reins de sa maîtresse… Et pour Mikoto, cela voulait dire aller en profondeur et bien utiliser sa langue ! Elle se devait d’être efficace, plaisante, bref… Une très bonne vachette !
Cela parlait, sinon. Cassandre ne se concentrait pas trop sur les discussion, mais elle devinait que ces discussions étaient très certainement importantes, et surtout, utile pour sa maîtresse. Elle était contente de servir pendant la discussion pour que tout le monde soit satisfait. C’est vrai que c’était bien pratique une bonne vachette pendant la discussion, non ? Tu peux te la faire, tranquillement, tu te la fais, alors que tu parles de contrat importants… Bref, voilà, moi je vous dis, la prochaine fois que vous avez une discussion super importante, et bien, vous vous faites une vachette ! Surtout qu’elle n’écoute pas, et ne se concentre pas sur ce que vous dites.. Bref, voilà, elle est nickel notre Cassandre ! Mais quand même, elle écouta à un moment, car il y avait quelques choses qui « l’intéressait »...
« Mmh… Stella… A toujours aimé le lait… Je suis sûr… Qu’elle serait ravie… Mmmmh... »
OOOOOH ! Là, on lui parlait ! Après tout, elle savait que quand on parlait de lait… C’était d’elle qu’on parlait. Car en effet, Mikoto savait que sa sœur adorait le lait… Donc, elles avaient là la chose parfaite dans cette situation : Une vachette qui donne beaucoup de lait… Et un excellent lait ! Bref, le piège parfait pour capturer la fameuse Stella… Oh, bien sur, il ne faisait que donner une idée, une proposition pour son interlocutrice… Mais elle pensait qu’elle allait dans la bonne voie… Stella pouvait être compliquée à avoir, et donc, faut bien faire attention… Mais elle était sûr que sa nouvelle maîtresse allait sans problème réussir à capturer Stella… Ensuite, elle allait pouvoir être bien violée…
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Mikoto avait toutes les raisons du monde d’être ravie. Sa transformation en fille avait balayé tous ses doutes, toutes ses hésitations. Pouvait-on parler d’une corruption ? Assurément. Mais une corruption réussie, car il n’y avait pas de voix discordante dans la psyché de Mikoto. Le démon incubateur avait parfaitement fait les choses, s’immisçant dans le cerveau du trap pour amplifier ses pulsations féminines, et faire pleinement de lui une magical girl infernale. De fait, Mikoto avouait sans peine que sa sœur était une magical girl. Lui aussi en avait été une... Mais moins talentueuse que Stella. D’ailleurs, même quand il était encore un garçon, il avait toujours une forme plus féminine en se transformant, avec un uniforme féminin... Comme si les kami eux-mêmes l’avaient toujours considéré comme une fille. Et puis... Comment être triste ? Il était avec sa Maîtresse, absolument sublime, et une Ushi lui suçait sa queue joufflue ! Assoiffée, Mikoto avait clairement hâte de montrer à sa soeur tout ce bonheur qui l’attendait ! Bien sûr, Stella résisterait, car elle était forte tête, mais Mikoto faisait pleinement confiance à sa Maîtresse pour la convaincre... Et aux démons incubateurs des femmes qui avaient amélioré Mikoto. Mélinda, tout en sodomisant Cassandre, savait pertinemment qu’elle n’avait pas encore fini d’entendre parler de ce mystérieux groupe, et que les femmes derrière la Fut-Corp ne s’intéressaient pas uniquement à elle pour sa belle Ushi hybride... Même si, pour le coup, Cassandre se retrouvait encore au centre de l’attention.
Pour l’heure, seul comptait le sexe, sauvage, bestial, intense. Autant dire que Cassandre était très bien entourée, et Mélinda souriait doucement, frémissant en sentant l’étroitesse du cul de Cassandre. Elle retrouvait avec bonheur son délicieux cul, et était bien décidée à profiter de toute la nuit pour faire oublier à Cassandre sa nuit rocambolesque, et toutes les douloureuses épreuves qu’elle avait vécue à cette occasion ! La vampire crispait ainsi ses doigts en latex sur ses fesses, et continuait fougueusement à la prendre. Elle gémit à nouveau, se pinçant les lèvres, tremblant sur place.
« Oui, hmmm... Comme t-toi avec Ca-Cassandre, haaaa...
- Maî-Maîtresse ! »
Encore peu habituée à tout cela, Mikoto se mit à jouir frénétiquement, crachant des filaments de sperme dans la bouche de Cassandre. Cependant, croire que la magical girl corrompue en avait fini serait une erreur. Peu après son orgasme, ses yeux se mirent à s’illuminer de magie rose, et le sceau magique situé sur son bas-ventre scintilla. Mikoto gémit doucement, et sa queue durcit à nouveau, la faisant vibrer sur place.
« Vas-y, Mikoto, utilise tes tentacules, hmm... Sur notre belle Cassandre, haaaa... Sou-Soulève-là, hmmm... Et plante ta queue dans sa chatte ! »
Ravie de pouvoir faire une démonstration, Mikoto se concentra un peu, et généra autour de lui des extensions de sa tenue. Des sortes de filaments qui ondulèrent et grossirent, rampant sur le sol comme des serpents, jusqu’à former des tentacules qui se frottèrent contre les jambes de Mélinda, la faisant frémir, mais aussi contre les bras de Cassandre, s’enroulant sur ses membres comme des boas. Les tentacules la soulevèrent ainsi, tout en s’enroulant également contre le ventre de Mélinda, qui soupirait devant ce contact frais et gluant.
« Hihi, laissez-moi vous faire plaisir, Maîtresse... »
Cassandre eut droit également à un tentacule autour de son ventre, puis se redressa encore, jusqu’à ce que Mikoto ne s’approche d’elle. La magical girl alla l’embrasser, tout en générant d’autres tentacules qui s’enroulèrent autour des jambes de l’Ushi, les écartant l’une de l’autre, ce qui permit ainsi à Mikoto de la pénétrer sans difficulté.
« Hmmmmm... !! »
Pour Cassandre, le plaisir ne faisait que continuer !
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Stella avait toujours adorée le Lait. Depuis sa plus tendre enfance. Mikoto se souvenait des commentaires habituels de sa sœur… « Tu devrais boire plus de lait ! Tu deviendrais plus grand, plus fort, et on arrêterait de dire que t’es une nana ! » Et pourtant il buvait du lait ! Mais moins que Stella. Stella… Ahlala. L’enfant prodigue ! Celle qui arrivait tout. Celle qui était la meilleure dans tout… Bref, Mikoto avait toujours été jalouse, mais vraiment jalouse de sa sœur… Mais il voulait qu’elle soit heureuse… Et franchement, maintenant, avec une Ushi comme Cassandre avec lui, et avec sa maîtresse… Cela ne faisait aucun doute que Stella sera énormément heureuse si elle rejoignait le harem ! Il fallait qu’elles se lançent toutes dans la capture de la Magical Girl ! Cela ne faisait aucun doute !
« Oui, hmmm... Comme t-toi avec Ca-Cassandre, haaaa...
- Maî-Maîtresse ! »
« Mmmmh ! »
Mais revenons-en à Cassandre, vous le voulez bien ? De toute façon, vous lisez une réponse déjà écrite, donc, bah, si vous ne voulez pas, cela ne sert à rien… Bref, Cassandre avait donc la bite en bouche, une bite dans le cul… Et en toute logique, la première à jouir, ce fut bien entendue… vous devinez ? Mikoto bien entendue, qui était moins expérimentée dans tout cela ! Elle arriva donc à jouir dans la bouche de Cassandre, qui goulument, avala l’intégralité de ce qui sortait ! Mmh, c’était bon… C’était pas le même goût que celui des hommes qu’elle avait goûté, ni de celui de Melinda… il avait un goût spéciale… Mais il était très bon, cela ne faisait aucun doute… Et elle était bien contente, car une fois sortie de la bouche de Cassandre, il ne fallu qu’un claquement de doigt de magie rose pour que la bite soit bien dur...
« Vas-y, Mikoto, utilise tes tentacules, hmm... Sur notre belle Cassandre, haaaa... Sou-Soulève-là, hmmm... Et plante ta queue dans sa chatte ! »
« Meuh ? »
La vachette ne connaissait pas encore tout des pouvoirs de Mikoto ! Ceux-ci allaient bien plus loin qu’un simple… Pénis qui apparaît ! Oh non ! Elle avait bien d’autres capacités, et si elle avait mieux écouté précédemment, et bien, elle saurait que les tentacules… Faisaient parties des pouvoirs de notre chère Mikoto… Oh mais pas d’inquiétude, elle allait vite le comprendre, étant donné que celles-ci, les tentacules, étaient arrivés. Très vite, la fameuse vachette fut largement utilisée par les tentacules. Oh, je dis bien utilisée, étant donné qu’elle n’était pas pénétrée par ses dernières… Non celles-ci avaient une autres utilité, très importante, toute aussi importante si vous voulez mon avis… Quoi donc ? Et bien, rapidement, elle fut suspendue en l’air, s’offrant donc entièrement aux deux femmes qui la pénétraient ! Oh, j’ai dis deux femmes qui la pénétraient ? Désolée ! Je suis allée un peu rapidement…
« Hmmmmm... !! »
« Haaaaaaaaaaammmmh ! »
Et voilà ! Elle venait de se faire pénétrer ! Mmh… En effet, sa déclaration, enfin, son gémissement de plaisir fut coupé par le fait que Mikoto l’embrasse tendrement… Les seins de la vachette se pressait bien contre la poitrine de Mikoto, et le lait commençait à sortir, mouillant bien la magical girl, qui avait du lait sur elle maintenant… Mais cela ne semblait pas la gêner du tout au contraire ! Visiblement, la scène devenait de plus en plus érotique, de plus en plus sensuelle… De plus en plus agréable pour tout le monde… Et la vachette n’allait pas dire le contraire ! Avec une magnifique bite dans son anus, une autre dans sa chatte, cela ne faisait aucun doute que c’était un plaisir immense pour elle… Et ce n’était pas ses cris qui allaient faire croire du contraire, comme on pouvait entendre…
« Meuh ! Meuuuuh ! Meuuuuh ! »
Le dernier meuh, vous savez ce que cela voulait dire ! La vachette venait de jouir ! Oh, ce n’était pas fini, loin de là… Mais voilà, on sentait qu’elle devenait plus résistante, qu’elle jouissait moins souvent… Et non, ce n’était pas car Melinda était moins bonne qu’au début ! Au contraire, elle avait l’impression qu’à chaque fois qu’elle refaisait l’amour avec la vampire, et bien, elle revivait un cercle de bonheur infini… Mais voilà, il fallait bien le dire, elle commençait à faire souvent l’amour, et donc, devenait plus efficace ! Et c’était donc plus de travail à faire pour lui faire remonter au septième ciel… mais comme on dit, « à combattre sans péril, on triomphe sans gloire ! » Donc, maintenant c’était certes un peu plus long, mais c’était bien plus gratifiant ! Beaucoup plus !
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Mikoto était clairement heureuse. Elle avait grandi en ayant toujours eu un doute sur son identité sexuelle, et, même si ses parents l’avaient éduqué comme un garçon, elle préférait porter les vêtements de sa sœur, ses culottes, ses robes, ses collants… Même si Stella était l’enfant prodige, Mikoto et elle avaient toujours été proches, suffisamment pour que Stella, en l’absence de leurs parents, lui prête ses vêtements, et que Mikoto puisse les utiliser sereinement. La magical girl démoniaque avait pu assumer pleinement son identité sexuelle. Elle était désormais une femme, entièrement transformée, une femme qui embrassait tendrement Cassandre, caressant ses hanches, s’appuyant sur elle. La délicieuse Ushi était une réussite, une femme magnifique, et Mikoto avait terriblement hâte de la présenter à Stella… Ce qui ne faisait que l’exciter encore plus, durcissant sa queue, et l’amenant à la prendre.
Prise entre les deux Futanaris, Cassandre était comblée. Mélinda déplaça ses mains pour s’appuyer sur ses seins, pinçant ses tétons, s’en servant comme appui tout en prenant le cul de la belle Ushi.
« Oh, Cassandre, hmmm… Ma Cassandre d’amour, haaa… !! »
Comblée, l’Ushi répondait avec envie au doux baiser de Mikoto. Même en ayant été transformée en magical girl démoniaque, Mikoto conservait en elle une douceur incomparable, qui s’exprimait dans ce long baiser. Elle déplaça ses mains pour malaxer le cul de Cassandre, pressant davantage son corps contre le sien, et fourra sa langue dans sa bouche, jouant avec elle. Mélinda, quant à elle, frémissait en sentant les tentacules remuer sur le corps de Cassandre, ce qui n’échappa pas à Mikoto, qui déplaça alors des tentacules supplémentaires.
Mélinda, de son côté, embrassait le cou de Cassandre, et, quand l’Ushi se mit à jouir, la mordilla. Ses canines pointues s’enfoncèrent dans sa chair, là où Mélinda put sentir, contre sa langue, deux petits trous, les endroits où elle avait précédemment mordu la femme. Le délicieux sang de l’Ushi afflua dans sa bouche, et Mélinda frémit sur place. Cassandre étant de plus en plein orgasme, son sang fusait encore plus rapidement entre ses lèvres. La jeune Ushi put alors sentir les mains de sa Maîtresse se crisper davantage sur ses seins, et même sa queue se mit à gonfler.
Une telle scène ne manqua pas d’exciter Mikoto, qui se pinça les lèvres en rompant son long baiser, observant la morsure, très impatiente d’offrir, elle aussi, son sang à sa Maîtresse. Mais, pour l’heure, Mikoto avait bien perçu l’attrait de sa Maîtresse pour ses tentacules, et ceux-ci se glissèrent alors contre les jambes parfaites de sa Maîtresse, remontant jusqu’à ses fesses.
« Mmmhmm…
- Là, Maîtresse, laissez-vous faire, hmmm… »
Et un tentacule s’enfonça dans le fondement de Mélinda, faisant encore gémir cette dernière, qui ferma les yeux pendant quelques secondes, et sentit ensuite ce tentacule phallique remuer en elle, amplifiant en conséquence ses coups de reins dans le cul de la jeune femme.
Devant Cassandre, Mikoto souriait doucement, sentant elle aussi l’orgasme se rapprocher. Ses joues avaient rougi sous l’effort et le plaisir, et sa main gantée glissa sur la joue de l’Ushi.
« Tu es si belle, Cassandre… Hmmm… »
-
Mmh ! Que c’est bon ! Que c’est bon ! Elle adorait, elle aimait, elle kiffait… Que dire de plus ? Et bien, le fait que Melinda s’était rappelée, volontairement ou non, du plus important pour notre vachette… Et ouais, le sexe vaginale, anale, ou bucale, c’était géniale et Cassandre adorait cela. Mais il faut rappeler qu’avant tout pour une vachette, le plus important, et de très loin… Ce sont les seins ! Et oui, les précieux seins, c’est ça qui compte le plus pour une vachette. C’est l’endroit le plus important de son corps… Et donc, le fait que Melinda commence à s’en occuper cela avait énormément d’importance… Oh que oui ! Notre chère Cassandre adorait cela, et cela se voyait au lait qui évidemment, comme toujours chez Cassandre, se libérait de façon folle. Cette vachette produisait toujours autant ! Bon sang, quelle productrice !
« Oh, Cassandre, hmmm… Ma Cassandre d’amour, haaa… !! »
Oh oui maîtresse ! Tant de plaisir à se faire prendre ainsi par sa précieuse maîtresse qu’elle aime tant ! Qu’elle adore de tout son coeur ! Tout était pris chez Cassandre. Sa bouche était régulièrement occupée par les baisers de son interlocutrices, Mikoto là dans cette situation, dans une douceur absolument délicieuse. Ce n’était pas car on était démoniaque qu’on était dénuée de douceur, et cela, Mikoto pouvait le prouver… Délicieusement ! Ces seins donc aussi étaient pris, et donnait régulièrement des petites giclées de lait absolument délicieux. Donc, nous pouvions aussi parler de son anus et son intimité qui étaient toutes deux prisées par les sexes des deux futanaris… Et les fesses de Cassandre étaient tendrement malaxée… On pouvait dire que tout ce qui était possible de prendre dans la vachette était utilisée… Tous… ? Vous êtes vraiment sûr ?
Mais soudainement… Elle sentit une troisième pénétration, qui lui fit un léger gémissement de plaisir, surprise, et douleur… La bouche grande ouverte ! Keuwa me réponderiez-vous ? Mais pourtant, si elle a la bouche ouverte, et surtout, vide… Tout ses trous sont occupés ! Enfin, non, il reste le nez et les oreilles, mais bon, on va pas trop faire de la pénétration nasale et des oreilles, cela serait quand même fortement dégueulasse, si vous voulez mon avis ! Et bien, vous avez deviné (ou vous avez lu le post précédent, c’est possible aussi), la fameuse Vampire avait décidée de faire une petite prélèvement de sang de notre vachette… Ce sang plaisait énormément à la vachette, dans le sens où le fait qu’on lui prélevait le sang lui donnait énormément de plaisir, et la vision de cela excitait énormément notre chère Mikoto, qui commença à déclarer !
« Tu es si belle, Cassandre… Hmmm… »
« Toi aussi… mmmmmmh... »
Elle le pensait vraiment ! Comme dit précédemment, elle ne connaissait en rien des pouvoirs des magicals girls, et elle était méconnaissante de tout ce qu’était capable de faire Mikoto. D’ailleurs, elle ne comprenait pas. Visiblement, elle avait réussi, en utilisant le pouvoir de ces tentacules, à aussi pénétrer la Maîtresse ! Alors, qu’elle était entrain de la pénétrer elle ! Ouah, cela ne faisait aucun doute, Mikoto était vraiment très forte ! Elle n’avait jamais vu ça. Elle se demandait si elle pouvait être genre capturée par les tentacules ! Et bam, les tentacules qui l’utiliseraient totalement… Cela serait sans doute possible ! Peut-être que les vachettes pas sages elles finissaient comme ça ? Dans les tentacules ? Bref, elle pensait un peu à ça… Même si son esprit, on va pas être dans le mensonge, était surtout concentré par… Oh, je ne sais pas moi… Peut-être le fait qu’elle était bien prise ?
« Meuh ! Meuh ! MEUH ! MEUUUUUH ! »
Mais bon sang de bonsoir, serait-ce un remake du post précédent ? Et bien dans un sens, oui, étant donné qu’effectivement, elle venait d’avoir un second orgasme. Mais comment avait-elle pu avoir un second orgasme aussi peu de temps après le premier ? Vous vous questionnez hein ? Et bien, c’est grâce au fait que la fameuse vampire était entrain de lui prendre de son sang… Et cela, cela avait toujours décuplé le plaisir en Cassandre ! C’était d’une efficacité incroyable, et la vachette adorait cela. La première fois, cela lui avait fait bizarre, elle avait eu très peur même ! Mais cela, c’était avant ! Maintenant, l’idée même, ce qui arrivait… Bon sang, qu’est-ce qu’elle aimait ça. C’était un bonheur immense, et voilà que cela lui apportait le septième ciel ! Et le mieux… C’est que Mikoto et Melinda n’allaient sans doute pas tarder à rejoindre la vachette en avance en ce lieu merveilleux.
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Mélinda comptait bien prendre tout son temps avec elles. D’une part, concernant Cassandre, il fallait lui faire oublier sa capture, et la frayeur qu’elle avait dû ressentir en étant éloignée de sa Maîtresse. Et, d’autre part, concernant Mikoto, il fallait aider cette jeune femme à s’insérer dans le harem, et à se faire à sa nouvelle vie. Hier encore, Mikoto était un jeune homme efféminé libre, un homme qui se battait visiblement contre les démons comme magical girl, et qui avait été corrompue, transformée en une magical girl perverse par les bons soins des mêmes personnes qui avaient capturé Cassandre, et ce dans le but de se rapprocher de Mélinda. Une approche tordue, mais fallait-il vraiment s’attendre à autre chose de gens comme ça ? Mélinda, en tout cas, déglutissait doucement, tout en prenant son temps en buvant le sang de Cassandre. Cette morsure plaisait en tout cas beaucoup à Cassandre, qui se mit à jouir à nouveau. Un bel orgasme qui inonda la queue de Mikoto. Peu encore habituée au sexe, la magical girl démoniaque tremblait nerveusement sur place, et se mit aussi à jouir.
« Ca-Cassandre, Maî-Maîtreeeeeesseuuuhh... !! »
Son sperme jaillit ensuite, fusant dans le ventre de Cassandre. Les joues de Mikoto avaient délicieusement rougi lors de son orgasme, et elle s’abandonna donc, sa queue de recouvrant de mouille. Une queue animée par magie, ce qui permettait à Mikoto de disposer d’une endurance sexuelle assez phénoménale. La jeune femme n’allait pas s’effondrer si facilement, et soupira longuement ensuite. Elle découvrait progressivement ses nouvelles facultés, et caressait les hanches de la belle Ushi. Mikoto découvrit surtout qu’elle avait le pouvoir de deviner les fantasmes des autres, et constata vite que, tout comme sa Maîtresse, Cassandre était attirée par les tentacules. Et, comme elle venait de jouir sur elle, Mikoto était gonflée à bloc, remplie d’une énergie vorace et assoiffée... Ainsi que de lait, qui avait jailli des seins de Cassandre, éclaboussant joyeusement son torse.
La jeune magical girl prit donc l’initiative d’agir, et se retira du corps de Cassandre, tout en générant des tentacules complémentaires, qui s’enroulèrent autour des bras et des jambes de Cassandre. Des tentacules noirs et légèrement gluants, le mucus les recouvrant empêchant d’irriter la peau, et rendant la prise plus agréable. Mélinda sentit également des tentacules de ce genre sur elle.
« Mi-Mikoto ?
- Hihi, laissez-vous faire, Maîtresse ! »
Les deux femmes se retrouvèrent alors soulevées en l’air, tandis que les yeux de Mikoto luisaient d’une intensive lueur rosâtre. Cassandre se retrouva suspendue en l’air, et, rapidement, des tentacules phalliques s’enfoncèrent dans sa chatte et dans son fondement. Mais le meilleur était encore à venir, car deux autres gros tentacules s’approchèrent de ses seins. Ils n’étaient pas phalliques, mais disposaient au contraire d’une bouche, d’une ouverture, et se posèrent sur les seins de la femme. Ils pressèrent alors les seins de Cassandre, tirant sur les tétons, pompant son lait.
Quant à Mélinda, elle se retrouva dans une position similaire, également suspendue en l’air, mais avec un tentacule-bouche qui s’attaqua à son sexe turgescent, enfermant son vit, et se mettant à pomper sa queue. Le tentacule-bouche se referma sur son sexe, le prenant complètement, et des langues tentacules s’enroulèrent dessus à l’intérieur. Les hurlements de plaisir de Mélinda moururent ensuite quand un tentacule s’enfonça dans sa bouche. Maîtresse et esclave se retrouvèrent côte à côté, tandis que Mikoto se positionna devant elles, les observant toutes les deux.
« Haaaa, c’est... C’est si bon, hmmm... Oh, Maîtresse, j’aime tellement ça...
- Mmmhmm-mmmhh... »
Mélinda, qui était encore la suele à ne pas avoir joui, sentait les tentacules la prendre voracement, n’épargnant évidemment pas son cul, ni ses seins. Des tentacules s’étaient également enroulés en appui autour de leur estomac, et elle déglutit alors en constatant que, dans l’enchevêtrement de tentacules, ceux pompant le lait de Cassandre suivaient une direction qui les amenaient à se regrouper en un seul tentacule, un tentacule qui s’enfonçait dans sa bouche. Très rapidement, le tentacule phallique dans sa bouche se mit à recracher tout ce bon lait entre ses lèvres.
Réciproquement, le tentacule-bouche occupé à pomper sa queue s’enfonçait dans la bouche de Cassandre. Avec l’arrivée du lait, Mélinda ne tarda pas à jouir copieusement, et ce sperme fila donc dans la bouche de Cassandre. Les deux femmes se nourrissaient ainsi mutuellement, tandis que Mikoto avait une furieuse trique. Après tout, elle ressentait un plaisir immense avec ses tentacules, et il était donc bien naturel qu’elle bande à ce point !
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Mmmmh ! Délicieux ! Ce qui devait arriver arriva ! Elle fut très très heureuse de ce qui arriva… En effet, elle eut le droit à la jouissance de Mikoto ! Alors, faut bien imaginer que bien entendue, le « délicieux » était dans le sens que c’était délicieux à vivre, c’était plaisant ! Car ouais, elle avait déjà eu le goût du sperme de Mikoto, et cela avait été un peu avant, genre, un tout petit peu avant… Là, la jouissance était autre… Tout à fait autre ! Bref, la vachette avait grandement apprécié ce qui venait de se passer, et elle ne savait pas donc ce qui allait se passer ensuite ! Et oui, après tout, Cassandre découvrait beaucoup en la matière, et donc, elle ne pouvait qu’être pour faire des expérimentation… Qu’allait-il se passer maintenant ? Elle ne savait pas trop, mais cela allait sans doute être…
Oh, cela arrive ! Après que Mikoto ait bien demandé à notre chère vampire de se laisser faire, voilà que les deux furent soulevée en l’air par les tentacules ! Ne remarquant guère la lueur rosatre dans les yeux de Mikoto, Cassandre fut dans un premier temps un peu inquiète, ne sachant pas trop si la situation était parfaitement sous contrôle, ou si au contraire, la situation n’avait plus aucun contrôle, ce qui est… Et bien, on va pas le cacher, plutôt une mauvaise choses ! Bref, donc, Melinda et Cassandre se retrouvaient donc tout deux en totales positions de soumissions, ce qui était tout à fait classiques pour Cassandre, mais bien moins pour Melinda ! C’était la première fois que Cassandre voyait cela, mais cela permettait au moins à Cassandre d’avoir une magnifique vue sur la vampire, cela ne faisait aucun doute…
Et ça continue ! Cela ne s’arrête pas ! Elle vit dans un premier temps une tentacule venir en Melinda… Mais ce fut très rapide avant qu’elle comprenne que cela allait être pareille pour elle ! Deux tentacules s’installèrent aussi bien dans son anus que dans sa chatte, s’installant bien dans ces espaces… Mais ce n’était pas tout ! Ils y eut alors deux autres tentacules qui avaient alors du travail à faire… Etant donné ce que fut pour ses seins. Alors, attention, ce ne fut pas du breast fuck, comme on l’appelle dans le jargon du métier, mais des tentacules qui étaient plutôt des sortes de ventouses, ou de bouches, qui commencèrent à s’installer mutuellement sur l’ensemble des seins, et qui évidemment firent ce qu’elles devaient faire… C’est à dire récupérer le lait ! Et ouais, c’était à cela qui ça servait !
« Haaaa, c’est... C’est si bon, hmmm... Oh, Maîtresse, j’aime tellement ça...
- Mmmhmm-mmmhh…
-Mmmmmmmh !!! »
Mais ce lait n’allait pas servir aux tentacules pour se nourrir, comme on aurait pu le croire… Cela ne servit pas non plus à Mikoto qui aurait pu récupérer le lait… Ce n’était même pas pour stocker le lait de la vachette… Non, ce lait avait un autre objectif, que l’on peut découvrir en suivant le labyrinthe de l’enchevêtrement des différentes tentacules… Mais où allait donc ce lait ? Et bien, la réponse arriva fort vite au bon observateur… En effet ce lait était donc destinée à… Melinda ! Et ouais, enfaite, les tentacules qui étaient entrain de pomper les seins de la vachette, qui donnait allègrement son lait, était reliée à une imposante tentacule buccale qui bloquait la bouche de Melinda… Donc finalement, tout le lait arriva jusqu’à la bouche de la vampire, qui pouvait commencer à le boire...
Ce qui amena une autre réaction en chaine, et ouais, comme en chimie ! En effet, cet apport du lait fu ce qu’il fallait pour apporter le climax à notre vampire, qui commença à jouir avec son imposant phallus… Mais pour qui est le sperme ? Alors, nul besoin de faire tout le même cheminement, vous avez compris… Une tentacule vint clore la bouche de notre chère Cassandre, et lui offrit alors tout le sperme de Melinda… Jolie « vengeance » pour celle qui avait eu le repproche de voler le sperme de sa maîtresse… Ce qui était impressionnant, c’est que la vampire était… Littéralement traite ! Comme Cassandre, et produisait une quantitée absolument délicieuse et énorme de lait ! Bon sang, notre vachette va être bien grosse si elle produisait autant de sperme !
Et voilà, les deux femmes se nourrissaient mutuellement, l’une de lait, et l’autre de sperme, les deux adorant visiblement ce qui arrivaient dans la bouche de l’autre. Totale soumission, les deux ne pouvaient plus rien faire, plus rien dire, plus rien tenter, Mikoto était là, dans le cadre de ce jeu sexuelle évidemment, uniquement, et bien, elle était la totale maîtresse de la situation. Ces tentacules étaient là pour faire comprendre à tous qu’elle était en totale contrôle de la situation… Et c’était bon sang d’excitant, quand on voyait la trique qu’elle avait ! Et ouais, visiblement, elle adorait totalement le spectacle… Faut dire une magnifique vachette et la plus belle des vampires dans une telle situation… Mais c’est merveilleux moi je vous dis… Vraiment merveilleux comme paysage !
Vous vous en souvenez quand j’ai dis que c’était un peu plus difficile de faire jouir Cassandre maintenant, que cela avait été au début ? Oui, vous vous en souvenez, cela ne fait pas si longtemps après tout… Et bien, sachez que je retire tout ce que j’ai dis maintenant. Pourquoi cela me demanderiez-vous ? Et bien, tout simplement car ce traitement, sentir les tentacules en elle, se faire baiser et pénétrer ainsi, et avoir son lait qui continuait à être donnée à la vampire, tandis qu’au contraire, elle recevait le sperme… Et bien, ce fut impossible pour elle de se retenir plus longtemps… Et ouais, elle arriva à jouir après si peu de temps ! Et devinez quoi ? Et bien, ce ne fut pas ça qui arrêta les tentacules ! Oh non, celle-ci semblaient même adorer ce qui était entrain d’arriver, et étaient bien contente que la vachette jouisse… Cela ne faisait aucun doute… C’était une excellente chose cela !
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Mikoto était redoutable dans son genre. Elle manipulait la magie rose avec un talent incroyable, et l’utilisait en ce moment pour satisfaire sa Maîtresse et son amie l’Ushi. Certes, Mikoto contrôlait la situation, mais elle n’en oubliait pas moins que Mélinda était sa Maîtresse. Mélinda n’avait tout simplement rien à craindre d’elle, et cette séance était aussi l’occasion pour elle de le vérifier. Puisant dans ses tentacules, Mikoto avait offert à sa Maîtresse et à Cassandre une excitante situation, où chacune venait nourrir l’autre. Mélinda se gorgeait du lait aphrodisiaque de Cassandre, un lait qui avait gonflé ses pulsions, et l’amenait à enchaîner les orgasmes. Elle était suspendue dans les airs, et, à chaque orgasme qu’elle faisait, Mikoto le sentait, et se délectait sur place. Les tentacules partaient de son dos, formant une myriade de tentacules qui tournoyaient dans les airs, palpant les seins des deux femmes. Les tentacules s’enroulaient autour de leurs chevilles et de leurs bras, les immobilisant, les restreignant, grouillant et remuant sur place.
« Vous êtes si belles, toutes les deux ! Le lait de Cassandre est bon, Maîtresse, hihi ? »
Elle se pinça les lèvres en les voyant ainsi, suspendues en l’air. Mais le fait est qu’il n’y avait plus personne pour s’occuper de Mikoto ! Fort heureusement, la magical girl démoniaque n’avait pas encore abattu toutes ses cartes, car, tandis que les deux femmes jouissaient, ses tentacules gagnaient en puissance. Dans son dos, Mikoto était en train de générer une forme, une masse spongieuse qui était en train d’enfler, encore et encore, grossissant sur place... Jusqu’à tomber au sol, comme une sorte de grosse flaque noire.
Mikoto gémit en relâchant cette masse spongieuse, qui se mit à se relever. La forme spongieuse continua à grossir, à évoluer, jusqu’à prendre une apparence humanoïde.
« C’est votre sperme qui me nourrit, Maîtresse, il est si fort... »
Mikoto se concentra encore, et la forme apparut finalement. Elle prit une teinte plus bleuâtre, translucide, révélant ainsi une gracieuse Slime (https://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=3814624). Une tlele vue excita furieusement Mléinda, qui se mit à jouir une nouvelle fois, se relâchant encore dans le tentacule de Mikoto. Son Slime se pressa contre elle, puis s’agenouilla devant la magical girl, et commença à lécher son sexe, glissant une belle langue reptilienne sur sa queue.
« Hmmm-hmmm... »
De son point de vue, Mélinda était encore impressionnée par les pouvoirs de Mikoto. Qui sait de quoi cette femme était encore capable ? Pour l’heure, Mikoto gémissait, et, quand son orgasme la traversa, il fut... Dantesque.
Dantesque, dans la mesure où tous ses tentacules se mirent brusquement à jouir !
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Ainsi positionnée, Cassandre avalait goulûment le sperme de sa maîtresse ! Bon sang, on sentait que les orgasmes de la vampire étaient puissant, très puissant même, étant donné que la vachette pouvait se régaler ! Cassandre l’avait déjà prouvé plus d’une fois, mais bon sang, qu’est-ce qu’elle adorait le sexe de sa maîtresse et ce qui en sortait ! Ouais, le sperme de Melinda, il était aussi bon, à son goût, que ce qui sortait de ces seins à elle ! Elle ne savait pas ce qu’en pensait Melinda mais… Oh, wait, elle était conne. Elle doutait que Melinda ait un jour goutée son propre sperme… Enfin, cela serait possible, qui sait, la vampire avait toujours été plein de surprise, donc, une de plus… Cassandre ne serait pas tant surprise !
La vachette compris vite en tout cas l’étendue des pouvoirs de Mikoto… C’est à dire… Très très grand ! Bon dieu, qu’est-ce qu’elle était puissante ! Pour la vachette, c’était vraiment très impressionnant, et elle n’avait jamais vu ça avant. Jamais vu ça… Ni sentis d’ailleurs ! Mais wait… There’re more comme disent les anglo-phones ! Car en effet… Commença à apparaître une forme… Féminine… Qu’est-ce que c’était ? Elle ne savait pas, elle n’y connaissait rien en magie, donc, elle ne savait pas que c’était une Slime qui était entrain d’apparaître ! D’ailleurs, pour l’anecdote, la slime était parfois des prédatrices pour les vachettes, n’hésitant pas à les baiser sauvagement, avant de les manger en les absorbant ! Ouais ouais, ça arrive, donc, faites gaffe les vachettes en liberté !
Mais qu’allait faire la nouvelle venue ? Cassandre se demandait -enfin demandé est un bien grand mot, étant donné qu’elle ne réfléchissait pas vraiment vu ce qui lui arrivait, elle se contentait d’avaler constamment le sperme qui arrivait jusqu’à elle… Et bien, c’était tout con… Elle allait s’occuper de Mikoto ! Bah oui, le pauvre, elle était oubliée, laissée de côté pour compte… Il fallait qu’une figure forte vienne ! Et cela grâce à la magie… Ainsi, plus personne n’était laissé de côté… Cassandre et Melinda étaient prise de partout, sans la moindre pitié, et Mikoto était aussi prise… Bref, la magical-girl avait réussi à faire un ensemble absolument délictueux… Mais vous savez ce qu’on dit… Même les meilleurs choses ont une fin malheureusement, et arriva alors ce qui devait arriver…
Et là fut la jouissance ultime. D’un seul coup, les tentacules commencèrent à grossir en les fondement de notre chère Cassandre -mais on pouvait supposer qu’il se passait exactement la même chose chez Melinda-, et… BAM ! Arriva une quantité astronomique de sperme, non pas de Melinda, enfin, si toujours, il venait toujours en la bouche de Cassandre, mais une qnantité astronomique de sperme qui arriva en Cassandre dans l’anus et le vagin. Heureusement d’ailleurs que cela n’était pas arrivée dans la bouche, car sinon, elle aurait sans doute même pas réussi à tout avaler sans mourir d’asphyxie ! Quoiqu’il en soit, évidemment, devant un tel traitement, elle fut achevée par un énième orgasme qui vint jusqu’à elle, la faisant monter directement au septième ciel, voir même plus haut ! Et cela dura en plus ! Dura encore !
La vachette était crevée et remplie, mais bien remplie… Les tentacules avaient produit tellement de sperme que la vachette était bien ronde, remplie entièrement de sperme, sa bouche avait énormément de sperme -car Melinda elle-même avait continué de produire, donc, cela en fait beaucoup-, et maintenant, cela avait été son vagin et son anus qui en avait prit. On pouvait bien faire gonfler la vachette, encore une fois, grâce à sa nature même de vachette née d’une vachette et d’un minotaure. Elle était donc plus tenace que bien d’autres Ushi ! Même que ses sœurs de lait… lol, sœur de lait. Bref, en tout cas, elle était lessivée, H.S., et avait un énorme sourire béat qui lui allait jusqu’aux oreilles ! Félicitation au duo Mikoto-Melinda, qui avaient réussi à Knock Out par la baise notre Cassandre bien aimée !
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Mélinda avait droit à un traitement très intensif, et, quand Mikoto approcha du point de rupture, elle sentit les tentacules s’accroître furieusement en elle. La vampire en écarquilla les yeux, et se crispa sur place, les tentacules se crispant sur son corps, l’immobilisant davantage, et la pénétrant plus durement encore. Celui dans sa bouche s’était enfoncé dans sa gorge, redescendant progressivement dans son corps, déformant ainsi sa trachée, avant que les tentacules ne jouissent. Une véritable décharge, une avalanche de sperme, tandis que les tentacules se crispèrent et appuyèrent sur son corps pendant la durée de l’orgasme, l’étouffant, manquant de l’étrangler. Elle en eut même les larmes aux yeux, bien involontairement, tout en sentant ses muscles se tendre à l’extrême, pendant qu’un orgasme la traversait violemment. Quand la vague se termina, les tentacules la relâchèrent alors, et Mélinda, les yeux dans le vague, sonnée, s’écroula au milieu du lit, rebondissant dessus, sentant Cassandre atterrir à côté d’elle, s’affalant également sur le lit.
« Oh, bordel... »
La main de Mélinda caressa distraitement son ventre, et elle se pencha en avant. Elle put ainsi constater que son ventre était bien rebondi, rempli de foutre. Alors qu’elle reprenait ses esprits, une forme bondit brusquement sur le lit. En d’autres circonstances, il aurait pu s’agir d’un enfant curieux, mais elle frémit en sentant les petites menottes de Mikoto sur ses jambes, remontant progressivement jusqu’à son visage. Elle embrassa au passage ses jambes, et sourit en voyant son ventre, avant de glousser, et déposa plusieurs baisers dessus.
« Hihi, on dirait que Maîtresse est enceinte... ♥ »
L’intéressée soupira en retour, et releva sa main. De la gauche, elle caressa le ventre de Cassandre, et, avec la droite, les cheveux de Mikoto, qui remonta encore. Elle sentit ensuite la verge du jeune homme, bien trempée, sur son ventre, s’enfonçant doucement sur sa peau, puis ses lèvres se retrouvèrent ensuite à hauteur de celles de sa Maîtresse, et Mikoto alla doucement l’embrasser. Mélinda répondit évidemment à ce baiser, et descendit sa main le long des hanches de la magical girl démoniaque, pour palper ses fesses.
« Tu... Tu peux générer des Slimes ?
- Oui... Je peux générer des clones aqueux, Maîtresse. Ils sont de la même matière que les tentacules, et je peux leur donner la forme que je veux. »
Son clone était d’ailleurs en train de s’attaquer à Cassandre, et avait pris la forme d’une autre Mikoto. Deux Mikoto se trouvaient donc là. Mélinda l’observa lentement, voyant le clone de Mikoto (Mikoto-2) caresser et embrasser le corps de Cassandre, notamment son ventre.
« Je vois... Tu es une fille pleine de ressources, Mikoto...
- Hihi ! Et tout cela est rien que pour vous, Maîtresse ! Mais mes pouvoirs sont décuplés quand les autres magical girls sont là. »
Mélinda fantasmait déjà à l’idée d’avoir, sur Terre, un petit bataillon de ces créatures infernales à son service. Mikoto l’embrassait régulièrement, tout en continuant à lui parler :
« Je ne suis pas encore très forte, mais Akari reviendra pour m’améliorer. Je peux amplifier le vice chez certaines personnes, Maîtresse, pour en faire des démons à votre service... Et générer de puissants aphrodisiaques pour vos séances de viols chez les adolescentes de la ville... ♥ »
Elle parlait de tout cela avec une telle innocence. Mélinda devait-elle s’en inquiéter ou s’en féliciter ? Le vice suintait du corps de cette femme, amenant la vampire à se demander si cette alliance ne risquait pas de la dépasser. Mais, en l’état, elle répondit encore au baiser de la magical girl, pendant que Mikoto-2 s’occupait de Cassandre.
« Ne t’endors pas trop vite, Cassandre, je n’ai même pas encore eu l’occasion de te faire l’amour ! »
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La discussion repris… Et en plus, c’était super intéressant ! Si si je vous jure, je dis pas ça juste pour faire genre, c’était vraiment super intéressant ! Enfaite, visiblement, les pouvoirs de Mikoto était déjà impressionnant, et vraiment, ce qui s’était passé pour Melinda et Cassandre n’était qu’un fragment de ce qui était possible… Elle pouvait faire plein d’autres choses, mais voilà, ses pouvoirs n’étaient pas ici complet. Elle avait besoin d’autres magical-girl, sans doute sa sœur en particulier, pour avoir tout ses pouvoirs. Il n’y avait pas de doute, la capture de la sœur de Mikoto allait sans doute être très important pour tout le harem… Et comme cette dernière adorait le Lait, Cassandre allait être utile… D’ailleurs, la Cassandre, qu’est-ce qu’elle fait ?
Mais Cassandre pendant ce temps là… Elle écoutait ? Et bien, encore une fois non. Mais pour une fois, ce n’était pas car elle était trop idiote pour comprendre ! Non non ! Alors, vous allez me dire « ah, c’est car cette fois, elle s’en fout ! »… Et bien, non. C’était pas pour ça non plus ! C’était… Qu’elle était trop crevée là ! Elle était lessivée… Son ventre était gonflée, on avait vraiment l’impression qu’elle était enceinte, au moins de jumeaux, vu ce qui avait coulé dans son ventre. C’était presque plus impressionnant que Melinda, mais peut-être était-ce car Cassandre était naturellement un peu plus ronde que Melinda ? Possible… Bref, quoiqu’il en soit, alors qu’elle n’avait pas vraiment écoutée… Et bien, elle remarqua que quelqu’un lui parlait… Et donc, ainsi, elle déclara en suite :
« Ne t’endors pas trop vite, Cassandre, je n’ai même pas encore eu l’occasion de te faire l’amour ! »
« Oui oui... »
Non seulement on lui parlait… Mais en plus, on la touchait ! Et ouais, des mains balladeuses continuaient de s’aventurer sur son corps, particulièrement son ventre particulièrement gonflé. Car on pouvait rappeler que son ventre était bien gonfler. D’ailleurs, quand on appuyait trop dessus, on pouvait faire gicler du sperme qui ressortirait par ses orifices ! Cela serait rigolo ! Mais heureusement, ce n’était pas le cas, étant donné que Mikoto était d’une grande douceur, préférant la caresse à la tape sur la vachette, ce que Cassandre remerciait grandement… Mmh… Mikoto était si douce et si gentille… En plus, non seulement elle s’occupait d’elle, mais en plus de sa maîtresse… C’était si gentil, c’était vraiment une bonne per… per… Attendez quoi ?! Attendez que quoi ? Elle déclara :
« Hein ? »
Ses yeux s’était enfin posé sur Mikoto… Enfin, c’était pas Mikoto ! Ou si, c’était Mikoto ? Bon sang de bonsoir ! Il y en avait deux ! D’un seul coup, ce fut efficace. La vachette s’était relevé, enfin, pas tout à fait. Elle était à moitié couché, relevant juste le haut de son corps, soutenant le tout de ces bras. D’ailleurs, ce mouvement brusque fit gicler du sperme de son anus et de sa vulve… Et même un peu coula de sa bouche, donna un côté assez érotique et magnifique à Cassandre, cela ne faisait aucun doute… Elle était confuse, et ne comprenait pas trop bien la solution. Attendez, au début, elle en était sûre, il n’y avait… Il n’y avait qu’une seule Mikoto ! Pourquoi maintenant il… Il y en avait deux ? Elle déclara alors soudainement, ayant, elle pensait, avoir compris ce qui était entrain de se passer !
« Oh ! Mikoto, tu as une sœur jumelle ! Je ne savais pas ! Mmh... »
Elle savait que Mikoto avait une sœur, elle l’avait retenu… Mais elle ne savait pas qu’elle avait en plus une sœur jumelle ! C’était formidable ! Elle aurait aimé la rencontrer avant ! Pour Cassandre, tout semblait logique… Elle avait été un peu Knock out après ce qui lui était arrivé niveau sexe… Donc, elle supposait que c’était dans ce cadre là que la fameuse sœur de Mikoto était entrée, et avait décidée de venir discuter. Elle supposa que là, elle avait Mikoto avec elle… Et que l’autre Mikoto, la sœur de Mikoto était avec Melinda… C’était logique, vu que Mikoto venait de dire qu’elle avait pas encore eu l’occasion de lui faire l’amour ! Donc, ouais tout était cohérent… D’ailleurs, c’est vrai, c’était cohérent : si la théorie de Cassandre n’était pas juste, et bien, elle était tout à fait crédible néanmoins. Et donc, elle déclara à l’autre Mikoto :
« Tient, sœur de Mikoto, du lait ! »
Elle invita l’autre Mikoto à venir prendre un peu de lait, alors que Mikoto allait sans doute lui faire l’amour, d’ici quelques instants. Tendant ses deux grosses mamelles pleine de lait, là, elle avait vraiment l’air d’une femme enceinte, avec son ventre énorme remplis de sperme, qui ressemblait au ventre d’une femme enceinte, et ces deux seins… D’ailleurs, c’était encore une fois qu’elle montrait qu’elle était impressionnante niveau quantité de lait… En effet, elle en avait encore ! Bon sang de bonsoir, c’était quand même impressionnant, si vous voulez mon avis ! Bref, donc, est-ce que la maiprise allait être remarquée ? Possible, ou bien, peut-être que Melinda et Mikoto allait jouer un peu de la naïveté de la vachette… Cette proposition aussi était amusante, vous ne trouvez pas ? Moi je trouve !
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« Je pourrais aussi faire un clone pour vous, Maîtresse... »
Mikoto sourit encore à sa Maîtresse se lovant contre elle. Mélinda avait un ventre tout aussi arrondi que Cassandre, ce qui était une sensation déstabilisante, mais que la vampire appréciait bien. Et ça, Mikoto le sentait. La magical girl démoniaque s’avérait particulièrement redoutable. Fort heureusement, sa soumission semblait sincère. Dans le cas inverse, Mélinda aurait peut-être eu quelques tracas à se faire. Mais, à aucun moment, Mikoto n’envisageait de faire quoi que ce soit contre sa Maîtresse. Au contraire, elle était dans un tel état qu’elle ne pouvait s’épanouir qu’en servant une Maîtresse, et Mélinda avait tout pour lui plaire.
La vampire observait du regard Mikoto-2, qui alla s’attaquer aux généreux seins de Cassandre, tout en la pénétrant ensuite, se frottant contre elle.
« Là, vous voyez, Maîtresse... Je ressens le goût du lait dans mon corps, même si c’est mon clone qui l’avale. Et, contre ma verge aussi, je ressens le plaisir de mon clone.
- Tu es donc liée à elle ?
- Oui, Maîtresse... Hmmm... Mais ce lien a ces limites. Si mon clone disparaît, je ne ressentirai rien, par exemple. »
Mélinda connaissait bien les clones. C’était une magie complexe, mais efficace, et récurrente. Preuve de son arrogance et de son ego, elle avait déjà fait l’amour avec elle-même. Elle se pinça doucement les lèvres en sentant Mikoto se presser encore contre elle, gémissant contre son oreille.
« Pensez-vous qu’elle préférerait que je prenne votre apparence, Maîtresse ?
- Non... C’est un clone de toi, ma belle, pas de moi... Mais tu ne devrais pas laisser ta queue à l’air libre comme ça. Au vu de mon expérience personnelle, les chibres n’aiment pas rester seuls à pendouiller dans le vide. »
Mikoto gloussa doucement, et acquiesça. Elle se déplaça un peu, et alla au-dessus de sa Maîtresse. Son sexe caressa son ventre, et elle s’appuya doucement contre elle. Les deux femmes s’embrassèrent alors, la main de Mélinda venant s’appuyer sur les cheveux de Mikoto, et elle écarta ensuite les cuisses, avant de relever les jambes, et les enroula autour du bassin de Mikoto, l’aidant ainsi à la pénétrer. Après la séance tentaculaire, ce coït était bien moins douloureux, mais non moins agréable. Mikoto soupirait contre elle, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant avec elle.
À côté, Cassandre et Mikoto-2 connaissaient une situation similaire. Mikoto-2 remplit sa bouche de lait, et embrassa ensuite Cassandre, partageant ce lait avec elle, jouant de sa langue dans sa bouche. Le grand lit de Mélinda accueillait ainsi les couples, et, avec l’imagination débordante de Mikoto, couplée à ses pouvoirs, la nuit promettait encore d’être longue... Et ce pour le grand plaisir de Mélinda !
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Cassandre fut EN-CHAN-TE que Mikoto-2 vienne boire son lait ! Après tout une nouvelle qui n’avait pas encore eu l’occasion, c’était normal qu’elle vienne boire son lait ! Son lait, c’était pour tout le monde, et la vachette appréciait particulièrement quand tout le monde pouvait en profiter ! Elle espérait vraiment que la sœur de Mikoto allait adorer, tandis que la fameuse Mikoto était donc elle avec la vampire, la maîtresse… mmh, Cassandre trouvait la maîtresse délicieuse avec ces magnifiques courbes qui faisaient ressortir en plus ses seins… Oh oui, elle adorait, de très très loin ! Bref, elle donnait son lait à la fameuse Mikoto-2, qui semblait apprécier la situation… Faut dire, Cassandre était très fière de son lait, et elle supposait que c’était totalement normale que la sœur jumelle de Mikoto aime cela… Soeur jumelle… Vraiment… ?
« Là, vous voyez, Maîtresse... Je ressens le goût du lait dans mon corps, même si c’est mon clone qui l’avale. Et, contre ma verge aussi, je ressens le plaisir de mon clone.
- Tu es donc liée à elle ?
- Oui, Maîtresse... Hmmm... Mais ce lien a ces limites. Si mon clone disparaît, je ne ressentirai rien, par exemple. »
« Ooooooh ! »
C’ETAIT UN CLONE ! MAIS OUI C’EST CLAIR ! Et ouais ! Attention… ET OUAIS !!! CASSANDRE. AVAIT. COMPRIS ! Ouais, c’est le genre de moment où faut vraiment le montrer comme exceptionnel, car je vous rappelle que niveau « être futé », et bien, Cassandre était loin d’être bonne. Je dirais même qu’elle était extrêmement mauvaise, genre niveau zéro. Et Zéro, c’est pas très haut. Mais voilà, il fallait bien imaginez que Cassandre avait compris, car pour une fois, elle avait attentivement écoutée ce qui était dit du côté de Melinda et de Mikoto. Et les déclarations étaient relativement clair : Mikoto profitait donc du lait… En même temps que Mikoto 2 ! Donc, c’était génial ! Elle pouvait donner du lait à deux personnes en même temps, à condition que ces deux personnes soient clones ! Mmh… De suite, la condition rendait cela moins intéressant… Mais quand même !
« Pensez-vous qu’elle préférerait que je prenne votre apparence, Maîtresse ?
- Non... C’est un clone de toi, ma belle, pas de moi... Mais tu ne devrais pas laisser ta queue à l’air libre comme ça. Au vu de mon expérience personnelle, les chibres n’aiment pas rester seuls à pendouiller dans le vide. »
« Ah, ça c’est vrai ! »
Cassandre ne put s’empêcher de faire un petite remarque avant que la partie de jambe en l’air commence… Et ouais, contrairement aux réponses précédentes où Cassandre n’avait quasiment pas eu de réponses aux déclarations des uns et des autres, ayant même parfois un rôle de personnages secondaires dans son propre RP, et bien… là, elle était là ! Non pas qu’elle voulait être là, genre pour se venger de n’avoir quasiment pas apparus dans les posts précédents (ne rigolez pas, c’est pour ça qu’à partir du Tour de Gaule d’Asterix, les Pirates apparaissent quasiment à chaque fois. C’était une obligation de Goscinny et Uderzo.) ! Non, tout simplement car la discussion était de son niveau, et elle approuvait ! Un bon chibre comme cela, il fallait en profiter, fallait pas le laisser se perdre, c’est moi qui vous le dis !
« Mmmh… Meuh ! »
Et elle fut pénétrée alors ! Mais pas seulement… Comme vous pouvez voir, le début de sa phrase n’était pas immédiatement un meuglement comme Cassandre pouvait avoir l’habitude ! Mais un « mmh » étouffé… Et bien tout simplement que Cassandre put profiter un peu de son propre lait. Alors, c’était relativement important à noter, car la jeune vachette profitait très rarement de son lait. En toute logique, et bien, son lait c’était plutôt les autres qui en profitaient. Et Cassandre aimait pourtant beaucoup son lait ! Et elle aimait bien aussi… Quoi donc ? Et bien, ce fut suivi d’une bite dans sa chatte ! Et ça aussi, elle aimait beaucoup, même plus que son lait ! Elle couina de plaisir alors qu’elle se faisait de nouveau prendre, montrant que cette fameuse vachette, et bien, on la préfère fourée, c’est moi qui vous le dit !
« Meuuuuh ! »
Bon sang ! La fameuse Mikoto était vraiment une démone du sexe ! En plus, avec son gros ventre bien enflée de sperme, cela faisait qu’elle était bien pleine, et on voyait même un peu de sperme sortir de son anus, du au fait que son corps se retrouver en mouvement ! Oh, non ! Elle perdait, ellea avait des fuites notre vachette ! Et pas que cela, étant donné que même ses seins, dont les glandes mamères étaient toujours en production, et bien, voilà qu’ils se retrouvaient à cracher du lait ! Bon sang de bonsoir, il y allait vraiment en avoir partout, c’est moi qui vous le dit ! Bref, en tout cas, la vachette était repartie pour cette longue nuit de plaisir. Il n’y avait pas de doute… Dès que Mikoto avait commencé à sortir ses idées, le tout avait pris une position encore plus intéressante… On pouvait le dire, elle était une nouvelle recrue plus qu’intéressante pour le Harem !
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Plus le temps passait, et plus Mélinda acquerrait l’intime conviction que, avec le temps, Mikoto allait savoir se rendre indispensable au sein du manoir. Que de talents, que de compétences ! Et tout cela se couplait avec une envie manifeste, un désir profond et puissant, celui d’être une excellente esclave. Le fait que Mikoto puisse employer la magie à un haut degré, générer des tentacules, corrompre les autres, ou générer des clones, ne refrénait pas en soi Mélinda, qui avait toujours aimé traité avec ceux qui étaient plus forts qu’elle. Et, jusqu’à preuve du contraire, la vampire s’en était plutôt bien sortie. Elle était donc, non seulement confiante, mais aussi très excitée par les capacités de Mikoto. Mélinda l’embrassa donc, avant de sentir la jeune femme se déplacer un peu, et venir la pénétrer.
Sentir sa verge s’enfoncer en elle était un plaisir exquis, d’autant que, avec son ventre plein, elle sentait le corps de Mikoto glisser sur elle. Sa partenaire dut s’appuyer un peu contre son corps, et Mélinda déplaça sa main, venant l’appuyer sur les fesses de sa partenaire, répondant volontiers à son baiser, jouant de sa langue avec la sienne.
« Tu es si belle, ma Mikoto d’amour...
- Hmmm... Maî-Maîtresse ! »
Mikoto recevait une double dose de plaisir, émanant à la fois de sa Maîtresse, mais aussi de Cassandre. Mélinda soupira une nouvelle fois, sa main venant caresser les cheveux de sa partenaire, et elle reprit son baiser, encore, mélangeant sa langue à la sienne. Leurs organes se titillèrent tendrement, et Mélinda sourit à nouveau, se mordillant même les lèvres, sa main allant caresser sa joue.
« J’ai une idée, Maîtresse...
- Hmmm... Vas-y, j’aime les initiatives... »
La jeune magical girl démoniaque lui demanda alors de se mettre à quatre pattes, demande que Mikoto-2 formula également à l’encontre de Cassandre. Mélinda se pinça les lèvres, et obtempéra sagement, voyant Cassandre prendre la même position, ce qui fit que, assez rapidement, les visages des deux femmes se retrouvèrent l’une en face de l’autre. Mélinda lui sourit tendrement, et déposa un petit baiser sur le bout de son nez.
« Ça va, ma belle ? »
Question purement rhétorique, bien sûr. Mélinda avait compris ce que Mikoto voulait, et sentit ensuite la verge de la magical girl infernale venir caresser ses fesses, avant de s’enfoncer de nouveau dans son vagin... Ce que Mikoto-2 fit également avec Cassandre, la pénétrant de nouveau. Mélinda se mit à gémir sur place, et retourna embrasser sa belle Ushi, serrant son visage contre le sien, tout en savourant pleinement ce qu’on lui faisait subir...
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Enfaite, on pouvait voir deux scènes en même temps. Mais deux scènes… Relativement proche. Enfaite, on avait presque une sorte de miroir, avec deux Mikoto… Donc, évidemment, c’était extrêmement proche… Celle-ci avait un talent, cela ne faisait aucun doute. Elle était d’un talent dans ce qui était du sexe… Cassandre ne pouvait pas le nier… Et pourquoi le ferait-elle de toute façon ? Elle était vraiment trop heureuse ! Elle prenait son pied, était contente, mais contente, mais tellement contente ! Elle adorait. Franchement, il n’y avait pas de doute, le fait d’être achetée pour être offerte en cadeau à Melinda… Cela avait été une chance ! Maintenant, elle voulait chanter, elle passait des nuits torrides, elle avait plein d’amis… C’était absolument formidable ! Franchement, elle était heureuse…
Mais soudainement, leur position changèrent. Les deux femmes enceintes (enfin, en apparence, je vous rassure) se retrouvèrent en face à face… Et purent s’embrasser ! Mmmh… Le tout était d’un érotisme absolument exquis, le tout était magnifique… On pouvait dire qu’en même temps, on avait trois femmes absolument magnifique qui étaient prises dans ces parties de sexe… Une vachette, une vampire, une vagical girl. Quoi ? C’était pour faire trois V. Ouais, cela fait aussi un magnifique jeu de mot si je commence à sortir une « Vaginal Girl », mais bon, vous pourriez dire que je suis de mauvais goût. Et je vous répondrais… MAIS OUI JE LE SUIS ! Vous avez lu mes autres RP ? Sérieusement ? Bref, quoiqu’il en soit, entre deux baisers, la fameuse vampire commença à déclarer :
« Ça va, ma belle ? »
« Tellement… Quel… Qu’elles sont doués les deux Mikoto… ! »
La question avait été rhétorique, étant donné que dans une telle situation… Comment Cassandre pourrait aller mal ? Elle prenait son pied comme jamais, et franchement, la soirée avait été d’une… Puissance ! Mais enfaite, toute la journée… Car rappelez-vous ! Elle avait baisée quasi toute la journée… Heureusement qu’elle avait du sang de minotaure en elle, car sinon, comment aurait-elle fait pour tenir ? Sérieusement, cela aurait été complètement impossible… Mais elle avait réussi. Grâce à son sang, mais aussi grâce au fait que cela n’avait pas été des viols continuels. C’était presque uniquement des actes totalement concensuel… Et elle avait adorer le tout ! Maintenant, c’était baiser, faire l’amour… Oh mon dieu… Meuh…
Le rythme était torride, et semblait absolument pas se calmer. Au contraire, le tout était rapide, de plus en plus rapide, et la vachette avait non pas du mal à suivre, mais quand même, c’était absolument rapide… Bon sang ! Elle meuglait, gémissait, c’était absolument magnifique, un discours de la vachette. Sérieusement, espérons que la salle était quand même bien isolé, car sinon, le manoir ne pourrait pas dormir… La vachette faisait beaucoup trop de bruit. Mais encore une fois, comment l’accuser ? C’était dur… Très dur de cacher son plaisir ! Franchement, elle était tellement dans le plaisir, qu’elle avait l’impression qu’elle en perdait la tête… Et en plus, il y avait la fatigue, toutes les jouissances précédentes… Et le fait qu’elle avait déjà été baisée dans la journée ! Et ouais !!! Ouais, je l’ai déjà dis… Mais euh… Regardez ! Elle est entrain de jouir notre vachette ! Un bon gros moment de plaisir, ponctué de :
« Haaaan ! MEUUUUUUUH ! »
Et ce fut le noir… Ce fut l’orgasme finale de la soirée… Et ouais, après cette orgasme, notre chère Cassandre tomba Knock-out… Désolé Mikoto, mais là, cela avait été vraiment trop torride, trop démentiel pour une vachette qui était encore une débutante. Enfin, elle avait énormément progressé depuis le début, mais voilà, elle restait quand même dans le cours des débutants en sexe. Elle avait encore énormément à apprendre. Mais voilà, elle était K.O. et s’effondrait sur son énorme ventre et ses seins… On pouvait dire une chose, une vachette était tombée au combat, ce soir ! Elle avait vaillement combattu, mais malheureusement, ses adversaires ont réussis à la faire chuter. Dors bien, fidèle vachette, tu auras rendus fière ton pays ! Et au prochain déploiment, tu seras plus forte, et plus résistante… C’est moi qui vous le dit !
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La petite vachette eut droit à une très belle fin de soirée. Elle couinait sur place, heureuse, à bout de souffle, totalement submergée par le bonheur, par un plaisir furieux qui tambourinait dans tout son être. Mélinda s’était efforcée à l’amener à la limite, à lui offrir de quoi oublier son kidnapping et la peur qu’elle avait ressenti. Elles s’embrassèrent longuement, mais Mélinda sentait la fatigue pointer, perler dans le corps de l’Ushi. Aussi endurante soit-elle, sa petite Terranide avait vécu une nuit explosive. Tentacules, pénétrations intensives, elle avait été remplie de sperme, et elle était encore en train de se faire baiser. Mikoto, très excitée, continuait à bourrer la belle Ushi, qui finit par contracter un ultime orgasme. Elle se relâcha dans un meuglement, après un dernier baiser baveux et tremblotant contre les lèvres de sa Maîtresse... Puis s’effondra mollement sur le lit.
Ses yeux devinrent vitreux pendant quelques secondes, et elle s’affaissa sur le lit, incapable de lutter contre la vague de sommeil qui vint l’envahir. Mélinda sourit alors, tout en sentant son ventre reprendre peu à peu une forme normale, au fur et à mesure que le sperme dégoulinait le long de ses cuisses. Sa main caressa tendrement le visage de la belle Ushi, et elle l’embrassa sur la joue, sentant cette dernière remuer faiblement.
« Repose-toi, ma jolie... Tu l’as bien mérité. »
Elle prenait encore soin d’elle, avec tendresse, comme toute Maîtresse digne de ce nom se devrait de le faire. Elle la coucha ainsi sur le dos, ce qui faciliterait l’écoulement du sperme dans son ventre sans trop de douleur, et l’embrassa une dernière fois. Cassandre réagit faiblement, mais sans pouvoir remonter. Mélinda se redressa ensuite doucement... Et sentit Mikoto se blottir contre son dos.
« Ma parole, tu es insatiable, ma chérie...
- Je sais que vous avez été entraînée par les prêtresses de la Déesse Lust, Maîtresse, je connais votre endurance ! »
Mikoto l’embrassa dans le creux du cou, remontant ses mains pour presser les seins de Mélinda... Qui constata alors que Mikoto avait rangé sa verge. Elle frémit alors, et força alors le passage. La vampire se mordilla les lèvres, et gémit en libérant sa propre verge. Son phallus se redressa fièrement, et elle se retourna vers Mikoto, un sourire malicieux sur les lèvres, repoussant la belle magical girl, qui finit couchée sur le dos.
« À mon tour de jouer avec ton corps, alors, Mikoto..., lâcha-t-elle, avec un soupçon de malice et de menace dans le timbre de sa voix.
- Haaaa... Maîtresse !! »
Quelques heures après, Cassandre sentit comme premier contact un tendre baiser sur ses lèvres Elle dut ensuite émerger progressivement, pour sentir qu’une masse était tendrement couchée contre elle. Il s’agissait de Mikoto, qui venait de lui voler un baiser, avant de rester lovée contre son corps. Dehors, un fin rayon de soleil venait les éclairer, signe que le soleil s’était levé, qu’une nouvelle journée était en train de commencer.
Et c’était surtout le signe que la vachette disposait désormais d’un nouveau foyer...
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Trop c’est trop. Même endurante, comme elle était, Cassandre devait se reposer maintenant. Comme dit précédemment elle avait une soirée et une journée même en général très fatiguante. Il y avait même des moments qui avaient été durs pour la vachette, le kidnapping était évidemment le moment dont je veux parler. Mais est-ce qu’elle regrettait cette journée ? ABSOLUMENT PAS ! Au contraire, même, elle avait absolument passer une merveilleuse journée. On va même le dire… C’était la meilleure journée de sa vie. Pourquoi cela ? Et bien, car elle avait découvert plein de choses, plein de gens… Bref, cela avait été absolument exceptionnelle, et très enrichissant pour la vachette qui s’était découvert plein de nouvelles passions, comme la chanson. Donc, fatiguante, oui, mais génial.
« Repose-toi, ma jolie... Tu l’as bien mérité. »
Elle put entendre néanmoins cela avant de se coucher, un sourire aux lèvres. Elle put remarquer les baisers, et quelques modifications de position, sans aucun doute pour aider son gros ventre à dégonfler un peu -car oui, il fallait quand même rappeler qu’elle était bien remplie de sperme, la pauvre vachette-, mais ce fut à peu près tout. Bientôt, elle sombra complètement dans les bras de Morphée, et s’endormit totalement, dans un sommeil profonde. Elle était bien contente, et avait passé une super journée. Elle était d’une joie et d’un contentement qui ne faisait aucun doute : elle était extrêmement heureuse d’être ici. Elle n’aurait pas pu mieux tomber. Non, c’était complètement impossible, elle était dans un lieu génial.
***
Mmmh… Le sommeil fut si agréable… Cassandre dormi comme un bébé, bien que Melinda et Mikoto elle restèrent encore active un petit moment. C’est pratique son entrainement pas la déesse Lust visiblement, et c’est vrai que contrairement à Cassandre, elle avait beaucoup d’expérience, l’une grâce à la magie, et l’autre grâce au fait que c’était Melinda (dois-je vraiment préciser plus ? Non je ne pense pas.) Quoiqu’il en soit, elles aussi avaient fini par s’endormir, en toute logique. Elles n’allaient pas non plus rester éveiller toute la nuit ! Fallaient qu’elles dorment. Puis, c’était agréable de dormir aux côtés de Cassandre et Mikoto, n’est-ce pas ? Une bonne nuit pour dormir enfin un peu...
Mais la nuit à une fin, et la journée un début et… Ouah, je crois pas que j’ai sorti de phrase aussi bateau depuis un bon moment ! Bref, Cassandre fut réveillée doucement par la fameuse Mikoto, qui semblait toujours autant débordante d’énergie. Être une magical girl, c’est vraiment incroyable pensa la vachette qui émergeait. Et dire qu’elle aussi, elle avait beaucoup d’énergie, mais qu’elle était bien loin d’être aussi capable que la fameuse Mikoto… Faut dire elle était vraiment incroyable ! Moins que la maîtresse, mais personne n’était autant incroyable qu’elle ! Quoiqu’il en soit, après leur soirée, elles devaient absolument faire quelques choses, quelques choses d’important que Melinda lui avait dit hier… Ainsi, elle déclara :
« Coucou Mikoto, allez, viens, on va se la… »
Elle remarqua Melinda encore endormie. De suite, elle calma sa voix qui est beaucoup trop forte, pour passer un chuchotement.
« On va se laver. »
Ni une, ni deux, elle attrapa Mikoto, et la traina vers la salle de bain. Et oui, deux choses à dire. Premièrement, c’est logique, Mikoto ne savait pas où était la salle de bain vu qu’elle était arrivée dans la nuit. Mais surtout, il ne fallait pas oublier… Cassandre était une Ushi ! Et donc, elle avait de la force ! Pas autant qu’une vampire, mais plus qu’une magical girl, surtout légère comme notre chère Mikoto ! Ainsi, Cassandre était largement capable de la porter comme une princesse. Cela étonna bien entendue Mikoto, mais elle apprécia particulièrement que Cassandre la porte ainsi, sans aucune hésitation. Ainsi, il n’y avait pas que Cassandre qui se sentait adopter en ce nouveau lieu, elle aussi, elle se sentait intégrer…
Et ainsi, les deux femmes se lavèrent. Ce fut sans sexe, je tiens à le préciser… Mais pas sans attouchement et caresse intime, bien entendue. Mais Cassandre avait une idée derrière la tête et l’avait expliqué à Mikoto qui était entièrement d’accord, et qui trouvait donc l’idée extrêmement bonne, mais parfaite et nickel. Donc, pas le temps de faire l’amour alors qu’on se lave. Bon, les caresses, c’est obligatoire, et puis, c’est pour s’aider à se laver, donc, cela compte pas comme quelques choses de mal ! Oh que oui, c’est moi qui vous le dit. Ainsi, les deux furent entièrement propre, habillé, prêt à faire leur truc… Ainsi, un petit moment s’écoula, avant que Melinda puisse entendre, peut-être même la sortir du sommeil si elle dormait encore…
« MAITRESSE PETIT DEJEUNER ! »
Et oui ! C’était ça le fameux truc qu’elle voulait faire, notre Cassandre!Un bon petit déjeuner ! Et ouais, Melinda l’avait bien mérité, aujourd’hui, ça serait petit déjeuner au lit, et fait par Cassandre, et donc également Mikoto qui évidemment avait aidé, étant donné qu’elle avait été là, et dans le coup avant la vachette ! Cela aurait été absurde qu’elle ne soit pas invitée à participer ou pire qu’elle y soit chassé ! Cela n’aurait eu aucun sens, et Cassandre en avait bien entendue conscience ! Donc, Mikoto et Cassandre avaient combinés leur talent, non pour faire une magnifique scène orgiaque comme hier soir, mais un bon petit déjeuner. D’ailleurs, Cassandre en présentant le plateau à Melinda, déclara et expliqua :
« Hihi, on a fait ça avec Mikoto ! »
On aurait pu croire le tout maladroit et pas très bon, vu le côté un peu pas doué de nos deux protagonistes, mais… Non ! Pas du tout ! Les œufs et le bacon étaient parfaitement cuit, le lait fraichement trait -on se demandait d’où il venait...-, le jus d’orange nickel, la présentation parfaite… Et ouais, il fallait pas oublier que Cassandre n’avait pas été QUE éduqué à donner du lait. Elle n’était pas une vachette bas de gamme que tu enfermes dans un mur, seins libre service, et que tu traits jusqu’à ce qu’elle soit fini ! Non pas du tout. Cassandre avait été éduquée pour être une vachette à traire, mais aussi une vraie maid, capable de cuisiner, de nettoyer, etc. Elle n’était pas la meilleure dans ce genre de tache, mais elle était largement capable de se débrouiller, et elle venait de le prouver, avec l’aide de Mikoto bien sûr, qui fut d’une aide enthousiaste et très précieuse, cela ne faisait aucun doute.
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Même une créature nocturne comme Mélinda avait besoin de dormir. Elle ne dormait d’ailleurs jamais seule, car elle faisait des cauchemars. Il lui fallait donc être entourée de corps endormis pour la bercer, ce qui lui garantissait des nuits sereines et reposantes, des nuits où elle n’était pas assaillie par les souvenirs de son passé, de l’époque où elle était encore une simple humaine, faible et fragile, et où elle était une esclave, victime de maltraitances de la part de son père. En compagnie de Mikoto et de Cassandre, Mélinda connut donc une très belle nuit, utilisant la poitrine de la belle Ushi comme un oreiller, tandis que Mikoto dormit en se lovant contre sa Maîtresse. La vampire dormit donc paisiblement, et, vu qu’elle s’était tout de même beaucoup dépensée avec Mikoto, et en allant chercher Cassandre, elle dormait encore quand Cassandre et Mikoto émergèrent.
Le manoir était doucement en train de se réveiller. Les pensionnaires s’agglutinaient dans la salle à manger principale, faisant un petit-déjeuner, se préparant ensuite à devoir aller au lycée. D’autres se préparaient à passer la matinée à nettoyer le manoir de fond en comble, ce qui impliquait généralement de nettoyer chaque chambre. C’était toute une organisation, et la literie revenait très chère au sein du manoir. Mélinda avait tout un service de nettoyage, avec une véritable blanchisserie intégrée dans le manoir. Dans des tenues de maid affriolantes, elles se préparaient donc. Cassandre et Mikoto, elles, apprirent que le manoir avait quantité de salles de bains individuelles, mais aussi des salles de bains plus collectives. L’hygiène était très importante au sein du manoir, et ce malgré la débauche continuelle !
Cassandre et Mikoto se nettoyèrent donc, et rejoignirent ensuite la cuisine, pendant que Mélinda hébergeait progressivement… Et que sa nuit se terminait par de doux rêves érotiques. De fait, le sexe masculin de la vampire était resté hors de son corps, et, pour le dire simplement, elle allait se réveiller avec une envie furieuse entre les cuisses, quelque chose qui la démangeait sérieusement, et ce d’autant qu’il n’y avait personne pour accueillir son sexe ! Or, Mélinda aimait beaucoup se réveiller en pénétrant l’une des femmes qui dormaient avec elle. C’était aussi pour ça que les esclaves de Mélinda la bordaient jusqu’à son réveil, afin d’avoir l’immense honneur d’accueillir la verge de leur Maîtresse. Malheureusement, personne n’avait cru bon d’indiquer ce petit rituel matinal à Cassandre et à Mikoto… Faute de quoi, il était sûr que ces dernières seraient restées au lit pour accompagner doucement leur Maîtresse !
« Hmmm… »
Mélinda ouvrit les yeux en tâtonnant autour d’elle, sa main filant dans le vide. Elle heurta le coussin, sentant le tissu de ce dernier au lieu de sentir la tête de l’une de ses partenaires. La situation était d’autant plus déplaisante que sa queue l’élançait douloureusement, signe évident de l’excitation qu’elle ressentait en ce moment.
*Mais… Il n’y a personne ?*
La vampire entendit soudain la porte s’ouvrir, et les deux femmes entrèrent brusquement. Mélinda se redressa et se retourna, la couverture dissimulant encore ses jambes et son bassin, pour voir un plateau-repas.
« Oh…
- Nous avons préparé ça avec tout notre amour, Maîtresse ! »
Mélinda étouffa un bâillement qui remonta de son corps, et les observa toutes les deux en papillonnant des yeux.
« Je vois… C’est très gentil à vous, mes belles, mais je crains que vous n’ayez oublié l’essentiel… »
Mikoto regarda brièvement sa Maîtresse en étant inquiète, puis celle-ci écarta alors la couverture, révélant son sexe en érection.
« Oh… Maîtresse est d’énergie… »
La vampire sourit lentement.
« C’est pour ça que les filles dormant avec moi ne se réveillent jamais avant moi. Elles ont envie de sentir ma queue les pénétrer dès le matin… Mais, puisque vous êtes déjà propres et habillées, je ne vais pas vous imposer cela… »
Mélinda se déplaça sur le rebord du lit, et posa le plateau-repas à côté d’elle.
« Allez, ma belle Mikoto ! En piste ! Désolée pour toi, Cassandre, mais je préfère boire le lait à la source ! »
Elle avait beau avoir les cheveux légèrement en bataille, Mélinda n’en restait pas moins somptueuse. Mais quoi de plus normal ? Elle était une vampire, après tout, et n’avait pas de maquillage. Elle était tout simplement très belle au naturel, même si quelques épis venaient parsemer sa longue chevelure sauvage. Tandis que Mikoto s’agenouillait devant sa Maîtresse, Mélinda croqua dans une biscotte, et, tandis qu’elle avait encore le morceau en bouche, alla poser ses lèvres contre l’un des seins de Cassandre, et téta joyeusement, faisant fuser le lait dans sa bouche.
Avec Mélinda, le sexe était continuel !