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Tylissa (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=834646MiiafromEverydayMonsterGirls12602249873699.png) était une jeune lamia extrêmement belle, mais aussi extrêmement timide. Elle avait nouée peu de liens sociaux avec les autres habitantes de son village, que ce soit les adultes ou les adolescentes, et parlait peu. Et aujourd'hui était un jour que, malgré un peu d'appréhension, elle attendait avec impatience. Elle venait d'atteindre l'âge de la maturité, et il lui restait une étape importante à franchir avant de devenir officiellement une adulte : elle devait quitter le village et arpenter la forêt à la recherche d'un humain, le capturer, le faire rentrer dans sa poche caudale et faire le trajet retour jusqu'au village avec cette créature en elle. Le but était de lui faire ressentir les incommensurables vagues de plaisir que provoquent la présence d'un être vivant en soi, ce plaisir unique que seul les lamias peuvent ressentir et apprécier. Une autre possibilité était de trouver une lamia plus âgée et plus expérimentée, et de coucher avec elle. Ensuite, il fallait la ramener au village pour qu'elle atteste que l'acte sexuel avait bien eu lieu.
Tylissa profita de ce jour exceptionnel pour essayer des vêtements qu'elle avait pris à des humaines ayant eu la malchance de croiser des lamias de son village alors qu'elles étaient affamées. Ces vêtements n'étaient clairement pas dans le style de ce que l'on trouvait sur Terra, ce qui les rendait très particuliers, donc parfaits pour une grande occasion. Une petite chemise jaune, une jupe bleue, et la voilà prête. Elle embrassa fort sa maman, qui lui souhaita bonne chance, et partit en direction du village humain le plus proche. La zone boisée qui se trouvait entre les deux villages était le meilleur endroit pour trouver des humains isolés. Mais plus la jeune lamia approchait de son terrain de chasse, plus elle était inquiète de croiser un humain. On lui avait maintes fois expliqué que les humains n'étaient pas pacifistes, et que la plupart avaient tendance à attaquer quand ils voyaient une lamia. Si elle avait eu le choix, elle aurait préféré coucher avec une de ses semblables plutôt que de faire face à un singe sans poils. Après quelques minutes à avancer dans la forêt, elle repéra des traces. En bonne lamia, on lui avait appris à chasser, et elle reconnut les marques du passage d'un humain. A première vue, c'était un homme, assez jeune, de corpulence moyenne, et ça devait être un simple randonneur puisqu'il n'avait pas pris le temps de masquer ses traces.
Ça pourrait être le bon...
Tylissa suivit la piste en gardant ses sens bien ouverts pour être sûre de ne pas se faire piéger. Cependant, plus elle avançait, plus elle avait l'impression de ne pas suivre que l'humain. Une présence singulière mais apaisante flottait dans l'air. La jeune lamia n'arrivait pas à l'ignorer, et pressait le pas pour en trouver l'origine. Finalement, elle retrouva l'humain à environ un kilomètre du début de la piste. Paniquée, elle grimpa dans un arbre pour pouvoir l'observer discrètement. Il était plutôt mignon, assez grand, habillé en tenue de randonneur, les muscles bien taillés, les cheveux bruns mi-longs et les yeux noisette. La jeune fille ne resta pas insensible devant le charme de ce grand singe à la peau beige, mais n'osait pas l'approcher de peur qu'il l'attaque.
Tu peux y arriver, tu l'as fait des milliers de fois.
La manœuvre était assez simple : approcher rapidement par derrière, le piéger en enroulant sa queue autour de ses jambes, lui inoculer le sédatif par morsure et le faire rentrer dans sa poche caudale. Elle s'était entraînée depuis un an, mais restait paralysée à la vue de cet être. Il l'attirait et l'effrayait en même temps, elle ne savait pas quoi faire. Hélas, à force d'hésiter, Tylissa se fit griller la politesse, et une autre lamia tomba sur le beau jeune homme. La jeune fille, surprise par l'apparition soudaine d'une de ses semblables, mit plusieurs secondes avant de réaliser que ce n'était pas une lamia ordinaire.
Une Echnida... Impossible !
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Il existait, parmi les Lamias, une variété d’espèces différentes, de sous-genres, et de sous-familles. On trouvait par exemple les Naga, une sous-espèce affectionnant les endroits secs et chauds, avec un corps plus reptilien que la plupart des autres Lamias, ou encore l’espèce de Shaïra, les Echidnas. Une Echidna était une Lamia très puissante, de telle sorte qu’on considérait souvent les Echidna comme les Lamias les plus dangereuses de leur famille, à l’instar des mygales ou des veuves noires pour les araignées. Une Echidna se caractérisait par une queue particulièrement longue et puissante, et était également capable de réaliser des sorts magiques, même si cette prouesse n’était pas l’apanage exclusif des Echidnas uniquement. Shaïra, donc, était une puissante Lamia, mais également très solitaire. Elle ne cherchait pas forcément le contact des autres espèces, s’accommodant très bien du fait de vivre seule. La solitude était son lot, ce qui ne l’empêchait néanmoins pas d’apprécier la compagnie d’autres Lamias, pour autant que ces dernières ne se heurtent pas. Shaïra, fort heureusement, était de sexe féminin, de telle sorte que, si elle accordait une importance capitale à la protection de ses bébés, et de son nid, elle n’avait pas la vision territoriale des Lamias masculins, qui les amenaient généralement à être meurtriers envers les autres.
Shaïra, en ce jour, se faufilait dans l’une de ces grandes et immenses forêts peuplant Terra. Elle avait senti un village, et était en période d’ovulation. Il était temps, pour elle, de faire son nid, mais elle avait besoin de prendre des forces. Shaïra avait voyagé depuis plusieurs centaines de kilomètres pour suivre ses poursuivants, après avoir copieusement violé une jeune femme, la tuant après plusieurs jours à se servir d’elle pour nourrir ses petits. Malheureusement, la jeune femme était la fille d’un riche fermier, qui avait réussi à mobiliser une milice contre elle. Shaïra avait affronté ces derniers, en tuant plusieurs, mais avait préféré s’enfuir, sachant qu’elle n’était pas immortelle. Les soldats l’avaient traqué, mais une Lamia savait fuir et échapper à ses poursuivants, ce qu’elle avait fait en rejoignant les lisières de cette vaste forêt.
Approchant donc du village, elle s’était livrée à une période d’observation. C’était un village agréable, entouré par une palissade en bois, avec plusieurs miradors, et abritant surtout des bûcherons. Plusieurs scieries étaient donc dressées autour du village, de quoi exciter Shaïra, car c’était la promesse de copuler avec des hommes forts et bien bâtis. Elle avait donc observé ses proies, une lueur dans les yeux, jusqu’à trouver un bûcheron qui conviendrait. Jeune, bien bâti, sans trop de poils, il était très appétissant. Elle constata qu’il était un père de famille, et le pista alors qu’il rentrait chez lui... Ce qui l’amena à sentir une autre présence.
*Que... ? Shaïra sent une autre Lamia... ?!*
C’était particulièrement inattendu, mais elle en eut rapidement confirmation. Une jeune Lamia, inexpérimentée, trop jeune pour pouvoir errer toute seule, et visiblement trop imprudente. La Lamia en question ne sentit pas Shaïra, car cette dernière savait très bien se confondre avec l’environnement, ses écailles pouvant changer de couleurs pour adopter celles de son environnement. Sa surprise se mua en un léger amusement. Après tout, cette forêt était grande, profonde, et il n’était pas impossible d’imaginer des Lamias vivant ici.
Shaïra continua à suivre sa proie, restant sur lui, et se manifesta auprès de la jeune Lamia au moment de l’attaquer. Le bûcheron avançait le long d’un sentier, quand il leva la tête en sentant des feuilles tomber dessus, et en entendant des bruissements autour de lui.
« Qu’est-ce qui se passe ?
- Ssssssshhtt... »
Un sifflement remua le long des arbres, paniquant l’homme, qui regarda nerveusement autour de lui.
« Qui... Qui va là ?! Ce... C’est ne pas drôle, montrez-vous ! »
Il s’avançait contre un tronc d’arbre, sans sentir que, dans son dos, Shaïra se déplaçait. Elle s’avançait entre deux troncs d’arbres, et, quand l’homme se retourna, il était trop tard pour lui. Son hurlement mourut rapidement quand la queue de Shaïra s’enroula autour de lui, et serra son corps, l’étouffant sur place. Shaïra remonta jusqu’à sa taille, et agrippa son visage, plaquant la tête de ce dernier contre sa généreuse poitrine, tout en émettant un nouveau sifflement, et en tournant la tête dans la direction de la Lamia.
« Shaïra t’a senti, petite Lamia... Tu voulais cet humain ? Shaïra n’aime pas trop partager, mais... Elle peut y consentir. »
Après tout, il fallait bien se montrer solidaire avec ses congénères...
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Tylissa n'en croyait pas ses yeux. Une Echnida… une vraie de vraie, devant ses yeux. Elle savait qu'il existait plusieurs espèces de lamias, mais les Echnidas étaient tellement rares que la jeune fille avait fini par croire qu'elles n'existaient plus. Et là, elle en voyait une, jetée sur le jeune homme qu'elle observait. Mais alors qu'elle pensait sa proie perdue, sa congénère siffla dans sa direction, l'incitant à venir. Surprise, la jeune lamia se cacha dans les feuillages, puis attendit un peu avant de sortir timidement sa tête pour s'assurer que c'était bien à elle que s'adressait cette invitation.
« Je… j'arrive. »
Tylissa descendit de son perchoir pour rejoindre Shaïra. Elle avait toujours peur de l'humain, même s'il était clairement incapable de faire quoi que ce soit.
« Vous… vous me laisseriez vraiment cet humain ? »
L'echnida semblait ouverte à la discussion, mais l'homme piégé dans sa queue ne voulait pas se tenir tranquille, et la jeune fille sentit que sa congénère perdait patience.
« Attendez, je vais m'en occuper. »
Tylissa prit son courage à deux mains, approcha du grand singe et, après hésitation, planta ses crocs dans son cou, lui inoculant un puissant sédatif. Il perdit connaissance, et Shaïra le libéra de son étreinte.
« Merci de ne pas lui avoir fait de mal, j'en ai besoin vivant. »
Et la jeune lamia expliqua à sa congénère les raisons de sa présence : au terme de cette journée, elle serait une femme adulte et pourrait enfin prétendre à l'indépendance. Mais le plus dur restait encore à faire : mettre l'humain dans sa poche caudale et le ramener à son village. Elle n'avait encore jamais avalé une créature encore vivante, et ne savait ni comment faire ni ce que ça allait provoquer en elle.
« Bon… allons y. »
Tylissa attrapa l'homme par les épaules et approcha son corps de l'ouverture de sa queue. Elle fit de son mieux pour se détendre, s'exciter et profiter de la situation, mais elle ne parvenait pas à obtenir un écart assez grand pour pouvoir y faire rentrer le corps de l'individu.
« Je… je n'y arrive pas. C'est trop dur. »
Elle le laissa tomber au sol et commença à paniquer.
« Qu'est ce que je vais faire ? Il faut que je le ramène au village, sinon mon épreuve ne sera pas validée, et je resterai une enfant pour toujours. »
Tout ce qu'elle savait, c'était qu'il lui fallait être bien plus excitée pour pouvoir ouvrir sa poche caudale au maximum. Mais elle n'avait pas envie de violer cet humain pour autant et de perdre sa virginité dans un rapport aussi répugnant.
« Comment faire, mais comment faire ? »
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La « petite Lamia » était visiblement bien craintive, ce qu’on pouvait expliquer. Entre eux, les Lamias n’étaient pas forcément les créatures les plus bienveillantes qui soient, et il leur arrivait fréquemment de se disputer, surtout quand ils étaient tous les deux sur une même proie. Fort heureusement, il y avait ici deux femelles, qui étaient moins territoriaux que les mâles, ce qui évitait qu’elles s’étripent. Au lieu de ça, Shaïra comprit rapidement qu’elle avait affaire à une jeune Lamia, car elle hésita à apparaître, envisageant très certainement plutôt l’idée de fuir. Elle avait assurément reconnu en Shaïra une Echidna, ce qui sous-entendait un certain niveau d’éducation. Elle vit la Lamia se rapprocher, tout en demandant encore, incrédule, si elle comptait vraiment lui laisser l’humain. Ce dernier, de son côté, continuait à se débattre, en vain. La grosse queue de Shaïra le retenait, et elle aurait pu le broyer en quelques secondes si elle le voulait, alors elle répondit par un léger sifflement, en hochant la tête rapidement.
« Ssssssshaïra n’a qu’une parole, petite Lamia... »
Elle sentit les poings de sa proie s’abattre sur son torse, et émit un nouveau sifflement désapprobateur, puis serra un peu plus avec sa queue, faisant se crispant l’homme, qui en eut le souffle coupé. Ce petit ver l’agaçait, geignant, protestant, voulant en vain se libérer. Il n’y avait que les humains pour refuser d’admettre avec tant d’entêtement l’existence de la chaîne alimentaire. Ils se croyaient au sommet de la chaîne, mais ils n’en étaient en réalité qu’un maillon, et cet humain était tombé sur ses prédateurs. Cependant, la Lamia, réalisant l’ire naissante de l’Echidna, se dépêcha d’intervenir, et le mordit, répandant en lui un poison qui endormit rapidement l’homme.
Shaïra le relâcha alors, et l’homme s’effondra mollement sur le sol, puis elle s’amusa ensuite à tourner autour de la petite Lamia, l’observant silencieusement. Elle comprit, à travers ses explications, que la jeune Lamia était en train d’accomplir une sorte de rituel initiatique auprès de sa communauté, ce qui ne manqua pas de surprendre Shaïra.
*Une communauté de Lamias ?*
Jadis, les Lamias s’étaient regroupés dans des nids importants, mais avaient été progressivement éradiqués par les elfes, de telle sorte que, maintenant, l’espèce était très disparate, et que les Lamias avaient plutôt tendance de s’isoler. Apprendre qu’il existait à proximité un village peuplé de Lamias ne manqua pas d’aiguiser la curiosité de Shaïra. Néanmoins, elle commença par demander à la Lamia son nom, et cette dernière lui indiqua s’appeler Tylissa. Et, en ce moment, le souci de Tylissa était donc d’ouvrir sa poche ventrale. C’était une particularité propre aux Lamias, qu’on ne retrouvait pas chez les serpents, et qui ressemblait un peu à ce que les kangourous faisaient. Une Lamia pouvait en effet ouvrir l’espace de séparation entre son tronc et sa queue, en détendant ses muscles. Shaïra avait poussé le concept jusqu’à son paroxysme, en utilisant sa magie pour pouvoir séparer sa partie humaine de la partie reptilienne. Sa queue se transformait alors en un énorme serpent noir, tandis qu’elle se dotait de jambes humaines. Un peu comme certaines sirènes capables d’abandonner leur queue en foulant le sol humain pour se doter de jambes.
Shaïra, donc, comprit que Tylissa n’arrivait pas à ouvrir suffisamment sa poche pour que l’homme glisse à l’intérieur. Et encore, elle avait de la chance, car ce dernier n’était pas bien gros, et rentrait donc plutôt facilement. Shaïra sourit légèrement, émettant un nouveau sifflement, et se rapprocha à nouveau de la femme, se glissant dans son dos, et posa ses mains sur ses épaules.
« Shaïra connaît différentes techniques pour élargir ta poche, petite Tylissa... Dont une qui est très efficace. »
Sa langue fourchue jaillit de sa bouche, et alla caresser le cou de la femme, tout en déplaçant ses mains pour frotter ses hanches. Sous sa chemise, elle devinait déjà le corps somptueux de Tylissa (http://img110.xooimage.com/files/7/6/0/0fc1aa9a10eabfbed...3bc1e_hq-50d5502.gif), et siffla dans son dos, approchant ensuite à nouveau ses mains des boutons de la chemise, et tira sèchement dessus, arrachant la chemise.
« Tylissa n’a pas besoin de vêtements pour ce que Shaïra compte lui faire... »
Une Echidna, même femelle, était naturellement très dominatrice, et elle pressa ensuite ses seins, venant malaxer la lourde poitrine de la Lamia. Il y avait bien longtemps que Shaïra n’avait pas fait l’amour avec une de ses congénères... Et c’était un moment qu’elle ne voulait pas négliger. Elle malaxait donc les seins de la femme, pinçant et tirant sur ses tétons, tout en se renseignant davantage sur elle :
« Alors, la petite Tylissa est encore une enfant ? Combien de Lamias vivent dans le village de Tylissa ? »
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Tylissa était bien embêtée : incapable de faire rentrer l'humain dans sa poche caudale, et refusant d'obtenir l'excitation suffisante en le violant, elle se retrouvait dans une impasse. Heureusement pour elle, Shaïra avait une solution. Elle se glissa dans son dos, posa ses mains sur ses épaules et lui siffla qu'elle connaissait une méthode très efficace pour élargir sa poche caudale.
« Vraiment ? Et qu'est ce que c'est ? »
La jeune lamia, totalement inconsciente de ce qui allait lui arriver, ne comprit vraiment les intentions de sa congénère que lorsque cette dernière arracha sa chemise, libérant son opulente poitrine, qu'elle se mit à malaxer.
« Aahh… attendez… qu'est ce que vous… haaannn… »
En même temps qu'elle pressait ses seins, l'echidna passait sa langue fourchue dans son cou, caressant sa peau. Tylissa avait pour particularité d'avoir une pellicule de peau humaine recouvrant ses écailles, et c'était cette peau blanche et douce qui se faisait lécher.
« Aahh… Shaïra… hhhmmm… »
La jeune lamia fut questionnée par sa congénère, qui voulut savoir si elle était encore une enfant, et combien d'habitants il y avait dans son village. Emprisonnée et à sa merci, elle lui répondit sans même se poser de questions.
« Haann… je ne suis… une enfant… ooohhh… que de titre… »
Elle ne serait considérée comme une adulte qu'après avoir découvert le plaisir, que ce soit avec un humain s'agitant dans sa poche caudale ou en faisant l'amour avec une autre lamia. L'un comme l'autre semblait bien engagé.
« Il y a… hhhmmm… une vingtaine… de personnes… aaahhh… dans mon village… »
Tylissa avait de plus en plus de mal à se concentrer et à réfléchir avec ces nouvelles sensations qui la parcouraient. Elle avait beau être une adolescente proche de l'âge adulte selon les critères humains, elle restait totalement ignorante des choses de l'amour. Elle ne s'était jamais masturbée, n'avait touché sa poitrine qu'une ou deux fois, quand elle commençait à grossir, et maintenant elle était en train de se faire peloter sauvagement par une autre lamia.
« Hhhmmm… haaannn… »
Elle n'était pas prête à le dire à haute voix, mais elle était excitée par la façon dont Shaïra jouait avec sa poitrine tout en léchant son cou. Tout son corps tremblait et se chauffait agréablement, et une sensation encore inconnue se manifestait au niveau de ses deux vagins. C'était comme si elle faisait pipi, mais elle ressentait le besoin de frotter ses doigts contre ses fentes humides pour apaiser ce picotement. Cependant, elle n'avait pas les idées assez claires pour bouger.
« Aaahhh… hhhmmm… Shaïra… »
Elle n'aurait jamais pensé que sa première fois serait aussi sauvage, ni qu'elle y prendrait autant de plaisir, mais à présent, elle souhaitait que ça continue pendant encore longtemps.
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Shaïra était en train de se faire plaisir avec Tylissa. Cette jeune Lamia était en train de devenir une adulte, d’avoir un corps ferme et bien constitué. C’était une magnifique beauté, avec une élégante queue rouge et rose. Elle était parfaite, et l’Echidna, qui n’avait pas fait l’amour depuis plusieurs semaines, trop occupée à fuir les elfes, était ravie de pouvoir soulager sa frustration sexuelle sur Tylissa. La petite Lamia se débattait vainement, non pas pour se libérer, mais pour mieux ressentir toutes les sensations que Shaïra lui faisait, en étant incapable de parler. Elle soupirait, exprimant tout son plaisir par ce biais, remuant contre les mains de Shaïra, qui pétrissaient la généreuse poitrine de la femme. L’Echidna sifflait dans le creux de son cou, léchant sa peau, remontant le long de ce corps, tout en voyant la femme gémir, encore et encore, susurrant son nom.
Une vingtaine de Lamias, donc… C’était une petite communauté à échelle humaine, mais, vingt Lamias, ce n’était tout de même pas si mal. Est-ce qu’il y avait des Echidnas dedans ? Dans ces communautés, l’Echidna quittait souvent son rôle de solitaire, usant de sa force pour avoir une position déterminante. Est-ce que Shaïra n’allait donc pas se faire une pause ici ? Cette grande forêt était relativement vierge de la présence des elfes, de telle sorte qu’il n’y avait que de simples humains à soumettre. Et les humains étaient beaucoup moins dangereux que les elfes, ce qui faisait que, tout en jouant avec les seins de Tylissa, en pinçant et en tirant sur ses tétons, Shaïra réfléchissait à son futur proche. Est-ce qu’elle rejoindrait cette communauté plus tard ?
*Qui sait ? Tylissa a l’air d’être magnifique, et, si le reste du peuple est à son image…*
Shaïra soupira lentement, et finit par déplacer ses mains, les approchant de sa minijupe, et la déchira à son tour, la mettant, ainsi, toute nue. Pendant ce temps, les deux serpents situés le long de ses cheveux se déplacèrent, s’approchant de ses seins. L’Echidna se mit à sourire doucement, pendant que les langues fourchues des serpents sifflaient et léchaient sur chacun des tétons.
« Nagi et Naga t’aiment aussi beaucoup, Tylissa… »
Les bouches des serpents remplacèrent ainsi ses mains, car Shaïra caressait avec elles la fente intime de Tylissa, frottant sa peau et ses écailles, griffant même cette dernière. Entreprenante et autoritaire, l’Echidna avait rapidement pris ses aises avec le corps de la femme, et sifflait encore contre elle, toute heureuse, et manifestement, aussi, toute excitée.
« Tu es vierge, hein, petite Tylissa ? Shaïra le sent… Rassure-toi, elle va longuement s’occuper de toi… Maintenant, dis-moi… Qui commande ton village ? Avez-vous déjà un Echidna pour assurer votre protection ? »
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Tylissa n'avait encore jamais connu le plaisir. On lui en avait déjà parlé, mais jamais elle ne l'avait expérimenté. Jamais elle n'avait eu envie de se toucher, ou que quelqu'un d'autre le fasse. Et maintenant, elle était jetée sans aucun ménagement dans la découverte de l'excitation et du plaisir de la chair. Shaira était une amante forte et, comme la plupart des Echindas, elle était de nature autoritaire. La jeune lamia ne pouvait pas la repousser, elle n'en avait même pas envie, elle souhaitait plus de caresses, avec autant de force et de poigne que possible. Sa zone intime dégoulinait de cyprine et, comme si son amante avait entendu ses pensées, elle approcha ses mains de sa jupe pour la déchirer comme elle l'avait fait avec sa chemise. Elle aimait bien ces vêtements, mais l'excitation dépassait ses autres sentiments.
« Aahh ! Shaïra... vous êtes... si puissante... »
Tylissa regarda avec peine les mains de l'echinda s'écarter de sa poitrine, mais elles furent vite remplacées par les serpents situés le long de ses cheveux, dont les langues fourches se mirent à lécher ses tétons, pendant que ses doigts fouissaient ses deux vagins trempés.
« Haaannn ! Oh oui ! »
Shaïra avait bien senti que la jeune lamia était encore vierge, et lui promettait de longuement s'occuper d'elle.
« Aahh... ce sera... avec plaisir... hhhmmm... »
Tylissa était restée vierge par obligation, le rite de passage à l'âge adulte exigeant une pureté physique totalement conservée, et ça ne l'avait pas gênée ou frustrée le moins du monde. Mais maintenant, sa pureté allait disparaître, au profit de la sensation merveilleuse que procurait l'acte sexuel. Et qui de mieux qu'une Echinda pour franchir ce cap ? Cette dernière l'interrogea sur la hiérarchie de son village.
« Oohh... il n'y a pas... de chef... nous nous dirigeons... tous ensemble... »
Le village fonctionnait comme un grand conseil, chaque décision affectant la communauté était prise en groupe et non imposée tant que la majorité ne tranchait pas.
« Avant... hhmm... nous avions... un chef... Echinda... mais... aahh... les elfes... »
Durant la fuite de leur nid, les lamias qui habitaient à présent le village de Tylissa avaient laissé derrière elles un puissant mâle Echinda, que les elfes avaient brutalement tué. N'ayant plus personne pour les diriger, elles fuirent le plus loin possible des territoires contrôlés par les oreilles pointues, et refirent leur vie au milieu d'une forêt sur les terres des humains.
« Hhhmmm ! Oh c'est trop bon ! »
Mais la jeune fille n'avait plus envie de penser à ça, elle voulait connaître enfin les joies du sexe, et se faire prendre contre un arbre par la créature dominatrice qui la tenait entre ses griffes.
« Faites moi l'amour... s'il vous plaît. »
Elle n'osait toujours pas bouger ses mains ou faire quoi que ce soit, d'abord parce qu'elle ne savait pas comment s'y prendre, et ensuite parce que l'autorité de Shaïra la dominait complètement.
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Aucun chef, donc ? C’était un curieux concept... Mais pas si improbable que ça. Les Lamias formaient une espèce très solitaire, ce qui pouvait expliquer ce côté anarchiste, mais, dans les communautés, il y avait toujours une Reine lamia, généralement quand la communauté était formée de ses propres petits. Visiblement, le village de Tylissa était un peu différent, et Shaïra eut quelques explications supplémentaires quand, entre deux soupirs, la Lamia lui expliqua que, jadis, un Echidna les protégeait, avant d’être tué par les elfes. Shaïra n’en demanda pas plus, car elle comprenait ce qui s’était passé. Avant d’être ici, cette communauté devait vivre à l’autre bout de la forêt, près de terres elfiques, et, comme à leur habitude, les elfes avaient chassé des créatures qu’ils voyaient, à raison, comme des prédateurs. Shaïra n’en demanda donc guère plus, et sentit que Tylissa voulait autre chose.
Ses gémissements, le frémissement de ses écailles, la jeune Lamia était en chaleur, et supplia Shaïra de lui faire l’amour. Nagi et Naga, qui continuaient à jouer avec les seins de la femme, tirèrent à nouveau sur ces derniers, les écartant l’un de l’autre, leurs langues enroulées autour de ses tétons, avant de continuer à les secouer. Tylissa était entre ses griffes, et la main de Shaïra caressa son visage, son autre main, elle, se glissant dans son intimité, une petite fente située à la jonction entre sa partie humaine et sa longue queue, en sortant de la mouille.
« Shaïra sent l’excitation de la petite Tylissa... Elle aime beaucoup ça... »
Et, tout en étant dans le dos de la femme, Shaïra écarta deux écailles, révélant ainsi son propre sexe, et se concentra rapidement, ne tardant pas à en faire sortir une magnifique verge, qui alla taper contre les fesses de la femme. Un membre bien érigé, un mât de chair qui aurait fait rougir de honte bien des mâles, car il traduisait l’exceptionnelle vigueur de l’Echidna, qui siffla encore, tout en se frottant dans le dos de la femme. Nagi et Naga délaissèrent alors ses seins, et Shaïra se déplaça encore, approchant sa bouche de l’oreille de la femme, et la lécha sensuellement, avant de lui faire une promesse :
« Shaïra ne va pas juste te faire l’amour, elle va te baiser bien fort ! »
Inutile d’attendre plus longtemps, elle-même avait une furieuse envie de la prendre, et agit donc, retournant Tylissa, puis s’élança en avant, venant enrouler sa queue autour de la sienne, plaquant Tylissa contre l’arbre, faisant trembler ce dernier. La lourde queue de Shaïra, plus épaisse et plus longue que celle de Tylissa, s’enroulait autour d’elle, et glissait ensuite sur le sol. Les deux Lamias se faisaient face, et Shaïra serra dans ses mains celles de son amante, les plaquant contre l’écorce de l’arbre, au-dessus de sa tête, puis siffla à nouveau.
Les deux beautés s’observèrent pendant quelques secondes, la queue de Shaïra caressant les hanches de la femme, glissant sur ses écailles, puis elle banda ses muscles, et laissa l’un de ses serpents s’enrouler autour de sa queue, et, ainsi, la guider sans problème vers l’intimité de Tylissa... Puis, dans un sifflement supplémentaire, Shaïra s’enfonça d’un coup sec, brisant l’hymen de Tylissa tout en aplatissant son corps contre le sien, sentant toute la raideur de ce con, cette chatte qui n’avait encore jamais goûté à la moindre queue, et qui allait maintenant se faire sévèrement labourer.
« Vassss-y, Tylissssaa... H-Hurle... Hurle pour Sssssssssssssshaaaaïraaaa !! »
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Tylissa n'avait eu qu'à demander, et Shaïra fit apparaître une belle verge entre ses cuisses, qu'elle sentit taper contre ses fesses. L'hermaphrodisme était un phénomène qu'elle connaissait, et ne fut donc pas étonné de voir qu'une Echidna était capable d'une telle prouesse. Elle lui murmura à l'oreille qu'elle n'allait pas se contenter de lui faire l'amour, elle lui promit de la baiser bien fort.
« Hhhmmm… ooohhh… »
La seconde d'après, la jeune lamia se retrouva plaquée contre le tronc d'un arbre, sa queue enroulée dans celle de son aînée, ses mains dans les siennes. Excitée par ce sentiment de soumission, elle tremblait et soupirait, fixant son amante droit dans les yeux comme si elle craignait de se faire dévorer en détournant le regard. Elle ne ferma les yeux que lorsque le sexe de Shaïra la pénétra, déchirant son hymen d'un coup sec.
« Aaaaahhhhh ! Ça fait maaaaal ! »
Sa chatte virginale venait de connaître sa première pénétration, et la douleur était insoutenable. Heureusement, cette souffrance disparut bien vite, son intimité s'habituant assez vite à la présence d'une queue en elle. Dès les premiers mouvements, le plaisir l'envahit, tel un délicieux frisson.
« Haaannn… mmmhhh… oui… oui… ça va mieux… »
Cette sensation… jamais au cours de sa vie elle n'en avait connu de telle. Tout son corps vibrait à l'unisson, ce qui n'était qu'un petit frissonnement se transformait en un tumulte, dont la force se concentrait dans sa poitrine et son bassin. Si elle n'avait pas eu les mains coincées, elle se serait malaxée les seins frénétiquement. Elle était plus chaude qu'elle ne l'avait jamais été auparavant, et c'était tellement agréable qu'elle aurait souhaité ne jamais refroidir.
« Oh oui… encore… hhhmmm… »
Hélas pour elle, les vierges ont du mal à tenir lors de leur première fois, et en à peine plus d'une minute, Tylissa connut son premier orgasme, d'une telle force qu'elle crut que son corps allait exploser.
« AAAAAHHHH ! »
La lamia se raidit complètement, son vagin se comprima autour du sexe de Shaïra et envoya un flot de mouille sur la queue de cette dernière. Elle resta tendue comme une corde d'arc pendant plusieurs secondes, puis se laissa complètement retomber. La queue de son amante était comme un cocon chaud et douillet, où elle se sentait à son aise.
« Aahh… Shaïra… merci… beaucoup… »
Mais un seul coup ne suffirait pas à calmer une vierge fraîchement dépucelée, il lui en fallait encore.
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« Ne t’inquiète pas, Shaïra va chasser la douleur, hmmm... »
Tylissa avait un vagin très étroit, vu que c’était la première fois que quelqu’un la pénétrait. De plus, ce n’était pas un petit calibre qui s’immisçait en elle, mais la verge tendue et épaisse d’une puissante Echidna. Autrement dit, c’était une magnifique érection, car les Echidnas étaient, par définition, des Lamias très puissants. Shaïra, sur ce point, était à la hauteur de leur réputation, et avait rapidement percé l’hymen de la jeune femme, avant de continuer à la prendre, s’enfonçant en elle. Elle y allait plutôt franchement, tout en étant naturellement restreinte par les parois de la femme. Contre elle, la belle petite Lamia était en train de chauffer, son corps heurtant à plusieurs reprises l’écorce du tronc de l’arbre, d’avant en arrière. Puissante et massive, Shaïra crispa davantage sa queue autour de la sienne, bandant ses muscles, et continua à la pénétrer, sans encore l’embrasser.
Pour l’heure, Shaïra savourait surtout le spectacle du visage de Tylissa, un visage qui était en train d’exprimer tout le plaisir qu’elle ressentait. Et ce plaisir s’exprima de la plus belle des manières quand Tylissa connut son orgasme. Son corps se tendit sous l’effet d’une vague incroyable de plaisir, et l’orgasme la transperça, la saisissant de plein fouet, avant de la laisser pantoise. Elle sentit la mouille de la jeune femme entourer sa verge, puis vit le regard de Tylissa, qui exprimait une joie infinie.
Shaïra en retour, lui sourit, et la poussa alors, venant la coucher sur l’herbe, la dominant toujours, sa queue toujours plantée en la sienne.
« Ne remercie pas encore Shaïra, petite Tylissa... Car elle n’en a pas fini avec toi. »
Couchée contre elle, Shaïra alla l’embrasser, posant une main sur ses cheveux, et recommença ensuite ses coups de reins, sa queue se soulevant avec celle de Tylissa. Endurante, l’Echidna ne comptait pas s’arrêter si facilement, et, puisque Tylissa avait joui une première fois, tout ce qu’elle allait faire, c’était joyeusement continuer sur cette lancée. Shaïra multipliait donc les coups de reins en elle, grognant et soupirant profondément de plaisir, rompant son baiser pour lécher ses joues, aplatissant son corps contre le sien, et se mouvant de plus en plus facilement dans sa luisante intimité.
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Épuisée par ce soudain torrent de plaisir dans son corps, Tylissa pensait pouvoir se reposer un peu dans la queue de Shaïra, mais cette dernière la coucha immédiatement sur l'herbe, la dominant toujours de son imposante stature, sa queue maintenue dans son intimité humide. Avant d'avoir pu placer un mot ou bouger un muscle, la jeune lamia eut droit à un autre baiser, sentit une main passer dans ses cheveux, et ne put que gémir en sentant le sexe de l'echidna bouger en elle à nouveau.
« Aahh... aaahhh... »
Sa queue de serpent se soulevait avec celle de son amante, et retombait sur l'herbe à chaque coup de rein, intensifiant le plaisir de la pénétration. Quand Tylissa ne se faisait pas embrasser par Shaïra, cette dernière lui léchait le visage, et elle aimait tellement ça qu'elle aurait souhaité ne jamais avoir à s'arrêter. Son vagin était maintenant habitué à la présence d'un phallus en elle, et la douleur avait totalement disparue pour laisser place à une excitation incontrôlable. La jeune fille se tortillait vainement, l'étreinte de sa partenaire dominante ne laissant aucune marge de manœuvre, mais cette sensation d'emprisonnement l'excitait encore plus. Sans le savoir, elle se découvrait une âme de soumise, trouvant plaisant le fait d'être à la merci de son amante.
« Haann... oui... oui... mmmhhh... »
Peu à peu, les couinements de la lamia se changèrent en cris, sentant qu'un nouvel orgasme arrivait à toute allure. Elle fit de son mieux pour le retenir, gagnant ainsi quelques précieuses minutes, au cours desquelles elle savoura les performances incroyables de l'echidna, qui multipliait les pilonnages avec toujours plus de puissance, et finalement arriva au bout de ses limites. Ses mains, toujours prises dans celles de Shaïra, se serrèrent de toutes leurs forces au moment de l'orgasme.
« AAAAAHHHHH ! »
Un nouveau flot de mouille s'échappa de son intimité, puis elle fut encore prise d'une immense lassitude, et se laissa complètement retomber.
« Haann... merci... Shaïra... »
Tylissa était aux anges, mais pour elle, le sexe était aussi plaisant que fatigant.
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Shaïra n’en doutait pas ; Tylissa était puissante. Comme tous les Lamias, elle disposait d’une endurance exceptionnelle, mais, à force de grandir dans un cocon, elle avait probablement dû mésestimer sa propre force. Qu’on soit Lamia ou humain, l’oisiveté restait mère de tous les vices. L’Echidna sentait sa force, sa puissance, tandis qu’elle la labourait, et leurs queues mutuelles fouettaient durement le sol. Apprendre que cette communauté avait eu un Echidna comme Alpha, et qu’elle était maintenant privée d’un commandant, avait renforcé l’excitation de Shaïra. Bien que solitaire, la Lamia se voyait bien commander un peu ce groupe, au moins pendant quelques temps, avant de repartir. Et puis, avec une amante comme Tylissa, elle était sûre d’être comblée. Sa verge continuait à labourer la femme, et Shaïra se régalait des cris de plaisir et des hurlements que la petite Lamia poussait, en se tortillant sur le sol, sa queue fouettant celle de Shaïra, leurs écailles vibrant ensemble.
Sifflements et cris rythmaient leurs ébats intenses, car, contrairement aux humains, elles n’avaient pas de jambes, mais des queues, et ces dernières remuaient donc, soulevant des mottes de terre, la grosse queue de Shaïra s’enroulant sensuellement autour de celle de Tylissa, la comprimant quand Shaïra était traversée par des spasmes de plaisir. Son épaisse virilité la labourait, défonçant le champ humide de la belle Tylissa, qui laissait tout son plaisir s’exprimer, et... Ah, par toutes les Lamias du monde, comme elle était belle !
« Kssssss... Haaaaa... !! »
Pour exprimer son plaisir, Shaïra soupirait, et retourna embrasser fiévreusement la femme, fourrant sa langue en elle, avant de mordiller et de lécher son cou, s’amusant surtout à lécher sa belle petite peau douce. Elle filait le long de son cou, de sa joue, ressentant toute la chaleur et toute la tendresse de cette magnifique beauté.
« Hmmm... Haaaaaa... !! »
La queue de Shaïra semblait grossir et enfler, tandis qu’elle approchait de l’orgasme. Elle sentit le plaisir croître, et, dans un nouveau soupir, se relâcha alors, balançant d’épais chapelets de foutre, remplissant fougueusement le ventre de la belle Tylissa. Shaïra siffla langoureusement, et le corps de Tylissa se trémoussa sur place, avant de progressivement se calmer. La Lamia semblait fatiguée, et Shaïra sourit encore, remontant sa main, s’en servant pour caresser doucement son ventre.
« La petite Tylissa ne va pas se reposer tout de suite... Shaïra sent que la vie peut battre dans son ventre... »
Est-ce qu’elle venait de la mettre enceinte ? Ce scénario était tout à fait possible, compte tenu de ce que Shaïra avait balancé en elle. Elle retira alors son sexe, et s’amusa à lécher ses seins, glissant sa langue dessus, soupirant de plaisir. Son amante avait une peau terriblement douce, et particulièrement agréable.
« Shaïra adore tes seins, Tylissa, et... Hum... Ta magnifique peau, aussi. Mais elle sait que tu as encore bien des forces en toi, car... Tu es une Lamia, Tylissa, pas une fragile petite humaine, alors... N’espère pas te reposer si facilement, pas avec Shaïra en face de toi. »
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Avec une amante aussi puissante et endurante que Shaïra, Tylissa ne pouvait rien faire d'autre que courber l'échine et laisser parler son corps. Heureusement, elle n'avait pris que du plaisir jusqu'à maintenant, et elle n'avait pas de raison de croire que ça allait changer. Elle sentit la main de l'echidna caresser son ventre, en parlant de la vie qui pourrait y battre et, même si la jeune lamia était vierge jusqu'à peu, elle savait très bien comment étaient faits les enfants.
Moi… enceinte ?
Peut-être l'était elle déjà, avec tout le foutre que son amante avait balancé dans son utérus, mais si ce n'était ps encore le cas… avait-elle seulement son mot à dire ? Avec une amante aussi dominatrice, et son esprit affaibli par la tornade de plaisir qui déferlait en elle, elle n'aurait pas pu protester. Sa mère lui avait expliqué que, en tant que femelle, elle avait la lourde tâche de participer à la repopulation de son espèce, presque exterminée par les elfes. Si cette tâche devait débuter dès maintenant, qu'il en soit ainsi. Tylissa se laissait docilement faire tandis que Shaïra faisait glisser sa langue de serpent sur sa poitrine.
« Shaïra adore tes seins, Tylissa, et... Hum... Ta magnifique peau, aussi. Mais elle sait que tu as encore bien des forces en toi, car... Tu es une Lamia, Tylissa, pas une fragile petite humaine, alors... N’espère pas te reposer si facilement, pas avec Shaïra en face de toi. »
« Haann... Shaïra... je suis... tout à vous... hhhmmm... »
Très vite, les autres parties du corps de l'echidna se mirent à tripoter chaque recoin du corps hypersensible de la jeune lamia, qui gémissait et se tortillait comme un ver. Elle savait qu'elle ne pourrait jamais échapper à l'étreinte de son amante, pourtant elle ne pouvait pas s'empêcher d'essayer, et le sentiment de restriction qui en découlait l'excitait encore plus. Mais il y avait toujours cette même question qui la taraudait à propos d'un possible grossesse. Il fallait qu'elle en ait le cœur net et, entre deux gémissements, elle interrogea sa partenaire.
« Shaïra... est ce que... kyyaahh... vous allez... me mettre enceinte ? »
Même si Tylissa ne s'opposait pas à l'idée, elle voulait quand même être fixée.
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Plus Tylissa feignait de se débattre avec sa queue, et plus celle de Shaïra se frottait contre la sienne. Leurs deux queues se serraient, les écailles vibrant lentement. C’était bien le terme adéquat : des vibrations. Les écailles se frottaient mutuellement, engendrant une série de vibrations et de mouvements. Les queues caudales se pressaient entre elles, et Tylissa, en soupirant, subissait les multiples assauts de Shaïra. Elle léchait ses seins, et, avec ses mains, caressait sa peau, griffant cette délicieuse texture douce et chaude. Tylissa avait effectivement une peau très tendre, comme celle d’un beau petit bébé, et elle se tortillait lentement, impuissante devant Shaïra, qui jouait avec elle en souriant langoureusement.
Shaïra prenait tout son temps, alternant avec la douceur, après la dureté dont elle avait fait preuve en la pénétrant... Car l’Echidna savait aussi se montrer douce. Elle léchait ainsi le corps de Tylissa, l’embrassant régulièrement, autour des seins. Son torse, ses épaules, sa nuque, son menton, et ses lèvres... Cette zone circulaire faisait l’objet des multiples attentions de la Lamia, jusqu’à ce qu’elle ne s’interrompe, lorsque Tylissa lui demanda si elle était enceinte... Ou, plutôt, si Shaïra comptait la mettre enceinte. L’Echidna sourit alors, et caressa de sa main la joue de son amante, venant ensuite croiser son regard avec le sien.
« Shaïra pense que Tylissa est déjà enceinte d’elle... Shaïra est une Echidna très fertile, et Tylissa l’est aussi. Tylissa appartient à une race de Lamias conçus pour porter des bébés, et pour repeupler notre race, alors que Shaïra, elle, est une Echidna, une race connue pour leur virilité, leur vitalité. »
C’était vrai. Shaïra l’avait senti en couchant avec Tylissa, et la manière dont la délicate Lamia se comportait en était la preuve. Tylissa n’était pas une Lamia-guerrière, mais une Lamia-ouvrière. Son rôle était de porter des bébés, et elle ne savait pas vraiment se battre. Quand les elfes avaient commencé à exterminer les Lamias, les Lamias comme Tylissa avaient été leurs proies favorites, car ils savaient que, en les tuant, ils empêcheraient leurs ennemis de se reproduire. Shaïra, elle, était une Echidna, et, qu’elle soit femme ou homme, ça ne changeait, en soi, pas grand-chose au fait qu’elle était fertile. Pour l’expliquer autrement, il existait certaines catégories de serpents qui pouvaient changer de sexe, comme le Jararaca-ilhoa, un serpent hermaphrodite pouvant changer de sexe, et qui régnait en maître dans son environnement natal. L’Echidna avait hérité de certaines capacités de ce serpent, et pouvait, à ce titre, survivre plusieurs mois sans manger, et changeait de sexe. Chez Shaïra, c’était sa queue caudale qui était hermaphrodite, car son tronc humain, lui, était féminin.
En somme, elle pouvait très facilement engrosser les autres Lamias, et, suite à ses explications, Shaïra alla caresser le ventre de Tylissa, et lui sourit.
« Shaïra ne sait pas si Tylissa est déjà enceinte ou pas... Mais, quand Shaïra en aura fini avec elle, Tylissa le sera sûrement... »
Shaïra lui sourit à nouveau, et alla l’embrasser, plaquant sa bouche contre la sienne, et enfonça sa longue langue fourchue en elle, remuant avec celle de Tylissa. Leur baiser dura quelques longues secondes, puis Shaïra le rompit, et lécha la joue de Tylissa.
« Tylissa a envie de porter les bébés de Shaïra ? » lui demanda alors Shaïra, en lui léchant le lobe de l’oreille.
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A l'entendre, Shaïra avait bien l'intention d'engrosser Tylissa, elle ajouta même que sa partenaire était peut-être déjà enceinte vu que les deux étaient des créatures très fertiles.
« Ah... ah bon... vraiment ? »
La jeune lamia ne connaissait pas les spécificités qui différenciaient les guerrières et les ouvrières, elle ne différenciait les membres de son espèce que par leur race. Mais à entendre l'echidna, il était aussi possible de les classer par leur fonction. Suite à quoi elle caressa son ventre en souriant, lui prédisant qu'elle finirait engrossée après en avoir fini avec elle. La jeune fille partagea ensuite un baiser avec elle, dans lequel leurs langues se rencontrèrent délicieusement. Après quoi elle lui demanda si elle avait envie de porter ses bébés.
« Je... haann... ce serait... un honneur... de porter les bébés... d'une femme... aussi belle... et forte... que vous. »
Oui, Tylissa savait qu'elle était destinée à devenir une mère porteuse pour son espèce, qu'il fallait faire renaître des cendres d'un terrible massacre, et pourquoi ne pas commencer en beauté avec les bébés d'une echidna ? Portée par un élan de désir, la jeune lamia posa ses mains sur les joues de Shaïra et l'embrassa passionnément, faisant danser sa langue avec la sienne, pour finalement la relâcher.
« S'il vous plaît... baisez moi bien fort... remplissez moi... de vos beaux bébés... »
Maintenant, plus moyen de faire demi-tour. Tylissa trembla de tout son corps quand Shaïra revint à la charge pour s'occuper d'elle. Cette fois, elle n'avait plus aucun doute qu'elle allait bientôt porter des petits lamias dans son ventre. Sa maman allait avoir du mal à y croire à son retour au village.
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Les Echidnas étaient très vigoureux, car la Nature les avait voulu vigoureux. Ils devaient l’être, car ils étaient peu nombreux, et particulièrement féconds. Dans une communauté lamia typique, le rapport de force était souvent d’un Echidna pour tout un troupeau de Lamias. Dominateurs et possessifs, les Echidnas avaient du mal à cohabiter ensemble. C’était comme avoir deux coqs dans le même poulailler, l’un finissait toujours par chasser l’autre. Et, dans le cas des Lamias, c’était, fondamentalement, le même raisonnement. Dans la communauté classique, il y avait un Echidna entraînant avec lui une foule de Lamias ouvrières femelles, afin de les engrosser. L’Echidna étant hermaphrodite, il assumait à la fois les fonctions de Roi guerrier et de Reine. Shaïra était donc très fertile, mais, surtout, très endurante. Bien trop pour Tylissa ? Peut-être... Mais l’Echidna sentait en Tylissa une vitalité exceptionnelle, ce qui ne manquait pas de l’exciter.
La Lamia l’embrassa donc, et lui demanda de la baiser encore... Ça, inutile de le répéter ! Shaïra sentit sa queue durcir, et pénétra à nouveau Tylissa, la baisant sauvagement à même le sol. Elle sifflait joyeusement, crispant sa queue caudale contre celle de Tylissa, s’enroulant autour d’elle, ce qui fit que, quand elle soulevait et abaissait sa queue, celle de Tylissa suivait, leurs membres frappant le sol, soulevant des mottes de terre, pendant que Shaïra continuait à la prendre.
« Hnnnnnn... Haaaaaaa... Ty-Tylissa, hmmmm... !! »
Shaïra sentait sa queue croître encore, et multipliait les coups de reins, encore et encore, coinçant Tylissa, qui couinait et gémissait, en se tortillant par terre, ses délicieux cris et gémissements venant remplir les oreilles de l’Echidna. Se pinçant les lèvres, Shaïra gémit en sentant un frisson la traverser, une crispation musculaire qui se détendit ensuite. Un long soupir s’échappa de ses lèvres, et elle poursuivit ses coups de reins, s’enfonçant encore en elle. Shaïra gémissait longuement, le plaisir éclatant en elle, tandis que Tylissa se débattait, couinait, et gémissait.
« Ty-Tylissa, hmmm... !! Hmmmm... !! »
Les minutes défilèrent, pendant que l’Echidna continuait à la bourrer. Son membre turgescent se perdait en elle, et rien ne semblait devoir réfréner la vitalité exceptionnelle de Shaïra, qui, pour le coup, était clairement à la hauteur de sa réputation. L’Echidna continuait donc à la prendre, à la remplir longuement, et finit par atteindre, au bout de nombreuses minutes, son orgasme.
Tout en la prenant, ses serpents venaient lécher et mordiller les seins de Tylissa, la stimulant davantage... Ils léchaient ses tétons, tiraient sur les seins, rythmés par les mouvements de Shaïra, ses puissants coups de reins. Elle continuait à s’agiter en elle, jusqu’à balancer d’épais filaments de foutre, le tout dans un profond soupir. Shaïra soupira en s’abandonnant en elle, remplissant le corps de la femme.
« Haaaaa... !! »
Shaïra papillonna ensuite des yeux, et retourna Tylissa. Ses seins s’enfoncèrent contre son dos, et elle embrassa son cou, apposant sa main sur son ventre, une autre frottant ses côtes.
« Shaïra sait que tu es enceinte, maintenant. Elle veillera sur la petite Tylissa, et la protègera fort, elle et ses bébés... »
Elle lui fit un nouveau baiser, et frotta son visage contre le creux du cou de Tylissa, dans un élan particulièrement affectueux, jurant ainsi avec le caractère sauvage et passionnel de la Lamia. Affectueuse, elle avait toutes les raisons de l’être ; Tylissa était enceinte d’elle !
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Prise entre les griffes de Shaïra, Tylissa vivait un pur moment d'extase. Son instinct naturel de soumission envers les lamias plus puissantes s'exprimait pleinement face à l'echidna, et lui procurait du plaisir pour une raison qu'elle ignorait encore. Son corps était parcouru de vagues de plaisir en réponse aux assauts furieux de sa partenaire, multipliant les coups de reins tout en la maintenant prisonnière dans sa queue.
« Haaannn... Shaïraaaaa... ooohhh... »
Elle sentait ce membre puissant grossir dans son intimité chaude et humide, et ne pouvait plus contrôler son corps. Gémissant, couinant et s'agitant, elle se laissait noyer par l'extase, heureuse comme elle l'avait rarement été au cours de sa vie.
Les minutes défilaient, Tylissa se fit bourrer encore et encore sans aucun relâchement de Shaïra, et elle découvrait que son corps, qu'elle croyait encore immature et mou, avait en fait d'incroyables réserves. Jamais elle n'aurait pensé pouvoir suivre la cadence, et pourtant... La queue de l'echidna lui astiquait les chairs internes, ses serpents jouaient avec les points tendues au bout de ses seins, et malgré ça elle se sentait capable de tenir longtemps, jusqu'à ce que quelque chose la force à arrêter. Puis finalement, à force de se faire besogner, elle trouva la joie de l'orgasme.
« Oui ! Oui ! AAAAHHHH ! »
Sa mouille arrosa le sexe de Shaïra qui, peu de temps après, balança des chapelets de foutre tout au fond de son utérus. Une fois la secousse de plaisir passé, Tylissa se retrouva couchée sur le ventre, l'echidna au-dessus d'elle, et elle écouta ses murmures à son oreille tandis qu'elle lui caressait le ventre et les côtes.
« Aahh... alors ça y est... finalement... je suis enceinte. »
Difficile de croire que, moins d'une heure avant, Tylissa était une jeune lamia vierge qui parcourait la forêt à la recherche de sa première proie humaine.
« Shaïra... je suis... tellement heureuse... merci. »
Elle laissa l'echidna l'embrasser et frotter son visage dans le creux de son cou, sa douceur soudaine contrastant avec sa force de dominatrice, mais ce n'était pas pour déplaire à la jeune lamia, qui se serrait contre elle en un tendre et affectueux câlin.
« Shaïra... je... je les sens... qui bougent en moi... »
En fait, ce qu'elle sentait n'était que des fourmillements d'excitation et de joie à l'annonce qu'elle allait bientôt être maman, et qu'elle était déjà sous la protection de son amante, mais elle était pourtant convaincue que c'était ses bébés lamias qui bougeaient.
« C'est... je n'arrive pas à y croire. Est ce que je vais me réveiller... et rien de tout ça ne sera arrivé ? »
Difficile de croire que tout ça n'était pas réel, mais Tylissa était encore jeune, et avait perdu sa virginité il y a peu, son esprit avait du mal à suivre tout ce qui s'était passé. Malgré ça, elle se répétait dans sa tête que tout était vrai, autant pour se persuader que pour ne pas fondre en larmes à cause de la joie. D'ailleurs, elle avait déjà des débuts de larmes aux coins des yeux.
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Shaïra se montra à la hauteur de la réputation des Echidnas, bourrant le corps de la jeune Tylissa sans relâche. Encore, et encore et encore, elle s’enfonçait vigoureusement en elle, sa massive verge pilonnant ses chairs, écartelant ses lèvres intimes en la défonçant. La Lamia soupirait et sifflait, se découvrant une véritable passion pour la petite Tylissa. Ses généreux seins, ses hanches, sa peau douce, ses gémissements onctueux, sa mignonne queue rosâtre, les écailles roses sur ses joues... Tout en elle était mignon, et elle hurlait de joie, se tortillant contre Shaïra, qui multipliait les coups de reins. Un orgasme explosa finalement, magnifique, et elle se répandit lourdement et longuement dans le ventre de la jeune Tylissa, la remplissant avec joie.
C’est donc ensuite qu’elle se frotta contre elle, la câlinant tendrement, léchant sa peau. Tylissa était enceinte, et elle hocha la tête, quand Tylissa se fit la remarque.
« Oui... Cette fois, il n’y a plus aucun doute, petite Tylissa. »
Tylissa portait ses bébés, mais Shaïra sourit quand elle avoua qu’elle les sentait déjà. C’était impossible, bien entendu, car, à ce stade, les « bébés » n’étaient que des spermes en train de se mélanger à des ovules, et qui formeraient ensuite des œufs que Tylissa pourrait cracher sur le sol, et veillerait ensuite sur eux avec sa queue, jusqu’à les voir éclore. Shaïra sourit en la voyant pleurer. Aussi dominatrice soit-elle, l’Echidna pouvait aussi se montrer compatissante et aimante, et c’était là ce qu’elle était en train de faire, en retournant embrasser tendrement ses lèvres.
Shaïra esquissa un léger sourire, et frotta une nouvelle fois son nez contre le sien, puis apposa sa main sur son sein, et pinça alors le téton, faisant couiner la jeune femme.
« Tylissa ne rêve pas... Mais elle sentira bientôt les œufs pousser en elle. D’ici quelques jours, elle pourra les relâcher, et devra ensuite veiller sur eux dans un nid chaud, en les recouvrant avec sa queue. »
L’incubation était plutôt rapide, allant, selon les cas, de quelques jours à une ou deux semaines. En attendant, Shaïra continuait à se frotter contre Tylissa, effectuant des gestes très amoureux, se voulant très tendres, et extrêmement affectueux. Les baisers se multipliaient, ainsi que les caresses, et elle se mit sur le flanc de Tylissa, caressant son ventre et ses côtes, grattant sa peau, léchant son cou.
« Tylissa aura de beaux bébés, et Shaïra les aimera beaucoup. Elle protègera votre communauté, car cette dernière abritera ses enfants. Et toi, Tylissa... Toi, tu seras la première amante de Shaïra, car Shaïra t’aime énormément. Tu es très belle, très douce, avec un corps parfait... »
Shaïra remonta sa main pour agripper le menton de la jeune femme, et tourna sa tête vers la sienne, pour l’embrasser encore, tendrement, faisant claquer ses lèvres contre les siennes.
« Oui, Shaïra t’aime, Tylissa... »
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Tylissa était partagée entre son incommensurable joie et son impression que c'était justement trop beau pour être vrai. En réponse, Shaïra l'embrassa encore une fois, frotta son nez contre le sien et pinça un de ses tétons, la faisant glapir de plaisir et de surprise.
« Ah ! »
L'echidna lui affirma que, d'ici peu de temps, elle sentirait les œufs grandir en elle et, après quelques jours, pourrait les relâcher. A partir de là, elle devrait les mettre dans un nid chaud et veiller sur eux jour et nuit, en les recouvrant avec sa queue.
« Haann... alors il faudra... que je construise un nid... en revenant au village. »
Tylissa n'y connaissait rien en couvaison, hormis le peu que sa mère lui avait expliqué, elle allait avoir besoin de toute l'aide disponible pour s'assurer que ses bébés viendraient bien au monde. Car si elle devait les perdre à cause de la moindre erreur, même la plus infime, jamais elle ne se le pardonnerait.
La jeune lamia se laissait câliner avec plaisir par Shaïra, dont la soudaine douceur était étonnante mais pas désagréable. Les baisers, les caresses, même les ongles grattant la peau de son ventre, tout ça était délicieux.
« Tylissa aura de beaux bébés, et Shaïra les aimera beaucoup. Elle protègera votre communauté, car cette dernière abritera ses enfants. Et toi, Tylissa... Toi, tu seras la première amante de Shaïra, car Shaïra t’aime énormément. Tu es très belle, très douce, avec un corps parfait... »
« Vous... vous trouvez vraiment ? »
Cette avalanche de compliments était comme du miel versé dans les oreilles de la jeune fille. Et quand sa puissante amante tourna son menton pour l'obliger à lui faire face, elle se mit à rougir, sentant son cœur battre la chamade. Et un tendre baiser plus tard, l'echidna lui avoua son amour, et elle crut s'évanouir tant cette annonce était surprenante. Elle, une jeune lamia sans importance, avait gagné le cœur d'une femme aussi puissante qu'elle ? Même si l'amour entre lamias était différent de l'amour entre humains, il restait semblable dans les grandes lignes.
« Je... c'est impossible... je suis forcément en train de rêver... d'abord les bébés, et maintenant ça... personne ne me fera croire que c'est réel. »
Autant de bonnes nouvelles d'un coup, c'était dur à assimiler, et Tylissa allait jusqu'à douter de ses yeux, de ses oreilles, et même de son corps en général. Et pourtant, rien de tout ça n'était un produit de son imagination, c'était bien arrivé. Quand, à force d'insistances de Shaïra, elle l'accepta finalement, elle ne put retenir sa joie plus longtemps, et prit l'echidna dans ses bras, des larmes de bonheur roulant sur ses joues.
« Snif... Shaïra... je suis... tellement heureuse... snif... je ne sais pas quoi dire... »
La remercier ? Dire qu'elle ne la laisserait jamais partir ? Lui promettre son amour éternel ? Rien ne semblait approprié.
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Ravie et fière, Tylissa était émue d’être l’objet de tant de douceurs et d’attentions de la part de Shaïra, à tel point qu’elle en pleura, tout en se frottant contre le corps de la Lamia. Une telle réaction, au demeurant, ne manqua pas de surprendre l’Echidna, qui ne s’attendait pas à ça. Elle esquissa donc un sourire, et déposa un nouveau baiser sur le front de Tylissa.
« La petite Tylissa peut pleurer, car Shaïra sait que toutes les larmes ne sont pas un mal. »
Soudain, l’un des serpents de Shaïra vint mordre Tylissa au sein, lui faisant pousser un petit cri de douleur. Et, pour éviter toute incompréhension, l’Echidna vint de nouveau baiser les lèvres de Tylissa, avant de rapidement lui préciser le fond de sa pensée :
« Et cette douleur, pour te montrer que tu ne rêves pas, Tylissa. Shaïra est une Lamia bien réelle, qui a appris la magie auprès de la Déesse Sha. »
C’était une autre histoire, mais Shaïra n’avait effectivement pas appris à user de sorts magiques seule. Elle s’était jadis attaquée à une sorcière de Sha, une belle femme originaire de Tekhos, mais cette dernière avait invoqué Sha. La puissante Déesse avait vaincu Shaïra, et avait ensuite recueilli cette dernière. Si Shaïra restait une Lamia fière et indépendante, elle savait qu’elle avait un foyer chez la Déesse. Or, elle savait aussi que les Lamias n’étaient jamais tranquilles, et que cette communauté, tôt ou tard, se ferait attaquer par les elfes, surtout s’ils s’en prenaient aux humains. Shaïra se déplaça à nouveau, rapprochant son corps du bûcheron que Tylissa et elle avaient attaqué tantôt, et qui était toujours inerte sur le sol.
Tylissa avait l’air perdu, ne sachant pas trop comment veiller au mieux sur ses bébés. L’Echidna pouvait comprendre une telle chose, car elle n’avait encore jamais eu de bébés, et elle lui expliqua donc, en reniflant le torse de l’homme endormi.
« Tylissa aura besoin d’un humain pour la nourrir afin que ses œufs se développent bien et ne manquent de rien. Shaïra va emmener cet homme, Tylissa doit protéger son ventre, maintenant qu’elle porte la semence de Shaïra. »
Autrement dit, l’Echidna allait se charger du fardeau de Tylissa. Elle se rapprocha donc, et « avala » le corps de l’homme, en ouvrant sa poche ventrale, soulevant pour cela l’homme endormi par les épaules. Sa poche ventrale s’ouvrit alors, révélant une sorte de seconde bouche, plus grande, plus gluante, et dans laquelle le corps de l’homme s’enfonça petit à petit, jusqu’à disparaître dans sa queue. Shaïra émit un sifflement, en se sentant bien plus lourde. Elle pouvait plus difficilement remuer sa queue dans tous les sens, maintenant, et reposa sur le sol, se rapprochant encore de Tylissa.
Ce fut l’occasion, pour elles, d’échanger un nouveau baiser.
« Maintenant, Tylissa, guide-nous vers ton village, Shaïra te suit, ma chérie... »
-
En réponse à ses larmes, Tylissa eut droit à plus de baisers de la part de Shaïra, et même à une petite morsure sur l'un de ses seins.
« Ouille ! »
Au moins maintenant, elle avait la confirmation qu'elle ne rêvait pas. Encore émue, la jeune lamia se releva quand l'echidna se détourna d'elle pour retourner voir l'humain, toujours endormi. Soit le venin était plus puissant que ce qu'elle avait imaginé, soit elle n'avait pas su se maîtriser en le lui injectant. Shaïra lui expliqua qu'elle allait avoir besoin d'un humain pour la nourrir afin que ses œufs grandissent bien. Afin de protéger son ventre, Tylissa allait devoir laisser sa puissante amante transporter leur proie dans sa poche caudale. Elle la regarda avaler cet homme comme si de rien n'était, et nota avec attention et une pointe d'amusement la façon dont son corps formait une bosse au niveau de sa queue. Elle eut droit à un autre baiser, et la dernière phrase de l'echidna la toucha à nouveau en plein cœur.
Ma chérie. Elle m'a appelée... ma chérie.
A chaque fois qu'elle pensait ne pas pouvoir être plus heureuse, son amante la surprenait encore plus.
Tylissa ramassa ses vêtements déchirés et prit la tête de la marche, mais se retrouva à changer brusquement de direction à plusieurs reprises car elle avait encore les idées un peu embrouillées. Entre la séance de sexe sauvage avec Shaïra, son annonce qu'elle était enceinte, imaginer son futur en tant qu'amante et femelle reproductrice d'une puissante echidna... Elle avait encore du mal à bien réaliser ce qui lui arrivait, mais le chemin de retour l'aida à se calmer et à revenir à la réalité.
Arrivées au village, les deux lamias furent d'abord accueillies par Lishlith (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=1442772668cc883bba9da094479d10bee593cc1dd37ca4.jpg), la mère de Tylissa, qui attendait impatiemment le retour de sa fille. Quand elle la vit rentrer avec une echidna, nue de la tête à la queue, les deux mains posées sur son ventre, elle comprit que quelque chose de merveilleux s'était produit, sans être vraiment sûre de ce que c'était. Elle ameuta tout le village pour le retour de son enfant chéri, et tout le monde vint pour voir de ses propres yeux que la petite Tylissa revenait avec une echidna. La jeune lamia n'eut pas le temps de prononcer un mot que sa mère l'attrapa pour lui faire un gros câlin.
« Bon retour à la maison ma chérie. Tu es finalement devenue une adulte... je suis fière de toi. »
« Mais maman, comment tu sais que... »
« Une mère sent ces choses-là. En plus, tu nous ramènes une prestigieuse invitée. »
Elle tourna ensuite son regard vers Shaïra et la salua avec respect et soumission.
« Bonjour à vous prestigieuse echidna. Je suis Lishlith, mère de Tylissa. Je vous remercie humblement d'avoir permis à mon bébé de devenir une vraie femme. »
Certaines personnes dans l'assistance avaient quand même du mal à croire qu'une echidna se soit arrêtée pour une lamia aussi ordinaire que Tylissa, il fallait qu'elle le confirme de vive voix pour qu'ils soient convaincus.
-
Transporter un humain n’était pas bien difficile pour Shaïra, au vu de l’épaisseur de sa queue. L’Echidna, de ce point de vue, était bien équipée, et suivit Tylissa, notant que la jeune Lamia semblait plutôt confuse, puisqu’elles changèrent de direction à plusieurs reprises, tout en s’enfonçant dans les méandres de la forêt. Shaïra perçut finalement de multiples odeurs reptiliennes et des bruits de reptation et de frottement. Ensuite, elles arrivèrent au beau milieu d’un village, et Shaïra, en le voyant, sentit son cœur s’emballer, remuant furieusement dans sa poitrine.
*Un village... C’est bien un village de Lamias !*
Il était entouré par une palissade en bois avec des trappes permettant aux Lamias d’y entrer. C’est ce que le duo fit, et, à l’intérieur, un attroupement se forma rapidement. Shaïra émit un sifflement admiratif en voyant Lishlith, la mère de Tylissa, qui les attendait sur la place centrale de ce petit village champêtre, fait de huttes et de maisons. Perdu au milieu de la forêt, le village était difficile à trouver, et était construit à flanc de paroi, probablement pour s’enfuir dans des grottes, ou parce que le nid du village se trouvait là.
Lishlith savait que sa fille était enceinte, mais Shaïra surprit les regards sceptiques de plusieurs Lamias, ayant visiblement du mal à croire que la petite Tylissa, si innocente, ait pu attirer à elle une puissante Echidna. Si aucun Lamia n’aurait la folie de remettre en causez la nature raciale de Shaïra, leurs doutes se portaient plutôt sur Tylissa, ce que Shaïra nota rapidement.
« Shaïra est heureuse et fière d’être ici. Il y avait bien longtemps que Shaïra n’avait pas rencontré une telle communauté de congénères et de consœurs. »
Tylissa ne lui avait pas menti, Shaïra ne voyait aucun autre Echidna, ce qui signifiait que ces Lamias vivaient sans un véritable leader, en étant probablement sous l’autorité des aînés, comme on le trouvait généralement dans les communautés orphelines. Après cette tirade, Shaïra se rapprocha de Tylissa, et caressa son ventre, en se glissant dans le dos de la jeune Lamia.
« Shaïra a planté sa graine dans le corps de Tylissa. C’est grâce à elle que Shaïra est ici. Shaïra connaît la menace des elfes et des autres peuples, et souhaite défendre cette communauté, non seulement parce que c’est là le rôle naturel qui est dévolu aux Echinas, mais aussi parce que, à titre plus intime, Tylissa porte les graines de Shaïra... »
Cette fois, on ne voyait pas comment les autres Lamias pourraient douter de la bonne foi de Tylissa, vu que Shaïra, outre expliquer la vérité, lécha le creux du cou de la femme, puis se rapprocha ensuite de Lishlith, et caressa d’une main la joue de la vénérable Lamia. Plus âgée que Tylissa, puisque étant sa mère, elle bénéficiait assurément d’une autorité morale certaine sur les autres Lamias. En tant qu’Echidna, Shaïra avait un droit naturel à la protection de ce village, mais, pour autant, il fallait encore que les Lamias d’ici la reconnaissent comme telle.
Shaïra enchaîna donc :
« Shaïra veillera sur la fille de Lishlith, et sur Lishlith elle-même, si c’est là ce que Lishlith souhaite... »
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En voyant tous ces regards posés sur elle, Tylissa se sentit quelque peu gênée. Heureusement, Shaïra vint vite dissiper tout doute possible quant à la fécondation de la jeune lamia.
« Shaïra a planté sa graine dans le corps de Tylissa. C’est grâce à elle que Shaïra est ici. Shaïra connaît la menace des elfes et des autres peuples, et souhaite défendre cette communauté, non seulement parce que c’est là le rôle naturel qui est dévolu aux Echinas, mais aussi parce que, à titre plus intime, Tylissa porte les graines de Shaïra... »
La jeune fille trembla de plaisir sous les caresses et les coups de langue de l'echidna. Elle était tellement bien que, même rentrée chez elle, elle ne réalisait pas encore qu'elle se déplaçait complètement nue. Elle qui était habituée à porter au moins de quoi cacher sa poitrine, ça ne lui effleurait même pas l'esprit que tout le monde pouvait voir ses tétons tendus de plaisir.
Lishlith était bien consciente que l'autorité naturelle de Shaïra avait su séduire sa fille qui, en tant que lamia ouvrière, était plus sensible à ce genre de charmes, et naturellement ouverte à la soumission. Elle était légèrement inquiète en se demandant jusqu'où Tylissa, qui venait à peine de perdre sa virginité, serait prête à aller pour conserver le lien qu'elle avait établie avec l'echidna. Mais elle ne pouvait pas s'y opposer, elle n'était qu'une lamia ordinaire, et devait elle aussi reconnaître la supériorité de la créature. Elle posa sa main contre celle de Shaïra qui caressait sa joue.
« Comment pourrais-je refuser ? Notre village a besoin d'une echdina pour nous diriger. Et si, en plus, vous veillez sur ma fille et sur vos futurs bébés… »
Lishlith se tourna vers le reste de l'assemblée.
« Tout le monde est d'accord pour que Shaïra devienne la nouvelle chef de notre village ? »
Ce fut un oui quasi-unanime, hormis quelques vieux grincheux, puis la mère se tourna vers sa fille.
« Et toi ma chérie, qu'en dis tu ? »
« Bien sûr que je veux qu'elle reste ! »
La réponse était plutôt évidente, mais il fallait quand même que sa mère en soit sûre.
« Dans ce cas… soyez la bienvenue parmi nous. »
Chaque lamia voulut ensuite aller saluer personnellement l'echidna, seules Tylissa et Lishlith s'isolèrent de la masse pour discuter en privé. La mère posa une main sur le ventre de sa fille pour le caresser doucement.
« Incroyable… dire que tu es déjà enceinte. Et d'une echidna en plus. »
« Je sais. Même moi j'ai encore du mal à y croire. »
« Il va falloir qu'on construise un nid pour tes œufs. »
« Tu pourras m'aider ? »
« Évidemment ma puce. Mais il ne faudra pas oublier d'inviter aussi Shaïra. »
Tylissa allait avoir tant de choses à apprendre : la ponte des œufs, les couver, se nourrir de l'humain que Shaïra avait ramené… et encore plus après quand elle serait maman. Heureusement qu'elle avait avec elle deux excellents professeurs.
« Bon, maintenant tu vas me faire le plaisir d'aller te mettre quelque chose sur le dos, parce que là tout le monde peut voir ta poitrine. »
La jeune lamia resta surprise une seconde, puis baissa les yeux sur son corps avant de se rappeler que sa chemise et sa jupe avaient été déchirées par sa fougueuse amante.
« Kyahhh ! »
Elle se couvrit le corps, les joues rouges de honte.
« Mmhhoo… tu aurais pu me le dire avant. »
« Héhé… désolée ma puce, mais tu étais si jolie comme ça. Aussi belle et nue que le jour où tu es née. »
Lishlith s'amusait un peu aux dépends de sa fille mais sans rien de méchant. Tylissa, bien que gênée, était quand même heureuse et excitée comme une puce à l'idée que, bientôt, elle aussi allait être maman d'un ou plusieurs petits lamias.
-
Il aurait fallu être fou pour refuser sa présence, après tout. Les Lamias savaient que leur présence en ces lieux était provisoire. Tôt ou tard, les humains, ou les elfes, viendraient les chasser. Aucun de ces Lamias n’appartenait à une race guerrière, et, si les plus vieux Lamias semblèrent émettre quelques grognements, quand Shaïra s’approcha d’eux, ils ne dirent rien, s’inclinant. Un Lamia restait une créature reptilienne, après tout, et Shaïra avait en elle la force d’une Echidna. Elle fit tout le tour de la communauté, voulant ainsi recevoir l’approbation de chaque Lamia. Avec son œil unique, sa peau grisâtre, et ses serpents filant le long de ses cheveux, Shaïra était une femme très impressionnante, relativement dangereuse, et eut le respect de tous.
Elle retourna ensuite voir Tylissa et sa mère, et vit que, entre-temps, la petite Tylissa avait remis des vêtements, ce qui l’amusa. Elle aussi portait une veste en cuir, mais ce n’était pas par pudeur, mais parce qu’elle aimait ce contact. Néanmoins, ces Lamias avaient l’air de s’être très bien sociabilisés, et, même, très « humanisés ». Shaïra en était assez surprise, car elle commençait à remettre en cause ses propres constatations. Est-ce que cette communauté était implantée depuis plus longtemps qu’elle pensait ? Vivait-elle en harmonie avec les autres villages ? Shaïra n’en savait rien, mais, à voir les maisons installées, ils n’étaient pas là depuis quelques mois.
*C’est étonnant... Je n’aurais jamais cru ça possible.*
L’Echidna allait devoir prendre ça en considération dans sa direction du village. Elle allait devoir se renseigner sur les origines de ce dernier. Et, pour ça, la mère de Tylissa semblait être la meilleure option. En compagnie de sa fille, Lishlith était en train de faire un nid, où Tylissa pourrait se reposer. Dans leur maison, elles assemblaient de la paille et des coussins, tout en recouvrant le sol de couvertures et de tapis. Ce n’était pas un nid pour Tylissa, mais surtout pour ses enfants, pour les serpents qui jailliraient de son ventre, et devraient être couvés.
Shaïra entra à son tour, observant le nid, et émit un sifflement approbateur.
« Shaïra aime beaucoup votre maison... »
La Lamia se déplaça un peu, et observa brièvement Lishlith, puis remonta sa main, venant caresser sa joue.
« Shaïra va beaucoup aimer être avec vous... »
Elle approcha son visage de celui de la Lamia, et l’embrassa sur les lèvres pendant quelques secondes, ne se sentant guère gênée à l’idée d’embrasser la mère de Tylissa sous les yeux de cette dernière. On aurait pu croire à une simple embrassade, un simple et inoffensif frottement des lèvres, mais elle l’embrassa suffisamment pour dissiper tout doute, en n’hésitant pas, par exemple, à glisser sa langue dans la bouche de la Lamia, avant de la rompre.
Un sourire ravi éclaira les lèvres de Shaïra.
« Parle-moi de ce village, Lishlith... Depuis combien de temps êtes-vous ici ? Avez-vous des problèmes avec les humains locaux ? À quoi est-ce que Shaïra doit s’attendre ? »
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Le temps que Shaïra eut fait le tour du village et salué tout le monde, Tylissa et sa mère étaient rentrées chez elle et avaient commencé à construire un nid pour les futurs œufs. La jeune lamia avait repassé une chemise sur ses épaules pour couvrir sa poitrine, et se mit à entasser de la paille et des coussins pour faire une grosse boule bien moelleuse où elle pourrait déposer ses futurs bébés dès qu'elle les aurait expulsés. L'echidna arriva au milieu de la construction, et Tylissa se tourna tout de suite vers elle.
« Alors, qu'est ce que… vous en dîtes ? »
Elle émit un sifflement approbateur qui donna un grand sourire à la jeune lamia, qui s'attela à continuer la construction pendant que sa mère discutait avec Shaïra.
« Nous sommes ravies de vous accueillir chez nous Shaïra... »
Lishlith s'interrompit quand l'echidna approcha pour lui caresser la joue. Même si elle n'était pas aussi impressionnable que sa fille, c'était difficile de résister à une si belle créature. Du coup, ce fut le plus naturellement du monde qu'elle se laissa embrasser par la femme, sans se soucier du fait que sa fille était juste à côté et pouvait parfaitement les voir et les entendre. Ce spectacle fit même frissonner de désir la jeune lamia, qui ne pouvait s'empêcher de regarder du coin de l'œil.
« Aahh... nous sommes ici depuis environ trois ans. Nous faisons toujours de notre mieux pour ne pas attirer l'attention, mais quand des femelles du village sont enceintes, il nous faut kidnapper des humains pour nourrir les bébés. Et toutes ces choses que nous leur volons pour construire nos maisons et nos nids, ça finit forcément par attirer l'attention sur nous. Je ne sais pas pendant combien de temps encore nous pourrons rester. »
Elle avait du fuir tellement de fois... et combien de temps allait-elle encore survivre ? Au moins, maintenant que Shaïra était là, leurs chances de survie avaient augmentés.
Lishlith se tourna pour voir où sa fille en était avec le nid, et elle remarqua vite qu'il y avait des problèmes à corriger.
« Attention ma puce, cette partie est mal consolidée. Elle risque de glisser et de laisser la chaleur s'enfuir. »
« Merci maman. Ouah, c'est vraiment difficile de faire un nid. »
« Oui, c'est pour ça que les mères transmettent ce savoir à leurs filles. Et un jour, c'est toi qui apprendra à ta fille comment faire un nid bien bâti. »
Il y avait encore du travail mais, une fois terminé, ce nid pourrait accueillir la portée de Tylissa et Shaïra, que la jeune lamia devrait ensuite couver pendant plusieurs semaines avant que ses beaux bébés n'en sortent.
« Allez, fais une petite pause. Tu dois être fatiguée après tous tes... efforts dans la forêt. »
« Mmhhoo, maman... »
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Difficile de croire que les humains ne réaliseraient pas, tôt ou tard, la présence de Lamias. Dans une forêt si épaisse, quelques disparitions pouvaient passer sur le compte des monstres environnants. Shaïra comprenait néanmoins mieux pourquoi ces Lamias vivaient ici. Ils n’étaient là que depuis trois ans, et, si Shaïra en avait demandé plus, elle était sûre que Lishlith lui aurait expliqué que leur communauté ne cessait de voyager. Les Lamias pouvaient se battre contre de simples humains, mais, par expérience, l’Echidna savait que, quand les choses se compliquaient, les humains revenaient avec de meilleurs équipements. Shaïra les regarda consolider le nid, installant des planches supplémentaires. Les petits bébés devaient être protégés du froid, et il fallait donc renforcer l’isolation de cette pièce. Les deux filles travaillaient ensemble, et la mère de Tylissa la reprit sur ce qu’elle avait fait dans la forêt.
Shaïra sourit donc, tout en se déplaçant un peu. C’était une maison sympathique... Pour le temps qu’elle durerait.
« Les humains viendront ici, tôt ou tard... Shaïra pourra vous protéger, mais... Il faut que votre communauté trouve un endroit sûr. Shaïra connait un endroit. »
La Lamia se déplaça encore, rejoignant le duo dans le nid. Elle savait que sa phrase avait dû attirer l’attention de Lishlith, et elle reprit donc.
« Un jour, Shaïra a fait la connaissance, dans une grotte, d’une belle femme blonde en armure rouge... Qui s’avéra être une sorcière travaillant pour la Déesse Sha. C’est Sha qui a fourni à Shaïra des enseignements pour perfectionner sa maîtrise magique. Sha règne sur un domaine sûr, protégé par elle-même, et elle a juré à Shaïra qu’elle y protègera ceux venant demander son hospitalité. »
La région était suffisamment grande pour contenir une nouvelle communauté de Lamias, et il y avait suffisamment d’humains pour assurer leur reproduction, ces derniers étant généralement des criminels que Sha récupérait, les utilisant comme cobayes dans ses expériences magiques. Pour Shaïra, c’était clairement le meilleur endroit possible.
« Mais, pour l’heure... »
L’Echidna caressa à nouveau la joue de Lishlith, et alla l’embrasser à nouveau, juste sous le nez de Tylissa. La subtilité et le romantisme n’avaient jamais été des éléments très significatifs chez les Echidnas, et, sur ce point, ce n’était nullement Shaïra qui inverserait la tendance.
« Shaïra veut faire de nouveaux bébés... Elle sent chez Lishlith une force exceptionnelle qui ne demande qu’à être utilisée... »
Et, tout en disant ça, la Lamia frottait tendrement son corps contre le sien.
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Tylissa continua la consolidation de son nid tout en écoutant Shaïra, qui discutait avec sa mère à propos du danger que représentait les humains, et proposa une solution qui permettrait de se mettre à l'abri pour longtemps : un domaine régi par la déesse Sha, qui pourrait offrir asile et protection pour tous les habitants du village.
« La protection d'une déesse ? Vraiment ? »
« Ce serait formidable. »
Après tant d'années de fuite et de peur, pouvoir enfin vivre dans la sécurité ne leur paraissait plus qu'un doux rêve. Et s'il y avait un moyen de le réaliser, il fallait essayer. Mais en attendant, l'echidna eut envie de s'amuser à nouveau, et son attention se porta vers Lislith. Cette dernière, ravie d'être le centre d'intérêt d'une si belle femme, se laissa embrasser sans broncher, sous les yeux de sa fille qui détourna le regard, non pas par gêne mais par respect. Si elles voulaient que la jeune lamia regarde, elles le diraient.
« Aahh... je n'ai pas porté de bébés depuis longtemps. J'espère que vous êtes en forme. »
Contrairement à sa fille, Lislith était bien plus extravertie et n'hésitait pas à provoquer ses amants. Elle savait qu'elle ne pourrait pas aller très loin devant une echidna, mais elle s'accordait quand même une petite marche de manœuvre.
« On devrait peut-être... aller dans un coin tranquille... ou au moins laisser Tylissa regarder. »
La jeune lamia frissonna en entendant ce que sa mère avait dit. Poser les yeux sur deux magnifiques lamias se faisant l'amour, qui plus est sa mère et celle qui lui avait pris sa virginité...
Pourquoi est ce que ça me fait autant envie ?
Encore une fois, les instincts de soumise de Tylissa la poussait à obéir quasi-aveuglément aux ordres donnés par les figures d'autorité. Et au-delà de ça, l'idée d'observer un rapport amoureux lui rappelait le sien, et l'excitait au plus haut point.
« Ma petite fille peut parfois être timide... mais je suis sûre qu'elle adorera voir sa maman se faire baiser par une puissante echidna. »
C'était presque effrayant pour la jeune lamia de voir à quel point sa mère la connaissait bien, comme si elle pouvait lire dans ses pensées. A présent, les deux n'attendaient plus que le choix de Shaïra : l'intimité ou le voyeurisme.
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Shaïra était très excitée par ce qu’elle voyait. Elle était une âme solitaire, certes, mais ce n’était pas pour autant qu’elle n’avait pas envie de commander à une communauté de Lamias. C’était une chose inscrite dans ses gènes. Cette communauté lui plaisait bien, et il était donc normal que cela se ressente sur ses hormones. La fécondation des Lamias ressemblait, pour le coup, à celle des serpents, qui était très particulière. En effet, les serpents étaient des créatures solitaires, et avaient développé d’étonnantes capacités, preuve, s’il en fallait encore, de l’incroyable étrangeté de la Nature. En effet, un serpent de sexe féminin peut retarder la fécondation, et ce en mettant les spermatozoïdes du serpent mâle en réserve dans ses oviductes. De cette manière, les serpents choisissaient quand leurs bébés venaient au monde, optant généralement pour des périodes estivales.
Tylissa était peut-être un peu trop jeune pour pouvoir encore maîtriser cette compétence, mais Shaïra était sûre que Lishlith savait le faire. Dans l’idéal, il serait en effet mieux qu’elles accouchent une fois arrivée chez Sha. Transporter des bébés lors d’un exode n’était pas chose facile. Et, quand Shaïra avait évoqué l’idée d’aller chez Sha, il s’agissait, en réalité, d’une obligation. Cette forêt était agréable, mais, par expérience, elle savait que Lamias et humains ne pouvaient pas cohabiter ensemble, précisément parce que, aux yeux des Lamias, les humains étaient des proies.
Lishlith accepta sans problème, mais souleva la question de Tylissa. Shaïra tourna la tête vers la fille de la puissante Lamia matriarche, et vit cette dernière rougir. Elle se déplaça alors, rejoignant Tylissa, et frotta son visage contre le sien, léchant sa joue.
« Shaïra ne veut pas séparer Tylissa de Lishlith... Tylissa viendra avec nous. »
Un sourire pervers éclaira les lèvres de Shaïra à cette idée. Elle suivit ensuite Lishlith, qui les éloigna du nid, et les conduisit dans une grande pièce. Vu leur taille, les chambres des Lamias étaient plutôt grandes, et ne présentaient pas vraiment de lits, plutôt une série de couchettes et de couvertures sur le sol. C’était en tout cas ça pour la chambre de Lishlith, et Shaïra y entra donc, en compagnie de Tylissa et de Lishlith.
L’Echidna émit rapidement un sifflement approbateur, et, après quelques secondes, s’approcha de Lishlith. Elle posa une main sur son épaule, et frotta son corps contre le sien, venant l’embrasser, plaquant sa bouche sur la sienne. Dans la foulée, sa langue s’immisça entre les lèvres de la Lamia.
« Hmmm... Oui, Shaïra sent ta force, ta vigueur... Elle en est toute stimulée. »
Lishlith était plus endurante que sa fille.
Autant dire que cela promettait un magnifique moment.
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Tylissa ne savait pas ce qu'elle voulait : laisser sa mère et Shaïra avoir de l'intimité, ou les regarder s'ébattre dans toute la beauté et la sauvagerie de deux lamias. Mais au final, Shaïra ne lui laissa pas trop le choix, et lui demanda de les suivre.
« D'accord… je vous suis. »
Lishlith, ravie de voir sa fille les accompagner, guida l'echidna jusqu'à sa chambre, une grande pièce avec des couchettes et des couvertures répandues sur le sol. Malgré l'influence des humains sur le mode de vie des jeunes lamias comme Tylissa, les plus âgées restaient attachées à une certaine façon de faire les choses. Pour Lishlith, pas besoin d'un vrai lit, juste de quoi s'installer au chaud.
Quand l'echidna vint se coller à sa mère en parlant de la vigueur qu'elle sentait en elle, la jeune lamia fut parcourue de délicieux frissons. Son imagination fertile se représentait déjà la scène qui allait avoir lieu d'ici quelques minutes, tandis que le couple se frottait amoureusement.
« Moi aussi… je suis stimulée… par la vue… d'une créature… aussi puissante. »
Lishlith s'écarta juste assez du corps de Shaïra pour pouvoir lui enlever sa veste en cuir, et ainsi profiter de la vue de sa poitrine nue.
« Je parie que ma fille n'a pas eu la chance de les voir. Que diriez vous de réparer cette erreur ? »
Loin de vouloir lui dicter la façon de faire, la lamia ne faisait que proposer des idées. C'était à l'echidna de voir si elle voulait le faire ou non. Mais contrairement à Tylissa, Lishlith était une adulte maintes fois éprouvée, qui n'avait pas peur d'oser des choses.
De son côté, la jeune lamia avait du mal à tenir en place. Voir comment ces deux femelles matures et expérimentées entamaient leur rapports amoureux… la provocation, leurs corps l'un contre l'autre… elle bouillonnait sur place. Elles étaient comme un aimant qui l'attirait inlassablement.
« Oohh… mmhh… »
Difficile de résister à l'appel de son corps, même si elle savait qu'elle devait protéger son ventre de toute nouvelle intrusion.
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Si Tylissa pensait que son rôle, ici, se limiterait à simplement observer sa mère se faire prendre par Shaïra, elle se trompait lourdement. Shaïra n’avait pas voulu qu’elle vienne juste pour qu’on les regarde, mais bien parce qu’elle avait, en tête, des idées beaucoup plus pernicieuses. Lishlith et Tylissa étaient, de fait, deux belles femmes, et l’Echidna pouvait voir l’air de famille entre les deux. La couleur de leurs queues était en effet relativement similaire, plus vive chez Tylissa, trahissant son jeune âge. Elles rejoignirent donc la chambre de Lishlith, et Shaïra laissa cette dernière lui enlever sa veste en cuir, révélant ses magnifiques seins, plantureux, attirants, volumineux.
Lishlith n’avait pas non plus oublié sa fille, et Shaïra sourit, son œil unique venant s’illuminer d’un regard de perversion à l’idée de l’impliquer davantage. Elle hocha alors la tête, et fit signe à Tylissa de s’approcher.
« Approche, Tylissa… »
La jeune Lamia tremblait sur place. Shaïra voyait ses écailles vibrer, trahissant son excitation. Il était vrai que, tout à l’heure, Shaïra n’avait pas enlevé sa veste en cuir… Ou si ? Elle ne s’en souvenait plus, mais, dans tous les cas de figure, Tylissa n’avait pas été aussidirecte et franche que Lishlith. Elle s’était laissée docilement faire, sans protester, piégée dans la grosse queue chaude et pleine de tendresse de Shaïra. Lishlith, inversement, avait une meilleure expérience, et une certaine poigne. Une femme plus dominante aurait pu s’en offusquer, mais Shaïra ne se faisait pas d’illusions. Elle savait que Lishlith la considérait comme une supérieure, mais trouvait aussi normal qu’elle soit plus autoritaire que sa fille.
Tylissa se rapprocha donc, approchant son visage des seins de Shaïra, qui laissa la jeune femme les observer. Deux beaux seins gris. Ils se dressaient sous le nez de la jeune femme, mais si jamais elle aurait approché son visage ou ses mains, Shaïra l’aurait repoussé.
« C’est à Lishlith de s’en occuper. Toi, Tylissa, ma chérie, tu es là pour regarder… »
Pour le moment, en tout cas ! Tylissa allait découvrir combien le voyeurisme pouvait être frustrant et difficile à tenir. En un sens, les deux Lamias allaient faire son éducation sexuelle, et la dimension incestueuse de cette relation n’était vraiment pas pour déplaire à Shaïra. Elle se pencha vers Lishlith, et, sous les yeux de Tylissa, embrassa la Lamia tendrement sur les lèvres, pendant plusieurs secondes, sa main caressant pendant ce temps la joue de Tylissa.
« Viens, Lishlith… Les seins de Shaïra doivent sûrement t’attirer, non ? Viens t’en occuper… »
-
Tylissa pensait qu’elle devait se tenir loin de cette tentation charnelle pour ne pas craquer et s’abandonner au vice encore une fois, mais quand Shaïra lui demanda d’approcher, elle obéit immédiatement. Elle les voyait pour la première fois… ses seins, ses si beaux et si bien formés seins, deux bosses de chair rondes au milieu de son magnifique corps. Elle eut envie de les toucher, de les masser, d’enfoncer son visage dans l’écart formé entre les deux, de sucer les tétons, mais elle ne fit rien car on le lui interdit. L’echidna embrassa tendrement les lèvres de Lislith tout en caressant la joue de Tylissa, et invita l’aînée à s’occuper de sa poitrine gourmande.
« Oh oui… miam. »
La mère lamia attaqua les seins de la créature et se mit à lui faire tout ce dont sa fille avait envie : succions, massages, elle mordilla même ses petites pointes sombres au milieu de ses seins gris. Même si Shaïra était une figure d’autorité, elle n’allait pas se priver de lui faire des tas de choses vicieuses, sans pour autant enfreindre les règles. Tandis qu’elle pétrissait sa poitrine, elle utilisa sa langue pour lécher son cou, agrémentant le tout de quelques commentaires incendiaires pour sa fille.
« Ne détourne pas le regard ma chérie… observe, prend des notes… c’est comme ça que tu t’amélioreras pour devenir une bonne amante. »
« Oohh… »
« C’est bien… ouvre tes jolis yeux en grand. »
Peut-être que Lislith prenait cet exercice de voyeurisme un peu trop à cœur, mais en tout cas ç’avait bien l’effet escompté sur sa chère fille, dont la frustration et le désir montaient tandis qu’elle observait ce spectacle érotique. Puisqu’elle ne pouvait pas y échapper, elle décida de se prêter au jeu, et les regarda exprimer leur désir physique.
L’aînée lamia était tentée de glisser une main sous la taille de Shaïra pour titiller sa fente intime et en faire sortir sa belle queue virile, mais elle ne pouvait pas faire une telle chose avant qu’on ne lui en donne l’autorisation. Puissante, oui, mais néanmoins respectueuse envers les forces supérieures.
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Pour Tylissa, c’était maintenant que le baptême du feu allait se poursuivre. Elle avait déjà perdu sa virginité » avec Shaïra, mais, si elle pensait s’en sortir aussi facilement, elle se trompait lourdement. Shaïra avait encore envie de jouer avec elle. Il y avait, en effet, chez l’Echidna, une sorte de profonde perversion, qui l’amenait à voir la relation incestueuse comme quelque chose de délicieusement excitant. Voir une mère et sa fille se faire mutuellement l’amour, c’était, à ses yeux, quelque chose de profondément irrésistible. Elle avait donc les seins tendus en imaginant ça, tout en sentant Lishlith s’attaquer à ses mamelons.
« Haaaa... Hmmmm... »
De délicieux sifflements s’échappaient des lèvres de la Lamia, qui sentit ensuite la main de Lishlith descendre vers son intimité. Talentueuse, la belle Lamia savait comment s’occuper d’un corps. Elle connaissait l’anatomie féminine, et sa langue s’avérait bien plus experte que celle de Tylissa, dont les baisers avaient été plus timides, moins assurés. Là, Lishlith n’hésitait pas, outre à lécher ses tétons, à mordiller ses seins. Shaïra continuait à gémir, à laisser le plaisir envahir son corps, pendant que Tylissa se rapprochait un peu, yeux ouverts, le plaisir et la frustration se lisant sur son visage.
Shaïra souriait, et sentit donc les doigts de Lishlith descendre près de son sexe.
« Lishlith veut voir le sexe de Shaïra ? »
Question purement rhétorique, exprimée sur un ton très sensuel, qui trahissait toute l’excitation de la Lamia. Elle esquissa un léger sourire, et écarta des écailles, révélant ainsi son intimité. Les doigts de la Lamia y vinrent, et Shaïra se retourna vers Tylissa, en lui donnant un nouvel ordre :
« Regarde, Tylissa, regarde... Tylissa ne doit pas en perdre une miette ! »
Shaïra laissa encore Lishlith la caresser intimement, remuant ses doigts dans sa fente intime. Des soupirs supplémentaires s’échappèrent de ses lèvres, et, au bout de quelques instants, elle laissa sortir sa verge. Une magnifique queue jaillit hors de ses écailles, repoussant les doigts de Lishlith, avant de se dresser fièrement, faisant soupirer l’Echidna.
« Ohhh oui... Venez... Venez vous occuper de Shaïra, les filles ! Toi aussi, Tylissa, car... Shaïra sait que tu veux agir, elle le sent. Alors... Viens, montre à ta mère combien tu es douée, et fais plaisir à Shaïra ! »
L’Echidna esquissa un nouveau soupir, très heureuse de voir les deux Lamias à l’action.
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Jamais Tylissa n'aurait pu imaginer que la frustration puisse autant sublimer le désir. Elle mourrait d'envie de se jeter sur le corps de Shaïra, de lécher sa magnifique peau grise et de jouer avec sa poitrine, mais sa soumission naturelle l'empêchait de faire le moindre mouvement sans en avoir reçu l'autorisation. A l'inverse, Lishlith laissait toute son expérience et son désir s'exprimer dans ses gestes, jouant avec la poitrine de l'echidna tandis que, avec son autorisation, elle plongea deux doigts dans son intimité pour remuer ses chairs internes.
« Kkksss... tellement humide... »
Elle porta les doigts à sa bouche et les suça goulûment.
« Hhhmmm... sslluurrpp... »
La lamia avait le don d'exciter aussi bien sa partenaire que sa fille, qui l'observait avec une envie non dissimulée.
« Écoute Shaïra ma puce... tu sens comme elle prend son pied ? Tu dois bien observer pour apprendre... et devenir une bonne amante. »
Les doigts de la mère fouissaient doucement l'intérieur de sa partenaire, laissant le plaisir monter peu à peu, quand tout à coup la verge de Shaïra émergea sans prévenir. Tylissa eut un long spasme de plaisir en voyant cette trique, qui lui avait donné tant de plaisir auparavant, sortir d'un seul coup devant elle. L'echidna ordonna alors aux deux lamias de venir s'occuper d'elle.
« Oui, tout de suite ! »
La demande de Shaïra ne spécifiait pas explicitement de se concentrer sur son sexe fraîchement sorti, mais ce fut sur lui que la plus jeune lamia se jeta, le prenant dans sa main pour en apprécier la chaleur et les tremblements, le branlant doucement pour entendre les gémissements de la créature dominatrice.
« Maman, est ce que... je le fais bien ? »
Lishlith lui sourit, puis alla se mettre dans son dos pour lui caresser les épaules tout en plaquant sa poitrine contre elle.
« Oui ma chérie, c'est très bien. Mais si tu veux vraiment lui faire plaisir, tu ne dois pas seulement utiliser tes mains. Tu dois aussi te servir de ta bouche... et de ta langue. »
La jeune lamia sentit le rouge lui monter aux joues. Mettre cette chose dans sa bouche ? L'idée était tentante, mais elle se sentit un peu perdue en se demandant comment elle allait pouvoir faire ça. Heureusement, sa mère avait toujours une réponse à lui fournir.
« Maman va te montrer comment faire. En attendant, va donc t'occuper des seins de Shaïra, eux aussi ont grand besoin de ta petite bouche d'amour. »
« Oui maman. »
D'une obéissance plus que militaire, Tylissa laissa la place à son aînée tandis qu'elle laissa parler ses pulsions de désirs en allant lécher et peloter les deux merveilleuses collines grises de l'echidna. Sentir ses tétons tendus de désir dans sa bouche, sa peau écailleuse sous ses doigts... quel délice. Elle gardait toujours un œil pour observer sa mère, qui répandait sa salive sur le vit gonflé de Shaïra entre deux aspirations jusqu'au plus profond de sa gorge. La lamia dominatrice devait sûrement passer un très bon moment.
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Il était désormais temps pour Tylissa d’agir. C’était là le souhait de Shaïra, et c’était bien pour ça qu’elle avait demandé à la fille de Lishlith de les accompagner. Non seulement Tylissa portait ses enfants, mais elle était aussi belle, et suffisamment coquine pour plaire à Shaïra. Il n’y avait donc que des avantages à la faire venir. Ensemble, la mère et la fille allaient se livrer à une magnifique relation incestueuse en compagnie de l’Echidna, ce qui excitait sensiblement cette dernière. Pour s’en rendre compte, il suffisait de voir avec quelle rapidité la Lamia avait sorti sa verge, la dressant devant les deux Lamias. Pour autant, et même si elle pouvait encore leur donner des ordres, elle voulait aussi les laisser décider par elles-mêmes. Un peu d’initiative, après tout, elles n’étaient pas de stupides humaines, mais de belles Lamias !
Lishlith laissa donc Tylissa se rapprocher du sexe de Shaïra, une virilité bien dressée. À l’image de sa longue queue caudale, Shaïra se dotait d’un chibre impressionnant, bien dressé. Des frissons la traversèrent quand les mains de Tylissa, douces et tendres, caressèrent son membre, explorant ce dernier. Une démarche maladroite, qui trahissait, non seulement son inexpérience, mais aussi son envie du moment. Elle voulait agir ainsi, mais ne savait pas si elle s’y prenait bien.
« Haaaa… »
Shaïra soupirait profondément, et Lishlith expliqua alors à sa fille qu’elle allait s’en occuper, et qu’elle laissait la jeune femme s’occuper des généreux seins de Shaïra. L’Echidna, là encore, n’y trouva rien à redire, dès lors qu’il y avait bien quelqu’un pour s’occuper de son membre.
« Hmmm… Oui… Venez vous occuper de moi, mes beautés… Haaaa… Viens, Tylissa, viens jouer avec les seins de Shaïra… »
Lishlith remuait sa bouche, avalant son sexe, et Tylissa se redressa donc. Autrement dit, Shaïra avait devant elle un spectacle fascinant, celui de deux belles femmes, des Lamias à la queue rouge, s’évertuant à la satisfaire en jouant avec ses zones érogènes. Sa main se crispa sur les cheveux de Tylissa, son autre main venant caresser et empoigner ceux de sa mère, pendant qu’elles s’attaquaient à son corps. Son membre se durcit, se redressant et s’enfonçant dans la bouche de la femme, pendant que Tylissa jouait avec sa poitrine.
Shaïra aussi venait ensuite la guider et la conseiller, car elle savait que Tylissa était jeune, et que, sous l’effet du désir, elle ne réfléchissait plus très bien.
« Mordille mes seins, Tylissa, lèche-les fort… N’aie pas peur de me faire mal, car, en matière de sexe, la douleur et le plaisir ne sont qu’une seule et même chose. L’un stimule l’autre, hmmm… Et inversement… »
Qu’elles lui fassent du bien, c’était là tout ce qu’elle voulait !
« Oui… Sssssssss… Mes petites chéries… Encore… Profitez du corps de Ssssshaïra, ouiiii… »
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Partagée entre son attention pour la démonstration que lui faisait sa mère et la poitrine de Shaïra, Tylissa ne savait plus trop où donner de la tête. Elle écoutait religieusement les paroles de l'echidna, suivant ses conseils sans se poser de questions ; elle lécha les pointes de ses magnifiques seins, les mordilla du bout des dents, toujours avec la peur qu'elle lui ferait mal en mordant trop fort, mais plus le temps passait, plus elle se lâchait. De son côté, Lishlith agitait sa bouche d'avant en arrière pour lustrer la queue de Shaïra, se régalant de ses sifflements de plaisir. Elle sentit sa main empoignant ses cheveux, son sexe gonfler dans sa bouche, elle se laissa porter par l'excitation. L'echidna sifflait et complimentait ses amantes pour leur talent, ce qui remplit la plus jeune de joie tandis que la plus vieille était juste satisfaite.
Quelques minutes après, Lishlith sentit le sexe de Shaïra tressauter plus fort, signe d'un orgasme proche, et le sortit alors de sa bouche pour bien montrer le résultat de sa fellation à Tylissa. La jeune lamia regarda le sexe de l'echidna cracher son foutre blanc contre le corps de sa mère, qui gémissait en le recevant dans le visage. Elle passa sa longue langue sur ses joues pour ramasser quelques gouttes du précieux liquide et l'avala goulûment, sous le regard brûlant de sa fille.
« Tu m'as bien regardée chérie ? Maintenant c'est à ton tour. »
Tylissa se détacha à regret de la poitrine de Shaïra pour approcher de son entrejambe, plaçant son visage devant son imposante trique. Sa mère lui caressa les cheveux.
« Allez mon bébé… je sais que tu peux y arriver. »
La jeune lamia était timide, mais pas assez pour désobéir aux consignes. Elle prit le sexe de l'echidna dans sa main, le branla doucement pour lui rendre toute sa force, puis se mit à le lécher comme une grosse glace. Pendant ce temps, Lishlith se redressa pour aller embrasser son amante, remuant sa langue fourchue avec la sienne dans un délicieux ballet buccal, tout en tripotant sa poitrine avec une main tandis qu'elle caressait les cheveux de sa fille de l'autre.
« N'est-elle pas merveilleuse ? »
Peut-être était-ce parce qu'elle la voyait avec ses yeux de mère, mais pour Lishlith, Tylissa était d'une incroyable beauté, et elle ne voyait pas comment elle pourrait devenir autre chose qu'une amante très convoitée, désirée par tous les mâles du village, si forte qu'elle pourrait se réserver seulement pour les plus beaux et les plus forts.
C'est bien mon bébé… suce bien… conquis Shaïra, et tu deviendras son amante exclusive…
Chez les lamias, l'échelle sociale se déterminait surtout en fonction de l'espèce et des capacités physiques. Une echidna, par sa seule naissance, était destinée à diriger une colonie, et une lamia lambda pouvait profiter d'une partie de cette autorité en devenant concubine de cette echidna. C'était bien ce que Lishlith espérait pour sa fille.
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Shaïra savait, bien entendu, que la race, chez une Lamia, était très importante. Coucher avec un Echidna, c’était un grand honneur, car les Echidnas faisaient partie des plus puissants Lamias. Dominateurs, conquérants, forts, puissants, ils étaient même capables, comme Shaïra l’avait prouvé, d’utiliser la magie. Les elfes avaient toujours vu, de fait, les Lamias comme Shaïra comme étant des ennemis redoutables, et des légendes étaient nées lors des affrontements contre les Echidnas. Shaïra était une Lamia forte, très puissante, et sa présence ici était vue comme un immense honneur par les Lamias. Autant dire que Lishlith ne pouvait qu’être ravie de voir sa fille, non seulement sympathiser sexuellement avec Shaïra, mais aussi porter ses enfants. Bien sûr, Shaïra engrosserait d’autres Lamias dans le village, mais le fait que Tylissa soit la première était un signe fort, la promesse que sa fille pouvait devenir la chef du clan. Chez les Lamias, le sexe était une chose forte, un moyen de marquer sa possession et son pouvoir sur les autres.
Tylissa avait donc un lourd poids sur les épaules, à savoir la possibilité de gagner en influence, et de devenir la meilleure amante de Shaïra. Cette dernière soupirait et frémissait de plaisir en sentant la bouche de la jeune femme glisser sur sa queue. La main de Shaïra se crispa sur les cheveux de la femme, et de longs sifflements de plaisir s’échappèrent de ses lèvres, tandis que ses écailles vibraient, comme pour témoigner de tout le plaisir que son corps ressentait en ce moment.
« Hmmmm... Haaaaa... Ouuuiiii, hmmm... Vas-y, Tylissa, plus fort, suce-moi bien... »
Lishlith avait de quoi être fière, car sa fille se débrouillait bien. Comme dit précédemment, le sexe était une valeur sociale chez les Lamias, et n’était pas marqué par ce tabou propre aux humains. L’inceste était souvent une manière normale d’éduquer la progéniture à faire l’amour, ou à porter des bébés. Dans la mesure où beaucoup de Lamias s’accouplaient avec des humains, il était nécessaire de les éduquer, car, vu la fragilité des humains, les ébats sexuels se terminaient souvent en meurtre, quand la chaude queue du Lamia broyait les muscles et les os de son partenaire. Ce n’était pas très grave si le partenaire était un mâle, mais, si c’était une femelle qu’on comptait engrosser... Il était donc naturel que la vieille génération forme la jeune à ces pratiques.
Et, pour l’heure, Shaïra prenait son pied. Elle sifflait de plaisir, serrant ses doigts sur la masse chevelue de Tylissa, et attrapa la tête de Lishlith avec son autre main, pour venir lui voler un baiser particulièrement langoureux, nichant sa langue reptilienne dans sa bouche, venant l’enrouler autour de celle de la Matriarche, pour la serrer, et la tirer.
« Hnnnnn... »
Shaïra prolongea le baiser, et continua à onduler, d’avant en arrière, le long de la bouche de Tylissa. Sa queue durcissait, gonflait, grossissait, remontant dans la bouche de la jeune Tylissa... Jusqu’à pousser Shaïra à l’orgasme. Dans un long soupir, l’Echidna se répandit dans sa bouche, lui offrant son généreux foutre, après une fellation qui avait duré plusieurs minutes.
« Haaaa... »
Quand l’orgasme arriva, Shaïra rompit son baiser avec Lishlith, et posa ses deux mains sur la tête de Tylissa, crispant ses doigts dessus, et plaqua sa bouche aussi loin que possible en elle, avant de se mettre à jouir généreusement. D’épais filaments de foutre filèrent dans la bouche de Tylissa, venant la remplir avec amour.
« Hmmmm... Ouiiii... A-Avale bien tout, Ty-Tylissa... »
C’était son généreux sperme, après tout !
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Chez les lamias, le pouvoir s'obtenait par la naissance, par la force ou par le sexe. Dans le cas de Tylissa, elle pouvait espérer devenir plus importante en séduisant Shaïra par ses prouesses amoureuses. Porter ses bébés était déjà un bon début, mais ça ne suffisait pas. Lishlith s'imaginait comment sa petite fille allait se hisser dans l'échelle sociale des lamias en s'affichant comme la première à avoir porté les bébés de l'echidna devenue chef du village. Du côté de la jeune lamia, en revanche, les pensées n'allaient pas du tout vers sa future ascension. Bien moins ambitieuse que sa mère, elle voulait juste avoir une vie tranquille, et la partager avec celle qui l'avait mise enceinte. Elle s'appliquait à la sucer du mieux qu'elle pouvait pour lui procurer un maximum de plaisir, frémissant de ce sexe qui enflait dans sa bouche, se sentant fière d'entendre une créature aussi puissante la complimenter.
Lishlith se colla tout près de Shaïra, caressant ses écailles frémissantes et sa délicieuse poitrine, se régalant de la vue de ce corps en pleine extase, elle ne résista pas au plaisir de jeter de l'essence sur les braises brûlantes.
« Elle est merveilleuse n'est ce pas ? C'est une jeune lamia fougueuse et pleine d'énergie. Certes encore un peu inexpérimentée, mais avec le temps elle… Hhhmmm… »
Elle fut interrompue dans sa phrase quand l'echidna vint prendre sa tête à une main pour lui voler un baiser langoureux et sauvage. Sa langue reptilienne remua avec la sienne, jusqu'à se faire piéger et tirer avec force, un plaisir mêlé de douleur pour un résultat grisant.
« Hhhnnn… »
Tylissa aussi avait une main derrière la tête, qui appuyait pour enfoncer la queue de son amante le plus loin possible dans sa bouche. Finalement, cette queue alla jusqu'à sa gorge, lui donnant, pendant un court instant, l'impression d'étouffer. Elle se retint de recracher le sexe de Shaïra et fit de son mieux pour s'adapter à cette nouvelle sensation, jusqu'à parvenir à composer avec. Elle poursuivit sa fellation avec la même intensité jusqu'à réussir à faire jouir l'echidna, qui se vida dans sa gorge en poussant un soupir. Elle avala cette semence puis laissa la trique de son amante ressortir.
« Aahh… Shaïra… c'était si… intense… brutal… oohh… »
Tylissa caressa son ventre, dans lequel devait flotter les filaments de foutre qu'elle avait ingurgitées, et sa mère vit près d'elle pour lui parler.
« C'était ta première fellation mon ange, c'est normal que tu aies trouvé ça intense. Ne t'en fais pas, tu t'habitueras avec le temps. »
Lishlith retourna ensuite vers Shaïra pour caresser sa peau.
« Alors Shaïra, de quoi avez vous envie maintenant ? »
Pour sa part, la lamia désirait se faire intensément baiser et remplir de sperme pour pouvoir tomber enceinte de l'echidna, comme cette dernière le lui avait proposée plus tôt.
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Shaïra, face à deux Lamias de ce calibre, en pouvait que succomber. Son appétit sexuel était légendaire, à la hauteur des Echidnas, dont on disait que les plus vigoureux pouvaient faire l’amour des jours durant. Quand on devait repeupler un nid, il fallait un Echidna, véritable mâle étalon qui besognait les femelles pendant des jours, que ce soit de simples humaines capturées pour pondre des œufs, ou les autres Lamias. Shaïra était à l’image des Echidnas, des êtres transsexuels ayant les deux conceptions de la vie... La conception masculine, qui était tournée vers l’aventure, la chasse, la solitude, et la conception féminine, tournée vers le besoin de nidification, d’établissement d’une colonie pour y vivre en paix. Shaïra oscillait régulièrement entre ces deux pulsions contradictoires... Mais là, en ce moment précis, c’était bien le besoin d’enfanter, de nidifier, qui dominait en elle.
Tylissa eut ainsi l’immense honneur de sentir le sperme de Shaïra exploser dans sa bouche, venant remplir son ventre. La Lamia retira sa queue en soupirant. Même si elle venait de jouir, elle avait encore une grosse soif sexuelle, et, quand Lishlith lui demanda ce qu’elle comptait faire, Shaïra sourit, ses deux serpents émettant de multiples sifflements. Ils résonnaient à l’excitation de leur Maîtresse, vibrant eux aussi sur place, visiblement impatients de goûter aux délices que la Matriarche lamia leur promettait.
« Shaïra ne compte pas vous laisser partir si facilement, toutes les deux... Tylissa porte les bébés de Shaïra, mais Lishlith, elle, a son ventre vide, alors que Shaïra sent toute sa fertilité. »
C’était là une erreur à rattraper, et, très rapidement, l’Echidna s’élança vers elle. Sa longue queue caudale s’entortilla autour de celle de Lishlith, qui fut plaquée au sol, les mains de Shaïra se crispant sur ses poignets, appuyant sèchement dessus. Elle sifflait de plaisir, et, pendant qu’elle s’imposait sur elle, ses deux serpents se déplacèrent, et s’attaquèrent aux tétons de Lishlith, venant les pincer, avant de les pomper avec leurs langues, tirant dessus. Shaïra la pénétra en même temps sèchement, sa verge disparaissant dans le corps de la femme, et elle souleva et abaissa son corps, crispant sa queue sur la sienne, faisant vibrer leurs écailles entre elles.
« Hmmmm... Haaaaaa... !! »
Tandis que Tylissa reprenait ses esprits, elle pouvait assister au magnifique spectacle des deux Lamias occupées à se faire l’amour. Shaïra soupirait longuement, et finit par embrasser goulûment la femme, tout en continuant ses coups de reins, pressant et desserrant sa longue queue caudale, accompagnant ainsi ses mouvements profonds et puissants. Le sol en tremblait, car le corps de Lishlith se soulevait et s’abaissait régulièrement sous les coups de reins réguliers de son amante.
Ensemble, les deux femmes se faisaient voracement l’amour, Shaïra la baisant rageusement, grognant et soupirant, y allant encore, encore, et encore... En visant bien entendu à remplir le ventre de sa nouvelle amante !
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« Shaïra ne compte pas vous laisser partir si facilement, toutes les deux... Tylissa porte les bébés de Shaïra, mais Lishlith, elle, a son ventre vide, alors que Shaïra sent toute sa fertilité. »
Lishlith eut tout juste le temps de frémir que Shaïra s'élança vers elle. Sa queue caudale s'enroula autour de la sienne, la piégeant dans un cocon chaud et vibrant avant qu'elle ne finisse plaquée au sol, les poignets serrés.
« Oohh… Shaïra… »
La lamia couina de plaisir en sentant les serpents de l'echidna s'attaquer à ses tétons, pinçant et pompant ses petits bouts de chair, tandis que la grosse verge de son amante s'enfonça dans son intérieur.
« Kkyyaahh ! Hhhiiisss ! »
Ce rapport était bien plus sauvage que celui que Tylissa avait eu avec Shaïra, preuve que cette dernière mesurait pleinement l'expérience de Lishlith, et avait jugé que des préliminaires n'étaient pas nécessaires. La lamia ne fut pas mécontente de ce choix, et se laissa aller dans l'étreinte chaude et puissante de sa partenaire.
De son côté, Tylissa reprenait doucement ses forces et observait en silence sa mère se faire baiser par Shaïra. Leurs corps chauds et vibrants remuant l'un contre l'autre, faisant trembler le sol par la force de leur coït, étaient si beaux à voir que l'embarras de la lamia fut vite dépassé par son désir. Elle approcha un peu pour bien voir tous les détails, surtout ceux du corps de l'echidna, et se mit à se tripoter en l'observant prendre sauvagement sa génitrice.
« Aahh… hhhmmm… »
Elle fixait avec envie les pointes tendues de ses seins gris, ses lèvres collées contre celles de Lishlith, et pelota sa propre poitrine d'une main tout en glissant deux doigts de l'autre dans son antre humide. Elle n'osa pas dire un mot, de peur de briser ce merveilleux moment, mais l'action de ses mains étaient bien plus parlants que n'importe quel mot. Sa mère la regarda du coin de l’œil, sans pouvoir dire un mot, trop prise par l'echidna qui la défonçait. Entre baisers, étreinte et pénétration, la lamia était vraiment au paradis.
Tylissa se faisait plaisir avec ses mains, et la mouille coulait le long de ses doigts. Haletante et tremblotante, elle espérait que ce merveilleux spectacle ne finirait jamais, malheureusement l'endurance de Lishlith avait ses limites, et elle fut la première à jouir.
« Oui... ça vient... oui... AAAHHH !!! »
Shaïra la suivit peu après, et remplit l'utérus de la lamia d'une impressionnante quantité de foutre, qui fit gonfler son ventre.
« Aahh... oh oui... ce que c'est bon... »
Pour elle qui n'avait plus portée de bébés depuis la naissance de Tylissa, se sentir à nouveau remplie était très agréable. Même si elle n'était pas encore fécondée, ça ne saurait tarder.
Lishlith caressa son ventre, puis se tourna ensuite vers sa fille, qui était toujours rouge d'excitation après s'être faite du bien. Elle posa une main contre sa chatte dégoulinante et une autre sur son épaule.
« Tu t'es bien faite plaisir en nous observant ma puce ? »
« Aahh... »
« On dirait bien. Mais maintenant, il faut calmer cette excitation en toi. Sans risquer de faire du mal aux œufs bien sûr. »
-
Avec Lishlith, Shaïra n’était pas contrainte de se retenir, comme elle avait pu le faire initialement avec Tylissa. Contrairement à sa fille, Lishlith était endurante, expérimentée. Shaïra le sentait à la manière dont la queue de la femme s’enroulait autour de la sienne, dont son corps acceptait son membre. Avec elle, Shaïra n’y allait pas par quatre chemins, et avait enfoncé sa juteuse trique en elle, pour la prendre sauvagement. Son corps rebondissait d’avant en arrière, et leurs queues caudales entremêlées frottaient et claquaient entre elles. Mieux valait ne pas se trouver derrière deux Lamias en rut, car leurs queues étaient puissantes, et donnaient de véritables coups de fouet.
« Hmmmm… Haaaaaa… Ssssssssssss… !! »
Sifflements, grognements, gémissements, toute la gamme sonore du plaisir y passait. Le corps de Shaïra continuait à onduler contre celui de la femme, et Tylissa, en spectatrice silencieuse, se régalait. Il fallait bien admettre que le spectacle était appétissant. Les deux serpents de Shaïra mordaient les seins de Lishlith, et pompaient sur ses tétons, jouant avec sa lourde poitrine, tandis que Shaïra continuait à la prendre, s’enfonçant, se redressant, crispant sa queue à chaque fois. Le plaisir se lisait sur le corps des deux femmes. L’Echidna était à la hauteur de sa réputation, labourant la femme, plantant en elle un épais monceau de chair, véritable trique, à la hauteur de sa virilité exceptionnelle.
Les deux femmes se faisaient donc l’amour sauvagement et longuement, s’embrassant régulièrement. Quand elles ne s’embrassaient pas, Shaïra léchait le cou de la femme, remontant jusqu’à sa joue, se montrant ainsi attentionnée et affectueuse, tout en la bourrant sèchement. Le corps de Lishlith se soulevait et s’abaissait, et cette séance dura de nombreuses minutes, jusqu’à ce que Shaïra ne sente le plaisir croître, approchant du point de rupture.
« Hmmmmm… Haaaaaaaaaaaaaa… !! »
Shaïra serra ses dents, puis sentit le plaisir approcher… Et relâcha d’épaisses quantités de foutre dans le corps de Lishlith, jouissant longuement et fort généreusement, arrosant son ventre de son foutre chaud, qui éclata en elle, venant la remplir par vagues successive. L’Echidna grognait, gémissait, se tortillant sur place, expulsant son sperme. Quand elle en eut terminé, Lishlith était assurément enceinte, et Shaïra put soupirer, sentant la sueur couler le long de son corps, sa queue caudale se détendant progressivement, relâchant celle de la mère de Tylissa.
« Ça y est… Lishlith porte les bébés de Shaïra, maintenant… »
Oh oui ! Indéniablement, Shaïra était en phase maternelle, maintenant. Elle avait envie de faire des bébés, et ses deux pondeuses se trouvaient là. Ses serpents, Nagi et Naga, s’écartèrent des seins de Lishlith, tout en émettant quelques sifflements, le tout en se tournant vers Tylissa. Shaïra sourit légèrement en la regardant également, et laissa Lishlith parler avec sa fille, exprimant tout haut ce que Shaïra venait d’observer… À savoir que la petite Tylissa était en chaleur.
Shaïra hocha la tête, en s’écartant de Lishlith, et en se rapprochant de Tylissa. Ses serpents vinrent se frotter contre la peau nue de la jeune femme, glissant sur ses épaules, caressant cette dernière, la léchant. L’Echidna se positionna dans le dos de la femme, Lishlith sur le devant, et posa ses mains sur les épaules de Tylissa, avant de l’embrasser dans le creux du cou.
« Oui… Shaïra sent l’excitation de Tylissa. Mais il n’y a rien à craindre pour les bébés de Tylissa, ils sont bien protégés, et n’empêchent nullement Shaïra et Lishlith de prendre Tylissa très fort. C’est même l’inverse, car Tylissa porte les bébés de Shaïra, qui augmentent sa soif et son envie de sexe. »
L’Echidna se délaissa du corps de Tylissa, et se rapprocha de celui de Lishlith… Puis la mordit dans le creux du cou, diffusant en elle un venin particulier, une toxine rose. Le corps de Lishlith se mit à devenir chaud pendant quelques secondes, puis Tylissa put sentir contre elle un bâton de chair se mettre à pousser. Shaïra venait de transformer Lishlith en une belle hermaphrodite ! Une verge avait jailli de son corps, raide et assoiffée.
« Tylissa va avoir le plaisir rare d’être prisonnière entre nos deux queues… Shaïra laisse à Lishlith le soin de déterminer où elle veut pénétrer sa fille… »
Shaïra se retourna vers Tylissa, et caressa à son tour, avec sa main, l’intimité de la jeune Lamia.
« Ici… »
Puis sa main se retira, et son autre main vint caresser la croupe de Tylissa, donnant également une petite gifle sur ses fesses.
« …Ou ici. »
Le choix lui appartenait !
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Tylissa ne le savait pas, mais son corps avait la capacité naturelle d'isoler les œufs qu'elle portait dans des poches qui les protégeaient de toute attaque extérieure, elle pouvait donc se faire baiser sans risque. Pour sa part, Lishlith craignait surtout que, sous l'effet de l'excitation, sa fille ne libère accidentellement les œufs alors qu'ils n'étaient pas à maturation, mais elle n'allait pas discuter les ordres de Shaïra. Cette dernière la prit par surprise en la mordant dans le cou, lui inoculant un poison un peu spécial.
« Mais qu'est ce que... aaahhh... »
La lamia n'arriva pas à se souvenir de la dernière fois où elle avait été aussi chaude qu'elle l'était maintenant. Peut-être la première fois qu'un mâle l'a besogné... En tout cas, ce moment avait quelque chose qu'elle n'avait pas à l'époque : une superbe verge, veineuse et gonflée, parfaite pour aller se loger dans le corps de Tylissa. Cette dernière fut un peu perturbée de voir sa mère avec une telle chose sur le corps, et s'interrogea quant à savoir si faire l'amour avec elle était une bonne chose. Certes, les lamais ne connaissaient pas d'interdit moral lié à l'inceste, mais elle avait passé tant de temps entouré par les humains qu'elle avait finit par adopter certains de leurs comportements. Malgré ça, l'envie dépassait le doute, et elle était prête à se laisser aller avec ces deux merveilleuses femmes.
« Hum... je crois que je vais la prendre... »
Elle posa sa main contre la vulve de sa fille.
« Ah ! »
« … ici. »
Lishlith et Shaïra se mirent de concert pour enrouler leurs queues de serpent autour de Tylissa, la piégeant dans un double cocon d'écailles douces et chaudes, dans lequel elle se laissa aller avant de sentir les verges des deux femmes s'enfoncer dans ses cavités.
« AAAHHH ! »
Le plaisir l'envahit d'un seul coup comme si une bombe avait explosé en elle. Sentir un sexe logé en elle était déjà exceptionnel, mais deux en même temps, c'était un tout autre niveau d'extase. Elle n'arrivait même plus à penser, elle laissait juste son corps se faire balancer d'avant en arrière, gardant ses forces pour les spasmes et les cris. Elle n'avait même pas réalisé que c'était la première fois qu'elle expérimentait le sexe anal, avec Shaïra qui lui défonçait la porte arrière sèchement. Pourtant, elle n'avait pas ressenti la moindre douleur, juste un incroyable sentiment d'extase. Son goût pour la soumission était bien stimulé par cette prise en tenaille entre sa mère et celle qui lui avait donné ses œufs. Son corps était ballotté, secoué dans tous les sens, elle se sentait au paradis du sexe.
Lislhlith, emballée par ces sensations qu'elle découvrait pour la première fois, devint de plus en plus agitée et augmentait la vitesse de ses pénétrations tout en embrassant frénétiquement sa fille. Ses lèvres, ses joues, son cou… la peau de son bébé d'amour était délicieuse.
« Ah… Tylissa… ce que tu es bonne… haann… »
Difficile de faire mieux que ça.
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Chez les humains, l’inceste était une chose très mal vue. Si Tylissa en avait retiré une certaine crainte, Shaïra, au contraire, en avait retiré une certaine excitation. L’Echidna était aussi puissante que perverse, et, même si elle dédaignait beaucoup les humains, elle avait beaucoup appris auprès d’eux. Outre la magie, elle avait aussi gagné en perversion, et trouvait maintenant que voir une mère coucher avec sa fille apportait très clairement un solide plus, qui ne manquait pas de l’émoustiller. C’était bien le cas ici, et, de plus, ces deux Lamias étaient aussi ses pondeuses et ses amantes, ce qui était assurément un grand honneur pour elles. Si Lishlith était déjà influente dans cette communauté avant, maintenant qu’elle et sa fille avaient eu l’immense honneur de porter les premières les bébés de Shaïra, elle allait encore croître en influence. Oh, bien sûr, il y aurait des grognements, des rivaux, des ennemis, mais Shaïra les mettrait au pas. Il ne fallait pas oublier que, malgré le fait qu’ils portent des vêtements et puissent communiquer, les Lamias restaient des animaux prédateurs, et, partant de là, territoriaux. Or, s’il était très rare que les ophidiens soient territoriaux, il existait, néanmoins, quelques espèces qui avaient montré des comportements de ce type, comme le mamba noir (ou Dendroaspis polylepsis, pour reprendre le terme scientifique). Défendant son territoire, le mamba noir agressait quiconque allait chez lui, alors que, généralement, un serpent errait, sans vraiment avoir en lui la notion de propriété.
Shaïra pouvait ainsi agir comme un mamba noir, en se montrant territoriale, et c’était précisément le cas ici, où elle comptait bien, non seulement diriger cette communauté, mais aussi la défendre, que ce soit contre des attaquants externes, que des ennemis internes. Et, quand un animal défend son territoire, c’est souvent là où il se montre le plus agressif possible. Autrement, il se contente de fuir, en réalité.
Tout cela pour dire que Shaïra allait bien s’occuper des deux femmes. Pour l’heure, néanmoins, il n’était pas encore question de se battre, mais de labourer sévèrement Tylissa. Entre deux puissantes Lamias, elle allait se faire délicieusement prendre. La jeune Lamia en semblait même un peu penaude, mais on ne lui laissait pas le choix. Maintenant que Lishlith avait une verge (et une très belle verge, au demeurant, ce qui témoignait de sa vitalité), elle voulait s’en servir. Shaïra avait aussi répandu de la magie rose en elle, afin de faire sauter les éventuelles inhibitions qu’elle pourrait avoir à l’idée de coucher avec sa propre fille.
Shaïra se glissa donc dans le dos de la femme, entrelaçant sa queue avec celle de Lishlith, le tout autour de celle de Tylissa. Elle se retrouva ainsi coincée entre les deux Lamias, en sentant sa queue avalée entre les deux, de sorte que les trois femmes étaient mutuellement reliées, Lishlith et Shaïra blotties contre le corps de Tylissa.
« Hmmmm… N’aie pas peur, Tylissa, les Lamias sont très résistants… »
La jeune Lamia était coincée contre elles, et sentit leurs queues s’approcher de ses trous. Shaïra laissa à Lishlith l’honneur de l’enfourner la première, puis Shaïra la rejoignit ensuite, son vit heurtant son petit cul. Elle sentit la résistance de son anneau de chair, et émit un grognement, accompagné d’un long sifflement. Elle était vierge de ce côté, et, rapidement, les hurlements de Tylissa vinrent couvrir les oreilles de Shaïra. Sa queue caudale se crispa sur place, tandis qu’elle sifflait contre les oreilles de la femme, sous l’effort physique.
« Haaaaa… Ty-Tylissa est… Si… Si é-étroite, hmmm… »
Shaïra soupira encore, et continua à s’enfoncer, forçant progressivement le passage. Pour faire taire ses hurlements, Lishlith embrassait goulûment sa fille, fourrant sa langue dans sa bouche. Shaïra appela alors Nagi et Naga. Ses deux serpents se déplacèrent, et vinrent mordre chacun la nuque de Tylissa, répandant un puissant aphrodisiaque dans ses veines. Le corps de Tylissa sembla alors se détendre instantanément, et Shaïra se dépêcha de poser ses mains sur les seins de Tylissa, venant les pincer à hauteur des tétons, tout en sentant les résistances de Tylissa faiblir petit à petit.
« Oui, hmmm… Laisse le plaisir se diluer en toi, Ty-Tylissa, haaaa… Shaïra aime tellement te bourrer ton petit cul, hmmmm… »
Et, bien sûr, elle aimait aussi voir les deux Lamias s’embrasser passionnément.
C’était un véritable régal pour elle !
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Au début, Tylissa craignait qu'avoir deux amantes s'enfonçant en elle en même temps, qui plus est des amantes aussi vigoureuses, serait une expérience trop forte pour son corps. Mais finalement, les dires de Shaïra se confirmèrent : les lamias étaient des créatures résistantes, et même un individu aussi jeune et inexpérimenté que Tylissa pouvait encaisser ce coït. De toute façon, le plaisir du moment dépassa vite ses appréhensions, et elle se laissa totalement plonger dans cette baise sauvage sans retenir sa voix.
« Aaahhh ! Aaahhh ! Aaahhh ! »
Sous le coup de la passion, Lishlith embrassa passionnément sa fille, et Shaïra en profita pour planter les crocs de ses serpents dans le cou de la jeune lamia.
Aie !
Cette petite morsure se changea vite en brasier intérieur, son corps hurlait à la lune en réclamant du sexe. Les deux queues logées dans ses orifices, les baisers de sa mère et le pétrissement de sa poitrine lui parurent encore meilleur. Sa résistance physique faiblissait, ses trous se dilataient pour faciliter le passage, rien ne semblait plus être en mesure de refouler ses pulsions lubriques.
Serrées dans les queues chaudes et vibrantes de sa mère et de son amante echidna, Tylissa se sentait plus détendue, ce qui aida encore son corps à se relaxer et à laisser le venin aphrodisiaque agir en elle. Elle bouillonnait intérieurement, et malgré toutes les attentions qu'on lui accordait, elle avait l'impression qu'il lui en fallait plus. Elle tenta en vain de se libérer de l'étreinte de ses amantes, mais elle était juste trop forte. Du coup, elle resta bien en place, laissa le plaisir venir lentement, jusqu'à ce que finalement il n'explose au creux de ses reins.
« HHHHHMMMMM !!! »
Son cri de plaisir fut étouffé par la bouche de Lishlith, mais l'explosion de mouille entre ses cuisses ne laissait aucun doute quant au plaisir ressenti par son corps. Le venin étant toujours en elle, elle était toujours excitée, mais elle était aussi un peu fatiguée après un tel choc orgasmique, et sa mère le vit bien.
« Oh, on dirait que mon bébé est un peu fatigué. »
C'était à Shaïra de voir ce qu'elle voulait faire maintenant mais, de leur côté, mère et fille étaient prêtes pour un deuxième round avec l'aide de ce venin rose qui coulait encore dans leur sang de femme-reptile.
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Shaïra et Lishlith offraient à Tylissa un plaisir rare. En la mordant, Shaïra n’avait toutefois pas fait que la rendre plus sensible. Elle avait aussi accru son endurance. Tylissa ne le réalisait pas, mais le plaisir qu’elle ressentait, cette intensité, était supérieur à ce qu’un humain normal pouvait ressentir. En fait, un simple humain serait déjà mort depuis longtemps, broyé entre les queues de ces puissantes Lamias. Mais celle de Tylissa s’adaptait très bien à ce qu’elle subissait, remuant et vibrant en harmonie avec celles de Shaïra et de Lishlith.
« Hmmmm... Haaaaa... »
Elle laissait Lishlith embrasser à pleine bouche sa fille. Elle remuait sa verge dans le petit cul de Tylissa, s’enfonçant dans cet étroit canal de chair, remplissant tout l’espace, pendant que ses serpents jouaient avec les seins de Tylissa. Ils léchaient ses tétons, ou les pinçaient, tirant dessus, la faisant longuement gémir. Oui, Shaïra adorait ça, tout simplement. Ses mains se crispèrent sur les hanches de Tylissa, tandis qu’elle continuait à soupirer et à gémir, approchant, elle aussi, de l’orgasme. Après tout, outre le plaisir de la sodomie, il y avait aussi sa queue caudale, qui se frottait avec celle des autres femmes, provoquant chez l’Echidna une série de délicieux frissons.
Finalement, les femmes finirent par jouir, Lishlith accompagnant cela d’un magnifique baiser contre les lèvres de sa fille. Shaïra, qui léchait le cou de la femme, relâcha ensuite la pression, pendant que Lishluith lui demandait ce qu’elle comptait faire.
« Hmmm... »
Shaïra avait rangé sa verge, et se rapprocha à nouveau de Tylissa, attrapant le menton de la femme entre ses doigts. Elle l’observa silencieusement, sans rien dire.
« Tylissa est une Lamia puissante, et Shaïra sent son excitation. Son corps veut encore du sexe. »
Elle le sentait à la manière dont la jeune Lamia respirait, ou dont ses seins étaient tendus. Oui, Tylissa avait encore envie de sexe, et Shaïra, en conséquence, vint lécher sa joue, puis la mordit à nouveau, répandant dans ses veines le même venin que pour sa mère. Tylissa se tortilla alors sur place, en devant très certainement sortir une forte démangeaison à hauteur de son bassin. Elle remua encore sur place, avant de gémir, et Shaïra enfonça ses doigts dans son intimité, venant la masturber, la caressant intimement, l’iadant à se calmer. Elle soupira encore, poussant de délicieux cris.
« Allez... Pousse, Tylissa, pousse ! »
La Lamia obtempéra, et, dans un cri, laissa sortir une belle verge, recouverte de sa mouille. Shaïra esquissa un sourire ravi, serrant la hampe de chair de sa main pour la masturber, tout en déplaçant son autre main pour caresser la queue de Lishlith. Elle les masturba ainsi toutes les deux.
« Maintenant... Lishlith et Tylissa vont toutes les deux s’occuper du corps de Shaïra, et elles vont la baiser bien fort ! »
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Tylissa fut bien secouée par toute l'attention que lui accordaient sa mère et son amante, mais elle était loin d'être à bout de forces. Shaïra attrapa son menton entre ses doigts et la força à la regarder. La jeune lamia eut des frissons en fixant en silence l’œil rouge de l'echidna. Elle voulut l'embrasser, mais elle était trop soumise pour oser le faire sans qu'on lui en donne l'ordre. Elle se laissa donc lécher la joue et mordre sans rien dire, puis elle sentit le venin rose se répandre dans son corps. Une forte démangeaison se manifesta au niveau de son bassin, accompagnée d'une bouffée de chaleur incontrôlable. Elle voulait se tortiller, mais l'étreinte des deux femmes restait toujours aussi imposante. Quand l'echidna posa sa main contre son intimité, elle ne put contenir sa voix.
« Kyyaahh ! »
Conformément aux ordres de Shaïra, Tylissa se mit à pousser, et finalement une verge émergea entre ses cuisses. A présent, elle était aussi bien membrée que sa maman. Cette dernière voulut empoigner le nouvel organe de sa fille, mais l'echidna lui grilla la politesse et prit également le sien entre ses doigts. Leur tâche était maintenant de baiser Shaïra avec leurs jouets.
« Aahh… aahh… »
La jeune lamia était trop secouée pour pouvoir parler, ou même pour pouvoir réfléchir avec cohérence. Heureusement, Lishlith était là pour la guider.
« Allez ma chérie… mets ta queue dans l'antre chaude de Shaïra… moi je m'occupe de son cul… »
La jeune lamia, sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait, obéit et enroula sa queue de lamia autour de celle de l'echidna avant d'enfoncer sa verge dans son intimité. D'un seul coup, le plaisir et la chaleur montèrent dans son corps.
« Haann… »
Comme pour sa mère, la découverte du plaisir de la pénétration en étant celle qui a la verge la rendait complètement folle. Ses mouvements devinrent très vite anarchiques, ses mains se perdirent sur les courbes de son amante et elle colla ses lèvres contre les siennes bien qu'elle n'en ait pas reçu la permission.
Lishlith observait le spectacle de sa fille s'abandonnant à la luxure avec beaucoup d'amusement.
« Eh bien… on dirait que ma fille chérie arrive enfin à se lâcher. »
Pour ne pas laisser Shaïra en reste, la lamia se glissa dans son dos, enroula sa queue autour de celle de sa fille et enfonça sa verge au fond de l'anus de l'echnida. Ce fut bien moins étroit que ce à quoi elle s'attendait, signe qu'elle ne devait sûrement pas être la première à passer par là. Elle empoigna les hanches de la femme et poussa son sexe aussi loin qu'elle put.
« Hhhmmm... ouuuiii... »
Il était particulièrement agréable de sentir sa verge serrée dans ce colon étroit, mais c'était encore plus agréable pour sa petite fille chérie, dont le sexe raidi par l'excitation se plongeait avec délice dans le con chaud et humide de l'echidna. Elle était dans l'extase jusqu'au fond de ses entrailles.
« Han... han... han... »
Elle enfouit son visage dans le cou de Shaïra pour le couvrir de baisers tandis que sa mère alla peloter ses seins rebondis. Aussi forte qu'elle soit, la lamia à la peau grise allait bien finir par jouir à un moment où un autre avec deux femmes aussi énergiques dévouées à son corps.
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Pour Tylissa, la vague intense qu’elle ressentait devait être aussi inédite que puissante. Difficile de lutter contre cette chose, difficile de lutter contre cette vague qui la traversait. Shaïra était bien placée pour savoir que l’appel du sexe était, en la matière, irrésistible. Tylissa n’avait encore jamais porté une verge, elle n’avait encore jamais été confrontée à une telle vague, et se rapprocha rapidement, après les caresses de l’Echidna. Shaïra salivait en sentant ces deux queues près d’elle, ces deux Lamias pleines de vigueur et d’énergie, qui allaient s’occuper d’elle bien comme il faut. En ce moment, Shaïra ne voulait pas de douceur, ni de tendresse. Elle demandait du sexe sauvage et intense, et c’était ce qu’elle allait avoir avec ces deux femmes.
Tylissa se rapprocha rapidement, peinant à parler. Il suffisait de voir la taille de sa queue, sa raideur, pour le réaliser. Et ça, l’Echidna l’avait senti en la masturbant. La queue de Tylissa avait rapidement grossi, pour se durcir considérablement, devenant une magnifique trique, queue fièrement érigée et assoiffée.
« Ouuuiii… Viens en Shaïra, petite Tylissa… »
Et elle vint, tout naturellement, sans protester, sans hésiter. Sa queue heurtait les parois de Shaïra, puis Tylissa s’enfonça en elle, tout en enroulant sa queue caudale autour de la sienne. Un frisson de plaisir traversa le corps de l’Echidna, qui posa sa main sur les cheveux de la femme, et vint partager avec elle un magnifique baiser, leurs langues venant se serrer entre elles, celle de Shaïra roulant autour de celle de Tylissa pour tirer dessus.
Elle avait une main sur ses cheveux, et soutenait ainsi Tylissa, qui frottait sa queue caudale contre elle, pour remuer ainsi son corps, ondulant sur celui de Shaïra. Tylissa agissait rapidement, frénétiquement, trahissant sa nervosité, son envie, ce désir furieux qui devait battre en elle. Dans son dos, Lishlith se rapprocha, et rejoignit rapidement sa fille, en enfonçant sa verge dans son cul.
« Hmmmmm… Haaaaaaa… !! »
Elle se tortillait sur place, coincée entre ces deux beautés, ces deux puissantes Lamias qui la prenaient vigoureusement. Elle rompit brièvement son baiser, et émit un long gémissement de plaisir. Son corps se tortilla sur place, tandis que les deux Lamias s’enfouissaient encore en elle, remuant dans son être.
« Hmmmm… Hnnnnnn… O-Ooouuuiii… A-Allez, mles chéries… Bai… Baisez Shaïra ! »
Shaïra émettait de longs sifflements, et se tortillait en sentant les deux queues la serrer. Ce contact était vraiment délicieux, si chaud, si doux, si… Si vibrant.
Elle voulait les sentir jouir en elle, et elle aussi jouirait, bien sûr… Car ce serait une magnifique manière de conclure leur séance !
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Tylissa se faisait plaisir en fourrant sa queue dans l'antre chaude et humide de Shaïra, tandis que Lishlith enfonçait la sienne dans son colon étroit. Un superbe sandwich de lamias pour un plaisir incomparable. La jeune lamia puisait dans ses réserves d'énergie pour rester concentrée sur la situation, son esprit se perdant déjà dans les brumes du désir fiévreux. Sa mère parvenait à garder les idées claires, mais découvrir le plaisir de la pénétration avec un vrai pénis l'avait beaucoup fatiguée, elle ne pensait pas pouvoir tenir encore longtemps. En tout cas, les demoiselles mettaient toutes leurs forces dans leur activité.
Inévitablement, ce délicieux sandwich reptilien conduisit à un autre délicieux orgasme, ou plutôt à une série d'orgasmes : Tylissa fut la première, et elle se vida entièrement dans l'intimité de Shaïra avant de sentir la lassitude s'emparer d'elle et de desserrer l'emprise de sa queue ; puis ce fut au tour de Lishlith, qui remplit le cul de l'echidna avant de s'éloigner à sob tour ; Shaïra jouit au même moment que l'aînée lamia, et ce fut la première fois que la jeune lamia put écouter le son du plaisir absolu chez celle qui l'avait mise enceinte. Leur séance de coït animal venait d'atteindre un point culminant, mais Tylissa n'était pas encore K.O pour autant. Elle revint près des deux autres femmes, la queue entre ses jambes avait encore du volume.
« Aahh... une dernière fois... s'il vous plaît... s'il vous plaît... »
Même si elle était fatiguée, l'appel du sexe était encore plus fort. Quant à sa mère, elle avait bien compris que, depuis le début, Shaïra espérait voir mère et fille se faire l'amour. Ce fut l'occasion parfaite de combler cette envie. Elle approcha de son enfant chéri et lui caressa la joue tandis que sa main glissait le long de son ventre.
« Ah ma petite puce… dire qu'il y a moins d'une journée, tu ne faisais qu'imaginer le sexe, et maintenant voilà que tu viens en réclamer. »
Elle prit la trique dure de la jeune lamia entre ses doigts.
« Montre à maman à quel point tu as grandi… et fais moi goûter à ta queue. »
Si elle avait eu l'esprit totalement clair, Tylissa aurait hésité à se jeter sur sa mère de la sorte. Mais pour l'instant, tout ce qu'elle voyait en regardant Lishlith, c'était une magnifique lamia à laquelle elle devait obéir. Elle se laissa donc prendre dans son étreinte et introduisit son sexe dans son intimité, sous les yeux de Shaïra qui, pour le coup, allait être une simple spectatrice.
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Coincée entre les deux Lamias, Shaïra découvrait un plaisir exquis, comme un point d’orgue à cette superbe journée. Tylissa et Lishlith n’étaient pas des Echidnas, mais, par leur statut de Lamia, elles disposaient, malgré tout, d’une énergie incroyable, d’une vigueur sexuelle surhumaine. Sentir ces deux femmes en elle, voilà qui était magique. Shaïra était largement comblée, et se dandinait d’avant en arrière, en les laissant la prendre. Ses deux amantes étaient très motivées, surtout Tylissa, qui découvrait des plaisirs aussi intenses qu’inédits. Elle se dandinait donc contre elle, encore et encore, avec une vitalité impressionnante, jusqu’à finir par se relâcher dans son corps, tout comme Lishlith. Le duo de Lamias se détacha dans de grands soupirs du corps de Shaïra, qui se retrouva délaissée, reprenant son souffle, le corps frissonnant encore du contact des deux femmes.
« Haaaaa... »
L’Echidna caressa son ventre. Se pouvait-il qu’elle soit enceinte ? Après tout, rien ne l’empêchait... Et, vu comment Tylissa avait joui en elle, ce n’était pas impossible. Certes, Shaïra était hermaphrodite, et pouvait donc engrosser les autres, mais pouvait aussi se faire engrosser. L’idée était bien loin de lui déplaire, car, maintenant que Shaïra avait trouvé une telle communauté, elle ressentait un fort besoin de nidification, de faire des petits... Tous ces Lamias iraient chez Sha, là où ils seraient protégés, et pourraient se développer, tout en ayant beaucoup d’esclaves humains pour se reproduire.
Shaïra y songeait donc, pendant que Tylissa, le bâton toujours érigé, se rapprocha de sa mère. Pour conclure, quoi de mieux, en effet, qu’une petite séance incestueuse ? Ce rapprochement sortit l’Echidna de sa torpeur, qui se rapprocha d’elles. Elle s’avança, et sourit en voyant Tylissa pénétrer sa mère.
« Ouiiii... Faites-vous l’amour devant Shaïra, mes chéries... »
L’Echidna esquissa un sourire ravi, tout en les regardant faire, s’imprégnant de cette odeur de sexe, reniflant tout ce qui se passait. Elle tournait autour d’elles, mais sans les déranger. Elle observait la scène, tout simplement, et ce sous toutes ses coutures.
Quel spectacle !
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Attirée par les flots de phéromones traînant dans l'air et par la beauté naturelle de sa mère, Tylissa sa laissa aller aux plaisirs incestueux, son sexe planté au plus profond de l'intimité de la lamia. Elle cramponna ses mains aux hanches de son amante et entama les allées et venues, complètement absorbée par le désir. Lishlith, de son côté, était emplie de joie et de plaisir en voyant sa fille, qui était encore une enfant il y a peu, se laisser enfin aller aux joies des plaisirs d'adulte. Elle garda néanmoins assez de clairvoyance pour remarquer que Shaïra tournait autour d'elles, un sourire ravi sur les lèvres. Elle observait mais ne touchait pas, elle n'approchait même pas de trop près. Sans doute ne voulait-elle pas déranger leur baise.
« Aahh... vous aimez... ce que vous voyez... hein ? »
Difficile de rester de marbre devant la vue de deux belles lamias se faisant l'amour. Lishlith posa ses deux mains sur le crâne de sa fille et amena son visage contre sa poitrine. La jeune lamia colla immédiatement sa bouche contre un téton et l’aspira entre ses lèvres, amenant sa mère à couiner de plaisir encore plus fort.
« Hhhmmm ! Oh oui ma puce ! Aspire bien. Savoure la poitrine de ta maman. »
Ce délicieux rapport incestueux fit remonter des souvenirs bien plus chastes dans l’esprit de Lishlith : elle revit le jour de l’éclosion de l’œuf de Tylissa, cette petite créature fragile et sans défense qu’elle avait prise dans ses bras pour entendre ses premiers sifflements, comment elle l’avait nettoyée de tout le liquide dans lequel elle baignait dans son œuf, l’observer ramper sur le sol pour la première fois… Et aujourd’hui, sa fille et elle étaient enceintes de la même echidna, elles allaient bientôt partager la joie d’avoir des bébés, et elles se faisaient même l’amour entre elles. Décidément, la vie était bien faite.
La bite au fond du con de Lishlith, sa bouche perdue dans sa poitrine et ses mains empoignant ses hanches, Tylissa prenait un vrai plaisir à faire l’amour avec sa mère. Elle fit ses allées et venues, encore et encore, couinant et gémissant son plaisir, jusqu’à sentir sa queue se contracter une ultime fois.
« AAAAHHHH ! »
Tout son corps se tendit comme une corde d’arc, elle lâcha sa semence blanche dans le corps de sa mère, et une fois le choc passé, elle se relâcha et tomba à moitié avant de se rattraper. Bien que fatiguée, elle était encore capable de tenir debout.
« Ouaaahhh… c’était… vraiment super… »
Mais est ce que Shaïra avait autant apprécié de regarder que les lamias avaient aimé le faire ?
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Comment aurait-elle fait pour ne pas aimer ce qu’elle voyait ? Shaïra était certes une Lamia tournée vers l’action, qui n’aimait guère la passivité, et qui se montrait toujours brutale et dominante dans le rapport sexuel, mais elle pouvait aussi, selon certaines circonstances, se borner à un rôle plus passif. C’était ce qu’elle faisait actuellement, en regardant Tylissa pénétrer sa mère. Un spectacle intime et sensuel, qu’elle observait avec grand plaisir. Oh ça oui ! Tylissa s’enfonçait avec vigueur dans sa mère, sans faire semblant, et jouait avec ses seins. Et, à aucun moment, Shaïra n’intervint. Elle aurait pu le faire, bien entendu, et peut-être l’aurait-elle fat en d’autres circonstances, mais elle voulait que l’intimité de ce moment perdure, qu’elle se contente à être une simple spectatrice.
Les minutes défilèrent tandis que Tylissa continuait à pénétrer sa mère, chaque coup de reins étant comme une couche supplémentaire d’abandon de son innocence enfantine. Elle avait goûté au sexe en passant par la grande porte, pénétrée et baisée dans tous les sens par Shaïra, puis par sa mère. Nul doute que l’Echidna s’était trouvée deux amantes vigoureuses et efficaces, ce qui, en soi, suffisait à la remplir de bonheur. Non seulement elle avait maintenant toute une colonie, mais aussi des amantes qui lui offriraient beaucoup de bébés, de quoi satisfaire pleinement ses instincts maternels.
*Oui, c’est une magnifique journée…*
Elle pensait à cela, bien sûr, mais, pour l’heure, s’enthousiasmait surtout devant l’ardeur des deux Lamias, qui continuaient à se faire langoureusement et passionnément l’amour. Lishlith crispait ses mains sur les hanches ou sur les fesses de sa fille, qui, de son côté, continuait à la bourrer, en couinant et en gémissant à plusieurs reprises.
« Làààà… Ouiiii, très bien… Vas-y, Tylissa, pénètre-là bien fort… »
Quel spectacle ! Il y avait, là, dans ces corps qui s’entrechoquaient, dans ces longues queues qui se frottaient, une sorte de beauté intrinsèque et fondamentale. Shaïra en était toute émue, la gorge asséchée. Les muscles remuaient, les corps se pressaient, la chair se frottait… Les deux Lamias exprimaient leur plaisir à coups de baisers, de caresses, de crispations, de couinements, et c’est dans ces conditions que Shaïra vit Tylissa jouir. Elle la vit redresser un peu son visage, piégé entre les deux seins de sa mère, puis serrer les dents, avant de gémir lentement, tout son corps se tendant pendant quelques secondes… Puis son sperme jaillit. L’érection atteignit le point névralgique, et le désir éclata sous la forme de traînées blanchâtres qui se répandirent
Shaïra sourit encore, et caressa les cheveux de Tylissa.
« N’est-ce pas ? Shaïra vous décrète comme étant ses amantes officielles. Elle veut que vous continuiez à vous aimer toutes les deux, et que vous soyez toujours là pour elle… »
L’Echidna se redressa un peu, et embrassa brièvement Lishlith.
« Mais, pour l’heure, vous allez vous reposer… Puis nous partirons vers les terres de Sha, où nous serons à l’abri, et pourrons développer notre belle et grande famille… »
Et peut-être bien que Shaïra irait fonder sa première véritable colonie, une colonie qui ne disparaîtrait pas à cause des humains. Il ne restait plus qu’à préparer ces Lamias au départ.
Des jours merveilleux s’annonçaient !
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Tylissa et Lishlith venaient de vivre un merveilleux coït, et Shaïra les félicita pour leur magnifique performance. Elle était si contente qu'elle déclara même faire des deux femmes ses amantes officielles.
« Vraiment ? »
Tylissa était aux anges en entendant ça. Elle était devenue la partenaire sexuelle privilégiée de la puissante echidna qui lui avait pris sa virginité, planté sa première portée d’œufs dans le corps, et pris la direction de leur communauté. Pour elle, c'était aussi précieux qu'une demande en mariage pour une humaine. Lishlith aussi se réjouissait, mais plus pour le gain de rang social qu'elle venait d'obtenir. Elle était déjà une lamia influente dans ce village, et maintenant elle avait pour elle l'affection de la nouvelle dirigeante de la communauté, de quoi assurer son avenir et celui de sa fille.
Shaïra ordonna aux deux lamias d'aller se reposer avant le départ vers les terres de Sha, là où les habitants du village ne seraient plus en danger de mort face aux hommes ou aux elfes. Elles obéirent sagement et, alors que la jeune lamia se dirigeait vers sa couchette, sa mère la retint par le poignet.
« Maman ? »
« Tu vas dormir avec moi ce soir ma puce. »
« Hein ? Mais maman, je n'ai pas dormi avec toi depuis… »
« … très longtemps, je sais. Mais ce soir, je… j'ai envie de t'avoir près de moi, comme quand tu étais petite. »
« Maman… »
Ne se sentant pas le cœur de protester, Tylissa se contenta de suivre Lishlith jusqu'à sa couchette. Elle laissa sa fille se coucher la première, puis elle s'enroula autour d'elle pour la prendre dans sa chaude étreinte.
« Aahh… ça me rappelle de bons souvenirs. »
« Comme quoi ? »
« Quand je veillais sur ton œuf, me demandant à quoi tu ressemblerais en sortant. Ou quand tu étais encore toute petite, et que je devais te garder près de moi parce que tu ne restais jamais tranquille. »
La lamia ne dit pas un mot, laissant sa mère évoquer ses vieux souvenirs tout en se blottissant contre son corps chaud et encore vibrant. Cette dernière passa sa main dans ses cheveux tout en lui baisant le sommet du crâne.
« Est ce que tu aimes Shaïra ma puce ? »
Tylissa fut surprise de la question posée par sa mère, mais elle savait qu'elle ne devait pas lui mentir.
« Je crois… »
« Fais attention surtout. Les lamias ne sont pas des créatures monogames, et surtout les echidnas. Elles ont des dizaines d'amants et amantes à leur botte, toi et moi ne sommes que les deux premières d'une longue liste. »
« Je sais… »
L'aînée lamia eut de la peine pour sa fille, dont le premier coup de cœur était une lamia qu'elle ne pourrait sans doute jamais avoir, mais elle savait aussi qu'elle ne pourrait rien y changer, alors elle se contenta de la serrer fort contre elle, comme pour la consoler d'une peine de cœur qu'elle n'avait pas encore eu. De son côté, la jeune fille se disait surtout qu'elle avait eu une chance folle de croiser cette echidna par hasard dans les bois, et que sa vie allait devenir plus palpitante qu'elle n'aurait pu l'être autrement. Et surtout, qu'elle n'aurait plus jamais à craindre les hommes et les elfes.
Cette nuit là, tous les habitants du village dormirent d'un sommeil lourd et paisible, rassurés de savoir qu'il y avait maintenant une puissante echidna pour veiller sur eux, sans se douter qu'un long voyage les attendait bientôt.