Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Discussion démarrée par: Eris Langnar le jeudi 01 octobre 2015, 04:19:37
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Des visions harcelaient mon esprit qui vagabondait ailleurs. Je voyais un mur géant*, des silhouettes portant une armure de fourrure d'un noir corbeau* et la neige qui tombait. Bien qu'il semblât faire froid et très venteux là ou j'étais, je ne ressentis point le froid me toucher ni le gel engourdir mes membres, malgré la tenue de danseuse du ventre que je portais et le fait que j'étais pied nue. La noirceur avait envahi le ciel, des nuages couvraient à peine le ciel étoilé tandis que les éclats lunaires perçaient le voile des nuages. Silencieusement, je me promenais sur un sentier enneigé, bien que visible vu que beaucoup de personnes semblaient avoir marché dessus récemment. Au bout du chemin, enfin, j'arrivais à une porte en bois renforcée, deux personnes portant une armure de fourrure noire et tenant entre leurs mains des épées en argent, toute deux planté dans le sol, tenant la garde de leur lame. D'un hochement de tête, je les saluais respectueusement et ils en firent de même. J'avais l'impression de les connaitre, de les avoir déjà vu... Mais quand ? Contrôlais-je vraiment mes actions ou était-ce une scène du passé qui se jouait dans mon esprit ?
Alors que la porte allait s'ouvrir et que les 'chevaliers' s'écartaient du passage pour me laisser entrer, je sentais mon corps se faire secouer avant que je ne revienne a la réalité, découvrant que j'étais couché sur mon lit, les rayons du soleil frappant mon visage. Je me mis en position assise et frottais mes yeux, voyant qu'une servante m'avait réveillé et m'avertissais qu'il y avait une invitée recueillie. Je hochais la tête et la congédiais, posant mes pieds sur le carrelage froid en marbre brun de ma chambre, me mettant ensuite debout et m'étirais longuement, comme un chat. Je réarrangeais ensuite rapidement les couvertures rouges de mon lit à baldaquin, correctement. Les volets de ma chambre étaient fermés, vu qu'il y avait une petite tempête de sable en ce moment. Heureusement que je portais toujours ma robe donc, je me mis en direction de la salle du trône de mon palais et arrivais enfin après un moment.
Les murs de la salle du trône étaient en marbre blanc avec des motifs serpentins qui recouvrait certaines parties du mur, avec quelques décorations en or en forme de scorpion ou en dragon, des tapisseries ainsi que des tableaux. La grande porte qui menait à la salle du trône était faite en écorce de fer, un type de bois très résistant aux béliers, aux flammes et autre équipement de sièges qui pourrait la défoncer, bien qu'il y eût sa limite. Sur des autels et des vitrines se trouvaient des trophées de guerres que mon défunt mari, ELLIPSIS, a gagner au fil des batailles. Armes, armure, trophée de 'chasse' comme des crânes de dragon ainsi que d'autres choses de ce genre. Les Scorpions Dorées, quant à eux, se tenaient en rang, armés de leur lance et épées, prête a agir pour défendre leur Dame des Sables, ainsi que 20 de mes meilleurs Scorpions qui se tenaient prés du trône qui avait la forme de la gueule d'un grand dragon ouverte, en or, les dents faisant office d'accoudoir (et heureusement que ces dents étaient pas tranchants). Je m'asseyais à ma place, la paume de ma main contre ma joue. Nous devions être dans l'après-midi, je pense.
Après un moment enfin, la porte s'ouvrait silencieusement malgré sa grande taille, laissant voir une personne a la silhouette familière... Et je reconnus enfin Mira. D'un coup, je me mis debout et souriait chaleureusement à la jeune fille, m'approchant d'elle de mon pas gracieux et rapide.
-Mira ! Ça fait longtemps ! Lui dis-je en l'enlaçant dans mes bras, l'époussetant un peu les cheveux vus qu'il y avait du sable dessus. Ça va, tu n'as rien ? J'espère qu'il n'y a pas eu trop de problèmes durant ton voyage... Que me vaut cette visite ?
Premier *: https://patricksponaugle.files.wordpress.com/2013/12/game-of-thrones-poster-north-of-the-wall.jpg
Deuxième *: http://vignette3.wikia.nocookie.net/gotascent/images/a/a5/World_Supplies_to_the_Wall_Win.jpg/revision/latest?cb=20140130214822
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Il y a des souvenirs dans la vie que l'on garde précieusement dans un coin de sa mémoire : sa remise de diplôme, son premier baiser, le jour de son mariage, la naissance de son enfant... Pour Mira, seuls trois souvenirs valaient vraiment le coup d'être gardées avec beaucoup de précaution : la première fois qu'elle a vu sa sœur, la seule famille biologique qu'elle avait, son affrontement avec Inferno, la source de sa quête folle sur Terre, et le jour où elle avait perdu sa virginité dans les bras d'Eris Langnar. Le jour en question, Mira ignorait quasiment tout d'Eris. Tout ce qu'elle savait, c'était que cette femme venait du Sultanat des Sables Blancs, un royaume désertique sur Terra, qu'elle dormait dans une chambre deux fois plus grande que celle que la jeune fille occupait chez sa sœur, et que c'était une amante tout bonnement incroyable. En plus de son pouvoir de se faire pousser une bite, tout son corps dégageait un charme et une attirance magnétique, qui avait happé la petite fille et en avait fait une femme au terme d'un délicieux rapport qui avait emmené Mira plusieurs fois à l'extase. Après ça, elle s'était jurée de revenir un jour dans la chambre de la vipère des sables et de partager à nouveau un moment intime avec elle.
Depuis, Mira avait fait de nombreuses recherches sur Eris, et ce qu'elle avait trouvé la troublait beaucoup. La famille Langnar était une famille noble du sultanat, avec une richesse et une renommée qui s'étendait au-delà des frontières du désert. Autant dire que cette femme était une femme d'un haut rang social, qui pouvait sûrement amener dans son lit n'importe quelle homme ou femme avec bien plus de talent sexuel que la mercenaire. Et pourtant, elle l'avait choisie pour être son amante d'une nuit. Quand elle réalisa ça, la jeune fille décida qu'il était plus que temps de retourner à la demeure des Langnar et de revoir celle qu'elle idolâtrait presque. Mais aucune de ses tentatives pour entrer en contact avec elle ne fonctionna. Au début, elle pensait que c'était parce que la vipère ne voulait pas la revoir, mais elle chassa vite cette possibilité car elle refusait de l'envisager. Elle aimait trop Eris pour ça. Du coup, elle décida de prendre le taureau par les cornes et de se rendre au sultanat par ses propres moyens.
La traversée du désert était un voyage pénible et éprouvant, mais Mira avait la meilleure des motivations. Chevauchant une moto (http://a141.idata.over-blog.com/4/27/97/19/2012/steampunk/black-widow-moto-style-steampunk-L-1.jpeg) qu'elle avait spécialement fabriquée pour traverser ce genre de milieu, elle avançait à un rythme très encourageant et pensait arriver dans la ville de Ghibli sous peu. Le plus dur de ce parcours était la chaleur, une chaleur insupportable qui desséchait la peau de la jeune fille. Pourquoi s'infliger ça ? Parce qu'elle ne pouvait pas se téléporter dans la chambre d'Eris sans prévenir, c'était l'arrestation à coup sûr.
Finalement, la mercenaire réussit à atteindre l'entrée de la ville. A partir de là, trouver la demeure des Langnar fut difficile à cause la tempête de sable qui frappait, mais elle y arriva quand même. Mira laissa sa moto à l'extérieur, protégée par un antivol à reconnaissance digitale et vocale qui enverrait un bon coup de jus à celui qui y toucherait sans son accord, et frappa à la porte. Deux gardes en armure dorée avec un scorpion dessiné lui ouvrirent.
« Bonjour, je m'appelle Mira Crone. J'ai traversé le désert pour rencontrer dame Eris Langnar. Je souhaiterais avoir une audience. »
Étant donné le caractère très classieux de l'endroit, il fallait bien faire preuve d'un peu de tenue.
La mercenaire réussit à entrer dans la demeure. Les gardes lui prirent ses vêtements de protection contre le sable et son anneau dimensionnel, qui était considéré comme une arme. Règles de sécurité obligent.
« Prenez en soin s'il vous plaît. Cet anneau est très important pour moi. »
Les deux ''scorpions'' amenèrent la jeune fille jusque devant une grande porte et lui demandèrent d'attendre ici avant de filer par un couloir. Elle s'appuya dos contre la porte et attendit. Pour passer le temps, elle fredonnait des airs de chansons populaires sur Terre ou se repassait dans sa tête des scènes de son premier coït avec Eris. Soudain, la porte commença à s'ouvrir. Mira se redressa rapidement et fixa droit devant elle, espérant voir sa chère et tendre.
La porte dévoila une pièce immense et splendide, avec des murs en marbre blanc couverts de motifs serpentins, des décorations en or, des tableaux et des tapisseries. Des autels étaient dressés le long des murs, avec des trophées reposant dessus. Le plus intimidant était sûrement la rangée de gardes en armure dorée se tenant en rang le long du chemin menant au trône, ainsi que la vingtaine d'hommes veillant près de ce même trône. Et au bout de la pièce, Mira aperçut enfin Eris, assise sur son trône d'or en forme de gueule de dragon, toujours aussi belle qu'elle l'était lors de leur dernière rencontre. Et la vipère des sables reconnut aussi son invitée. O joie, elle ne l'avait pas oubliée. Rien que ça, c'était une satisfaction pour la jeune fille.
Mira marcha droit devant elle pour rejoindre Eris, qui marchait d'un pas bien plus grâcieux et qui ondulait des hanches de telle façon que ça en faisait presque mouiller la mercenaire. Et quand elle put prendre la femme dans ses bras et mettre dans sa tête entre ses seins, ce fut comme si une partie d'elle venait de renaître.
« Eris. Enfin je te retrouve. »
La vipère enleva les grains de sable qui traînaient encore dans les cheveux de son invitée, puis la questionna sur la raison de sa présence.
« Lors de notre dernière rencontre, je t'avais dit que je reviendrais te voir. J'ai essayé d'entrer en contact avec toi, mais rien n'a marché. Alors je suis venu directement ici. J'espère que je ne dérange pas ? »
Eris lui répondit que non, que l'avoir était ici était une joie et elle lui proposa d'aller dans une autre pièce pour discuter.
« C'est gentil mais je préfère aller droit au but : Eris, je suis venue ici pour voir ton harem, comme tu me l'avais proposée lors de notre dernière rencontre. Et j'aimerais aussi pouvoir profiter du talent de ceux et celles qui s'y trouvent. Enfin, je profite de l'occasion pour te dire que tu es ravissante, comme toujours. »
Intérieurement, la jeune fille priait pour que la vipère l'embrasse maintenant. Ses lèvres lui avaient tellement manqué.
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Je souriais chaleureusement en voyant le visage toujours aussi beau de Mira, la fille aux yeux d'or. Les autres avaient vraiment tort de trouver qu'elle était effrayante avec ses yeux-là, moi, je la trouvais magnifique et mignonne à croquer. Pas que je suis cannibale, hein ! Je peux bien la croquer d'une autre manière... Si vous voyez ce que je veux dire. La petite m'avait bien manqué et je suis sure qu'elle a bien couché avec d'autre personne pendant que je n'étais pas là. En sorte, elle me rappelait moi-même quand j'étais jeune après m'être marié à ELLIPSIS. Quand il n'était pas là, je me faisais prendre par les autres concubines, a longueur de journée et quand il était là... Hey bien, il me prenait aussi, mais plus sauvagement, malgré mon âge, bien que je le fisse toujours avec consentement. Il avait beau être sauvage, il ne couchait qu'avec mon accord... J'acceptais toujours.
Elle répondit à ma première question en disant qu'elle reviendrait me voir, ce qui était vrai vu qu'elle me l'a dit la première fois qu'on s'est rencontré (et la première fois que j'ai couché avec elle) et que par mainte fois, elle avait essayé de communiquer avec moi en vain et sans succès. De ce fait, elle était donc venue directement ici, en espérant qu'elle ne me dérangerait pas. Je lui dis qu'au contraire, j'étais ravie de sa visite et lui proposais donc de discuter dans une autre pièce, au calme, sans arrière-pensée, bien entendu. Je ne pensais pas toujours au sexe voyons, j'étais calme et posée aussi ! J'aime bien les relations sexuelles, mais pas au point d'être une nymphomane... Enfin, je crois ?
Elle refusait donc ma proposition et me disait clairement qu'elle voulait voir mon harem et ceux qui en faisaient partie, voulant profiter des bienfaits sexuels, psychologiques et physiques que cela pouvait apporter. Enfin, elle voulait simplement en profiter pour le sexe vu la petite puce excitée qu'elle est, bien que cela ne me dérangeât pas. Après tout, être excitée comme ça, a cet âge, c'était normal, en plus qu'elle s'est privée de toute masturbation et autre moyen de se faire plaisir jusqu’à ce que je la prenne. Et en passant, elle profitait de l'occasion pour me dire que j'étais ravissante comme toujours, ce qui m'arrachait un petit gloussement.
-Désolé, mais ils se reposent en ce moment... Disons que nous avons eu une petite orgie avant que tu viennes et que, hey bien, ils doivent se reposer, lui disais-je d'une voix douce, bien que la déception pouvait bien se voir dans ses yeux.
Je mis ma main sur sa joue et la regardais dans les yeux un moment, souriant toujours.
-Tu es si belle, comme au premier jour... Tes yeux sont vraiment charmants, tu sais ? Parfois, je dis qu'ils sont plus beaux que les miens...
Je finissais par enfin l'embrasser, ayant lu dans son regard qu'elle voulait vraiment mes lèvres. Que de plaisir ! Je me remémorais enfin encore plus ardemment du goût de ses lèvres et brisais gentiment le baiser, un brin de salive liait toujours nos deux bouches.
-Allez, viens... Je vais te trouver une chambre, en attendant. À moins que bien sûr, tu veux dormir avec moi ? Lui demandais-je avec un clin d'œil coquin
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Mira mourrait d'envie de voir à quoi ressemblait le harem d'Eris, ce coin de luxure pure où rien ne devait être interdit, loin des yeux et des oreilles indiscrètes, un lieu où elle pourrait expérimenter le sexe entre les mains d'experts. Non pas que la vipère des sables était une mauvaise amante, mais il était parfois bon de découvrir de nouveau horizons. Hélas pour la mercenaire, son hôte lui expliqua que les membres du harem devaient se reposer car il y avait déjà eu une orgie un peu plus tôt dans la journée. Bien que la déception se voyait dans ses yeux, elle fut vite oubliée lorsque la femme des sables lui caressa la joue en la complimentant encore sur la beauté de ses yeux.
« Rien n'est plus beau que tes yeux Eris. »
Et enfin, Mira eut droit à son baiser. Immédiatement, elle ferma les yeux et oublia tout ce qui se passait autour d'elle pour se concentrer uniquement sur la sensation de ses lèvres collées à celle de cette superbe femme, une sensation légère, douce et tellement bonne que la jeune fille en gémissait et crut en pleurer de joie. Au final, seul une larme perla au coin de son œil. Le baiser se brisa tout doucement, avec un filet de salive reliant toujours les deux bouches. Eris proposa à son invitée de lui trouver une chambre, voir même de partager la sienne.
« C'est vrai ? Je peux dormir avec toi ? »
Mira trépignait de joie à cette idée. Dormir dans les bras de la femme des sables était une des choses qui lui manquait le plus depuis son départ. Se serrer dans se bras, poser sa tête entre ses seins, profiter de sa chaleur... Comment ne pas être enthousiaste devant de telles perspectives ? Son hôte l'invita donc à la suivre.
A mesure qu'elle traversait les couloirs de la demeure des Langnar, la mercenaire se rendait compte à quel point Eris avait de quoi être fière de ce qu'elle était : partout, ce n'était que portraits, décorations et trophées de guerre. La plupart de ces objets concernaient son défunt mari, ELLIPSIS, mais il y avait aussi certaines choses venant de sa famille. La jeune fille était impressionné par ce qu'elle voyait, mais elle l'était encore plus par la simple présence de la vipère des sables. Marcher si près d'elle la rendait nerveuse, elle hésitait à tenter quelque chose même si elle en mourrait d'envie, comme poser une de ses mains sur ses fesses ou simplement lui tenir le bras. Pour elle, cette femme était comme un fruit défendu : délicieux à regarder mais elle n'osait pas y toucher. La différence avec Eve était que Mira avait fait bien plus que de croquer dans ce fruit ; elle en avait dégusté toutes les saveurs, à plusieurs reprises, en une seule folle journée de coït. Et pourtant, malgré tout ce qui s'était passé, elle n'osait tout simplement pas la toucher. Pire encore, elle se retenait de reluquer ses courbes pour ne pas se laisser submerger par le plaisir.
Après un petit temps de marche, le duo atteignit enfin la chambre. Eris ouvrit la porte et laissa Mira entrer la première. Cette pièce rappelait tant de bons souvenirs à la mercenaire : c'était ici qu'avait eu lieu son premier rapport sexuel, sur ce lit à baldaquin à couvertures rouges, qui était à ce moment là couvert de pétales de rose magiques. La lumière du soleil changea un peu la vision de la pièce qu'elle avait gardée en mémoire, un souvenir qui s'était crée dans la pâle clarté des bougies aphrodisiaques, mais l'essentiel était toujours là. Elle s'assit sur le lit et la femme des sables ne tarda pas à la rejoindre. Plutôt que d'attendre que cette dernière lui demande ce qui n'allait pas, la mercenaire choisit de prendre les devants.
« Eris, je... je te dois des excuses. »
Cette phrase intrigua profondément la vipère.
« Je t'avais promis que, à mon retour, je serais une bien meilleure amante. Mais je n'ai réussi à coucher qu'avec une seule autre personne. Une fille qui s'appelle Lucia. Elle et moi sommes de très bonnes amies... et il nous arrive parfois d'être plus que ça. Et même si ce fut une expérience très plaisante, elle ne m'a pas apporté assez d'expérience pour que je puisse prétendre être à un niveau suffisant pour te combler.
En plus de ça, depuis que je suis arrivée, il y a quelque chose qui me fait douter de moi. Quand nous traversions les couloirs, je te regardais mais je n'osais pas te toucher. J'aurais tellement voulu ne serait-ce que passer mon bras autour du tien... Et maintenant, je ne sais plus quoi penser. J'ai toujours envie de voir ton harem... mais j'ai peur de ne pas être de très bonne compagnie pour tous tes concubins et concubines. »
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Elle me complimentait en retour après que je lui ai complimenté sur ses yeux... Elle n'en avait pas l'air, mais elle avait un don de la parole qui faudrait développer chez elle ! Du coin de son œil, pendant qu'on s'embrassait, je vis une petite larme perlée, de joie... Elle me rappelait moi, quand je voyais mon mari rentrer au château après une campagne militaire ou après une longue route pour régler des trucs politiques, diplomatiques, etc. L'une d'elles avait particulièrement attirée mon attention, tellement elle était étrange et comique, mais ça, c'est une autre histoire... Oui, une autre histoire.
De sa voix excitée, elle me demandait si oui, j'étais sérieuse en ce qui concerne de l'inviter à dormir avec moi, dans ma chambre. D'un hochement de la tête accompagné d'un sourire, j'affirmais que oui, elle pouvait dormir avec moi, ce qui eut pour résultat de voir une lueur d'excitation dans les yeux de Mira et je me mis donc a marcher dans les corridors en sa compagnie, la laissant vagabonder son regard sur les diverses choses qui ornaient les murs comme les peintures et autres choses de valeurs. Pendant que je marchais, je remarquais souvent que Mira me jetait des regards hésitants, comme si elle voulait me faire quelque chose, mais qu'elle pensait interdite ou qu'elle essayait de me dire un truc.
Arrivée a la chambre, alors que j'allais la questionner, la jeune fille brune me dit qu'elle me devait des excuses. Intriguée, je lui demandais pourquoi et m'expliquais enfin le mal et l'hésitation que j'avais vus dans ses yeux tout à l'heure. En effet, à son retour, elle m'avait promis qu'elle serait une bien meilleure amante, mais a la place, elle ne réussit qu'a coucher qu'avec une seule personne, une fille du nom de Lucia, une amie... Qui pouvait se montrer plus qu'une amie. Malgré l'expérience très plaisante qu'elle a vécu en sa compagnie, ce dont je n'en doute pas certainement, elle n'a pas obtenu un bon niveau d'expérience après s'être fait cette Lucia et qu'elle avait peur de ne pas me satisfaire. Elle ajoutait qui plus est qu'en venant ici, un doute avait commencé a croître et a ronger de l'intérieur, ayant une grande envie de passer son bras autour de moi comme un couple le ferait... Enfin, j'imagine qu'elle voulait simplement passer son bras autour de moi, si ? Je ne sais pas si elle m'aimait vraiment... Ou si ce n'était que mon corps qu'elle aimait. Enfin bref, tout ça pour dire aussi qu'elle avait toujours envie de voir mon harem tout en ayant peur qu'elle serait de mauvaise compagnie pour mes concubins/concubines.
Je souriais tendrement et pris le bras de Miria, le passant autour de ma taille, posant ensuite ma tête contre son épaule, mes yeux tournés vers son regard dorés
-Miria... N'aie pas peur de me faire des trucs. Ne te retiens pas, ça ne fera que te tourmenter encore plus. Tu vois, je suis du genre collant envers quelqu'un que j'aime bien... Donc, si tu as envie qu'on se tienne la main ou que tu passes un bras autour de moi, ne te retiens pas, car je ne me retiendrais pas non plus.
Je déposais ensuite un doux baiser sur les lèvres de Miria, gentil et affectueux.
-En ce qui concerne mes concubines et concubins... Ils comprennent que tout le monde n'est pas doué(e)s au sexe et c'est pour ca qu'ils sont la aussi, faire découvrir et enseigner aux autres l'art de la luxure et de faire l'amour. Ils étaient présents quand j'étais venue ici pour la première fois et m'ont appris des tas de choses... Ils vont en faire de même avec toi. Ils ne jugent pas et sont ouverts d'esprit.
D'un doigt, je caressais la joue de la petite, toujours d''une manière aussi affectueuse.
-Ils t'accueilleront avec plaisir, homme et femmes... Simplement, ils se reposent en attendant. Je ne suis pas quelqu'un de cruel qui va forcer les gens a coucher avec moi, mon défunt mari était aussi comme ça. Aussi brutal et violent, il était sur le champ de bataille, il était affectueux, charmant, gentil et taquineur envers moi et son peuple... Il avait aussi ses défauts, il n'était pas l'homme parfait non plus.
Et encore une fois, je l'embrassais et murmurais au creux de son oreille
-N'aie jamais de doute en toi... Plus jamais. Sois toujours confiante, même si les gens te disent que tu as une petite poitrine ou que tu ressemblerais à une gamine. Souvent, ils sont jaloux... Comme moi, je suis jalouse de tes yeux, ils sont très jolis. Sois fière de ce que tu es et n'oublies jamais qui tu es, car le monde ne t'oubliera pas... Considère ça comme une armure et personne ne pourra t'atteindre ni te faire du mal.
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Après avoir déballé tout ce qu'elle avait sur le cœur, Mira ne savait plus trop où se mettre. Heureusement pour elle, Eris se montra très douce et très compréhensive, comme d'habitude. Elle mêlait paroles apaisantes et petits contacts doux, comme des baisers ou des caresses du bout des doigts.
-Miria... N'aie pas peur de me faire des trucs. Ne te retiens pas, ça ne fera que te tourmenter encore plus. Tu vois, je suis du genre collant envers quelqu'un que j'aime bien... Donc, si tu as envie qu'on se tienne la main ou que tu passes un bras autour de moi, ne te retiens pas, car je ne me retiendrais pas non plus.
En ce qui concerne mes concubines et concubins... Ils comprennent que tout le monde n'est pas doué(e)s au sexe et c'est pour ca qu'ils sont la aussi, faire découvrir et enseigner aux autres l'art de la luxure et de faire l'amour. Ils étaient présents quand j'étais venue ici pour la première fois et m'ont appris des tas de choses... Ils vont en faire de même avec toi. Ils ne jugent pas et sont ouverts d'esprit.
Ils t'accueilleront avec plaisir, homme et femmes... Simplement, ils se reposent en attendant. Je ne suis pas quelqu'un de cruel qui va forcer les gens a coucher avec moi, mon défunt mari était aussi comme ça. Aussi brutal et violent, il était sur le champ de bataille, il était affectueux, charmant, gentil et taquineur envers moi et son peuple... Il avait aussi ses défauts, il n'était pas l'homme parfait non plus.
N'aie jamais de doute en toi... Plus jamais. Sois toujours confiante, même si les gens te disent que tu as une petite poitrine ou que tu ressemblerais à une gamine. Souvent, ils sont jaloux... Comme moi, je suis jalouse de tes yeux, ils sont très jolis. Sois fière de ce que tu es et n'oublies jamais qui tu es, car le monde ne t'oubliera pas... Considère ça comme une armure et personne ne pourra t'atteindre ni te faire du mal.
Tout ce que la mercenaire entendait sortir de la bouche de la femme des sables lui allait droit au cœur. Cette femme avait plus confiance en son invitée que ladite invitée n'avait confiance en ses propres capacités. Même lorsqu'il s'agissait de faire valoir les autres, la noble dame paraissait toujours plus grande. Requinquée par ce discours, la jeune fille tourna ses yeux vers le visage de son hôte.
« Tu sais toujours dire ce qu'il faut Eris. »
Mira osa enfin passer ses bras autour du corps d'Eris, se serrant contre cette si belle femme qui l'avait accueilli chez elle et allait lui ouvrir les portes de son harem dans un futur proche. Et maintenant qu'elle se sentait en puissance, elle n'avait plus peur de se présenter fièrement devant ces hommes et ces femmes qui allaient lui apprendre les arts subtiles du charme et de la sensualité. Mais d'abord, puisqu'il fallait qu'ils se reposent, pourquoi ne pas en profiter pour faire de même ? La mercenaire retira ses chaussures et s'allongea sur le lit de la femme des sables. Ce matelas, ces couvertures, tout était empli de merveilleux souvenirs sur ce lit.
« Si tu venais me rejoindre ? »
On pouvait entendre dans sa voix que la jeune fille était nettement plus sûre d'elle.
Eris la rejoignit sur le lit, puis tira les couvertures pour qu'elles puissent s'en couvrir et profiter au mieux de la douceur et de la chaleur de ce lit. Mira réduisit au maximum la distance qui la séparait de sa superbe hôte, puis ferma les yeux avec bonheur. Même si son sommeil allait être court, à peine quelques heures, elle était contente de pouvoir les passer avec la femme des sables.
Au cours de la première heure, Mira eut du mal à trouver le sommeil. Elle s'imaginait déjà dans le harem, entourée de tous ces hommes et ces femmes qui consacraient leur vie à se rendre désirable pour leur maîtresse. Elle se projetait dans son imaginaire, se voyait couchée sur un grand lit, aussi moelleux que celui sur lequel elle dormait en ce moment, se faisant déshabiller par leurs mains agiles, caresser dans tous les coins les plus sensibles de son anatomie, se livrer corps et âme à ce délice... Et bizarrement, elle s'imaginait bien mieux entourée de femmes que d'hommes. Peut-être était ce à cause du fait qu'elle n'avait jusqu'à présent partagé son intimité qu'avec d'autres femmes, ou parce que le souvenir morbide de Springtrap la hantait encore, toujours était-il qu'elle s'imaginait prendre bien plus de plaisir si elle faisait l'amour avec les concubines plutôt qu'avec les concubins.
Toutes ces pensées perverses, en plus de mouiller sa culotte, empêchaient Mira de se reposer. Ce n'est qu'au bout d'une heure que la fatigue accumulée lors de la traversée du désert la rattrapa qu'elle se détendit enfin et oublia un peu ses rêves érotiques pour profiter d'un bon repos.
Quelques heures plus tard, la mercenaire reprit conscience et ouvrit doucement les yeux. Eris, toujours à ses côtés, semblait encore assoupie. Ne voulant pas risquer de la réveiller, la jeune fille se contenta de rester immobile et de la fixer. Elle était si belle quand elle dormait. Une beauté du désert, au teint légèrement foncé, au visage gracieux et au corps alléchant, le genre de corps que Mira rêvait d'avoir. Le tout donnait l'une des plus belles créatures vivantes de Terra, peut-être la plus belle. Et le plus extraordinaire dans tout ça était que la jeune fille allait bientôt partager à nouveau l'intimité de cette femme et, qui sait, peut-être même participer à une orgie avec elle et les membres de son harem.
Elle est pas belle la vie ?
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La belle Mira me dit que je savais toujours les mots qu'ils fallait dire pour remonter le moral de quelqu'un tout en passant ses bras autour de moi, prenant enfin son courage a deux mains., se serrant contre moi comme un enfant recherchant de la chaleur. J'en fis de même et souriais tendrement, ma tête contre la sienne, profitant de ce moment de calme et de silence. Même si j'adorais le sexe, j'adorais encore plus les moments comme ça, s'étreignant avec les gens qu'on aime bien et qui nous sont important.
Elle retirait ses chaussures et se couchait sur le lit, m'invitant à la rejoindre, ce que je fis avec plaisir, un sourire aux lèvres pendant qu'elle tirait sur les couvertures, nous enveloppant d'une chaleur bienfaisante et appréciable. En un rien de temps, quelque minute, je trouvais enfin un sommeil sans trouble et paisible, et tout ca en bonne compagnie de Mira Crone, la pucelle plus si pucelle que ça maintenant, grâce a moi. Elle était très jolie, oui, il fallait l'avouer. Cependant, dans un de mes rêves... Je me trouvais dans les catacombes de mon palais, les dalles de pierre du plancher étaient froides et poussiéreuses. Pourtant, je ne faisais qu'un rêve... Comment se faisait-il que je ressentais cela ?
Sans que je contrôle mon corps, je me sentis bouger et marcher vers une direction, que je suivais. Je ne sais pas pourquoi je marchais dans cette direction, mais je devais y aller, une sorte d'envie me forçait à y aller. C'était comme une obsession. Une fois arrivés, mes yeux s'écarquillèrent légèrement de surprise. La salle à laquelle j'étais arrivée était légèrement grande, une statue de pierre était au centre, représentant un homme au corps svelte mais musclé, portant un heaume finement sculpté, plantant son épée dans le sol, son regard était bas, tout en pierre, évidemment, faisant partie de cette statue. Et je reconnaissais déjà qui était censée représentée cette statue.
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ELLIPSIS.
Je m'y approchais, d'un pas lent et posais ma main sur le plat de la lame de la statue, soupirant silencieusement, mais un peu tremblante. Depuis qu'il était mort, il me manquait énormément. Terriblement. Son armure et sa vraie épée étaient dans une salle que nulle ne peut entrer, dans le palais. Que moi pouvait y entrer, sauf si j'acceptais que quelqu'un m'accompagne... Ce qui n'est jamais arrivé, même avec le plus proche de mes proches. Je faisais glisser mon index le long de la lame, la pierre dont il était fait était plus froide que les dalles de pierres sur lesquelles je me tenais, de faibles flammes dansaient et projetaient leur lueur sur la salle.
-Il vous aimait énormément... Et il vous aime toujours, disais une voix que je connaissais que trop bien. Celui d'une personne qui venait de mon grimoire, que mes parents m'ont donné.
Une larme coulait le long de ma joue, la larme ayant une légère teinte améthyste.
-Je sais qu'il m'aimera toujours... Même si le monde entier était contre moi, il m'aimerait toujours et c'était réciproque.
La silhouette noire et encapuchonnée, ayant une sorte d'aura brumeuse autour d'elle, essuyait gentiment la larme avec un doigt froid.
-Vous le rejoindrez, un jour. Vous le rejoindrez dans les étoiles et vivrait heureuse dans l'Au-Delà. Pour l'instant... il vous faut vous réveiller, dit la voix avant que je me réveille lentement, ouvrant les yeux d'une lenteur paresseuse et souriait faiblement en voyant le minois de Miria, l'embrassant doucement pendant quelques instants
-Salut... Tu as bien dormi ? Lui demandais-je en m'asseyant doucement sur le lit, m'étirant longuement et en silence avant de craquer mon cou légèrement
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Alors que les yeux de Mira se perdaient à observer le si beau visage d'Eris, cette dernière émergea doucement du sommeil, et les yeux dorés de la jeune fille se rivèrent sur ses yeux d'améthyste, sans doute l'une des plus belles parties de son corps. Elle ne réagit même pas en voyant le visage de la femme des sables approcher du sien jusqu'à venir l'embrasser, elle était bien trop absorbée par la vue de ces deux jolies pierres précieuses rivées dans ses orbites. Une fois le baiser rompu, la vipère se releva un peu, s'assit sur son lit et s'étira longuement en demandant à Mira si elle avait bien dormi. La jeune fille l'imita tout en répondant.
« Oui, très bien. Mais je suppose que ça ne t'étonnera pas si je te dis que j'ai hâte de me rendre dans ton harem... et de voir tout ce que tu y caches. »
Depuis qu'Eris lui avait tenu son discours sur le fait qu'elle ne devait pas retenir ses envies, Mira se libérait beaucoup plus facilement de ses inhibitions. Et là, elle avait envie d'un autre contact avec la femme des sables. Elle marcha donc à quatre pattes sur le matelas jusqu'à être près d'elle et se mit à frotter son visage contre une de ses hanches, tel un chat demandant des caresses. Les comportements félins était quelque chose que la mercenaire voyait souvent dans les mangas qu'elle lisait, que ce soit dans les relations homo ou hétéros, alors pourquoi ne pas essayer avec cette superbe femme ? Cette dernière, visiblement amusée par le comportement de sa jeune invitée, décida de se prêter au jeu et se mit à la caresser comme si elle était vraiment un chat. Évidemment, la jeune fille ne put que pousser le jeu plus loin et se comporter en conséquence comme un chat recevant l'affection de sa maîtresse. Elle ronronna, remua sur le matelas, alla même jusqu'à lui lécher la main. Oui, elle se sentait enfin libre de pouvoir faire ce qu'elle voulait, peu importe que ça ait l'air ridicule ou stupide. Ici, elle était protégée du regard négatif du monde extérieur.
Après qu'elle eut bien profité de ce moment, Mira se leva du lit et emboîta le pas à Eris, qui l'invitait à la suivre jusqu'à sa chambre des plaisirs, son fameux harem. Sur le chemin, la mercenaire ne se priva pas du plaisir de se blottir au plus près de la vipère tandis qu'elles marchaient. A partir de maintenant, elle comptait bien profiter du moindre moment à ses côtés. Et à mesure que le duo approchait des portes cachant le plaisir tant espéré par la jeune fille, cette dernière se sentait un peu nerveuse. Rien de bien alarmant, juste une pointe de doute sur ses capacités à assurer une fois là-bas. Mais puisque elle allait être avec Eris, y avait-il vraiment une raison de stresser ?
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Mira me répondit qu'elle avait plutôt bien dormi en ma compagnie et qu'elle était très excitée (Littéralement, elle semblait même en avoir mouillé sa culotte vue la vue que j'avais... Bien que cela me dérangeât aucunement) de voir mon harem et d'y trouver, voir que pouvait receler mon harem. En tout cas, ca ne me dérangeait aucunement non plus de vouloir lui faire la visite de mon harem. De toute façon, les filles que j'avais allaient certainement prendre leur temps pour bien s'occuper de Mira... Dans tous les sens du terme.
La jeune fille aux yeux d'or se mit donc, de manière mignonne, à se comporter comme un chat en marchant a quatre pattes vers moi, commençant a frotter son visage contre le côté droit de mon corps, vers la hanche, m'arrachant des gloussements. Elle était si mignonne à croquer comme ça... Donc, je me mis à lui faire des caresses et à la flatter comme si elle était un vrai chat. Ce petit jeu fut poussé un peu plus loin alors que Mira ronronnait et léchait même ma main. Elle pourra d'ailleurs lécher plusieurs autres choses... Tout à l'heure. Et elle pourra s'en donner à cœur joie.
Pendant un moment, nous étions comme ça, à faire des câlins et a jouer au chat et a la maîtresse. C'était des instants comme ça que j'aimais bien particulièrement. Calme et joueur. Je me levais du lit et l'invitais ensuite à me suivre, ce qu'elle fit avec excitation, tandis que je me dirigeais vers la salle ou se trouvais le harem, tout en se collant a moi, ce qui m'arrachait un sourire. Les portes menant au harem étaient faites en bois, incrustés de petite pierre précieuse et d'un peu d'or de chaque côté, les poignets étaient aussi faits en or, mais avaient la forme d'un dard de scorpion recourbée.
-Et nous voici, dans le repère de la luxure... Dis-je avec un sourire en coin en ouvrant la porte
C'était une grande salle qui était richement fournie en meuble divers, surtout des petits lits, des coussins, des petites tables. Des femmes de différentes races et formes étaient souvent en train de s'embrasser, faire l'amour a même dans leurs alcôves respectives...* Enfin, tous les objets ici appartenaient a tout le monde. Certaines filles fumaient dans des salles*, d’où s'échappaient de la fumée par la porte, une substance appelée Sable Rouge, connue pour apaiser l'esprit de ses moindres maux et de soulager le corps, tout en offrant aucun effet négatif, car le Sable Rouge était spécialement traité parmi mes servants. Et eux seuls connaissent le secret.
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L'une des femmes, une jolie fille aux cheveux d'encre et aux yeux ciels, s'avançaient vers moi et regardait Miria, se léchant le coin de la lèvre. Elle portait la même tenue que les autres femmes du harem, mais en bleu, avec un bijou au niveau du nombril. Le nom de cette femme était Araya*
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-Oh, maitresse Eris... Vous nous ramenez une invitée ? Disait-elle de sa voix sensuelle, gloussotant et s'approchant, déposant un petit baiser sur le cou de Miria.
Une autre femme, cette fois, d'environs de la même taille que moi, s'approchait de nous aussi. Une Neko que mes Scorpions Dorées avaient récupéré des mains d'Esclavagistes qu'ils avaient capturées, libérant aussi les autres esclaves. La Neko, du nom de Rala*, s'approchait, ses oreilles blanches bien dressées parmi ses cheveux roses, son regard bleu azur pétillant de joie.
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-Nyyaaaa... Maitresse, est-ce une nouvelle compagne de joie ? Ronronnait-elle, léchant un petit coup la joue de Mira, qui avait le visage rouge, de petite goutte commençant déjà a tomber d'entre ses jambes, toute excitée.
Mon sourire s'agrandissait légèrement, voyant encore une autre femme s'approcher de nous, ses énormes seins rebondissaient légèrement quand elle marchait. Ses cheveux étaient rouges, des mèches cachant l'œil gauche. Son nom était Jeria.*
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-Ooooh... Mais que vois-je, une nouvelle compagne de jeu... Jeria gloussait et se mit en arrière de Mira, caressant déjà les fesses de celle-ci, allégrement
Je m'accotais à un mur, appréciant le spectacle que je vois
-Alors, Miria... Tu les trouves comment ?
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Mira et Eris arrivèrent finalement devant les portes du harem, deux grandes portes en bois incrustées de petites pierres précieuses, ainsi que d'un peu d'or, avec des poignées en or ayant la forme d'un dard de scorpion recourbé. La mercenaire suivit timidement son hôte à l'intérieur.
Le harem était une grande salle composée de plusieurs alcôves, dans lesquelles on pouvait apercevoir des femmes de toutes races et formes en train de s'embrasser ou même de se faire l'amour, pour le plus grand plaisir des yeux curieux de la jeune fille qui, malgré une pointe de honte d'observer ainsi ces femmes se donnant du plaisir les unes aux autres, ne pouvait pas s'empêcher de jeter un coup d’œil de temps en temps. Parfois, elle s'imaginait même être l'une de ces femmes, à quel point ça devait être bon de vivre pour satisfaire une aussi belle maîtresse qu'Eris. Elle vit aussi de la fumée sortir d'une pièce et en inhala une petite partie en passant près de l'entrée. Bien qu'elle ait une odeur un peu piquante, cette fumée détendit le corps et le cerveau de Mira pendant un court instant. La jeune fille supposa qu'il s'agissait d'une drogue quelconque que les concubines prenaient pour un usage récréatif.
Pendant qu'elles marchaient dans le harem, Mira et Eris furent rejointes par une jeune femme aux cheveux noirs et aux yeux bleus-ciel, portant une élégante et aguichante tenue en tissu bleu, ainsi qu'un bijou au niveau du nombril.
-Oh, maitresse Eris... Vous nous ramenez une invitée ?
En même temps qu'elle parlait, elle s'approcha de Mira en gloussant et déposa un petit baiser dans son cou. Bien que léger et rapide, il chauffa vite le corps de la mercenaire. Décidément, ces concubines savaient comment bien s'occuper de leurs invités.
Peu après, une autre femme arriva. Et dès que Mira vit ses petites oreilles blanches au milieu de sa chevelure rose, son corps trembla d'envie.
Une neko…
Une adorable neko à la peau légèrement bronzée, aux yeux bleus azur, avec le regard pétillant de joie, vêtue d'une tenue semblable à celle de la première femme. Elle approcha du reste du groupe en ronronnant.
-Nyyaaaa... Maitresse, est-ce une nouvelle compagne de joie ?
Elle lécha rapidement la joue de Mira, qui était rouge d'excitation. Après le geste affectueux de la terranide, la jeune fille sentit le fond de sa culotte s'humidifier à nouveau, et de petites gouttes de cyprine commencèrent à tomber le long de ses cuisses. Toute gênée par son état, elle oublia un instant qu'elle était ici dans un lieu consacré au désir charnel et croisa ses mains devant ses jambes comme pour essayer de cacher son état.
Pourquoi est ce que j'ai mis une jupe ? Elles vont toutes voir les gouttes perler sur mes jambes... C'est si embarrassant.
Mira était si soucieuse de ne pas paraître trop excitée qu'elle ne remarqua même pas qu'une troisième femme arrivait dans son dos. Une femme avec de très gros seins, qui rebondissaient quand elle se déplaçait, et un fessier tout aussi fourni. La peau bronzée, les cheveux rouges, l’œil gauche caché par une mèche de cheveux, le droit bien visible, et une tenue déshabillée semblable à celle des deux autres femmes, laissant parfaitement voir les détails de ses attributs féminins.
-Ooooh... Mais que vois-je, une nouvelle compagne de jeu...
Quand la jeune fille sentit cette nouvelle concubine, cette dernière avait déjà sa poitrine collée dans son dos et sa main, passée sous la jupe de sa tenue de mercenaire, lui caressait allègrement les fesses. Et elle adorait ça.
Oh non... pas mes fesses...
Trop tard. Cette fois, elle ne pouvait plus se retenir de gémir, pour le plus grand plaisir des trois femmes et de leur maîtresse, accotée à un mur.
-Alors, Mira... Tu les trouves comment ?
Au milieu de ses petits soupirs de plaisir, Mira réussit quand même à répondre à la question.
« Aahh... Elles sont magnifiques... toutes les trois... nyahhh... »
Rien qu'en ayant cette main lui caressant le derrière, Mira était déjà en train de se tortiller comme un ver, encerclée par ces trois femmes qui savaient exactement comment lui faire plaisir. Pendant que celle aux cheveux rouges s'occupait de ses fesses, la neko lui léchait le visage et l'humaine aux cheveux noirs couvrait son cou de baisers. Toutes ces femmes étaient en train d'horriblement chauffer la jeune fille, qui se sentait perdue au milieu de tout ce plaisir, et les choses ne faisaient que commencer.
Après avoir bien mis Mira en bouche, les concubines emmenèrent leur invitée jusqu'à l'une des alcôves du harem. C'était dans cet endroit confortable et richement décorée qu'elles comptaient s'occuper de leur invitée. La jeune fille, assommée par l'excitation qu'elle avait déjà ressentie, s'était contentée de les suivre sans poser de questions. Dire qu'il lui avait suffi de quelques baisers, coups de langues et caresses pour sombrer. D'un autre côté, elle avait encore une résistance à l'excitation plutôt faible, et elle aimait bien qu'on caresse ses fesses, qui étaient sans doute la partie la mieux formée de son corps. Et quand elle reprit vraiment conscience de la situation, elle était dans l'alcôve, entourée par ces trois beautés du désert aux corps enchanteurs et aux touchers si sensuels qu'ils en étaient presque diaboliques. Elle était évidemment nerveuse et intimidée face à de si belles femmes mais, fidèle à la promesse qu'elle s'était faite à elle-même après avoir parlé de ses craintes à Eris, elle allait se laisser aller à la satisfaction et abandonner son corps aux mains de ces superbes femmes qui allaient, sans aucun doute, lui faire un bien fou. De quoi lui faire oublier sa frustration pendant plusieurs semaines. A moins bien sûr que la maîtresse des lieux ne décide de s'en mêler...
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Les jeunes concubines continuaient de s'occuper de Mira tandis que j'étais là, toujours ce sourire au visage, léchant mes lèvres langoureusement. Oh petite Mira, qu'est-ce que j'avais hâte de voir ton visage tordu par la luxure et le plaisir, des gouttes de cyprines coulant déjà de ton entrejambe. Qu'est-ce que j'avais vraiment hâte de m'occuper de toi avec mes concubines. Son visage était rouge et on pouvait bien voir le plaisir qui brûlait en elle, cette flamme qui semblait ne vouloir jamais s'éteindre. Les soupirs qu'elles poussaient étaient exquis, douce à entendre, très sensuelle même. Cette jeune fille avait un très grand potentiel, je l'avoue moi-même.
Elle avouait que ces femmes étaient grandement magnifiques tout en faisant son petit 'nya' que j'aime tant. Une vraie fille qui pouvait faire preuve de sensualité comme peu peuvent le faire. Mes concubines emmenèrent donc ma petite protégée dans une des alcôves et l'allongèrent sur une sorte de lit-tapis, couvrant son corps de baiser après l'avoir déshabillé avec leur même sensualité habituelle. Ces filles étaient l'une des plus populaires de ce harem et très en santé, pouvant coucher plusieurs fois d'affiler en une journée. La Neko fut celle qui avait le plus grand record, prés de 20 baises en une seule journée.
Mon sourire s'élargit en voyant les tétons de Mira se durcir soudainement, de grosses fuites de cyprines s'échappant maintenant de sa fleur féminine. Araya, en grande cochonne qu'elle était, s'assit sur le visage de Mira, la faisant lécher son entrejambe tandis qu'elle massait la poitrine de la jeune fille
-Hmm, oh oui, vous êtes tellement bonne ! Gémissait-elle grandement, surprise par l'ardeur soudaine de Mira
La Neko, Raya, et Jeria, un gros sourire sur leur visage, se mirent a lécher la chatte a Mira, avec avidité, récoltant toute la cyprine qui s'était écoulée avec leur langue, faisant souvent entrer des doigts a l'intérieur de l'antre humide de la jeune fille, entendant ses gémissements de plaisir.
-Hey bien Mira, t'est d'humeur très cochonne aujourd'hui, dis-je avec amusement, assise sur le sol, les regardant. J'imagine bien que tu serais très ravie d'apprendre qu'elles sont très énergiques...
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Allongée sur une sorte de lit-tapis, Mira regarda sans bouger les concubines d'Eris s'approcher d'elle, toujours avec les même expressions de joie sur le visage. Elles déshabillèrent la jeune mercenaire avec une grande sensualité et, en un éclair, elle se retrouva entièrement nue et couverte de baisers sur le moindre recoin de sa peau blanche. C'était très agréable, et elle ne se privait pas de le montrer en gémissant.
« Han... han... aahh... »
Mais ce n'était que le début. Rapidement, Araya ôta sa culotte et alla s'asseoir sur le visage de Mira, positionnant sa fleur intime juste sur les lèvres de cette dernière. La jeune fille, secouée mais pas inactive pour autant, se dépêcha d'ouvrir la bouche pour aller lécher la vulve qui s'offrait à elle, tandis que la concubine lui massait la poitrine en la complimentant sur ses talents d'amante. Personnellement, elle ne voyait pas trop ce qu'elle pouvait avoir de si génial, elle qui n'était qu'une adolescente ayant à peine connu les joies du sexe, mais elle appréciait le compliment quand même. Cela lui donnait confiance.
Très vite, Mira sentit deux langues se poser sur sa propre intimité : Raya et Jeria s'étaient mises à la lécher avidement, ce qui lui faisait produire toujours plus de cyprine, que les deux femmes se faisaient un plaisir d'avaler avidement. Parfois, elles faisaient entrer des doigts à l'intérieur de son antre, ce qui la faisait couiner toujours plus fort.
« Kyyaahh ! Aahh... Oh... »
Toujours occupée à lécher Araya, elle tourna légèrement le regard pour voir Eris, assise sur le sol de l'alcôve, proche d'elle, qui lui faisait remarquer qu'elle était d'humeur très perverse aujourd'hui, et que les concubines qui l'entouraient étaient des plus énergiques, ce qui assurait une copulation longue et fiévreuse. Mira était contente de l'apprendre, mais elle eut un bref moment d'inattention qui lui fit perdre le rythme de son cunni et, avec tout ce qui était déjà fait sur son corps, elle ne parvint plus à se concentrer et ne pouvait plus rien faire, à part se tortiller sur le sol et gémir de tout son souffle.
« Aahh... Nyaahh... C'est... si bon... AAHH... »
Avec la sensibilité de son jeune corps, la mercenaire était particulièrement réceptive aux caresses, surtout quand elles venaient de femmes ayant un toucher aussi délicat et agile. Et très vite, elle ne put plus tenir et se laissa complètement aller à la jouissance.
« Oui... Oui... AAAAHHHH !!! »
Mira eut un orgasme foudroyant, qui arqua tout son corps et la fit envoyer plusieurs jets de cyprine sur le visage de Raya et Jeria. Après quoi, elle s'étendit sur le lit-tapis et reprit calmement son souffle, tandis que les concubines continuaient de la couvrir de baisers des pieds à la tête. Elles lui promirent qu'elle allait passer un merveilleux moment ici, qu'elles allaient bien s'occuper d'elle, la couvrir d'attentions et la baiser comme des lapines en chaleur. Mais pour la jeune fille, il n'y avait qu'une seule chose qui pouvait rendre ce moment vraiment unique. Elle tourna un peu la tête et regarda en direction d'Eris.
« Eris... quand est ce que... tu nous rejoins ? »
Sans elle, il manquait quelque chose.
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Mes concubines s'occupaient, avec un grand dévouement, à faire du plaisir a la jeune femme devant moi, qui gémissait grandement et bruyamment de plaisir. Elle était bruyante, oui, mais c'était ce genre de son-là qui pouvait rendre en chaleur n'importe quel mâle et femelle en quête de chaleur humaine, de leur désir d'assouvir leurs pulsions.
Parfois, sur Terre, je jouais le rôle de la 'petite fille innocente' qui allait quelque part et qui avait besoin d'aide, mais au fond, cette petite fille était une véritable perverse qui pouvait faire jouir beaucoup d'hommes en moins d'une minute grâce a bien des trucs. Disons aussi que le fait d'avoir... La langue bien pendue... Avait un avantage considérable. Je me souviens bien d'une fois, dans un train, un homme m'avait toucher à la cuisse. Je l'avais laissé faire et, en pleine foule a l'intérieur du train, je me suis fait baiser. J'espère qu'il avait bien passé son temps, car moi, j'en ai passé du bon temps.
Après un moment, enfin, Mira jouit et aspergea les deux filles qui s'étaient occupées de son con aux visages, qui se léchèrent entre elles rapidement ensuite, récoltant le jus. Elle tourna ensuite son regard vers moi et me demanda quand est-ce que j'allais la rejoindre.
Une idée apparu soudainement dans ma tête. Ensuite, ce fut mon petit sourire de femme malicieuse qui apparut sur mon visage et, doucement, dans un sachet qui se trouvait prés d'une fumoir a pipe contenant la drogue, je pris une petite pilule de couleur blanche et m'avançais à quatre pattes vers Mira, léchant mes lèvres avec sensualité. Je mis ensuite la pilule dans ma bouche et plaquais mes lèvres contre celles de Mira, les emprisonnant dans un baiser passionné, chaud et langoureux. Subtilement, je fis avaler à Mira la pilule et après un moment, elle se mit à émettre des gémissements de plaisir.
''Dis, Mira...'' Dis-je en brisant le baiser gentiment, souriante de toutes mes dents blanches ''Tu sais pourquoi un homme veut tant baiser une femme ? Parce que sa queue, une fois a l'intérieur d'une fille, ressent des sensations uniques. Et c'est-ce que tu vas découvrir... Dés maintenant''
Pendant un long moment, ce n'était-ce que Mira faisait, pousser des gémissements, mais, lentement et surement, une verge d'une bonne trentaine de centimètres et d'environ dix centimètres de diamètres, chaudes et épaisses, se formait entre ses jambes. Pilule qui servait à rendre des femmes futanaris pour un court moment, mais aux sensations uniques et grandes, de plaisirs.
''Et aussi, un homme est constamment en chaleur, Mira... Alors, le fait que tu sois en chaleur de base et frustrer va te rendre plus entreprenante et plus énergique'' Dis-je avec un sourire.
Moi et les filles, avec avidité, commencions a lécher donc la belle queue de Mira, gémissant de plaisir. Bordel, ça faisait une éternité que je n'en avais pas goûter, des queues comme celles-là !
La Neko, avec son habituel air joueuse, se mit à califourchon sur Mira, sa chatte humide contre le bout du bâton de chair de Mira.
''Allez, Mira... Montre-moi ce dont tu es cap--'' Elle fut interrompu en poussant un long et puissant gémissement de plaisir, Mira ayant enfoncé son membre a l'intérieur d'elle entièrement.
Mon sourire s'élargit et, une fois de plus, je me léchais les babines tandis que mes concubines s'occupaient a jouer avec le corps de la Neko, la couvrant de baiser et de caresse tandis que j'embrassais Mira fougueusement.
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Mira espérait vraiment voir Eris rejoindre la fête pour faire profiter de son talent indéniable pour le sexe. Elle vit la femme des sables, un sourire malicieux sur les lèvres, se rendre près d'un fumoir à pipe et prendre une petite pilule blanche dans un sachet à proximité. Elle approcha de la mercenaire en marchant à quatre pattes puis, une fois près d'elle, posa la pilule sur sa langue avant d'aller embrasser la jeune fille. Cette dernière se laissa complètement faire et put sentir le petit comprimé blanc filer jusqu'au fond de sa gorge. Instinctivement, elle l'avala, sans craindre qu'il puisse d'une drogue dangereuse. Après tout, c'était la vipère des sables qui venait de la lui donner. Au bout de quelques secondes, elle sentit quelque chose s'activer dans son bas-ventre, puis vint un plaisir extrêmement puissant, qui la fit gémir fortement.
''Dis, Mira... Tu sais pourquoi un homme veut tant baiser une femme ? Parce que sa queue, une fois a l'intérieur d'une fille, ressent des sensations uniques. Et c'est-ce que tu vas découvrir... Dés maintenant''
Mira ne comprenait pas bien ce qu'Eris voulait dire, mais tout devint beaucoup plus clair quand elle vit une verge veineuse et épaisse, d'une dimension presque effrayante par rapport aux référentiels qu'elle avait, apparaître entre ses jambes. C'était l'effet de la pilule que la vipère des sables lui avait fait avaler : elle était devenue une futanari. Heureusement, l'effet de ce genre de produits était généralement temporaire
''Et aussi, un homme est constamment en chaleur, Mira... Alors, le fait que tu sois en chaleur de base et frustrer va te rendre plus entreprenante et plus énergique''
La mercenaire ne pouvait que lui donner raison : maintenant qu'elle avait cette chose énorme qui se dressait entre ses cuisses, elle éprouvait une envie quasi-incontrôlable de faire l'amour. Son chibre tremblait au rythme de ses pulsations cardiaques, autant dire qu'il était drôlement remuant. Elle ne demandait qu'à s'en servir, mais ne pouvait même pas parler au milieu de ses gémissements. Par chance, elle n'eut même pas besoin de parler pour que Eris et ses concubines ne viennent lécher sa belle queue en érection. Chaque coup de langue la faisait couiner, à la limite du cri.
« Aaahhh... Eris... les filles... oohh oui... »
Mira vit Rala, la concubine neko, se mettre à califourchon au-dessus d'elle, tenant sa verge d'une main, l'insérant lentement dans sa chatte humide en faisant des bruits humides. Une fois au fond du corps de la neko, la mercenaire gémit si fort qu'elle en coupa la parole à Eris, c'était tout simplement trop bon. Elle sentait son jouet piégés par les parois intimes de la femme, qui se resserraient toujours plus autour. Et c'était tellement plaisant que la jeune fille ne savait plus trop où donner de la tête. Quand elle sentit la neko commencer à onduler du bassin, et la femme des sables piéger ses lèvres avec les siennes, elle ne fit rien d'autre que de profiter sans bouger. Puis, après un temps d'adaptation, elle commença à bouger ses hanches à un rythme qui intensifiait son plaisir et celui de la neko. Une fois le rythme bien établi, elle se sentait tellement en extase qu'il lui fallut moins d'une minute pour jouir. Mais ce n'était pas suffisant pour Rala, qui n'avait pas eu d'orgasme, et qui continua à danser sur le pénis de Mira. Cette dernière n'y vit pas d'inconvénient, très contente de pouvoir jouir à nouveau. Les sensations qu'elle vivait étaient uniques et intenses, un vrai paradis érotique.
L'orgasme suivant fut commun aux deux femmes : Mira relâcha encore plus de sperme dans le corps de Rala, et cette dernière recouvrit le pénis de la futa avec sa mouille. Après quelques secondes, elle se retira de sa position, puis plaça sa fente au-dessus du chibre de la mercenaire, écarta un peu ses lèvres intimes et laissa tout la crème qu'elle retenait se déverser sur le membre masculin. Une fois bien recouvert, la concubine neko pencha son visage vers cette nouvelle friandise.
« Miam ! Voilà une glace que je vais aimer lécher. »
Rala passa sa langue râpeuse de neko sur la hampe de chair de Mira, de haut en bas, en récoltant le sperme et en l'avalant goulûment. Très vite, les deux autres concubines allèrent la rejoindre, offrant ainsi à la mercenaire une triple fellation d'experte. Si elle n'avait pas été réduite au silence par les couinements ininterrompus qu'elle poussait, la jeune fille leur aurait bien crié d'y aller plus fort, mais elle ne pouvait pas. De son côté, Eris continuait à la regarder, caressant ses joues et ses lèvres, l'embrassant parfois, avec toujours ce même sourire plein de malice.
Une fois le membre de Mira bien nettoyé, Jeria eut envie d'en profiter à son tour, mais pas dans son vagin. Elle se tourna pour se mettre dos à Mira, écarta ses fesses et alla titiller le gland de la futa avec sa rondelle. Puis elle s'enfonça progressivement, faisant de petits mouvements de recul après chacune de ses avancées, jusqu'à avoir le pénis complètement au fond de son petit trou. La mercenaire avait la bouche bloquée grande ouverte, incapable de sortir un son tant elle était en extase. Elle s'apprêtait à découvrir la sodomie pour la première fois, même si ce n'était pas exactement de cette façon-là qu'elle s'imaginait la pratiquer.
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Un sourire s'afficha sur le visage de la Succube du désert tandis que Mira se faisait plaisir en enfonçant la membrane de chair à l'intérieur de ses concubines, enfin, qu'elle se faisait enfoncer sa queue à l'intérieur d'elle. Mira était vraiment l'archétype de fille timide et solitaire qui peut se transformer en véritable machine a sexe une fois. Ses lèvres étaient emprisonnées dans celle de Mira, partageant un long et langoureux baiser tandis que la Neko continuait à bouger ses hanches, a les rouler, poussant des gémissements, les deux autres concubines regardant le spectacle avec plaisir, s'embrassant parfois.
La cadence s'accéléra, leurs salives se mélangèrent, des gémissements furent entendus, des cris furent poussés, du fluide féminin et 'masculin' furent mélangé et un orgasme était arrivé. Ses concubines étaient endurantes et elles savaient faire l'amour pendant des heures entiers, voire une journée entière. Une dose de Sable Rouge et pouf, même la plus prude et pure des femmes pouvaient se transformer comme Mira. Sauf que personne d'autre n'avait le charme de Mira, personne. Elle, elle était belle, magnifique, aux yeux d'Eris. Quelqu'un qui n'avait peut-être pas beaucoup d'attributs féminins, mais qui, quand même, pouvait compenser ce 'manque' physique par l'expertise que la Succube des sables lui avaient transmise lors de sa première fois.
Eris Langnar poussa un petit gloussement entre deux baiser en voyant le crémage 'masculin' s'écouler de la fente féminine de la Neko pour ensuite atterrir sur le bâton de chair de Mira, qui en effet, ressemblait a un cornet de crème glacée comme ceux que les humains vendaient sur Terre. Les autres concubines commencèrent donc a lécher la membrane tandis que la Succube continuait d'embrasser la fille aux cheveux noirs corbeaux caressant son corps nue d'une manière sensuelle et douce. Jeria, en grande fille fonceuse qu'elle était, se plaçait au dessus du corps de Mira pour que la queue de celle-ci puisse entrer dans son postérieur. Une fois ceci fait, Jeria poussa un long et puissant gémissement tandis que Mira, elle, avait le visage surpris par le plaisir qu'une sodomie pouvait procurer, ce qui fit sourire Eris encore plus.
Peu a peu, Jeria commença des mouvements de haut-en-bas, poussant de puissant gémissement de pure plaisir tandis que Mira, quant a elle, semblait essayer de pousser aussi des gémissements tant le plaisir était puissant en elle, ce qui n'empêcha pas en tout cas le fait qu'elle commença a massacrer le cul de la rousse Jeria, peu a peu, les cris de la rousse devenant de plus en plus forts. Eris souri et arrêta d'embrasser la fille aux cheveux de corbeaux avant de défaire sa robe sous les yeux perverses de ses deux concubines qui ne se faisaient pas labourer le cul comme Jeria. En moins de deux temps trois mouvement, elle était toute nue, possédant toujours ses belles courbes et ce beau cul, avec ses seins de rêves.
'Excuse-moi Mira, mais tu dois t'occuper de moi...'' Dit-elle avant de s'asseoir sur le visage de Mira, sa chatte étant directement proche de la bouche de cette dernière. Eris poussa enfin un long et sensuel gémissement en la sentant lui lécher le con, gloussant ''Oh oui, oh oui, Mira !''
Les deux autres concubines, Araya et Rala, un sourire malicieux au lèvre, s’avancèrent vers Eris. La Neko embrassa la Succube du désert tandis qu'Araya, elle, suçotait les tétons d'Eris avec expertise, gloussant.
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Si on lui avait dit qu'il était possible de vivre un plaisir plus grand que celui que lui avait donné Eris lors de leur première rencontre, Mira ne l'aurait pas cru. Mais maintenant, elle était bien obligée d'y croire, puisqu'elle n'arrivait même plus à gémir à cause du plaisir qui la noyait, prenant Jeria en sodomie. La concubine se balançait d'avant en arrière sur ce pieu de chair enfoncé dans son fondement, criant son plaisir de plus en plus fort, et ses gémissements excitaient encore plus la jeune fille, qui ne savait plus quoi dire où quoi faire. Elle restait immobile, la bouche ouverte, gardant ses forces pour respirer. Soudain, elle eut droit à un baiser de la succube des sables, qui lui remit partiellement les idées en place. Elle arrivait enfin à couiner, mais sa voix était étouffée par la bouche de son amante. Une fois le baiser terminé, la mercenaire eut droit au plus beau spectacle dont elle pourrait rêver ici : Eris retira sa robe, dévoilant enfin la beauté de son corps nu. Sa peau foncée et ses courbes alléchantes s'offraient enfin pleinement à la vue de son invitée, qui se serait bien jetée sur elle si son membre masculin n'était pas toujours entre les fesses de la rousse.
Comble du bonheur, la vipère alla s'asseoir sur le visage de Mira en lui demandant de s'occuper d'elle. Ni une ni deux, la jeune fille rassembla son énergie et sa concentration et se mit à lui lécher la chatte. Ayant retrouvé ses esprits, elle put également voir Araya et Rala approcher de leur maîtresse, mais elle ne pouvait pas voir ce qu'elles lui faisaient. En revanche, elle les entendait très bien, et son imagination de jeune fille en chaleur prit le relais : elle s'imaginait la femme des sables en train de se faire embrasser, sucer les seins, malaxer les fesses par ces deux beautés en petite tenue, et ce furent ces pensées qui l'achevèrent.
Après un ultime coup de rein de Jeria, Mira ne put plus résister et jouit à l'intérieur de l'anus de la concubine. Son cri de plaisir s'étouffa car elle avait la bouche collée sur le sexe d'Eris, mais sa semence partit comme un geyser. La concubine rousse se retira et lécha le sperme qui restait sur le sexe de la jeune fille avant d'aller rejoindre sa maîtresse pour pouvoir également la satisfaire. De son côté, la mercenaire léchait sans relâche l'intimité ruisselante de son amante, dans l'espoir de la faire jouir également, et surtout de pouvoir s'arroser le visage avec sa mouille. Mais à cause de l'utilisation de son corps par les autres concubines, elle sentait la fatigue la rattraper et craignait de ne pas pouvoir aller jusqu'au bout.
Non ! Je dois le faire. Pour Eris, mais aussi pour moi-même.
Mira puisa dans ses réserves d'énergie et finalement, non sans aide des concubines, elle parvint à faire jouir Eris. Comme espérée, la vipère lui arrosa le visage avec sa cyprine, et la jeune fille avala la moindre goutte qui passait à portée de sa langue. Le goût de ce liquide intime lui avait manqué. Après que la succube du désert ait bien joui, la mercenaire sentit une chaleur se rallumer au niveau de son bas ventre. Voir cette si belle femme se laisser pleinement aller au plaisir avait fait repartir son érection de plus belle, et elle avait maintenant très envie de réutiliser son pénis. Mais cette fois, c'était elle qui voulait choisir la femme à pénétrer.
« Eris... s'il te plaît... laisse moi te pénétrer... j'en ai trop envie... »
Mira faisait son regard le plus suppliant tant elle mourrait d'envie de pouvoir sentir son membre à l'intérieur de la femme des sables. C'en était presque un besoin vital.
« Eris... pitié... »
S'il fallait supplier, elle le ferait sans hésiter.
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Eris était en ce moment au comble du bonheur en sentant la langue de Mira Crone, une pucelle qui avait été dépucelée quelque temps plus tôt, poussant de grands gémissements de plaisir tandis qu'elle sentait le muscle saliveux de Mira lui faire plaisir, de la cyprine s'écoulant de sa chatte bien mouillée et bien en feu. Mon dieu et par les dieux qu'elle avait envie de cette jeune fille a la grosse queue de Futa! Elle pilonnait avec plaisir le cul de Jeria, qui pourtant, en fallait beaucoup pour la faire jouir a ce point-la. Eris en avait été témoin plusieurs fois, elle l'avait vu plusieurs fois que pour Jeria, une seule queue n'était pas souvent assez.
Ses deux concubines s'approchaient de leur maîtresse et se mirent à l'embrasser, couvrir son corps de baiser et de caresse, ses fesses particulièrement. Eris avait un de ces culs, il fallait l'avouer, des tas d'hommes rêvaient pouvoir se la faire et la dominer, l'avoir pour jouet et vide-couille! La jeune femme sourit intérieurement à cette pensée. En effet, elle était une vraie pute, une femme qui peut écarter facilement ses jambes, mais elle assumait. Elle s'était même déjà offrir à un dragon, des chevaux, et même un enfant des rues à peine âgés de quatorze ans. La Succube n'avait aucune limite en terme de plaisir sexuel, enfin, elle croyait. Eris avait quand même des limites. Elle s'était plu néanmoins à faire plaisir à cette enfant, qui la rend visite de temps en temps parfois.
Enfin, la rousse poussa un grand cri de plaisir tandis que Mira éjaculait toute sa semence à l'intérieur de son cul. Elle se retira d'elle et Jeria commença donc a lécher tout le sperme sur le gland du membre géant de Mira avec grand plaisir tandis que celle-ci continuait de la lécher allégrement. Eris savait qu'elle voulait la pénétrer et elle allait le lui accorder. Eris jouis enfin en poussant un gros cri, mouillant abondamment le visage de Mira et elle se retira.
Mira implora Eris de la laisser la prendre, avec une de ces voix... Elle sourit malicieusement avant de s'étendre au sol, écartant grandement les jambes, son vagin bien en vue et bien mouiller, les concubines affichant toutes un sourire carnassier.
''Vas-y, Mira, prends-moi comme la chienne que je suis !''
Ça y est. Elle le revoyait, ces flammes d'envies et de sexe dans les yeux d'or de Mira. Rapidement, elle se rapprocha d'Eris et se mit au-dessus d'elle avant de pénétrer sa chatte brutalement et soudainement, ce qui fit a Eris de pousser un très long et puissant gémissement de plaisir. Les mouvements de va-et-vient commencèrent, rapide et violent, les jambes d'Eris entourérent la taille de Mira, ses mains griffants le dos de la jeune fille.
''OUI, MIRA! OUI, OUI! PREND-MOI, OH OUUIII!'' Cria Eris de tous ses poumons tandis que les concubines s'occupaient maintenant de Mira, couvrant son corps de baiser et l'embrassant, jouant avec son corps. Elle savait qu'elle allait adorer...
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Au final, pas besoin de supplier : Eris alla s'étendre au sol, écarta les jambes en grand, prête à recevoir le gourdin de Mira. Cette dernière se sentit soudain comme possédée. Un torrent de désir ardent balaya son être, faisant disparaître sa retenue comme une tornade balaye un botte de paille.
''Vas-y, Mira, prends-moi comme la chienne que je suis !''
Elle n'allait pas se gêner ! Elle marcha d'un pas rapide vers la femme des sables, se mit au-dessus d'elle, prit son sexe d'homme dans sa main et le guida jusqu'à l'entrée de la grotte des plaisirs de son amante. Une fois bien positionnée, elle la pénétra d'un seul coup, ce qui fit gémir les deux femmes à l'unisson. Le plaisir n'en était qu'à son commencement, et déjà la jeune fille se sentait en transe. Son bassin se mit ensuite à remuer de lui-même, allant et venant dans le sexe de la succube à la peau foncée, donnant des coups de reins de plus en plus sauvages à chaque seconde qui passait.
''OUI, MIRA! OUI, OUI! PREND-MOI, OH OUUIII!''
« Aahh... Eris... AAAHHH... C'est tellement... BOOOONNNN ! »
Pour en rajouter, les concubines d'Eris s'attroupèrent autour de Mira et se mirent à couvrir son corps de baisers et de caresses. La mercenaire sentit tout son être décoller sous l'effet du plaisir, même les griffures dans son dos l'excitaient. Elle n'était plus une scientifique raisonnable et sage, elle était un animal en chaleur qui baisait une femme pour le plaisir de la baiser, et c'était le pied total.
Mira sentait des mains et des lèvres s'apposer partout sur son corps, mais elle ne réagissait pas. Son corps ne lui obéissait plus, elle ne faisait rien d'autre que balancer son bassin d'avant en arrière et gémir de tout son souffle. C'était la première fois qu'elle faisait l'amour avec une femme en la pénétrant, et elle adorait ça. Plus longtemps ça allait durer, mieux ce serait. Mais elle n'était pas habituée à autant de plaisir d'un seul coup, et jouit très vite à l'intérieur de la succube. Il faut dire que les concubines savaient comment l'exciter rapidement. La sensation d'éjaculer du sperme fut très étrange pour elle, mais aussi très plaisante, et elle resta nichée dans le nid de son amante jusqu'à être arrivée au bout de son expulsion de semence. Elle se retira, mais sa trique était toujours aussi dure. Elle avait déjà baisé les trois concubines, et elle voulait encore profiter du corps de la succube, alors elle retourna vers elle, le visage éclairé par la luxure, avec un peu de bave sur le coin de la joue.
« Eris... j'en veux encore... je veux sentir ma bite... dans ta bouche... entre tes seins... et même dans ton cul... je veux tout faire avec toi... je veux faire l'amour jusqu'à en tomber dans les pommes... je veux me vider encore et encore... t'asperger de foutre, toi et tes concubines... aahh... »
Le cerveau de Mira était parti très loin. Il ne restait plus que son corps... et son corps avait envie de sexe plus que tout au monde.
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Les gémissements que poussait Eris était juste exquis et délicieux à entendre, son vagin se faisant défoncer comme pas possible avec une Mira Crone en chaleur et la vue de ses concubines s'agglutinant contre celle-ci était juste érotique, la faisant mouiller encore plus tant l'excitation montait a l'intérieur d'Eris. La lueur de sauvagerie et de luxure dans les yeux d'ors de Miria lui fit sourire grandement, fière de ce qu'elle a fait. Elle avait transformé la jeune fille en bête sauvage qui n'avait envie que d'une seule chose : prendre sa femelle et satisfaire tous ses besoins sexuels, d'évacuer toute sa frustration qu'elle avait accumulée pendant toutes ses années et Eris n'allait pas s'en plaindre, elle prenait bien son pied.
Alors elle poussa un ultime gémissement en sentant le chibre de Mira exploser sa semence en elle, sentant une grosse chaleur se propager à l'intérieur de son corps, poussant finalement un soupir d'aise et regarda le visage de Mira. Comment les Terriens appelaient ça, déjà...? Ah oui. Un Ahegao, une sorte d'expression de visage tordu par le plaisir, ce que Mira avait présentement. Et elle aimait cette expression.
'Oh, mais Mira... Tu peux me faire ce que tu veux...,'' Ronronna la Succube, souriant de toute ses dents.
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''Oh, mais Mira... Tu peux me faire ce que tu veux...,''
Ces quelques mots transcendèrent l'esprit de Mira, ou du moins ce qu'il en restait. La jeune fille était déjà complètement soumise au plaisir qu'elle ressentait, et en voulait toujours plus. Et avec une belle queue juteuse entre les jambes, elle avait plein d'idées pour se satisfaire, et des belles femmes sur lesquelles les expérimenter. Elle sortit sa trique de l'intérieur de la femme des sables, et la présenta devant son visage, fièrement dressée tel un soldat au garde-à-vous, tressaillante et plus chaude qu'une braise abandonnée sur le feu.
« Eris... je veux coller ma bite dans ta bouche... pour que tu la suces... et je veux éjaculer dans ta gorge... sur ton visage, sur ta poitrine... je veux me masturber en te regardant danser sensuellement... te voir faire des cochonneries avec les autres concubines... je veux répandre mon sperme sur tous vos corps... je veux que tu me masturbes avec tes superbes seins... si ronds et voluptueux... je veux te pénétrer par le cul... te sodomiser tout en te donnant des fessées... et je veux encore te prendre par la grande porte... jusqu'à m'en évanouir de plaisir... jusqu'à oublier le monde autour de moi... »
La jeune mercenaire qui, il y a quelques mois encore, était vierge, rationnelle, timide et complexée, dont les seules pensées charnelles se limitaient aux images de ses mangas érotiques, s'était transformée en une femme appréciant les plaisirs de la chair plus que de raison, et était prête à en abuser. Le sexe était tout ce qui occupait son esprit. Plus de place pour le doute, la crainte, ou même pour la fatigue. Il n'y avait que du désir, encore et toujours.
Impatiente de commencer, Mira approcha sa verge de la bouche d'Eris, qui se fit un plaisir de la prendre en main et de jouer un peu avec avant de la gober jusqu'au fond de sa gorge. La jeune fille poussa des couinements d'extase dès l'instant où les lèvres de la femme touchèrent son gland brûlant, et elle ne pouvait que couiner plus fort en sentant son engin s'enfoncer jusqu'au bout de la bouche de son amante. La sensation de se faire sucer était... indescriptible. C'était comme si sa trique se faisait aspirer si fort que ça la stimulait dans tous les endroits en même temps, et que ça attirait sa semence hors de son nid. Pour le comprendre, il fallait le vivre. En même temps, les courtisanes continuaient de s'occuper du corps de leur maîtresse et de leur invitée, les couvrant de baisers, de léchouilles et de petites morsures. Tout cela poussa la mercenaire à l'extase en une petite dizaine de minutes, qui lui parurent durer des heures tant c'était bon. Instinctivement, elle utilisa ses mains pour plaquer la tête de la succube contre son bassin, l'obligeant ainsi à avaler tout le sperme dans une intense gorge profonde.
« Aahh... ouiiiii... ce que c'est bon de se vider dans la bouche d'une femme... »
Pour un peu, Mira aurait eu envie de donner à Eris un autre genre de liquide à boire... mais elle trouvait ça encore trop dégoûtant. La mercenaire sortit sa bite de la gorge de son amante, puis s'éloigna un peu avant de prendre son membre dans sa main.
« Allez... vas y Eris... montre moi une de ces danses sensuelles dont les femmes du désert ont le secret... fais onduler ce corps de rêve qui est le tien... et ensuite, montre moi comment il se tord de plaisir... sous les caresses de tes concubines... charme moi... donne moi envie de me masturber... jusqu'à te recouvrir le corps de ma crème chaude et épaisse... »
Plus elle s'enfonçait, plus son langage devenait cru et son ton exigeant. Mais elle ne pouvait pas s'en empêcher.
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La description de ce que voulait faire Mira à la belle et jeune Succube du désert la fit sourire grandement, se léchant les lèvres, déjà excitées, ainsi que ses concubines ici présentes. Elle avait envie et elles en avaient envie aussi. Combien de fois avaient-elles vu ce genre de phénomène se produire auprès des jeunes pucelles et puceaux qui ont goûter au plaisir de la chair, elles avaient perdu le compte. Cependant, elles appréciaient toujours les gens qui devenaient comme ca, libre de faire ce qu'ils voulaient dans le but de se satisfaire sexuellement.
C'est ainsi, alors que Mira approchait sa queue de la bouche d'Eris, qu'elle le prit en bouche et qu'elle commençait à faire des allées et retour, sentant la grosse queue émettre de la chaleur a l'intérieur de son orifice buccale, sa langue explorant les moindres recoins de cette grosse matraque de chair, sa main s'occupant de la partie qu'elle ne pouvait pas sucer. La jeune fille aux yeux d'or émit des couinements tandis que ses concubines s'occupaient de la jeune Succube, la couvrant de baiser et de caresse, Eris continuant de satisfaire son invitée d'honneur avec sa bouche.
Sentant que Mira allait venir, elle accéléra ultimement la cadence et sentit sa tête se faire plaquer contre le bassin de la jeune fille tandis qu'elle laissait enfin évacuer sa semence dans sa bouche, qui était épaisse et odorante, au goût délicieux. Elle avala docilement et laissa Mira reculer, un sourire en coin, tandis qu'elle demandait à Eris de lui montrer une de ses danses du ventre. Elle en voulait ? Fort bien, elle allait satisfaire.
Lentement, elle se mit debout et avec ses concubines, elles commencèrent à danser, corps contre corps, dangereusement proche, incarnant en ce moment même la sensualité même. Elles roulèrent leurs hanches et effectuaient des mouvements gracieux, s'embrassant parfois leur nuque ou leurs épaules. Eris, quant a elle, se démarquait grandement de ses concubines, même si toute ses concubines semblaient exciter grandement Mira.
Son bassin se collait à celle de la Neko, son fessier se faisant palper le fessier par Jeriah. Son corps nu contre le leurs, elle continuait à montrer cette danse du désert si sensuelle et si belle, les lèvres de la Vipère frôlant contre celle de la Neko. Elle cligna un œil en direction de Mira, qui s'était branlé la queue en passant, une queue qui a étrangement grossi et élargit, en s'allongeant aussi.
Elle joignit ses lèvres a une des concubines, continuant cette danse si sensuelle du désert, mieux qu'un strip-tease sur Terre ou autre endroit. Elles attendaient toute la 'venue' de Mira, avec impatience...
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Mira avait l'impression de nager en pleine rêve. Et encore, ses rêves n'auraient peut-être jamais été aussi érotiques. Devant ses yeux lubriques, Eris et ses concubines venaient d'entamer une danse du ventre plus sensuelle que tout ce qu'elle avait jamais pu voir. Elles dansaient corps contre corps, ondulant des hanches à un rythme parfait, s'embrassant parfois au niveau de leur nuque ou de leurs épaules. Mais au milieu de toutes ces beautés, le regard de la jeune fille était concentré sur la succube du désert. Au milieu des autres femmes, sa beauté était la plus grande, comme une étoile brillant plus fort au milieu des autres étoiles. Elle se collait au plus près des autres femmes, faisant danser son corps nu contre les leurs, et sublimait la chose avec des petites touches, comme son clin d’œil en direction de son invitée, ou quand ses lèvres frôlèrent celles de Rala. En somme, elle était la plus sexy des danseuses.
Sans même s'en rendre compte, pendant qu'elle regardait les filles balancer leurs corps splendides, Mira se branlait allègrement la queue, qui devenait plus longue et plus grosse dans sa main. Elle ne prenait pas vraiment conscience du plaisir que ça lui procurait au début, mais elle le réalisa quand elle sentit qu'un nouvel orgasme pointait le bout de son nez. Quand elle vit ce que sa main faisait, elle eut bien des pensées perverses, dont celle d'imaginer Eris la branler avec sa main.
Je veux le faire aussi...
La mercenaire, sentant qu'elle allait bientôt se lâcher, accéléra le rythme de sa main tout en faisant signe aux concubines et à leur maîtresse.
« Aahh... Venez vite... les filles... oohh... ça vient... han... hhaann... venez vous faire asperger... AAAHHH ! »
Et quand Mira éjacula joyeusement tout son foutre blanc et épais, les filles étaient là, et le reçurent avec plaisir. Leur visage et leur poitrine se retrouvèrent maculées de filaments blancs. Après avoir bien joui, la jeune fille reprit son souffle et ses esprits. Il lui restait encore beaucoup d'envies à satisfaire, et la prochaine était déjà claire dans sa tête.
« Merveilleux... c'était merveilleux. Passons vite... à la suite... »
Elle s'approcha de la succube en tremblant un peu à cause du remue-ménage dans son corps suite à tous ces orgasmes enchaînés.
« Aahh.. Eris... montre moi... comment tu fais l'amour... à tes concubines... sois sensuelle... sexy... érotique... fais les couiner... et laisse les te faire couiner...
Et ensuite... quand je te ferai signe... tu viendras me voir... pour me branler la queue... jusqu'à m'amener... aux portes de la jouissance mais... juste au dernier moment... tu retourneras te mêler aux filles... comme ça... je pourrais déverser ma crème... partout sur toi... et sur tes concubines...
Vous serez toutes sales... de vilaines cochonnes... Oohh oui... »
Mira planait totalement dans sa luxure, et ne pouvait plus imaginer autre chose que des images perverses. Elle avait le souffle lourd et saccadé, les joues rouges, presque écarlates, les yeux perdus dans le vide, le corps parcouru de petits spasmes, et elle gémissait de temps en temps. Elle s'imaginait, au milieu de toutes ces filles à la beauté irrésistible, à se faire masturber, lécher ou sucer, à les prendre dans tous les sens, à jouir encore et encore, à répandre son foutre partout jusqu'à repeindre la pièce en blanc... Elle n'avait plus rien en tête à part son envie irrésistible de baiser.
« Aahh... allez Eris... fais moi voir... comme tu es belle... quand tu fais l'amour... »
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La danse de la sensualité des beautés du désert continuaient pendant un petit moment, impatiente de recevoir le jus de Mira partout sur leurs corps. Leurs corps ondulèrent en harmonie et dans un rythme quasi-parfait. Eris ne niait pas que ses concubines étaient plus sensuelles qu'elle dans cette danse, ELLIPSIS les ayant 'recrutés' a un très jeune âge, dans les environs de quatorze ou quinze ans, habituellement des filles des rues, orphelines ou pauvre. Les deux parfois. Il avait bien eu une préférence pour les jeunes demoiselles, mais c'était pour un temps avant qu'il ne rencontre la jeune héritière des Langnar, qui fut pervertie par cet homme et ses concubines.
Enfin, le signal qu'elles attendaient fut donné par Mira, les signalant qu'elle allait bientôt lâcher sur elles sa semence. Elle accéléra la cadence de sa masturbation avant de finalement exploser, laissant une pluie blanche recouvrir leurs poitrines et leurs visages. Eris lécha le coin de ses lèvres, souriantes, appréciant le goût sucrée de la semence, les concubines en faisant de même aussi tandis que la Succube du désert écoutait une nouvelle fois les demandes de Mira.
Une nouvelle fois, avec plaisir, elles acceptèrent le souhait de Mira Crone. La jeune brune se mit à embrasser la Neko tandis que Jeria et la belle jeune femme aux yeux bleus s'embrassaient fougueusement elle aussi. Rapidement, Eris commençait a donner des bisous au cou de la jolie Neko et enfin, elle se mit a lécher les restes de semences qui étaient sur sa poitrine et avec avidité, elle finit en moins de deux. Rapidement, elle enleva la robe de la femme chat et se mit à genou avant d'embrasser doucement son petit bouton rose, la faisant gémir. Jeria, quant à elle, ne se fit pas prier et se plaça derrière Araya, la belle femme aux yeux bleus et commença a palper ses fesses, la faisant gémir de plaisir. Les choses 'dégringolèrent' rapidement par la suite tandis qu'elles commencèrent à se faire l'amour sensuellement. Eris était prise d'assaut par la chatte de la Neko tandis qu'elles faisaient le ciseau, poussant de grands gémissements de plaisir tandis que Jeria, quant à elle, léchait allégrement la fente d'Araya.
Du coin de l'œil, Eris pouvait voir que Miria bavait littéralement comme une chute, continuant de se masturber allégrement. Elle lui lança un clin d'œil coquin et poussa un petit sifflement de plaisir tandis que la Neko lui frotta gentiment son clitoris, ce qui contribuait à la rendre plus mouiller. Enfin, après une bonne dizaine de minute, elles se firent toute l'amour mutuellement, s'attaquant particulièrement à Eris. L'une suçait ses tétons, l'autre lui léchait la chatte et une autre même sa rondelle, la faisant roucouler de plaisir. C'était un vrai 'bazar' érotique et elles étaient en chaleur, Mira particulièrement. Eris poussa un cri et son corps ondula de plaisir tandis qu'elle jouit sur le visage de la concubine s'occupant de sa fente, continuant cependant d'embrasser Jeria.
Eris jeta un regard en biais à Mira, un sourire perverse sur son visage.
''Tu aimes le spectacle, ma chouette ?''
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Sur la demande de Mira, Eris et ses concubines s'assirent sur le tapis pour se faire l'amour entre elles. La succube coinça les lèvres de Rala entre les siennes, et Araya en fit de même avec Jeriah. La mercenaire, quant à elle, commença doucement à se caresser devant le spectacle qui lui était offert. Rapidement, la femme qu'elle préférait parmi les autres glissa ses lèvres dans le cou de la neko, lécha la semence qu'elle avait encore sur la poitrine, puis lui ôta sa robe avant de l'allonger complètement sur le tapis pour pouvoir lécher sa petite fleur rose. Les miaulements de plaisir de la concubine aux cheveux roses rendirent la spectatrice encore plus chaude, et elle accélérait peu à peu le rythme de sa main. De son côté, la concubine aux cheveux rouges exprima encore une fois son attrait pour les fesses des femmes en allant palper celles de son amante, qui ne se priva pas de soupirer pour l'en remercier. Le regard de la jeune fille resta fixée sur elles un moment.
Moi aussi, je veux pouvoir caresser leur délicieux cul.
Mira n'avait pas beaucoup pu toucher les corps magnifiques qui s'offraient à elle depuis son arrivée, elle avait surtout utilisé sa langue et son chibre. Et l'envie de caresser les belles poitrines et les culs délicieux d'Eris et de ses concubines se faisait de plus en plus forte en elle.
Très vite, les femmes commencèrent à se faire l'amour de façon plus sensuelle : la succube et la neko étaient parties dans un ciseau, et Jeriah faisait un cunnilingus à Araya. Partout où elle posait les yeux, la jeune fille voyait la luxure à l'état brut, et elle ne pouvait plus s'arrêter de se masturber en respirant fort et en bavant. La vipère des sables l'excitait avec de petits gestes simples, comme des clins d’œils, mais elle ne parvint vraiment à la rendre folle que quand toutes ses concubines se jetèrent sur elles pour lui faire l'amour passionnément. La première lui suçait les tétons, la deuxième lui léchait la chatte, et la troisième lui léchait la rondelle. Elle était prise dans un torrent de plaisir, et elle allait engloutir son invitée avec elle. Quand elle finit par jouir et par arroser le visage de celle qui s'occupait de sa fente mouillée, elle tourna les yeux vers Mira en souriant, lui demandant si elle appréciait le spectacle. La jeune fille lui répondit difficilement entre deux halètements.
« Haa... Oh oui... c'est génial... aahh... vous êtes... magnifiques... perverses à souhait... oohh oui... aahh... ça vient... je viens... je... AAAAHHHH ! »
Encore une fois, le pénis de la mercenaire cracha son foutre blanc, qui alla arroser les filles de la tête aux pieds. Puis elle retomba par terre, en sueur, le souffle lourd et les joues rouges. Cependant, elle était loin, très loin d'être calmée, et elle était prête à continuer de plus belle. Elle donna la suite de son idée aux filles.
« Aahh... Eris... j'aimerais que tu viennes près de moi... et que tu me branles la queue... avec tes si jolies mains. Les autres... je vous veux près de moi... pour pouvoir vous tripoter... malaxer vos seins... pincer vos tétons... caresser vos fesses... je veux sentir à quel point vous êtes bien faites. »
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L'excitation était à son comble dans ce bazar de sexe et de corps féminins se faisant plaisir et se frottant entre eux, les gémissements des femmes se faisant toujours entendre, en particulier ceux d'Eris qui, après avoir posé sa question, avait pousser un gémissement de plaisir des plus bruyants en sentant la langue de la concubine qui s'occupait de son con se glisser a l'intérieur d'elle, commençant donc a lécher ses parois vaginale déjà si sensibles. La jeune femme aux cheveux corbeaux poussa un autre gémissement, ses seins se faisant harceler par une autre de ses concubines, jouant avec ses pointes durcies et bien attirants.
Sans surprise, le ton de la voix de Mira indiquait qu'elle allait bientôt jouir, ce qui amusait Eris. La queue d'une Futanari était plus sensible, ceux créer magiquement du moins, mais le plaisir y était plus grand et plus profitable. Soudainement, elle éjacula et recouvrit le corps des jeunes femmes de foutre blanc, Eris se léchant les lèvres. Délicieux, pensait-elle en poussant un petit gloussement. Après avoir écouté les supplications de Mira, elles s'approchèrent d'elle et évidemment, Eris prit la queue de Mira à deux mains et commençait a faire des mouvements de va et viens, déposant des petites léchouilles sur son gland, affichant un sourire sensuel
''Supplie-moi, Mira, supplie-moi de continuer'' ronronnait-elle, branlant sa queue de Futanari dans un rythme atrocement lent, mais plaisant tandis que les filles déposaient des baisers partout sur son corps aux allures de petite fille, pourtant si sensuel et très beau. ''Je veux que tu cries mon nom en bonne petite nymphomane que tu es''
La jeune concubine Neko sourit et embrassa Mira avec passion, Araya se faisant caresser ses seins plutôt bien fournis par Mira. Jeria quant à elle se faisait caresser les fesses et déposait des baisers sur le cou de Mira si fragile et frêle, suçotant sa peau, y laissant des marques.
''Nyaaaa, maitresse Mira, vous êtes si jolie et mignonne'' Dit la Neko entre deux baisers, toute souriante, sa queue de chat se balançant de droite à gauche.
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Mira était plus chaude qu'un poêle à bois en plein hiver, et ses désirs furent entendus et satisfaits : Eris alla jusqu'à elle et prit son sexe dressé entre ses mains, et les concubines vinrent se coller contre son corps pour y déposer des baisers tout en se faisant tripoter. La mercenaire tenait la poitrine d'Araya et les fesses de Jeriah entre ses mains, tandis que Rala et elle s'embrassaient encore et encore. Mais au milieu de toute cette chair transpirant la luxure, il y avait une pointe de frustration : la femme des sables prenait plaisir à jouer avec son invitée, à la masturber à un rythme lent mais délicieux, à vouloir l'entendre supplier et crier pour avoir droit à sa récompense. Elle se décidait à prendre les rênes et, évidemment, sa jeune amante était trop vulnérable pour résister.
« Aahh... Eris... branle moi plus fort... je t'en supplie... nyyaahh... fais moi juter tout mon sperme... j'en ai besoin... aahh... Eriiiissss... pitié... »
Elle ne criait pas encore, mais ça n'allait sûrement pas tarder avec cette ambiance orgiaque autour d'elle. Déjà, elle pressait et malaxait plus fort les courbes qu'elle tenait entre ses doigts ; les beaux seins d'Araya et le cul moelleux de Jeriah. Elle avait envie de faire plus, de les lécher, de les mordre, de s'en servir comme oreiller... bref, de faire tout ce qui lui passait par la tête, du plus ordinaire au plus dément. Plus aucun interdit ne la contraignait entre ces murs, elle pouvait réaliser tous ses fantasmes. A chaque seconde, elle couinait et criait, réclamait toujours plus de caresses sur son corps, elle se mettait peu à peu à crier le nom d'Eris, comme une supplique pour ne pas qu'elle arrête.
« Haann... oh que c'est bon... vous êtes toutes... oohh... géniales... je vous adore toutes... oh oui... »
Mira se sentait comme prisonnière d'un océan de plaisir, dont les vagues la ballottaient de tous les côtés. Elle ne voyait rien et n'entendait rien, mais sa peau sentait le moindre passage, la plus petite brise. Elle était plongée dans l'extase et se laissait complètement aller. Les minutes lui semblèrent durer des heures, et elle ne revint à la réalité que lorsque sa trique s'agita pour signifier qu'elle allait bientôt tout envoyer.
« Aahh... ça vient... Eris... ça vient... oh putain... branle moi bien fort... OOOUUUIII... ERIIIIIS ! »
La mercenaire eut un orgasme puissant, aidée par toutes les mains et les bouches qui s'activaient sur sa peau, et elle cracha encore un flot épais de semence, qui s'étala sur le corps de la succube du désert. Après ça, la jeune fille se sentit comme dépossédée de ses forces et s'allongea sur le tapis le plus proche pour reprendre son souffle. Elle croyait enfin être pleinement satisfaite, mais son sexe ne semblait pas être du même avis : en moins d'une minute, il était à nouveau tendu vers le ciel, prêt pour un autre round.
« Haa... Eris... les filles... je suis toute à vous... savourez mon corps... comme vous le voulez. »
Elle était encore secouée et n'avait pas de nouvelles idées, mais elle ne comptait pas s'arrêter pour si peu. Après des années d'abstinence et si peu d'expériences, la flamme de son désir n'allait pas s'éteindre sans quelques heures d'arrosage intense.
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Au fil des années, Eris avait acquis de l'expérience dans le domaine de l'érotisme et l'art des plaisirs de la chair. Elle savait ou toucher pour faire monter l'excitation ou au contraire, la titiller, se montrer taquin. En ce moment, en présence de son hôte et de ses concubines, elle s'amusait à taquiner la pauvre Mira, elle qui devait subir les assauts de la Succube et de ses protégées du Harem. Elle suppliait Eris, comme elle l'avait 'demandé' et sa voix était succulente à entendre et sa queue l'était encore plus, sa semence était... exquis. Elle y déposa une léchouille a quelques reprises, ce qui la fit couiner et gémir de plaisir.
Qu'elles les adoraient toutes ? C'était un euphémisme, selon Eris, en voyant son corps se contorsionner sous tant de plaisirs et de caresses. Elle devait les vénérer toutes pour leurs talents dans l'art de la luxure, voire leur louer un culte, malgré l'état de son esprit qui était plutôt en mode baise et envie de sexe en ce moment. Sans surprise, elle sentit la bite de Mira s'agiter dans sa main et sourit grandement. Nul besoin de m'avertir petite, pensait-elle avec amusement en accélérant au fil du temps, sentant le mandrin de chair devenir de plus en plus dure.
L'attente qui semblait interminable toucha à sa fin quand un jet de liquide blanc émana de son mandrin et les concubines eurent aussitôt fait d'essayer d'en avoir le plus possible, Eris n'en prit qu'une lichette. Elle sourit. Comme elles le voulait. La Neko eut déjà une idée agréable. Faisant apparaître une petite corde a l'aide d'un tour de magie, elle l'enroula autour de la queue d'acier de Mira, bloquant la circulation, du sang comme des éjaculations. Pour ainsi dire, elle pourrait le chevaucher autant de fois qu'elle le voudrait, Mira n'éjaculerait pas.
Lestement, la jolie Neko se mit à califourchon sur Mira avec un grand sourire.
''Nyaaa, maitresse Mira, je vous satisferais, mais j'ai envie de jouer !''
Elle prit le membre de la jeune fille et la mit à l'intérieur de sa chatte, poussant un gémissement puissant et commença a faire des va-et-vient, poussant ses hanches de haut en bas.
''Maitresse Mira, Nyaaaa, vous êtes si grosse et si bonne !''
Les gémissements se transformèrent bientôt en cris, le visage de Mira Crone était rouge comme une cerise et sa queue l'en était tout autant. Déjà envie de jouir ? Dommage pour toi, pensait Eris avec un amusement non cachée. Jerya et sa compagnonne sourirent et pendant que la Neko chevauchait avidement Mira, elles léchèrent la queue et les couilles de celle-ci.
''Oh, maîtresse Eris, elle est si succulente'' Murmurait Jerya entre deux léchouilles tandis que la Succube caressait ses grosses fesses bien rebondies et fermes. La concubine aux yeux bleus, quant à elle, était occupée a suçoter les couilles si grosses de Mira.
'Je sais les filles mais laissez-en un peu pour moi après, okay? N'oubliez pas, vous devez vous reposer pour nos invités dans quelques jours. ''
Elles acquiescèrent avec un sourire en coin tandis qu'Eris déposait des baisers sur les fesses de Jerya et parfois, elle lui arrivait de susurrer des mots doux à l'oreille de Miria, dont les lèvres étaient collées a ceux de la Neko.
''Tu es sacrément en chaleur, hein Mira ?'' Murmura Eris avec une voix sensuelle. ''Tu as tellement envie d'éjaculer, mais ça, tu ne peux pas. Supplie-leur et peut-être que je leur donnerais l'ordre de relâcher la corde''
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En laissant la main aux courtisanes, Mira pensait qu'elle allait encore avoir droit à un grand moment de plaisir, mais les filles semblaient avoir d'autres plans pour elle. Rala fit apparaître de nulle part une petite corde, qu'elle enroula autour du sexe de la futa pour bloquer la circulation sanguine et l'éjaculation, puis elle se mit à califourchon au-dessus du corps de la jeune fille pour enfoncer sa grosse trique dans son intimité mouillée.
« AAHH ! »
Comme à chaque fois qu'elle visitait l'intérieur d'une fille, Mira poussa un grand gémissement quand son sexe entra dans celui de la neko. Très vite, elle eut droit à encore plus de plaisir quand elle sentit les langues d'Araya et de Jeriah s'attaquer à la base de sa verge et à ses couilles. En quelques minutes, son visage devint rouge comme une cerise. Elle poussait des cris à mi-chemin entre la souffrance et le plaisir, frustrée de prendre ainsi son pied sans pouvoir atteindre le summum de l'extase. Elle pouvait entendre les filles la complimenter sur ses talents, et ça ne faisait que la rendre encore un peu plus chaude. Le coup de grâce arriva lorsqu'Eris vint se coller près de son oreille pour lui murmurer des mots qui la rendirent encore plus folle. Non seulement la vipère des sables voyait que son invitée était en chaleur, mais en plus elle la taquinait sur ça.
« Haann... Eris... c'est méchant... kkyyaahh ! »
Mais dans l'était où elle était, Mira n'avait guère d'autre choix, si elle ne voulait pas s'évanouir ou devenir folle, que d'obéir à la demande de son hôte. En plus, vu comment les concubines étaient douées, elle n'avait pas tant de temps que ça. Elle se résigna donc à les supplier.
« Aahh... les filles. Ayez pitié de moi. Je ne suis... haann... qu'une pauvre jeune fille... oohh... en chaleur... et je vous su... kyaahhh... supplie... de... haann... de me laisser... exploser... AAHH ! Si je dois me mettre à genoux... je le ferai. Si je dois vous lécher les pieds... hhaann... je le ferai. Par pitié... ah... aahh... AAAHHH... laissez moi exploser ! J'en peux plus ! »
Plus la tension montait, moins Mira la supportait. En tant que mercenaire, elle était pourtant censé savoir garder son calme en toutes circonstances. Mais elle n'aurait jamais imaginé, elle, la petite fille au corps ingrat, qui n'a quasiment pas d'amis au lycée et n'a couché que deux fois dans sa vie, se retrouver dans ce genre de contexte. Et parfois, même les meilleures leçons ne préparent pas à ce qu'on peut vivre.
Tout ce que la jeune fille espérait à présent, c'était que ses ''bourreaux'' la laisseraient atteindre le nirvana.
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Oh oui, qu'Eris adorait voir cette expression frustrée et quelque peu sensuelle sur le visage de Mira, ce regard si brûlant et ardent de désir, de satisfaire sa propre soif sexuelle, de relâcher toute la pression qu'elle aurait pu accumuler au fil du temps pendant que la Succube du Désert n'était pas là pour la satisfaire, occupée aux intrigues de la cours, aux repoussages de prétendants et de toute cette montagne de choses qu'elle fallait qu'elle fasse.
Méchante n'était peut-être pas le bon mot selon la jeune femme mais plutôt joueuse, très joueuse même, autant que pouvait l'être une Neko ou n'importe quel prostituée, femmes de plaisirs de ce monde. Pour autant qu'elle le savait, beaucoup de femmes, d'hommes et de créatures de ce monde connaissaient sa réputation au lit comme a la cours, alors peut-être qu'elle s'était fait une légende.
La résignation dans le regard et la voix de Mira Crone se faisait sentir, ce qui ne faisait qu'accentuer le sentiment de domination et de puissance d'Eris et de ses concubines, en particulier la Neko qui la chevauchait. Ses paroles étaient entrecoupées de gémissements, de cris de plaisirs, de halètement. Sa queue devenait rouge et gonflait. Une belle explosion se prépare, se disait Eris avec délice, se pourléchant les lèvres.
''D'accord... Chatonne, relâche-là,, tu veux ? La pauvre, regarde là, elle va imploser''
''Hmmm, nya, maitresse Mira, je suis désolée. Pour me pardonner, vous pouvez vous vider autant de fois que vous voulez a l'intérieur de moi ! Peut-être aurais-je la chance de faire des petits chatons avec vous ?'' La Neko sourit à pleine dent, ses petites canines étaient visibles et elle poussait de plus grands gémissements de plaisir au fil du temps, ayant fait disparaître par magie la corde qui étaient enroulés autour de la queue de Mira Crone.
Dommage que le sort qu'Eris avait lancé sur Mira pour faire pousser une queue temporaire était stérile et la semence était magique. Cependant, un petit contre-effet, est que cette même semence magique... rendait plus féconde la personne qui se faisait baiser.
Les gémissements de sa concubine Neko étaient exquis et plaisant à entendre, parfois entrecoupés de ronronnement très bruyant. ''Maîtresse Mira, nya, je-je vais jouir, jouissons ensemble ! Jouissons... E-ENSEMBLE ! MIAAAAOUUUUUUUUUU''
La Neko pencha sa tête vers l'arrière tandis que des litres de cyprines s'échappaient de sa chatte bien mouillée, chatte qui d'ailleurs s'étaient enserrés autour du bâton de chair à l'intérieur d'elle, comme si elle ne voulait pas la laisser sortir tant qu'elle n'aurait pas accompli son travail. L'éjaculation de Mira était tellement puissante qu'elle avait même gonflé, au bout de quelques secondes, le ventre de la pauvre Neko, ce qui lui donnait l'air enceint. Celle-ci se retira et s'allongea un peu plus loin, pantelante, des litres de semences s'écoulant de sa chatte.
Jeria la rousse, qui possédait des fesses fermes, rebondies et bien formés, sourit et se mit à califourchon ensuite sur Mira, ne lui laissant même pas le temps de souffler qu'elle l'embrassa. Ses seins se frottèrent contre sa petite poitrine, mais la rousse n'était nullement dérangée par les petites poitrines. Elle se mit ensuite, toujours sur Mira, en position de reverse cowgirl, commençant ensuite à faire des va et viens, s'empalant joyeusement sur son bâton de chair toujours couvert de sa semence, cette position offrait d'ailleurs a la brune une vue impressionnante sur son cul si beau et plaisant a regarder.
''Oh par les seins de la déesse du Soleil, oh oui, ce que c'est bon de se faire enculer par un pénis aussi gros, oh oui !''
Pendant que la rousse chevauchait Mira, Eris quant a elle s'était penchée vers l'oreille de la jeune fille a la poitrine plate, mordillant, susurrant et suçotant le lobe de son oreille.
''Oh oui ma petite, tu est si belle, si magnifique, si sensuelle... laisse toi aller, relâche cette bête en toi. Ici... on est seule et coquine, rien que pour toi''
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Les supplications de Mira trouvèrent grâce aux oreilles d'Eris, qui demanda à Rala de la libérer. Quand la neko détacha la petite corde qui enserrait le sexe de la demoiselle, cette dernière eut soudain l'impression qu'un ouragan avait lieu dans son mandrin, et elle poussa un cri à la hauteur de cette sensation.
« AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH !!! »
Les deux femmes jouirent ensemble, générant des litres de fluides sexuels, à tel point que le bassin et les cuisses de la mercenaire se retrouvèrent arrosés de mouille, tandis que le ventre de la terranide gonfla sous l’afflux de sperme, donnant l'illusion qu'elle était enceinte. A la fin de leur jouissance collective, la neko se retira et alla s'allonger dans un coin, toute tremblante, de la semence coulant de son intimité. Elle allait être hors service pendant quelques minutes.
Après avoir joui aussi fort, Mira avait l'impression que son corps était complètement vidé de ses forces. Elle avait à peine l'énergie de gémir, et sa trique commençait à montrer des signes de fatigue. Malgré ça, Jeriah alla vers elle et l'embrassa avant même qu'elle n'ait eu le temps de reprendre son souffle. Elle sentait la poitrine généreuse de la rousse se frotter contre ses petits seins, mais elle ne pensa pas à son physique ingrat une seule seconde, elle était trop contente de pouvoir prendre son pied de cette façon malgré la fatigue. La concubine alla la chevaucher à son tour, enfonçant son pieu entre ses fesses et lui tournant le dos pour qu'elle puisse voir son joli cul se dandiner.
« Oh oui... ooohhh ouiii... t'es trop bonne Jeriah... et ton cul est magnifique... Aahh ! »
Histoire d'en rajouter, la mercenaire sentit Eris s'approcher d'elle, mordillant son lobe d'oreille et lui murmurant de se laisser complètement aller, de libérer cette bête qui sommeillait en elle. La prenant au mot, la jeune fille tourna rapidement la tête pour pouvoir l'embrasser, roulant sa langue à toute vitesse avec la sienne, tandis que ses mains allèrent se poser sur le magnifique derrière de Jeriah, qu'elle se mit à presser et malaxer joyeusement. Le baiser dura un long moment, puis elle se sépara des lèvres de la succube en faisant claquer celle du haut entre ses dents. Sitôt la bouche ouverte, elle laissa libre cours à ses envies.
« Ah Jeriah... un aussi beau cul que le tien... j'ai envie de le prendre pendant des jours. »
Très vite, le tripotage se changea en fessées. Mira fut particulièrement excitée de voir comment ses mains faisaient remuer la chair moelleuse de ce cul, tandis que sa propriétaire allait et venait sur sa lance droite comme un piquet. Les deux femmes étaient en pleine extase, et pourtant la mercenaire en voulait plus. Heureusement pour elle, il y avait encore deux belles femmes en condition pour s'occuper d'elle.
« Han... han... les filles... vous voulez bien... jouer avec mon corps... pendant que je baise Jeriah ? »
Mira laissait enfin parler cet animal qui vivait en elle depuis le jour où elle avait ressenti du désir pour la première fois, et cette bête avait un très gros appétit. Elle voulait tout le monde en même temps, conduire son corps jusqu'aux confins de l'extase physique et mentale, quitte à aller trop loin et à être marquée à vie. Ici, dans ce harem, elle était enfin totalement libre.
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Jeriah prenait tellement de plaisir en ce moment, son visage était tordu par cette joie de se faire enculer par la trique immense de la jeune brune qui continuait de pilonner son petit trou de cul. Des puissants gémissements s'échappaient de sa bouche, ses seins rebondissaient aux rythmes de ses va-et-vient, d'énormes seins bien fournis qui appartenaient a tout le monde dans ce harem, même a la jeune Crone. Elle adorait la sodomie et était un peu zoophile sur les bords, merci a la Succube du Désert, puisque celle-ci avait laissé un jour Jeriah se faire enculer par un cheval. Le compliment qu'elle reçut sur son cul et sa beauté la firent un peu rougir d'ailleurs, Mira ne semblait pas vouloir se retirer de son cul et la rousse a la peau bronzée ne voulait pas la laisser partir non plus.
Eris, quant à elle, fut un peu surprise quand celle-ci l'embrassa avec voracité, mais repris contenance néanmoins, rendant tout aussi voracement le baiser de la jeune fille. Que ses lèvres étaient douces aux contacts et délicieux. Elle était si chaude et énergique, même si Eris sentait que son invitée commençait a fatiguer, ce qui était normal vu les efforts qu'elle a fournis pour satisfaire sexuellement ses concubines. Le baiser fut brisé et Mira complimenta une nouvelle fois les fesses, ou plutôt le cul de la rousse, en donnant des fessées et des claques dessus faisant remuer la chair si bien fournie. Jeriah ne voulait pas non plus laisser Mira partir, elle voulait profiter d'elle encore plus.
Eris sourit à la demande de Mira, ainsi que la concubine aux yeux bleus et aux cheveux noirs, la Neko était fatiguée et hors-service, pour le moment, du foutre s'échappant toujours de sa chatte. Araya, la concubine aux yeux bleus, s'approcha à quatre pattes de Mira.
''Oh oui, Maitresse Mira. Nous serons ravis de nous occuper de vous''
Sur ces mots, elle se mit à caresser le ventre, les hanches, le fessier et les seins de la jeune fille, léchant parfois ses tétons si durcies et roses, pointues, mordillant de temps en temps pour y laisser des traces violacées, tout en affichant son sourire si joueur et taquin.
Eris se mit à embrasser Mira avec avidité et a tournoyer sa langue autour de la sienne, un baiser passionnée et remplis de passion. La dame du désert était excitée, beaucoup même, mais contrairement aux autres, elle ne mouillait pas. Elle savait se retenir parfaitement. Elle tenait gentiment les mains de Mira dans les siennes tout en l'embrassant, ses paupières fermées, les gémissements de Jeriah s'étaient transformés en cris de plaisir entretemps, Mira ayant accéléré ses coups de reins, essayant de s'enfoncer plus en profondeur dans son cul.
''Hmm, Mira, que tu es belle et magnifique en ce moment, j'adore cette lueur de sauvagerie dans tes yeux dorés, cette lueur affamée et assoiffée de sexe. Oh oui, tu es tellement sexy en ce moment'' Susurrais Eris entre deux baisers, d'une voix sensuelle et si tentatrice. ''Dis, tu aimerais leur faire des bébés, Mira, avec ta grosse trique, ton sperme si épais et délicieux et tes grosses couilles ?''
Elle sourit et continuait de l'embrasser en attendant sa réponse, pratiquant ce que les gens appelaient le 'dirty-talking'.
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Mira avait déjà le corps en feu en prenant Jeriah par le cul, mais ça ne lui suffisait pas, elle voulait que tout le monde s'occupe d'elle. Araya s'approcha alors d'elle à quatre pattes, se colla contre son corps et se mit à caresser chaque recoin de sa peau, depuis ses seins tout durs jusqu'à ses fesses hyper sensibles, tandis qu'Eris vint attraper ses lèvres entre les siennes, lui offrant un baiser ardent et plein de passion. La jeune fille ne se privait pas de gémir et de soupirer fort tandis qu'elle se faisait stimuler de tous les côtés. C'était comme un rêve qui se réalisait : enfin, toute sa frustration et ses désirs pouvaient sortir. De son côté, la concubine rousse était passé des soupirs aux cris tandis qu'elle et sa partenaire s'emballaient dans le rythme de leur bassin, la queue de la mercenaire allant toujours plus loin au fond du cul de la concubine. Ce fut à ce moment-là que la succube du désert fit une proposition pour le moins inattendue à son invitée : faire des bébés aux filles.
A ce moment précis, Mira était trop prise par son plaisir pour donner une réponse claire, mais elle parvint quand même à lui donner le fond de sa pensée.
« Aahh... si je peux le faire... avec toi aussi... oohh... »
Pour l'instant, sa seule vraie envie était de s'occuper du cul de Jeriah, et elle y consacra toute son attention, observant avec délice ce merveilleux fessier onduler tout en emplissant la pièce des cris d'extase de la concubine. Finalement, son ardeur eut raison de la demoiselle, qui se vida dans son fondement en poussant un grand gémissement à moitié étouffé par la langue de la vipère dans sa bouche.
« HHHHHMMMMPPPPHHH ! »
Après ça, Jeriah se retira et alla se reposer dans un coin, aux côtés de Rala. Il ne restait plus qu'Eris et Araya pour combler les dernières envies de Mira, qui profita de ce moment de répit pour terminer d'expliquer ce qu'elle voulait dire tout à l'heure à propos de l'idée de faire des bébés aux concubines.
« Je ne sais pas si tu étais sérieuse tout à l'heure, mais si c'était bien le cas, je serais ravie de faire un bébé à tes concubines. Cependant, je sens que je n'ai plus beaucoup de sang dans la tête, alors mon gros jouet va sûrement manquer de tonus dans peu de temps. On peut toujours essayer avec Araya... »
Elle se blottit tout près du corps de la succube.
« ...ou avec toi. »
Faire un enfant à Eris aurait été la consécration du plaisir pour Mira : faire naître une nouvelle vie de la rencontre un peu folle d'une jeune mercenaire et d'une noble du Sultanat des Sables Blancs. C'était typique d'un conte de fées. Mais ce n'était pas le genre de demande à faire de façon hasardeuse.
« Réfléchis y pendant que je m'occupe d'Araya. »
La jeune fille alla à la rencontre de la concubine, qu'elle embrassa passionnément tandis que ses mains glissaient sur son corps, pelotant avec joie le moindre recoin de chair un peu rebondi. Doucement, sa queue retrouvait du volume.
« Alors ma belle, prête à te faire défoncer par la grosse queue d'une gamine en chaleur ? »
Elle n'eut même pas le temps de répondre qu'elle se retrouva déjà couchée sur le sol, Mira la dominant complètement avec son corps, caressant son sexe en érection contre sa fente humide.
« Attention.... j'arrive ! »
Elle s'enfonça d'un seul coup, et commença tout de suite à balancer des hanches comme une folle, bien décidée à expulser son foutre et à remplir l'utérus de la belle pour la mettre K.O comme les deux autres, ce qui laisserait le meilleur pour la fin.
« Aahh... ce que t'es bonne... aussi bonne que les autres... oohh... prête à finir enceinte ? »
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Elle ne pensait pas qu'elle mordrait a l'hameçon comme ca, Eris était bien surprise. Un peu. Beaucoup. Surprise était juste le mot qui pouvait la décrire intérieurement sur le moment, mais qu'importe, elle reprit son calme presque instantanément, continuant de l'embrasser tandis que son invitée continuait de pilonner le cul de Jeriah allégrement. Soudainement, elle émit un puissant gémissement qu'elle aurait pris pour un cri si la Succube n'était pas en train de l'embrasser tandis qu'elle éjacula a l'intérieur de Jeriah, la faisant crier de plaisir aussi.
Lentement, la rousse se retira, un peu à contrecœur et rampa auprès de la Neko Rala, haletante et fatiguée, son corps couvert de sueur, s'allongeant a ses côtés. Épuisée, elle devait l'être, et pas qu'un peu, vu la vigueur de Mira quand elle l'enculait. Plus de sang dans la tête ? Elle en doutait, Eris le savait qu'au fond, Mira avait encore de l'énergie pour toute les baiser. Cette bête en elle ne s'arrêterait pas avant d'être totalement rassasiée. Soit elle... soit Araya. Dilemme, dilemme, mais elle souriait, caressant un moment les cheveux de la brune.
Le visage d'Araya s'illumina et son regard bleu eu une lueur de malice au fond et rendit le baiser de la brune avec passion, gémissant doucement de plaisir tandis qu'elle se faisait caresser. Ses seins n'étaient ni trop gros, ni trop petits, juste parfait, ses courbes étaient bien définies et ses fesses étaient bien fournies. Elle sentait sa queue retrouver sa taille peu à peu, elle devenait mouillée.
''Oh oui, maîtresse Mira, je suis prête à vous recevoir...'' dit-elle sur un ton sensuel tandis qu'elle se faisait coucher au sol, mouillant un peu plus en sentant le bout de sa matraque sur son con. Puis elle poussa un grand gémissement en sentant la bite la traverser.
''Oui maîtresse Mira, ce serait un honneur !''
Puis elle sentit les va-et-vient, lents au début, devenir peu à peu rapide... Ses gémissements devenaient plus puissants et enveloppèrent ses jambes autour de sa taille. Elle n'allait pas la laisser partir facilement. Oh que non.
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Araya accueillait avec un plaisir et un enthousiasme non dissimulé. La jeune fille, complètement guidée par la chaleur qui envahissait son corps, se mit à la pilonner énergiquement tandis que la concubine enserra ses jambes autour de sa taille pour la bloquer près d'elle. De toute façon, elle ne comptait pas se retirer avant de s'être vidée dans son utérus, toujours dans l'idée de la mettre enceinte. Depuis qu'Eris lui avait mis cette possibilité en tête, elle avait envie de tenter sa chance. Si elle parvenait à engrosser l'une des concubines, voir même leur maîtresse, cela lui ferait un bon prétexte pour s'installer de façon permanente à Ghibli, à proximité de sa chère et tendre vipère. En plus, ce serait une naissance on-ne-peut-plus poétique : un enfant né de la libération de sa frustration sexuelle, accumulée depuis des années, et qui était sortie en une seule folle nuit de débauche.
« Oh oui... oh putain... ce que t'es bonne Araya... haann... j'adore te baiser... aaahhh... »
Mira devint peu à peu incontrôlable, ses hanches balançant de plus en plus vite, son sexe tapant au plus profond du con de la jeune femme. Les deux partenaires hurlaient leur plaisir à l'unisson, baignant la pièce de leurs cris d'extase sans jamais ralentir le rythme de leurs allées et venues. Elles étaient au paradis, et leur endurance leur permirent d'y rester un long moment. Au bout d'une dizaine de minutes, la mercenaire atteignit finalement sa limite, de même que sa partenaire.
« OH OUI ! ARAYAAAAA ! AAAAAHHHHH !!! »
Mira explosa joyeusement dans le sexe de la belle, y répandant un immense flot de sperme épais et juteux, tandis que la concubine hurlait en expulsant sa mouille. La mercenaire resta logée dans le corps de son amante un petit moment, partageant des baisers et des caresses avec elle, avant de la laisser aller se reposer en compagnie des autres filles. La jeune fille se tourna ensuite vers Eris.
« C'est ton tour ma jolie. Mais d'abord, j'ai besoin de ton aide pour redevenir dure. »
En effet, l'effort avait fait retomber son érection. Joyeusement, Eris se colla à elle et joua habilement de sa bouche et de ses doigts jusqu'à la faire à nouveau bander comme un taureau. La mercenaire se plaça de façon à pouvoir prendre la succube du désert en levrette, crispant ses doigts sur ses belles fesses rebondies.
« Je préfère te prévenir tout de suite, je ne vais pas être tendre avec toi. Je vais te prendre comme une chienne, je vais nous faire hurler comme des animaux. Peut-être que ça te fera mal, mais j'en doute. En tout cas, j'ai l'intention de te donner tout ce que j'ai. »
Et d'un coup sec, elle enfonça sa bite dans le vagin de la dame, démarrant tout de suite à un rythme effréné. Comme les autres filles, Eris allait se retrouver remplie de foutre jusqu'à en déborder.
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La jeune femme sourit presque tendrement en voyant l'ancienne vierge se défouler en défonçant une de ses concubines les plus populaires de son harem, l'une des favorites de son ancien mari, d'ailleurs. Araya savait s'y faire beaucoup mieux avec les hommes, les futanaris, etc, qu'avec les femmes. Elle était bisexuelle, mais préférait les hommes pour certaines raisons, et Eris comprenait les dites raisons. Elle aussi préférait les hommes ou tout ce qui possédait une queue. Elle adorait leur odeur qu'il dégageait lors du coït, leur manière de se montrer si brutale lorsqu'ils voulaient asseoir leur domination sur une femelle. Pour elle, même la plus dominatrice des Futanaris ne saurait égaler les hommes, même avec l'aide de la science Tékhane. Le nouveau ne battra jamais l'originale.
Elle voyait la jeune fille commencer à se montrer très rapide dans ses coups de hanches, folles de rassasier sa soif de sexe. Oui, il fallait relâcher cette frustration qu'elle avait accumulé pendant son trajet jusqu'ici, la pauvre avait du vraiment résister encore à l'envie de se faire du plaisir pour soi, mais a présent, elle pouvait faire ce qui lui chantait ici, tant que ça ne virait pas a quelque chose de très violent et douloureux pour ses concubines. Une dizaine de minutes, c'est tout ce qui lui fallait pour se satisfaire sur Araya, cette si belle concubine, et leurs hurlements de plaisirs emplirent la salle tandis qu'elles jouirent, Mira déversant son lait en elle et la mouille s'échappant du con d'Araya.
Dommage que la queue de Mira ne pouvait vraiment enfanter quelqu'un, puisqu'Eris lui en a fait pousser un avec une pilule et la semence dans ses couilles était magique, elle ne pouvait enfanter une femme. Cependant, elle pouvait rendre une femme plus fertile. Si elle voulait vraiment enfanter quelqu'un, elle allait surement devoir aller dans une capitale Tekhane pour se faire implanter un membre viril fertile, avec ce qui venait avec. Elles s'embrassèrent un moment après que Mira se fut retirée et Araya retourna avec les autres se reposer un moment.
Elle sourit et se mit a sucer le membre de son invitée avec expertise quand celle-ci lui demanda son aide pour redevenir dure, poussant de longs et doux gémissements de plaisir, sa langue tournicotant tout autour de sa grosse queue bien dure et ses doigts s'occupant des parties où elles ne pouvaient s'occuper. Elle n'eut point besoin de beaucoup temps que celle-ci commençait déjà à s'endurcir et avec une telle rapidité.
Mira se plaça derrière la jeune Succube du Désert pour qu'elle puisse la prendre par-derrière, ayant enlevé sa robe de danseuse du ventre entretemps, dévoilant son corps si charmant et sensuel, aux courbes de rêves, aux seins bien fournies et aux fessiers très généreux. Elle releva son fessier un peu plus dans les airs, pour qu'elle ait un meilleur accès à ses points sensibles a l'intérieur d'elle et pour qu'elle soit plus capable de s'enfoncer profondément.
''Je suis habitué à la douleur, ma grande, j'ai testé beaucoup de chos-''
Elle fut interrompue par un grand gémissement de plaisir quand Mira s'enfoncer en elle et débuta tout de suite en un rythme rapide et sauvage de va-et-vient. Des cris s'échappèrent de sa bouche, puissants et montrant à quel point elle prenait plaisir en ce moment. Le bruit de la chair s'entrechoquant emplit la salle où elles étaient, accompagnés de leurs puissants cris de plaisir. Les seins d'Eris rebondissaient partout et une de ses mains vint jouer avec ses tétons, l'autre posée au sol pour se maintenir en équilibre alors que Mira labourait sans relâche sa chatte. Elle le savait qu'elle avait envie d'éjaculer en elle, pourquoi elle ne le ferait pas alors que les autres ont effectivement été remplis a ras bord ?
''Oh par les dieux, oh oui, Mira, oui, oui, oui, oh oui, tu es tellement belle et douée, oh oui, baise-moi comme la salle chienne que je suis !''
La sueur recouvrait leurs corps en cette chaude journée dans le désert, Eris continuait de pousser d'énormes cris de plaisir, encore et encore, sa chatte était mouillée comme une cascade et de la mouille s'échappait en abondance de son con.
Elle avait tellement envie de son invitée.
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Mira savait qu'Eris pourrait encaisser, c'était une femme bien plus expérimentée qu'elle, elle avait sans doute eu son lot d'hommes et de baises sauvages. Mais elle comptait bien lui montrer que, à part l'expérience, rien ne lui manquait pour être une bonne amante. Elle partit dans un rythme effréné dès le début, avec la ferme intention de faire hurler la succube, crispant ses mains sur ses belles fesses pour avoir un bon appui. Partout, elle voyait et entendait des signes de plaisir et de luxure : le bruit des chairs cognant l'une contre l'autre, les cris de plaisir des deux femmes, les seins de la vipère des sables qui se balancent d'avant en arrière, sa main qui vient pincer ses tétons, sa bouche qui en demande toujours plus... La mercenaire se sent comme transportée par tout ça.
« Oh oui... haann... Eris... je vais... te baiser... comme une chienne... comme la pire des putes... aaahhh... je vais vider... mes grosses couilles... en toi... aaggnn... te faire déborder... la chatte... de mon sperme... ooohhh ouais... »
Comment cela aurait-il pu être mieux ? Même la météo était parfaite, les rayons du soleil passant par les vitres rendaient la jeune fille plus chaude et faisaient transpirer encore plus son corps déjà bien humide et scintillant. Elle avait tellement envie d'Eris, de lécher son corps en sueur, de sucer ses tétons tout durs, de jouir en rafale et de recouvrir son corps de foutre poisseux pour ensuite la nettoyer et lui faire avaler. Elle avait envie de s'abaisser toujours plus bas, de descendre jusqu'aux choses les plus inavouables et dégoûtantes. Avec qui d'autre aurait-elle pu le faire de toute façon ?
« Haann... oh Eris... si tu savais... tout ce que j'ai en tête... hhggnn... pour toi... »
Mira et Eris assurèrent la distance pendant un long moment jusqu'à ce que la mercenaire eut finalement un orgasme et remplisse le sexe de sa partenaire avec une bonne giclée de sperme. Mais cela ne lui suffisait pas, elle voulait remplir la femme jusqu'à ce que son ventre gonfle de l'afflux de semence, la pousser jusqu'à l'épuisement. A peine son éjaculation finie, elle repartit e plus belle, et elle allait continuer jusqu'à être sûre de ne pas pouvoir aller plus loin, avec toujours ce désir secret que, d'ici quelques mois, la vipère revienne la voir pour lui annoncer qu'elle attendait son enfant.
Ce serait tellement beau...
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Oui, elle était sa pute et elle adorait cela. Ses puissants hurlements de plaisir la trahissaient, mais la Succube du Désert n'en avait que faire. Elle avait envie de se satisfaire, elle avait envie de satisfaire son amante, elle avait de jouir encore et encore, elle avait envie que le plaisir les emportent dans un tourbillon infernal et jouissif. Sa grosse et longue queue l'empalait encore et encore avec vigueur, elle sentait chaque centimètre de sa queue remplir sa chatte par sa simple présence en elle. Elle criait et criait puissamment et ses seins étaient tellement durs pour elle.
La jeune femme attendait avec impatience le moment où elle allait se faire remplir avec sa douce et chaude et épaisse semence magique en elle. Cette idée la faisait mouiller et Mira, toujours en train de la labourer vigoureusement, criait d'autres mots qui la firent mouiller encore plus. Elle avait plusieurs idées en tête et Eris savait que se faire engrosser en faisait partie. Elle le savait et son regard en disait long a ce sujet. Finalement, elle joignit son cri aux siens tandis que Mira jouissait en elle et qu'Eris eut son orgasme en même temps qu'elle. Puis elle continua à labourer Eris encore une fois, continuant de crier. Une heure s'était passée, une heure de plaisir, ou Eris s'était fait remplir la chatte à de nombreuse reprise, a un tel point que son ventre finissait par gonfler.
''AAAAAAAAAAAAAH!'' Cria la jeune Succube en se faisant remplir une énième fois. Une odeur de foutre et de sueur flottait dans les airs. Mira se retira et éjacula sur le cul d'Eris et sur son corps. Eris s'allongea au sol et haleta, regardant Mira dans ses yeux d'or et sourit.
''Regarde mon ventre... tout gonflée. On dirait que je suis enceinte, franchement'' Elle gloussa.
En prenant sa main, Eris attira Mira vers elle et l'embrassa voracement avant qu'elle n'ait pu prononcer le moindre mot et lui ouvrit grandement la bouche, y versant de sa propre salive dans la bouche de Mira.
''Sale petite pute, tu aimes ça, hein ? J'imagine que tu serais même prête à rendre enceinte une parfaite inconnue dans la rue simplement parce que tu as une grosse queue et un gros appétit sexuelle, hein ?'' Elle donna une fessée à Mira avec un sourire.
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Une heure s'écoula. Une heure pendant laquelle Mira enchaîna les orgasmes à l'intérieur de la chatte d'Eris, la faisant hurler et transpirer au moins autant qu'elle. Elle-même ne savait pas d'où elle tirait l'énergie pour baiser autant, mais plus les minutes passaient et plus elle se sentait libre, comme si elle n'avait plus de limite. Sur son dernier orgasme, la mercenaire sortit avant la fin de son éjaculation, laissant un peu de son sperme éclabousser les fesses et le bas du dos de son amante. Après ça, la succube s'allongea au sol et regarda la jeune fille droit dans les yeux.
''Regarde mon ventre... tout gonflée. On dirait que je suis enceinte, franchement''
Mira voulut répondre, mais elle se fit prendre la main et attirer par Eris, qui l'embrassa voracement, l'empêchant de dire quoi que ce soit. Ensuite, elle finit sur le dos, avec la vipère la dominant, et cette dernière versa sa salive dans sa bouche. La mercenaire aurait pu trouver ça dégoûtant mais, excitée comme elle était, elle avala la bave de son amante avec plaisir, et cela l'excitait encore plus. La succube continua de la dégrader en la traitant de pute, en disant qu'elle mettrait enceinte n'importe qui et n'importe où tant qu'elle pouvait satisfaire son appétit sexuel, elle lui donna même une fessée qui fit sursauter la jeune fille. Elle aurait voulu s'offusquer, dire que jamais elle ne s'abaisserait à de telles choses... mais elle n'y arrivait pas, parce que tout ce qu'avait dit son amante était vrai.
« Tu as raison Eris... je suis une pute avec un énorme appétit sexuel. Si une inconnue m'abordait dans la rue en me demandant de la prendre contre une poubelle, je le ferais, parce que je suis prête à tout pour vider mes grosses couilles de leur sperme juteux. »
Le sexe aidait Mira à se décomplexer, et elle prenait plaisir à parler d'elle ainsi. Elle voulait se sentir toujours plus dégoûtante, aussi bien physiquement que mentalement, et elle avait déjà des idées.
« Crache moi dans la bouche Eris. Puis bave sur tout mon corps. Je veux me sentir sale. »
Mira garda la salive d'Eris en bouche pendant que cette dernière en répandait encore plus sur sa peau. Chaque goutte qu'elle sentait couler sur elle la chauffait un peu plus, la bave se mêlait à sa sueur et le tout dégoulinait le long de son corps. Une fois trempée de sueur et de bave, elle se releva pour se mettre à quatre pattes et présenter ses belles fesses à son amante.
« Fesse moi Eris. Punis moi pour être une pute dégoûtante et obsédée, qui baiserait la première venue juste pour se satisfaire. Bats moi jusqu'à ce que mes fesses me brûlent, insulte moi comme tu le fais si bien, fais moi jouir de douleur. »
La mercenaire se sentait si bien qu'elle se fichait de ce qui pourrait arriver après ça.
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Elle était si emportée dans le plaisir qu'elle n'avait même pas fait l'effort de nier ce que la jeune Succube du Désert disait et c'Est-ce qui l'amusait au plus haut point. Combien de fois a-t-elle vu le genre de personne comme Mira, seule, frustrée, timide et innocente au début en train de virer lentement en une personne débauchée, ouverte d'esprit et très énergique, perverse et créative, ça, elle seule le savait et elle était toujours contente de ce qu'elle faisait puisque ces personnes ont un tel potentiel en eux, c'est dommage de les gâcher en restant enfermée sur soi-même.
''Hmm, je plaindrais l'inconnue dans ce cas-la qui se fera baiser par toi et ta grosse queue, tu vas tellement lui ravager la chatte et le cul qu'elle ne pourra même plus marcher pendant quelques heures. Oh oui ma petite Mira, tu n'es qu'une sale petite pute débauchée et énormément perverse qui veut simplement s'accoupler avec la première ou le premier venu.''
Elle sourit et obéit à sa demande, bavant dans sa bouche et répandant son fluide buccale d'amour sur son corps petit et enfantin qui, aux yeux d'Eris, n'était pas du tout ingrat et laid, au contraire, elle la trouvait très belle comme elle était. Ses petits seins étaient mignons, ses jambes courtes qui lui donnaient une petite taille la rendaient d'autant plus mignonne et ses yeux dorés étaient magnifiques. Elle admettait d'ailleurs que ses yeux étaient plus magnifiques que les siennes et ça, Eris ne le disait pas souvent.
La jeune fille se mit ensuite en levrette, présentant ses belles petites fesses fermes et jolies a la Succube en lui implorant de la punir. Elle claqua son cul une fois, la chair s'agitant mollement sous le coup.
''Espèce de petite traînée, tu aimes ça qu'on te punisse, n'est-ce pas ? Tiens !''
Elle redonna une claque, et une autre, encore, et encore, et encore, jusqu’à ce que ses deux fesses soient rouge tomate et a chaque claque, Mira mouillait énormément. Eris fit apparaitre une cravache de cuir noire et attendit un moment avant que Mira ne la supplie de la punir à nouveau, ce qu'elle fit, en claquant son cul avec la cravache fermement.
''Sacrée petite chienne, abois pour moi, dis-moi a quel point tu mouilles rien qu'en pensant a moi et a ce que tout tu imagines que je te fasse !''
Et elle redonna un autre coup de cravache, un grand sourire au visage.
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Mira sentit la main d'Eris s'abattre sur son cul dans la seconde suivant son positionnement. Elle poussa un gémissement quand sa chair s'agita sous l'impact, et savoura les commentaires de son amante comme du sucre versé à ses oreilles.
« Oh oui Eris... j'aime tellement que tu me punisses. »
Les claques s'enchaînèrent sans relâche, encore et encore, arrachant à la jeune fille des gémissements en continu et de la mouille en cascade, jusqu'à ce que ses fesses ressemblent à deux belles tomates bien mûres. Mais bien sûr, elle en voulait encore.
« Non Eris, je t'en prie, n'arrête surtout pas. Je suis une sale pute dévergondée, je dois être punie jusqu'à l'os, je dois souffrir encore plus, et... »
Elle s'interrompit net dans sa phrase quand elle sentit un nouveau coup donné sur ses fesses, mais avec un autre instrument. Elle se tourna timidement et vit que la vipère des sables avait une cravache de cuir noir entre les mains. Un frisson terrible lui parcourut le corps de haut en bas.
« Oh oui... vas y ma belle... punis moi durement. »
Mira eut alors droit à une série de coups de cravache sur son derrière déjà bien marqué et sensible, qu'elle sentit s'enflammer sous ces assauts répétés, et se sentit devenir plus vilaine et plus dégoûtante à chaque seconde.
« Aahh... oh Eris... je mouille et je bande... en imaginant... tout ce que tu pourrais faire... à mon corps de pute... haannn... woouuhh... Wouf ! Wouf ! »
La mercenaire se laissait avec plaisir sombrer dans le vice jusqu'à devenir la chienne de la succube, ayant déjà des idées sur ce qu'elle pourrait lui faire dans ce nouvel état. Par exemple, les chiens adorent lécher...
Mira fut punie pendant un temps qui lui sembla encore trop court, ayant même joui une fois de la douleur provoquée, puis marcha à quatre pattes jusqu'à Eris pour lécher ses jambes.
« Alors Eris... que doit faire ta petite chienne adorée pour te plaire ? »
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Ses petites fesses étaient d'un si beau rouge que c'en était presque magnifique et c'est-ce qui fit que la belle jeune femme se sentit fière de son œuvre, d'avoir libéré Mira de ses entraves intérieure, les règles du bon comportement en société et de savoir-vivre ainsi que du respect de soi. Bien sûr, en parlant de non-respect de soi-même, elle ne voulait pas qu'elle s'insulte elle-même, vraiment, en disant que sa vie était inutile et de la merde, au contraire. Elle parlait de ses orientations sexuelles et de ses expériences. Ici, au sein du harem de la Succube du Désert, elle pouvait agir comme elle le voulait, tant que ce n'était rien de trop violent et que les concubines étaient d'accord et consentante.
Ses aboiements la firent sourire tandis qu'elle donnait encore et encore des coups de cravache sur son derrière qui était très rouge. Se sentir puissante était un sentiment très jouissif pour elle, sans double-sens, bien sûr, même si le double-sens de cette phrase était très souvent présent...
''Gentille chienne, gentille, tu mérites... une récompense !''
Et elle lui claqua le cul avec sa cravache une énième fois.
Mira s'avança ensuite vers Mira à quatre pattes et lui lécha les jambes, lui demandant qu'est-ce qu'elle pouvait faire pour lui faire plaisir.
''Lèche-moi bien gentiment la chatte, chienne'' Dit-elle sur une voix impérieuse mais joueuse et perverse. Enfin, sans attendre une seconde de plus, elle se mit a lécher son entrejambe et Eris poussait un soupir de plaisir, sa main se posant sur la tête de Mira, l'autre lui donnant de légers coups de cravache aux fesses.
''Oh oui, brave chienne...''
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Mira restait collée contre les jambes d'Eris, attendant la récompense promise par la dame. Finalement, la jeune fille eut droit à son cadeau : pouvoir lécher la chatte de son amante. Toute contente, elle alla mettre son joli minois entre les cuisses de la vipère et attaqua son cunni. Sa première récompense fut les petits gémissements de plaisir de sa chérie, la seconde fut les caresses sur sa tête et les petits coups de cravaches sur ses fesses.
C'est bon... c'est trop bon...
Mira vivait un moment d'harmonie parfait. Elle avait beau aimer se faire rabaisser et punir, ça avait aussi du bon de faire l'amour simplement et en douceur. Néanmoins, elle n'en oubliait pas pour autant sa position de chienne, et aboyait parfois au milieu de ses coups de langue. Ensemble, les deux femmes s'offraient un plaisir adulte et délicieux, aussi bien pour l'une que pour l'autre.
Mira lécha le sexe d'Eris pendant dix minutes, jusqu'à la faire jouir une première fois, puis continua encore jusqu'à son deuxième orgasme. Elle avait de la mouille partout sur le visage et même dans la bouche, mais cela la réjouissait. En gentille petite chienne, elle se mit à genoux devant la succube, la langue pendante hors de la bouche, une expression de joie sur le visage.
« Waf, waf ! »
Si elle avait eu une queue caudale, elle l'aurait faite bouger comme une folle pour bien montrer qu'elle était contente. La queue qu'elle avait entre les jambes tressautait beaucoup, signe qu'elle était impatiente de continuer à jouer avec celle qu'elle commençait à vouloir appeler maîtresse. Mais bon, les chiens ne parlent pas...
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Comme une bonne chienne, elle passait sa langue sur son entrejambe, encore et encore, avec une telle avidité qu'Eris en était amusée, mais cela ne la dérangeait pas, le plaisir que la brune lui procurait était grand et depuis qu'elle sa rencontre avec elle dans sa chambre, elle semblait avoir pris un peu d'expérience avec cette fille.
''Ah oui, juste comme ça... Aaaah!''
Elle jouit une première fois sur son visage et une deuxième fois fois quelques minutes plus tard. Sa langue était très énergique... Comme une belle chienne bien docile. Elle en fit même une petite imitation et aboya.
''Bonne chienne... Comme récompense, je te laisse le pouvoir de m'amuser avec ta jolie grosse queue.''
Elle s'allongea au sol et écarta les jambes...
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Comme elle avait été une bonne chienne, Mira eut droit à une récompense : pouvoir amuser Eris avec sa grosse queue. Toute contente, la petite chienne regarda sa maîtresse s'allonger au sol et écarter les jambes, puis alla vers elle. Mais au lieu de la pénétrer tout de suite, elle eut envie de s'amuser un peu avec elle, et s'assit au niveau de son ventre pour pouvoir glisser son sexe entre les merveilleux seins de la vipère. Elle fit aussi en sorte que cette dernière gobe le bout de son jouet.
« Haann... aaoouuhh... Waf ! Waf ! »
Oh oui, elle était contente. Pouvoir jouer ainsi avec son amante préférée était particulièrement jouissif, à tel point qu'elle balança son sperme dans la bouche de la dame en à peine plus d'une minute. Cette dernière s'en lécha les babines, puis son toutou adoré descendit jusqu'à mettre son visage au niveau de son bassin.
« Snif snif... slurp. »
Mira se mit à lécher l'intimité d'Eris pour la faire mouiller, goûtant à son délicieux jus jusqu'à en avoir assez, puis enfonça sa queue toute dure dans son antre chaude et humide.
« Haann ! »
Comme à chaque fois qu'elle pénétrait une femme, Mira sentit une incroyable chaleur envahir son bas-ventre et une tension tout aussi forte se lancer dans son sexe. C'était une joie immense que de pouvoir prendre une femme qu'elle estimait autant.
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Elle passa sa queue entre ses seins et Eris sourit en pressant ses deux boules de chairs généreuses entre sa matraque gorgée de sang et assoiffée de sexe et d'être à l'intérieur de quelqu'un en particulier. Elle se mit à la lécher chaque fois qu'elle fut proche de sa bouche, et même à la suçoter avec une telle habileté qu'elle finit par jouir dans sa bouche en moins d'une minute. Elle recueillit toute la semence qu'elle pouvait tandis que Mira descendit d'elle et plaça son visage devant son entrejambe avant de se mettre à la lécher, de doux gémissement de plaisir s'échappant de sa bouche.
Ses gémissements se firent légèrement plus bruyants sous les assauts de la langue de Mira, entrecoupés de doux mots qu'elle marmonnait envers son invitée et poussa un petit cri de plaisir en se faisant enfoncer sa matraque dans sa chatte et instinctivement, elle enveloppa ses jambes autour d'elle. Mira se mit à bouger frénétiquement des hanches, faisant des va-et-vient rapides et profonds.
''Oh oui Mira, Oh oui, oh oui !''
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Mira se faisait allègrement plaisir en enfonçant sa matraque de chair dans le corps d'Eris, qui avait serré ses jambes autour de son bassin pour la piéger. C'était vraiment le pied.
« Han, han, han... waf... waf... WAAAFFF ! »
Sa queue avait tellement servi au cours des dernières heures qu'elle avait développé une forte résistance aux orgasmes. Elle ne jouissait plus aussi facilement, et put ainsi pilonner son amante pendant de longues minutes. Elle ressemblait enfin totalement à une chienne en chaleur, et ça lui plaisait. Elle se donna à fond pendant un temps qui lui sembla durer une éternité, de la sueur perlait sur son corps et le faisait briller à la lumière solaire. Quand elle sentit l'orgasme approcher, elle colla rapidement ses lèvres contre celles de la vipère et ne s'en décolla qu'après que tout sa crème eut giclée. Après son éjaculation, la mercenaire sortit du corps de la femme et s'assit le temps de reprendre un peu son souffle. Tous ces efforts en continu commençaient à la fatiguer. Mais très vite, elle eut à nouveau assez d'énergie pour continuer, et elle se mit sur les genoux, les mains en l'air au niveau de la poitrine, la langue pendante hors de la bouche. Elle imitait un chien en train de faire le beau.
« Waf waf ! Ah ah ah... »
A présent, elle espérait une gâterie de sa maîtresse, comme une branlette ou une fellation sur sa queue à moitié dure.
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Elle sentait ses parois internes se serrer autour de la grosse trique bien juteuse et gorgée de sang de Mira tandis qu'elle se faisait pilonner, encore et encore, comme si elle n'était qu'une vidange à sperme pour la jeune chienne temporaire, mais au moins, tout comme elle, la jeune Langnar prenait son pied en ce moment, savourant ce moment d'intense session de baisage, ou Mira déversait sur la pauvre Langnar son excitation.
De longues minutes de plaisir partagé, ou elles frottaient leurs corps contre eux, ou Mira enfonçait sa queue sans gentillesse en elle et avant qu'elle n'éjacule, la brune plaqua ses lèvres contre la Vipère, auquel elle rendit avec plaisir son baiser. Le baiser dura un moment et elle se retira une fois vidée de ses couilles.
Puis elle se remit sur ses genoux et prit la position d'un chien quémandant pour plus de gâteries. Eris sourit.
''Bonne chienne.''
Elle se baissa et se mit a suçoter la queue avec expertise. Sa langue faisait des patrouilles le long et autour du gland avec une plus grande expertise, douée et appuyant sa langue sur des points sensibles, la faisant convulser de plaisir.
''Hmm, ma chienne aime ça?''
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Satisfaite de sa petite chienne, Eris se baissa pour lui offrir une fellation d'experte. Mira se mit à convulser de plaisir dès que la langue chaude et humide de sa maîtresse toucha le bout de sa queue. La jeune fille sentait toute l'expertise de la vipère du désert à travers la façon dont elle appuyait avec précision sur les points les plus sensibles de son sexe, qui redevint droit comme un piquet en quelques secondes. Elle fut finalement achevée par l'une des mains de la succube, qui alla jouer avec ses bourses encore remplies de suffisamment de sperme pour quelques orgasmes de plus.
« Haann... aaoouu... aarrff... »
Mira mélangeait les gémissements humains et animaux pour exprimer son plaisir. Comment ne pas être heureuse avec une amante aussi belle et douée ? Même si elle lui servait de chienne, c'était quand même plaisant, tellement plaisant qu'elle finit vite par se vider complètement dans sa bouche. Mais tout à coup, elle sentit un autre genre de liquide sortir de sa trique sans qu'elle puisse le contrôler.
Est ce que je suis en train de... Oh non !
La jeune fille tenta d'arrêter, mais elle ne contrôlait plus sa vessie, et elle urina dans la bouche de la vipère. Une fois le flot terminé, elle se coucha à ses pieds, morte de honte.
« Eris ! Je suis tellement désolée. Je n'ai pas fait exprès. Pitié, ne m'en veux pas. Je ne sais pas ce qui s'est passé, je n'ai pas réussi à m'arrêter. »
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Tout était parfait sur le moment. Eris continuait à donner une pipe d'enfer a Mira qui jouissait, ou plutôt grognait comme un chien, de plaisir et qui prenait un plaisir fou a cet instant de pure luxure. La Succube faisait très bien son travail, procurer du plaisir à son invitée de marque et favorite qui plus est. La brune continuait, encore et encore, a sucer comme une aspirateur la grosse queue bien juteuse de Mira et s'appliquait vaillamment à la tâche... jusqu’à ce qu'elle ressente un liquide chaud et au goût dégoûtant qui n'était pas du sperme coulé dans sa bouche.
Quand Mira eut fini, Eris écarquilla légèrement les yeux. Elle avait pissé dans sa bouche. Quel goût infecte. Une fois qu'elle eut fini de faire son besoin, Eris fit disparaitre le liquide qu'elle n'avait heureusement pas avalé par un signe de la main en utilisant sa magie et fit apparaitre une bouteille noire volante. Elle se mit debout, déboucha la bouteille et versa le liquide dans sa bouche, mais ne l'avala pas. C'était une sorte de rince-bouche de haute qualité capable d'éliminer tout les mauvais germes dans la bouche, fait avec de l'acide de scorpion géant et du venin de serpents très venimeux, non-dangereux pour l'homme une fois qu'il fut traité d'une certaine manière. Elle n'eut pas besoin de se gargariser, se contentant de fermer la bouche et de laisser le liquide agir pendant une bonne dizaine de secondes avant de le faire disparaître lui aussi, par magie.
Un soupir s'échappa de la bouche de la Succube et jeta un regard en bas vers Mira, se croisant les bras, les sourcils froncés. Dans un coin, les autres femmes dormaient profondément, fatiguées de leurs ébats, très difficiles a les réveiller vu qu'elles dorment sacrément profondément.
''Ma Chère Mira, même si j'adore bien m'ouvrir à de nouvelles possibilités sur le sexe... ce qui concerne la pisse, la merde, ou autre, je peux largement m'en passer.'' Dit-elle sur une voix douce et ferme. ''Si tu avais eu envie d'uriner, tu aurais pu uriner AVANT que nous commencions nos ébats. Sois contente que je ne me fâche pas vraiment, autrement, tu l'aurais regrettée''
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Mira s'en voulait à mort de n'avoir pas pu se contrôler, et elle priait pour que sa négligence n'ait pas gâché la soirée. Elle vit Eris faire disparaître le liquide de sa bouche par magie, puis fit apparaître une bouteille noire qu'elle vida entièrement, gardant le liquide dans sa bouche pendant une dizaine de secondes avant de le faire disparaître également. La jeune fille dut ensuite affronter son regard. Elle avait clairement l'air fâchée, et la sermonna sur ses actions. Elle disait ne pas être vraiment énervée, mais la mercenaire ne voyait pas les choses comme ça. Le cœur lourd et la conscience tourmentée, elle se prosterna devant la vipère, le front contre le sol, à la manière japonaise.
« Eris, je suis terriblement désolée. Je m'excuserais mille fois si je pensais que ça pouvait réparer mes erreurs. Je n'essaierai même pas de me justifier ou de me défendre, je veux juste me faire pardonner. »
Eris affirmait qu'elle ne lui en voulait pas, mais Mira n'arrivait pas à la croire.
« Non, ce que j'ai fait ne peut pas être excusé comme ça. Dis moi ce que je dois faire pour être pardonnée et je le ferais. Demande moi n'importe quoi. »
La situation était complètement bloquée.
« Je ne peux pas revenir sur mon erreur, mais je peux me rattraper. Tu n'as qu'à demander et je m'exécuterai. Peu importe que ce soit dangereux ou bizarre, je le ferai. Je veux être sûre qu'il n'y ait aucune rancœur entre nous parce que... »
Des larmes perlaient aux coins des yeux de Mira.
« … je t'aime trop pour me passer de toi. Et je ne veux pas... snif... que tu me détestes... »
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Pour être franche, Eris n'avait pas apprécié du tout... Cette surprise de sa part, mais parce qu'elle était quelqu'un qui lui tenait à cœur, la jeune femme ne s'est pas trop fâchée envers Mira Crone. Elle ne savait pas tout de la sexualité et commençait à peine a entrer dans ce monde de perversité et d'adulte lubrique. Elle n'y avait pas été initiée comme la Succube du Désert l'avait été, lorsqu'elle n'avait à peine que quatorze ans, l'âge de son mariage où elle l'avait découvert durant une nuit torride avec son ancien mari et son harem.
Et elle avait développé de nombreux talents depuis. Elle suçait comme une pro, baisait comme une enragée du sexe, jouait comme une Neko et avait la sensualité d'une déesse de l'amour. Elle était une femme très développée et avait élargi ses horizons... dans ce qu'elle considérait comme 'propre'. Et la pisse ainsi que la merde et plusieurs choses ne faisaient pas partie de ses fantasmes. Mais elle pouvait le pardonner à son amante du moment.
Elle l'écoutait tandis que Mira était à genoux façon japonaise demander pardon. Elle sentait la peur et la crainte dans sa voix. En un sens, cela plaisait a la femme du désert, elle se sentait en puissance et elle ne put s'empêcher de sourire un bref moment avant de reprendre un visage inexpressif. Elle soupira quand elle vit Mira au bord des larmes.
''Soit... Si tu veux que je te pardonne, accorde-moi ceci''
Soudainement, elle attira Mira dans ses bras, son visage entre ses seins, et sourit légèrement.
''Sois ma peluche pour ce soir. Demain, j'ai à faire et honnêtement, ce sera une longue journée... Je doute que tu veuilles rester ici, à m'écouter, parler politique et t'ignorer pour accorder mon attention à des gens pas très bien intentionnées.''
Sur ces mots, elle sortit de la salle en compagnie de Mira, écoutant sa réponse. Ses concubines s'étaient levées et parties entre-temps, ailleurs, dans le palais. Arrivant dans sa chambre, elle s'allongea sur son lit à baldaquin et se mit en dessous des couvertures, profitant de la douce présence de Mira. Elle poussa un soupir d'aise.
''C'est tellement bien de dormir... après une journée à se creuser la tête pour savoir qui est l'ennemi et l'ami dans un bal de noble...''
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Mira aurait accompli n'importe quelle folie pour pouvoir se faire pardonner, mais Eris, en la prenant dans ses bras, serrant sa tête contre sa poitrine, lui demanda juste d'être sa peluche pour le reste de la soirée. En effet, la journée de demain allait être consacrée à des rencontres politiques.
« D'accord, je reste avec toi ce soir et je repartirai demain matin. »
Ca n'avait rien de compliqué, et ce serait même agréable de la sentir contre elle pendant toute la nuit. Elle sortit de la salle en compagnie de la succube du désert, ni l'une ni l'autre ne prirent la peine de se rhabiller, et la jeune fille se mordillait la lèvre d'excitation en se promenant ainsi dans les couloirs d'un palais, nue comme un ver et avec une trique de tous les diables entre les jambes. Heureusement, elles ne croisèrent personne jusqu'à arriver à la chambre. La mercenaire se coucha auprès de son hôte, serrant fort son visage entre ses seins, gloussant doucement de ce merveilleux contact.
« Hhmm... c'est vrai que c'est bon de dormir après une dure journée... mais il y a quelque chose d'encore meilleur. »
Après tout, Mira avait toujours la gaule, et elle voulait se rattraper après l'incident de tout à l'heure.
« Le soleil n'est même pas encore couché... et comme je ne sais pas quand est ce qu'on va se revoir, ni même si on va se revoir, alors mieux vaut en profiter à fond. A moins que tu n'aie vraiment plus envie... »
Mira avait du mal à imaginer qu'une femme comme Eris, à la sexualité aussi folle, puisse en avoir marre avant elle. Mais bon, on ne sait jamais.
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Mira lovée entre ses deux seins, cette vision fut mignonne pour la jeune Succube du Désert et décidément, elle l'aimait beaucoup, cette petite. Sous les couvertures duveteuses et sur le matelas confortable de son lit, témoin de nombreuses parties de jambes en l'air avec des hommes comme avec des femmes. Mais pour l'instant, elle voulait bien se reposer entre eux. La présence réchauffante de Mira et la conformabilité du lit lui offrait une belle occasion pour dormir en paix, sans d'autre pensée que celles concernant Mira pour venir remplir sa nuit.
Cependant, alors qu'Eris allait fermer les yeux, la brune eut une autre idée en tête. Elle avait toujours la queue aussi dure que de l'acier et se remémora que la pilule lui donnant une bite pouvait durer un certains temps... elle en soupira presque, mais se retint à temps. Elle rapprocha Mira de son corps un peu plus et lui embrassa le front, gentiment. Puis, elle se réajusta pour avoir la queue de Mira entre ses cuisses.
En silence, elle commençait à bouger des jambes d'avant vers l'arrière. Elle la branlait avec ses cuisses ! Tout en souriant, elle plantait des baisers sur les petites lèvres de la jeune fille et continuait de la branler avec ses cuisses bien galbées et fournies. Voilà pourquoi des hommes appréciaient aussi les cuisses. Les hommes aimaient se faire branler par des pieds, les mains, les seins... Mais les cuisses ? Peu y pensait !
Peu à peu, elle sentit la queue de Mira se gonfler sous le plaisir, signe éminent d'une prochaine éjaculation qui ne tarda pas a cracher de sa salive blanche épaisse et chaude. Ses cuisses étaient toutes collantes. Elle se mouva sur le lit et se mit à califourchon sur Mira, s'insérant en elle et poussa un long et doux soupir de plaisir. Elle mit ses mains sur ses seins et commença à la chevaucher, en silence.
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Mira avait la queue bien dure, même après s'être vidée sur les trois concubines et sur Eris. Heureusement, cette dernière ne la laissa pas dans cet état, et coinça son sexe tendu entre ses cuisses pour la branler. La jeune fille gémit doucement, heureuse de voir qu'elle pourrait quand même conclure la soirée sur une bonne note, et que sa bêtise de tout à l'heure était pardonnée. Son sexe pris entre les cuisses galbées et bien fournies de la vipère, embrassée de temps en temps sur les lèvres, la mercenaire couinait et se tortillait sur place. Les sons sortis de sa bouche étaient la seule chose qu'on pouvait entendre dans la chambre, la maîtresse de maison étant étonnamment silencieuse pour une fois. Sa partenaire lui aurait bien demandé pourquoi, mais elle craignait de briser l'ambiance et de devoir se coucher frustrée et avec une érection de tous les diables.
Mira eut son premier orgasme grâce aux cuisses d'Eris, puis cette dernière se déplaça pour se mettre à califourchon sur son invitée, insérant sa queue dans son sexe humide et prenant ses seins entre ses doigts. La jeune fille n'osait toujours rien dire, considérant le silence comme le rempart entre une bonne fin de soirée et une mauvaise fin. C'était triste à penser, mais c'était comme ça, autant faire avec. Et les seuls sons qui sortaient de sa bouche étaient ses couinements et sa respiration lourde.
« Hhhmmm... haaannn... »
La mercenaire aurait eu envie de crier, de dire à la succube du désert à quel point elle était bandante, mais ses pensées lubriques restaient dans sa tête, elle n'osait pas les extérioriser. Les deux femmes faisaient l'amour en silence et dans le noir, ce qui laissait une étrange impression de vide dans le cœur de l'adolescente. Avait-elle fauté à tel point qu'elle avait complètement plombée l'ambiance de la soirée ? Après quelques minutes de chevauchée, Mira jouit généreusement dans la chatte d'Eris, puis se relâcha complètement. Tout aurait pu se terminer de cette façon, mais...
« Non ! Maintenant ça suffit, il faut qu'on parle.
Je sais que j'ai fait une erreur, et je m'en excuse encore une fois, mais je refuse que la fin de nos retrouvailles se fasse dans une ambiance aussi néfaste. Sors ce que tu as sur le cœur, et qu'on en finisse. »
Ensuite, elle espérait bien pouvoir lui faire l'amour une ultime fois, mais avec la passion et le charme qui caractérisait la succube du désert.
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Elle ne poussait aucun gémissement trop bruyant tandis qu'elle chevauchait la brune avec grâce et élégance, ses cuisses bien galbées plaquant la jeune fille sur le lit, ses hanches poussant vers le haut pour ensuite se laisser retomber vers le bas doucement, sentant bien la largeur et la longueur de sa queue travailler en elle. La Succube chevauchait toujours la brune mais senti ses forces faiblirent tandis qu'elle jouit en elle une autre fois, poussant un long mais un peu bruyant soupir de plaisir, ses tétons étaient durs, son corps couvert de sueur après de longues heures de baises avec ses concubines et Mira aussi.
Alors qu'elle allait se retirer pour aller se coucher ensuite, Mira lui dit d'attendre. Haussant les sourcils, elle écouta ce que la brune avait a dire. Elle soupira pour ensuite glousser.
''Si tu fais référence à mon silence, Mira Crone... C'est simplement dû au fait que même si j'adore le sexe, j'aime bien respecter les autres quand il est temps de dormir. Tu sais, les concubines ici, lorsque des invités viennent doivent bien se reposer pour leur faire plaisir. Telle est la coutume dans le Sultanat des Sables Blancs, pour les hommes comme pour les femmes. Pour ce que tu as fait tout à l'heure, je t'ai pardonné... Mais assure-toi, avant d'aller baiser quelqu'un, de vider ta vessie et le reste de ton corps. Je ne pense pas que tu aimerais que l'on te fasse la même chose.''
Elle lui donna une pichenette sur le nez, la faisant chouiner.
''Mignonne.''
Elle se retira et s'installa de manière très provocante, a quatre pattes, tête sur le lit et cul en l'air, montrant bien en évidence ses fesses bien fournies, sa chatte encore mouillée et remplis de sperme.
''Tu veux continuer ?'' demanda-t-elle sur un ton innocent.
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Mira eut enfin des éclaircissements de la part d'Eris : elle était silencieuse pour respecter le sommeil de ses concubines, qui avaient fait de gros efforts pour satisfaire leur invitée, et elle lui avait pardonnée sa maladresse, mais la mit en garde de faire plus attention avec ses prochains amants.
« Je comprends… Désolée si j'ai haussé la voix. »
La succube lui répondit avec un pichenette sur le nez.
« Aie ! Maieuh ! »
D'un seul coup, la jeune fille chouinait comme une enfant, ce que sa partenaire trouva plutôt mignon. Elle s'installa ensuite à quatre pattes, le cul bien en l'air, mettant en avant ses superbes fesses et sa chatte humide, invitant sa partenaire à revenir la prendre. Ni une ni deux, Mira se redressa, attrapa les hanches d'Eris et guida sa trique vers son petit trou arrière.
« Ce sera la dernière fois… ensuite, je dormirai avec toi. »
La mercenaire poussa un râle de plaisir quand sa queue entre dans l'anus de son hôte. Cet espace était si étroit, sa bite se faisait compresser dans tous les sens, elle n'avait pas de mots pour dire à quel point elle aimait ça. Très vite, son bassin se mit à onduler d'avant en arrière, le plaisir et la douleur se mélangèrent pour donner un résultat absolument magnifique. La jeune fille couinait et soupirait, les yeux révulsés et la langue pendante hors de la bouche. Ce n'était pas sa première sodomie depuis qu'elle était arrivée, mais celle ci était encore plus jouissive que les précédentes, sans doute parce qu'elle avait les idées claires, savourant au mieux son plaisir, et qu'elle contrôlait la vitesse des pénétrations, contrairement à quand Jeriah avait utilisé son pieu pour se faire sodomiser.
« Oohh… Eris… ce que tu es étroite… et bonne… c'est dingue… haaannn… »
Mira tint la distance pendant dix minutes, puis arriva finalement l'orgasme, une libération incroyable. Elle remplit le cul d'Eris de son foutre blanc et épais en poussant un long cri de joie, puis se retira calmement avant de se laisser retomber sur le dos.
« Haann… haann... »
Sa respiration était lourde, son corps en sueur et ses joues rougies par la fièvre, et pourtant elle était heureuse.
« Merci Eris… maintenant je peux dormir calmement. »
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Sa croupe en l'air, Eris n'eut pas à attendre davantage pour que Mira vienne réclamer ce qu'elle désirait le plus en ce moment. Avec une grande impatience, la brune se précipita pour se placer derrière la Succube avec rapidité pour mettre ses mains avidement sur les hanches courbées et bien définies de la Noble avant de poser le gland de son membre viril contre l'autre voie. Elle souriait tandis qu'elle attendait ce moment. Eris avait toujours été une femme gentille et libre d'esprit, mais elle-même avait ses limites quant à certains sujets ou actions. Elle pardonnait facilement à ses amis, mais aux étrangers, sauf pour 'bonnes' raisons, elle pouvait se montrer froide et glaciale.
Tout comme son amante du moment, la jeune femme poussa un puissant gémissement de plaisir lorsqu'elle la sentit en elle, son corps se resserrant autour de son membre masculin si puissamment bien membré. Les va-et-vient commencèrent avec une cadence rapide. Ses gémissements de plaisir mixé de douleurs accompagnaient ceux d'Eris, bien que la jeune femme poussât beaucoup plus de gémissement de plaisir qu'autre chose. Elle avait couché avec des hommes, des futas et des créatures avec de bien plus grosses bites que la sienne.
Sa respiration devint saccadée et entrecoupée de gémissements au fil du temps, criant presque de plaisir. Le lit bougeait en dessous d'eux. Ses seins rebondissaient un peu partout tandis qu'elle se faisait sodomiser. Puis vint l'orgasme, ce qui fit crier Eris légèrement de plaisir. Eris sourit en entendant sa compagnonne et s'installa de nouveau à ses côtés, sa tête entre ses seins.
''Oui... Reposons-nous.''
Sur ces mots, elle ferma les yeux. Le lendemain, elle se réveilla au petit matin, ses yeux d'améthyste voyant que Mira dormait encore. Sa queue avait disparu, laissant place a un vagin. Elle sourit et doucement, s'assit sur le bord du lit. D'un geste de la main, elle fit apparaître sa robe sur son corps et se dirigea vers un miroir accroché à un mur pour s'asseoir devant, sur une chaise. Elle attrapa une brosse et s'occupa de ses cheveux, lentement, avec précaution.
Après une dizaine de minutes, la silhouette de Mira apparut derrière elle et l'enlaça tendrement. Eris rangea sa brosse et se mit debout pour lui rendre son câlin, déposa un baiser sur son front puis profita de cet instant de silence entre elles.
''Hey bien, j'imagine qu'il est temps de nous dire au revoir... Je dois vaquer à mes occupations de femme politique aujourd'hui.'' Elle caressait ses cheveux tout en parlant, un sourire aux lèvres. ''Toi aussi, tu devrais vaquer à tes occupations, j'imagine.''
Elle déposa un autre baiser sur son front.
''Tes équipements te seront remis par mes gardes, les Scorpions Dorées. Même s'ils savent en quelque sorte que tu me connais, ils ne prennent pas de risques quant à ma protection. J'ai de nombreux adversaires... Qui finissent toujours par tomber. Une Vipère est toujours dangereuse, même a découvert.'' Elle ponctua sa remarque par un rire quelque peu glaciale et... Dangereux. ''Enfin... Tu auras aussi de quoi te protéger contre le soleil. Une sorte de crème qui ne desséchera pas ta peau comme une momie. D'ailleurs, puisque tu es mon amie... Tu auras aussi un peu de mon meilleur vin dans une gourde. C'est très bon, lorsque l'on boit la nuit. Ça réchauffe le corps. Et aussi...''
Elle fit apparaître dans la paume de sa main une bague dorée ornée d'un gros rubis qui avait beaucoup de valeur. Des reliefs y avaient été dessinés et des runes y avaient été incrustées.
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''Cette bague montrera non seulement que tu es une proche amie a moi, mais mes agents, en cas de danger, te protégeront des influences politiques et sociales. En gros, tu seras sous ma protection. Il est aussi doté d'enchantements protecteurs contre beaucoup de sortes de magie, de poisons et les armes dévieront lorsqu'ils essaieront de te blesser. Qui plus est, si jamais tu te sens fatiguée, tu pourras y puiser de l'énergie vitale qui te revigorera en prononçant le mot 'Ahren'. Elle n'est utilisable que par toi. N'aie pas peur de la casser d'ailleurs, elle est très solide. Attention aux voleurs par contre...'
Elle sourit un peu plus.
''Je te souhaite un bon voyage de retour, Mira Crone. Et n'oublie pas ceci, tu es une très jolie fille et tes yeux sont magnifiques.''
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Le sommeil de Mira fut lourd et imperturbable. Après avoir autant baisé, il lui fallut toute la nuit pour reprendre ses forces. Elle ne se réveilla que lorsque les rayons du soleil passant à travers les rideaux atteignirent son visage. Elle ouvrit fébrilement les yeux, s'étira, et vérifia que son pénis temporaire était bien parti. Non pas qu'elle n'avait pas apprécié l'expérience, mais ça serait quand même peu pratique au quotidien, autant pour contrôler ses chaleurs que pour expliquer pourquoi elle bandait sous sa jupe.
La jeune fille parcourut la pièce des yeux, et vit finalement Eris, habillée, assise devant un miroir, brossant ses cheveux avec lenteur et calme. Son invitée se leva et alla directement vers elle pour l'enlacer. La vipère lui rendit son câlin, puis elles laissèrent planer un instant de silence, comme pour profiter une dernière fois de la chaleur de leurs corps.
Eris devait vaquer à ses devoirs politiques, Mira allait donc la laisser. Mais avant de partir, elle se fit offrir plusieurs cadeaux de la succube du désert : de la crème solaire, une gourde remplie de son meilleur vin, et une bague dorée ornée d'un rubis. A l'entendre, cette bague était un symbole de son appartenance au cercle d'amis de la vipère et possédait de nombreux pouvoirs magiques.
''Je te souhaite un bon voyage de retour, Mira Crone. Et n'oublie pas ceci, tu es une très jolie fille et tes yeux sont magnifiques.''
La mercenaire embrassa son hôte sur la joue.
« Merci Eris. J'espère qu'on pourra se revoir… et recoucher ensemble. »
Au delà du simple plaisir sexuel, il y avait aussi le lien fort qui unissait émotionnellement la jeune fille à cette femme, un lien qui ne pourrait jamais se briser.
Mira ramassa ses vêtements sur le sol de la chambre, se rhabilla et quitta la pièce pour retourner dans le hall d'entrée. A mi-chemin, elle se figea dans un couloir, en proie à l'hésitation. Et si elle ne partait pas ? Et si elle restait ici pour toujours ? Elle pourrait facilement se faire engager comme servant ou concubine, et sa mission sur Terre patinait depuis tellement longtemps… L'idée de se séparer d'Eris pour toujours déchirait le petit cœur de Mira. Mais elle savait aussi que la vipère voulait qu'elle poursuive ses propres objectifs, et lui dirait sans doute qu'une décision prise de façon aussi impulsive ne pouvait pas être bonne. Elle pourrait toujours revenir la voir une autre fois.
Bien qu'hésitante, Mira alla quand même jusqu'à l'entrée du palais, où les gardes scorpions lui rendirent ses affaires, dans l'exact état où elle leur avait donné, et elle quitta le palais avec un poids sur le cœur. Elle enfourcha sa moto, jeta un dernier regard vers la demeure d'Eris, puis appuya à fond sur l'accélérateur, direction le désert. De là, elle pourrait utiliser son anneau dimensionnel pour retourner chez elle.
C'est toujours dur de dire au revoir quand on ne sait pas quand on va revoir la personne, ni même si on la reverra un jour. La mercenaire pria simplement que ce séjour à Ghibli ne soit pas le dernier.
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Les adieux, Eris détestaient ça, mais dans la vie, il y en aura toujours. C'étaient des adieux déchirants, mais en ce moment, elle laisserait Mira partir pour d'autres horizons, pour continuer ce qu'elle allait faire. Tôt ou tard, même lorsque l'on ne le voulait pas, il fallait partir pour d'autres horizons et peu importe avec qui l'on s'est lié pendant le trajet. Car c'était ce qu'il fallait faire. Continuer d'avancer. Toute personne comme Mira se devait d'avancer pour obtenir ce qu'elle désirait et Eris allaient certainement lui remettre les idées dans la tête si elle se mettait en tête de rester ici.
Mira l'embrassa sur la joue et ramassa ses vêtements par la suite. Eris sourit en apercevant ce magnifique petit cul ferme. Puis Mira eut un instant d'hésitation avant de se décider à partir. Elle observa encore un moment ce cul avant qu'elle ne disparaisse après avoir tourné dans un corridor.
Finis, les adieux. Finis, le repos.
De retour aux intrigues politiques. Que la langue de la Vipère soit aussi acérée que ses lames.