Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Mira Crone le dimanche 26 avril 2015, 00:56:14

Titre: [FINI]Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le dimanche 26 avril 2015, 00:56:14
Mira était, comme à son habitude depuis qu'elle était arrivée sur Terre, sur la piste d'Inferno. Un des informateurs de Camille sur la planète Goltim (http://th08.deviantart.net/fs71/PRE/i/2014/069/1/0/purple_planet_by_bubblemaster-d79mycv.png) lui avait appris qu'une personne qui pourrait être Inferno utilisait un ancien immeuble d'habitations de Seikusu comme planque. Sans attendre, elle avait préparé son matériel et s'était rendue à ladite habitation. Le problème, c'est qu'elle ne sortait pas souvent en dehors du lycée, n'ayant pas beaucoup d'amis et passant la plupart de ses soirées dans sa chambre de pensionnaire, à travailler sur des plans de bataille pour capturer Inferno, ainsi que sur ses inventions. Et, accessoirement, elle cherchait des informations dans les dossiers des élèves pour trouver une personne qui pourrait faire un bon partenaire sexuel pour lui prendre sa virginité. Cela pouvait paraître un peu bizarre, mais elle était tellement frustrée qu'elle était prête à tout pour se trouver le partenaire idéal. De ce fait, elle ne connaissait la ville que d'un point de vue théorique, d'après les plans qu'elle en avait fait où qu'elle avait récupéré dans diverses sources. Il lui fallut donc un moment pour atteindre l'immeuble en question.

Une fois près de l'entrée, Mira repassa son plan en revue une dernière fois : entrer discrètement, fouiller le bâtiment de fond en comble pour y chercher des traces de sa cible et, si Inferno était bel et bien installé ici, appeler Camille et Morgane à la rescousse pour lui tendre un piège, et en finir une bonne fois pour toutes avec cette histoire. Par précaution, elle sortit son revolver avant d'entrer.

L'immeuble faisait 20 étages. Mira parcourut les 10 premiers sans rien trouver d'étrange et commençait presque à croire que le tuyau était bidon. C'est à ce moment qu'elle sentit un résidu chimique qu'elle connaissait bien et qui n'avait rien à faire là : de la sève d'arbre Zombasa, souvent utilisée en chimie comme catalyseur, favorisant les variations de température. Utile pour augmenter la puissance d'un lance-flammes. La seule présence de ce composé laissait penser à la mercenaire que sa cible pourrait être là. Rechargée en adrénaline, elle repartit de plus belle vers l'étage suivant.

Plus Mira avançait, plus elle voyait de traces comme des objets aux coins brûlés où des résidus chimiques en tout genre, la confortant dans l'idée qu'elle touchait enfin au but. Que bientôt, sa traque d'Inferno allait prendre fin. Pour elle, c'était aussi bon que l'éventualité du rapport sexuel qu'elle désirait tant depuis son arrivée sur Terre. Au dernier étage, elle entendit une voix. Elle approcha discrètement de sa source et découvrit un alien à la peau rose et écailleuse, aux yeux bleus, sans nez et à la bouche fine, vêtu d'une combinaison noire et bleue, en train de parler dans un communicateur. La mercenaire identifia l'individu comme un goofien, une race d'aliens du plan de Terra. Et d'après ce que son traducteur universel lui transmettait de sa conversation, ce n'était pas un individu recommandable. L'arme à la main, elle s'approcha de l'individu.

« Hé toi ! Mets toi à genoux immédiatement ! »

Dès qu'il la vit, l'alien tendit sa main vers son arme, un lance-flammes personnalisé. Mais Mira lui mit une balle dans la tête avant qu'il n'ait pu y toucher. L'alien mourut sur le coup. La mercenaire s'approcha du cadavre et ne mit que quelques secondes à réaliser que ce n'était pas Inferno : sa taille, sa musculature, son armement, la réaction qu'il a eu en la voyant, rien ne collait. Elle en eut confirmation après avoir scanné et envoyé son visage dans la basse de données des criminels recherchés. Il s'agissait d'un criminel goofien sans envergure, recherché pour des délits mineurs (du point de vue de Mira, en tout cas). Néanmoins, il y avait une prime de 10 000 crédits standards sur sa tête, donc cela n'avait pas été complètement inutile.

Mira sortit de l'immeuble dans une colère noire : même s'il était compréhensible qu'Inferno puisse être confondu avec ce criminel à cause de la similitude de leur armement, elle était vraiment en pétard d'avoir fait le déplacement pour rien et d'avoir perdu du temps. Un temps précieux qu'elle aurait pu utiliser à meilleur escient. Durant les prochaines heures, voir même les prochains jours, elle allait être irritable et nerveuse, et partir au quart de tour à la moindre provocation.

Sur le chemin du retour, Mira entendit des halètements et des gémissements venant d'une ruelle. Poussée par sa curiosité, elle avança discrètement vers la source des voix et découvrit, avec stupeur, que les gémissements étaient ceux de deux belles femmes en train de se faire l'amour dans cette ruelle. Le bon sens de la mercenaire l'incitait à partir, mais son corps refusait de lui obéir. Alors, au lieu de s'éloigner, elle se rapprocha furtivement de ces femmes, se cacha derrière une poubelle et se mit à les observer, comme une vulgaire voyeuse.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le dimanche 26 avril 2015, 03:59:57
'étais derrière la femme, alors que celle-ci était à quatre pattes. Elle gémissait plutôt fort... Normal, j'avais utilisé un de mes pouvoirs pour me faire pousser une verge. Et cette femme adorait cela... Elle adorait que je la prenne comme ça. Elle était quoi, déjà ? Une personne haut placée dans le gouvernement humain, oui ! Tout avait commencé quand je me suis téléporter sur Terre, dans un parc. Je m'ennuyais au Sultanat, rien à faire. Des bals, des invitations a des mariages, des demandes en mariage... C'était barbant, a force. Bref, retournons au présent !

Alors que je me promenais dans ce parc, j'avais vu cette magnifique femme. Elle avait les cheveux blonds, des yeux bleus, de beau seins bien fermes... Et des fesses de rêves. Et elle m'avait vu aussi, cette coquine. Nous nous approchions l'une de l'autre, fasciné et nous nous somme mise à nous promener ensemble. Elle était célibataire, 24 ans, et toujours vierge. Moi, je lui expliquais que je venais d'ailleurs. Elle comprenait cela aussi. Elle ne semblait pas fascinée à ce moment là, sur mes origines. Elle semblait plutôt fascinée par mon beau corps attirants. Après quelques heures de discussions, elle m'avait proposé qu'elle me ramène chez elle. Nous savions toutes les deux ce que nous voulions, baiser toute la nuit comme des sauvages. Mais j'avais une idée meilleure en tête qui rendait cela excitante...

Alors que nous nous dirigions vers son appartement, j'avais attrapé sa main et la traînais dans une ruelle, assez éloignée. Et ensuite, je la plaquais contre un mur, l'embrassant ardemment. Elle n'a pas résisté longtemps... Et je fis pousser une verge par magie, savant qu'elle regardait ce genre de chose. Facile de plaire à l'autre quand on pouvait lire dans son esprit. Elle s'était donc mis à me sucer, en premier lieu. Et après... Et bien, nous en sommes rendus là. J'étais profondément enfouie en elle, donnant des coups de reins pour rentrer au plus profond d'elle, avec douceur.

-Eris, me susurrait-elle un peu trop fort. Prends-moi... Sois sauvage...


Ses vêtements étaient entassés un peu plus loin. Moi, je portais toujours ma robe, je n'avais qu'à la soulever pour montrer ma verge ou mon entrejambe de femme. Doucement, je relevais sa tête et d'une autre main, je malaxais son buste. Je l'embrassais d'une façon presque amoureuse, continuant de donner des coups doux.

-Si telle est ton souhait... Dis-je, avec un petit sourire.

Je commençais donc à me montrer rapide, donnant quelques fessées à la femme. Il y a quelques secondes, je faisais l'amour d'une façon romantique à cette femme, mais, maintenant, on était des sauvagesses. Surtout elle...

Pendant de longues minutes, j'accélérais toujours alors qu'elle commençait à m'implorer, retenant ses gémissements. Et vint le moment fatidique où je relâchais ma fausse semence magique en elle, déversant une grande quantité de celle-ci. Je me retirais doucement, faisant disparaître mon membre viril par magie tandis qu'elle s'étendait sur le sol, haletante.

-On se reverra, chérie... Dis-je sensuellement, l'habillant doucement. Et j'avais remarqué qu'une certaine personne nous regardait... Depuis un certain temps.

Cette personne semblait venir de Terra, elle aussi. Cela se voyait à l'énergie qu'elle dégageait. Mais de quel plan de Terra, je ne saurais guère. Je ne regardais point dans sa direction, ne voulant pas l'alarmer. Je murmurais quelques paroles, plaçant sur cette personne un sort de traçage. J'allais pouvoir savoir qui était cette jeune fille ou jeune homme. Vieillard ou vieille femme...

-Au revoir, chéri...

Je commençais donc à m'en aller de mon côté, mais, j'avais en tête de suivre discrètement cette personne. Ou qu'elle habite...
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le dimanche 26 avril 2015, 21:36:21
L'esprit et le corps de Mira étaient divisés tandis qu'elle observait les deux femmes qui se faisaient l'amour dans la ruelle.
Son esprit lui disait que ce qu'elle faisait était mal, qu'elle ne devrait pas rester là, à reluquer ces deux êtres humains en train de se montrer leur affection de manière physique, dans un instant privilégié et intime. Elle se disait qu'elle devrait partir, les laisser entre elles car, en les observant ainsi, elle avait l'impression qu'elles les ''violaient'', qu'elle détruisait cette bulle d'intimité qui les entourait. Et que, si elle était à la place de l'une de ces deux femmes, elle ne voudrait pas être observée en pleine action.
Mais son corps réagissait de manière totalement différente : il brûlait comme une torche dans un tunnel sombre, distillait de douces sensations et s'animait d'envies primaires. La mercenaire ne pouvait plus se détacher de la vue de ces deux femmes, imaginant être l'une, puis l'autre, supposant ce que chacune devait ressentir. Les sensations reçues en pénétrant, en se faisant pénétrer, toutes les idées qui filait dans le cerveau spécial de Mira... peu à peu, son esprit perdait pied et son corps la dominait. Elle qui ne jurait que par l'intelligence et la réflexion, elle se sentait perdue devant un tel spectacle.

La chaleur se concentrait dans ses parties féminines : ses seins devenaient durs, ses tétons pointaient et son entrejambe s'humidifiait. En temps normal, elle n'avait ce genre de réaction que quand elle lisait ses mangas. Elle s'intéressait moins aux mangas yuri qu'aux communs ou aux yaois, mais en avoir un vrai qui se déroulait devant elle réveillait son intérêt pour les rapports entre filles. Elle luttait de toutes ses forces pour ne pas se caresser et laisser ses mains loin de ses seins et de son vagin, car elle s'était jurée de ne pas se masturber jusqu'à son premier rapport, pour qu'elle ne découvre les effets du plaisir sexuel qu'à ce moment là. Elle dévorait du regard chaque détail physique des deux partenaires : la première était une femme blanche, blonde aux yeux bleus, avec des seins et des fesses bien fermes, le genre de forme qui fait fantasmer les hommes. La deuxième était une femme à la peau pâle, aux yeux violets et aux cheveux noirs, doté de formes tellement alléchantes que même Mira ne pouvait pas s'empêcher de fantasmer dessus, imaginant à quel point il pourrait être bon de toucher ce corps. Mais ce qui lui sauta au yeux, c'était que cette femme était une futanari, une femme dotée d'un pénis, qu'elle utilisait pour pénétrer joyeusement sa partenaire. Cette dernière hurlait presque en sentant le membre aller et venir en elle. La jeune fille se mordait le doigt pour ne pas gémir en les regardant avec ses yeux pervers.

Au moment où les deux femmes atteignirent l'orgasme, Mira se mordit jusqu'au sang pour ne pas crier en voyant la futanari déverser sa semence en continu dans les entrailles de la femme qu'elle chevauchait. Elle se releva ensuite, recouvrit ses parties intimes avec sa robe et vint doucement rhabiller sa partenaire, encore en haleine. En la voyant, la mercenaire désirait se retrouver à la place de la femme blonde, se faire toucher par ces mains toutes douces. Elle en avait vraiment envie. Quand les deux partenaires se relevèrent, la mercenaire prit discrètement la poudre d'escampette pour ne pas se faire prendre. Elle rentra rapidement au lycée.

Mira s'enferma dans sa chambre et s'allongea sur son lit. Elle n'arrivait pas à s'enlever les images de ce qu'elle avait vu. Elles tournaient dans sa tête et monopolisaient son esprit. Elle n'arrivait plus à se concentrer, à réfléchir et à se recadrer sur l'essentiel. Elle aurait fait n'importe quoi pour se débarrasser de ses pensées perverses. Ou alors, pour qu'elles puissent se réaliser.

Elle ne prit même pas la peine de jeter un coup d'œil au signal d'alerte de son anneau, qui lui indiquait qu'elle était sous l'effet d'un sort.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le dimanche 26 avril 2015, 22:13:18
Je partais doucement, sentant toujours l'énergie de cette personne. Elle devait bien être en chaleur pour nous regarder baiser comme ça, dans une ruelle. Un ou une vierge, peut-être ? Peu importe, j'allais passer un bon moment avec cet individu. Après un moment, je sentais cette personne se déplacer rapidement. Il semblait se diriger vers un bâtiment sous le nom de 'Lycée'. Ainsi donc, cet individu était étudiant là-bas ? Je rebroussais le chemin et commençais donc à suivre de loin cet individu, marchant au même rythme calme. Pas besoin de courir, je saurais où elle serait. Et si elle venait de Terra, elle saurait-elle aussi, si elle a remarqué ma présence, que je la suivais.

Je bousculais des gens dans les rues, ignorant le regard pervers des hommes. Ces Terriens étaient vraiment en manque de femme, dans leur vie. Ils révéraient de voir un harem de femmes sous leurs yeux. Pouvoir jouir à longueur de journée... Le rêve de tous. Cette planète, ce monde, je l'aimais bien. La technologie, les nouvelles sortes de nourritures et surtout, surtout, leur chocolat ! Il était exquis, surtout ceux au caramel.

Après de long moment, j'arrivais à ce lycée ou étais cacher cette personne. Dans sa chambre, plus précisément. Je rentrais donc dans le lycée, ensorcelant mes pieds pour qu'ils ne fassent point de bruit en marchant et j'arrivais à sa chambre. J'ouvris magiquement la poignée de portes, y entrais et refermais la porte doucement. Une chambre modeste d'étudiant, mais ce n'était pas ça qui m'intéressait. Je me dirigeais vers la dite chambre de l'individu et, voyant que la porte n'était pas fermé, je jeta donc un coup d'œil. Elle semblait dormir... Elle était de la taille moyenne des filles, sa peau était comme la neige. J'y portais un doigt sur son bras et découvris donc la douceur de sa peau, comme la mienne. Un petit nez fin, une bouche fine...

Elle avait plutôt une petite poitrine, mais ça ne me dérangeait pas, ses hanches semblant vouloir appeler les autres à la prendre. Et son fessier... Exquis. Je m'asseyais donc sur le rebord du lit, caressant doucement son visage. Je restais comme ça jusqu'au matin, caressant la douce peau de la jeune fille. J'étais point fatiguer. Si j'avais pu baiser une nuit entière avec ELLIPSIS, je pouvais rester éveiller comme ça. J 'entendais ses gémissements, signalant bientôt son réveil. Je souriais grandement. Je voulais voir sa réaction... Elle ouvrit donc ses yeux, dévoilant ses yeux dorés. Elle était vraiment Terrarienne, donc... Et elle plongea son regard dans le mien. Elle semblait si choquée, ce qui la rendait vraiment mignonne.

-Salut, dis-je d'un ton calme. Mon nom est Eris. Je suis sure que tu as appréciais le spectacle d'hier, n'est-ce pas...?

Je gloussais légèrement.

-Et c'est quoi, ton joli nom ? Tu as de très beaux yeux, tu sais ?
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le lundi 27 avril 2015, 19:05:59
Grâce aux techniques de contrôle du corps et d'apaisement de l'esprit que sa sœur lui avait enseignées, Mira put finalement nettoyer son esprit de ses pensées coupables, et réussit à s'endormir. Elle dormait paisiblement jusqu'à ce que, au milieu de la nuit, elle se mette à rêver qu'elle était entourée par un vol de plumes qui lui caressait la peau tout en douceur. C'était une sensation délicieuse, aussi délicate que les caresses d'une mère données à son enfant. La mercenaire se sentait bercée par ces caresses, mais elle n'était pas excitée pour autant. Grâce à son ''traitement'' avant d'aller dormir, son corps était comme enchaîné, ses besoins physiques étaient maîtrisés. En somme, ces sensations ne faisaient que l'enfoncer plus profondément dans son sommeil. Elle se laissa donc aller, et passa une très bonne nuit.

Elle ne se réveilla que le lendemain matin. C'était un jour férié au Japon, et Mira n'avait pas cours. Cependant, même les jours où elle avait du temps libre, elle ne perdait pas de temps à faire la grasse matinée. Elle se levait toujours avant neuf heures du matin, peu importe l'heure à laquelle elle se couchait la veille car son horloge interne était réglée comme un coucou suisse. Pourtant, ce jour là, elle eut un peu plus de mal à émerger : son rêve avait été si bon, si réaliste, qu'elle s'était enfoncée dans un niveau de sommeil qu'elle n'avait plus connu depuis le jour où sa sœur était entrée dans sa vie, et lui avait appris à ne toujours dormir que d'un œil, car le danger pouvait survenir n'importe quand. Finalement, elle réussit à ouvrir les yeux. Les premiers rayons du soleil matinal passaient par sa fenêtre, elle jugea qu'il devait être aux alentours de huit heures trente. Une fois à moitié consciente, elle ressentit une présence à ses côtés. Elle tourna lentement la tête... et vit la futanari qu'elle avait espionné la veille. Elle était là, devant elle, assise sur le bord de son lit.

Immédiatement, tous les sens de Mira lui revinrent. Prise par surprise, elle ne put que s'écrier de surprise et se serrer dans un coin de son lit, se couvrant de son mieux avec sa couverture, comme pour mettre de la distance entre elle et cette mystérieuse femme. Cette dernière, le sourire aux lèvres et la voix posée, se présenta sous le nom d'Eris. Et d'après ses dires, elle savait ce que Mira avait fait hier.

Oh non, elle m'a vue...

Pour ne pas simplifier les choses, son corps recommençait à chauffer à la vue de son invitée.

Ah... C'est vraiment pas le moment...

En temps normal, le premier réflexe de Mira face à une inconnue dans sa chambre aurait été de sortir son revolver pour la mettre en joue, mais face à cette femme, qui éveillait en elle tant de souvenirs et de pensées perverses, elle se sentait littéralement désarmée, et aussi très gênée d'avoir été prise en faute. Elle ne put que répondre à sa question, d'une voix penaude et embrouillée.

« Mira... Je m'appelle Mira. Et merci, les vôtres sont très beaux aussi. »

Son esprit sursauta : elle venait de faire un compliment à cette femme, qu'elle ne connaissait même pas et qui aurait très bien pu être une ennemie. Mais elle n'avait pas pu s'en empêcher. Eris était si belle... Pour un peu, Mira se serait jeté dans ses bras pour pouvoir sentir son corps contre le sien. Mais elle n'était pas assez calme pour ça, et gardait toujours une certaine protection entre elle et son invitée inopinée, prête à dégainer son arme au premier mouvement brusque.

L'esprit de Mira établit un plan : la première chose à faire était de comprendre comment cette femme l'avait trouvée. Ensuite, comment elle était entrée dans sa chambre malgré le système de sécurité qu'elle avait installé. Et enfin, ce qu'elle voulait. Mais la mercenaire n'arrivait pas à s'affirmer devant cette femme qu'elle avait vu faire l'amour dans une ruelle, et hésitait à mettre ce plan à exécution. Comme elle commençait à avoir chaud, elle détacha un bouton du haut de son pyjama (http://ecx.images-amazon.com/images/I/31hT1nLXjEL._SX342_.jpg), dont le blanc était en harmonie avec la pureté de son corps, comme un panneau disant « Regardez, je suis vierge. » Elle tenta, malgré son appréhension, d'interroger cette femme.

« Co... Comment m'avez vous trouvée ? Et... que me voulez vous ? »
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le lundi 27 avril 2015, 20:57:12
Elle me regardait. Je la regardais. Quel si beau visage, elle avait. Rempli d'innocence... Ou presque. Dans sa tête, je pouvais bien voir qu'elle avait des idées lubriques. Nous nous regardions un moment avant qu'elle crie de surprise, reculant rapidement vers un coin de son lit, se couvrant le corps avec sa couverture. Oh, elle était si mignonne comme ça. Comme si ses draps étaient une petite coquille qui allait la protéger du monde extérieur. Qui allait la protéger de moi. Elle avait peur de moi... Elle tremblait légèrement, à vue d'œil. Et selon mes yeux... Elle a commencé à avoir de l'activité à l'entrejambe. Je gloussais en remarquant cela. Était-elle vierge ?

Je remarquais qu'elle voulait sortir quelque chose. Une arme, peut-être ? Oui, surement. Mais elle semblait... Paralysée. Et encore, les pensées lubriques se mettaient à se multiplier, dans sa petite tête. Des tas et des tas... Elle répondit à ma question, d'une voix penaude et embrouillée, que son nom était Mira. Mira... Ça lui allait plutôt bien, ce nom. Elle me complimenta ensuite sur mes beaux yeux.

-Merci, dis-je d'une voix sensuelle et tentatrice. Mais je trouve que les tiens doivent séduisent beaucoup de garçons. Ou de fille.

Pendant un moment, nous restions silencieuses, nous nous regardions. Oui, selon moi, elle avait de quoi se défendre sous cette couverture. Et ca pouvait faire très mal, j'imagine. Néanmoins, j'avais l'avantage sur elle. Je la charmais, je lui créais des pensées lubriques par ma simple présence. Doucement, elle déboutonna un bouton de sa chemise de pyjama blanc. Blanc... Comme la pureté. Oui, je crois qu'elle est vraiment vierge. D'une voix hésitante et tremblante, elle me demandait ce que je voulais et comment j'avais pu la retrouver. Je souriais grandement et me rapprochais d'elle, doucement. J'étais à quatre pattes, mon visage proche du sien. Si elle baissait la tête, elle pourrait voir mes seins... J'avais un peu envie de jouer avec elle.

-Comment je t'ai trouvée ? C'est très simple. Tu viens d'un des plans de Terra. Moi, je viens du Sultanat des Sables Blancs. Tu aurais dû le savoir, pourtant, que j'avais mis une Trace sur toi. Un sort de traçage, oui, exact.


Je passais ma langue sur mes lèvres, l'air de dire 'Goûte les... Je sais que tu en as envie'

-Quant à ce que je veux...


Je mis ma main sur sa joue, doucement.

-Je voulais te demander si tu as vraiment apprécié le spectacle que je t'ai donné, hier... Dis-je d'une voix tentatrice.

Je me rapprochais de son oreille, murmurant.

-Tu veux... Que je te montre ce que ça fait ?
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le lundi 27 avril 2015, 22:33:49
Pendant un petit instant, Mira et Eris restèrent immobiles, les yeux rivés l'une sur l'autre. La mercenaire tentait de comprendre la personne qu'elle avait en face d'elle, de décrypter son langage corporel, de décortiquer sa façon de penser... Mais tout ce qu'elle voyait en la regardant, c'était les détails de son superbe corps : sa peau pâle ayant l'air si douce, ses yeux dont les iris ressemblaient à deux améthystes pures, juste sorties de terre, son visage harmonieux, sa volumineuse poitrine à côté de laquelle celle de Mira ressemblait à celle d'une fillette de dix ans, son ventre dévoilé par sa tenue de danseuse du ventre, ses hanches et ses fesses magnifiquement formées, et ses longues et fines jambes. Comparée à elle, la mercenaire n'aurait même pas pu être considérée comme une fille. Et, pour la première fois de sa vie, elle se sentait gênée à cause de son corps. A tel point qu'elle en oublia temporairement la présence de son invitée.

Eris se manifesta à nouveau à elle quand elle se rapprocha, à quatre pattes sur le lit, le visage tout proche, un grand sourire sur les lèvres. Pendant un bref instant, Mira eut envie de goûter à ces lèvres, de l'embrasser sur un coup de tête. Mais elle chassa rapidement ces idées. Elle tenait à son premier baiser autant qu'à sa première fois, et elle n'allait pas le sacrifier pour une femme qui, bien qu'elle soit très attirante, était toujours une menace potentielle. Cependant, elle ne put s'empêcher de jeter un bref coup d'œil au décolleté d'Eris, qui s'offrait totalement à sa vue. Elle sait qu'elle ne devrait pas la reluquer ainsi... mais c'était plus fort qu'elle. Plus fort que sa logique ou que l'infection formienne. C'était ce qu'elle désirait.

La jeune femme lui dit qu'elle venait elle aussi de Terra. Plus précisément, du Sultanat des Sables Blancs, une région que Mira avait déjà eu l'occasion de visiter pour un contrat. Elle lui dit aussi qu'elle l'avait retrouvée grâce à un sort de traçage. La mercenaire regarda son anneau, affolée, et vit que ce dernier émettait bien un signal d'alerte prévenant qu'elle était sous l'effet d'un sortilège. Elle étouffa un juron.

Putain de... Mais pourquoi je ne l'ai pas vu... Ah oui, c'est vrai.

Avec toutes les pensées perverses qui tournaient dans sa tête, c'était déjà une chance qu'elle n'ait pas oublié de mettre son pyjama pour aller dormir.

Eris passa sa langue sur ses lèvres, et l'envie de Mira de l'embrasser la reprit de plus belle. Pourtant, cette envie disparut en un éclair, remplacée par un frisson de plaisir quand son invitée vint doucement poser sa main sur sa joue. La mercenaire ne put s'empêcher de gémir, tant cette main contre son visage lui faisait de l'effet, et détourna le regard immédiatement après, les joues rougies par l'embarras.

Les questions d'Eris résonnèrent dans sa tête, en particulier la dernière, qu'elle souffla sensuellement dans son oreille.

Mira sentit sa libido exploser. Depuis des années, elle attendait de se trouver le partenaire idéal pour sa première fois. Et là, dans sa chambre, devant elle, se tenait la femme parfaite pour ça : une beauté du désert, au corps tellement bien fait qu'il devait faire fantasmer hommes et femmes, dotée de la sensualité d'une succube, du côté joueur d'une terranide neko et du pénis d'une futanari. La mercenaire s'y voyait déjà : allongée dans un grand lit, nue, en sueur, avec Eris à ses côtés, leurs corps l'un sur l'autre, se faisant tendrement l'amour, tel qu'elle l'imaginait dans le fantasme de sa première fois... Mais son cerveau la ramena à la réalité.

Ne pas céder, ne pas céder... Elle veut me faire jouer selon ses règles... Je ne dois pas me laisser manipuler.

Mira se remit les idées en place. Sans oser bouger du coin de son lit, le seul endroit où elle se croyait encore en sécurité et à bonne distance d'Eris, elle regarda la jeune femme droit dans les yeux, en résistant de son mieux à l'attraction magnétique qu'ils dégageaient, et redirigea la conversation.

« Co... Comment avez vous fait... pour entrer dans ma chambre ? J'ai un système de sécurité... dernier cri. »

C'était une ultime tentative de Mira pour ne pas se laisser séduire par cette femme.

Comme elle avait de plus en plus chaud, elle ôta un autre bouton de son haut de pyjama. Son cou était maintenant visible, avec des gouttes de sueur ruisselant tout du long, qui faisaient briller sa peau sous l'effet des rayons du soleil matinal.

Même si Mira essayait de se convaincre du contraire, tous les signes extérieurs ne laissaient aucun doute : la sueur sur sa peau, ses seins qui lui faisaient mal, son entrejambe qui commençait à goutter... Tout son corps montrait bien qu'elle était sous le charme d'Eris. Et vue à quel point cette femme du désert était douée pour voir ce que la jeune fille cachait, elle l'avait sans doute déjà remarqué.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le mardi 28 avril 2015, 03:38:38
Quand j'avais mis ma main sur sa joue, tout ce que j'ai pu retirer d'elle était un gémissement. Oh allons donc, ne sois pas gêner, petite fleur. N'aie pas peur de celle qui allait te déflorer... Et elle était aussi paniquée. Son petit anneau indiqué surement que j'avais placé une Trace sur elle. Oh... Elle prenait vraiment ses précautions quant à sa sécurité. Elle devait être terriblement stressée, maintenant. Ou terriblement attirée par moi.

Quand j'avais chuchoté ma dernière phrase, j'avais remarqué qu'elle se retenait énormément, en fait. Ooooh, oui. J'avais la confirmation, je lui fais BEAUCOUP d'effet... Pour une jeune pucelle, ce n'était pas si mal. Habituellement, celles-ci se jetaient sur mes lèvres. Elle, elle avait la tête sur les épaules. Réflexe de mercenaire, apparemment...

Doucement, elle tournait la tête vers moi, confrontant mon regard. Elle tremblait un peu... Elle résistait à l'attraction de mes superbes yeux. Plutôt bien, d'ailleurs. Elle recentra la conversation avec sa question, me demandant comment j'étais entré dans sa chambre alors que son système de sécurité était le plus récent et plus performant. Je gloussais doucement.

-Toute chose a une faiblesse, Mira. Même toi... Même moi. Sauf que moi, je ne les laisse pas paraitres, répondis-je.

Elle détacha un autre bouton de son pyjama blanc, laissant transparaître son petit cou couvert de sueur scintillant à cause des rayons matinaux du Soleil. Et ce n'était pas seulement au cou qu'elle était mouillée. En effet, j'avais vu qu'elle avait regardé ma poitrine, tout à l'heure. Et maintenant, elle commençait à mouiller... Et j'imaginais que ses seins devenaient sans doute plus durs.

-Oh... Quel joli petit cou tu as, la complimentais-je. Laisse-moi la nettoyer, tu veux...? Dis-je d'un ton sensuel.

Je me rapprochais du cou et léchais celui-ci, nettoyant comme une mère avec ses chatons. Je mis ma main sur la nuque de Mira, serrant doucement. Et, lentement, je la couchais sur le lit et me mis au-dessus d'elle, continuant a nettoyer son petit cou. Ceci fait, je relevais ma tête et remarquais les rougissements de Mira.

-Et si tu enlevais ton pyjama ? Je suis sûr que tu dois suer de partout...

Sur cette demande et remarque, je fis apparaître un sourire tentatrice sur mes lèvres, repassant ma langue dessus. Cette fois... Elle ne pourrait surement pas résister. Et je m'empressais de rajouter, voulant faire encore plus d'effet.

-En échange... Je te laisserais enlever mes vêtements. Comme ça... Tu pourras enfin voir a quoi je ressemble sous cette robe. Je suis sure que tu apprécieras très certainement ma poitrine...
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le mardi 28 avril 2015, 16:07:53
Toute chose a une faiblesse, Mira. Même toi... Même moi. Sauf que moi, je ne les laisse pas paraitres.

D'un point de vue technique, cette phrase n'apportait aucune réponse à Mira. Ce n'était qu'une autre phrase aguicheuse, dans laquelle Eris montrait bien qu'elle avait la situation en main et qu'elle ne laissait aucune autre porte de sortie à sa victime qu'une partie sauvage de jambes en l'air entre filles. Et le pire, c'était que le corps de Mira adorait cette perspective, même si son cerveau continuait à lui dire de faire attention. Cependant, il n'avait pas beaucoup de pouvoir de persuasion comparé à la force de séduction de la femme du désert. C'était sans doute ça, la faiblesse dont elle parlait : face à un charme comme le sien, toute la méfiance et la raison du monde étaient impuissantes. Et la jeune fille, blottie dans sa couverture, n'allait pas tarder à l'apprendre à ses dépends.

Gênée par la sueur dans son cou, Mira approcha sa main pour venir l'enlever, mais Eris l'arrêta, en disant qu'elle allait le nettoyer elle même. Et avant même que la mercenaire ait pu dire un seul mot pour protester, la femme vint lécher la transpiration dans son cou. Mira soupira doucement en signe de plaisir. Elle ne pensait que son cou puisse être une zone aussi sensible de son corps, et les frissons qu'elle ressentit au passage de la langue d'Eris sur sa peau la prirent par surprise. De ce fait, elle ne put les retenir. Elle sentit son esprit commencer à se vider, une sensation qu'elle n'avait encore jamais ressentie. Durant toute sa vie, son cerveau hyperactif ne l'avait jamais laissé en paix, même dans les pires moments. Et maintenant, il se pliait et s'effaçait devant l'écrasante supériorité des désirs du corps de sa propriétaire.

Le plaisir continua de monter quand Mira sentit la main de la femme des sables se poser dans sa nuque et appuyer tendrement dessus. Débarrassée de l'envie de résister, elle se laissa allonger sur le lit par Eris, qui continua à lui nettoyer pendant un petit moment, arrachant soupirs et petits gémissements timides à sa ''victime''.

Quand elle finit par se relever, la jeune femme dominait Mira, qui était encore tremblante et haletante, le visage rouge à cause de la chaleur et de la honte. Si rien que son cou suffisait à lui donner un tel plaisir, qui sait ce que allait être quand Eris passerait à sa poitrine où à son entrejambe. L'imaginer fascinait et terrifiait la jeune fille en même temps. Était-elle vraiment prête à ressentir une telle chose ? Quand elle imaginait sa première fois, elle se disait que ce serait un moment magique dans un cadre romantique, mais la réalité était tout autre : elle était dans sa chambre d'étudiante, là où elle passait toutes ses soirées en solitaire, entre les mains d'une femme qu'elle ne connaissait que pour l'avoir épié quand elle faisait l'amour dans une ruelle, son corps était torturé car il ne pouvait pas supporter un toucher aussi sensuel que celui de la femme la chevauchant, et ses yeux ne faisaient que la déshabiller du regard. Elle ne se contrôlait plus.

Eris lui proposa, avec son sourire de vile tentatrice et sa langue passant sur ses lèvres, d'enlever son pyjama car elle devait sûrement beaucoup transpirer. Et que, en échange, elle pourrait aussi enlever les vêtements de la femme. Sur le coup, Mira avait envie d'accepter. Son corps et son cerveau avaient renoncé à lutter, elle se disait qu'elle serait bien plus heureuse en faisant ce qu'Eris lui demandait. Que lui faire l'amour serait un tel ravissement qu'elle finirait par en oublier ses craintes et ses regrets. Mais, au plus profond d'elle même, la mercenaire sentait que ça ne serait pas aussi bon que ce qu'elle pensait. Une petite douleur harcelait son cœur depuis l'arrivée de la femme des sables dans sa chambre. Et maintenant, cette petite piqûre se changeait en une profonde blessure, qui lui faisait réaliser tout ce qu'elle allait perdre à coucher avec cette femme sans le vouloir complètement... et la jeune fille se mit à pleurer. Sur le coup, Eris crut que c'était de sa faute.

« Non... non... snif... ce n'est pas... de votre faute. »

Alors la femme voulut comprendre ce qui lui arrivait.

Mira sécha ses larmes et tenta de parler, bien que sa voix était tremblante à cause de ses sanglots. Puisque le détournement de conversation ne l'avait pas sauvé, elle voulait tenter autre chose : la vérité, seulement la vérité. Et tant pis si elle devait dévoiler son cœur devant une inconnue presque totale, son instinct lui disait que c'était la meilleure chose à faire.

« Je... J'aimerais beaucoup... le faire avec vous... Eris. Mais je... j'ai si peur. Snif... Je croyais que... que j'adorerais ce que... j'allais ressentir... mais en fait... je ne le supporte pas. C'est trop... pour moi. »

La femme des sables lui expliqua qu'il était normale pour une vierge d'être inquiète lors de sa première fois.

« Justement... il y a... autre chose. Snif... Quand j'imaginais... ma première fois... je voyais... un tout autre contexte. Une belle... et grand chambre... dans un cadre... romantique... avec une personne... dont je suis sure... qu'elle serait toujours... à l'écoute... de mes envies. Je sais que... ça peut paraître idiot... mais je tiens beaucoup... à ce fantasme... et je ne veux pas le perdre... même pour une aussi belle... femme que vous... snif. »

Jamais Mira n'avait baissée sa garde à ce point devant un personne qu'elle connaissait aussi peu : pleurer, parler du plus grands de ses fantasmes... Toute personne la connaissant vraiment bien aurait vu à quel point elle était à la fois heureuse et triste en présence de celle qui, dans de meilleures circonstances, aurait pu être sa partenaire.

Mais même malgré ses larmes et la douleur dans son cœur, les envies de la mercenaire n'étaient pas mortes pour autant. Elle continuait de désirer cette belle femme, à tel point que, si elle parvenait à créer les conditions dont elle rêvait pour sa première fois, elle s'en donnerait à cœur joie avec Eris.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le mercredi 29 avril 2015, 03:03:15
Elle était vraiment vierge, alors. Par de simple coup de langue de ma part, elle gémissait, comme une pucelle. Et elle était une pucelle. Et elle s'est trop retenue jusqu'à maintenant, on dirait. J'écoutais ses doux soupirs, ses gémissements, ce qui m'existait grandement. J'adorais le bruit que faisaient les femmes quand elles couchaient. Pas que je détestais ceux des hommes, mais eux, généralement, parlait au mauvais moment durant le coït. Sauf mon mari... Il ne faisait pas de bruit. Du moins, je crois, vu que c'était moi et ses concubines qui faisaient du bruit comme ca ne se pouvaient pas.

Après un moment, je me relevais, observant le visage de la Terrarienne aux yeux d'or. Elle était toute rouge comme une tomate, elle suait un peu plus et par les dieux, Mira avait des chaleurs... Hihi. Cela allait rendre cela plus intéressant. Alors que j'allais me pencher vers elle encore, elle se mit à doucement pleurer. Surprise, je lui demandais si c'était ma faute, mais elle me rassurait que ce n'était pas moi, donc, je demandais pourquoi elle laissait couler des larmes. Elle séchait ses larmes et parlait d'une voix un peu tremblante, me révélant enfin pourquoi elle laissait ses larmes couler. Elle avait beaucoup envie de le faire avec moi. Mais elle avait peur. Elle s'était bercée d'illusion en croyant que ce qu'elle allait ressentir, elle allait l'adorer, mais c'était trop. Trop pour elle.

Je lui expliquais donc d'une parole douce que c'était normal qu'une fille eût peur de perdre sa virginité, voulant avoir une première fois parfaite. Et elle était une de ses nombreuses filles qui voulaient en fait que tout se passe dans un cadre romantique. Avec une personne en confiance qui réaliserait ses envies, ses fantasmes. Elle y tenait beaucoup, a ce fantasme de cadre romantique et que, pour rien au monde, elle ne voulait s'en priver. Même pas pour une belle femme comme moi.

Un moment, je restais silencieuse, formant une idée dans ma tête. Elle voulait un cadre romantique ? Elle allait en avoir un...

-Soit, dis-je d'une voix aguicheuse. Si tu veux que ta première fois soit parfaite... Je ferais selon tes désirs. Mais avant, ferme les yeux...

Elle acquiesçait en hochant doucement la tête et ferma enfin ses yeux dorés, m'assurant qu'elle ne les ouvriraient pas. Je fermais les yeux moi aussi et, quelques instants plus tard, je me retrouvais dans ma chambre, a mon palais au Sultanat. Je levais une main dans les airs, fermant les volets de ma chambre magiquement pour laisser place à une noirceur. Les rayons du soleil ne nous dérangeraient pas, ainsi. D'un tiroir, je sortais des bougies parfumées que je plaçais un peu partout dans la chambre, des bougies contenants des petits aphrodisiaques. Et, a l'aide de paroles magiques, je fis apparaître des pétales de rose blanc sur les couvertures écarlate de mon lit a baldaquin. Elles étaient toutes magiques, car, dés que Mira allait perdre sa virginité, les pétales blancs deviendraient rouges comme les vrai. Et rapidement, je retournais dans la chambre de Mira en refermant les yeux. Elle avait les yeux toujours fermés, mais je semblais discerner en elle l'envie de les ouvrir. J'entourais mes bras autour d'elle, l'embrassant doucement. Et, comme tout à l'heure, nous nous retrouvions enfin dans ma chambre.

Je rompis doucement le baiser, disant qu'elle pouvait ouvrir enfin les yeux.

-C'était ce genre de cadre romantique que tu voulais ? Lui demandais-je, un sourire aux lèvres.

Elle avait l'air surpris, ses yeux étaient grands ouvert.

-Si je te déçois, pardonne-moi, Mira... Continuais-je d'une voix séductrice, caressant sa joue.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le mercredi 29 avril 2015, 13:47:16
Mira s'en voulait un peu de devoir imposer toutes ces contraintes à Eris. Mais elle tenait trop au fantasme de sa première fois pour faire de trop gros compromis. Et si cette femme n'était pas capable de le comprendre, alors elle ne pourrait pas faire une bonne partenaire pour ce moment unique. Une pensée qui faisait un peu mal au cœur à la mercenaire.

Heureusement pour elle, Eris semblait prête à faire selon ses désirs et à créer le cadre romantique dont Mira rêvait. Suivant sa demande, la mercenaire ferma les yeux et promit de ne pas les rouvrir avant qu'on ne lui ai dit de le faire. Elle attendit ainsi, assise en tailleur sur son lit, les mains sur ses yeux pour être sur de ne rien voir. Dans sa tête, la jeune fille imaginait ce que son invitée pouvait lui préparer : était-elle en train de redécorer toute sa chambre à son insu ? Changeait-elle de tenue ? Allait-elle chercher de quoi décoincer sa partenaire ? Ou bien se contentait-elle de rester là, à observer cette jeune vierge innocente qui lui faisait tellement confiance qu'elle acceptait de garder les yeux fermés sur sa sollicitation ? Étant donné ses pouvoirs magiques et son côté joueur, chacune de ses hypothèses se valaient.

Au bout d'un moment, Mira commença à s'inquiéter de ne plus entendre Eris. Si elle était toujours là, elle ferait forcément du bruit, ne serait-ce que parce qu'elle respire. Mais là, la mercenaire n'entendait rien d'autre que le son discret de son propre souffle. Elle se mit à paniquer en envisageant la possibilité que la femme des sables était partie, en ayant assez de la retenue de la jeune vierge, et l'avait laissé seule avec sa frustration. Mais elle rejeta vite cette idée. Parce qu'elle ne pouvait pas y croire, et qu'elle ne voulait pas y croire. Eris lui avait dit qu'elle lui offrirait une première fois parfaite, ça n'avait pas de sens qu'elle l'abandonne juste après. A moins que cette femme ne soit venue pour lui faire du mal...

Non, non, non !

Tout son être refusa cette possibilité. Elle était persuadée que la femme des sables tiendrait parole. Elle avait besoin de s'en assurer.

Les mains de Mira se mirent à trembler. Elle mourrait d'envie d'ouvrir les yeux. Non seulement pour s'assurer qu'Eris n'était pas partie, mais aussi pour satisfaire sa curiosité quant à ce que la femme des sables lui préparait. Mais elle n'eut pas le temps de jeter un œil : les mains d'Eris vinrent prendre les siennes pour les enlever de ses yeux. Elle crut que c'était une invitation à les ouvrir, mais elle fut arrêtée par sa partenaire, qui lui dit de les garder fermés encore un peu. Et sur ces mots, elle entoura ses bras autour de le jeune fille et vint l'embrasser doucement. Mira crut exploser sur place quand les lèvres d'Eris, douces comme des plumes et délicieuses comme de bons fruits, se collèrent aux siennes. La sensation était si puissante et si délicate en même temps qu'elle en perdit toute perception alentour, focalisant toute son attention sur sa bouche en pleine extase. C'est pourquoi elle ne sentit pas la déformation d'espace-temps autour d'elle, signe classique d'une téléportation, alors qu'elle en faisait régulièrement pour aller voir sa sœur. Quand la femme des sables rompit leur baiser, les lèvres de la mercenaire claquèrent dans le vide, un peu déçue de devoir arrêter. C'était son premier baiser... et elle l'avait adoré. A tel point qu'elle voulait recommencer au plus vite.

Eris autorisa enfin Mira à ouvrir les yeux. Et le spectacle qui s'offrit alors à sa vue ravit tout son être : une grande chambre avec un grand lit à baldaquin, les volets fermés, des bougies allumées dans toute la pièce, dont l'odeur ne chatouillait pas que les narines de la jeune fille, et des pétales de roses blanches sur le lit. Tout était exactement comme dans son fantasme, à une exception près : la personne qui allait partager ce lit avec elle. Elle se retourna, et regarda Eris droit dans les yeux. Cette dernière vint caresser sa joue, en espérant que tout était comme elle le souhaitait.

« C'est... c'est tellement beau que... que je n'ai même pas de mots pour le décrire. Je... je... snif... »

Mira ne put se retenir de pleurer à nouveau. Mais cette fois, c'était des larmes de joie qui coulaient sur ses joues.

« Je suis... tellement heureuse. Vous... snif... avez fait... tout ça pour moi... pour me faire plaisir... Snif... Merci. »

Mira prit Eris dans ses bras, incapable de retenir son affection. Sa tête était proche de la sienne, et leurs poitrines venaient s'écraser l'une contre l'autre, bien que celle de la femme des sables éclipsait totalement celle de la mercenaire. En sentant le contact de leurs seins, la jeune fille réalisa une chose terrible : elle ne portait pas de sous-vêtements sous son pyjama. Elle se mit à paniquer et s'écarta rapidement de celle qu'elle serrait, morte de honte.

« Excusez moi une petite seconde, Eris. Je dois juste aller récupérer quelque chose dans ma chambre, ensuite je reviens. »

Mira activa son anneau dimensionnel pour se téléporter jusqu'à sa chambre de pensionnaire, confirmant ainsi que ce qu'elle avait vu n'était pas sa chambre transformée par un sort d'illusion : la femme des sables l'avait emmené ailleurs. Elle alla vers son armoire, ouvrit une petite boîte en bois décoré et en sortit des sous-vêtements en soie blanche (http://i01.i.aliimg.com/wsphoto/v0/672070269/Free-Shipping-Ballet-cup-front-button-white-women-s-underwear-bra-set-70-100abcdef.jpg), qu'elle gardait spécialement pour ce jour. Elle les enfila en vitesse, reboutonna son pyjama et repartit, impatiente de retrouver sa partenaire.

Une fois arrivée dans la chambre de ses fantasmes, Mira alla droit vers Eris et lui prit la main.

« Eris... je suis prête maintenant. Mais je n'ai aucune connaissance de... du sexe... et j'ai besoin qu'on m'instruise. Vous... Tu veux bien m'apprendre ? »

Mira osait enfin tutoyer sa partenaire. Étant donné ce qu'elles s’apprêtaient à faire ensemble, la mercenaire pensait qu'elle en avait bien le droit.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le jeudi 30 avril 2015, 03:16:33
Sa réaction était si mignonne à voir. Elle débordait littéralement de joie, au point ou elle en pleurait. Moi aussi, j'étais comme ça, lorsque mon mari m'avait pris ma virginité. Je me souvenais parfaitement de ce moment, j'étais aussi rouge qu'une tomate, mais, après, quand il m'avait prise, j'avais aussi pleuré de joie. Elle était tellement heureuse, simplement parce que je voulais réaliser son fantasme le plus cher a ses yeux, qui n'était que d'avoir une première fois parfaite. Mira me prit dans ses bras, me serrant avec affection, sa tête proche de la mienne et nos poitrines coller, bien que ce soit moi qui dominais question taille des seins. Soudainement, je sentis une panique en elle. De quoi avait-elle peur ? Rapidement, elle me dit qu'elle devait revenir chez elle, ayant oublié quelque chose de très important dans sa chambre. Elle disparaissait avec son anneau et un moment plus tard, elle revenait. Elle était enfin prête, mais, petit problème, enfin pour elle, vu qu'elle était pucelle, elle ne connaissait rien au sexe, évidemment. Elle me demandait si je pouvais l'instruire et si elle pouvait me tutoyer.

-Oui, tu peux me tutoyer, Mira. Et oui, je vais t'apprendre... Et t'en faire voir de toutes les couleurs, disais-je d'une voix sensuelle, lui arrachant un rougissement.

Je l'embrassais donc doucement, mêlant ma langue à la sienne. Elle commençait a devenir plus insistante, d'ailleurs et sans que je le sache, elle eut même l'audace de porter ses mains a mes fesses.

-Oh, petite coquine... Dis-je entre deux baisers.

Lentement, nous nous dirigeons vers le lit et étendions doucement  dessus, me mettant à califourchon sur elle. Après un moment, je me relevais de toute ma stature, voyant Mira.

-Dis... Tu aimerais voir ça, j'imagine ?

Lentement, je me défis de mon soutien-gorge, libérant mes seins de l'emprise de ceux-ci et jetait le vêtement sur le sol de la chambre. Doucement, je pris les mains de Mira, les portants a mes seins.

-Il faut doucement les malaxer, Mira. Ne sois pas trop brusque sauf si ta partenaire aime ça. Il faut savoir les... Han !


Elle commençait doucement à masser mes seins, d'une main plutôt curieuse et tâtant mes tétons qui devenaient durs.

-Oui... Comme ça...

Je rejetais doucement ma tête en arrière, voulant l'exciter un peu. Quant a mes mains, ils s’occupèrent rapidement d'enlever le haut de Mira, dévoilant son soutien-gorge blanc comme sa pureté que j'enlevais aussi mais d'une manière douce, sensuelle, voulant faire a son rythme. Et elle n'allait plus être une pucelle dans pas longtemps...

Je commençais donc a jouer avec les seins de Mira, les massant doucement.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le jeudi 30 avril 2015, 15:14:34
Avec une partenaire aussi belle, sensuelle et joueuse qu'Eris, Mira savait qu'elle allait avoir droit à un première fois exceptionnelle, même si ses peurs instinctives de petite fille lui faisaient redouter certaines choses, comme le moment où la futanari allait enfoncer son membre dans ses entrailles. Mais, pour le moment, elle savourait le doux baiser qu'elle partageait avec sa partenaire, avec un contact des lèvres et des langues. Encore une fois, la mercenaire tira un immense plaisir de ce contact, qui fit monter l'excitation en elle à tel point qu'elle se mit à agir plus audacieusement. Elle insistait plus fortement sur le contact de leurs lèvres et sur la danse de leurs langues, elle se permit même d'aller poser ses mains sur les fesses de la femme des sables, les caressant délicatement tant elles étaient douces. Elle le remarqua, et fit un petit commentaire amusé entre deux baisers.

« Dé...Désolé. »

Mira ne savait pas quoi dire d'autre. Tout ça était nouveau pour elle, elle ne savait pas ce qu'elle devait faire et agissait à l'instinct, son cerveau était parasité par les sensations qui lui traversaient le corps à chaque seconde et elle ne savait plus quoi dire ou quoi penser. De ce fait, elle s'excusait de tout. Mais Eris lui fit comprendre qu'elle était contente d'avoir ses mains tremblantes sur ses fesses, ce qui arracha un sourire et fit rougir les joues de la mercenaire, autant de joie que d'embarras.

Toujours en s'embrassant, les deux femmes marchèrent jusqu'au lit. Elles s’étendirent sur les pétales blancs et les draps écarlates, Mira en bas et Eris la dominant. Après un moment, la femme des sables se releva au dessus de la mercenaire. Cette dernière était impressionnée par sa stature et par ses courbes si alléchantes. D'ailleurs, elle ne pouvait pas s'empêcher de lorgner sur sa poitrine, ce que sa partenaire remarqua vite. Décidément, la jeune fille se sentait mise à nue devant la femme des sables, qui pouvait voir tout les désirs qu'elle essayait de lui cacher. Et bientôt, ça n'allait plus seulement être d'un point de vue intérieur.

Eris enleva son soutien gorge et l'envoya sur le sol de la chambre. Mira fut transie de désir devant la vue divine de la poitrine nue de sa partenaire, si bien qu'elle n'arrivait plus à bouger, seulement à la regarder. La jeune femme lui prit doucement les mains et les amena vers ses volumineux seins. La mercenaire eut un premier frémissement quand ses mains vinrent les toucher, et un autre quand elle lui expliqua comment elle devait s'y prendre pour les caresser.

« D'accord. »

Mira commença doucement à masser ces seins, en étant la plus délicate possible. Elle avait très à cœur de faire du bien à Eris, elle voulait être une bonne partenaire même si elle n'avait aucune expérience dans le domaine de l'amour.

Tandis qu'elle massait cette poitrine, elle sentit tout à coup les tétons durs et tendus d'Eris sous ses mains. Sa curiosité se réveilla à leur contact. En tant que fille, elle savait que les seins étaient une zone très érogène si on sait comment les exciter. Mais elle n'avait toujours observé ce phénomène de dressage des tétons que sur son propre corps, quand elle abusait de la lecture de ses mangas érotiques. Le sentir sur le corps d'une autre, et se dire que c'était par ses caresses qu'elle prenait tant de plaisir, c'était tellement mieux. Curieuse, elle alla toucher, avec beaucoup de précaution, ces petits bouts de chair. Sa partenaire rejeta sa tête en arrière en le sentant, et la mercenaire ne savait pas quoi en penser.

« Eris... Tout va bien ? »

Eris lui confirma qu'elle s'y prenait bien, ce qui détendit un peu Mira et l'incita à continuer ses caresses.

Mira vit les mains d'Eris s'approcher de son corps. Elle savait ce que cela voulait dire, et elle en tremblait un peu. La jeune femme déboutonna le haut de la mercenaire, dévoilant son soutien-gorge blanc, qu'elle lui enleva ensuite avec douceur et sensualité. Chacun des gestes de cette femme était un ravissement pour les sens de sa partenaire : ses yeux la dévoraient et sa peau frémissait à chacun de ses passages.

Quand les mains d'Eris vinrent se poser sur sa poitrine, Mira gémit fort. Rien qu'en appliquant ses mains sur cet endroit, la femme des sables lui avait procuré un tel frisson que sa voix avait échappé à son contrôle. Et quand sa partenaire commença à masser ses seins, elle fut entièrement parcourue de tremblements à cause du plaisir qu'elle prenait. Rien que ces petits gestes la rendaient folle, et elle commença à penser qu'elle ne pourrait jamais tenir jusqu'au bout de leurs ébats sans s'évanouir. Pour rester consciente, elle se concentrait sur la seule chose qui lui occupait les mains : jouer avec la poitrine de sa partenaire. Elle y mit plus d'énergie, comme pour compenser le fait qu'elle perdait complètement la tête en procurant plus de sensations à celle qu'elle caressait.

Un peu plus bas, Mira sentait que quelque chose la picotait. Elle comprit vite qu'elle s'était remise à mouiller, mais de manière bien plus abondante que précédemment. Toutes ces émotions l'avaient bien plus secoué que le simple coup de langue d'Eris dans son cou, qu'elle ne pouvait pas oublier tellement elle en avait encore envie. La mercenaire frotta ses cuisses l'une contre l'autre pour essayer d'apaiser le feu qui commençait à brûler au milieu de ses pétales, mais sa culotte gênait son action. Pire encore, elle sentait le tissu blanc se mouiller de ses fluides sexuels et imaginait la trace que cela allait laisser. Et elle se sentit soudain très sale. Elle avait tellement honte de son corps, aussi bien de ses formes qu'elle trouvait un peu plates que de la façon hypersensible dont il réagissait aux caresses de la femme le chevauchant. Mais surtout, elle craignait que sa partenaire ne découvre ce qui se passait dans son sexe, et ne vienne le stimuler encore plus. Combien de temps allait-elle tenir dans un cas pareil ? Elle ne voulait même pas y penser.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le vendredi 01 mai 2015, 03:42:56
J'aimais la sensation du corps de Mira. J'adorais la sensation de sa peau. Elle me rappelait moi, les premières fois. Quand elle m'avait demandé si j'allais bien après qu'elle m'ait pincé les tétons, je lui avais répondu que oui. Et quand je lui avais commencé à masser sa poitrine, mon dieu qu'elle avait gémi. Mira ne s'était donc elle pas 'fait du bien' une seule fois durant sa vie ? Parce que résister jusque-là, c'est quand même un exploit. Même moi, je n'ai pas pu y résister. Je me suis 'fait du bien' à mes douze ans et c'était à ce moment-là que je compris que j'allais devenir accro a ceci. Et je le suis devenu avec la venue de mon mari.

Mira y mettait de plus en plus de force, suivant mes conseils en jouant avec.

-Haan...

Elle était un peu brusque, mais c'était sa première fois. Alors que nous nous caressions mutuellement, je sentais qu'elle bougeait les jambes. Ses cuisses, plus particulièrement, car elles les frottaient. Oooh... Elle mouillait ? Hihi! J'allais bien m'amuser avec elle... Doucement, je l'embrassais, mêlant ma langue avec la sienne. Qu'elle était délicieuse... Aussi délicieuse qu'un petit fruit à peine éclos. Sa salive se mélangeait à la mienne, notre amour se mélangeait. Enfin... 'Amour' est un bien grand mot. Moi, j'avais perdu mon amour, mais... Il y avait différentes formes d'amour, n'est-ce pas ? Et qui plus est, elle m'aimait bien. Mais j'avais un peu pitié d'elle. Elle devait se dire que son corps n'était rien aux miens.

Je rompis doucement le baiser, regardant les yeux dorées de Mira.

-Tu n'as pas à avoir honte de ton corps. J'aime tous les corps, hommes ou femmes. Quels qu'ils soient... Comme toi, j'aime tes yeux, c'est-ce qui fait ton charme. Et ta poitrine me fait bien envie aussi. Tu sais, ce n'est pas comment ton corps est fait qui compte, mais l'expérience que tu auras au fil du temps... Et pour le moment, je vais être ton professeur, jeune fille.

Avant qu'elle ne puisse faire grand chose, je portais soudainement ma bouche aux tétons de la jeune Mira, en suçotant l'un et m'amusant a malaxer l'autre, la taquiner. Je mordillais gentiment, lui arrachant des gémissements de plaisir.

-Oooh, tu es si excité que ça? Petite lapine... Dis-je d'un ton joueur.

Doucement, je descendais le long de son corps, déposant des baisers et de petit coup de langue affectueux. Maintenant, je lâchais sa poitrine pour caresser ses hanches et son ventre, doucement et avec sensualité. Comme je le fais si souvent. Arrivés vers son bassin, j'entrepris d'enlever rapidement le pantalon de Mira que je jetais un peu plus loin aussi et, a ma grande surprise, elle portait une culotte autrefois blanche, maintenant toute mouillée.

-Par les dieux, Mira... T'es-tu seulement déjà masturbé, dans la vie ? Lui demandais-je, un sourire carnassier aux lèvres, Ooh oui, j'allais y goûter... Et maintenant, selon ce que je voyais, on dirait qu'elle luttait pour ne pas tomber dans les pommes.

Pour commencer, je me mis à caresser avec l'index sa culotte, vers la zone érogène. Elle continuait a gémir et a gémir plus fort, ayant presque l'air de crier.

-Tiens donc... Et si je faisais ça?

Doucement, je baissais la culotte souillée et, soudainement, y fis entrer un doigt dans l'antre humide de Mira.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le vendredi 01 mai 2015, 15:17:44
A peine Mira avait-elle un peu trop songé à sa honte qu'Eris vint l'embrasser, mêlant sa langue à la sienne. A chacun de leurs baisers, la mercenaire s'étonnait de tout ce que ce simple geste pouvait provoquer en elle : elle se détendait, relâchait ses muscles, oubliait ses craintes, et était encore plus excitée par la douceur et le goût de la bouche de la femme des sables. Là où la jeune fille devait avoir une saveur de fruit à peine éclos, la jeune femme avait une saveur de fruit bien mûr, marquée par l'expérience dans le domaine de l'amour, que ce soit avec les hommes ou avec les femmes.

Le baiser se rompit tout doucement, et Eris regarda Mira droit dans les yeux. La jeune fille n'arrivait même pas à soutenir la vue de ces yeux d'améthyste sans plonger plus profondément dans le désir de se faire déflorer par cette femme. Cette dernière vint la rassurer sur ses angoisses, et la mercenaire n'en croyait pas ses oreilles. Comment sa partenaire avait-elle pu voir ses angoisses ? Son inquiétude était-elle si transparente ? Ou bien cette femme lisait-elle dans ses pensées ? Mais au fond, cela n'avait pas d'importance. Tout ce qui comptait, c'est qu'elle était sincère, ça s'entendait dans sa voix. C'est là que Mira se dit qu'elle avait eu une chance folle d'être tombée sur Eris : avoir cette femme comme professeur sexuel, c'était comme avoir Albert Einstein pour professeur de physique. Elle fut prise d'une folle envie d'aller embrasser sa partenaire, mais celle ci ne lui laissa pas le temps d'agir et alla soudainement porter sa bouche à sa poitrine pour suçoter l'un de ses tétons pendant qu'elle malaxait l'autre avec sa main.

A nouveau, Mira se crut entraîné dans un tourbillon infernal de plaisir, sans aucune échappatoire possible. Ses gémissements étaient de plus en plus bruyants, et grimpaient en intensité à chaque seconde. Ils atteignaient parfois des pics sonores quand Eris venait mordiller le téton qu'elle avait en bouche. Mais rien que de sentir sa langue caresser ce bout de chair rose et sensible suffisait à la faire couiner comme une lapine en chaleur. Et le ton joueur de la femme des sables n'allait pas l'aider à se calmer.

Quand Eris arrêta finalement de jouer avec sa poitrine, Mira en profita pour reprendre son souffle. Mais son répit ne fut que de courte durée avant que sa partenaire ne se remette à pied d'œuvre. Elle commença à descendre sa bouche le long de son corps, caressant ses hanches et son ventre, toujours avec la même sensualité exacerbée, déposant même un petit baiser sur le nombril de la mercenaire qui fit rire cette dernière. Puis, finalement, elle s'attaqua à la partie dont la jeune fille aurait voulu ne jamais avoir à faire : son entrejambe.

Mira tenta faiblement de protester, mais elle même ne croyait pas à ce qu'elle disait. N'en tenant pas compte, Eris lui enleva son bas de pyjama et put alors voir à quel point sa culotte était trempée. La mercenaire était tellement sensible qu'elle avait libéré un véritable torrent de cyprine depuis son intimité. La question de sa partenaire était légitime, et la mercenaire lui répondit sans détour, bien que très embarrassée.

« Non... jamais... Je voulais... me réserver... pour celui... ou celle... qui allait... me prendre... pour ma première fois.
Et puis... quand je pensais... à le faire... ça me semblait... si... embarrassant... »


Encore une fois, Mira collait aux clichés des vierges qu'on pouvait voir dans les mangas qu'elle lisait. Mais c'était ainsi qu'elle fonctionnait, et rien ne pourrait la changer. De toute façon, maintenant, c'était trop tard.

Eris caressa le tissu humide du sous-vêtement et Mira se remit à gémir. Mais cette fois, sa voix ressemblait plus à un cri. En tout cas, intérieurement, elle criait. Cette zone était la plus sensible de son corps, et personne n'y avait jamais touché auparavant, pas même elle. De ce fait, le moindre contact provoquait en elle des réactions disproportionnées. Et quand sa partenaire lui parla avec sa voix taquine, elle sentit que les choses allaient déraper.

« Non... Eris... attends »

Trop tard. Mira sentit sa culotte glisser le long de ses jambes pour atterrir sur le sol de la chambre avec le reste de ses vêtements. Et maintenant, elle fuyait le regard d'Eris tellement elle était embarrassée que son intimité dégoulinante soit dévoilée à ses yeux. C'est pourquoi elle ne vit pas sa partenaire faire entrer un doigt dans son antre humide.

« Kyyyaaahhh ! »

Ce geste arracha un cri à Mira. Pour la première fois de sa vie, quelque chose venait de rentrer dans son vagin. Qui plus est, avec beaucoup de facilité vu comment elle mouillait. Des larmes se mirent à perler aux coins de ses yeux et, instinctivement, elle serra les draps du lit de toutes ses forces avec ses mains, crispée par une peur infantile de ce qui allait lui arriver. Mais elle se rendit compte qu'elle n'avait pas mal. Au contraire, c'était plutôt agréable d'avoir ce doigt enserré dans ses parois intimes. En revanche, elle continuait de craindre le moment où ce doigt allait remuer en elle. Et justement, c'est ce qui arriva.

Eris se mit à faire des allées et venues avec son doigt, arrachant des cris entremêlés de plaisir et de peur à Mira. De plaisir parce que son corps aimait sentir ce doigt remuant à l'intérieur d'elle, de peur parce qu'elle continuait à redouter que quelque chose n'aille pas. Elle ferma les yeux pour tenter d'échapper à la réalité... et se mit à imaginer ce doigt dans son corps, frottant contre les parois roses et glissantes de son intérieur. Et cela l'excitait. Peu à peu, elle avait de moins en moins peur. Et le plaisir venait éclipser tout le reste.

Moins de deux minutes après, Mira sentit quelque chose remonter dans son intimité. Comme si elle avait envie d'uriner, mais c'était différent. La peur la reprit au ventre devant l'inconnu de la situation. La mercenaire se dit alors qu'Eris devait savoir ce qui lui arrivait. Elle rassembla son énergie pour essayer de lui parler.

« Han... Eris... quelque chose... veut sortir... de moi. Qu'est ce... qui m'arrive... »

Comment pouvait elle se douter, puisque qu'elle ne s'était jamais touchée, qu'elle s'apprêtait à avoir un orgasme ?
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le vendredi 01 mai 2015, 20:29:24
Elle voulait donc se réserver pour celui ou celle qui voulait la prendre ? Ce qui était embarrassant pour elle, d'ailleurs. C'était mignon de sa part, de vouloir se réserver pour celle qui allait la prendre. Moi, en l'occurrence, on dirait. Quand je lui avais à peine caressé sa culotte, un torrent de cyprine s'en était écoulé, signe qu'elle s'était bien évidemment retenue pendant ses longues années. À peine, je lui avais entré un doigt en son antre humide qu'elle poussait un petit cri de plaisir, vu son extra-sensibilité a mes douces caresses et par le fait que, pour la première fois, elle avait ressenti quelque chose en elle.

Je me mis donc à faire de lents va et viens qui eut pour résultat de lui faire pousser des gémissements. Enfin, cela ressemblait plus à des cris de plaisirs. Et elle semblait apeurée... Sérieusement, cette petite était mignonne à regarder. Après moins de deux minutes, elle m'avertit que quelque chose se passait en elle. Hihi, elle allait avoir son premier orgasme ! Goûtons donc a ce jus... Le jus de pucelle avait quel goût, déjà ? J'allais le savoir dans un instant !

-Ne t'inquiète pas, Mira...

Doucement, je portais ma bouche vers son entrejambe et, quelques secondes après, un jus de cyprine arrivait dans ma bouche grande ouverte. Je passais ma langue sur mes lèvres, savourant le nectar corporel de la petite Mira. Délicieuse... Même pas après quelque seconde, je mis a lécher la fleur de Mira, voulant avoir encore plus de jus tel une abeille récoltant le doux pollen.

-Hmm... Tu es très délicieuse, Mira. Laisse-moi donc te goûter... Dis-je sensuellement entre deux coups de langue.

La respiration de la petite était laborieuse, mais elle respirait. Et gémissait très fort. Alors que je ne m'y attendais pas, elle posait ses mains sur ma tête, elle voulait surement pas que j'arrête. Je continuais donc a lécher cette belle fleur, entrant ma langue en dedans d'elle par moment. De ma main gauche, je faisais entrer deux doigts en elle alors que je la léchais tandis que de la main droite, je titillais les tétons de Mira. Quelle douce saveur !

-Dis, Mira... Tu voudrais goûter à la mienne ? Lui demandais-je avec un sourire d'autant plus carnassier. Oh, la pauvre. Elle rougissait... C'était merveilleux à regarder. Le désir se lisait bien dans son regard dorée.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le samedi 02 mai 2015, 13:45:18
Eris lui disait de ne pas s'inquiéter. Et Mira lui faisait confiance. Après tout, cette femme avait tant fait pour elle : elle était venue la trouver, l'avait séduite malgré son inquiétude et sa distance, avait crée le cadre romantique dont elle rêvait et était en train de lui procurer des sensations indescriptibles. Alors si elle lui disait de ne pas s'en faire, elle ne s'en ferait pas. Portée par ces paroles réconfortantes, la mercenaire laissait le liquide se diriger vers la sortie de son entrejambe. Et quand, finalement, il sortit, ce fut un moment incroyable.

« AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!! »

Le cri de Mira aurait pu être entendu dans toute la demeure où elle se trouvait. Le plaisir venait de déferler dans tout son corps comme un tsunami, détruisant toutes ses résistances et ses inhibitions. C'était l'émotion la plus intense qu'elle ait jamais ressentie.

« Han... han... Eris... han... han... »

Mir était en haleine, le souffle court et le corps comme anesthésié.

« Qu'est... ce que... c'était ? »

Eris lui expliqua qu'elle venait d'avoir un orgasme.

Alors c'est ça un orgasme ? Je comprends mieux pourquoi tout le monde est accroc au sexe. Et je comprends aussi pourquoi Camille et Morgane sortaient toujours de leur chambre en souriant.

Devant un tel sentiment, Mira n'éprouvait plus aucune gêne. Tout ce qu'elle voulait, c'était le ressentir à nouveau. Et justement, Eris alla lécher sa fleur intime pour en récolter le nectar comme une abeille. La mercenaire se sentit à nouveau envahie par le désir dans tout son corps, plus quelques doux picotements dans son entrejambe. Et Eris lui disait qu'elle était délicieuse.

« Hmm... Merci... Eris. »

Sa respiration était difficile, et entrecoupée de gémissements, mais elle se sentait bien. Tellement bien que, sans même s'en rendre compte, elle alla poser ses mains sur la tête de la femme des sables pour la maintenir près de son sexe. Elle ne voulait pas que sa partenaire s'arrête. De toute manière, elle n'en avait pas l'intention.

Eris léchait le sexe de mira, faisant parfois entre sa langue à l'intérieur et arrachant des cris de plaisir à la jeune fille, qui appuyait sur sa tête pour que sa langue aille plus profondément. En même temps, elle faisait entrer deux doigts dans son intérieur et titillait ses tétons. La mercenaire perdait complètement la tête, elle ne savait plus où elle en était, elle voulait juste prendre plus de plaisir. Et la proposition de sa partenaire n'était pas tombée dans l'oreille d'une soudre.

Mira était très embarrassée à l'idée de faire à Eris ce que cette dernière était en train de lui faire en ce moment même. Mais ce serait un mensonge de dire qu'elle n'en avait pas envie. Le désir pouvait se lire dans ses yeux dorés, et Eris le voyait sûrement.

« Je... han... pas... tout... de suite... Fais... moi... jouir... encore... »

Mira voulait à nouveau sentir sa mouille s'expulser de son vagin et aller arroser le visage d'Eris. De sa part, une pensée aussi perverse montrait bien qu'elle avait très envie d'aller jusqu'au bout avec la femme des sables. Cette dernière entendit bien ce que sa partenaire lui disait, et accepta de satisfaire son désir. S'activant plus intensément sur son intimité, elle amena rapidement la jeune fille à avoir un autre orgasme qui, encore une fois, la fit grimper aux rideaux. Épuisée, elle s'écroula sur le lit, son corps complètement assommé par toutes ces secousses.

Quand elle récupéra assez d'énergie, elle releva la tête pour regarder Eris dans les yeux. Ses pupilles couleur améthyste continuaient de la fasciner et de lui donner envie. La mercenaire ouvrit les bras pour l'inviter à venir vers elle.

« Viens... près de moi... et fais moi... un câlin. »

Eris vint avec plaisir se mettre à côté de Mira. Une fois dans les bras l'une de l'autre, la mercenaire alla caler sa tête entre les délicieux seins de sa partenaire et s'en servit comme oreiller. Pour un peu, elle se serait endormie si la femme des sables ne déclenchait pas en elle une chaleur brûlante qui lui donnait envie de se caresser. Et si elle n'était pas tourmentée en se disant que sa partenaire ne pourrait pas se reposer sur elle comme la mercenaire le faisait actuellement.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le samedi 02 mai 2015, 20:47:57
Mira me demandait ce qui s'était passé et je lui avais simplement expliqué qu'elle venait d'avoir son premier orgasme. Et après que je lui avais dit qu'elle était délicieuse, elle me remerciait du compliment que je lui faisais. Mais pas de quoi, petite ! Quand je complimentais les gens, je ne faisais que dire la vérité ! Elle me maintenant la tête au niveau de son sexe, ne voulant pas que je m'arrête. Et je n'allais pas m'arrêter non plus, quelle question ! Elle était trop bonne pour ça, j'adorais le goût de son jus sur ma langue, le jus d'une pucelle maintenant dépucelée...

Quand je lui avais proposé de lécher la mienne, elle semblait très embarrassée de ma proposition. Oooh... Je voudrais bien voir la façon dont les garçons l'observent a l'école, moi ! Pourtant, dans ses yeux, j'en suis sure qu'elle avait plutôt envie, d'ailleurs. Cependant, elle ne voulait pas le faire tout de suite. Elle voulait jouir, elle voulait encore et encore jouir à fond.

Après un moment à la lécher, elle eut une autre éjaculation sur mon visage. Avec un doigt, je me nettoyais et portais le jus corporel de Mira à ma bouche, la goûtant avec avidité. Quel goût exquis... Et je me remis donc à la lécher, l'épuisant jusqu'à ce qu'elle eût un autre orgasme pour encore goûter a sa cyprine qu'elle avait accumulée depuis quelques années. Elle s'écroulait sur le lit, épuisé tandis que moi, je la regardais. Elle me regardait ensuite, me quémandant de lui faire un câlin.

Avec plaisir, j'acquiesçais et allai m'installais à ses côtés, l'enlaçant doucement. Elle calait sa tête dans mes seins. Je caressais doucement ses cheveux noirs, affectueusement. Je ne comprenais vraiment pas pourquoi elle était vierge, elle est pourtant belle comme un cœur !

-Dis, Mira... Pourquoi es-tu célibataire ? Je ne comprends vraiment pas, petite. Tu as de beaux yeux, un beau corps... Si j'étais née sur Terre, j'aurais tout de suite voulu être avec toi.

Je me mis à caresser doucement les fesses de Mira après avoir descendu ma main le long de son corps.

Je n'avais pas brisé son hymen... Tiens, il faudrait que je m'occupe de ça aussi...
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le dimanche 03 mai 2015, 15:17:18
Mira était toute jouasse d'avoir sa tête dans la poitrine d'Eris. Elle était si confortable, si délicate, si féminine... La mercenaire aurait voulu avoir une poitrine aussi bien faite pour pouvoir faire du bien à la femme des sables de la même façon. Mais au lieu de ça, elle devait se contenter de ses deux seins plats de petite fille. Cela la rendait mélancolique, mais elle s'apaisait en sentant la main de sa partenaire lui caresser les cheveux. Si elle avait été une neko, comme celles qu'elles voyaient parfois dans ses mangas, elle aurait ronronné de plaisir.

Eris interrogea Mira sur pourquoi elle était encore célibataire, comme quoi elle aurait un magnifique corps et qu'elle aurait du attirer le regard de beaucoup de garçons et de filles. Mais la mercenaire n'était pas de cet avis. Pour elle, son corps n'avait rien d'attirant : ses seins étaient tout petits et ses yeux jaunes faisaient plus peur qu'autre chose. Tandis que sa partenaire lui caressait doucement les fesses, elle s'entreprit de lui répondre.

« C'est compliqué. En fait, je ne vis pas sur Terre de manière permanente. J'y suis seulement venue pour faire un travail, et je repartirais ensuite. Du coup je n'ai pas envie de m'attacher à quelqu'un que je serais obligée de quitter après. En plus, dans mon lycée, je n'ai trouvé aucun garçon ou aucune fille qui soit digne d'intérêt. Ce sont tous des idiots obsédés ou des jacasseuses sans cervelle. Et même si je trouvais quelqu'un, je serais trop timide pour aller lui parler.
En plus, ils disent tous que je suis étrange parce que je passe mes soirées toute seule et que je n'ai aucun ami. Je sais que tout le monde se moque de moi dans mon dos. Ils se moquent de mon intelligence, de mon corps, ils me traitent de folle. Je les déteste tous... »


Mira se mit à pleurer dans la poitrine d'Eris. Son quotidien scolaire morose, empli de solitude et de frustration, la rendait un peu plus triste chaque jour. Mais elle n'avait jamais montré ses sentiments à personne. Du moins, jusqu'à maintenant. La mercenaire serrait la femme des sables contre elle, enfouissant sa tête plus profondément entre ses seins, cherchant un contact intime pour la rassurer.

« Pourquoi... personne... ne veut m'aimer ? »

Eris consolait Mira en lui caressant tendrement la tête et en lui chuchotant des mots doux. C'est comme ça que la mercenaire comprit qu'elle avait tort. Quelqu'un l'aimait. Quelqu'un qui l'appréciait pour ce qu'elle était, un jeune génie timide au physique encore naissant, mais néanmoins alléchant. Quelqu'un qui en avait fait beaucoup pour qu'elle se sente bien et en sécurité pour sa première fois. Quelqu'un qui lui procurait des sensations intenses, avec une tendresse tout aussi intense. Quelqu'un qui la tenait entre ses bras, la tête bien installée entre ses seins, et qui n'arrêtait pas de la complimenter sur son corps alors qu'elle avait des formes bien plus avantageuses. La mercenaire leva les yeux vers ceux de sa partenaire, la regarda, et se sentit envahie par la joie.

« Eris... »

Mira alla embrasser la femme des sables, laissant certaines de ses larmes finir sur les joues de cette dernière. Son baiser était empli de passion, une passion renforcée par sa joie d'avoir enfin trouvé une personne capable de l'aimer telle qu'elle était. Le baiser se rompit environ une minute après.

« Eris... j'ai besoin de l'entendre. Dis moi... que tu m'aimes. »

La femme des sables lui dit avec plaisir.

« Merci... Je t'aime aussi... Eris... »

Mira frotta sa tête au cou de sa partenaire, un signe d'affection un peu animal, mais totalement sincère.

« Prends moi... Eris... Fais de moi... une vrai femme... »

La seule chose que Mira voulait, à présent, c'était de sentir l'organe de futanari d'Eris à l'intérieur d'elle. Elle était prête à perdre sa virginité entre les mains de sa délicieuse partenaire.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le dimanche 03 mai 2015, 22:27:47
Elle mit un peu de temps à répondre a ma question, mais elle répondit. Mira ne vivait pas sur terre, du moins de façon permanente. Elle y était pour un travail et selon moi, vu qu'elle avait surement des armes dans sa chambre, ce travail n'était pas vraiment légal sauf si elle avait eu l'autorisation de l'assassiner. Une chasseuse de primes, peut-être ? Ou une mercenaire ? En fait, selon moi, les deux ne diffèrent pas vraiment, c'est juste un changement de nom et de cible, mais dans l'ensemble, c'était pareil. Mira n'avait pas envie de s'attacher a quelqu'un puisque dans son travail, il y avait d'immense chance de mourir et que même si elle survivait, elle allait quitter la terre pour retourner sur les plans de Terra.

Qu'est-ce qu'elle devait s'ennuyer alors, toute seule. J'avais pitié d'elle, toute seule chaque soir et sans amour. Personne ne l'intéressait ici, a l'école. Les hommes étaient des chiens en chaleurs idiots tandis que les femmes étaient des pies bavardes sans cervelle. En effet, la plupart des humains étaient assez stupides avec le temps. Mira était très timide, je l'avais remarqué, en effet. Et elle était mignonne comme ca. Et pour rajouter une couche a tout cela, elle se mit a pleurer. Parce que tout le monde la trouve étrange, ici puisqu'elle passe ses soirées toutes seules, sans la chaleur réconfortante d'une personne. Tout le monde se moquait d'elle. De sa phénoménale intelligence, de son corps si attrayant. Et ils osaient dire qu'elle était folle ! Ces bâtards...

Je caressais doucement sa tête, la rassurant avec des doux mots avec ma douce voix, comme si j'appliquais un baume sur le cœur endolori de Mira. Elle se demandait pourquoi personne ne l'aimait comme elle devrait l'être. Après un instant, elle levait son regard doré sur moi, l'air d'avoir trouvé un trésor. Je devais surement lui illuminer le cœur puisque j'agissais comme une véritable personne devrait agir avec elle. Quelqu'un qui la respecte vraiment. Je voyais un énorme potentiel en Mira, énorme. Il suffit juste qu'elle soit moins timide, et plus, ouverte aux autres...

Elle m'embrassait langoureusement et passionnément pendant une bonne minute, sentant ses larmes de frustration et de chagrin couler sur mes joues. Quoique maintenant, on dirait que c'était des larmes de joie. De la joie de m'avoir trouvé... Elle me demandait de lui dire que je l'aimais. Je disais que je l'aimais beaucoup, même. Elle enfouissait sa tête, me remerciant et disant qu'elle m'aimait aussi. Mira me demandait de la prendre, voulant que je fasse d'elle dés a présent une vraie femme.

-D'accord, Mira...

Doucement, j'enlevais le reste de mes vêtements, incluant culotte. Je lui montrais la chatte et elle arborait maintenant un grand visage surpris. Mira me demandait ou était passer ma queue de Futanari...

-Oh, ça? Je suis un être magique, rappelle-toi. J'ai appris des choses au cours de ma vie... Comme par exemple, avoir une queue entre les jambes pendant un long moment.

Je souriais grandement.

-À moins que tu veux qu'on fasse ça avec ma queue, Mira ?

Elle rougissait de plus belle, gardant silence pendant un moment. Elle répondit enfin qu'elle voulait effectivement une queue, voulant savoir ce que ca faisait. Doucement, je m'approchais d'elle, faisant apparaître une queue entre mes jambes.

-Tu dois t'en occuper, Mira... Comme ça.

Je m'étendais à côté d'elle, pris sa main et la portais à ma verge temporaire. Doucement, je lui faisais faire un va-et-vient, voulant l'habituer.

-Ne sois pas trop brusque. Si tu tiens la queue d'un homme sinon, il aura mal...

Au début, elle était un peu maladroite, mais avec le temps, elle apprenait vite. Elle commençait à avoir une main de maître, sans mauvais jeu de mots.

-Tu apprends vite, mon amour... Dis-je d'une voix sensuelle. Maintenant, il faut le sucer.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le lundi 04 mai 2015, 14:30:34
Mira voulait sentir Eris en elle. Et Eris était d'accord. Elle enleva lentement le reste de ses vêtements, dévoilant enfin la totalité de son corps. Mira demeura immobile un petit moment, tandis que ses yeux dévoraient la vue de sa partenaire entièrement nue : sa peau, ses seins, ses hanches, ses bras, ses jambes et surtout... son sexe. Mais quand les yeux de la mercenaire se posèrent dessus, elle fut surpris de voir une chatte de femme seule, et pas de pénis.

« Eris, où est ta bite de futanari ? »

Elle lui répondit que, en tant qu'être magique, elle pouvait faire apparaître et disparaître sa queue à volonté. Puis elle lui demanda si elle préférait le faire tout de suite avec son pénis. La question fit rougir Mira. Même si elle avait très envie de s'occuper de l'organe masculin de sa partenaire, elle n'osait pas lui demander parce qu'elle trouvait ça très embarrassant. Une vierge dans toute sa splendeur ! Mais elle était bien plus curieuse et désireuse qu'elle était embarrassée et gênée. Alors, finalement, elle réussit à le lui dire.

« Je veux... ta queue, Eris. Je veux voir ce que ça fait de la tenir entre mes mains, de l'avoir dans ma bouche, de la sentir dans mon... »

La mercenaire ne put finir sa phrase. Elle était encore bloquée par sa pudeur. Mais le message était clair : elle voulait le pénis de sa partenaire.

Eris s'approcha de Mira pour que cette dernière voit bien son entrejambe, puis y fit apparaître sa queue. La femme des sables s'étendit ensuite à côté d'elle, prit sa main et la porta à sa verge magique. Doucement, elle lui faisait faire un va et vient lent, pour l'habituer à la sensation. La mercenaire découvrait le sentiment d'avoir un organe masculin entre ses mains. Il était tout chaud, tout palpitant. Et ce parfum... Une odeur qui lui donnait très envie et intensifiait ses pulsions. A moins qu'il ne s'agisse du parfum des aphrodisiaques contenus dans les bougies, que la jeune fille avait identifié depuis un moment mais qu'elle respirait avec plaisir.

Suivant les instructions de sa partenaire, Mira masturba le pénis lentement, avec le plus de douceur possible. Elle était un peu maladroite au début, mais finit par capter le mouvement et caressait cet organe avec beaucoup de finesse. Eris la complimenta sur sa vitesse d'apprentissage, puis lui demanda de passer au stade supérieur. Évidemment, la mercenaire était intimidée par cette perspective. Mais le mélange des odeurs qui arrivait à ses narines l'aidait à se décoincer. Elle lui donna même une idée : elle alla se mettre sur la femme des sables, la bouche près de l'organe à sucer, tandis que son entrejambe était en plein devant le visage de la jeune femme.

« C'est une position que j'ai vu dans les mangas érotiques que je lis. Ça... ça te plaît ? »

Eris semblait contente. Et il n'en fallait pas plus à Mira pour être contente à son tour.

La mercenaire embrassa le pénis de sa partenaire, comme un avant-goût, s'étonna de le voir tressaillir, craignant d'avoir fait une bêtise. Mais puisque sa partenaire ne lui disait rien, elle pensa que c'était normal. Et sans attendre plus longtemps, elle le mit dans sa bouche. Au début, elle ne savait pas quoi faire et le léchait dans toute sa longueur. Puis Eris lui dit comment améliorer ses gestes. Elle fit ce que la femme des sables lui disait et, ainsi, les deux femmes prirent bien plus de plaisir. La futanari se sentait même tellement bien qu'elle s'était mise à lécher la fleur de Mira, dont les couinements étaient étouffés par la présence du pénis dans sa bouche.

Après quelques minutes de succion, Mira sentit que l'organe tressaillait plus fort et était bien plus chaud. Dans le doute, elle s'arrêta un instant pour demander ce qui se passait à Eris. Elle lui répondit de ne pas s'arrêter, qu'elle allait bientôt jouir. La mercenaire se remit donc immédiatement à l'œuvre, sentant qu'elle approchait elle aussi d'un nouvel orgasme.
Et très vite, ce fut la jouissance des deux côtés : Eris et Mira lâchèrent ensemble un cri de plaisir, la cyprine de la mercenaire vint se répandre sur le visage de sa partenaire, et la semence de la femme des sables explosa dans la bouche de la jeune fille. Ne se sentant pas de tout avaler, elle enleva son visage au début de l'éjaculation, si bien que la majorité de la semence finit sur son visage, sa poitrine et les draps écarlates du lit. Curieuse de voir quel goût avait le sperme, Mira fit glisser sa langue autour de ses lèvres pour en récupérer et l'avaler. Sans être le plat de l'année, ce n'était pas dégoûtant. En plus, cela la réchauffait au niveau du bas-ventre. La seule chose qui la gênait, c'était d'être recouverte sur tout le haut du corps par cette substance collante.

Maintenant qu'elles étaient toutes les deux bien échauffées, la mercenaire voulait passer aux choses sérieuse. A ce qu'elle avait attendu pendant toutes ces longues années. Le contact physique et intime absolu. Elle alla s'allonger à côté d'Eris et lui parla avec une voix mêlée de désir et de crainte.

« Eris... est ce que maintenant... tu veux bien... me prendre ? »
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le mardi 05 mai 2015, 03:06:04
Elle apprenait très vite, cette petite. Elle masturbait très bien la verge pour l'instant, mais des hommes pouvaient en avoir des plus gros que moi. Des bien plus gros, ailleurs... Et quand c'est trop gros, ça gâche parfois le plaisir. Après que je lui ai demandé, une sorte de lueur apparaissait dans son regard. Doucement, elle mit son entrejambe devant mon visage et son visage était proche de ma verge magique. Oh, elle connaissait donc le soixante-neuf ? Grace a des mangas érotiques, en plus. Une vraie vierge... Hihi.

Pour commencer, Mira embrassait le bout du bâton de chair qui tressaillit légèrement pour qu'ensuite, elle commençait à sucer, de haut en bas vu qu'elle ne savait pas trop comment faire. Je lui conseillais comment faire, voulant apprendre à Mira comment plaire a un homme comme ca. Je soupirais doucement, prenant du bien. Ensuite, je me mis a lécher la fleur de Mira qui allait bientôt 'éclore' avec ma verge a l'intérieur d'elle. Elle avait surement envie de couiner, de me faire entendre ses gémissements, mais, ma verge était à l'intérieur d'elle.

Après de long moment a sucer ma verge, je sentais que j'allais bientôt venir. Très bientôt. Bien, Mira aura un aperçu du goût de la semence d'un homme. Elle sentit que mon organe tremblait un peu, un peu plus chaud qu'avant, Mira me demandait donc que se passait-il. Je lui rassurais quant à ce qui se passait, l'avertissant que j'allais bientôt éjaculer. Elle reprit donc la manœuvre, continuant quant à moi de la lécher. Rapidement, nous eûmes rapidement un orgasme. J'éjaculais sur son visage et son corps tandis qu'elle déversait son flot de nectar sur mon visage, que j'empressais de nettoyer sur-le-champ avec mes doigts pour ensuite les goûter.

Elle s'allongeait enfin à côté de moi, pantelante et en sueur. Moi, j'étais encore remplie d'énergie et ma queue était encore debout, demandant plus qu'il n'en pouvait. Mira me demandait enfin si je pouvais la prendre, ayant un peu peur, mais son désir dominant de plus en plus.
Je souriais et murmurais :

-Bien sûr, Mira...

Je me mis sur mes genoux et Mira, elle, se mit à quatre pattes, le cul bien en l'air et face contre terre. Hihi, ses fesses étaient si beau a regarder, vu comme ça... Je collais mon gland contre ses lèvres, le frottant doucement. Elle me suppliait de la prendre... Je mettais donc doucement mes mains sur ses hanches.

-D'accord, Mira. Si tu as mal, tu me le dis...

D'un coup, j'enfonçais ma verge en elle, brisant déjà son hymen, ce qui eut pour effet de lui arracher un petit cri de douleur. Inquiète, je lui demandais si elle allait bien, mais elle répondit que oui, que je pouvais continuer. Je hochais la tête et commençais donc mes va-et-vient, profitant de la sensation de chaleur sur le bâton de chair en son antre humide. Oooh, la sensation était exquise... Je comprends maintenant pourquoi les hommes aimaient tant être à l'intérieur d'une femme, même si j'avais couché avec de nombreuses personnes du beau sexe plusieurs fois.

-Haan, Mira...

Je commençais à donner des coups de reins plus rapides, gémissant en cœur avec elle alors qu'a certains moment, je lui arrachais des petits cris. Dans ses gémissements, je pouvais bien percevoir le bonheur d'avoir enfin perdu sa virginité. Et enfin d’être devenue une vraie femme.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le mardi 05 mai 2015, 15:33:37
Dans un murmure, Eris fit signe à Mira de se mettre en place, qu'elle allait lui prendre sa virginité. La femme des sables se mit sur les genoux, le pénis dressé en l'air malgré qu'elle venait juste de jouir, et la mercenaire se mit à quatre pattes, lui présentant ses fesses. Elle aurait préféré que sa partenaire la prenne face à face, mais elle pourrait toujours lui demander après. Pour l'instant elle voulait surtout se faire pénétrer, et c'est comme ça que la femme des sables lui avait dit de se mettre. Cependant, à cause de la fatigue qu'elle avait accumulée après tous ces efforts, elle ne pouvait plus tenir sur ses bras, elle avait donc posé sa tête sur le matelas. Elle n'attendait plus qu'une chose : que sa partenaire vienne à elle.

Eris posa ses mains sur les hanches de Mira pour prendre appui, et frotta lentement son gland sur l'entrée de son intimité. Rien que ça, c'était déjà énorme pour la mercenaire. Elle n'en pouvait plus d'attendre.

« Eris... Je t'en supplie... Vas y... »

Mira n'avait jamais supplié personne dans sa vie. Autant dire qu'elle voulait vraiment sentir cette chose en elle.

Et finalement, après tant d'attente, la femme des sables enfonça enfin son organe dans le vagin de la jeune fille. Moins de deux secondes après, son hymen se perça et elle cria à cause de la douleur. Elle ne pensait pas que ce serait aussi douloureux. En voyant sa souffrance, Eris voulut sortir sa verge, mais Mira l'en empêcha.

« Je... Je vais bien... même si ça fait... un peu mal... Tu peux... continuer... »

Ce n'était pas la première fois que Mira supportait la douleur, et ce ne serait sûrement pas la dernière. Et comme à chaque fois, elle avait une bonne raison de l'endurer. Cette fois, c'était parce qu'elle savait que, une fois habituée à la présence du pénis de la futanari en elle, la douleur laisserait place à un plaisir immense. Du moins, elle l'espérait de tout son cœur. Devant ses yeux, elle vit alors les pétales de rose passer du blanc pur au rouge écarlate, aussi rouge que les draps sur lesquels elle se trouvait.

Des pétales magiques... Elle a vraiment tout fait pour que cet instant soit merveilleux...

Eris commença ses va-et-viens, tout en douceur, pour laisser le temps à la jeune fille de se faire à la sensation. Et elle s'y faisait. Peu à peu, la douleur laissait place au plaisir et à l'envie. La mercenaire gémissait en sentant le bâton de chair racler les parois de son antre humide. Elle adorait ça. Et elle en voulait plus. Alors elle remua son bassin pour essayer d'avoir plus de sensations, et sa partenaire répondit en allant plus vite dans ses coups de reins.

Les deux femmes gémissaient à l'unisson. La femme des sables remuait son engin aussi fort que possible sans que ce soit douloureux, la jeune fille fraîchement devenue femme couinait comme une folle, criait parfois. Même si elle déplorait de ne rien pouvoir faire pour participer à l'action, elle prenait tellement de plaisir qu'elle s'en fichait bien de laisser sa partenaire s'occuper de tout. Chaque seconde était un vrai bonheur, elle ne se lassait pas d'avoir cette chose remuante en elle.

« Ah... ah... oui... oui... ah... »

En temps normal, jamais elle n'aurait laissé sa voix se libérer autant, mais sa retenue disparaissait à mesure que son plaisir augmentait. Et quand elle se sentit approcher de l'orgasme, elle priait pour que sa partenaire jouisse en même temps qu'elle.

Ses prières furent entendus : Mira et Eris atteignirent la jouissance ensemble. Elles libérèrent ensemble un grand cri aigu, et la semence magique de la femme des sables se répandit dans les tripes de la mercenaire, tandis que la cyprine de cette dernière s'expulsa en même temps qu'une partie de la semence. Elle sentit la verge sortir de son corps, et s'écroula comme une masse sur le lit, tandis que des liquides continuaient de sortir de son entrejambe. Elle se sentait comme si elle avait combattu pendant une semaine sans jamais s'arrêter, mais elle ne demandait qu'une chose : recommencer. Le plaisir et la joie ressentis avaient été si intenses, rien de ce qu'elle avait connu dans sa vie ne paraissait aussi puissant. Du moins, au niveau physique.

Mira se redressa et se mit sur les genoux pour reprendre son souffle. Eris vint passer ses bras autour d'elle, l'embrassa sur la joue et lui demanda comment elle se sentait.

« Je... je me sens... merveilleusement bien. Je me sens... comme une vraie femme. Même si j'ai eu mal au début... et que je suis fatiguée maintenant... j'ai hâte de recommencer. »

Justement, la mercenaire se disait que, depuis le début, elle n'en avait pas fait beaucoup pour sa partenaire, et elle le déplorait. Après tout ce que cette femme avait fait pour lui offrir une première fois parfaite, elle s'est dit qu'il était temps que ce soit elle qui se mette à l’œuvre.

Mira se retourna pour faire face à Eris.

« Eris... je veux te faire encore plus de bien. Rentre ta queue... que je puisse satisfaire ta vulve... de femme à femme. »

La mercenaire se voyait maintenant en tant que telle.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le mercredi 06 mai 2015, 02:59:16
Elle était si émerveillée. Même de ma position, je pouvais ressentir le bonheur qui émanait d'elle, celle d'être une femme. Et surtout, surprise par les pétales qui avaient tourné du blanc neige au rouge écarlate, comme les draps. Hihi, je me suis assuré qu'elle ait un 'déviergement' de classe supérieure, chose que je faisais souvent aux jeunes pucelles et puceaux. Et encore, elle était si friande des plaisirs de la chair maintenant qu'elle avait essayé de remuer son bassin en fonction de mes mouvements pour avoir plus de sensation, petite coquine.

Sa voix est devenue plus forte, ainsi que ses gémissements, couinements et ses petits cris. Pendant longtemps, nous restions comme ça, augmentant le rythme de mes coups de reins plus vite, plus fort. Je sentais que j'allais bientôt jouir et Mira, elle, devait aussi bientôt jouir. À mon grand étonnement, nous jouissions ensemble, cyprine se mélangeant a ma semence, ma semence s'enfonçant plus profondément dans ses tripes tandis que son jus arrosait mes cuisses. Je me retirais doucement, me couchais sur le lit, haletant un peu. Mira s'écroulait à mes côtés, du jus et de la semence s'écoulant comme un ruisseau de sa fente.

Je me redressais doucement en même temps que Mira, l'enlaçait tendrement et lui fit un petit bisou sur sa joue, questionnant son état. Comme prévue, Mira rayonnait de bonheur. Dés a présent, elle était une vraie femme. Qu'est-ce que j'étais content pour elle... Et en plus, elle en voulait encore !?! Hihi!

Mira me demandait de faire disparaître ma queue, car elle voulait me faire plaisir, de femme à femme. Ooh... Elle avait envie de me faire plaisir ? Ce n'était rien, pourtant. Tout ce que j'avais fait était de réaliser le fantasme de la jeune femme aux yeux dorés.

-D'accord, Mira aux yeux d'or... Susurrais-je avec un rictus.

Je fis disparaître magiquement ma queue. Doucement, j'écartais les jambes, laissant voir ma fente féminine. À mon grand plaisir, Mira avait retenu la leçon. En effet, elle s'était mise a lécher en premier ma fente humide, goûtant au jus corporelle qui s'écoulait doucement de ma chatte.

-Haan... Mira... Oui...

Je lui conseillais comment s'y prendre avec la langue, pendant qu'elle me léchait pendant une bonne dizaine de minutes. Après ceci fait, j'éjaculais de ma cyprine sur le beau visage de la jeune femme. Je haletais et, me relevant, je me mis doucement a lécher le visage de Mira, échangeant des langoureux baisers avec elle.

-Hmm... Tu es si belle, Mira...

Je souriais et après avoir fait sa 'toilette', j'écartais à nouveau les jambes.

-Dis-moi, Mira... Dans tes mangas, tu a déjà vu la position du ciseau? Lui demandais-je avec un sourire coquin.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le mercredi 06 mai 2015, 16:57:01
Dans un rictus, Eris fit disparaître son membre masculin, laissant son entrejambe au naturel, 100% féminin. Mira se mit à lécher cette fente humide, avec beaucoup de précaution et de délicatesse, ayant bien retenu les leçons d'Eris. Elle récoltait et avalait avec plaisir chaque goutte du nectar de sa partenaire, sucré à souhait. Parfois, elle lui frottait le clitoris avec le bout de sa langue, sachant très bien que ce petit bouton procurait un plaisir immense. Ses gémissements se mêlaient à la voix de la femme des sables, qui la conseillait sur la façon de bien la lécher. Elles étaient toutes les deux ravies de ce contact.

Il fallut près de dix minutes pour qu'Eris atteigne l'orgasme. Elle alla répandre sa cyprine sur le visage de Mira, qui en récupéra ensuite pour la mettre dans sa bouche. Le goût du jus de sa chatte était bien meilleur que celui de sa semence magique. Mais elle n'eut pas le temps de tout prendre : sa partenaire se releva, vint lui lécher le visage pour le nettoyer de tout le fluide, l'embrassant parfois pour partager le goût de la cyprine entre leurs deux bouches. La mercenaire adorait se faire lécher. Que ce soit son visage, son cou, ses seins ou son sexe, elle tremblait à chaque fois que l'organe buccal touchait sa peau. D'ailleurs, le souvenir du moment où son cou en sueur s'était fait nettoyer par la femmes des sables continuait de tourner dans sa tête.

Après lui avoir fait sa ''toilette'', Eris s'éloigna et lui présenta à nouveau son entrejambe humide, lui parlant d'une autre position sexuelle.

« Euh... le nom ne me rappelle rien. »

Sa partenaire lui expliqua rapidement en quoi consistait cette position, et c'est là que la mercenaire se souvint qu'elle l'avait déjà vu, mais qu'elle ne connaissait pas le nom à ce moment-là.

« Ah, oui ! Je l'ai déjà vu dans un de mes mangas. Rien qu'à voir les expressions dessinées sur le visage des deux filles, ça avait l'air de leur faire beaucoup de bien. J'avais fini tellement humide ce jour là. »

Dans la position du ciseau, les deux partenaires frottaient leurs parties intimes l'une contre l'autre, se procurant ainsi un plaisir immense par le contact de leurs fentes et de leurs clitoris. Elles pouvaient même le faire tout en s'embrassant et en collant leurs poitrines l'une contre l'autre, pour que même leur peau participe à leur plaisir. Rien que de s'imaginer à faire une chose aussi érotique avec Eris, Mira se remettait à mouiller. La gêne n'existait plus en elle, seul l'envie restait. Et son envie, maintenant, était de s'ébattre encore plus avec sa partenaire. Jusqu'à ce que son corps demande pitié et que son cerveau soit aussi vide qu'un trou noir.

Avec l'aide d'Eris, Mira alla se placer selon la position du ciseau. Son intimité était maintenant collée à celle de la femme des sables, qui était prête à tout donner, tout comme la mercenaire. Même sans bouger, la sensibilité de son entrejambe après tout ce qu'elle avait subi était telle que ce seul contact immobile la faisait déjà frissonner. Son excitation la poussa à commencer à bouger la première. Sa vulve frottait contre celle de sa partenaire, ainsi que son clitoris, et elle se soutenait avec peine sur ses bras, ayant du mal à conserver ses forces. Très vite, elle se sentait tellement stimulée qu'elle sauta sur sa partenaire, l'enlaçant entre ses bras, collant sa poitrine à la sienne et lui donnant un sulfureux baiser. Sa langue dansait joyeusement avec la sienne, leurs tétons se stimulaient entre eux et leurs sexes apaisaient leurs feux respectifs en s'inondant de fluides intimes.

Mira était tellement en chaleur qu'il lui aurait fallu plusieurs orgasmes pour se calmer. Mais elle savait qu'Eris tiendrait la route. Elle pouvait donc se libérer de sa retenue.

Je vais te faire ressentir à quel point je suis heureuse, Eris...
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le vendredi 08 mai 2015, 04:24:09
Elle répondit qu'elle ne savait rien de la position du ciseau, faute de mémoire. Donc, je m'entrepris de lui expliquer la fonction de cette position, continuant de jouer du regard avec elle. Elle se souvenait enfin, disant qu'elle l'avait déjà vu dans un de ses mangas érotiques. Par déduction pure et simple, elle avait déduit que les partenaires qui exerçaient cette position avait beaucoup de plaisir. Tout était mignon chez Mira, tout. Autant ses yeux charmeurs que son intelligence et son 'innocence', beaucoup avaient tort de la croire folle et étrange, voire effrayante. Moi, j'étais très chanceuse de l'avoir rencontré, cette Mira aux yeux d'or.

Mira s'installait confortablement pour la position du ciseau, continuant de nous observer un moment. Un énorme désir était ancré en elle, maintenant qu'elle connaissait les joies du sexe. Elle entreprit donc de bouger en premier, sa fleur se frottant contre la mienne doucement. Je gémissais et gémissais, convulsée de plaisir. Soudainement, Mira se collait a moi, ma poitrine contre la sienne, bien que la mienne fût plus charnue que la sienne. Elle m'embrassait enfin, prise de passion sauvage tandis que nos nectars corporels se mélangeait entre eux.

Pendant une bonne vingtaine de minute, nous restions comme ça, gémissant pendant qu'on se faisait l'amour sur le lit, de la sueur perlant déjà sur mon corps, surtout au niveau de la poitrine.

-Mira... Haan... Tu es déjà très bonne, beauté...

Je l'embrassais toujours, mais plus ardemment, menant une bataille contre sa langue tandis que je lui donnais une petite fessée pour l'exciter. Ensuite, avec mon autre main, je commençais à tordre légèrement ses tétons, profitant de la sensation de ceux-ci.

-Haan... Oui...

Je sentais déjà que j'allais encore jouir...

-Tous ceux qui t'ont insulté ou mépriser ont eu vraiment tort...
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le vendredi 08 mai 2015, 17:41:26
Pendant près de vingt minutes, Mira et Eris se firent du bien dans la position du ciseau. Collée contre sa partenaire, la mercenaire échangeait un baiser passionné avec elle, comme si leurs langues se battaient ensemble. Et tout à coup, les mains de la femme des sables se mirent à l'œuvre : une main lui mettait une fessée, l'autre lui pinçait les tétons. Évidemment, tout ça ne faisait qu'exciter Mira encore plus. Rajouté à ça, sa partenaire ne cessait de lui dire à quel point elle était merveilleuse, et que tous ceux qui l'avaient critiqué avaient fait une grosse erreur. Encore une fois, la jeune fille était aussi bien apaisée physiquement qu’émotionnellement.

« Ah... Eris... je t'aime... tellement... aahh... »

A son tour, ses mains devinrent audacieuses : tout comme Eris le lui faisait, Mira lui mit une fessée et lui pinça les tétons, avec passion mais sans en faire trop. Elle se concentrait principalement sur les mouvements de son bassin et de sa langue. Elle sentait l'orgasme venir.

Une minute après, les deux femmes atteignirent à nouveau la jouissance ensemble. Leurs fluides se mêlèrent, lâchés de leurs sexes respectifs tels des cascades furieuses, et leurs cris s'entendirent dans toute la pièce. Pourtant, Mira en voulait plus. A peine avait-elle récupéré ses forces qu'elle se remettait à frotter son entrejambe contre celle d'Eris, plaquant son corps contre le sien, la serrant dans ses bras, la tête calée à côté de la sienne et le menton posé sur son épaule. Elle manquait un peu de souffle et avait du mal à tenir la cadence, mais elle ne pouvait pas s'arrêter. C'était plus fort qu'elle.

Dix minutes après, elle commençait à suffoquer. La fatigue la rattrapait, son corps la tiraillait, mais elle ne put s'arrêter que lorsque elle et sa partenaire atteignirent à nouveau l'orgasme. Leurs intimités libérèrent un peu moins de cyprine, mais ce fut néanmoins un flot important. En dessous de leurs fesses, les draps étaient complètement trempés. A cause de son manque d'énergie, la mercenaire perdit connaissance après et s'écroula sur le lit.

Elle se réveilla environ dix minutes plus tard. Eris était à côté d'elle, lui caressant le visage et veillant sur elle avec attention. Elle était, sans aucun doute, la partenaire idéale pour une jeune fille à peine devenue femme. Mira tourna le visage et la regarda, les yeux emplis de joie et d'envie. Même si la fatigue l'avait dépassé, elle n'avait aucun regret. Et elle ne comptait pas s'arrêter maintenant, alors qu'il lui restait tant de choses à faire et à découvrir entre les mains de la femme des sables. Mais elle savait qu'elle ne pourrait pas repartir sans se faire un peu exciter. Et elle savait exactement comment faire.

Mira prit une des mains d'Eris et l'amena à sa cuisse droite pour la poser sur sa cicatrice. Un délicieux frisson lui parcourut immédiatement le corps. Cette coupure était si sensible.

« J'en veux encore... Eris... »
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le samedi 09 mai 2015, 03:30:40
Elle m'aimait vraiment... Mais je doutais quant à la véracité de ses dires. Peut-être le disait-elle sur le moment ? Mais bon, quoi qu'il en soit, je serais ravie qu'elle soit amoureuse de moi ! Elle allait surement se plaire dans mon harem, avec mes femmes... Hihi! Sans que j'y m'y attende, elle fit comme moi. Elle se mit à pincer mes tétons et à me donner une fessée avec son autre main. Ooh, la petite coquine ! Elle avait surement lue des tonnes de manga érotique, celle-là. Pendant une bonne minute, nous fîmes que nous embrasser, se caresser, se faire l'amour jusqu’à ce que nous atteignions encore l'orgasme, mouillant déjà énormément les draps qui sont trop imbibés de cyprine. Ouh, ça allait puer... Sauf si cette petite aimait bien notre odeur de cyprine. Nous poussions un cri, chacune emportée par le désir et la sexualité du moment.

Nous cessions de bouger un moment, reprenant nos forces. Mira me regardait avec une envie énorme et des étoiles semblaient couvrir ses yeux. Ses si beaux yeux. Elle me surprit, elle refit ses mouvements de bassins, frottant nos sexes entre eux. Elle m'enlaçait dans une étreinte serrée, nos deux corps collés, l'un a l'autre, sa tête contre mon épaule. Elle semblait si fragile, dans cette position. Comme une enfant. Elle est encore une enfant, en terme d'amour.

Après une bonne dizaine de minutes, je remarquais qu'elle suffoquait. Je voulais m'arrêter, mais le plaisir était trop grand, pour ça. Elle allait être K-O, ça, j'en suis certaine. Et c'est-ce qu'elle fit, après encore avoir joui. Elle s'étendait sur le lit, K-O par tout ce manque d'énergie et je me couchais à côté d'elle, caressant son beau visage affectueusement. Elle allait trouver quelqu'un qui allait faire battre son cœur. Si elle n'est pas satisfaite avec moi... Alors, elle le sera surement avec quelqu'un d'autre. Nous nous regardions mutuellement, nous examinant. Ses yeux, même pour moi, était hypnotisant. Je pouvais rester ainsi, la regarder pendant des heures et des heures, elle me fascinerait toujours autant.

Elle attrapait ma main droite et me faisait caresser sa cicatrice, sur la cuisse droite précisément. J'ai cru comprendre qu'elle éprouvait une sorte de plaisir à se toucher ou que quelqu'un touche a cet endroit là. Elle me suppliait de recoucher avec elle, qu'elle en voulait encore.

Je gloussais doucement, continuant toujours de caresser sa cicatrice.

-Voyons, donc Mira... Tu as mouillé entièrement tes draps comme si les chutes du Niagara étaient passée par là, et tu en veux encore ? Très bien, petit chenapan... Mais après, ce sera fini pour un moment. Tu es tombée inconsciente, je ne pousserais pas trop tes limites, pour l'instant.

Je posais mes lèvres contre les siennes, rejouant avec nos organes buccaux. J'avais eu une idée en tête...

-J'espère que ta chatte est encore très humide, Chère Mira... Tu vas avoir quelque chose de massif, maintenant.

Doucement, de ma main libre, je lui montrais ma main que je serrais en un poing.

-Tu comprends, j'espère ? Dis-je avec un rictus.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le samedi 09 mai 2015, 13:02:48
C'est vrai que Mira avait utilisé la plupart de son énergie lors des dernières minutes, à tel point qu'elle s'était évanouie après son dernier orgasme. Mais ce n'était pas une raison suffisante pour elle d'arrêter de s'amuser avec Eris. En plus, avec la main de cette dernière qui caressait sa cicatrice, son excitation remontait dans son corps et ses muscles retrouvaient leurs forces. La femme des sables l'incitait à faire une pause, à ne pas pousser ses limites trop loin. Mais avant, elle était prête à lui offrir un dernier orgasme.

« D'accord Eris... Une dernière fois... Après je m'arrête pour aujourd'hui... »

A cause de tout ce qui s'était passé, Mira ne savait plus depuis combien de temps elle était ici. Cela faisait il 30 minutes ? Une heure ? Deux heures ? Plus encore ? Impossible à dire. Mais en tout cas, chaque minute avait été un ravissement pour elle. Elle n'avait aucun regret, et était prête à attaquer le grand final. Un final qu'Eris lui présenta sous la forme de sa main, serrée en poing. Évidemment, la mercenaire savait très bien de quoi il s'agissait.

« Oui... Je vois... et je suis prête... à la recevoir... »

Mira alla coller ses lèvres sur celles de la femme des sables pour partager un dernier baiser avec elle avant de passer à l'action. Une fois qu'elle mit fin à ce baiser, elle écarta ses jambes pour bien montrer sa vulve trempée à sa partenaire, l'invitant à venir entrer sa main. Une chose que cette dernière fit avec joie, pour ensuite faire des allées et venues plutôt calmes, restreintes par le manque de place, tandis que son poignet caressait son clitoris. La jeune fille sentit le désir se déchaîner dans tous ses muscles, depuis ses orteils jusqu'à son cerveau. Avoir une chose aussi grosse que la main entière d'Eris qui frottait contre les parois de son intérieur lui donnait envie de hurler, ce qu'elle fit assez rapidement après l'entrée de sa partenaire en elle. Elle s'attendait à avoir mal à cause de la taille, mais maintenant que son hymen était percé et que sa chatte était très humide, le poing glissait facilement en elle et lui procurait un incroyable plaisir. Cependant, à cause de l'endolorissement de ses muscles, en particulier des muscles de son intérieur, la jouissance arrivait très vite. Voulant faire durer le plaisir plus longtemps, elle faisait tout pour ralentir la montée de l'excitation, mais rien ne pouvait la retenir. Après tout ce qui lui était arrivée, son corps agissait à l'instinct, ignorait les messages de son cerveau, et ne cherchait qu'à jouir, encore et encore, jusqu'à ce que ses limites physiques ne soient atteintes. Ce qui, maintenant, n'était plus qu'une question de secondes.

Quand Mira atteignit enfin l'orgasme, tout son corps se relâcha complètement. Son vagin expulsa la main d'Eris, en même temps que la cyprine qui lui restait encore. Cette fois, elle savait que son corps avait atteint le bout du rouleau, et qu'elle ne supporterait pas un autre orgasme. Mais avant de mettre fin à cette séance de sexe, il y avait encore deux choses qu'elle souhaitait faire. La première fut de prendre la main poisseuse de la femme des sables et de lécher ses doigts pour pouvoir goûter à sa propre saveur. Une fois la main totalement propre et la mercenaire régalée par son propre jus intime, elle passa à sa deuxième envie, qu'elle vint marmonner près du visage de la femme des sables.

« Eris... avant que j'arrête... laisse moi te faire jouir... une dernière fois... »
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le samedi 09 mai 2015, 21:34:07
Elle dit qu'elle voyait ce que je voulais dire, étant même prête à le faire. Oh, elle allait passer un bon moment avec moi. En fait, elle a enchaîné de très bons moments avec moi. Et il y en allait avoir beaucoup d'autres, dans le futur, surement. Mira collait ses lèvres contre les miennes une dernière fois, profitant de la saveur de mes lèvres. Elle écartait ensuite les jambes, en ayant bien sur rompu le baiser langoureux et je me mis donc au travail, la vue de la vulve mouillée m'attirant une fois de plus. Doucement, je glissais ma main à l'intérieur de la fleur de Mira, faisant de longs et lents va-et-vient, mon poignet caressant la petite boule de chair.

Oooh, qu'elle était mouillée ! J'ai glissé ma main aussi facilement là-dedans qu'une épée transperçant de la chair. Je sais, glauque comme comparaison, mais vous comprenez, quoi ! Elle hurlait littéralement de plaisir, ses cris se répercutant dans sa chambre et peut-être même dans tout le lycée, si ça se pouvait. J'accélérais mes va-et-vient en faisant attention, ne voulant pas faire de mal a la belle fille aux draps mouillés alors que je regardais Mira pousser ses hurlements de plaisirs, la trouvant belle a n'importe quel moment.

Je remarquais qu'en effet, Mira avait envie de jouir maintenant. Par contre, elle se retenait, surement pour profiter le plus longtemps possibles, telle les vierges maintenant déviergée. D'un cri, elle fit signaler qu'elle jouissait et sa chatte expulsée ma main en même temps que sa cyprine, enfin, le peu qu'il lui restait. Elle respirait lourdement, récupérant peu à peu son souffle. Elle portait ma main à sa bouche, léchant sa mouille qui était encore présente sur mes doigts comme une abeille butinant tout le pollen qu'il pouvait sauf que Mira, elle, était une abeille bien avare et affamée, on dirait. Ensuite, après qu'elle ait vérifié que tout était propre, elle vint murmurer à mon oreille qu'elle voulait me faire jouir une dernière fois.

Sa demande m'arrachait un sourire coquin et je l'embrassais langoureusement.

-Bien sûr, Mira. Mais ensuite... C'est fini, pour aujourd'hui, en tout cas.

Doucement, je m'étendais sur le lit, jambe écartée et vulve bien mouillée. Mira s'approchait de ma vulve, commençant donc a lécher et à faire rentrer ses doigts en moi. Je soupirais et soupirais, gémissais et poussait des petits cris, remarquant que cette dernière avait bien appris de son professeur. Si elle se trouvait un mari ou une femme, elle sera, toutes les deux, chanceuse. Mes gémissements se transformaient en cri, jouissant des allées et venus de la belle Mira, appréciant son coup de langue qui s'enfonçait parfois en moi et ses doigts frottant contre les parois humides de ma fleur du désert, jouissant du moment présent. Littéralement.

-Mira... Je... Haan...

Je me mordais légèrement la lèvre inférieure.

-Huum... Tu es vraiment douée, maintenant...
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le dimanche 10 mai 2015, 14:36:35
Après un sourire et un autre délicieux baiser, Eris accepta la demande de sa partenaire, à condition que cet orgasme soit le dernier de la journée. De toute façon, Mira ne comptait pas aller plus loin car elle savait très bien que son corps ne pourrait tout bonnement plus continuer après. La femme des sables alla s'allonger face à elle, jambes écartés, son sexe humide bien en vue. Comme attirée par ce dernier, la mercenaire s'en approcha et se mit à le lécher, avalant avec joie chaque goutte de cyprine qu'elle pouvait récolter. Puis elle rentra ses doigts pour la stimuler de l'intérieur, remuant avec précaution. Parfois, elle les sortait pour pouvoir rentrer sa langue à la place. Et elle faisait tout ça sans oublier de toujours avoir une partie de son corps qui vienne titiller le bouton de plaisir bien tendu de la femme des sables, ce point si sensible du corps féminin. La jeune fille pouvait entendre sa partenaire gémir, puis crier sous l'effet du plaisir, tout en la complimentant sur sa méthode. Et cela la rendait heureuse de pouvoir lui faire autant de bien.

J'ai vraiment eu de la chance de la rencontrer... Grâce à elle, je sais enfin ce qu'est vraiment le plaisir.

Pendant plusieurs longues minutes, Mira jouait ainsi avec Eris, agitant ses doigts et sa langue sur cette fleur du désert, et récoltant son nectar avec joie. Son bonheur était si grand que, ignorant tous les risques et tous les messages d'alerte que son corps lui lançait, elle dirigea sa main libre jusqu'à son entrejambe, toujours aussi ruisselante, et commença à se masturber. Depuis des années, elle entendait les gens autour d'elle, qu'ils soient garçons ou filles, parler des sensations que cela faisait de se faire du bien à soi-même. Mais la mercenaire n'avait jamais osé essayer. D'abord parce qu'elle trouvait cette idée très embarrassante, mais aussi parce qu'elle voulait se réserver pour son premier partenaire, pensant que tout serait plus intense si c'était réellement la première fois qu'elle le ressentait. Et ça avait marché. Mais maintenant qu'elle n'était plus vierge, la jeune fille voulait rattraper le temps perdu, et s'était décidé à profiter de son manque de retenue pour enfin savoir ce que cela faisait. Et honnêtement... elle était déçue.

Mira enfonçait deux de ses doigts dans son sexe, faisant des allées et venues plutôt rapides, mais ce qu'elle ressentait paraissait fade à côté de ce qu'Eris lui avait fait avant. Même si c'était bon, ça ne l'était pas assez. Pourtant, elle ne pouvait plus s'arrêter. Sa langue, ses mains, tout son corps était hors de contrôle. Elle ne pensait plus qu'à une chose : atteindre le dernier orgasme, puis ensuite dormir. Reposer son corps et son esprit pour pouvoir se remettre de ses émotions.

Avec un peu d'insistance, la jouissance arriva enfin. D'abord pour Eris, qui répandit son jus sur le visage de sa partenaire. Puis pour Mira, qui expulsa sa cyprine sur ses doigts. Après ça, les deux femmes étaient à bout de forces. La femme des sables tenait encore un peu la route, mais la mercenaire était totalement K.O. Dans un dernier effort, elle alla se coucher à côté de sa partenaire, regardant une dernière fois ses yeux améthyste, dont la brillance la fascinait.

« Bonne nuit... Eris... »

Elle ferma les yeux et perdit instantanément connaissance. Cette fois ci, il lui faudrait au moins une heure avant de se réveiller.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le lundi 11 mai 2015, 03:47:05
Elle était si douée, si bonne. Pendant qu'elle me doigtait et qu'elle s'amusait à me lécher avec avidité et maîtrise, elle se mit à se doigter elle-même, mais je voyais bien qu'elle était déçu. Déçu pourquoi, me diriez-vous ? C'est simple, cela se voyait dans ses yeux. J'aurais bien voulu lui proposer le soixante-neuf, mais elle insistait vraiment a ce qu'elle me fasse jouir ! Elle voulait que ce soit moi, que je lui doigte comme je le faisais. Elle devait surement bien trouver cela ennuyant, bien qu'elle ressentait du plaisir, assurément. Sauf si maintenant, sa chatte aurait était aussi sec que le désert. Ce qui serait surprenant.

Après un moment, je finis enfin par jouir, éjaculant sur le visage de Mira tandis qu'elle jouissait aussi. J'étais fatiguée, épuisée... On avait baisé combien de temps ? Des heures ? Je ne savais pas. Mais ce que je savais, on a bien joui et bien baiser. Elle me souhaitait bonne nuit, regardant mes yeux comme fascinés. Elle fermait ensuite les yeux, se plongeant dans un sommeil.

-Bonne nuit... Mon amour. Susurrais-je doucement. Et moi aussi, je tombais dans mon monde onirique, ayant passé mon bras autour de son joli cou. Tout était joli avec elle. Surtout ses yeux d'or.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le lundi 11 mai 2015, 15:02:56
Après avoir sombré dans le sommeil, Mira se mit à rêver. Elle revit tout ce qui lui était arrivé durant cette journée, depuis sa rencontre fortuite avec Eris, l'espionnant en train de faire l'amour dans une ruelle, jusqu'à son dernier orgasme, provoqué par ses propres doigts. Ces rêves érotiques auraient pu la faire mouiller à nouveau, mais son corps était trop fatigué pour ça. Son intimité était à sec, et elle le resterait au moins pour quelques heures. Du coup, tout ce que ces rêves lui apportaient, c'était de délicieux frissons. Mais ça lui faisait quand même du bien. Et elle dormit le sourire aux lèvres.

Une heure après, peut-être un peu plus, la mercenaire reprit conscience. Elle ouvrit difficilement les yeux, et la première chose qu'elle vit fut la femme des sables, couchée à côté d'elle, le visage apaisé tandis qu'elle dormait avec un de ses bras passé autour du cou de sa partenaire. Dans cette position si confortable, la jeune fille se sent vraiment bien. Comme quand elle était petite et qu'elle dormait avec Tearju après avoir fait un cauchemar ou parce qu'elle avait peur de l'orage. En voyant son si beau visage endormi, la mercenaire ne put s'empêcher de venir l'embrasser. Un baiser tout doux, qui arracha délicatement Eris à son sommeil, même si ce n'était pas ce que Mira souhaitait. Tandis que la femme ouvrait lentement les yeux, la mercenaire passa un bras autour de son cou, comme elle le faisait avec elle. Elle accueillit son réveil avec sa voix la plus douce.

« Salut Eris. Bien dormi ? »

Mira ne s'attendait pas à ce qu'Eris soit fatiguée. Une femme aussi expérimentée qu'elle ne risquait pas de se faire mettre K.O pour si peu.
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le dimanche 17 mai 2015, 05:25:15
Après avoir sombré dans le sommeil, j'enchaînais les rêves. Sur mon mari, sur mes parents, sur mes amies. Je me souvenais de tout. De bon, de mauvais. De ceux qui ont survécu. De ceux qui n'ont pas survécu. Je me mis donc à rêver de mon mari défunt. Il était dans sa tenue de mariage, une simple sorte de toge blanche avec des paillettes d'argent telle dans sa coutume familial a lui. Moi, j'étais en simple robe blanche avec un voile devant mon visage, cachant mes cheveux noirs et mes yeux violets. 14 ans... J'avais 14 ans. Humpf. Mais il était si beau, ses cheveux bien peignés, son visage rasé, un de ces sourires sur le visage... Moi, je tremblais comme une feuille. Comme une foutue feuille, bon sang ! Il dégageait une de ses énergies !

Alors que je m'approchais de l'autel, un contact humide sur mes lèvres me réveilla, ouvrant mes yeux lentement pour venir baigner mon regard améthystes dans les yeux dorés de la belle aux bois dormants qui était à côté de moi. Elle passait un bras autour de mon cou et me demandait comment j'allais, avec une belle voix douce.

-Bien, bien...

Je m'étirais légèrement, observant ensuite Mira.

-Et toi, comment ca va ? Dis-je avec un sourire aimable. Toujours aussi heureuse?
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le dimanche 17 mai 2015, 14:56:57
« Oui. Toujours autant. Et c'est uniquement grâce à toi. »

Mira alla se serrer plus près contre sa partenaire, cette splendide femme qui lui mettait des images plein la tête. Sentir sa chaleur contre sa peau la rendait somnolente, mais c'était si bon qu'elle ne pouvait pas se décoller. Elle avait envie de s'endormir à nouveau dans les bras d'Eris, mais après tout le temps qu'elle avait passé dans ce lit, elle savait qu'il allait falloir qu'elle rentre chez elle. Mais cette idée lui déchirait le cœur. Se séparer de cette magnifique femme des sables et retourner à sa vie morose dans sa chambre de lycéenne sur Terre, ça lui paraissait trop déprimant. Ces pensées lui firent même verser une larme. Et sa partenaire s'en rendit facilement compte.

« Désolé. C'est juste que... de me dire que je dois te laisser pour rentrer chez moi... ça me rend si triste... »

Mira aurait voulu rester aux côtés d'Eris pour toujours, mais elle savait que sa mission, trouver Inferno, ne pourrait pas être accompli si elle ne retournait pas sur Terre. Une mission pour laquelle elle s'était engagée de tout son être, laissant sa sœur et Morgane gérer seules les contrats qui leur permettaient à toutes les trois de vivre. Elle ne pouvait pas se permettre de renoncer. Pas après tous les efforts qu'elle avait fait.

La mercenaire plaquait son corps contre celui d'Eris, serrant sa tête entre ses seins. Sa tristesse ne voulait pas s'en aller malgré tout ce qu'elle faisait.

« Eris... qu'est ce que je peux faire ? »
Titre: Re : Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Eris Langnar le dimanche 28 juin 2015, 22:27:41
La petite protégée qui était dans mes bras me répondit que oui, elle allait bien, et ce, grâce a moi. Elle savait flatter mon ego, dis donc... En même temps, ce n'est pas difficile de flatter mon ego. Deux, trois compliments et voilà, t'est mon amie ! Ou mon amante. Ou les deux. Enfin bref, vous comprenez... Elle se collait plus encore a moi comme un chaton qui quêtait la chaleur maternelle de sa mère, et je la serrais évidemment dans mes bras plus forts, voulant aussi de la chaleur de ma petite protégée sexy. Ma favorite, en quelque sorte. Après un moment de câlinage, elle se mit a pleurer silencieusement. Et après une fouille rapide de son esprit, je comprenais déjà pourquoi...

Elle s'excusait, car le fait qu'elle rentre chez elle et qu'elle me laisse la rendait si triste. Ah... C'est donc ça. elle souffrait comme l'une de ses nombreuses vierges qui ne voulaient pas laisser sa première fois filer ou qu'elle ne voulait pas les laisser. Je comprenais qu'une fille comme Mira qui était habituellement seule chaque nuit, frustrée et triste ne voulait pas que l'une de nous parte, mais il le fallait bien. Elle enfonçait doucement sa tête entre mes seins tandis que je continuais à caresser ses doux cheveux noirs, affectueusement et me demandais qu'est-ce qu'elle pouvait faire.

-Je serais toujours là pour toi, Mira...

Je mets un doigt sur son cœur

-Juste ici, a n'importe quelle heure du jour, dis-je avec un sourire. Et si tu veux du bon temps... Passe donc me voir à mon palais un jour si tu as le temps, je te montrerai bien mon harem. Ou au pire, appelle-moi, je serais là pour voler à ton secours si tu es trop 'frustrée'...
Titre: [FINI] Le jour où j'ai perdu ma virginité [Eris Langnar]
Posté par: Mira Crone le mercredi 01 juillet 2015, 20:45:07
Perdue dans un sentiment à la ligne médiane entre la tristesse et la joie, Mira ne savait plus où elle en était. Elle aurait voulu faire taire son cerveau et n'écouter que son cœur, qui lui disait de rester pour toujours entre les bras d'Eris, pour goûter chaque jour à la douceur, à la chaleur et la beauté du corps de la femme des sables. Elle qui avait tout fait pour lui offrir un déflorement magique, intense et, en même temps, si tendre et amoureux. Celle qui, pour l'heure, occupait toutes ses sensations, hormis celle du bulbe infecté qui s'activait dans sa boîte crânienne (son cerveau, quoi...)

Toujours pendant qu'elle se faisait caresser les cheveux, elle sentit un doigt se poser sur sa poitrine nue. L'un des doigts d'Eris, qui lui dit qu'elle sera toujours ''là'', à n'importe quelle heure du jour, que la mercenaire serait toujours la bienvenue pour visiter son palais et voir son harem, et qu'elle pourrait aussi l'appeler si elle était vraiment trop frustrée. En gros, elle restait à sa disposition en cas de crise de frustration sexuelle trop intense.

Mira se mit à imaginer à quoi pouvait ressembler le harem d'Eris : c'était sûrement rempli d'hommes aux muscles saillants et à la ''virilité'' tout en longueur, de femmes aux courbes splendides et à la peau lisse. Des personnes qui ne vivaient que pour l'entretien de leur corps, le sexe et pour satisfaire leur maîtresse. Le genre d'endroit auquel la mercenaire rêvait durant ses pires moments de tristesse et de frustration. Un lieu où elle pourrait évacuer toute son envie en une seule nuit, entre les mains de personnes des deux sexes, expérimentées et attentionnées.

Il fallut attendre encore quinze minutes avant que Mira ne trouve la force de se détacher de l'étreinte d'Eris. Elle rassembla ses vêtements, se rhabilla sans mettre ses sous-vêtements car ils étaient trop souillés pour être portés. Elle regarda la femme des sables qui, même au moment de son départ, restait à ses côtés pour la consoler et l'empêcher de changer d'avis. Non pas qu'elle ne voulait plus de cette charmante jeune fille fraîchement déflorée chez elle, mais elle avait bien compris que cette dernière avait des choses importantes à faire sur Terre.

« Eris... Encore une fois, merci pour tout. Grâce à toi, j'ai vécu l'un des plus beaux et des plus idylliques moments de ma vie. J'ai également pu réaliser un de mes rêves, que je remuais depuis des années. Tout a été parfait, et c'est à toi que je le dois. »

Mira embrassa Eris une dernière fois.

« Ne m'oublie pas... parce qu'un jour, je reviendrai te voir. Et d'ici là, je me serais améliorée en tant qu'amante. »

La mercenaire fit un ultime clin d'oeil à la femme des sables, puis activa son anneau. En une seconde, elle se retrouva dans sa bonne vieille chambre de pensionnaire. Elle mit ses sous-vêtements blancs dans son bac à linge sale, en se mettant en mémoire qu'elle devait les laver au plus vite pour pouvoir les remettre ensuite dans sa boîte. Ils allaient devenir des souvenirs éternels de sa première fois, qui seraient toujours là pour lui rappeler une époque meilleure où, pendant un instant qui lui a paru être une éternité, seul le positif vivait dans son corps et dans sa tête.

La pendule atomique de sa chambre indiquait 17h40, ce qui voulait dire qu'elle avait passé plus de sept heures dans le lit d'Eris.

Ouah... Tant que ça...

Mira rangea son pyjama, enfila des sous-vêtements propres et une autre tenue, lit quelques mangas pendant la soirée car elle avait l'esprit trop flouté pour travailler, puis remit son pyjama et alla se coucher aux alentours de 22h. Elle eut un peu de mal à trouver le sommeil, même avec les techniques d'apaisement mental, mais elle réussit finalement à s'endormir. Dans son rêve, elle sentit la caresse d'une brise du désert sur sa peau.

FIN (https://youtu.be/4OEaJ4oS-ns?t=14s)